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  • Sur Valeurs Actuelles, Maxime BLASCO : le PANACHE français (avec Marie-Estelle Dupont et JB Giraud).

    Cette semaine nous revenons sur la victoire de Yannick Jadot aux primaires d'EELV, sur la mort au feu de Maxime Blasco, également sur les consultations chez le psy remboursés qui ne sont pas forcément une bonne idée ni bon signe avec la psychologue Marie-Estelle Dupont, et enfin pourquoi le prix du gaz s'apprête à grimper dans les prochains jours.

  • C’est ça, la nouvelle société : des femmes seules, des gosses pauvres et de jeunes hommes paumés ?, par Marie Delarue.

    Dans les grandes réformes de ce gouvernement arrive en tête la PMA pour toutes. Toutes les femmes. Seules ou pas. Et comme le mot « femme » risque d’être bientôt frappé d’interdit pour cause de discrimination de genre, j’apprends que le parti EELV revendique « la PMA pour toutes les personnes en capacité de porter un enfant »

    2.jpgLe patron des Verts craint sans doute de sombrer dans l’abomination binaire du patriarcat blanc cisgenre…

    Pourtant, être une femme seule avec enfant(s) n’est pas un sort enviable, nous dit La Croix, qui rapporte une étude de l’INSEE, publiée ce lundi. « La part des familles monoparentales s’accroît et confirme le décrochage économique des mères qui élèvent seules leurs enfants », nous dit-on, et ce sujet devrait être au cœur de la Conférence de la famille qui se tiendra les 5 et 6 octobre.

    Les statistiques sont limpides : 25 % des familles sont monoparentales ; « 41 % des enfants mineurs vivant en famille monoparentale […] sont pauvres, contre 21 % de l’ensemble des enfants », mais « 22 % des enfants qui vivent seulement avec leur père sont pauvres contre 46 % de ceux qui vivent avec leur mère ».

    Encore la faute au patriarcat (je résume), dit la sociologue Cécile Bessière, coauteur du livre Le Genre du capital (2020, La Découverte). Elle l’affirme : les femmes sont victimes d’une « arnaque historique ». Le temps de travail à la maison ne leur est pas crédité en cas de séparation et les hommes sont plus souvent propriétaires de leur logement que les femmes. Ajoutons à cela qu’elles sont aussi plus souvent en emploi précaire ou victimes du chômage. Enfin, on se marie infiniment moins aujourd’hui qu’autrefois, et « le recul du mariage a privé les femmes de certaines garanties, dont le versement d’une prestation compensatoire en cas de divorce ». Il n’y aurait pas de « redistribution équitable du capital au sein du couple », dit Mme Bessière. Et comme, en cas de séparation, 82 % des enfants vivent avec leur mère contre 18 % avec leur père, c’est la misère assurée…

    Curieusement, cette situation a un pendant – à moins que ce ne soit une cause – qui semble n’intéresser personne. C’est ce que souligne l’historien Pierre Vermeren dans la tribune que publie, mercredi, Le Figaro :  « Les jeunes hommes sont-ils en trop dans la société française ? »

    « C’est un fait social majeur et pourtant occulté : plusieurs millions de jeunes hommes français en grande difficulté se sont mis en marge de notre société. Or, ils ne suscitent nulle empathie et ne bénéficient d’aucune sollicitude », écrit-il. Ainsi, « des millions de jeunes hommes nés en France dans les années 1990 et 2000 sont à la dérive dans notre société, et cela ne se limite nullement aux classes populaires ». Les maux à lister ? Ils sont évidents : déprise éducative, déliquescence de leurs domaines professionnels traditionnels (artisanat, industrie, agriculture et chose militaire) ; à quoi il faut ajouter plus généralement « l’abandon des activités productives, transférées à l’étranger, au profit des services qui sont plus propices aux femmes ».

    Enfin, et c’est là où l’on rejoint la question évoquée plus haut, « la désintégration de la famille comme structure de protection, de transmission culturelle, mais aussi de responsabilisation et d’amour ». Et « la liste n’est pas close », dit le Pr Vermeren. Il pourrait, en effet, ajouter le dénigrement absolu de la virilité et la mise en accusation permanente des mâles blancs qui en est le corollaire.

    Les yeux rivés sur le sort des femmes, « nos dirigeants sont passés à côté d’un phénomène de masse qui compromet gravement l’avenir du pays : la perte de confiance, d’estime, de motivation, pour tout dire de pulsion vitale, de millions de jeunes hommes ».

     

    Marie Delarue

    Ecrivain, musicienne, plasticienne

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • À la découverte du fonds lafautearousseau (36) : Marie-Joseph Gilg, le curé qui sauva Chambord en 1944...

    lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...

    Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...

    Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...

    Aujourd'hui : Marie-Joseph Gilg, le curé alsacien qui sauva Chambord en 1944...

    (tiré de notre Éphéméride du 18 février)

    (retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :

    À la découverte du "Fonds lafautearousseau")

     

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    1868 : Naissance de Marie-Joseph Gilg, le curé qui sauva Chambord en 1944...

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    En août 1944, les nazis ont voulu détruire Chambord. Et c’est grâce à un curé alsacien, l’abbé Joseph Gilg (1868-1960), que cette catastrophe patrimoniale, couplée à un drame humain, ont été évités.

    Joseph Gilg est né à Guebwiller, et a été ordonné prêtre à Blois, en 1900. En 1944, il a déjà 76 ans. Le château de Chambord abrite à ce moment-là encore plus de trésors que d’ordinaire : des œuvres d’art venues des Musées du Louvre et de Compiègne y ont été mises en sécurité (la Joconde elle-même y a séjourné : voir notre Éphéméride du 3 décembre, jour de la naissance de Jacques Jaujard, qui a organisé ce gigantesque "transfèrement"...).

    Mais son parc cache aussi des résistants, et les Allemands en ont été prévenus : "Furieux, le lundi 21 août 1944, de trois côtés à la fois, ils se dirigent vers Chambord, avec chars d’assaut et canons", a raconté le curé Gilg, après-guerre. Des combats ont lieu "sur la pelouse même du château historique". Des armes sont découvertes, un soldat allemand est tué. Des représailles sont décidées. Les nazis, poursuit l’abbé, "bondissent en criant : "Le château sera rasé, les demeures détruites, la population doit payer !" "

    La population est parquée dans le château, les hommes dans une cour, les femmes et les enfants dans une salle. Une quarantaine d’otages est saisie; ils doivent être traduits devant un Conseil de guerre. Des incendies sont allumés. Le massacre et la destruction semblent en route quand le curé alsacien entre en scène.

    Il demande, en allemand, à parler "au chef", qui est le major Ley. L’Alsacien promet qu’il n’y a pas de terroristes à l’intérieur du château et que ceux-ci n’ont rien à voir avec la population. Comme le major ne le croit pas, le curé s’offusque : "Prendriez-vous le prêtre pour un menteur ?" Le major lui répond : "D’où vient que vous parlez si bien l’allemand ?" et le curé répond qu’il fut aumônier pour des prisonniers allemands en 14-18.

    Avec la discussion, la fureur s’estompe. Le major finit par ordonner : "On peut épargner !" Le château et les personnes sont fouillés : ne sont trouvés ni armes, ni suspects. Les départs d’incendie sont arrêtés.

    Mais tout danger n’est pas encore écarté : les otages doivent comparaître devant le Conseil de guerre. L’abbé sert alors d’interprète lors de la quarantaine d’interrogatoires. "Comme par miracle", dit-il, il trouve les réponses qui éteignent tous les soupçons. Il propose en outre de célébrer des obsèques religieuses pour le soldat allemand tué.

    Cinq maquisards seront, malgré tout, fusillés, et quelques maisons et bâtiments annexes du château - dont la ferme - brûlés. La "semaine martyre de Chambord", selon l’expression du curé, ne cesse que le vendredi 25 août, avec le départ des troupes allemandes vers l’Est.

    "Le bilan certes est désastreux : il y a des morts et des ruines. Mais en définitive, l’ensemble de la population, ainsi que le château et ses trésors, ont échappé à l’extermination", conclut l’abbé dans une brochure qu'il a consacrée à cet évènement : La tragique histoire de Chambord, vécue de 1941 à 1944, éditée en 1950.

    Son récit s'y achève par un vibrant : "Vive la France et vive l’Alsace ! Et revive Chambord, qui fut en si grand danger !"

    Pour cette action, l’abbé Gilg fut décoré de la Légion d’honneur, de la Croix de guerre et de la médaille d’argent de la Reconnaissance française, le 14 juillet 1949.

    18 fevrier,frotté,bernadette soubirous,lourdes,helicoptere,oehmichen 

    L'abbé Marie-Joseph Gilg ? L'un de ces "Français illustres et méconnus" dont parle François Bluche : que cette modeste Ephéméride contribue à lui rendre l'hommage qu'il mérite, amplement...

