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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Intouchables

    par Louis-Joseph Delanglade

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    La sécurité intérieure et extérieure de la France reste à bon droit un domaine régalien et le secret absolu la condition bien compréhensible de l’efficacité de certains de ses services.

    Cela n’empêche pas de prétendus « pouvoirs » de tenter de s’y immiscer. Ainsi en est-il des velléités récurrentes du Parlement pour exercer un droit de contrôle accru sur les services secrets (dernier épisode en date, celui de la délégation parlementaire au renseignement, fin novembre 2018). On peut pourtant se demander si un contrôle parlementaire de ce qui relève de la sécurité fondamentale du pays est vraiment opportun : appréciation sans doute fort peu démocratique, mais réaliste. Plus récemment, c’est le « pouvoir médiatique » qui s’est manifesté, une fois de plus, en suivant ses errements habituels. 

    Du coup, suite à leurs révélations sur des ventes d’armes et sur l’affaire Benalla, la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI) a convoqué plusieurs journalistes oeuvrant pour le compte d’un journal (Le Monde), d’une radio (Radio France), d’une émission de télévision (Quotidien) et d’un site d’investigation (Disclose). Indignation et postures de martyr dans les rédactions concernées, et même au-delà (une quarantaine de rédactions se sont solidarisées), toutes dénonçant un moyen de pression pour contrer « le secret des sources ». On doit d’abord s’interroger sur le  bien-fondé de cette notion. Existent aussi, par exemple, le secret de la confession, le secret médical ou le secret des délibération d’un jury d’assises. Mais que pèsent tous ces secrets en cas de nécessité supérieure et ultime ? 

    Sibeth-Ndiaye-emue-pour-ses-premiers-pas-au-gouvernement (1).jpgOn ne peut pas accepter que des documents estampillés « confidentiel défense » fuitent dans la presse (en l’occurrence des documents concernant les ventes d’armes à l’Arabie séoudite et aux  Emirats Arabes Unis) ou que soit divulguée l’identité d’un membre des unités des forces spéciales (en l’occurrence un sous-officier de l'armée de l’air, nommé dans l’affaire Bennala). Mme Ndiaye, porte-parole du gouvernement a donc eu raison de rappeler (Europe 1, jeudi 23) qu’il est normal et « qu’un État protège un certain nombre de données nécessaires à des activités de défense extérieure et militaires » et « que l’Etat français s’interroge sur le fait qu’il puisse y avoir des fuites en son sein ». Rappelons tout de même la réaction bien différente de Mme Loiseau sur le sujet : « ma conviction, c'est qu'il y a un devoir de vigilance extrême sur la protection de la liberté de la presse, des sources » (France Inter, 23 mai)… 

    Mme Ndiaye, ayant affirmé en préalable que « les journalistes sont des justiciables comme les autres », a fait frémir les diverses rédactions de France et de Navarre, dénonçant à l’unisson « ces convocations qui ressemblent à de nouvelles tentatives d’intimidation de journalistes qui n’ont fait que leur travail : porter à la connaissance des citoyens des informations d’intérêt public. » Diable ! Il serait donc d’intérêt public de discréditer le commerce des armes qui constitue une source de revenus importants pour notre pays et qui, s’il était suspendu, n’empêcherait nullement ceux qui en ont envie de continuer à s’entre-tuer. il serait donc d’intérêt public de porter à la connaissance de tous l’identité d’un de ces soldats qui, on l’a vu tout récemment au Mali, sont capables de mourir pour leur mission. 

    Nous préférons penser qu’il serait plutôt d’intérêt public de faire en sorte que les journaleux ne se croient plus intouchables. 

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  • Les ONG en Méditerranée : des idéologues contre leur patrie

     

    Par Marc Rousset

     

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    En date du 15 mars 2018 à 73 miles nautiques de la Libye, une bataille navale a eu lieu en Méditerranée entre l ’« Open Arms » de l’ONG catalane Proactiva et un bâtiment patrouilleur des garde-côtes libyens.

    Le code de bonne conduite imposé par l’Italie aux organisations internationales d’aide aux clandestins interdit aux ONG d’entrer en contact avec les réseaux des passeurs, ainsi qu’ils avaient pris la détestable habitude de le faire, en convenant d’un lieu de rendez-vous avant même que les clandestins ne soient officiellement naufragés. C’est ainsi que le « Luventa », navire allemand de l’ONG « Jugend Rettet » a été saisi à Lampedusa.

    Formée et équipée par l’Union européenne depuis juin 2016 dans le cadre de l’opération Sophia contre « le trafic de migrants » en Méditerranée, la marine libyenne est de plus en plus efficace. Le 15 mars, les Libyens sont informés par un centre maritime basé à Rome, de la présence d’une embarcation surchargée en difficulté à 73 miles de leurs côtes.

    Une véritable course navale s’engage alors avec le patrouilleur qui croise l ’ Open Arms beaucoup plus lent à 10 miles du lieu de naufrage. Furieux, les « humanitaires » mettent à l’eau deux puissants zodiacs qui reprennent l’avantage sur les Libyens et arrivent les premiers sur les lieux. Pendant deux heures, au beau milieu de la mer, les zodiacs humanitaires attendent l’Open Arms, empêchent les manœuvres du patrouilleur ainsi que les naufragés de monter dans le bateau libyen. Finalement le patrouilleur s’écarte et, après une escale à Malte, l’Open Arms est placé sous séquestre par la justice italienne.

    L’ONG catalane avait, en fait, lancé un concours avec les gardes – côtes libyens pour que les clandestins africains ne retournent pas en Afrique. La hantise des ONG, c’est qu’un jour les Européens découvrent les vertus de la fermeté australienne ; aujourd’hui il n’y a pas plus de victimes car aucun immigré clandestin indonésien ne tente la traversée sachant qu’il sera renvoyé dans son pays ou acheminé vers un lieu de rétention sur une île quelconque par la marine de guerre australienne.

    Selon un sondage réalisé par la Fondation Szazadveg sur l’immigration clandestine, 78% des Européens sont favorables à un contrôle plus serré des frontières externes de l’Union Européenne. Ils font confiance aux États et non pas à l’UE pour sécuriser les frontières. 68% ont une peur « forte » ou « modérée » de l’arrivée massive des migrants africains au cours de la décennie à venir. Ils y voient une augmentation à venir de la criminalité et du terrorisme.

    La majorité des sondés ne croit pas aux discours sur les besoins humanitaires des « réfugiés et autres demandeurs d’asile qui ont pour seule motivation : l’économie, les « allocations braguette » et les aides sociales. 73% pensent que l’immigration constitue une charge économique majeure. Bref, un grand malheur et non pas une chance pour l’Europe et la France !

    Quand les États européens vont-ils enfin se décider à faire respecter leurs frontières, comme le faisaient leurs pères, en envoyant leur marine de guerre pour empêcher les traversées au large des côtes grecques et turques, plutôt que de payer une rançon de 3 milliards d’euros par an au Sultan Erdogan de la Sublime Porte ?

    L’arrivée des migrants en provenance d’Afrique n’a rien d’inéluctable. Les Européens ont cette chance d’avoir une barrière naturelle méditerranéenne que n’ont pas les États-Unis avec les clandestins hispaniques.

