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Rechercher : Rémi Hugues. histoire

  • Pour un retour à la pensée médiévale, par Rémi Brague.

    "L'athéisme, même sous formes atténuées, abrite un inconvénient majeur qui en fait est une maladie de mort."
    Le projet moderniste et la vision matérialiste du monde ont conduit à l'aliénation de l'homme et à la dévastation de la nature. Il est temps de briser l'idole du Progrès et de renouer avec la sagesse du Moyen Âge, seule capable de rendre sa dignité à l'homme, à sa beauté à la Création.
    Venez assister, ce vendredi, à la conférence de Rémi Brague, spécialiste de la philosophie antique et médiévale, maîtrisant aussi bien la tradition arabo-musulmane que la tradition chrétienne.


  • Rémi Brague - Les vertus chrétiennes devenues folles.

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    https://soundcloud.com/user-245860045/remi-brague-les-vertus-chretiennes-devenues-folles?fbclid=IwAR0O_8pKJ-0Swu6XdELtz5bvMiu0_aNorBGulIzVztw4wG18YwBspfIb7SU

  • Sur TV Libertés, des vérités devenues folles par Rémi Brague

    Rémi Brague est le plus grand philosophe français et chrétien. En partenariat avec l'association "Renaissance Catholique" présidée par Jean-Pierre Maugendre, et dans le cadre de sa journée du livre à Villepreux, TVLibertés vous propose de suivre une conférence enregistrée en décembre dernier et animée par Rémi Brague intitulée "Des vérités devenues folles". Un événement à ne pas manquer !


     

  • Tout ce qui est Racines est bon ! Vu - et apprécié - sur la page facebook de Julien Rémy...

    Un bagad Scout d'Europe/Scout Unitaire de France pour le pèlerinage de Province le 13 octobre 2019; une autre manière de vivre la fraternité scoute; petit retour en vidéo...

  • Genre : le retour à la case pathologie ?, par Rémy Mahoudeaux.

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

    Les idéologues LGBT ne vont pas aimer les conclusions de cette étude de l’université de Cambridge ayant fait l’objet d’une publication dans Nature Communications, le 7 août dernier. La traduction de son titre est Proportion élevée de l’autisme et d’autres diagnostics de développement neurologique ou psychiatrique chez les individus transgenres ou affectés de troubles de genre.

    2.jpgLes auteurs dégagent trois conclusions. La probabilité pour qu’une personne ayant des troubles de genre soit, de plus, affectée d’autisme est entre 3 et 6,3 fois plus importante que pour les personnes cisgenres (Qui se conçoivent/perçoivent du même sexe que celui qui leur est assigné par la biologie). Toujours comparées aux cisgenres, ces personnes se perçoivent et se présentent d’elles-mêmes avec des traits conformes à l’autisme et minimisent les traits propres à l’empathie. Elles sont, en outre, sujettes, dans une proportion plus élevée que la normale, à d’autres troubles psychiatriques ou du développement neurologique. Il est possible que des personnes présentant des troubles de genre soient des autistes dont le diagnostic n’a pas été établi.

    L’étude ne prétend pas établir de causalité, elle ne cherche qu’à poser des constats statistiques, identifier des cooccurrences qui seraient conformes ou non à une distribution normale. Puisqu’elles sont anormales, elle évoque des hypothèses. Le non-conformisme développé par les autistes trouverait-il une expression hors de la binarité de genre, stéréotype de la normalité ? L’exposition prénatale aux perturbateurs endocriniens aurait-elle un impact sur la perception du genre des personnes ? Enfin, une société stressante, abusive et victimisante avec des personnes vulnérables et atypiques ne favoriserait-elle pas ces cooccurrences ? Poser ces questions, ce n’est pas y répondre, mais juste proposer des pistes de recherches pour mieux comprendre.

