C’est un fait : la criminalité en France est presqu'exclusivement étrangère
Source : https://www.nice-provence.info/
Nicole Belloubet a annoncé que près de 8 000 détenus seront libérés avant la fin de leur peine pour désengorger les prisons exposées à l’épidémie de Covid-19. Notons au passage qu’on se préoccupe davantage des délinquants que des vieux dans les Ehpad :
Aussitôt des voix ont prétendu que 130 islamistes avaient été remis dans la nature. Xavier Raufer, docteur en géopolitique et criminologue, qui suit de près ces questions et ne s’est jamais montré complaisant à l’égard de nos gouvernants, a démenti cette affirmation. Selon lui, en dépit de recherches approfondies, aucune trace sérieuse de la libération d’islamistes n’a pu être trouvée. Soyons-en soulagés.
« Welcome refugees » ou « Welcome prisoners » ?
Pour autant, il n’y a pas lieu de se réjouir outre mesure car Xavier Raufer révèle aussi la récente transmission de deux rapports annuels sensibles : le Rapport sur la criminalité organisée en France par le SIRASCO (Service d’Information, de Renseignement et d’Analyse Stratégique sur la Criminalité Organisée) pour la police nationale
Le service de lutte anti-mafia Service de lutte anti-mafia Pour mieux lutter contre les mafias, la direction centrale de la police judiciaire a mis en place un service, commun à la police et à la gendarmerie. Objectifs du SIRASCO : recueillir, centraliser et analyser les informations sur la criminalité organisée en France.
et le rapport sur la criminalité organisée de la gendarmerie nationale (SRC, Service central de Renseignement Criminel).
Le Service Central de Renseignement Criminel est chargé d’apporter des informations et une compréhension précise de la criminalité organisée et de masse afin d’orienter les actions dans la lutte contre la délinquance dans les phases pré-judiciaire et judiciaire. Structure d’aide à la décision et à l’enquête, à compétence judiciaire nationale, le Service Central de Renseignement Criminel (SCRC) diffuse largement ses productions, notamment aux commandants territoriaux, aux autorités judiciaires et administratives et aux services partenaires de la police nationale. Il constitue l’échelon national de traitement du renseignement criminel de la gendarmerie nationale.
Deux documents mis à disposition du ministère de l’Intérieur et dont la diffusion est extrêmement restreinte. Xavier Raufer qualifie leur contenu de « lamentable » n’hésitant pas à parler de « désastre » voire d’« oraison funèbre ».
Il est très difficile de se procurer ces derniers rapports mais ceux de 2013–2014 sont consultables sur internet. On peut sérieusement supposer que le contenu de la mouture 2019, ne diffère guère sinon par l’aggravation de la situation. Ce qu’on y découvre est édifiant.
Ces rapports sont bourrés de faits, de chiffres et même de cartes, paraît-il : du beau travail de renseignement. Mais, quel que soit le bout par lequel on prend ces rapports, le constat reste inchangé : les malfaiteurs étrangers (ou d’origine étrangère) sont partout et les Français de souche nulle part ! Il n’est fait état que de criminels issus des quartiers hors contrôle, massivement issus de l’immigration africaine/maghrébine (narco-banditisme, délinquance d’appropriation, vols de fret, etc…) mais pas seulement… Pour les trafics d’armes, on trouve des « éléments de la communauté turque » et des « minorités ethniques non sédentarisées » [sic !], souvent des malfaiteurs des « cités sensibles ».
Pour les vols de tracteurs et autres matériels agricoles, des « criminels de Lituanie »
Pour les trafics de stupéfiants, des « organisations criminelles turques, albanaises, marocaines et pakistanaises ».
Pour les trafics d’êtres humains, migrants et autres, des « réseaux structurés de la criminalité internationale (Balkans, Afrique, Chine, Amérique latine, Roms, bandes des quartiers hors contrôle…) ».
Pour les fraudes aux billets d’avion, des « malfaiteurs africains ou issus du Moyen-Orient et de l’Europe de l’est ».