    Les ONG en Méditerranée ne sont en fait que des idéologues droit de l’hommistes, utopiques, inconscientes, irréalistes, décadentes,  des passeurs de migrants, des ennemis de l’identité et de la civilisation européenne.  • 

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    Marc Rousset

    Économiste

    Ancien haut dirigeant d'entreprise

  • Arménie : la politique à courte vue de Poutine, par Mooshegh Abrahamian.

    Ce qui semblait une évidence à beaucoup, à moi le premier, ne s’est pas produit. n’est pas venu au secours des Arméniens. Pire : une attaque massive avec la présence en force des Turcs et des djihadistes n’aurait pu avoir lieu sans son aval, Aliyev et Erdoğan ne s’y seraient pas risqués. L’hélicoptère russe abattu en territoire arménien aurait dû provoquer une réaction massive.

    7.pngAu lieu de cela, les Russes imposent un cessez-le-feu qui entérine les gains azéris et va au-devant du rêve pantouranien : un corridor qui permet le passage terrestre à travers le territoire arménien depuis Constantinople jusqu’à Bakou… demain jusqu’à l’Asie centrale, voire Urumqi.

    Une seule explication possible. Punir Pachinian, le Premier ministre d’. Telle a été la motivation principale de Poutine. Pachinian s’était engagé dans une véritable dynamisation de l’Arménie, misant sur les forces et le réseau inexploités de la diaspora pour faire de son pays un pôle d’excellence dans les technologies de pointe. Sauf que l’opération « mains propres » que Pachinian a engagée depuis la révolution de velours de 2018 touchait les anciens protégés de Poutine. Celui-ci a fait payer aux Arméniens de n’avoir pas voulu comprendre que la sécurité (assurée par la Russie) et la liberté (hors la tutelle de Poutine) étaient incompatibles.

    Voir l’Arménie s’émanciper de la tutelle russe lui était insupportable. Le temps des chars soviétiques étant révolu, un coup d’État était impossible car il aurait été rejeté par le peuple qui avait chassé les oligarques. Alors, on a eu la pire des solutions : l’attaque massive préparée par l’état-major turc.

    Aucun soutien n’était à espérer, même si la mobilisation de la diaspora a été à la hauteur de la menace. Je crois que je préfère encore le silence complice d’une grande partie de l’Occident aux paroles de soutien d’ qui a préféré chatouiller, avec ses Mirage 2000 (au nom de l’OTAN, sans doute), les moustaches de l’ours russe en mer Noire plutôt que de les envoyer, pas très loin de là, au secours des Arméniens. Au lieu de cela, ils ont eu droit à une aide médicale « équitablement » partagée avec les Azéris. Ignoble.

    Tenir 45 jours dans un tel déséquilibre des forces fut un exploit. Il faut le dire, dans ces conditions, personne n’aurait fait mieux que le valeureux soldat arménien.

    Reconstruire ne sera pas facile. L’Artsakh est réduit à la portion congrue et la frontière est une vraie usine à gaz, annonciatrice d’un nouvel embrasement. Car Aliyev veut chasser ces chiens d’Arméniens définitivement, et Erdoğan ne veut plus de cet obstacle mécréant entre les terres d’islam d’est et d’ouest. L’Arménie devra faire bloc autour de son gouvernement. On ne comprend pas bien les intentions des protestataires et de leurs commanditaires, sinon de vouloir tenter de renverser Pachinian. Lui reproche-t-on l’acceptation du cessez-le-feu qui pourtant, dans les circonstances, a permis de sauver des vies et des territoires ?

    Poutine tente ainsi de confirmer sa victoire en faisant tomber Pachinian pour remettre en selle ses obligés. A moins qu’il ne finance massivement le développement du pays, un affaiblissement durable de l’Arménie sera-t-il évitable ?

    Dans ces conditions, la disparition à terme du seul avant-poste chrétien au Caucase signifierait une perte d’influence significative de la Russie sur son flanc sud au profit d’Erdoğan, qui pourra dès lors étendre son influence sur les peuples musulmans du Nord-Caucase et, pourquoi pas, sur les Tatars de Crimée puisqu’il a déclaré au président ukrainien qu’il considérait la Crimée comme un territoire ukrainien !

     

    Mooshegh Abrahamian

    Chef d'entreprise, a participé au sein de SFA ( Solidarité Franco-Arménienne) au combat pour la reconnaissance du génocide arménien par le Parlement Européen, traducteur du chef d’œuvre de Raffi (1835-1888), Le Fou, organisateur de festivals culturels arméniens
  • La faiblesse de l’État, meilleure alliée du lobby pro-migrants, par Marie d'Armagnac.

    Le 23 novembre dernier, l’évacuation des 500 Afghans de la place de la République, à Paris, avait fait couler beaucoup d’encre. Au terme d’une tragi-comédie médiatique, et après le désaveu de la par le président de la République et le ministre de l’Intérieur, ces immigrés clandestins soutenus et instrumentalisés par de nombreuses associations comme Utopia56 ou Médecins du monde, mais aussi par des élus d’extrême gauche, ont obtenu ce qu’ils voulaient :

    10.jpgun logement, promis par , ministre de la Citoyenneté, et Emmanuelle Wargon, ministre du Logement. La farce tragique, bien rodée, s’est déroulée sans accroc : les associations de soutien aux migrants ont obtenu gain de cause et les pouvoirs publics ont cédé face à un groupe de pression minoritaire mais très actif, qui compte de puissants appuis dans les médias.

    Qu’est-ce que cela nous dit du mode de fonctionnement de l’État, et de ce gouvernement en particulier ?

    Cette séquence est révélatrice de la faiblesse et de la fébrilité de l’État face à toute force contestatrice, dès lors qu’elle est violente. Elle est également emblématique du prisme idéologique imposé par des lobbys pro-migrants, relayé par les médias, qui fausse complètement la réalité de l’immigration en France. En clair, ils ont peu à peu imposé une grille de lecture des faits qui n’a que peu à voir avec la réalité… et même dicté l’agenda politique du gouvernement en matière d’immigration.

    Prenons, par exemple, le cas des mineurs isolés, évalués à 40.000 en France, pour un coût de prise en charge de deux milliards d’euros. En janvier 2019, le gouvernement prend la décision de créer un fichier biométrique d’appui à l’évaluation de la minorité des étrangers, dont la gestion serait alors assurée par les préfectures, donc le ministère de l’Intérieur, en amont de l’entretien de demande d’aide sociale à l’enfance (ASE) auprès de l’administration départementale. L’objectif est de rationaliser, un peu, cet accès à l’ASE gérée par les départements : ce sont, en effet, les structures locales qui, jusqu’alors, évaluaient la minorité des étrangers demandant l’ASE, minorité évaluée le plus souvent par un simple entretien. Clairement, il s’agissait de combattre la fraude, mais aussi la gestion politique de ce volet de la politique migratoire. En effet, selon un rapport public de 2018 cité par Le Monde, le taux de reconnaissance de la minorité varie de 9 à 100 % d’un territoire à l’autre… Ce fichier visait donc à empêcher un clandestin de se présenter dans plusieurs départements jusqu’à ce que l’évaluation lui soit favorable, car s’il n’est pas déclaré mineur, il peut alors faire l’objet d’une mesure d’éloignement du territoire.