  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Francois Xavier Bellamy - ”Nous avons vécu avec l'idée qu'il n'y avait plus de menaces

    François-Xavier Bellamy, professeur de philosophie et député au Parlement européen, au micro d'André Bercoff sur Sud Radio


  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Charles Gave sur l'Obamagate ”C'est l'Etat profond des Etats-Unis qui pourrait tomber”

    Charles Gave, essayiste, réagit sur l'ObamaGate. Trump est-il un bouc émissaire ? On en parle avec André Bercoff sur Sud Radio.


  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Inégalités à l'université : pas de notes en dessous de 10 ? / Qu'est ce qu'être França

    Au programme :
    - Erwan Le Noan, avocat auteur de "Construire l'Europe autrement"
    - René Chiche, enseignant, auteur de "Désinstruction nationale"
    - Stanislas Berton, entrepreneur auteur de "Etre Français : Lettre à ma soeur"

  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Alain Bauer - ”Cette gestion de crise, c’est les JO de tout ce qu’il ne faut pas faire

    André Bercoff reçoit Alain Bauer, professeur de criminologie à New York, spécialiste des gestions de crises, et donc co-auteur avec le docteur Rocher Dachez qui est médecin et chercheur, de “Comment vivre au temps du coronavirus - Manuel pour comprendre et résister” aux éditions du Cerf.

  • Sur Sud Radio, la liberté d’expression a-t-elle reculé à l’école depuis l’assassinat de Samuel Paty ?

    Le débat du samedi : La liberté d’expression a-t-elle reculé à l’école depuis l’assassinat de Samuel Paty ? avec Aurore Boyard, avocate au barreau de Toulon et Rodrigo Arenas, porte-parole de l'Association de Parents d'élèves adhérents.

  • Sur Sud Radio, le Trumpisme a-t-il un avenir en France ? Et Mélenchon a-t-il une chance d'être président un jour ?

    Avec Guillaume Bigot, politologue, auteur du livre "Populophobie - Pourquoi il faut remplacer la classe dirigeante française" (Plon) et Nicolas Corato, fondateur du think tank Place de la République, auteur du livre "Grandes plaidoiries et grands procès - L'art de l'éloquence depuis le XVe siècle" (Hérédium).

  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Ardavan Amir-Aslani - ”Aujourd'hui l'Europe n'est plus à même d'assoir sa souveraineté

    André Bercoff reçoit Ardavan Amir-Aslani, avocat au barreau de Paris, il enseigne la géopolitique du Moyen-Orient à l’Ecole de guerre économique. Il est l'auteur de « Le siècle des défis » aux Ed L’Archipel.

  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Franck Melloul - ”Force est de constater qu'une dose de vaccin a une durée de vie d'en

    Franck Melloul, PDG et fondateur d'i24 News, fait le point sur la situation en Israël, au micro d'André "Bercoff dans tous ses états".

  • Festival de la BD d'Angoulême (3/3) : Marie-Antoinette, La rose de Versailles, héroïne de manga.....

            En marge du Festival d'Angoulême de la BD voici une rapide présentation de trois séries intéressantes, d'un art qu'il ne faut pas négliger, ni tenir pour mineur, et dont on ferait bien de ne pas se désintéresser dans nos milieux, vu l'impact qu'il peut avoir sur les jeunes publics, mais aussi les moins jeunes (comme le dit le slogan, "de 7 à 77 ans" !...).

            La BD peut être, en effet, un puissant vecteur pour intéresser des lecteurs à nos Racines, à notre Histoire, surtout lorsque - comme c'est le cas dans ces trois séries que nous allons découvrir - les auteurs imaginent et réalisent leurs histoires dans le plus grand respect de la vérité historique, et de l'exactitude des faits. En somme, un bon moyen de faire découvrir et connaître - et aimer... - notre passé, notre culture, notre personnalité, notre identité....

            Nous avons parlé, avant-hier, duTrône d'argile, qui nous a menés au coeur de la Guerre de cent ans; hier, de L'épervier, corsaire du Roi; voici, aujourd'hui, avec La rose de Versailles, une Marie-Antoinette héroïne de manga au Japon, et objet d'un véritable culte, finalement assez répandu......

            Deux siècles après, ses bourreaux - les "barbouilleurs de lois" dont parle André Chénier, lui aussi leur victime -ne peuvent pas en dire autant !

            Il y a, bien sûr, deux ou trois erreurs et scories dans ce manga, dont on notera pourtant qu'il s'inspire très largement de l'ouvrage de Stefan Zweig sur Marie-Antoinette; mais la tonalité d'ensemble, ouvertement favorable, tranche singulièrement avec les flots de haine et de mensonges dont les révolutionnaires ont abreuvé la Reine. Elle qui, au final,  a pris sur eux, deux siècles après, une éclatante revanche posthume...       

