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  • Courses-poursuites : « Les Français attendent une police forte et une réponse pénale forte », par Michel Thooris.

    Selon un pour CNews, 8 Français sur 10 sont favorables aux courses-poursuites pour mettre fin aux rodéos sauvages.

    Au micro de Boulevard , réaction de Thooris, qui revient également sur le thème de la sécurité mis en avant en cette période électorale, et à moins d’un an de la présidentielle.

    https://soundcloud.com/bvoltaire/michel-thooris-708233882

    Huit Français sur dix sont favorables au maintien des courses-poursuites dans le cadre d’opérations policières. Quelques villes de France ont interdit ces courses-poursuites essentiellement pour des raisons de sécurité des riverains. Qu’est-ce que cela révèle de la société française ?

    Cela témoigne que les Français soutiennent leur et demandent une position sécuritaire forte de la part du gouvernement. Lorsque notre organisation syndicale prône le modèle, en termes de sécurité, du président Duterte aux Philippines, cela témoigne que dans de nombreuses démocraties, y compris la démocratie française, la population attend une forte et une répression pénale forte aux atteintes et aux troubles à l’ordre public.

    Cette décision est-elle une volonté de ne pas régler le problème ?

    C’est tout simplement de la . Dès lors qu’il y a des courses-poursuites, il y a un risque que le fuyard se blesse ou se tue dans sa chute. Évidemment, le gouvernement n’assume pas un délinquant ou un criminel qui se blesserait ou se tuerait dans sa chute. Pour ne pas faire de vague, on demande à nos collègues de ne pas prendre en charge ce délinquant et de le laisser gentiment partir.
    Cela pose un problème collatéral. Le risque qu’on minore par l’intervention de police, on le majore par le risque que cet individu crée un accident de la route un peu plus loin, sans même que les policiers le prennent en . C’est un problème purement idéologique. Le gouvernement est souvent fort avec les faibles. Je dis les faibles, car c’est facile de mettre des radars sur les routes et créer un impôt sur la route en prenant la maman solvable qui a dépassé de 2 km/h sur l’autoroute. En revanche, les vrais criminels de la route bénéficient d’une forme d’impunité avec impossibilité, pour les forces de police, de les prendre en chasse et de les interpeller.

    La sécurité est pourtant au cœur de la politique et devient un sujet national. Est-ce bon signe, pour vous ?

    Je crois que, malheureusement, plus on parle de sécurité et plus on est dans l’inaction. Toutes les campagnes électorales basées sur la thématique de la sécurité révèlent toujours plus de laxisme. De ce point de vue-là, on est dans la même situation. Il y a une bipolarisation de la vie . Emmanuel Macron veut tout faire pour amener Marine Le Pen au second tour, puisqu’il sait que c’est sa seule chance d’être réélu. Pour amener Marine Le Pen de manière certaine au second tour, il a tout intérêt à mettre les questions de sécurité au cœur de la campagne, sachant que, in fine, lorsque les seront passées, on se retrouvera à nouveau avec Dupond-Moretti et toute cette clique dont l’idéologie va toujours vers plus d’impunité pour les criminels et toujours plus de contrôle et de répression vis-à-vis d’une police prise entre deux feux politique et médiatique. On ne pense pas que le fait de parler des problèmes de sécurité puisse, demain, aboutir à une véritable refonte sur la question pénale.

     

    Michel Thooris

    Secrétaire général du syndicat France Police
  • La nation française, tentative d'une définition. Partie 1 : Une nation plurielle contre la Nation jacobine, par Jean- Ph

    La prochaine élection présidentielle va-t-elle relancer l’éternel débat sur la nation et sa définition, certains souhaitant substituer au drapeau tricolore l’étendard étoilé de l’Union européenne, tandis que d’autres voient dans ce dernier un véritable blasphème à la République, y compris un Jean-Luc Mélenchon qui y reconnaît une opposition de principe entre nation laïque et Europe chrétienne ?

    jean philippe chauvin.jpgEn fait, ce débat mérite d’être abordé et toujours renouvelé car, par nature, si la nation est un « être », elle est donc également vivante et mortelle à la fois. La nation, dans son acception française « historique » (ce dernier qualificatif devant être bien distingué de celui d’hystérique), celle qui précède l’idéologique chère aux jacobins des années révolutionnaires, n’est pas un absolu « fini » et indépassable, mais, bien au contraire, une médiation au monde et au temps pour ceux qui y appartiennent et en sont le corps démographique et civique. Et elle n’est pas non plus un « bloc » mais un ensemble pluriel, une marqueterie de communautés et de personnes, dont les identités se superposent et se croisent, voire se mêlent et s’emmêlent, dans la maison commune de la nation française.