    Branle-bas de combat des associations : une vingtaine d’entre elles, dont l’UNICEF, Médecins sans frontières, le Secours catholique, la CIMADE, le Syndicat de la magistrature, auxquelles se joint le Défenseur des droits Jacques Toubon, saisissent le Conseil d’État pour faire annuler ce décret de création du fichier biométrique, tandis qu’elles portent également ce texte devant le Conseil constitutionnel. Ce dernier validera finalement la création de ce fichier biométrique.

    Que croyez-vous qu’il arriva ? Quinze départements, dont la Seine-Saint-Denis, ont déclaré alors qu’ils ne mettraient pas en œuvre ce nouveau système.

    Un des très nombreux exemples du lobbying pro-migrant exercé par les associations, qui parvient, dans les faits, à détourner ou annihiler les timides tentatives de l’exécutif de réprimer l’immigration clandestine. Mais aussi l’exemple d’un État pléthorique et mal organisé qui gouverne selon les humeurs d’une petite partie de l’opinion publique, cède devant les groupes de pression et renonce ainsi, chaque jour un peu plus, à l’exercice de son pouvoir régalien.

    Il y a quelques jours, un « mineur isolé » a été arrêté à Nîmes, après plusieurs agressions et cambriolages sur des personnes âgées. Affirmant aux policiers être âgé de 15 ans, sous la foi de faux papiers d’identité, il avait été relâché. Ce n’est que l’obstination d’un juge pour enfants du tribunal de Nîmes qui a permis de découvrir que le délinquant, multirécidiviste, était âgé de 22 ans. Comment ? Grâce à un examen osseux qui n’avait jamais été réalisé auparavant.

     

    Marie d'Armagnac

    Journaliste
    Journaliste et auteur
  • Les grands groupes l’ont compris : un brevet de vertu sociétal tient lieu de blanc-seing social !, par Gabrielle Cluzel.

    « Free Now veut se (re)faire un nom », c’est le magazine Stratégies qui l’écrit. Il faut dire que le client peine à suivre, en deux ans l’entreprise de VTC en est à son troisième nom : après Chauffeur privé, et Kapten, voici FreeNow, depuis l’absorption par BMW-Daimler, pour gagner en visibilité internationale : 250.000 chauffeurs affiliés – comprenez des chauffeurs « partenaires » et « à temps partiel » –  circulant dans une centaine de villes, et 26 millions d’utilisateurs.

    gabrielle cluzel.jpegIl y en a 30.000 en France. 

    Pour (re)dorer le blason d’une marque et la doter d’une excellente réputation, rien de tel que le registre de la transgression conformiste. Celle qui coche toutes les cases.

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    En région parisienne pas moyen d’échapper ces derniers jours aux affiches banalement provocantes – mais pas besoin de se fatiguer, comme pour l’ contemporain, on compte sur l’indignation des idiots utiles, dont je suis aujourd’hui, pour faire le buzz – par l’agence de pub RosaPark pour Free Now. On a sorti lourdement la grosse caisse  « engagée », éculée  jusqu’à la nausée : des copines quadras  rangées rigolent et font les fofolles : « Libre de sortir fêter son , libre d’y gagner des points de fidélité ». Un homme barbu est assis en robe, jambes écartées à l’avant d’une voiture : « Libre de casser les codes, libre de ne jamais le passer ». une femme mûre aux cheveux blancs épars en pétard, comme si elle sortait de son lit ou au contraire ne s’y était pas pas posée de la nuit :  « Libre de rentrer quand on veut, libre de rentrer avec qui on veut ».

    Les revendications datées qui enfoncent des portes déjà ouvertes depuis des lustres (qui, en Occident, n’a pas le droit de divorcer, de s’habiller comme il l’entend ou de décider de sa soirée ?), font un peu boomers encanaillés, mais après tout, c’est bien ciblé, ce sont eux les clients privilégiés. Avec bien sûr, glaçage obligé sur la pièce montée, quelques clins d’œil à la . Comment s’acheter un brevet de vertu à peu de frais. Sauf que la diversité, de l’avis de quelques intéressés que j’ai rencontrés, les entreprises de VTC la soignent plus sur le papier glacé que dans la vraie vie.

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    Comme le tweete Lizenn Valo, de la revue Limite, « La , c’est porter une robe quand on est un homme ou fêter son divorce quand on est une femme, mais c’est avant tout avoir assez de fric pour se payer des VTC sans se poser la question des conditions de travail des chauffeurs ».

    Selon une étude Kanter de 2018, les chauffeurs eux-mêmes ne touchent que 36 % du prix d’une course, une fois tout déduit.

    Il y a un an, en mars 2020, ils s’étaient mis en , « [réclamant] un prix minimum pour une course mais aussi une meilleure relation avec les différentes plateformes ou une meilleure redistribution du prix payé par le client ». Ils dénonçaient aussi la présence de « faux chauffeurs  qui utilisent des cartes de VTC usurpées » (Le Parisien).

    Le métier est spécialement prisé par les immigrés fraîchement débarqués, parlant mal la langue et n’ayant d’autre compétence à faire valoir sur le marché du travail que leur aptitude à conduire. L’oligarchie du VTC sait en user.

    Ces chauffeurs, qui se sont parfois lourdement endettés pour acheter leur outil de travail, c’est-à-dire une voiture présentable (qui monterait dans une guimbarde ?) s’inquiètent depuis des mois du « verdissement » du parc imposé à marche forcée par Kapten, à l’instar d’Uber, écologie oblige : « À terme, les véhicules qui ne sont pas classés critair 1 n’auront plus accès à la plate-forme », lisait-on en septembre dernier dans Les Échos.

    « Pour basculer vers un véhicule moins polluant, Kapten a mis en relation les chauffeurs volontaires avec des agences de location spécialisées (…), mais aussi en offrant une prime de bienvenue de 250€ », expliquait, bon Prince, le directeur général au Parisien l’an dernier. Pas sûr que cela suffise, n’est-ce pas. 

    Mais comment la gauche sociale pourrait-elle s’en émouvoir puisque ces entreprises ont fait docilement, via leurs publicités, cette génuflexion devant la gauche sociétale qui couvre tout de son blanc manteau vertueux ?

     

    Gabrielle Cluzel

    Ecrivain, journaliste
  • Note en réponse à Joseph Fronczak et à son article intitulé : « The fascist game : Transnational political transmission

    L’article en réponse duquel la Rédaction de « LFAR » oppose la présente critique a été publié dans « The Journal of American History », décembre 2018, pp. 563-588, aux presses universitaires d’Oxford.

    J’ai lu avec beaucoup d’intérêt l’article intitulé « The fascist game », par Joseph Fronczak, qui me fut envoyé récemment par un de mes « maîtres » d’une prestigieuse université californienne, qui me fait l’honneur de son amitié, et qui ne doutait pas un seul instant de ma « vive réaction » quant au contenu de cet article...

    Avant toute chose, il est regrettable que l’auteur mélange les Croix de Feu, le nazisme, le KKK, le nationalisme chinois, l’antisémitisme en y accolant l’étiquette de « fascisme ». La position est vraiment dommageable d’abord parce que le lecteur, le chercheur, y perd énormément, au point que l’on ne sait plus qui est qui, qui pense quoi etc... sans même se soucier de la pertinence de la transposition de la doctrine fasciste aux U.S.A. (ce qui déjà pose un énorme problème, nous y viendrons).


