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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Déconfiner l’Église ?, par Gérard Leclerc.

    Procession pour la fête de l’Assomption

    © Pascal Deloche

    À l’heure où la société française dans son ensemble entre dans un processus de déconfinement, avec toutes les prudences requises, quelques publicistes ont lancé un mot d’ordre sur les réseaux sociaux, qui s’adresse aux chrétiens. «  N’est-ce pas l’Église elle-même qui devrait se déconfiner ?  » Notre Église serait-elle par trop renfermée sur elle-même ? Il y a bien sûr une pointe polémique dans ce qui ressemble à une mise en demeure.

    gerard leclerc.jpgMais après tout, le Seigneur lui-même s’est employé à secouer parfois rudement ceux qui l’écoutaient. Le pape François, pour sa part, ne se prive pas de rudoyer jusqu’à ses proches collaborateurs, lorsqu’il estime qu’ils s’éloignent des conseils évangéliques. De diverses façons, des actions prophétiques sont venues réveiller les chrétiens. Au XIXe siècle, le bienheureux Frédéric Ozanam lançait son fameux : «  Passons aux barbares  », qui demandait d’ailleurs une sérieuse herméneutique. Et Jean-Paul II, lors de son premier voyage chez nous, voulait aussi nous réveiller : «  France, fille aînée de l’Église, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ?  »

    Toutes les périodes ont connu, selon leur mode propre, des élans missionnaires qui comportaient pour préalable un ressourcement mystique. Le XVIe siècle de la Contre-réforme catholique, le XVIIe qu’un historien a pu appeler «  le siècle des âmes  ». Mais c’est vrai aussi de ce XIXe siècle religieux trop méconnu, où les missionnaires français s’engagèrent pour une évangélisation de l’Afrique et de l’Asie.

    Par contraste, notre XXIe siècle se présente à nous sous les aspects très particuliers d’une sécularisation des anciennes terres de chrétienté. La tâche est particulièrement rude pour ceux qui ont le souci de communiquer la Bonne Nouvelle. Ce n’est pas en nous refermant sur nous-mêmes que nous ferons rayonner l’Évangile auprès de nos contemporains. Le mot d’ordre de déconfinement se doit alors d’être soigneusement analysé, dans la mesure où il a quelque chose de pertinent.

    Comment aller aux périphéries ?

    Il ne peut signifier l’abandon de nos communautés paroissiales, car l’eucharistie se vit en commun, et le dogme lui-même doit s’entendre dans ses résonances sociales. Les communautés se doivent d’être impliquées dans les réalités humaines vécues de proche en proche. Une part de la déchristianisation actuelle s’explique par l’abandon d’une religion populaire au profit d’une appartenance élitiste militante. Certaines propositions présentes peuvent paraître inspirées d’une volonté d’appropriation néo-cléricale, qui pourrait tourner aux échanges internes de cercles progressistes de type bourgeois-bohèmes.

    C’est pourquoi, le pape François, lorsqu’il nous presse d’aller sur les périphéries nous rappelle en même temps les vertus d’un christianisme populaire. Oui au déconfinement, mais un déconfinement qui permet vraiment à la grâce du Salut de se répandre au plus large de nos sociétés !

  • Éditorial de Marc Obregon, de l’inquotidien.

    J’ai trouvé dans le n° 6 de « l’inquotidien », un supplément numérique de l’Incorrect, ce coup de gueule roboratif, de Marc Obregor. La presse élitaire nous offre sur les ondes un cas typique du penser obligatoire avec France Inter, vous savez ce média, héritier direct de Radio Paris, chargé du parler « rebel bon profil » de façon univoque avec des indignations très ciblées.
    Aujourd’hui la loghorrée incontinente contre le peuple, incarné avant la pandémie par les gilets jaunes, lesquels firent si peur aux bien-pensant, est dirigée, contre les gueux incultes qui font confiance au professeur Raoult. Je n’ai pas résisté à la furieuse envie de soumettre ce texte au public de l’Action Française.
    Olivier Perceval

    3.jpgVous allez me dire que la cible est un peu facile, mais enfin pourquoi Guillaume Meurice, le balai à chiottes de France Inter, racle-t-il avec autant de complaisance les basses fosses de la haine du peuple ? Dans une récente chronique il s’en prend sans sourciller aux « fans de Didier Raoult », dont il livre quelques micros-trottoirs savamment découpés par son montage habituel, et lardés par ses propres ricanements de vestale hystérique du système, entraînant derrière lui les rires outrés, qui sonnent faux, de ses coreligionnaires, chroniqueurs et autres grasseyants thuriféraires de la Norme et de l’Odieux.


    On se demande presque si France Inter, et la plupart de ces médias qui cultivent l’égard du peuple ce mépris systématique, ne sont pas rentrés dans une sorte de processus d’autodestruction, par la grâce d’un masochisme total, d’une dégénérescence des vertus accélérée par ce lent processus de nullification qu’est la gauche désocialisée, une simple idéologie pour plumeaux, agitée à la face des quidams pour masquer l’ordalie pénible des vitrines du Capital.


    Mais enfin, qui sont ces gens ? Sont-ils vraiment persuadés d’incarner la raison, le bien commun, face à un peuple borgne et sordide, face à la marée haineuse des Gilets jaunes et des conspirationnistes ? Ou sont-ils purement veules et cyniques, agissant seulement aux ordres des instances populicides qui les gouvernent ? Franchement, pour prêter autant le bâton pour se faire battre, aller aussi loin dans cette haine hideusement grimée en sarcasme, refuser toute nuance et enferrer son discours dans un ricanement systématique qui met dans le même sac soraliens, catholiques, ouvriers, souverainistes et simples épris de bon sens, il faut tout simplement avoir perdu la raison. Avoir perdu le sens du monde, perché dans une tour d’étrons, avoir perdu toute connexion avec la réalité. On serait presque peiné pour tous ces gens, qu’on soupçonne de n’avoir en lieu et place d’organes que des sacs de furoncles et d’humeurs toxiques, habilement retricotés en visages et en grimaces fumeuses. Mais enfin, qui sont-ils, ces humoristes sinistres, ces fossoyeurs de la nuance et de l’esprit, ces laudateurs du Capital mou, de la démocratie revancharde, ces kapos vociférant ? Ce soir, j’ai presque envie de prier pour le salut de leur âme.