    Ajoutons que l’étude est réalisée par des pointures de grandes universités, principalement Cambridge, même si l’argument d’autorité est démonétisé aujourd’hui ; ses résultats s’appuient sur de très grandes cohortes statistiques, contrairement à celles promues d’ordinaire par les activistes LGBT ; et que Nature Communications est une revue supposée sérieuse avec comité de lecture, même si ça pourrait ne plus vouloir dire grand-chose après le scandale du Lancet.

    Pour ceux qui militent et assènent, depuis des lustres, que le genre est le simple choix d’un individu libre, opposable à la société, et qu’il est fasciste de contester cette doxa, c’est la tuile. Que l’argument 0 % nature 100 % culture repose en paix, il a vécu. Pour sûr, quelques activistes agiteront encore ce zombie. Des politiciens postmarxistes feront sans doute semblant de continuer à croire à la véracité de cette (ex-?) doxa, par intérêt personnel : il faut bien qu’existent des classes dominantes et dominées pour qu’elles luttent entre elles !

    La dysphorie de genre fera-t-elle son retour comme pathologie ? C’est politiquement très incorrect, mais susceptible peut-être d’apporter aux personnes concernées les meilleures solutions thérapeutiques possibles en respectant au mieux leur dignité et leur intérêt personnel.

  • Sur le Cercle d'Artagnan, Conférence Rémi Soulié.

    C'est le travail de Rémi Soulié que le Cercle d'Artagnan a cette fois-ci le plaisir de vous présenter. A l'heure où "identité" marque toutes les lèvres, ce dernier nous invite à nous intéresser, pour faire face aux enjeux de notre temps, au concept plus large et pertinent de racine.

  • Les grandes manœuvres du clan du progrès, par Rémy Mahoudeaux.

    En ces temps de pandémie, la gouvernance publique est devenue folle, absurde, erratique, brownienne, ubuesque, irrationnelle et il serait lassant mais aisé de poursuivre. Cette gouvernance, toute incohérente qu’elle peut apparaître, a pourtant un cap et le suit tant bien que mal :

    2.jpgune société transhumaniste où rien ne pourra s’interposer entre l’individu et les marchés et l’État, tant que ce dernier subsistera. L’abolition du corps intermédiaire qu’est la famille est une étape clef, comme un cap à doubler pour tracer sa route dans la course.

    La France a signé la Convention internationale des droits de l’enfant en 1989 et doit répondre périodiquement aux questions de l’ONU sur l’application chez elle des dispositions de ce traité. Pour établir ces questions, l’ONU sollicite le monde associatif. Les associations du collectif Marchons enfants ! ont remis, en juillet dernier, une copie complète, fouillée, circonstanciée au comité ad hoc en charge de la synthèse. Celui-ci vient de publier son document. Hormis une question portant sur l’anonymat des fournisseurs de gamètes, toutes les violations probables du traité à commettre par la France dans le projet de révision de la loi de bioéthique sont passées à la trappe : exeunt les questions qui fâcheraient sur la PMA sans père et l’abolition de la filiation au profit de la fiction, la GPA, l’eugénisme des diagnostics préimplantatoires ou prénatals. Si l’ONU ne pose pas de questions gênantes, elle recevra des réponses dignes du bon docteur Pangloss : « Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ! » Les associations de Marchons enfants ! se sont indignées d’une telle autocensure et le font savoir. La gouvernance du « machin » laisse vraiment à désirer.

    Dans un pays où le Parlement est censé contrôler l’exécutif, c’est le Président qui impose aux chambres législatives l’ordre du jour. Le programme de travail du Sénat vient de tomber : il devra examiner en seconde lecture le projet de révision de la loi de bioéthique à partir du 19 janvier 2021 en commission et du 2 février en séance. Ce projet de loi avait déjà fait l’objet d’une seconde lecture bâclée et antidémocratique au creux de l’été à l’Assemblée nationale. Est-il permis de s’interroger sur ce calendrier qui semble conçu pour éviter – entre et couvre-feu – de voir des cohortes de gens normaux braver le froid et une dévoyée (sur ordre, et pour réprimer au-delà de toute mesure ) ?