    Avant toute chose, sur le fascisme en lui-même, j’ai presque envie de demander à l’auteur : « Lequel ? ». Parce que le fascisme n’est pas un « bloc de granit » contrairement à l’architecture réaliste (mais également au futurisme qu’il a partiellement inspiré) qu’il a mis en place !


    Concrètement, on peut distinguer 3 âges pour 3 « évolutions » de la doctrine fasciste : Celle de la Marche sur Rome, celui de la dyarchie et l’expérience de la « République du Nord » qui est une expérience socialiste nationaliste (et non national-socialiste, attention, chaque mot a un sens).


    Concrètement, si l’on peut considérer le fascisme comme un nationalisme (références faites à l’italianité teintée d’exaltation ethnique, raciale, il est bien souvent question de cette race italienne héritière de l’Empire Romain qui se considère comme Aryenne) il ne peut pas se transposer aux USA pour la simple et bonne raison que le « peuple américain » ou la « nation américaine » est lui-même le fruit d’un composite que l’on a appelé le melting pot qui a laissé la place au salad bowl.


    De ce fait, il est très difficile voire impossible de transposer cette exaltation ethnique aux USA, ce premier point d’impossible transcription et adaptation est à noter.


    Ensuite, sur le système politique américain découlant directement de sa Constitution sacrosainte et de la ratio legis des pères fondateurs : L’extrême-droite américaine exalte sa Constitution, ses pères fondateurs etc...Le fascisme impose un Etat tout puissant qui, selon certaines analyses, a quelque chose de « jacobin ». Or, la conception américaine de l’Etat est par essence libérale. Par ailleurs, l’extrême-droite américaine dans ses choix économiques comme dans sa ligne politique est intégralement et définitivement capitaliste. Le fascisme rejette le capitalisme en ce qu’il incarne selon le terme d’Ezra Pound « USURA », cette création démoniaque aux appétits infinis qui corrompt tout. Comme je l’ai dit, le fascisme est sur un plan économique un socialisme (c’est d’ailleurs le début du militantisme de Mussolini).

    Aussi, il est à mon sens abusif de considérer comme le fait l’article que le fascisme est né d’une indoctrination populiste propagée par des « casseurs d’extrême-droite ». Que le fascisme dans ses premiers temps fut un populisme, c’est indéniable. Qu’il y eut une indoctrination populaire (non populiste), c’est indéniable aussi, le fascisme est né d’un mouvement de masse et de la réception par le camp nationaliste de la doctrine socialiste.

    Autre point très important à souligner : Le fascisme n’est pas raciste, racialiste et n’avait pas dans sa doctrine originelle l’antisémitisme (c’est toute la différence avec le national-socialisme allemand devenu l’hitlérisme). Hitler exigea de Mussolini la déportation des juifs dans le cadre de leur accord (après que la France ait bêtement laissé filer l’occasion d’obtenir une neutralité de Mussolini en lui suggérant de mettre sur la même ligne que Franco, ce qui aurait eu pour effet direct d’affaiblir l’Allemagne nazie qui était un ennemi mortel pour la France).

  • Médine porte plainte contre Aurore Bergé : qu’on se le dise, il n’est pas un « rappeur islamiste »…, par Gabrielle Cluze

    « C’est la fois de trop », explique , dans un entretien exclusif accordé à Mediapart, il va porter plainte contre . La moutarde lui monte au nez, il est vexé, car sur LCI, celle-ci l’a qualifié de « rappeur islamiste ». On en déduit donc au passage qu’islamiste est, pour lui, un terme péjoratif. 

    gabrielle cluzel.jpegIl faudra qu’il accorde ses violons – même si ce n’est pas son instrument privilégié – avec ceux de Leïla Slimani qui trouve qu’on fait bien tout un plat de ce mot-là. Par ailleurs, Aurore Bergé s’est scandalisée que l’ENS (École normale supérieure) ait invité à donner une conférence celui qui « disait qu’il fallait tuer les laïcards ».

    Déjà, proteste Médine, « elle se trompe de citation : la citation précise [extraite du morceau « Don’t laïc », NDLR] est “crucifions les laïcards comme à Golgotha” ». Il a raison de le souligner. L’exactitude, c’est important : l’idée n’est pas seulement de mettre à mort les laïcards mais de leur faire subir un lent supplice, celui qu’a vécu le Christ pendant sa Passion.

     

    Ensuite, « c’est une phrase à ne pas sortir de son contexte ». Parce qu’il existe un contexte, bien sûr, qui rend ces propos acceptables. C’est en tout cas ce qu’avance Médine, et qu’accepte sans moufter le journaliste de Mediapart, qu’on ne peut soupçonner de bienveillance islamo-gauchiste puisqu’on vous a expliqué cent fois, bande de fronts bas, que l’islamo-gauchisme n’existe pas.

    L’explication est pourtant tellement simple : « La méconnaissance d’Aurore Bergé en matière de rap et de style est flagrante », le manque de culture générale, on ne le dit pas assez, est un fléau national ! Et elle ne comprend pas le « second degré ». Du reste, il s’était déjà expliqué sur le plateau d’« Arrêt sur images » : « Crucifier un laïcard » est « un oxymore : cela correspond à un type d’écriture qui exacerbe les choses. La finalité étant d’exorciser la laïcité et lui redonner ses lettres de noblesse. Quand on veut exorciser quelque chose, c’est pour le déposséder de ses démons. » Bref, si Médine veut clouer sur une croix les laïcards, c’est pour leur bien. On doute fort que le cinglé qui recommandera de crucifier les musulmans comme au Golgotha au prétexte d’exorciser l’islam et lui rendre ses lettres de noblesse, quel que soit le contexte et même en arguant d’une figure de style sophistiquée, soit convié à s’exprimer à l’ENS ni, du reste, où que ce soit sinon dans un tribunal, une prison ou un asile psychiatrique.

    Et Médine d’évoquer, pour se justifier, la chanson de Brassens qui fait « sodomiser un juge » dans « Gare au gorille » ou celle de Sardou, « Les Villes de solitude », qui évoque l’envie « d’éclater une banque » et de « crucifier le caissier ». Parce qu’évidemment, au temps de Brassens et Sardou, les juges et les caissiers faisaient l’objet de graves menaces terroristes, la haine du juge et du caissier avait gangrené le monde entier, des juges et des caissiers se faisaient régulièrement égorger.

    Évidemment, même pour L’Obs (juin 2018), l’affiche de son album Jihad reste « ambiguë », ce grand sabre, là, fait désordre. De même que ces mots, proférés par l’un de ses comparses, dans un album collectif : « Ces porcs blancs vont loin/Passe moi une arme de poing/J’vais faire un pédophile de moins. »

    Comme le souligne encore L’Obs pudiquement, voilà « un goût pour la provocation qui trouble son discours ». Car à L’Obs, aussi, on connaît ses figures de style : quand la litote donne la main à l’euphémisme.

    Reste dans tout cela un dilemme : comment reconnaître un artiste d’un islamiste ? C’est très simple. Ils tiennent les mêmes propos, mais le premier le fait en chantant. Et c’est tellement plus mignon, de se faire prendre pour un c… de cette façon. Avec Médine, c’est décidément le grand retour de Sardou.