  • Des « violences policières » ...

     

    En deux mots.jpgL'avez-vous remarqué ?  A écouter les médias - tous les médias - , il y a en France deux types de violences, traitées, présentées, comme symétriques, équivalentes : celles des voyous, des casseurs, des radicaux de l'ultragauche, des enragés des diverses ong dites humanitaires, et il y a - à égalité de traitement - les violences policières ... En version « médias », tel casseur en action ou en fuite subira une « agression » des forces de l'ordre. Éventuellement, on organisera une marche en défense de cette victime des « violences policières », voire en hommage, selon le terme en vogue … Et ainsi de suite. Vous entendrez tout cela sur les médias du service public ... Question de vocabulaire. Et indifférence du Pouvoir. Qui fera taire France Inter ?

    Ce n'est pas que nous ayons si grand respect pour les forces d'un ordre qui n'est pas celui que nous souhaitons ; qui du reste n'en est pas un vraiment. Ce n'est pas que nous ayons la « religion du flic ». Nous savons assez que le 6 février 1934 ces auxiliaires du régime tiraient sur les patriotes place de la Concorde comme ils tireront trente ans plus tard sur les partisans de l'Algérie Française, ou comme encore cinquante ans après ils gazeront les foules de la manif pour tous ... Ce n'est pas que le policier soit un citoyen pire que les autres, que son métier ne soit pas honorable, même si l'esprit policier, les méthodes policières comportent leur dose de duplicité et autorisent parfois des procédés douteux, c'est pour l'essentiel qu'il est amené à servir un régime de désordre profond et de décomposition sociale, dont on voit les méfaits tous les jours. L'ordre qu'il protège n'est pas, n’est plus l'ordre légitime. 

    Le paradoxe est que les forces de police défendent aussi le peu qu'il reste d'ordre public, d'ordre social, fût-il devenu indigne et frelaté. Et qu'elles protègent les honnêtes-gens subsistants, contre la déferlante toujours grandissante des voyous et des casseurs indigènes ou, pour nombre d'entre eux,  importés. Il faut prendre la mesure de cette contradiction. 

    Le temps est loin où l'on fusillait en Russie celui qui avait levé la main sur le dernier des policiers du tsar parce qu'il figurait le tsar lui-même. Il n'y a plus de tsar en Russie et surtout plus de roi en France pour incarner la nation. 

    En tout cas, un régime qui laisse ainsi ravaler sa police au rang des casseurs par le service public dépendant de lui ne nous semble pas disposer des promesses de l'éternité.  

    Retrouvez l'ensemble de ces chroniques en cliquant sur le lien ci-dessous

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

  • La République en marche oublie la France

     

    Par François Marcilhac

     

    3466611312.jpg

    Dans la «  charte des valeurs  » que vient d’adopter la République en marche, la nation n’est pas citée non plus.

    Ce 16 novembre 2017, la République en marche, «  mouvement politique et citoyen  » (sic), a publié sa «  nouvelle charte des valeurs  », qui sera soumise aux votes des membres de son Politburo le 18 novembre, après avoir été «  enrichie de la consultation organisée  » auprès des adhérents du parti. Contrairement au premier texte, pour lequel la France existait encore («  nous pensons […] que l’avenir de la France nécessite de renouer avec l’idée de progrès  »), mais qui ignorait déjà le mot de nation, cette nouvelle charte rompt publiquement avec la France qui ne fait plus l’objet des préoccupations du parti jupitérien.

    Apôtres d’un progressisme béat qui, pour remonter aux XVIIIe et XIXe siècles, sert aujourd’hui à promouvoir l’adaptation servile au mondialisme, ces «  héritiers de valeurs séculaires humanistes, républicaines et laïques  » ne se reconnaissent que «  comme citoyens européens, attachés au projet d’une Europe politique, et convaincus que l’ensemble des valeurs qui [les] rassemblent […] ne pourra réellement se déployer que dans le projet européen  », un projet qui est lui-même explicitement subordonné à la logique de la mondialisation, garante d’un «  avenir collectif  » dans lequel n’entre pas le peuple français, constitué en nation, la France n’étant plus synonyme que de «  repli sur soi  » ou de «  retour en arrière  ».

    Cette charte des valeurs a au moins le mérite de prouver aux Français, s’il en était encore besoin, que le projet macronien vise à la disparition même de la France. L’ennemi des Français s’est ainsi clairement désigné.   

  • Un ”En Français s'il vous plaît !” aussi ”politique” que ”linguistique”, aujourd'hui, avec ce pauvre Castaner...

    Ce pauvre Castaner !

    Et cette pauvre France, qui doit supporter ce semble ministre (pour reprendre une expression chère à Pierre Boutang) depuis le début du quinquennat, tout simplement parce que, nul et archi nul, foireux et archi foireux, Macron n'a personne de qualité à nommer à ce poste si important. Alors, il a nommé un copain, un "de la bande", et tant pis pour nous et pour la France si l'action du Ministère de l'Intérieur, depuis le premier jour, se rapproche largement des pieds nickelés et des bras cassés - dans le meilleur des cas - ou - dans le pire - de ce que décrit ici Michel Onfray :

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    Mais, la chronique En français s'il vous plaît, nous direz-vous ? Que vient y faire ce pauvre Castaner ? On y arrive...