    Une fois encore, ce pouvoir veut passer en force. Les circonstances compliquées que connaît le pays justifieraient que les priorités des parlementaires se réduisent, d’une part, à analyser et à voter les textes essentiels à la résolution des crises sanitaires, économiques, sociales et politiques qui accablent le pays et, d’autre part, à contrôler un exécutif doté de pouvoirs d’exception et dont certains des ministres pourraient, rappelons-le, être traduits devant la Cour de justice de la République pour leurs décisions irrationnelles.

    Quelques esquisses, pour conclure.

    Pour restaurer une gouvernance au service du bien commun, il faudrait au préalable constater que la Ve République est en soins palliatifs et qu’un tri est nécessaire dans les sujétions créées par les instances internationales et les traités.

    Bien sûr, je suis complotiste de voir une collusion dans une convergence de cap « progressiste » qui n’est certainement qu’un simple hasard.

    Attendons de savoir quelles seront les actions prévues par Marchons enfants ! pour s’opposer à cette loi et ce calendrier incompatibles avec l’état du pays.

    Il y a aussi une bonne nouvelle : « La mère est une femme, le père est un homme » fait son entrée dans la Constitution hongroise, nonobstant l’ire de la bien-pensance universelle et patentée.

     

    Rémy Mahoudeaux

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Le père, cet éternel inutile…, par Rémy Mahoudeaux.

    Oui, les femmes sont plus généreuses que les hommes dans l’engendrement : elles y passent neuf mois sans interruption, souffrent de désordres physiques, hormonaux, psychiques, subissent l’accouchement et les soins post-partum, les modifications temporaires ou permanentes de leur corps, le baby blues…  Jamais les hommes et les enfants ne montreront assez de gratitude envers les mères pour ça.

    2.pngMais la nature n’a pas permis que les rôles de l’homme et de la femme soient interchangeables. Nonobstant les délires des femmes transgenres qui s’identifient comme masculines, mais donnent naissance à des enfants, et tant que le cauchemar de l’ectogenèse ne sera pas devenu réalité, seules des femmes sont des mères et, à ce titre, ce sont elles qui donnent la vie à un enfant.

    Que donne l’homme ? Des gènes, ceux qu’il a hérités de ses parents. Certes, pas tous, mais la moitié. Certains s’exprimeront, d’autres pas, laissant à ceux donnés par la mère ce soin. C’est la loterie biologique. Parfois, il ne donne rien de plus, quand il prend la poudre d’escampette à l’annonce d’une grossesse. Un homme, ça peut être lâche. Il peut aussi donner un abri, une protection à la mère et à son enfant. Il peut aussi – c’est heureux – bâtir une famille, ce truc décrié où les enfants grandissent entourés de l’amour et de la protection de parents qui peuvent aussi s’aimer durablement l’un l’autre. Les pourraient trouver dans la lutte contre l’obsolescence programmée des couples et des familles une bataille qui mériterait d’être menée et gagnée.

    Et a priori, le père donne son nom de famille. Les féministes ricaneront : ça ne lui coûte pas cher. Indissociable de ce patronyme transmis à la génération suivante, il y a aussi toute la filiation paternelle.

    Le choix des prénoms et de leur ordre peut durer neuf mois, donner lieu à des discussions homériques virant à la dispute et même occasionner chantages, tractations et compromis. Une fois l’enfant né, il faut bien qu’à l’état civil, le bébé ait au moins un prénom.

    Les normes en vigueur à l’état civil français sont tatillonnes : elles exigent aussi un nom de famille. Par défaut, ce sera celui du père. Mais la loi prévoit déjà qu’on puisse déroger à cette norme : l’enfant peut porter celui de la mère, ou les deux accolés. C’est très bien, par exemple pour éviter que des patronymes ne disparaissent. D’autres normes existent ailleurs, par exemple en Espagne, où l’enfant porte les patronymes de son père et de sa mère.

