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C'est l'évidence...mais comment la faire partager?
Je pense qu'il faut d'abord être modestes et commencer par faire notre travail à notre place.
Il y a la présence du Prince, les événements familiaux, ses publications, sa participation à diverses manifestations de la vie nationale. Ce que doit être son action est de sa seule décision.. Il sait mieux que nous ce qu'il peut faire.
Il y a des organisations royalistes structurées, leurs activités, leurs publications papier ou numériques, leurs manifestations publiques, etc; Travaillons à les renforcer, les faire grandir.
Commençons donc par soutenir tout cela et y participer. Voilà, pour l'instant, me semble-t-il.
Fulgurante intuition de Régis Debray. Et qui, forcément, vient de loin ou de très profond ou de très haut.
La France qui se délite sous nos yeux, ressemble à une nuée d'enfants perdus, hébergés dans un orphelinat ouvert à tous les vents, sans référence à une valeur suprême commune, vaguement surveillé par les institutions fatiguées d'une république bonnasse sans boussole et impuissante.
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C'est l'évidence...mais comment la faire partager?
Je pense qu'il faut d'abord être modestes et commencer par faire notre travail à notre place.
Il y a la présence du Prince, les événements familiaux, ses publications, sa participation à diverses manifestations de la vie nationale. Ce que doit être son action est de sa seule décision.. Il sait mieux que nous ce qu'il peut faire.
Il y a des organisations royalistes structurées, leurs activités, leurs publications papier ou numériques, leurs manifestations publiques, etc; Travaillons à les renforcer, les faire grandir.
Commençons donc par soutenir tout cela et y participer. Voilà, pour l'instant, me semble-t-il.
Fulgurante intuition de Régis Debray. Et qui, forcément, vient de loin ou de très profond ou de très haut.
La France qui se délite sous nos yeux, ressemble à une nuée d'enfants perdus, hébergés dans un orphelinat ouvert à tous les vents, sans référence à une valeur suprême commune, vaguement surveillé par les institutions fatiguées d'une république bonnasse sans boussole et impuissante.