    Comme chacun sait, il s'est couché devant "l'émotion", qu'il a déclaré supérieure à la loi, ce qui lui a valu, entre autres réactions, l'excellent tweet de notre ami Jean Sévillia :

     
    Quand le ministre de l'Intérieur soutient que "l'émotion dépasse les règles juridiques", il apporte la preuve que la France possède un Etat à éclipses, soumis à l'activisme politico-médiatique des minorités organisées. C'est dramatique, mais nous voilà prévenus. #Castaner
     
    Dans la foulée de cette déclaration, aussi ahurissante que consternante, et grosse d'immenses dangers pour le pays, le semble ministre a, de fait, créé une présomption de culpabilité contre les policiers∗ : il a déclaré, le lundi 8 juin, qu'une suspension de tout fonctionnaire de police serait systématiquement envisagée "pour chaque soupçon avéré d'actes ou de propos racistes".
     
    A son incompétence et à sa nullité notoire au poste prestigieux qu'il occupe, Monsieur Castaner ajoute, là, une méconnaissance aussi profonde que grossière de la langue française. Et c'est à ce titre qu'il mérite d'être épinglé dans notre chronique, qui ne vise pas seulement l'infâme globish ou la paresse intellectuelle de ceux qui se laissent aller et massacrent allègrement notre belle langue, mais aussi tous ceux qui emploient des mots incorrects et/ou ne maîtrisent tout simplement pas le français...
     
    En effet, il est impossible de parler de "soupçon avéré". Ou alors, on emploie volontairement un oxymore, "figure de style - nous dit le dictionnaire - qui réunit deux mots en apparence contradictoire".
     
    Denis Jacob, secrétaire général d'Alternative Police CFDT, a eu beau jeu de répondre au ministre qu'un soupçon ne peut être avéré : dans "avéré" il y a "vrai"; si, donc, une chose est vraie, on ne soupçonne pas qu'elle le soit, on le sait. Le terme de soupçon est réservé à quelque chose que l'on pense, que l'on imagine, que l'on subodore, en attendant d'en avoir la certitude, par la preuve, la confirmation...
     
    Ainsi donc, ce pauvre Castaner ajoute une expression défaillante à une pensée qui ne l'est pas moins, et qui est même complètement tordue...
     
    Il est donc bien logique de lui dire : En français, s'il-vous plaît !
     
    *à quand la présomption de sainteté pour les délinquants ? 
    lafautearousseau
  • A Dieu, cher Jean Raspail...

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    Notre ami Jean Raspail vient de nous quitter, à quelques jours de son 95ème anniversaire.

    Hospitalisé à l’hôpital Henry-Dunant à Paris, il avait reçu vendredi les derniers sacrements et est mort "entouré des siens", a indiqué son fils Quentin...

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    Avec Jean Raspail, ce sont les "puissances du sentiment" qui s'exprimaient.
    On le voit ici, aux Baux, en 1983, avec - à sa gauche - Pierre Chauvet, Pierre Pujo et Gérard de Gubernatis.

    Ecoutez-le parler aux Baux : Raspail au Rassemblement Royaliste des Baux de Provence, autour de 1980 ....

    Mon premier contact avec lui ne fut pas personnel, stricto sensu : ce fut la lecture de ce livre que j'ai immédiatement trouvé admirable, Le jeu du Roi.

    Ensuite, je l'ai interrogé à Paris, par une belle matinée ensoleillée (nous étions deux, qui interrogeâmes, ainsi, une bonne trentaine de personnalités) : son urbanité, sa gentillesse, son élégance et, bien sûr, ses positions, m'avaient fortement impressionnées...  Vous trouverez ici l'entretien : Quand Jean Raspail répond aux questions de François Davin et Pierre Builly...

    Puis, il est venu aux Baux; puis nous l'avons retrouvé à Paris, lors d'un Colloque de la RN : au repas du soir, il nous a raconté, justement, sa présence aux Baux, et l'impression que lui avait laissé Gérard de Gubernatis, qui faisait trembler la tribune !...

    Ensuite, nous l'avons encore retrouvé à Senlis, lors de ce beau mariage du prince Jean et de la princesse  Philoména...

    Lui qui a si souvent parlé, et magnifiquement, de royaumes, de Royaume, voilà qu'il vient d'entrer dans le vrai Royaume : très certainement, il dira "C'est grand, on me l'avait dit je l'ai cru, mais je ne savais pas que c'était aussi grand; c'est beau, on me l'avait dit, je l'ai cru mais je ne savais pas que c'était aussi beau..."

    A Dieu, et merci, cher Jean Raspail...

    François Davin

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    PS 1 : notre hommage à Jean Raspail continue demain et lundi...

    PS 2 : sur la vidéo que nous vous proposons, après Jean Raspail, vous pouvez entendre Gustave Thibon puis Gérard de Gubernatis. Derrière lui, on aperçoit Marcel Jullian, et on verra Pierre Debray à droite de Gustave Thibon. Et bien sûr, en fond, le drapeau historique de L'Action française Section de Marseille. "La Royale" finale est lancée par Pierre Chauvet aux côtés de qui on reconnaît le regretté Franck Lesteven, Jean-Marc Montoya et, à l'extrême droite, votre serviteur...

    lafautearousseau

  • Pas d’amalgame mais complémentarité, par Philippe Germain.