     

    Gabrielle Cluzel

    Ecrivain, journaliste
  • Orban contre la déferlante progressiste, par Athanase de Magneval.

    © DR

    Hier les militants LGBT protestaient dans toute l'Allemagne contre le Premier ministre hongrois Viktor Orban, et l'un deux s'introduisait dans le stade munichois au début du match Allemagne-Hongrie. Face à la déferlante progressiste, Orban ne semble pas faiblir.

    Un militant LGBT s’est introduit sur la pelouse du stade de Munich au début du match entre la Hongrie et l’Allemagne, pour brandir le drapeau arc-en-ciel face à l’équipe hongroise. La ville de Munich avait prévu de colorer son stade aux couleurs du même drapeau en signe de protestation contre la politique conservatrice et prétendument homophobe de Viktor Orban. Il avait en conséquence refusé de se déplacer pour l’occasion malgré sa passion pour le football. L’UEFA, organisateur du tournoi, a finalement décidé d’annuler l’initiative, invoquant la neutralité politique et religieuse de la compétition. Décision qui a suscité une vague de critiques, et qui a entraîné cet acte militant. Aussi, le drapeau arc-en-ciel décorait hier l’Allemagne en plusieurs endroits – le musée juif de Munich, les stades de plusieurs villes, le compte Twitter de la police de la ville, des locomotives de la société de chemins de fer locale, et certaines entreprises comme Volkswagen et BMW, qui ont sauté sur l’occasion pour faire du pinkwashing.

    En France, Clément Beaune, secrétaire d’État aux affaires européennes, a qualifié ce refus de « décision politique ». Mieux encore, la jadis conservatrice Valérie Pécresse, invitée sur France Info ce matin, a déclaré : « Aujourd’hui, ce que fait monsieur Orban vis-à-vis des Hongrois homosexuels est inacceptable ». De son côté, le ministre des Affaires étrangères hongrois s’est dit rassuré : « Dieu merci, les dirigeants du football européen ont fait preuve de bon sens ».

    Mais quelle est la politique du Premier ministre qui est à ce point décriée ? La Hongrie a adopté le 15 juin dernier, à 157 voix contre une, un texte de loi qui « interdit la promotion de l’homosexualité auprès des mineurs ». « La pornographie et les contenus qui représentent la sexualité ou promeuvent la déviation de l’identité de genre, le changement de sexe et l’homosexualité ne doivent pas être accessibles aux moins de 18 ans ». L’objectif est de « protéger les droits des enfants ». Si l’on n’est pas encore certain du périmètre d’application du texte, sont dans le viseur les programmes télévisés, publicités et livres pour enfants remaniés pour « dédramatiser l’homosexualité ». Question d’éducation donc, et de perpétuation d’une norme sociale.

    Face aux nombreuses contestations, en particulier de ses homologues européens dont Emmanuel Macron, Orban a rappelé que cette loi ne concernait pas les homosexuels mais « la façon dont les parents veulent faire l’éducation sexuelle de leurs enfants », et qu’il « défend les droits des homosexuels ». Le texte en lui-même est relativement ambigu, certainement pour essayer de passer à travers le filet de la Commission européenne. Cette dernière a tout de même engagé la procédure prévue par l’article 7 du traité de l’UE pour violation présumée de l’État de droit. Sa présidente, Ursula Von Der Leyen, avait réagi : « Ce projet de loi hongrois est une honte. Il discrimine sur la base de l’orientation sexuelle et s’oppose aux valeurs fondamentales de l’UE. On ne fera pas de compromis ».

    En 2020, la Cour de justice européenne avait déjà condamné la Hongrie à trois reprises pour sa politique migratoire restrictive. Il ne fait pas bon défendre son peuple

    Des milliers de manifestants étaient descendus dans les rues pour dénoncer la « cruelle campagne politique » du pouvoir. Le texte s’inscrivait dans une série de lois visant à lutter contre la pédophilie, un « amalgame » dénoncé par les militants. En décembre, le gouvernement avait interdit l’adoption par des couples homosexuels et inscrit la notion traditionnelle de la famille et du « genre » dans la Constitution. Le texte ajoutait : « L’éducation est assurée conformément aux valeurs fondées sur l’identité constitutionnelle et la culture chrétienne de la Hongrie ». « C’est un jour sombre pour les LGBT et un jour sombre pour les droits humains » larmoyait Amnesty International.

    Orban a retiré dans la foulée les accréditations des études de genre. Une ambition conservatrice, ou « illibérale », que le Premier ministre hongrois affiche depuis le début de son mandat – en 2018, il entamait une politique familiale ambitieuse, subventionnant les familles d’au moins trois enfants, lui-même montrant l’exemple avec ses cinq enfants. Des choix qui provoquent un bras de fer avec Bruxelles depuis longtemps, sa Charte des droits fondamentaux interdisant « toute discrimination fondée sur l’orientation sexuelle ». En 2020, la Cour de justice européenne avait déjà condamné la Hongrie à trois reprises pour sa politique migratoire restrictive. Il ne fait pas bon défendre son peuple quand on est dans l’UE. Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a déclaré jeudi « La Hongrie n’a plus rien à faire dans l’UE ». Nous n’aurions pas dit mieux.

    Source : https://lincorrect.org/

  • Le Futur d’après Davos, par Hilaire de Crémiers.

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    C’est du Villiers, pur sang ; les gens qui n’ont pas d’âme diront pur jus. Mais non, ce n’est pas du jus qui circule dans ce dernier essai de l’ami Philippe ! C’est du sang et qui bouillonne à chaque page, du sang français et de vieille souche, toujours vif et fier, comme dans les essais précédents. Sauf que là, il s’agit de vie et de mort.

    hilaire de crémiers.jpgEt le sang, c’est la vie, c’est l’âme, c’est le don divin, comme il est dit dans la Bible et comme le rapportent nos traditions.

    Philippe de Villiers n’est pas un complotiste, comme il s’amuse à nous le préciser au début de son ouvrage ; et, pourtant, il dénonce ce qui a bien l’apparence d’un complot dont il démonte les rouages, montre l’origine et dénonce les desseins, preuves et documents à l’appui. Le forum de Davos en est le centre intellectuel et la cuve d’incubation, alimentant toutes ses ramifications internationales dont Macron fait partie, ayant été initié déjà jeune, et dont maintenant toute la macronie est le relais intéressé. Question de pouvoir ! De pouvoir mondial dont les pouvoirs locaux ne sont plus que les agences, non au service des États, des nations et des peuples, mais à la disposition de la vision nouvelle du monde que la technique et l’idéologie du progrès qui s’attribuent à elles-mêmes leur propre finalité, prétendent façonner en créant, s’il le faut, un nouveau type d‘humanité. Lisez Klauss Schwab, le fondateur et le patron de Davos dans ses essais, dans ses préconisations, dans ses anticipations. Villiers le cite et le recite : c’est clair ! Le monde de la finance,de l’économie, de la technologie, dite avancée, de la politique est amené de plus en plus à vivre en symbiose avec de telles conception par le biais d’affidés parfaitement conscients qui font les affaires de tous les Bigs, big data, big pharma, big « gafa ». De réunions en réunions, les projets s’élaborent, y compris la gestion et la récupération d’une pandémie provoquant une crise mondiale anticipée de quelques mois : c’est daté, acté, dûment enregistré. Pas de désinformation ! Villiers donne toutes les précisions. C’est énorme ! Car Le jour d’après pour reprendre le titre du livre ne doit plus ressembler aux jours d’avant. Voilà ce qui est prévu . Le plan est d’opérer, à cette occasion, un saut qualificatif brusque qui rappelle la philosophie hégélienne ; Il s’agit d’en profiter pour arracher aux hommes, aux nations, leurs âmes afin de pouvoir mieux les manipuler et les transformer en machines, en robots dédiés à ce nouveau genre de « maître de la terre ».