    Une certaine Marine Gatineau Dupré, est la fondatrice et porte-parole de « Porte mon nom », une association qui vise à automatiser le port du double nom par l’enfant. Elle déplore que plus de 80 % des enfants ne portent que le nom du père et dénonce ce respect d’une tradition. Elle demande, en outre, de pouvoir rajouter le nom de la mère en cas de séparation et souhaiterait, enfin, que la mère valide la déclaration des noms et prénoms à l’état civil. Un député ! la soutient, Patrick Vignal. Avec une pétition de 7.000 personnes, ils souhaitent que le garde des Sceaux et le Premier ministre modifient les règles par simple décret. Pourquoi se gêner et passer par la loi ?

    À l’heure où l’engendrement devient un projet parental modulable (et même révocable avec l’), l’état civil deviendrait une place de marché où serait en quelque sorte marchandée et contractualisée cette composante essentielle de la personne qu’est son identification. Le bon sens commanderait que, préalablement à tout mélange de gamètes, les protagonistes s’assurent de pouvoir trouver assez de consensus durables pour assumer tous les risques induits par la possible procréation due à leur activité sexuelle. Les plus réalistes – mais d’autres les qualifieront de paranoïaques – verront une nouvelle attaque contre la et la filiation. Le père, cet inutile…

     

    Rémy Mahoudeaux

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Paternité : cherche cohérence, désespérément !, par Rémy Mahoudeaux.

    Tout augmente, mon bon monsieur ! Le congé de vient de passer de 14 jours à 28 jours. Le gouvernement l’a annoncé le 1er Juillet via Elisabeth Moreno, ministre déléguée à l’égalité homme – femme + la diversité + l’égalité des chances et , secrétaire d’état en charge de l’ et de la .

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    Les motivations sous-jacentes, ce sont un meilleur accueil de l’enfant, un partage des tâches domestiques plus équilibré entre père et mère, et même la déconstruction de stéréotypes de genres qui persisteraient dans notre société encore hétéropatriarcale malgré le macronisme ambiant. Adrien Taquet ose le dire, la présence du père est capitale. Il est primordial que les parents s’investissent et prennent leur place.

    Qu’il est réconfortant de pouvoir, enfin, dire du bien d’une décision gouvernementale ! Oui, la présence du père auprès de son bébé juste né, c’est important. Tout d’abord parce qu’une mère doit se remettre d’une grossesse et d’un accouchement. Ensuite, parce que le bébé doit se confronter au monde extérieur, dont son père. Père et enfant ont été relativement séparés pendant 9 mois, leurs seuls échanges sensoriels relevant du tactile (indirect) et du vocal (dans le seul sens père vers enfant pour la voix). Il est opportun qu’ils fassent connaissance et y consacrer beaucoup de temps n’est pas un luxe, c’est un bienfait pour le bébé et pour la famille. Et puis il y a à gérer la logistique de l’accueil et les éventuels enfants précédents. Bref, c’est très bien.

    D’ailleurs, des entreprises généreuses avaient anticipé et accordé à leurs salariés des congés XL comparé au minimum syndical. Merci aux précurseurs et au gouvernement.

    Et en même temps …

    (Oui, vous l’aviez vu venir)

    Il n’aura pas échappé au lecteur de Boulevard Voltaire que l’Assemblée Nationale a voté en dernière lecture cette semaine la révision de la loi de bioéthique, faisant fi des amendements puis du rejet du Sénat, de la désapprobation exprimée largement lors des états généraux de la bioéthique, des manifestations conséquentes, et ce, malgré sa propre indigence argumentative (qui se résumait à ânonner le mantra « égalité » bien que le Conseil d’État ait statué sur ce hors-sujet). Cette loi prévoit d’ouvrir aux couples de femmes et aux femmes seules la possibilité d’accéder à la procréation médicalement assistée, aux frais de la sécurité sociale. Autrement dit, de se passer du père. Qu’il soit ici fait mémoire des brillantes interventions d’ (« Un père, ça peut être une femme, des oncles, une grand-mère ») et d’ (« Votre problème, c’est que vous croyez qu’un père, c’est forcément un mâle »).