Pour la prostitution, des « Roms », entre autres, qui prostituent même les femmes de leurs propres clans ! Etc, etc.
À quoi s’ajoutent : l’activisme de malfaiteurs appartenant à la communauté des gens du voyage sédentarisés (niveau 3 [échelle d’intensité allant de 0 à 4]) qui évoluent sur tout le spectre des atteintes aux biens (cambriolages, vols dans les commerces, arrachages de DAB, attaques de DAB…) ; le banditisme local comprenant des réseaux structurés enracinés dans la criminalité organisée (niveau 4) ; les groupes criminels roumains, notamment ceux de la communauté Roms qui se positionnent sur le secteur des atteintes aux biens et celui de la traite des êtres humains ; le milieu russo-géorgien très structuré (niveau 4) impliqué dans les affaires d’extorsion de fonds, d’homicide et de blanchiment de capitaux ; enfin, des malfaiteurs appartenant à la communauté chinoise (niveau 1) qui s’implantent doucement dans la traite des êtres humains via les salons de massages spécialisés.
D’après les médias « officiels » qui ont pu consulter les derniers rapports datant de juillet 2019, « il n’y aurait pas d’infléchissement notoire des activités criminelles dans notre pays à part une moindre affection pour les vols à main armée ». Comprenez : tout va bien. En revanche, on observerait — toutefois — un fort développement du « néo-banditisme de cité » où le proxénétisme serait en forte progression, notamment via l’internet, du fait de la mutation du « proxénétisme de cité » qui délaisserait les recrutements « internes » (comprendre dans la cité) pour chercher ses victimes sur les réseaux sociaux, les soirées… Par le fait, cette criminalité « de cité », reste l’apanage des communautés arabo-africaines.
Dans notre région Provence Alpes-Côte d’Azur – qui englobe Montpellier et Nîmes dans le rapport –, on note la « Présence constante d’un néo-banditisme de cité (niveau 3), en particulier dans les départements du Gard et des Bouches-du-Rhône ». Ce banditisme concerne essentiellement le trafic de drogue. Souvent « originaires des pays du Maghreb, notamment du Maroc », les malfaiteurs polycriminels [re-sic] occupent une position quasi-monopolistique sur l’ensemble du pourtour méditerranéen devenu la plaque tournante de la drogue pour les marchés européens. Cette activité criminelle favorise un climat de tension permanent entre voyous qui peut conduire, épisodiquement, jusqu’à des règlements de comptes sanglants.
On constate avec sidération qu’en termes de sécurité, la France se trouve dans une situation pire que sur le plan sanitaire.
Comment le banditisme allogène venu du monde entier – d’aussi loin que la Mongolie ou le Chili ! – a‑t-il pu s’installer aussi facilement dans notre pays pour le piller ? Et pourquoi ? Comment a‑t-il réussi le tour de force de se substituer à la délinquance autochtone – excepté le milieu corso-marseillais ?
Les réponses sont contenues dans les questions : une immigration permanente encouragée par l’Europe maastrichienne, l’implantation de communautés offensives protégées par des associations influentes (et subventionnées !), des gouvernants successifs délibérément aveugles, taulards d’une idéologie gauchiste dominante, une justice endoctrinée et laxiste parce que totalement hors service, etc…
Il suffit d’aller faire un petit tour dans les prisons pour s’en convaincre. Pourtant, on s’obstine à nous faire croire que 20% seulement des personnes incarcérées sont des étrangers. Or, dans le même temps, on avoue que 70% sont des musulmans (source dreuz.info) ! Comme il existe très peu de Français de souche convertis, on peut en conclure avec une marge d’erreur dérisoire que 70% de la population carcérale est d’origine étrangère. Et les autres, ceux qui se disent Français, ne le sont que par les papiers. Leurs us et coutumes ne laissent planer aucun doute.
Charles ANDRÉ
NDLR : Notre illustration à la une est extraite du film Le Prophète de Jacques Audiard (2009). Cet excellent film montre comment les caïds corses cèdent leur hégémonie dans les prisons aux arabo-musulmans. C’était en 2009.