    Notre des­cente aux abîmes de l’Islam moderne nous ayant ame­né à iden­ti­fier, d’une part la guerre d’infiltration cultu­relle de l’Islam des ban­lieues et de l’autre la guerre armée de l’Islam radi­cal, voi­ci l’Action fran­çaise expo­sée à l’accusation « d’amalgame ». Et comme esqui­ver les attaques n’est pas une habi­tude maur­ras­sienne, alors mon­tons au cré­neau sur cette accusation.

    philippe germain.jpgD’abord en par­tant de l’essentiel : Le monde du poli­ti­que­ment cor­rect accuse « d’amalgame », tout ceux qui doutent que l’Islam des ban­lieues puisse évo­luer vers un « Islam des Lumières » pro­gres­siste. L’objectif de cette ins­tru­men­ta­li­sa­tion gros­sière (on le sait, plus c’est gros et plus cela marche !) est la culpa­bi­li­sa­tion detous les réfrac­taires à l’islamophilie. Et nous sommes nombreux !

    Pro­fi­tons de l’occasion pour une petite piqûre de rap­pel : L’amalgame, l’Action fran­çaise connait bien, voir très bien puisque Maur­ras a été indû­ment accu­sé d’intelligence avec l’ennemi en 1945. Il s’agissait bien là d’une volon­té d’amalgamerle maur­ras­sisme au ger­ma­nisme nazi. L’amalgame c’est – dit le dic­tion­naire Robert ‑ce pro­cé­dé employé pour décon­si­dé­rer un adver­saire, en le mêlant indû­ment à un groupe discrédité.

    Ce pro­cé­dé sour­nois – dont le maur­ras­sisme conti­nue d’ailleurs d’être la vic­time – l’Action fran­çaise cher­che­rait-elle à l’utiliser à son tour pour dis­cré­di­ter l’Islam des ban­lieues en le mêlant à l’Islam radical ? 

    Certes non !  Elle cherche même à évi­ter de pra­ti­quer l’amalgame entre Islam et isla­misme ou entre islam et ter­ro­risme. Elle reste pro­ba­ble­ment la seule à se sou­ve­nir de l’engagement des har­kis ayant choi­si la France entre 1956 et 1962. Elle n’oublie pas non plus le trai­te­ment inhu­main que la V° Répu­blique leur a réser­vé. Ces Fran­çais de reli­gion musul­mane et leurs fils se sont géné­ra­le­ment inté­grés, voir assi­mi­lés (c’est le seul islam réel­le­ment « modé­ré »). Ce sou­ve­nir d’un « savoir vivre ensemble » qui aurait pu être dans le cadre d’une Algé­rie fran­çaise, mais qui n’a pas été, l’aide à prendre soin de dis­tin­guer le Dji­had cultu­rel des uns du Dji­had meur­trier des autres. 

    Est-ce à dire que les maur­ras­siens voient entre les deux une simple dif­fé­rence de degré ? Cela pour­rait être le cas et cer­tains isla­mo­logues – non des moindres ‑estiment qu’entre Islam et isla­misme, il y a une dif­fé­rence de degré mais pas de nature. Pour notre part nous y voyons une dif­fé­rence de méthode pour un même objec­tif, celui de l’islamisation mon­diale, cette conspi­ra­tion à ciel ouvert, pour reprendre une expres­sion de Maur­ras. Oui, notre clé de lec­ture pri­vi­lé­giée de l’Islam (reli­gieux ET poli­tique) n’est pas reli­gieuse entre chiites et sun­nites de ten­dance sala­fiste ou wah­ha­bite. Elle n’est pas non plus mora­lo-idéo­lo­gique entre Islam modé­ré (le bon) et Islam radi­cal (le mau­vais). Non, elle est métho­do­lo­gique entre l’Islam pra­ti­quant le Dji­had cultu­rel (civi­li­sa­tion­nel) et celui déployant ses kami­kazes ter­ro­ristes sur des cibles symboliques.

    Mais… car il y a un mais ! 

    Mais nous ne pou­vons igno­rer une com­plé­men­ta­ri­té objec­tive entre les deux méthodes. Et oui, car à vrai dire, il n’y rien de bien nou­veau sous le soleil du ter­ro­risme isla­mique : Obli­ger les mous à vous rejoindre. Ici, obli­ger les musul­mans dit « modé­rés », à choi­sir entre l’un des trois camps. Celui des rené­gats del’intégration à la Répu­blique laïque ou celui des moud­ja­hi­dines de la guerre meur­trière ou au moins celui des mili­tants de la guerre culturelle. 

    Et il n’y a pas pho­to entre les options ! 

    Il est loin le temps ou la figure emblé­ma­tique des beurs était Zizou. Et oui, Ziné­dine Zidane, le fils d’Algériens né à Mar­seille assume serei­ne­ment son choix d’êtreFrançais. Zizou, le cham­pion de l’intégration par le creu­set répu­bli­cain (en véri­té l’argent du foot­ball !) fut reje­té au pro­fit de Ben Laden ; et Ous­sa­ma rem­pla­ça Zizou. Lourd sym­bole du choix des jeunes beurs. Le phé­no­mène n’est d’ailleurs pas spé­ci­fi­que­ment fran­çais et en 2002, Jean-Paul Ngou­pan­dé (ex-pre­mier ministre cen­tra­fri­cain) rap­pe­lait qu’après les atten­tats des tours amé­ri­caines, Ben Laden avait été fêté comme un héros dans les quar­tiers popu­laires des métro­poles afri­caines (Ah oui, sur 800 mil­lions d’africains, la moi­tié sont musulmans…).

    On com­prend fina­le­ment que chaque atten­tat fait bas­cu­ler un peu plus de beurs dans le camp de la révolte cultu­relle contre la France. Effet garanti !

    Chaque nou­vel atten­tat aimante les beurs vers ce que l’Action fran­çaise appelle le « pole idéo­lo­gique isla­miste ». Nous allons déve­lop­per ce concept éla­bo­ré par le socio­logue roya­liste Michel Michel.

    Ger­main Phi­lippe (à suivre)

    Pour lire les pré­cé­dentes rubriques de la série «  L’Islam enne­mi n° 1 bis », cli­quer sur les liens.