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            La Rose de Versailles (ベルサイユのばら, Berusaiyu no bara) de Riyoko Ikeda est un manga de type shojo paru pour la première fois au Japon en 1972. Le monde francophone ayant découvert la série à travers son adaptation animée de 1979, Lady Oscar, ne verra la parution du manga en français qu'en 2002 (source : wikipedia) .

            Voici l'article que lui a consacré Le Monde :

            http://www.lemonde.fr/livres/article/2011/01/27/marie-antoinette-heroine-insoumise-d-un-manga_1471243_3260.html

            Et celui d'animeland, le site du manga, qui vaut d'être lu :

            http://www.animeland.com/articles/voir/37/La-Rose-de-Versailles

     

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  • 16 Octobre 1793 : Assassinat de Marie-Antoinette. Ou : A l’une des sources du racisme moderne… (2/2)

              Nous voici arrivés à la cinquième et dernière date terrible de cette année terrible (1793), qui a vu la révolution et la république - la même année et en moins de neuf mois...- poser l’acte fondateur des Totalitarismes modernes (assassinat de Louis XVI, 21 Janvier) ; entamer le crime des crimes, à savoir le long massacre d’un enfant de huit ans, le petit Dauphin (3 Juillet) ; décréter par deux fois le premier génocide des temps modernes (1° Août et 1° Octobre) ; enfin être à l’origine directe de l’une des sources du racisme moderne (assassinat de Marie-Antoinette, 16 Octobre).

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              Il ne s'agit bien sûr pas de ressasser, sans cesse et sans fin. Mais il nous faut en permanence re-fonder notre royalisme et notre opposition à la République, malgré ou plutôt même à cause du temps qui passe. En effet, comment et pourquoi rester royalistes plus de deux siècles après la grande "coupure" de 1789, et plus de 130 ans après l’instauration de la république, le 30 janvier 1875 ?

              La république, après tant de temps, n’aurait-elle pu devenir quelque chose de finalement assez acceptable, comme la république allemande par exemple, une fois passées les premières décennies de troubles et de convulsions ? Or, nous persistons à nous déclarer royalistes, donc anti républicains. C’est bien qu’il y a quelque chose qui justement, dans la république ne « passe pas », ne « passera » jamais, tout simplement parce que ce quelque chose ne « peut pas passer ».

              Ce quelque chose, ce sont ces cinq dates que nous venons d’évoquer, et qui constituent le socle, le soubassement de ce temple auquel faisait allusion Chirac (1). Un temple construit sur des bases que la république n’a jamais su, jamais voulu, ou jamais pu ni reconnaître, ni regretter, et pour lesquelles elle n’a a fortiori jamais présenté les moindres regrets… Seules ont changé les formes extérieures, les apparences de la république, qui est effectivement devenue un mode de gouvernement semble-t-il assez comparable à ce qui se fait ailleurs en Europe. Mais ce sont ses bases fondamentales qui n’ont pas changées, et qui s’appellent, nous venons de le voir, totalitarisme, génocide etc…

              Voilà pourquoi, et même si –nous le disons à chaque fois…- nous préférerions parler d’autres choses ces jours-là, car ce ne sont vraiment pas des anniversaires réjouissants ; voilà pourquoi, donc, « nous ne pouvons pas ne pas » faire mémoire de ces cinq jours tragiques de ce lointain passé. Lointain mais si présent puisqu’il fonde le système qui nous régit aujourd’hui, et sur lequel il est bâti ; lointain mais qui ne passe pas car il ne passera jamais ; nous sommes obligés de re-dire en permanence que là est le cœur, le centre, la raison profonde de notre anti-républicanisme et de notre royalisme : refus définitif et non négociable du totalitarisme ; refus définitif et non négociable du génocide ; rejet avec horreur du crime des crimes qu’a constitué l’assassinat de Louis-Charles, duc de Normandie, enfant de huit ans, donc innocent par définition ; rejet de cette source lointaine du racisme moderne que fut l’excitation permanente de la populace contre une reine, au prétexte qu’elle était « l’autrichienne ».....         (à suivre.....).

    (1)    : lorsqu’il mettait en garde Sarkozy, parlant de laïcité positive, Chirac avait en effet employé cette image fort parlante et révélatrice de « colonnes du temple » pour parler des lois de 1905….

