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Rechercher : qu'est-ce que le Système

  • De ”Entre les murs” au Titanic. Ou : d'un naufrage à l'autre...

              Que montre en effet cet "Entre les murs" dont se gargarisent tant et tant de journalistes et de commentateurs ? L'échec de notre système scolaire, tout simplement. Ou, pour être plus précis, l'échec des rêveries et des nuées imposées par les idéologues du Ministère de l'Education Nationale...

              D'un côté "on" veut promouvoir l'image d'un enseignant sympa, très attentif et très ouvert à la grande richesse ( ! ) que constituent les nouveaux publics scolaires; faisant tout ce qu'il peut pour dialoguer et désamorcer les tensions; mais, de l'autre, on voit bien des élèves réfractaires, qui ne cessent de le défier, voire de l'insulter. Et pour qui ce comportement est tout à fait normal et habituel. Et qui n'ont ni l'idée ni, bien sûr, la volonté de changer d'attitude, de faire autrement.

              Le système n'est pas remis en cause. Ceux qui ont créé ces collèges/écoles ghettos; et surtout leurs idées folles, leurs théories fumeuses et mortifères : voilà ce que le film se garde bien de dénoncer. Au contraire "on" s'en réjouirait presque, on s'en congratulerait presque ! et en tout cas "on" s'en amuse ! Oui, c'est cela : une large part des journalistes et des chroniqueurs s'amuse et se délecterait presque du spectacle de cette catastrophe, faute de savoir, de pouvoir ou de vouloir l'analyser objectivement...

              On a des photos montrant, sur le pont du Titanic et quelques instants à peine après la collision avec l'iceberg, des voyageurs tirés à quatre épingles faisant une sorte de partie de ballon avec un gros bloc de glace tombé là... Inconscience de la catastrophe imminente : ceux qui allaient mourir dans très peu d'heures, dans quelques dizaines de minutes, ils... simulaient une partie de ballon !

              On nous permettra de ne partager l'optimisme et l'inconscience ni des uns, hiers, ni des autres, aujourd'hui...

             

  • Deux réflexions qui vont loin, sur la France, dans Der Spiegel.....

                Deux remarques pertinentes d'Ullrich Fichtner, dans Der Spiegel, de Hambourg.

                "...En ces temps troublés, il manque au système politique français une figure apaisante, un cadre de référence fiable, une instance neutre..."

                Comment mieux évoquer cette espace a-démocratique que nous appelons de nos voeux au sommet de l'Etat ? Un tel espace existe bel et bien dans les royautés européennes (1). Comment ne pas rappeler l'exclamation spontanée de Christine Ockrent, sur FR3, répondant à Charles Bremmer, correspondant du Times "Oui...vous, vous avez la chance d'avoir la Reine d'Angleterre. Ce n'est pas notre cas..." (2).

                Et, un peu plus loin, le même Ullrich Fichtner s'inquiète des "forces de désintégration qui déchirent la France plus que tout autre pays, car la société française est un mélange bigarré d'ethnies, de religions et de citoyens à la pensée libertaire certes rafraîchissante, cependant que le ciment qui maintenait le tout s'effrite."

                Oui, mais ces forces de désintégration sont-elles apparues là par génération spontanée? Ou bien sont-elles (et c'est évidemment ce que nous disons...) le fruit empoisonné et mortifère d'une folle politique idéologique, impulsée depuis le sommet de l'Etat par un système qui a nom République française, et qu'il faut dénoncer és-qualité.

    (1) : Voir les notes "République ou Royauté ? L'exemple espagnol" et "L'exemple des royautés nordiques" dans la Catégorie "République ou Royauté".

    (2): Voir la note "Quelle chance il a eu, Tony Blair !....", dans la Catégorie "République ou Royauté".