    France,  mai­son de la guerre

    Mai­son de la trêve et ter­ri­toires per­dus de la République

    Impact sur la France de la révo­lu­tion isla­miste de 1979

    Les beurs et la kalachnikov

    Le plan d’islamisation cultu­relle de la France

    Islam radi­cal et bar­ba­rie terroriste

    Source : https://www.actionfrancaise.net/

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : pourquoi ?

    • BRAVO À TF1 (pour une fois...) pour son reportage hallucinant de vendredi soir sur la nécessité de réactiver nos centrales à charbon, après la décision macronienne insensée, criminelle et contraire aux intérêts supérieurs de la Nation de fermer Fessenheim. Ce pauvre Système, ce pauvre semble-président mènent une politique de gribouille, qui aboutit à une aberration écologique. Au secours !

    • pourquoi la droite (?) au Sénat a-t-elle rejeté un amendement de Stéphane Ravier visant à refuser automatiquement l'asile aux immigrés condamnés, même à mort, pour terrorisme dans leur pays : elle préfère - selon la réaction indignée et juste du sénateur RN -  un terroriste bien vivant chez nous qu’un terroriste bien mort dans un autre pays ? Pour qu'il puisse tuer à nouveau, mais ici, cette fois ? Et faire ainsi, de n'importe lequel d'entre nous, des condamnés en puissance ?

    pourquoi ? (chiffres donnés par le gouvernement lui-même) :

    - 276.576 titres de séjour en 2019 (217.000 en 2015);

    - 590.131 cartes de résidents pour Algériens (ils travaillent tous ?);

    - plus 132.000 demandes d'asile en plus des 10.000 "dublinés" que nous devons accueillir;

    - 49.000 naturalisations...

    Oui, pourquoi ? De plus en plus d'entreprises françaises ferment ou vont fermer, donc de plus en plus de gens sont ou vont-être au chômage : pourquoi avons-nous besoin d'accueillir tous ce monde ? André Bercoff n'est pas le seul à le dire : "Des dizaines de milliers d'agriculteurs crèvent car on n'a pas d'argent pour eux. En revanche, on ouvre la bourse pour les centaines de milliers de migrants ... L'immigration coûte des milliards..." 

    pourquoi a-t-il fallu trois ans à la CAF pour démasquer l'énormité ? Ne sommes-nous pas au 21ème siècle ? N'envoie-t-on pas des engins vers Mars ? Et pour les autres, qui fraudent environ (simple estimation...) 50 milliards par an ? Combien de temps le Système va-t-il mettre avant de faire cesser ce scandale ? On a besoin de cet argent, de NOTRE argent, pour notre Recherche, notre Santé, notre Armée, l'augmentation des salaires dans de très nombreux métiers etc...

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    https://www.liguedefensejuive.com/avignon%e2%80%af-un-algerien-fait-de-fausses-declarations-et-percoit-plus-de-40-000-euros-dallocations-familiales-pendant-3-ans-2020-10-23.html

     

    • pourquoi le ministre Julien Denormandie estime-t-il que le sujet de l'abattage sans étourdissement ne doit pas être mis sur la table en ce moment, car - dit-il - cela susciterait des débats trop importants ? Tout simplement parce qu'il a peur des réaction de la masse musulmane présente sur notre sol. Et de la violence de ses réactions. L'auto-censure a commencé, depuis longtemps, déjà, et elle ne va faire que s'accroître. Jusqu'à ce que les Français se révoltent, et mènent la seule action qui pourra écarter cette chape de plomb qui s'abat lentement sur nous, avec l'Islam : une Guerre de libération nationale...

  • Après les antiracistes-racistes, voici les écolos-pollueurs, par Olivier Picard.

    Au sein de la gauche éclatée, les antiracistes défenseurs de positions ouvertement racistes ne sont plus les seuls à agir contre les valeurs dont ils se prétendent les défenseurs. Ils y sont rejoints par ceux qu’il est convenu d’appeler les écologistes pollueurs.

    4.jpgCertains auront peut-être relevé, dans la presse, la destruction, par les services municipaux de la ville de Paris, de la magnifique glycine centenaire du restaurant Chez Plumeau, place du tertre à Paris. Ce massacre à la tronçonneuse a été décidé en haut lieu par Christophe Najdovski, adjoint () d’ en charge de la végétalisation, de l’espace public et de la condition animale. La raison invoquée est que le végétal a été déclaré mort par une assemblée d’experts appelée par la mairie, diagnostic d’ailleurs formellement contesté par Émile Meunier, élu (EELV) du 18e arrondissement.

    Ce fait divers est symptomatique d’un état d’esprit qui n’est pas nouveau chez les écologistes. Comme ils bétonnent la place du Tertre et remodèlent Paris en n’hésitant pas à nous mettre devant le (mé)fait accompli, ils rêvent de faire de même avec le pays tout entier.

    Les voit-on s’émouvoir de l’effondrement de la biodiversité auquel est confronté notre pays ? De la disparition des insectes due à l’utilisation intensive des pesticides, elle-même vecteur de la diminution vertigineuse des populations d’oiseaux ?

    Sont-ils présents dans les médias pour dénoncer les abus de l’ intensive et ses conséquences sur l’environnement ?

    Sont-ils capables d’avoir un débat transparent et honnête sur la question de la transition énergétique ?

    Sont-ils tous sur le pont à l’Assemblée nationale pour soutenir des propositions de lois visant à mettre fin aux pires pratiques d’élevage infligées aux animaux, sources de pollution et qui, on le découvre aujourd’hui, peuvent aussi constituer un risque sanitaire sérieux ?