    Bref, le père qui ,le mardi ne sert à rien d’autre qu’à fournir des gamètes et un vague dossier à remettre à la majorité de l’enfant, se voit réhabilité le jeudi : sa présence est capitale ! Si le gouvernement et la République veulent s’acheter de la cohérence, ça tombe bien, c’est la période des soldes …

     

    Rémy Mahoudeaux

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Bac : l’armée mexicaine, par Rémy Mahoudeaux.

    Au San Theodoros, l’armée comptait, lors de la première prise de pouvoir du général Alcazar, pas moins de 3.487 colonels pour 49 caporaux. Quel exemple pour les idéologues de  : un microcosme où tous ou presque sont chefs ! 

    4.jpgPeut-être que cette armée de galonnés n’était pas la plus efficace du monde pour gagner des guerres, et serait-il bien prudent de s’en moquer ?

    En 1985, le ministre de l’Éducation affichait l’ambition « d’amener 80 % d’une classe d’âge au niveau du baccalauréat ». Nous y serions parvenus en 2012, soit 27 ans après. Lycées et établissement d’études supérieures se sont créés, se sont agrandis pour faire face à l’afflux de jeunes. Sauf que pour y parvenir, le a surtout été dévalorisé, vidé de sa substance. C’est comme si, pour lutter efficacement contre le , vous décidiez chaque année de modifier la graduation de votre thermomètre. Si, dans dix ans, l’eau bout lorsque l’instrument de mesure indique 110 °C au lieu de 100 °C actuellement, les objectifs des grandes messes décarbonées sont atteignables à peu de frais.

    Le niveau est en chute libre, mais c’est compréhensible. Si le dernier admis au CAPES de mathématiques a une note de 5/20, si la moyenne des admis est de 8/20, comment espérer des miracles ? Comment déplorer la régression de la France au ? L’abandon des exigences élémentaires (par exemple lire écrire compter) puis des filières dites élitistes démontre, s’il en était besoin, le poids de l’idéologie égalitariste teintée de stalinisme de cette maison. Tous égaux dans le crétinisme et l’ignorance !

    Nous manquons d’artisans et nous n’en formons pas assez. L’attractivité du métier de plombier est faible quand, avec la promesse du bac, vous a été vendu un accès aux formations supérieures qui se révèlent souvent des voies de garage. La double peine, c’est de payer le maçon polonais ici au titre de la directive services, puis de payer pour les chômeurs ou les occupants de « jobs à la con » dont la formation ou l’emploi n’est pas adéquate avec les besoins de l’.

    Le complotiste lecteur de George Orwell décèlera dans cette régression une volonté délibérée de soumettre un peuple, promis à devenir incapable de se rebeller parce qu’il ne disposera plus de la maîtrise du langage qui le lui permettrait. Celui qui fréquente Aldous Huxley notera que la démagogie perverse de l’époque voudrait faire croire que tous, demain, seront des Alphas quand ils ne seront que des cohortes d’Epsilons. Qui, pour taper du poing sur la table, dénoncer cette idéologie suicidaire, dissoudre les syndicats d’enseignants, licencier les straß, puis restaurer une méritocratie authentique comme boussole ainsi que l’attractivité du métier d’enseignant ?

     

    Rémy Mahoudeaux

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Le vrai visage de la laïcité républicaine !, par Julien Rémy.

    L’imam radical Rachid El Jay de Brest est devenu «référent laïcité» grâce à un diplôme universitaire en Religions, droit et vie sociale !

    Un diplôme universitaire à Rennes 1, lui permettant de devenir «référent laïcité» dans divers domaines professionnels et associatifs.

    Rappelons que celui-ci défend un islam régoriste proche du salafisme.

    «Ces référents peuvent être amenés à éclairer, du point de vue du droit, de multiples situations quotidiennes où la question religieuse est susceptible de croiser les règles de l’Etat républicain et laïc», précise l’établissement.

    «Soutenus par le ministère de l’Intérieur, ces [diplômes universitaires] sont l’une des actions promues par le gouvernement pour rendre « républicano-compatibles » les imams des mosquées françaises», affirmait le quotidien Libération.