  • Les prix du mardi...

              le prix citron: a Charles Pasqua, pour son refus des tests ADN qui lui rappellent, dit-il, "une certaine époque" (il fait allusion au nazisme...); mais là Charles Pasqua est complètement à côté de la plaque, ses scrupules datent d'une autre époque et -renvoyant à une autre époque- sont en parfait décalage avec la réalité d'aujourd'hui; ils sont totalement déconnectés du réel. Le peuple français en a marre de se faire escroquer par des milliers d'africains qui viennent ici avec des enfants qui ne sont pas à eux pour se faire verser des allocs à nos crochets; et le nazisme (que la république a installé en France pendant cinq ans parce qu'elle n'a pas su préparer la guerre...) n'a rien à voir là dedans...En réagissant comme il le fait, Charles Pasqua se trompe d'époque, et donc de combat: c'est dommage, de le voir ainsi hurler avec les loups, et mêler sa voix aux braillards qui se servent de l'immigration comme d'une machine à casser la France! il lui est arrivé d'être mieux inspiré dans son existence et dans son action.....

              le prix orange: à Jacques Marseille, pour sa prestation sur LCI, le mardi 2 octobre, dans le débat "Fonctionnaires....Immuables?". Il a très simplement et très courageusement répondu -non sans humour...- à la question suivante: comment peut-on expliquer la croissance exponentielle des créations de postes de fonctionnaires dépendant des collectivités locales?: la raison est à chercher -expliqua-t-il- dans le système électif lui-même, et dans les moeurs électorales: "notre système électoral fait que c'est un pousse au crime": et d'expliquer carrément que les responsables locaux veulent "tenir leur troupes", et leur offrent "des postes en échange de leur fidélité"; on ne saurait être plus clair! il devait conserver, tout au long du débat, la même franchise réjouissante et la même liberté de ton décapante: ainsi lorsqu'il expliqua qu'on pourrait arriver à économiser 200.000 postes d'enseignants en "rationnalisant" les pratiques du "Mammouth"! Mais là, attention à l'inévitable et inénarrable Gérard Aschieri, qui ne manquera pas de sortir du bois pour demander....."toujours plus!"

  • Lu, vu, entendu : Comment peut-on être Hongrois ?

            Le Monde, et bien d’autres, se sont étouffés, et continuent…. Pensez-donc : l'appellation "République de Hongrie" disparaît au profit de "Hongrie", et d'une.

            La Constitution fait explicitement référence  à Dieu ("Dieu bénisse les Hongrois"), et de deux : pourtant, tous les dirigeants des USA , Obama le premier, emploient la formule "God bless America" ou "God bless you" vingt fois par jour, si ce n’est plus, depuis deux siècles, et personne n’a jamais rien dit…  Bizarre ? bizarre….

            Mais il y a plus grave, et c’est à notre très humble avis cela qui a déclenché la ire officielle :

            Pensez, la Constitution rend rétroactivement "responsables des crimes communistes" commis jusqu'en 1989 les dirigeants de l'actuel Parti socialiste (ex-communiste).

           Evidemment, si on se met à dénoncer les responsabilités du marxisme et des marxistes, cela change tout : vous imaginez, en France ? Les installés du Système et sa nomenklatura, qui hurlent contre Le Pen mais pas contre le NPA ou Lutte ouvrière, ou le PC, qui n’ont jamais ni renié le marxisme-léninisme ni dénoncé ses crimes; eux qui vivent dans un Système basé sur le petit cycle de 1945, bien douillet pour eux, bien confortable pour leurs avantages acquis (qu’on appelle, en bon français, des "privilèges", tel le Port de Marseille, "donné en 45 à la CGT", dixit François Chérèque lui-même …).

            Oui, si on se met à appeler un chat un chat et le communisme non pas un fripon, mais une horreur, et la pire des abominations qu’ait jamais connue l’humanité depuis qu’elle existe, alors là c’est tout simplement pas possible pour eux…..

  • Election présidentielle : le Bien commun oublié

     

    En date du 8 mai 2017, le CRAF (Centre Royaliste d'Action Française) a publié le communiqué suivant, avec lequel nous sommes ici en plein accord.  LFAR

     

    Logo_action_francaise.jpgLe système politique fondé sur l’élection du président au suffrage universel a montré, une fois de plus et de façon particulièrement criante, ses limites et sa perversité.