    Il est bon de savoir que Macron en personne fut le chouchou de Schwab. Il faut rappeler aussi comment il fut adoubé par l’assistance de Davos en 2018 après son fameux discours–programme d’un mondialisme affiché Villiers ne lui pardonne pas cette allégeance qui explique toute sa politique. Il lui a dit en face ses quatre vérités lors d’un dîner à l’Élysée, raconté comme si on y était. Témoignage historique !

    Le style est flamboyant comme à l’habitude avec des effets qui ne manquent jamais de frapper comme il convient en ces matières si graves Ce qui n’empêche pas cette drôlerie si caractéristique de notre auteur qui entraîne le lecteur sur le chemin de l’inconcevable.

    Le jour d’après. Ce que je ne savais pas… et vous non plus. Philippe de Villiers, Editions Albin Michel, 207p, 19 €

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    1. Source : https://www.politiquemagazine.fr/
  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    Il ne faudrait tout de même pas l'oublier, alors que la grande offensive de l'Islam contre la Chrétienté a re-commencé (les Arméniens en savent quelque chose...) et Zemmour a bien fait de le rappeler dans Face à l'info : 

    "Le Qatar est un des agents de l’islamisation de l’Europe et de la France"

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    1. Que sont, que valent, les gens qui brûlent les livres ? Les foldingues de la culture de l'effacement viennent de frapper au Canada : une commission scolaire de l'Ontario a procédé à un autodafé de livres pour enfants et adolescents comme Astérix et Tintin, qui ont été jetés, brûlés ou enterrés, dans la droite ligne de cette folie furieuse de la "culture de l'effacement", popularisée par les anglo-saxons sous le nom de "cancel culture" anti-occidentale....

    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1817537/livres-autochtones-bibliotheques-ecoles-tintin-asterix-ontario-canada

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    2. "Expulsion de Nice" : même si la décision est, effectivement dure ("Dura lex, sed lex") on est face à une famille qui, depuis 2018, est connue pour des faits graves (dégradations, occupation de halls d’immeuble, trafics de stupéfiants). La notification d'expulsion a été rendue après trois ans de procédure, de multiples mises en demeure et des tentatives de dialogue avec la famille, qui n’a jamais su saisir les mains tendues. Sauf pour vendre de la drogue, donc de la mort. Quand on a un logement social, on doit se montrer digne... 

    https://www.bvoltaire.fr/nice-expulsion-dun-hlm-dune-mere-et-de-son-fils-condamne-pour-trafic-de-drogue-les-associations-crient-au-scandale/

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    3. D'accord avec Goldnadel, sur le délinquant arrêté par la police à Marseille, puis, quasiment sur le champ, libéré après une attaque en règle de l'armée délinquante contre les Forces de l'ordre :

    (Gilles-William Goldnadel remet en cause les mesures annoncées par Emmanuel Macron : en payant, "vous n’achetez pas la paix sociale, vous aurez la guerre, et vous perdez un petit peu votre honneur..."

    (extrait vidéo 1'28)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1435262704420331528?s=20

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    4. À Perpignan, au moins on essaie de lutter concrètement contre le trafic de drogue/trafic de mort... :

    https://policeetrealites.com/2021/09/08/%f0%9f%87%ab%f0%9f%87%b7-perpignan-drogue-on-rase-un-immeuble-pour-chasser-les-dealers/

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    5. Un jeu de mot qui n'est pas de très bon goût, mais enfin... Une invitation est lancée pour la fin de ce mois, à Lyon, afin de défendre le nucléaire, domaine où la France excelle...

    "Le nucléaire fait partie de la solution aux enjeux climatiques. Il est plus important que jamais de le rappeler ! Vous êtes d'accord ? Rejoignez-nous
    aux Fê(ai)tes du Nucléaire le 25/09 à Lyon"

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    6. Réalité du "Grand remplacement" :

    (extrait vidéo 1'57)

    https://twitter.com/ZemmourEric/status/1435184415693475841?s=20

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    7. SOS ÉDUCATION communique :

     
     
    Parents, ne manquez pas le guide des ressources SOS Éducation... Un outil indispensable pour cette rentrée scolaire ! De nombreuses ressources pédagogiques et ludiques, de la maternelle au lycée Obtenez-le gratuitement, en 1 clic : bit.ly/guide-ressourc

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    À DEMAIN !

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Drunk.

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    Art et Essai : Drunk, un film danois ( VOSTF) de Thomas Vinterberg, avec Mads Mikkelsen, Thomas Bo Larsen, Lars Ranthe et Susse Wold

    guilhem de tarlé.jpg« Ami, remplis mon verre
    Encore un et je vas
    Encore un et je vais
    Non je ne pleure pas
    Je chante et je suis gai
    Mai j’ai mal d’être moi
    Ami remplis mon verre

    (L’Ivrogne, de Jacques Brel)

    C’est exactement le sujet de Drunk  raconté par le réalisateur : quatre amis, mal dans leur peau, décident de vérifier « la véritable théorie de Finn Skarderud, un psychologue norvégien, selon laquelle l’Homme aurait dès sa naissance un déficit d’alcool dans le sang ». Vous confesserais-je que cette « théorie » me plaît et que j’ai envie d’y adhérer, persuadé que « boire un petit coup, c’est agréable », mais aussi que cela désinhibe. Je n’hésite pas à faire un lien entre la soumission qui gagne notre société et la diminution de la consommation d’alcool… consommation d’ailleurs totalement interdite dans l’Islam, à l’inverse du christianisme dont la vigne a accompagné l’expansion territoriale.

    Si donc l’idée de départ était gouleyante, la réalisation m’a paru malheureusement médiocre avec une alternance de scènes amusantes, comme les photos des « grands de ce monde » totalement ivres, et d’autres passages relativement pénibles, alors que j’avais inscrit Kursk du même Thomas Vinterberg dans les dix meilleurs films de 2018. Mon épouse, plus bienveillante que moi, retient à juste titre l’accompagnement musical excellent et les chants patriotiques de ces chères « têtes (incontestablement) blondes ». Nous sommes au Danemark !

    Dans un entretien intéressant, le cinéaste évoque un « récit sur l’amitié », et le casting souligne qu’il s’agit d’un film d’hommes ;
    il parle surtout d’ « un film sur la vie » en nous interrogeant : « Qu’est-ce que ça veut dire qu’être vivant ? ».
    Chacun relèvera l’actualité de cette question quand, sous prétexte de protéger nos santés et nos vies, on masque nos visages et on nous confine sous couvre-feu en fermant les bars et les restaurants…
    Triste époque … « Ami, remplis mon verre ».

     PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et 500 autres sur mon blog Je ciné mate.