    À toutes ces questions, la réponse est non. En réalité, ces sujets ne les intéressent pas. Ils sont ignorants des questions du vivant, de la nature et de l’environnement, et peu concernés par l’avenir de la biodiversité française. Ils préfèrent la question consensuelle et mondiale du réchauffement climatique, sujet sur lequel ils peuvent s’impliquer à peu de frais et d’actions.

    Leur positionnement idéologique les conduit à contribuer à la pollution de notre environnement. Ils n’hésitent pas à soutenir l’éolien fabriqué à l’étranger, ses millions de tonnes de béton déversées et la pollution de nos paysages, et à vouer aux gémonies le , énergie décarbonée s’il en est. Ils ne lèvent pas le petit doigt pour s’opposer au lobby de la betterave qui permet le retour aux pesticides tueurs d’abeilles. Ils ne s’émeuvent jamais de la situation de nos petits et ne contestent pas les énormes cadeaux faits par l’Europe aux fermes industrielles.

    Les écologistes pollueurs constituent un courant politique qui, comme celui des antiracistes-racistes, devra être combattu.

     

    Olivier Picard

    Conseil en stratégie
     
  • REPENTANCE !, par Guy Adain.

    Vous avez toutes les raisons de nous en vouloir ;

    les crimes impardonnables que nous avons commis envers les vôtres sont imprescriptibles. Régicide, matricide et infanticide, l’horreur absolue, et appliquée au plus doux des rois : Louis XVI, Marie-Antoinette et leur fils le petit Dauphin Louis XVII !

    Voilà une tâche indélébile sur notre conscience nationale.

    Si nous devions, nous Peuple de France, nous repentir d’un mortel péché, ce serait bien celui-là !

    Nous avons massacré ignoblement votre famille, notre famille également : la Famille Royale de France !

     

    Voilà notre socle « Républicain » ! Voilà notre triptyque : liberticide, égalitariste et soi-disant fraternel !

    Le tout s’égouttant de son sang ci-devant bleu, dans le panier de son de la guillotine. Pas très belle à voir la réalité !

    En matière de repentance, nous sommes bien placés, et là nous ne parlons que du dessus du panier…On pourrait citer aussi « les baptêmes républicains » en Vendée, et autres gracieusetés de la Terreur républicaine, le tout éclairé par les « Lumières » accrochées…

    À la Lanterne !

    Ces souvenirs n’engagent pas à la…Restauration ! Les Français aussi, sont : « Un Peuple à la nuque raide » ! Les scènes de la vie quotidienne française n’ont rien pour charmer un Prince, fut-il charmant !

    De la Terreur, nous avons gardé le Terrorisme, et de la guillotine, les décapitations ! Quant à la Lèpre, elle est maintenant « Covidienne ».

     

    Et vous aimez La France, Monseigneur !

    Nous n’en doutons pas, mais n’attendez pas que les Français vous appellent. Il y a ceux qui ne savent pas, ceux qui ont honte et qui n’osent pas, et la majorité à qui l’on a fait croire que la France est dissoute dans la République. La République, c’est La France, il n’y a pas d’autre vérité que celle-là !

    Il faut donc commencer par rétablir la Vérité et la ressortir du puits où elle se terre (et comme on la comprend).

    Il faut profiter de la mode ambiante : La Repentance est à la mode !

    Repentons nous !

    Montrons l’horrible visage du « Variant Républicain » encore plus dangereux que ceux pour qui le vaccin est un peu efficace !

    La « Républicovide » est aussi une pandémie mondiale, peu en sont épargnés, mais nous avons une des plus belles et des plus sanguinolentes, à nous de montrer l’exemple, si la France redevenait Royale, ce serait un début que d’autres oseraient suivre…

    En ces temps où « crient les grandes mouettes », « les Grognards Demi-solde » n’en pouvant plus des « Servitudes », aspirent à retrouver les « Grandeurs… ».

    Le temps de l’action est venu !

    Avec le pardon sinon l’oubli, il est temps d’affirmer et de prouver que….

    Le Roi est mort !

    Mais

    VIVE LE ROI !!!

     

     

    Guy Adain

    02/052021

  • Passe sanitaire, l’AF au cœur du combat

    Same­di der­nier, des cen­taines de mil­liers de mani­fes­tants dans toute la France expri­maient leur colère contre un pou­voir abu­sif qui vou­drait impo­ser une nou­velle par­ti­tion des Fran­çais avec la passe vac­ci­nale.

    Ce même pou­voir qui dit lut­ter contre le sépa­ra­tisme, impose une frac­ture sociale entre une popu­la­tion « boboï­sée » et la France « péri­phé­rique ». Nos cama­rades de l’Action Fran­çaise sont pré­sents dans la plus-part de ces mani­fes­ta­tions. Aujourd’hui, les mili­tants d’Arras nous font par­ve­nir un compte ren­du à chaud.

    Bra­vo à nos cama­rades d’Arras (NDLR)

    « Nous avons mené le cor­tège anti-pass à Arras. 200 per­sonnes dans cette ville à l’es­prit bour­geois n’est pas ano­din. Can­ton­nés à la place, nous avons déci­dé de prendre les choses en main. Nous avons défi­lé illé­ga­le­ment dans les rues, la police était désor­ga­ni­sée. Fumi­gènes, ban­de­role, il ne man­quait que le méga­phone. Mais cela a suf­fi à mener une masse au mini­mum deux fois plus nom­breuse que la semaine der­nière.
    Les remer­cie­ments, outre qu’à mes mili­tants et à Gus­tave Le Bon, vont à Nico­las Schweit­zer, véri­table ins­ti­ga­teur spi­ri­tuel de notre coup.
    Sur l’organisation, le maté­riel ou l’at­ti­tude à avoir pour mener une foule, mer­ci à l’AF et les pré­cieux conseils de tous ses membres, comme d’ha­bi­tude fina­le­ment. Vive­ment le camp ! »

    Robin Plt

    Source : https://www.actionfrancaise.net/

  • ”Le” débat d'hier soir : ”la France, Patrie des Lumières” (Macron) ? Niaiserie ! Par contre, la Révolution, mère de la T

    lfar flamme.jpgLe débat d'hier a été plus serein et policé que le dernier d'il y a cinq ans; parfois un peu long, trop technique, voire ennuyeux.