    Un président élu par moins de 44 % des électeurs inscrits, dont presque la moitié revendiquent un vote par défaut, ne peut pas être légitime – d’autant moins avec le programme qu’il s’apprête à mettre en œuvre, dans la continuité du quinquennat qui s’achève.

    L’Action française déplore et s’inquiète de la division que cette élection a creusée au sein du peuple français. D’un côté les mondialistes, désireux de conserver leurs privilèges et totalement indifférents à la crise de civilisation que le libéralisme a engendrée et dont il s’alimente ; d’un autre côté, les souverainistes, pour qui la France signifie autre chose qu’une province européenne ou un segment de marché géographique ; d’un autre côté encore, ceux, de plus en plus nombreux, qui par leur abstention ou leur vote blanc expriment le décalage entre la classe politique et le peuple, voire rejettent et dénoncent un système en faillite.

    Cette faillite, c’est son incapacité à assurer le Bien commun, qui fut la seule préoccupation de nos souverains pendant des siècles et dont la classe politique actuelle a oublié jusqu’au sens. Au sortir d’une campagne avilissante, c’est donc autour de cette notion de Bien commun que l’Action française veut remobiliser les Français, à l’occasion du colloque public organisé le 13 mai avec la participation du Prince Jean de France, et autour de la figure de Jeanne d’Arc, qui sut si bien sacrifier son intérêt personnel pour celui de la France, et discerner dans la personne du Roi le seul vecteur d’espoir et d’unité : l’Action française le réaffirmera lors de sa fête nationale, dimanche 14 mai, avec son traditionnel cortège.

    Colloque : Refonder le Bien commun
    Défilé d’hommage à Jeanne d’Arc

  • De la République comme modalité, par Louis-Joseph Delanglade

     EQUIPE LFAR Présentation.jpg

    Mardi 27, M. Dumas, accorde un entretien au Figaroà propos de son livre Politiquement incorrect. Quoi quil en dise, on ne saura jamais si lancien président du Conseil constitutionnel a effectivement « sauvé la République en 1995 » en validant les comptes de campagne présidentielle « manifestement irréguliers » de MM. Chirac et Balladur. Ce qui est en revanche plus que plausible, cest quil a alors agi, comme il tient à le souligner, par « esprit républicain ». Ce qui revient à dire que - malgré tous les beaux principes de façade - le système républicain reste à lui-même sa propre finalité : dès lors quon le croit en danger, sa défense transcende tout principe, toute « valeur ». M. Legrand rejoint, au fond, M. Dumas lorsquil évoque, même si cest pour la déplorer, l« aristocratisation des élites républicaines » (France Inter, jeudi 29). Derrière la formule de l’éditorialiste, et sans doute bien malgré lui, on peut comprendre que se cache le non-dit dune caste qui, se perpétuant par auto-reproduction et cooptation, tient le pays grâce à une forme de régime - la République - dont elle tire toute sa puissance. 

    Entretemps, mercredi 28, M. Houellebecq a répondu aux questions de Mme Elkrief (BFM TV). Rappelant curieusement M. Onfray et certains de ses propos tenus il y a quelques mois sur les ondes de RMC, M. Houellebecq - certes de façon moins méthodique, mais cest un romancier, non un philosophe -, tient, devant la journaliste apparemment effarée, un discours pour le coup politiquement incorrect puisquil constitue une véritable remise en cause du credo républicain, « système de valeurs qui arrive à son terme ». Petite citation à lusage de Mme Belkacem et de tous les écoliers de France : « 1789, nest pas le début de lHistoire de France [] La France ne se limite pas à la période de 1789 à nos jours. Cest un vieux pays. » Mais, ce qui mérite d’être particulièrement relevé, cest le distinguo, dune grande pertinence, que M. Houellebecq établit entre la France et la République : « La République est une modalité parmi dautres ».      

