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Il ne sert à rien d’envier des temps oubliés mais l’empirisme permet d’imaginer que les talents et célébrités existent de tout temps. Ils ne peuvent éclore que par de saines institutions qui savent et servent de tuteur pour qu’ils grandissent, pour la plus grande gloire de l’esprit et des peuples…
Sortie d’une terre ingrate où les marécages malsains donnaient le mal à mourir, tu devins par l’ambition d’un Roi, la merveille que les siècles ne purent ternir. Bien des peines et des souffrances humaines en furent le ciment. Chaque pierre contient sueur et sang d’un peuple se hissant vers le divin. Les temps étaient rudes, loin de quelques compréhensions humaines, la nature était ainsi comme d’ailleurs de tous temps. Seule la compréhension chrétienne atténua les souffrances humaines, loin des promesses que des temps futurs maquilleront hypocritement en république au faux masque de liberté.
 
Ce grand œuvre d’un château palais, posé dans la nature au milieu de multiples bassins, poétiquement dessinée, devient une symphonie que les yeux de multiples générations regardent et entendent avec admiration. Chaque allée comporte ses mystères dans des labyrinthes infinis. Et oui, l’enjeu de ses peines, souvent incomprises des peuples, fit de l’ingratitude de l’endroit, le centre du monde, que les temps que nous vivons, fait souvent regretter. Louis Dimier disait et il avait raison, que la tyrannie de Louis XIV n’a gêné que des gens qui n’ont pas vécu sous son règne…
 
Les doigts d’agiles jardiniers sculptent avec amour, chaque espace et bosquet, pour le regard des nymphes attirés par l’amour des lieux comme la rencontre fortuite, d’un possible prince de leurs rêves. De multiples fleurs aux couleurs criardes et pastels, sourient au passage des belles, qui dans un instant d’éternité se comparent aux princesses de jadis, tels des elfes aux milles contes et légendes…Il ne faut pas grand-chose pour imaginer, un instant, l’espace soudainement immobilisé dans le temps, entendre chuchoter, à l’orée d’un bassin abrité de quelques arbres penchés : « Vous me plaisez infiniment Madame. J’aime votre âge et ce regard fixé sur moi qui en dit long. J’ai fait ce premier pas pour vous mettre à votre aise et vous donner le droit de faire le deuxième à votre heure. Souvenez-vous cependant que je n’aime pas attendre », se serait exprimé un possible Louis XIV sous la plume de Sacha Guitry. Sous l’œil du Dieu Neptune trônant au bassin central, aux passage des oiseaux curieux, y faisant une halte, quelques barques enchanteresses promènent les amoureux…

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