     

    Fruit d’une histoire politique fort mouvementée, la nation française apparaît comme une unité politique et géopolitique organisée par (et autour de) l’État central qui, au fil des siècles, se transformera en État centraliste après avoir été centralisateur quand il n’était, à l’origine, que le centre dominant et ordonnateur, plus ou moins efficace au Moyen âge, et s’incarnant dans un roi, d’abord suzerain féodal avant que de devenir souverain national. Quand la Monarchie s’est voulue fédératrice et fédérative, la République se pensera immédiatement comme centraliste, et les Girondins, qu’une lecture un peu rapide de la Révolution française oppose aux Jacobins, ne seront pas moins centralisateurs que les autres futurs bonapartistes, même si leurs racines provinciales pouvaient les amener à critiquer certains excès de la centralisation en cours. Mais tous les partisans de la Révolution transformée en République considèrent la nation comme un bloc « Un et indivisible » et renient les provinces, découpées en départements (en décembre 1789) dont l’artificialité correspond à une volonté de simplification administrative, cette dernière devant faciliter l’exercice de la souveraineté d’une « volonté générale » concentrée dans les assemblées parisiennes.

    Ainsi, il faut bien distinguer la Nation avec majuscule de la nation au sens ancien (et nôtre…) ou, plutôt, au sens historique du terme, une nation qui n’a pas besoin de majuscule pour être et durer… La « Nation » est plus une idéologie qu’une réalité historique et politique : les Jacobins en feront même un mythe et un système tout à la fois, au risque de la couper des racines fondatrices de la France, et la négation chez les plus républicains des fondations capétiennes, négation traduite par la formule anhistorique « la France est née en 1789 », se marquera par l’adoption (temporaire) d’un calendrier commençant à la chute de la Monarchie en 1792 ! Or, remarqueront les historiens, l’on ne peut parler de Révolution française que parce que, justement, il y a une France préexistante à cet événement révolutionnaire. C’est la Troisième République qui, plus intelligemment que les partisans de la Première, réintégrera (récupérera ?) l’histoire ancienne de la France, en effaçant dans le même temps les histoires particulières des provinces de France, comme si elles n’avaient jamais existé indépendamment de la France. Ainsi, depuis Jules Ferry, les écoliers bretons n’apprennent rien du passé de leur propre terre avant la duchesse Anne de Bretagne et le rattachement du duché au royaume de France, à la fin du XVe siècle. Au nom de cette même conception de la « Nation majusculaire », les langues de France non-francophones furent implacablement chassées des lieux d’enseignement et de l’histoire même de la France, jusqu’à disparaître (ou presque) des paysages sonores de nos villes et campagnes. Cette épuration linguistique et historique se fit au nom d’une conception uniformisatrice et égalitariste, loin de la souplesse monarchique et de sa prise en compte, parfois complexe et controversée, des identités et des traditions locales.

     

    (à suivre)

    Source : https://jpchauvin.typepad.fr/

  • Les deux 14 Juillet, par Christian Vanneste.

    Il y a toujours eu deux 14 Juillet. La Fête nationale commémore une autre fête qui eut lieu en 1790, la Fête de la Fédération qui s’est déroulée sur le Champ de Mars un an après la prise de la Bastille. Le Roi revenu à Paris depuis octobre la préside. La Fayette est le grand homme du jour. Il commande la garde nationale de Paris et c’est lui qui organise ce rassemblement des fédérations des gardes nationales  venues de toute la France.