     

  • Sommes-nous condamnés au pire ? par Louis-Joseph Delanglade

     

    Quand une moitié des électeurs potentiels sabstient, on parle de lassitude. Quand un quart de ceux qui expriment une opinion sont victimes du mode de scrutin, on invoque la règle du jeu. Quand le parti au pouvoir connaît une débâcle électorale, on dit quil sagit d’élections locales. Quand le parti victorieux ne représente que le quart de la moitié des électeurs inscrits, on ne dit rien car cela pourrait conduire, en en soulignant la supercherie, à mettre en cause la légitimité même du « système ».

     

    Certes, si on considère ses principaux acteurs, celui-ci peut sembler à bout de souffle. Comme enivrés par leur propre pouvoir collectif sur le pays, au travers dune succession  ininterrompue d’élections vécues comme autant de combats de boxe dont les Français sont les spectateurs de plus en plus indifférents, la plupart des partis politiques français semblent devoir imploser. Que ce soit pour des raisons de fond ou simplement tactiques, lU.M.P. et le P.S., mais aussi E.E.L.V. et peut-être même le F.N., sont, à terme, sous la menace mortifère de clivages internes insurmontables. Certains analystes envisagent même la ré-émergence dun Centre fort regroupant un Centre gauche façon Valls et un Centre droit façon Juppé, dautres le retour dune gauche arcboutée sur son idéologie obsolète ou la constitution dune grande droite enfin « nationale ». Mais on peut surtout craindre que ne perdure un système nullement affaibli par une éventuelle redistribution des cartes politiciennes et qui, au contraire, risque de sen trouver conforté.

     

    En effet, le risque est grand que sautent les dernières digues érigées par la constitution de la Vème République pour limiter au mieux les effets dévastateurs du régime des partis. Déjà, M. Chirac a commis une grave faute politique en affaiblissant la fonction présidentielle par linstitutionnalisation du quinquennat. Même son ami, M. J.-L. Debré, président du Conseil constitutionnel, le reconnaît qui, interrogé sur les ondes de R.M.C. (jeudi 2 avril), se félicite que son propre mandat soit de neuf ans, parce que cela donne du temps et que le temps est important en politiqueEn fait, cest plutôt à dix ans quil aurait fallu passer

     

    Maintenant, certains réclament linstauration de la proportionnelle dans tous les scrutins, y compris les élections législatives. Mais, comme le rappelle régulièrement M. Guaino, celles-ci ont pour finalité

  • Paris : un homme abattu devant un commissariat du 18e ? Chronique du terrorisme ordinaire ...

    Le quartier où l'attaque s'est produite a été bouclé de longues heures par les forces de l'ordre - Crédit Reuters
     
    On connaît les circonstances. Un homme a été abattu hier jeudi devant un commissariat du 18e arrondissement de Paris. L'individu abattu aurait crié « Allah Akbar » en tentant d'agresser un policier à l'accueil. Il avait un gilet d'explosif factice. Une image d'un drapeau de l'Etat islamique a été retrouvé sur lui. Selon le parquet, l'agresseur présumé était « porteur d'une arme blanche de type feuille de boucher et d'un dispositif explosif fictif ». Le papier retrouvé sur l'assaillant évoque « des actes pour venger les morts en Syrie ». Un téléphone a été retrouvé près du corps de l'assaillant. Il contenait des messages en allemand et en arabe.

    C'est dans ce dernier détail que réside peut-être une explication à la réaction singulière de Donald Trump, mettant l'Allemagne en cause.  « Un homme abattu dans un commissariat parisien. J'avais annoncé que la menace terroriste était à son niveau le plus élevé. L'Allemagne est un bordel criminogène » a affirmé sur Twitter le candidat républicain à la présidence des Etats-Unis ...