    Pour mémoire :  un tableau récapitulatif donnant, dans le désordre, un « top ten » des films vus au cinéma depuis le 1er janvier

    Titre

    Réalisateur

    appréciation

    genre

    nationalité

    Date de sortie

    Les Apparences

    Marc Fitoussi

    Un bon film

    Thriller

    Franco-belge

    Septembre 2020

    Dark Waters

    Todd Haynes

    Je recommande

    Biopic, drame

    américain

    Février 2020

    Le cas Richard Jewell

    Clint Eastwood

    Je recommande

    drame

    américain

    Février 2020

    La fille au bracelet

    Stéphane Demoustier

    Je recommande

    Drame, justice

    Français

    Février 2020

    Voir le jour

    Marion Laine

    Un bon film

    Comédie-dramatique

    Français

    Août 2020

    Les choses qu’on dit,
    les choses qu’on fait

    Emmanuel Mouret

    Un très bon film

  • Comment la pieuvre islamiste a infiltré le sport français, par Jérémy Bouhy.

    Le sport français est au cœur de la stratégie d’infiltration de la pieuvre islamiste, dans la guerre de civilisation qu’elle mène sur notre territoire.

    Une note de la DGSI (renseignement intérieur) datée de 2018 dressant l’état des lieux de la pénétration de l’islam fondamentaliste en France détaille la stratégie des différentes mouvances pour prospérer dans l’espace social, le monde de l’entreprise, l’éducation… et le sport.

    00000.jpegIl existerait, à ce jour, sur notre sol une trentaine d’associations sportives identifiées comme pratiquant le communautarisme et le prosélytisme religieux.

    Cela soulève un certain nombre de questions d’ordre politique et social, d’autant plus que ces structures sont souvent hébergées dans des bâtiments appartenant aux collectivités et que ces clubs sont parfois même subventionnés.

    La presse avait notamment déjà fait état de la ville de Bobigny, qui loge un club privé de fitness et d’arts martiaux non mixte, le « Sunna Club », dont le nom désigne la loi coranique et les règles et préceptes imposés par Allah. Les très jeunes générations sont, bien évidemment, au cœur de cet projet.

    Alors qu’ils étaient censés représenter des creusets d’intégration républicaine, de mixité sociale et de laïcité, notamment dans les quartiers les plus sensibles, certains clubs sportifs sont en passe de devenir des groupes ethnico-religieux.

    Il a, ainsi, été constaté dans de nombreux quartiers sous surveillance l’émergence de structures mêlant ouvertement le sport, l’aide aux devoirs et les activités religieuses, phénomène rendu possible par la nature du cadre juridique et institutionnel délimitant la pratique sportive, qui reste très largement permissif et propice au mélange des genres. La note analyse également le phénomène de radicalisation religieuse par le sport, qui serait aujourd’hui le premier foyer de radicalisation.

    On y apprend, notamment, qu’un grand nombre d’éducateurs sportifs seraient fichés S. L’univers du football est régulièrement cité dans les signalements qui remontent aux autorités. Il existerait même une forme de compétition entre les groupuscules pour noyauter les associations et recruter de nouveaux fidèles.

    Si la mouvance salafiste est en première ligne, les services soulignent l’émergence du mouvement tabligh, particulièrement dans le sud de la France, et plus précisément dans la région de Toulouse, où ce mouvement ultra-rigoriste, qui prône un retour à l’islam des origines, est très implanté.

    La note met au jour une récurrence de phénomènes préoccupants, tels que le refus d’être encadré par un éducateur féminin, de serrer la main aux femmes ou encore de s’entraîner avec elles, refus de la nudité sous la douche (en l’imposant, parfois, aux autres pratiquants), prières sur le terrain ou dans les vestiaires, la modification des horaires d’entraînement pour le ramadan ou pour la prière du vendredi, l’exclusion ou la marginalisation des femmes ou des non-musulmans, le refus en dojo du rituel du salut du maître fondateur du judo Jigoro Kano… La radicalisation par le sport est, par ailleurs, clairement identifiée comme étant un point de bascule qui mène au djihadisme.

    De nombreux « guides pratiques » publiés régulièrement sur Internet demandent explicitement aux aspirants au djhad de se renforcer musculairement, pratiquer des sports de combat et prendre des cours d’autodéfense impliquant le maniement d’armes blanches, de préférence dans une salle fréquentée par des musulmans et à des horaires où il n’y a pas de femmes.

    L’immense majorité des terroristes ayant commis des attentats en France, de 2012 à 2020, pratiquaient la boxe, la boxe thaï, la lutte ou le MMA, pour la plupart dans des clubs affiliés aux différentes fédérations nationales.

    C’est, notamment, le cas de l’auteur de la décapitation de Samuel Paty, qui a participé plusieurs fois aux championnats régionaux de lutte, sport prisé de la communauté tchétchène.

    Le séparatisme se définit comme la « volonté attribuée à un groupe possédant une homogénéité géographique, ethnique ou religieuse, de se détacher de l’État dont il fait partie pour constituer une entité politique autonome ». Dans cette optique, les réseaux islamistes ont investi un ensemble de champs et d’institutions leur permettant de fabriquer des individus dont la vision du monde est étrangère au legs de l’héritage politico-culturel français afin d’ériger une véritable contre-société sur le territoire national.

    Le sport est au cœur de ce projet diabolique.

    Jérémy Bouhy

    Agent sportif
     
  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. Les 7 principaux syndicats de sapeurs pompiers s'opposent à la vaccination obligatoire : c'est l' "ultra-minorité" dénoncée par Véran ? C'est la "frange capricieuse et défaitiste" insultée par Attal ?...

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    Cliquez sur l'image pour l'agrandir...

     

    1 BIS. "Comme en Chine" : tout est dit !  Jean-Loup Bonnamy a raison, n'en déplaise au journaliste moqueur et hostile qu'il a en face de lui : on assiste à la mise en place d'une punition autoritariste, hystérique et totalitaire de la part des soi-disant élites, qui sont dans un mépris total du peuple, des citoyens. "Ce peuple, on va l'infantiliser, on va lui expliquer ce qui est bon pour lui, on va le dresser"... Oui, "on" va le ré-éduquer, comme en Chine, comme dans le Lao Gaï, comme chez Pol Pot... Bravo Macron et Larem ! C'était donc "ça", "le nouveau monde", "la politique autrement" !... :

    (extrait vidéo 2'19)

    https://twitter.com/dragonduclos/status/1417264197444964355?s=20

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    1 TER.  Le rapporteur du Conseil d'État qui a validé le Passe Sanitaire n'est autre que Matthieu Schlesinger. Or, celui-ci a été candidat aux régionales pour LaREM : le conflit d'intérêts est aussi évident qu'effrayant... Comme le dit avec raison Gilbert Collard, "comment faire confiance à ce gouvernement et à une certaine justice ?"...

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    Cliquez sur l'image pour l'agrandir...

    Quant à Bruno Lasserre, dont vous voyez également le nom sur le document ci-dessus, Emmanuel Macron lui a remis en 2016 le ruban de commandeur de la Légion d'honneur; et en 2018, il a nommé Bruno Lasserre vice-président du Conseil d'Etat. Tout le monde sait qu'il est un "très proche" du Président...

    Vous avez dit "conflit d'intérêts" ?...