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  • 16 Octobre 1793 : Assassinat de Marie-Antoinette. Ou : A l’une des sources du racisme moderne… (2/2)

               ...On conviendra en effet facilement qu'à la base des comportements condamnables que sont le racisme, la xénophobie etc… il y a la haine. Or qu'a fait la révolution, si ce n'est, et dès ses débuts, libérer des torrents de haine; appeler à la mise à mort à tout bout de champ; laisser libre cours aux pulsions de meurtre, et même bâtir son pouvoir là-dessus, en appelant sans cesse à l'émeute, toujours sanguinaire (avec des têtes au bout des piques....); ordonner et planifier le génocide en Vendée; déclarer la guerre à nos voisins et se ruer sur eux en proférant ces paroles terribles (et objectivement racistes) : « ..qu'un sang impur abreuve nos sillons... » etc...etc...etc…

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                 La république et la révolution, en libérant ces flots de haine, en leur laissant libre cours et même en basant sur eux sa popularité et ses succès ont durablement installé dans les esprits et les mentalités des révolutionnaires le fondement même du racisme, qui en est à la fois à la base et au centre, à savoir la haine....

                Dans un domaine bien précis (la haine des Autrichiens en général, et de Marie-Antoinette en particulier) la république a agi follement, et semble-t-il sans se soucier des conséquences et des dérives possibles de sa politique (!): telle l'Apprenti Sorcier, elle a déchaîné des passions, des forces et des sentiments qu'elle a été bien incapable de contrôler par la suite; elle les a même encouragés, favorisés, parrainés; une fois bien ancrés dans les habitudes, ces sentiments haineux, ces passions hystériques sont restées dans beaucoup d’esprits et dans les habitudes mentales de beaucoup, jusqu’à aujourd’hui.

              Dans le domaine du comportement, des attitudes, des mœurs, la république a donc bien déformé et perverti les gens dès ses origines, et par ses origines; elle a donc bien développé, après lui avoir laissé prendre son essor et s’en être servi pour conquérir le pouvoir, l'une des sources principales du racisme; elle a joué avec le feu, elle a joué un jeu, et à un jeu, dangereux....

              Alexandre Soljénitsyne l'a bien développé dans son discours aux Lucs sur Boulogne (1) :

     

              "....C’est que toute révolution déchaîne chez les hommes, les instincts de la plus élémentaire barbarie, les forces opaques de l'envie, de la rapacité et de la haine, cela, les contemporains l'avaient trop bien perçu. Ils payèrent un lourd tribut à la psychose générale lorsque le fait de se comporter en homme politiquement modéré - ou même seulement de le paraître - passait déjà pour un crime......

     

              .....(les révolutions ) annihilent les meilleurs éléments de la population, en donnant libre champ aux pires. Aucune révolution ne peut enrichir un pays, tout juste quelques débrouillards sans scrupules sont causes de mort innombrables, d'une paupérisation étendue et, dans les cas les plus graves, d'une dégradation durable de la population......"   (fin).

    (1) : Voir le "GRANDS TEXTES (I ) : Discours intégral d'Alexandre Soljenitsyne en Vendée", dans la catégorie "Grands Textes".

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  • Paris ce 15 octobre, Cercle de l'Oeillet Blanc : Messe à la mémoire de Marie-Antoinnette ... Mais aussi ailleurs ...

    Naturellement, nous encourageons nos lecteurs et amis qui le pourront à assister à cette messe. Le Cercle de l'Œillet accompagne son invitation des explications qui suivent.  

    « ... Le Cercle de l’Œillet Blanc œuvre aujourd’hui dans le but de conserver et de défendre la tradition royale en France, d’en promouvoir les principes et d’en illustrer la pertinence dans l’actualité.

     Une des actions principales du Cercle est l’organisation des cérémonies du 21 janvier à Saint-Germain l’Auxerrois célébrant le martyre du Roi Louis XVI et de toutes les victimes de la Révolution française.

    Après l'exposition, l'été dernier, dans le parc de Versailles, d'une "œuvre artistique" portant clairement atteinte à la mémoire de la reine Marie-Antoinette, l'Œillet Blanc a décidé une première réaction en organisant une messe le 15 octobre prochain, à sa seule intention, à l'occasion de l'anniversaire de son exécution  » 

    NICE

    On nous annonce, par ailleurs, qu'une messe à la mémoire de la reine Marie-Antoinette sera dite à Nice le vendredi 16 octobre 2015 à 18h30, à l'Oratoire Saint Joseph, 18 rue Catherine Ségurane. Renseignements : M. Jean-Pierre Thouvenin. 04 93 81 22 27 ou 06 34 47 67 03.

    BIARRITZ

    A l'initiative de M. Alexandre de La Cerda, une messe pour la reine Marie-Antoinette sera dite vendredi 16 octobre à 19 h à l'église Saint-Martin de Biarritz. Suivra une réunion amicale autour d'un verre. Renseignements : 06 62 72 56 49.