    L’écrivain palestinien Waleed Al-Husseini, auteur d’Une trahison française, ouvrage dans lequel il défend avec vigueur la laïcité et critique la religion islamique, s’étonne qu’un individu qui «justifiait le viol de femmes non-voilées» reçoive un «diplôme de laïcité».

    Rappelons que que suite aux attentats de 2015, sa mosquée subissait une perquisition, Rachid Abou Houdeyfa, est une personnalité qui fait polémique depuis plusieurs années. L’ancien président de la République, François Hollande, avait même fait référence à Rachid Abou Houdeyfa : «Il est Français, il ne peut pas être expulsé, mais son lieu de prière […] ce lieu de haine, a été fermé», avait-il déclaré en avril 2016 sur France 2. La haine dont il est question ici découle des nombreux prêches que Rachid Abou Houdeyfa diffusait abondamment sur internet. Entre autres exemples, en 2012, il avait déclaré : «Si la femme sort sans honneur, qu’elle ne s’étonne pas que les hommes abusent de cette femme-là.» En 2015, il avait affirmé dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux que la musique était prohibée par l’islam et que Dieu pouvait transformer ceux qui l’écoutaient en porcs ou en singes.

    La république ne cesse de renoncer et de trahir la France. Français vos élites républicaines vous trahissent chaque jour d’avantage, rejoigniez l’Action Française !

    Source : https://urbvm.fr/

  • Paris : Rémi Soulié au Cercle Aristote, c'est ce soir...

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      Rémi Soulié, Entre folie et raison, comprendre Niietzsche. 

    Ce lundi 10 mars, 20h, Le François Coppée, 1 boulevard du Montparnasse (6ème, Métro : Duroc/Falguières)
     

     


     

  • Sur le site de l'URBVM : la république assassine, par Julien Rémy.

    Honte au décret paru mercredi 27 mai au Journal officiel, leur république a abrogé les dispositions dérogatoires de l’usage d’hydroxychloroquine pour lutter contre le Covid-19, hors essais cliniques en France.

    Cette décision fait suite à un avis défavorable sur ses effets dans le traitement du Covid-19 de la part du Haut Conseil de la santé publique et l’Agence du médicament. Il n’est pas exclue que les lobby pharmaceutiques soient à la manœuvre… (https://www.bastamag.net/webdocs/pharmapapers/)

    Pour info sur ce dossier la date de mise en service de se médicament =1949 donc 71 ans d’existence…..

    De nombreux pays ont fait le choix inverse : Canada https://www.inesss.qc.ca/fileadmin/doc/INESSS/COVID-19/Chloroquine_final.pdf Chine https://www.sciencesetavenir.fr/sante/la-chloroquine-contre-covid-19-pas-plus-efficace-qu-un-traitement-classique_142834.amp Suisse https://www.hug-ge.ch/sites/interhug/files/structures/coronavirus/documents/hydroxy-chloroquine_et_covid-19.pdf Et évidemment la dernière en date qu'environ 0% des intervenants ont lu. https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31180-6/fulltextChloroquine_final.pdfChloroquine_final.pdfinesss.qc.ca

    Pour répondre à « cette atteinte à la liberté de soigner », plus de 1200 médecins libéraux se sont constitués en collectif baptisé « Laissons les médecins prescrire ». Ils réclament le rétablissement de l’autorisation de prescription de cette molécule afin de soigner leurs patients dès les premiers symptômes. Ces médecins sont convaincus, étude à l’appui, qu’associée à l’azithromycine, l’hydroxychloroquine est efficace dans de nombreux cas. Selon eux, la la bithérapie dévelloppée l’IHU de Marseille sauve des vies et évite d’éventuelles graves séquelles. Ils appellent le gouvernement à changer en urgence de stratégie thérapeutique.Coronavirus : un collectif de médecins réclame le rétablissement du droit de prescrire l’hydroxychloroquinefrance3-regions.francetvinfo.fr • Lecture de 9 min