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    4. D'accord avec Jean Messiha :

    "Le Conseil d’Etat a validé les mesures privant de liberté 25M de #Français. Ce même Conseil d’Etat avait refusé les mesures visant à mettre des #bracelets électroniques aux #terroristes #islamiques sortis de prison. Quelle forfaiture !"

    (extrait vidéo 1'46)

    https://twitter.com/JeanMessiha/status/1417390808668512256?s=20

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    5. Pour une fois que Mélenchon s'occupe de nous et de nos libertés, plutôt que de ses chers "créoles" (comme il les appelle, improprement) !... :

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    6. ...Et pour une fois que Charlie Hebdo publie un édito (signé Riss) que nous approuvons entièrement !... Mis en ligne le 14 juillet, cet édito est réservé aux abonnés. En voici le début, suivi d'un court extrait, où l'essentiel est dit :

    "Les résultats stratosphériques de l’édition 2021 du baccalauréat, avec 93 % de réussite, semblent irréels. Un bilan pareil est pourtant la conséquence logique de la disparition du redoublement. À l’école, l’échec a disparu. Tout le monde réussit tout. On écrivait la semaine dernière que Macron avait aboli la vieillesse, on peut ajouter que l’Éducation nationale a aboli l’échec. Nous sommes tous des êtres parfaits, sans aucune faiblesse, sans aucune lacune. Nos connaissances sont complètes, notre logique ne se trompe jamais et notre mémoire est digne d’un ordinateur. Avec 93 % de réussite au bac, nous approchons de la société parfaite. Le contrôle continu, qui remplacera probablement un jour l’examen final, nous épargne de sortir du cocon rassurant de notre lycée avec nos profs sympas, et de nous jeter dans l’inconnu, corrigés par des enseignants anonymes qui ne connaissent rien de nous, à part notre copie qu’ils ont sous les yeux. Être jugé par des inconnus, ça fait flipper. Un peu comme lorsqu’on publie pour la première fois ses dessins dans un journal. Le lecteur sera aussi impitoyable que le correcteur sans visage du baccalauréat. La vie, quoi..."

    "...93% de réussite au bac, ce n’est pas une bonne nouvelle… car l’échéance de l’échec et de la désillusion est juste repoussée à plus tard... Aujourd'hui une bonne partie de la gauche a comme slogan "mystifier la vie"..."

    Bravo, Riss ! 

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    7. D'accord avec Damien Rieu : 

    "Le Président de la République n’a pas le temps de réagir au massacre du petit Théo par un migrant sénégalais mais a le temps de répondre à des défis débiles." 

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    1. Un professeur d'université parle des origines chrétiennes de la France : c'est "moralement et intellectuellement inacceptable" pour "certains" étudiants, évidemment d'un "certain" bord (on devine aisément lequel !...).

    L'UNEF IEP Grenoble reprend leur sectarisme idéologique et l'engrenage est lancé : le professeur est menacé... Que cherche l'UNEF ? Un second Samuel Paty ?...

    https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6288140/sciences-po-grenoble-le-principal-syndicat-etudiant-reclame-des-sanctions-contre-les-enseignants.html#xtor=Nonli

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    1 BIS. "Ce sont des faits très graves" : Frédérique Vidal condamne les accusations d’islamophobie envers deux enseignants à Grenoble...

    (vidéo 1'24)

    https://video.lefigaro.fr/figaro/video/ce-sont-des-faits-graves-que-je-condamne-reagit-frederique-vidal-a-propos-des-enseignants-accuses-dislamophobie/

    Oui, mais l'UNEF reçoit de grasses subventions publiques (donc, provenant de nos impôts...) :

    - 2017 : 715.000€ 

    - 2018 : 644.000€ 

    -2019 : 502.000€

    Alors, Frédérique Vidal ?...

     

    1 TER. Charlotte d'Ornellas raconte et explique : 

     
    "Bret Weinstein était professeur à l'université d’Evergreen. Après s'être opposé à une journée interdite aux blancs, il a été harcelé et censuré. Il faut écouter son témoignage, il alerte sur le danger du mouvement "woke"..."
     
    (vidéo 1'50) :
     

     

    4. 19 mars : Louis Aliot ouvre un lieu de mémoire aux victimes oubliées de la guerre d’Algérie. Sa lettre ouverte à Benjamin Stora :

    https://www.le-journal-catalan.com/19-mars-louis-aliot-ouvre-un-lieu-de-memoire-aux-victimes-oubliees-de-la-guerre-dalgerie-sa-lettre-ouverte-a-benjamin-stora/89697/

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    5. Effarant ! Les violences, cela a commencé par une chaque mois, puis une chaque semaine; maintenant, c'est une chaque jour, puis chaque demi-journée, bientôt chaque heure, et plusieurs en même temps, partout dans le Pays... Un des derniers exemples : à Bagneux, deux policiers de la BAC tentant d’interpeller un jeune sur un scooter volé sont roués de coups par une trentaine d’individus armés de barres de fer. Blessés ils ont dû tirer pour se dégager :

    https://policeetrealites.com/2021/03/09/%f0%9f%87%ab%f0%9f%87%b7-bagneux-deux-policiers-de-la-bac-tentant-dinterpeller-un-jeune-sur-un-scooter-vole-sont-roues-de-coups-par-une-trentaine-dindividus-armes-de-barres-de-fer/

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    6. Lyon : les foldingues ont encore frappé ! Après les menus uniques, le "khmaire vert" escrolo met en place... un budget genré !!!!!

    https://www.valeursactuelles.com/politique/lyon-apres-les-menus-uniques-les-ecolos-mettent-en-place-un-budget-genre-129276

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    7. Et nous terminerons cette série d'aujourd'hui sur un franc éclat de rire : dans la série "décernez-moi le Nobel du Foldingue", nous demandons... Mohamed Allal, journaliste algérien qui demande à la France de rendre la Tour Eiffel à l'Algérie, sous prétexte que la France aurait puisé dans les mines de fer d'Algérie pour la construire !

    Plus foldingue que lui, tu meurs !!!!!

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    https://www.causeur.fr/tour-eiffel-algerie-colonisation-192565

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    1. On n'ose imaginer ce que Mélenchon, les islamogauchistes, CGTistes et autres déjà acquis à la "Soumission" dont parle Houellebecq auraient dit si des étudiants cathos avaient fait un Chemin de Croix dans leur Fac pour Pâques !

    Là, on est typiquement en plein dans la logique du cliquet : chaque revendication musulmane satisfaite en appelle une nouvelle qui progressivement islamise notre environnement. Bientôt ils demanderont que tout le monde jeûne pendant le Ramadan par respect pour les "fidèles" qui l'observent.

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    1 BIS. "Beaucoup d'enfants sont élevés dans la haine de la France. On n'a plus beaucoup de temps avant que ça dégénère." Pour avoir osé dire cela, c'est-à-dire la simple vérité, pour avoir osé alerter sur la montée de l'islamisme, Didier Lemaire, professeur de philosophie à Trappes, enseigne sous protection policière ! Il est professeur de philosophie à Trappes depuis près de 20 ans, dans ce terrain classé "zone prioritaire" (!). Deux décennies durant lesquelles il a vu cette ville de la banlieue parisienne s'enfermer un peu plus dans le communautarisme religieux...

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