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Une journaliste française proprement mouchée par un ministre tunisien

Du lundi au vendredi matin, un peu avant 8h00, l’ultra gaucharde Pascale Clark dispose de cinq minutes sur France Inter pour interroger une personnalité de son choix.

 

Volontiers méprisante et arrogante, traitant souvent ses invités comme des minables, faisant preuve d’un manque d’objectivité scandaleux, elle se sert systématiquement de son intervention pour promouvoir ses opinions.

 

Heureusement, il arrive qu’elle trouve à qui parler (récemment Jean-Luc Mélenchon a su la remettre à sa place et Robert Ménard l’a traitée en direct de « faux cul »).

 

Ce matin, avec la plus grande courtoisie, c’est M. Mouldi Kefi, ministre tunisien des Affaires étrangères qui lui a rivé son clou.

 

Pascale Clark lui ayant dit que, contrairement à la Tunisie qui a accueilli des milliers de Libyens fuyant leur pays, la France rejette les malheureux Tunisiens, pourtant porteurs d’un visa temporaire accordé par l’Italie, réponse du ministre : « Quand même, madame, ce n’est pas le même cas. Les Libyens fuient des bombardements, un massacre organisé. Les Tunisiens qui viennent ici fuient leur pays au lendemain du recouvrement de la liberté, à la recherche d’un eldorado »

 

La Clark qui aime bien harceler ses interlocuteurs en est restée sans voix et n’a rien rajouté sur ce sujet.

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Commentaires

  • Il est bon le ministre tunisien !

  • enfin un homme intelligent et d'honneur
    ça nous change. quant à Mélenchon, moi, je me demande comment on peut voter pour un mec pareil.
    ça nous crache dessus mais n'oublie pas de se servir en indemnités de mandats électoraux avec avantage...

  • Il ne s'agit pas de voter pour Mélenchon mais les rares personnalités qui ne rampent pas devant les journalistes-propagantistes et les remettent vertement à leur place, sont, au moins en cela, et quoiqu'ils soient par ailleurs, utiles pour secouer le "système".

  • Exact. Il faudrait, aujourd'hui, constituer l'union des révoltés. Il y aurait pas mal de monde.

    Vous n'aimez pas le mot "révolution". Moi non plus (Comme Soljenitsyne, comme Edgar Morin).

    Mais le révolte s'impose. Et, en un sens, contre le "Système", une révolution aussi.

  • Il faudrait que chaque auditeur intervienne pour remettre à sa place cette "pétasse" de Clark comme je le fais fréquemment.Même chose pour l'émission "le fou du roi" où un certain Morin attaque systématiquement notre religion catholique. Réveillons-nous et agissons; Si nous sommes un grand nombre à écrire à France-Inter nous finirons bien par dégommer tous ces "malfaisants"

  • Qui s'oppose frontalement à la Bête ? On a perdu Frêche, il reste Collard, Le Pen (qui s'efface devant Marine), Ménard, Mélenchon, un peu Tapie ?...

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