    L'Allemagne est-elle la seule dans ce cas ? On peut en douter. Et la question est de savoir si les systèmes politiques et sociétaux dont se sont dotés les pays dits occidentaux tiendront longtemps le choc face à une longue période de guerre intérieure et extérieure de plus en plus intenses. L'on peut aussi en douter. Et comme nécessité fait loi, comme l'urgence appelle des solutions et des moyens adaptés à l'extension du domaine de la lutte, à la montée de sa radicalité, de sa violence, il n'est pas impossible que le système politico-médiatique actuel ne dispose plus que d'une espérance de vie limitée. S'il devait être balayé, il ne devrait guère y avoir que le monde clos de ceux qui en vivent pour le pleurer.  Lafautearousseau  

     

  • Quatre raisons de s’opposer au projet de « tracking » gouvernemental, par Jean-Frédéric Poisson.

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

    Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate, s’oppose vigoureusement au numérique (tracking) qui détruit les libertés individuelles et fondamentales. Il alerte les Français sur les conséquences d’un tel dispositif, véritable révélateur des failles de notre système institutionnel et de la vision macronienne de notre société.

    2.jpg1) À cause de son but ; non pas de son but explicite (endiguer la progression de l’épidémie) mais de ses buts implicites : surveiller nos déplacements, nos contacts, nos rencontres, et récupérer subrepticement nos données personnelles. Ces objectifs constituent autant d’atteintes à nos libertés et à notre vie privée.

    2) À cause de ses conséquences : le but ultime est la marchandisation des données concernant notre santé individuelle. Des centaines de milliards de dollars sont en jeu, si l’on ajoute les perspectives offertes par ce marché avec l’aide des moyens nouveaux offerts par l’intelligence artificielle. Deux moyens sont indispensables pour y parvenir : assurer notre dépendance aux moyens technologiques modernes et accéder légalement à ce que ces moyens contiennent. La loi sur le tracking offre le second moyen.

    3) À cause de la faillite des institutions, et de leur renoncement à protéger nos libertés. Les garanties présentées par le projet de loi gouvernemental n’en sont pas : Bluetooth ne permet pas de protéger efficacement les données contenues dans un téléphone, et l’anonymisation des données est incompatible avec l’intention de combattre efficacement l’épidémie. Les institutions françaises (CNIL, Conseil d’État, Conseil constitutionnel) auraient dû s’en rendre compte : elles ont capitulé et laissent se développer ces attaques contre nos libertés. Elles trahissent ainsi à la fois leur idéal et leur mission.

    4) Ce projet est un pas de plus vers le capitalisme de surveillance : ce système d’organisation sociale et politique qui fait de chacun et chacune de nous une marchandise à vendre « par morceaux » et qui se sert des capacités des nouvelles technologies pour asseoir sa domination. Le drame est que les principaux acteurs de ce projet de société sont aidés par la complicité des États, ou par leur faiblesse, ou les deux. Ce n’est pas seulement à la vigilance que cette évolution nous appelle, mais à une authentique résistance.

  • A la découverte de l'homme Maurras : Joseph Boze, peintre de Louis XVI, défendit héroïquement la Reine Marie-Antoinette

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui : Joseph Boze, peintre de Louis XVI, défendit héroïquement la Reine Marie-Antoinette devant le soi-disant "tribunal" révolutionnaire...

    "...Joseph Boze fut peintre de Louis XVI...."

     

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    Né à Martigues le 7 février 1745, mort à Paris le 25 janvier 1826, Joseph Boze fut un portraitiste de talent.


    Il représenta aussi bien Louis XVI, Mirabeau, La Fayette, Marat, Barnave...


    Cité à comparaître au pseudo-procès de Marie-Antoinette, il déclara aux Conventionnels hurlants et vociférants : "Ma tête serait sur le billot que je ne témoignerais pas contre Sa Majesté"...

    Cette sombre et calamiteuse période où la France fut livrée à la folie sanguinaire d'une bande de malades mentaux hystériques, est connue sous le nom de "Révolution française"; elle a encore ses thuriféraires aujourd'hui, et le Système qui nous gère déclare fièrement (!) dans le préambule de notre Constitution qu'il est établi sur la base "des principes de 1789" : Terreur, Génocide, Xénophobie !