    On parlera ici d'un seul moment de ce débat, celui où Macron, se voulant lyrique, a cru bon de devoir parler de "la France des Lumières".

    Hubert Védrine - qui ferait un excellent Ministre des Affaires étrangères du Roi de France... -  avait déjà parlé, il y a pas mal de temps, de ces "vieilles lumières" qui, de toutes façons, n'intéressent pas grand monde sur terre, à part les privilégiés du Système qui, ici, en France, en vivent...

    Ces "vieilles lumières" qui, sitôt advenue la Révolution qu'elle ont amenée, ont immédiatement naufragé et sombré dans le terrorisme d'État, la Terreur, le Génocide vendéen; elles qui ont débouché sur le scientisme du XIXème siècle, puis sur les horreurs et monstruosités des Totalitarismes du XXème, nazi et marxiste-léniniste...

    Que Macron s'y soit référé, comme à une sorte de talisman, c'est normal : il est le chef, aujourd'hui, de ce que Gustave Thibon appelait le "chaos figé des conservateurs du désordre", qui s'appelle "République française" mais qui n'a de république (et de démocratie) que le nom, pas la chose; et qui se veut et se proclame héritière du "chaos explosif des révolutionnaires" de 89/93.

    Macron, c'est Robespierre et les sans culottes en costard/cravate, mais c'est bien Robespierre et Danton, Saint Just et la Convention, comme le stipule le court préambule de l'actuelle Constitiution.

    Les incantations n'y changeront rien : la France d'aujourd'hui, considérablement déclassée et appauvrie par rapport à "la Chine de l'Europe" qu'était la France royale de Louis XVI, est livrée (telle la mouche dans une bouteille, dont elle n'arrive pas à sortir...) au totalitarisme de fait de la Nouvelle Religion Républicaine. Et ce n'est pas en changeant simplement la tête de ce Système intrinsèquement malfaisant et pervers, pourri jusqu'au trognon, qu'on la sauvera : c'est en renvoyant ce Système, et en re-branchant la France - si on nous permet l'expression - sur le Régime qui l'a faite, en mille ans, et qui a fait sa grandeur.

    La France se sauvera en retrouvant ses vraies lumières, celle de ses traditions fondatrices, gréco-romaines et judéo-chrétiennes, et non pas en cultivant les "vieilles lumières" (soi-disant et auto-proclamées lumières...) des soi-disant et auto-proclamés "philosophes" du XVIIIème.

    Macron a, finalement, bien fait de lancer son incantation/mantra : quand on voit l'obscurité et les ténèbres qui résultent aujourd'hui de ces "vieilles lumières" dont parle Védrine; la décadence effroyable qui en est le fruit actuellement, on comprend bien, en creux, que le vrai choix pour la France n'est pas celui de la nouvelle tête du Système, mais celui entre le mauvais Système qui la tue lentement et le bon Régime, le bon gouvernement pour elle : sa Royauté traditionnelle.

    Voilà pourquoi, confortés par cette péripétie du débat d'hier, nous poursuivons dès ce matin - et nous la poursuivrons dès dimanche, après être allé voter, contre Macron, le toujours antinational -  la seule action qui vaille d'être menée, "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)

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  • Après l'assassinat de Dominique Bernard par un terroriste islamiste à Arras...

    L'Action française communique...

     

     

    Paris, le 14 octobre 2023

     

    Attentat à Arras : est-il déjà trop tard ?

     

    Une fois de plus, un Français est mort ce matin à Arras, sous les coups de couteau d’un terroriste et au cri, une fois de plus, d’ « Allah Akbar ».

    Ce crime intervient quelques jours après l’attaque terroriste du Hamas et au lendemain de l’intervention de notre Président, qui invitait les Français à « rester unis ». Mais que signifie « rester unis » quand ils ne le sont à l’évidence plus, et depuis bien longtemps ?

    Ce crime intervient deux jours après les déclarations de Gérard Larcher, ministre ou sénateur depuis plus de 30 ans, qui, en se cachant derrière la faiblesse collective, avouait sans l’assumer que nous avions été « trop faibles » en laissant s’installer le climat qui, des émeutes de juillet à l’attentat de ce matin, donne hélas raison à tous ceux qui n’ont pas attendu les propos d’Henry Kissinger pour savoir que « c’était une erreur de laisser entrer autant de gens de culture, de religion et de concepts totalement différents ».

    Ce crime intervient alors que l’on vient d’apprendre qu’en 2014, le cabinet de Manuel Valls avait renoncé à expulser la famille de l’assaillant, influencé peut-être par un communiqué du Parti communiste qui s’indignait de cette possible expulsion, de nature à « saboter la vie d’une famille » – mais c’est celle d’une autre famille qui a aujourd’hui été sabotée.

    Ce crime intervient en pleines tergiversations de la France insoumise qui, en camouflant derrière le droit international et l’ONU son refus de qualifier l’attaque du Hamas de terroriste, a pu laisser penser qu’il s’agissait d’une riposte légitime qui en appelait d’autres.

    Ce crime intervient alors que le Conseil constitutionnel refuse la dissolution d’associations propalestiniennes et que des manifestations interdites se tiennent place de la République à Paris.