    christian vanneste.jpgIl prête serment à la Nation, à la Loi et au Roi qui lui même jure fidélité à la Constitution. Talleyrand célèbre la messe. La France est devenue une monarchie constitutionnelle. La famille royale est acclamée avec une ferveur qui semble unir les Français dans cette adhésion à une France nouvelle. A quelques jours près, l’année suivante, La Fayette et Bailly, le premier maire de Paris, font tirer sur la foule au même endroit. Le pays descend la pente vers la Terreur, dont les germes étaient apparus l’autre 14 Juillet, celui de 1789, lorsque après la reddition de la prison-forteresse, la foule avait massacré le gouverneur De Launay, tandis que l’on assassinait le prévôt des marchands De Flesselles, les têtes de l’un et de l’autre étant ensuite “promenées” dans la ville au bout d’une pique. Quand en 1880 cette date devint celle de la Fête Nationale, la gauche y voyait la commémoration de la révolte populaire qui commença la révolution conduisant à la république. La droite, au contraire, voulait que ce soit la célébration de l’union nationale dans un pays ayant retrouvé un équilibre de ses institutions. Les uns pensaient à 1789, les autres à 1790.

    Cette dualité française a subsisté. Il y a eu cette année deux 14 Juillet : celui de la cérémonie officielle circonscrite à la Place de la Concorde, et celui de la manifestation de la Place de la République qui a entraîné des heurts avec la police. Il y avait des soignants des deux côtés, ceux que l’on mettait à l’honneur à la Concorde, et ceux qui manifestaient pour réclamer des moyens et protester contre un pouvoir qui les méprise, à la République. Le spectacle d’affrontements entre manifestants et Forces de l’ordre un jour de Fête Nationale est choquant. La réduction de la Fête officielle, habituellement marquée par un grand défilé militaire propre à stimuler la fierté nationale, à un spectacle plus composite et plus intime, s’inscrit dans la “réinvention” annoncée. Sans véritable public, il tenait à la fois de la remise des prix, pour récompenser les “premiers de corvée” du COVID-19, et de la page d’histoire afin de récupérer comme prévu la silhouette du Général de Gaulle pour rehausser l’image du titulaire actuel de la présidence. Peut-on en même temps se mettre dans l’ombre du Général qui voulait la grandeur de la France et rapetisser la manifestation qui chaque année la rappelle ? La voix doucereuse et même parfois éteinte de M. Macron lors de l’interview à laquelle il a cette année condescendu participait du même changement. Jupiter avait entamé son mandat sur un ton péremptoire, en premier de cordée méprisant et parfois transgressif, entouré de ses amis socialistes “progressistes”. Avec un nouveau gouvernement lesté d’opportunistes venus des Républicains, il se veut davantage le grand frère qui vient en aide à sa famille dans le malheur, donneur de conseils de prudence, presque “Père Noêl” pour les annonces généreuses de celui qui aime et ne compte pas, et pas du tout Père Fouettard pour les impôts. Mais les deux journalistes complaisants n’ont pas eu l’indélicatesse d’insister sur la contradiction.

    En somme le 14 Juillet 2020  a réuni une Fête de la fédération rabougrie et tristounette, et un petit désordre bien de chez nous avec ces éternels insoumis qui ont toujours des Bastilles à prendre pour soigner leur vide intérieur. Dans le fond, c’était une Fête Nationale au rabais. On remarquera que Poutine, s’il a changé la date, n’a, lui, rien retiré au faste habituel du grand défilé sur la Place Rouge, destiné à montrer au monde entier que la Russie s’est réinvitée parmi les grands du monde. Pour cause de pandémie, la France militaire a été priée de se faire plus discrète. Ni la Fête de la musique, ni les rassemblements racialistes et antinationaux n’ont subi de restriction, comme si les activités privées ou revendicatives étaient désormais plus importantes que les célébrations nationales. Pour Macron, la France est un pays de 66 Millions d’habitants, non une nation de citoyens. Pas un mot d’ailleurs de politique étrangère : alors que la Turquie marque des points et se fait de plus en plus provocante et offensive, la France se tait sur un monde arabe où elle a accumulé les fautes et les déconvenues. Le 14 Juillet permet une démonstration de puissance et de volonté. Il n’a été cette année que la fête d’une nation qui se recroqueville sur ses problèmes de santé.

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : non, la Monarchie, ce n'est pas la dictature !!

    Voici encore un argument que certains opposent régulièrement aux royalistes et auquel il nous semble utile de répondre : « La Monarchie, c'est la dictature, tout le contraire de la République... » Eh bien, non, la Monarchie, ce n'est pas la dictature tout comme la République, ce n'est pas la liberté, et nous le prouvons !