    Dans ce temps horrible, Joseph Boze fut l'un de ces innombrables héros qui sauva l'honneur du nom français...

     

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    Portrait de Marie-Antoinette, par Joseph Boze

    lafautearousseau

  • Premier don, premiers remerciements...

    Un grand merci à S.C, de Vichy, qui vient de nous faire parvenir le premier chèque - généreux - que nous allons déposer sur notre nouveau compte bancaire. Un grand merci aussi à G.S. de Quarignon, en Wallonie, qui nous a écrit le lendemain même de notre premier appel aux dons pour nous demander notre IBAN, et nous enverra un don par Paypal - toujours pas installé : lenteurs administratives du Système obligent !... -

    Voici ce qui a été décidé lors de notre dernière réunion de Bureau : l'ancien Système de remerciement n'était pas satisfaisant (écrire juste le nom de la ville du donateur sous le visuel d'appel aux dons). Le Bureau m'a demandé, en ma qualité de Président, de répondre personnellement à chaque fois qu'un don nous parviendra :

    - soit par un courriel personnalisé, si une carte ou lettre accompagne le chèque envoyé par courrier à l'adresse de l'Association lafautearousseau, en indiquant une adresse de messagerie;

    - soit par une lettre manuscrite (comme c'est le cas pour S.C., ma lettre de remerciement est déjà postée) si aucune adresse internet n'est communiquée : je l'enverrai alors à l'adresse indiquée sur le chèque.

    Je dis bien "manuscrite", car tout don représente un geste de sympathie, peut-être de privation, voire de sacrifice : en aucun cas l'horrible photocopie sans âme, avec juste une signature en bas de page, ne saurait convenir; et, bien sûr, je n'utiliserai pas non plus de stylo-bille (bien commode pour d'autres tâches, il est vrai), mais... un stylo plume, s'il vous plaît ! Cela me semble la moindre des corrections...

    Le Bureau a aussi pensé que le montant du don ne devrait pas être indiqué, et que seules les initiales et le nom de la ville devraient apparaître, si nous décidions de publier la liste des donateurs...

    Il me reste juste à espérer que vous ne me contraindrez pas à passer tout mon temps à rédiger missive sur missive ! (Je plaisante, évidemment...)

    François Davin, fondateur et Blogmestre de lafautearousseau

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  • Ce 17 Août, notre 45ème Grand Texte : ”Le départ”, de Balzac...

    Le 16 août 1830, Balzac est à Cherbourg pour apercevoir et saluer le Roi, Charles X, qui quitte la France, pour toujours. Un peu plus d'un an après, il écrit un très court texte, Le départ, dans lequel il définit son royalisme.

    Dans un autre de ses textes peu connus, paru dans les Contes bruns, il écrit : "Le plus beau pouvoir connu… Tout arbitraire et tout justice; le vrai roi !…"

    Sa doctrine est loin d’être celle des grands théoriciens traditionalistes de l’époque comme Maistre, Bonald, Ballanche ou le premier Lamennais; loin aussi de ce que sera le royalisme que Maurras voudra logiquement démontrer, prouver...

    Balzac n’invoque pas comme les premiers les justifications morales, juridiques ou métaphysiques du principe de légitimité; ni, comme le second, le fameux "la raison le veut".

    Il met en quelque sorte tout cela au second plan, puisqu’il va jusqu’à identifier légitimisme et absolutisme. Mais, bien sûr, au sens vrai de ce mot, que reprend François Bluche dans son magistral Louis XIV, et qui forme d'ailleurs notre 36ème Grand Texte : 

    La "Monarchie absolue", c'est la monarchie parfaite, par François Bluche

    Le "système" de Balzac, son royalisme, la Royauté qu'il défend et le Roi qu'il respecte, c'est un système de défense de la société. 1830 rappelait brutalement 1789, et, qui sait, pouvait rapidement se transformer en 1793...