    « La seule réponse au terrorisme est toujours une réponse forte » disait encore Macron hier soir. Il n’est malheureusement pas certain qu’il s’applique à lui-même ce précepte, lui qui, dans un aveu dont nous prenons acte, justifiait l’inaction par le risque de guerre civile. A force d’avoir peur d’en faire trop, la République fait surtout trop peu, trop mal, et, comme nous le redoutons, trop tard.

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

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    Au fait, quelqu'un a prévenu Douglas que la fête était annulée ? Vous savez, Douglas, ce brave chien qui avait voté pour Pécresse/Détresse à la Primaire ?...

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    1. Hier, nous montrions ici-même deux cartes montrant la corrélation entre immigration récente et vote Mélenchon en Seine Saint Denis. Aujourd'hui, passons à Paris même : édifiant là aussi, non ?...

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    Cliquez sur l'image pour l'agrandir...

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    2. Les manipulateurs/magouilleurs du Système ne se mangent pas entre eux ! La soupe est bonne : bon appétit, tristes messieurs !...

    À BAS CE SYSTÈME POURRI !

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    Vraiment bien, la "réaction" de nos amis de l'Action française Bordeaux :

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    3. Sans commentaire(s) ! /

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    4. Jordan Bardella, sur la lutte contre la souffrance animale : l'étourdissement sera obligatoire avant l'abbattage. Il lui a été un peu laborieux d'expliquer cela face aux deux pitts-bulls agressifs de journaleux, mais bon...

    (extrait vidéo 1'40)

    https://twitter.com/BFMTV/status/1513554046862438401?s=20&t=saia76mFWlQydVsj1VhWoQ

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    5. Un nouveau procès s'ouvre pour les harceleurs de Mila : ils continuent à dire, sur les réseaux sociax, que leurs menaces de mort et autres du même acabit n'étaient qu' "anodines" ! Ben, voyons !

    https://www.europe1.fr/societe/affaire-mila-un-nouveau-proces-pour-ses-harceleurs-4105197

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    6. Sur le "cas Hidalgo", d'accord avec Ghislain Faribeault (sur tweeter) :

     
    "2002 : Lionel Jospin, 65 ans obtient 16,18% des voix et quitte la vie politique. 2022 : Anne Hidalgo, 63 ans, obtient 1,7% des voix, s'accroche à Paris, jamais élue à une élection au scrutin direct et profite déjà depuis 11 ans de sa retraite de la fonction publique."

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    7.                                              saccageparis

    Paris bobo, Par'Hidalgo, Paris pas beau !

    La Mairie appelle "ça" :  "végétalisation des pieds d'arbre" !!!!

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    Devant la Gare Montparnasse :

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    Place du Châtelet...

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    ...et Place Sainte Opportune 

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    Il fut un (heureux...) temps où c'était un kiosque... :

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    Allez, on arrête là pour aujourd'hui : c'est trop pénible de voir notre si belle "ville lumière" saccagée ainsi...

     

     

     

    À DEMAIN !

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  • Des djihadistes « français » vont revenir ? C'est une Cour martiale recréée qui doit les recevoir...

     

    grain de sel.jpgLe procureur François Molins et Daniel Thomson, auteur d'un retentissant Les Revenants nous préviennent : il faut s'attendre à une reprise des attentats et carnages de masse, en France, à cause de la déliquescence de Daech : 2.000 "français de plastique" partis combattre en Syrie aux côtés de Daech vont en effet rentrer, disent-il, et il faudra allonger les peines de prison afin d'éviter qu'ils ne commettent des attentats.

    Mais il ont tort.

    Il ont même faux sur toute la ligne.

    Nous sommes en guerre, oui ou non ?

    Si nous ne sommes pas en guerre, alors cessons de jouer la comédie de l'état d'urgence, renvoyons les soldats dans leurs casernes et leurs terrains d'entraînement  pour qu'ils s'y exercent et se préparent, permettons aux policiers et gendarmes de souffler enfin et de prendre leurs jours de repos bien mérités etc... etc...

    Par contre, si nous sommes en guerre, alors agissons comme on le fait ordinairement en temps de guerre : recréons une Cour martiale pour juger les désertions, trahisons et autres actes contraires à l'action de l'armée française.

    Par exemple, pour ces pseudo français, français uniquement "de plastique" mais "sans avoir le coeur ni l'esprit français", comme le disait le Père de Foucauld*. Ils ont fait un choix : ils ont trahi la France, leur pseudo pays, pour servir dans l'armée ennemie qui nous attaque et nous assassine, à Nice, à Magnanville, à Paris et ailleurs.

    A leur retour, il ne faudra pas les emprisonner : ce devra être la Cour martiale, la condamnation, et fusillés ! On a fusillé des pauvres hères, en 14/18, parce qu'ils n'en pouvaient plus des conditions inhumaines des tranchées; on vient à peine de les réhabiliter, un siècle après, et on serait clément envers des traîtres pour de bon, complices conscients et lucides des lâches assassins, et qui se  sont transformés, chez nous, en bêtes fauves ?

    Dans son livre fort utile, Daniel Thomson dit - ce que tout le monde savait déjà - que Daech ne peut plus "recevoir" de combattants (en fait, d'assassins...) et que le message délivré maintenant est : restez chez vous, pour frapper chez vous. Sauf que, "chez vous", c'est ici, et c'est "chez nous", c'est la France. Et on traiterait avec des égards ces misérables traîtres et assassins, faux combattants mais vrais traîtres et vrais salauds, soldats du meurtre, du crime, de l'abjection ? Comme on le fait avec ce Salah Abdeslam qui devrait être ad patres depuis plusieurs mois déjà ?

    Non, on doit agir, en temps de guerre, comme il convient d'agir en temps de guerre, et envoyer des signaux forts, qui s'appellent, en l'occurrence, pelotons d'exécution... 

    * Dans sa lettre à René Bazin : Père de Foucauld