    Dans l'histoire comme dans le projet contemporain, et c'est de la France dont il s'agit ici, la Monarchie n'est pas une dictature et n'a pas vocation à le devenir, même si la tentation d'un régime autoritaire a pu exister de la part de quelques royalistes lors du premier XXe siècle, furieux de la déliquescence d'une IIIe République qui laissait la voie ouverte à la puissance germanique et, bientôt, à l'occupation de notre pays.
    Sous l'Ancien régime, la Monarchie était plus fédérative que centraliste, et les provinces, les villes, les métiers avaient de nombreuses libertés, des « franchises et privilèges » disait-on alors, au point que l'historien Funck-Brentano a pu parler d'une « France hérissée de libertés ». Cela n'empêchait pas la construction d'un État central qui s'imposait peu à peu à tous, à un rythme lent mais sans discontinuer et sans, sur le fond, attenter aux « libertés traditionnelles », cherchant plutôt l'équilibre que la démesure. Bien sûr, la nécessaire lutte contre les féodalités ne se faisait pas toujours dans la délicatesse et la raison d’État, en devenant un élément important de l'exercice et de l'essence même de l’État, a parfois justifié des mesures qui ressemblent à celles d'un état d'urgence contemporain. Comme tous les régimes humains, la Monarchie n'est pas « parfaite », en particulier parce qu'elle reconnaît, justement, l'imperfection des hommes, et qu'elle s'en contente sans vouloir forger un « homme nouveau », vieux rêve des utopies que les républicains de 1793 voudront mettre en application, obligés alors d'instaurer un régime de Terreur qui préfigure les totalitarismes du XXe siècle...
    La Monarchie, aujourd'hui, ne serait pas plus une dictature qu'elle ne l'a été avant 1789 et de 1814 à 1848, cette dernière période étant celle de l'installation définitive d'un système parlementaire qui, sous les Républiques suivantes, a dégénéré en parlementarisme, au moins jusqu'en 1958 et l'instauration d'une République plus « monarchique » que les précédentes sans aller jusqu'à son terme institutionnel logique...
    S'il y a l'exemple des Monarchies européennes, plus symboliques que décisionnaires, elles ne sont pas forcément représentatives des espérances monarchiques françaises. Mais elles montrent à l'envi que l'idéal monarchique n'a rien de dictatorial, et, dans le cas de l'Espagne, la royauté a permis et a mené une « révolution tranquille » qui, si elle peut parfois nous surprendre, a inauguré véritablement une pratique du débat politique décomplexé et un régime parlementaire classique selon les canons européens... Ce dernier exemple ne signifie pas que cette forme de la Monarchie soit exactement adaptée à la France, mais il montre les possibilités démocratiques offertes par une Monarchie locale.
    La Monarchie « à la française », par son essence même, est la meilleure antidote à la dictature, y compris à celle de l'Opinion publique, souvent versatile et parfois inflammable : en ancrant la magistrature suprême de l’État dans le temps et dans les habitudes, au-delà des intérêts particuliers (et antagonistes, souvent) du moment et d'un lieu, elle peut jouer ce rôle de représentation diplomatique nationale et celui d'un trait d'union entre les diversités françaises, d'un arbitrage permanent et mesuré sans être omnipotent et hyperactif... En somme, tout l'inverse d'une République trop centralisée ou (et ?) trop féodaliste dont l'état d'urgence désormais presque permanent depuis 2015 apparaît comme la défense maladroite d'un régime qui ne croit même plus en sa légitimité propre...
     
  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    "Affaire SciencesPo", d'accord avec Philippe Bilger :

    "Ce serait une erreur de ne nommer un directeur (homme ou femme) sciencesPo qu’en référence à l’affaire Duhamel : il faudra aussi quelqu’un qui remettra de l’ordre et ne permettra plus à des minorités totalitaires et gauchistes d’étouffer la liberté d’expression !"