    (extrait) :

    "...Dans quelques mois, vous saurez que, même en méprisant les rois, nous devons mourir sur le seuil de leurs palais, en les protégeant, parce qu’un roi, c’est nous-mêmes; un roi, c’est la patrie incarnée; un roi héréditaire est le sceau de la propriété, le contrat vivant qui lie entre eux tous ceux qui possèdent contre ceux qui ne possèdent pas. Un roi est la clef de voûte sociale; un roi, vraiment roi, est la force, le principe, la pensée de l’Etat, et les rois sont des conditions essentielles à la vie de cette vieille Europe, qui ne peut maintenir sa suprématie sur le monde que par le luxe, les arts et la pensée. Tout cela ne vit, ne naît et ne prospère que sous un immense pouvoir.

    Un moment viendra que, secrètement ou publiquement, la moitié des Français regrettera le départ de ce vieillard, de cet enfant, et dira : "Si la révolution de 1830 était à faire, elle ne se ferait pas."...

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  • Pourquoi Macron semble parler dans le vide, par Patrice de Plunkett.

    Énième allocution mardi soir ; lassitude des auditeurs. Pour que soient crus ses froids appels à l’unité nationale, deux choses manquent à Macron  : le sens de l’unité et le sens de la nation.

    3.jpgLa nature diviseuse et méprisante du macronisme s’est trop affichée depuis 2017 : non seulement ce système est inapte à soigner une société malade, mais il a aggravé son mal.

    Le mal a gagné les esprits. Dans tous les pays occidentaux et particulièrement en France, les enquêtes des psychosociologues constatent une vague d’angoisses individuelles et collectives :  les gens se dressent les uns contre les autres sous tous les prétextes, les réseaux sociaux recréent moins de liens qu’ils ne résonnent de délires et d’insultes réciproques. Ce sont des symptômes. Les gens disent : “On n’en peut plus, on ne peut plus se projeter 1,  la vie devient impossible !”. C’est une épidémie de pathologie dépressive, qui vient doubler celle du Covid. (Paradoxalement beaucoup de dépressifs nient l’existence du Covid : la perte de contact avec les réalités est signe de psychose).

    Sous ce drame mental et moral, il y a la dissolution du tissu social opérée depuis plusieurs dizaines d’années par le système socio-économique. Corrodés par la nouvelle “règle du jeu” – mot de passe d’une idéologie prétendument “entrepreneuriale” étendue à toute la vie sociale –, les liens sociaux sont tombés en poussière ; les individus laissés à eux-mêmes (et sommés d’être des winners) se retrouvent nus et transis devant le fléau du Covid et ses effrayants effets sociaux dérivés : suppressions de postes, délocalisations etc ; car nombre d’entreprises “françaises” profitent de la situation pour ré-enclencher leur exode ultralibéral vers le rest of the world. M. Macron parlait récemment de relocaliser des productions ; l’aile marchante du patronat ne s'en soucie pas et fait ses bagages, pour l’Est-UE ou pour l’Asie. L'Elysée et Matignon ne réagissent pas.

    Dans vingt ans, l’incapacité ou la connivence de notre classe politique feront l’objet de jugements sévères. D’ici là, les populations vont souffrir... C'est le moment de relire – ou de lire –  Laudato Si’ et Fratelli tutti.

     

    1. "Se projeter" : terme pédant passé dans l'usage commun mais venu du marketing, qui l'a emprunté au langage des études de psycho. (Naguère on aurait dit simplement : "faire des projets" ).

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    Source : http://plunkett.hautetfort.com/

  • La volonté de ”faire taire Éric Zemmour” ? Le signe d'une gauche qui se comporte en citadelle assiégée...

    Eugénie Bastié a proposé une juste et sereine explication de ces propos inacceptables : "Bloquons le meeting de Zemmour !" Il faut "faire taire Éric Zemmour" et autres insanités proférées par les héritiers directs de la Terreur et du chaos explosif des révolutionnaires de 89/93... 