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    1. Le Passe sanitaire va mal semble-t-il... :  le groupe FNAC-Darty jette l'éponge concernant son contrôle à l'entrée de ses magasins ! Message aux clients : "Nous vous accueillons sans passe sanitaire"... Mais, plus surprenant encore : tous les préfets d’Ile-de-France ont reçu l’ordre de suspendre le Passe Sanitaire :

    https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-en-france-tous-les-prefets-dile-de-france-ont-recu-lordre-de-suspendre-le-pass-sanitaire/

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    Et BFM/TV pose carrément la question : 

    VERS LA FIN DU PASS SANITAIRE DANS LES CENTRES COMMERCIAUX?

    https://www.bfmtv.com/economie/consommation/vers-la-fin-du-pass-sanitaire-dans-les-centres-commerciaux_AV-202108250366.html

     

    1. BIS. Le Parisien (dans un article réservé aux abonnés) présente les deux avocats qui sont à l’origine de la suspension du sésame dans les centres commerciaux des Yvelines :

    "Maîtres Yoann Sibille et Tarek Koraitem ont obtenu ce mardi la suspension de l’arrêté préfectoral exigeant de présenter le passe sanitaire dans les centres commerciaux du département. Chevaliers blancs des anti-passe, les deux avocats du barreau de Versailles assurent que leur combat n’a rien de politique mais repose uniquement sur le terrain du droit."

    Versailles (Yvelines), mardi. Maître Yoann Sibille a attaqué l’arrêté du préfet des Yvelines instaurant le pass sanitaire dans 14 grands centres commerciaux devant le tribunal administratif, avec l'aide de son confrère Maître Tarek Koraitem. LP/J.C.

     

    3. C'est dans Valeurs : la foldingue escrolo Sandrine Rousseau en est à une cinglerie par jour et, surtout, elle veut que cela se sache. Après avoir dit (sic) qu'il valait mieux laisser entrer chez nous les terroristes car, ainsi, on pourrait mieux les surveiller (vite, un Prix Nobel de la cinglerie ou alors... une camisole !) la voilà qui dit préférer "les femmes qui jettent des sorts" aux "hommes qui construisent des EPR" ! Normalement, on crie "au fou !" mais puisque ces dames veulent absolument qu'on féminise, on va dire : "à la folle !", non ?

    https://www.valeursactuelles.com/politique/lecologiste-sandrine-rousseau-prefere-des-femmes-qui-jettent-des-sorts-plutot-que-des-hommes-qui-construisent-des-epr/

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    4. Macron discute donc avec les Talibans, mais refuse de parler à la Syrie; Thierry Mariani pose la bonne question :

    Thierry MARIANI
    "Donc, Macron accepte des "contacts opérationnels" avec les talibans (et dans la situation actuelle, il a raison) mais continue à les refuser avec la Syrie, État qui respecte le droit des femmes et lutte contre les islamistes. Où est l’intérêt de la France ?"

    https://www.lemonde.fr/international/article/2021/08/27/afghanistan-des-contacts-operationnels-entre-la-france-et-des-talibans_6092552_3210.html

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    5. La Une révélatrice des nostalgies de Libé ? On parle souvent de "lapsus révélateur" : voici bien une  Une qui laisse apparaître au grand jour les nostalgies cachées de Libé : nostalgie du bon vieux temps du "stalinisme/maoïsme et compagnie", de l'auto-critique évidemment spontanée (!), des bons vieux camps de ré-éducation (il n'y a que ça de vrai !), des bons procès politiques aboutissant aux aveux de tout ce que voulait "la direction du Parti"...

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    6. D'accord avec Max (sur tweeter), et on le fait quasiment tous les jours ici-même :

    "Supprimer le nucléaire zéro carbone, limiter la vitesse à 30kms/h en ville, monter des éolienne sur 100 tonnes de béton : les écolos sont les pollueurs du 21ème siècle, il faut les dénoncer."

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    Non à l'écocide/éoliénicide !...

     

    7. Et l'on terminera cette série d'aujourd'hui sur deux petits sourires :

    • avec Boulevard Voltaire, qui observe que notre époque a désormais son énigme : le Président est-il "piqué" ? :

    https://www.bvoltaire.fr/la-piqure-du-president/

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    • et avec France 2, qui annonce une nouvelle saison pour La faute à Rousseau : Nous, c'est bientôt la saison 15 !...

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    Les Français sous le charme de lfar ? On est ravis de l'apprendre !

    Mais, méfiez-vous des contrefaçons !...

     

    À DEMAIN !

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  • Cette guerre civile qui vient, par Charles Rojzman.