    Plus elle s'effondre partout, la gauche - plutôt que de "repenser ses idées et propos - se réfugie dans une sorte de "protectionnisme idéologique" (la formule d'Eugénie Bastié est heureuse...) en s'arrogeant le droit (?) exorbitant de définir qui a le droit de parler et qui ne l'a pas. Dernier symptôme d'une gauche moribonde...

    La gauche a écarté depuis des décennies un certain nombre de sujets comme l'immigration, la délinquance, la sécurité... et se réveille aujourd'hui, mais trop tard, se rendant compte qu'elle a "fondu" comme neige au soleil, qu'elle n'intéresse plus personne. Ne lui reste donc plus que la violence, qui lui est consubstantielle, qui est dans ses gènes, puisque le Système actuel (lire les trois lignes du Préambule de la Constitution) repose sur les "principes de 89", renouvelés et confirmés après la sinistre "Épuration" de 45, qui ne fut qu'une vulgaire "re-Terreur"...

    Violence, émeutes, saccages, pillages, Terreur : la République idéologique - qui est - hélas - notre Système d'aujourd'hui - est née de tout cela, dans tout cela. Ses descendants et héritiers ont perdu toute crédibilité et les rêves de "lendemains qui chantent" (ce qu'ils promettaient aux masses qui ont cru en elle) se sont évanouis. 

    Plutôt que d'avoir l'humilité, l'honnêteté intellectuelle, la sagesse et le bon sens de reconnaître qu'ils se sont trompés, ils se réfugient dans leurs origines, ils remontent à leur source : la Terreur...

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    ∗ Préambule de la Constitution :

    Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l'homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu'ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946, ainsi qu'aux droits et devoirs définis dans la Charte de l'environnement de 2004.

    En vertu de ces principes et de celui de la libre détermination des peuples, la République offre aux territoires d'outre-mer qui manifestent la volonté d'y adhérer des institutions nouvelles fondées sur l'idéal commun de liberté, d'égalité et de fraternité et conçues en vue de leur évolution démocratique.

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  • Surtout : le mot qui fâche...Oh !

    Surtout : le mot qui fâche...Oh !
     
     
    Vive la République et « surtout » Vive la France !
    Ce « Surtout » déplaît !
    Il invite à penser que la France serait supérieure à la République !
    Inacceptable bien sûr !
    Vive la République  et « Surtout » Vive la France, ce cache-misère de la République est inacceptable pour les sans-culottes, un « Surtout » survêtement assombrirait les Lumières de la République !
    « Surtout », Vive la France serait admettre que la France même sans République pourrait exister…
    Les Lumières brilleraient-elles autant que les rayons du Roi Soleil ?
    La République n’est pas indissociable de la France !
    Partout dans le Monde il y a des Républiques, mais :
    il n’y a qu’une seule France !
    La France a vécu 1000 ans sans République et s’en est pas si mal tirée, et ne l’oublions pas : c’est la France qui a fait la République, pas le contraire !
    Il y a bien des Français et des Républicains !
    Des Français d’hier et d’aujourd’hui, des Français de toujours sacrément culottés, et des républicains sans chemise et sans pantalon…
    Quand la République devient bananière, la France ressurgit de plus belle. N’importe qui peut devenir républicain, mais pour être  Français il faut vouloir aimer la France !
    La République n’est qu’une option de gouvernement : le Système !
    La France est un Royaume et mérite une Royauté !
    La Royauté n’est pas un système ni un mode  d’administration.
    La Royauté, c’est une Famille !
    Une Famille avec ses joies ses peines ; des saints et des pêcheurs ; du sang et des larmes ; des mariages, des divorces et tous les accidents de la vie…C’est l’inverse d’un contrat à  durée déterminée de cinq ans.
    Oui, la Royauté c’est La Famille que les Républicains rêvent de détruire.
    Alors oui, disons-le :
    Vive la Famille,
    Vive le Roi,
     
    ET SURTOUT :
     
    VIVE LA FRANCE !!!