    Emeutes à Villiers-le-Bel en 2007 (Photo : SIPA.00552640_000018)

    Une guerre “émotionnelle” de tous contre tous qui est déjà “dans les têtes”. Un éclaircissement par la thérapie familiale

    1.jpgLes violences collectives se préparent pendant des décennies. Les haines montent et sont visibles seulement dans des petits incidents réguliers auxquels on ne prête pas toujours attention. Ces haines et ces préjugés, ces méfiances séparent les groupes, les communautés, en fonction d’une appartenance ethnique, religieuse, mais aussi en fonction des identités collectives ou des idéologies.

    La guerre civile qui vient ne se situe pas nécessairement là où certains le croient, entre musulmans et non musulmans, entre les banlieues et le reste de la société. La guerre civile occidentale est à l’intérieur des nations, des peuples, des sociétés. Elle n’est pas seulement ethnique, elle est idéologique ou plutôt émotionnelle. Elle rassemble des personnes qui ont des visions du monde opposées, antagonistes et manichéennes, qui diabolisent l’autre camp et idéalisent le leur, seul censé représenter la vérité.

    Cette guerre civile qui selon moi est déjà « dans les têtes » met en confrontation parfois violente des parties de l’opinion publique qui s’opposent effectivement sur la question de l’identité nationale, de l’immigration, de la place de l’islam en Occident mais aussi, surtout depuis la crise sanitaire, sur le rôle que doivent jouer les institutions et la puissance publique.

    Nous avons d’un côté des milieux protégés des conséquences fâcheuses de la globalisation du monde, séduits par l’exotisme du multiculturalisme et demeurant dans des centre villes, bientôt végétalisés et piétonnisés par la grâce de la nouvelle écologie urbaine. Ils envoient leurs enfants dans de bonnes écoles et pensent que le monde qui vient est un monde d’opportunité et de réussite.

    Et loin d’eux, dans cette fameuse France périphérique des masses de travailleurs en chute sociale, inquiets d’un avenir qui leur échappe, sans perspective d’amélioration de leur sort, ayant, eux, tout à perdre dans cette globalisation qui leur arrache leur travail et aussi l’identité collective qui faisait, peu ou prou, leur fierté.

    La guerre civile est là : entre, d’un côté, ceux qui ont peur qu’on leur arrache ce qui donne du sens à leur vie désormais – leur identité, leur travail, leur tradition, leurs habitudes et leurs civilités – et qui demandent la protection d’une autorité qui les sécurise, les rassure, les reconnaît dans leur identité et, de l’autre, le monde des nouveaux bourgeois.

    Mais ce monde des nouveaux bourgeois a aussi ses fractions. Une partie d’entre eux sont des bohèmes relativement pauvres qui n’ont pas peur de perdre quoi que ce soit, parce qu’ils ne possèdent pas grand-chose en dehors de leur capital culturel. Ils attachent plus d’importance à toute autre chose, à leur relation à l’autorité, faite de méfiance et de haine, leur ressentiment à l’égard de tout ce qui représente l’autorité et la puissance, les riches, les capitalistes, la finance, les banques, l’armée, la police. Ce ne sont pas toujours les mêmes groupes qui s’opposent. La haine prend des formes différentes selon les individus et les milieux mais ce qui domine c’est le combat de tous contre tous, sous une autorité qui elle-même est partie prenante de la guerre en cours.

    Oui, les banlieues sont malades de la criminalité et de l’islamisme qui détruisent le sentiment d’appartenance à la nation mais elles sont aussi le « malade désigné de notre société ». Au sens où l’entend la thérapie familiale, le malade désigné est le porteur du symptôme, celui qui manifeste le plus crûment la maladie du système familial. La famille ne veut pas savoir qu’elle est malade et se contente de voir qu’un de ses membres manifeste les symptômes les plus visibles de la maladie. Il en est de même pour le corps social : il ne veut pas reconnaître son état et pense que seules les banlieues sont malades de violence et de pauvreté matérielle ou morale. Mais il n’y a pas que dans les banlieues qu’on montre son désintérêt pour la politique, son scepticisme, qu’on se replie sur sa vie privée, qu’on a le sentiment d’être la victime, souvent avec raison, d’évolutions semblant inéluctables et prises ailleurs. Il n’y a pas que dans les banlieues qu’on se suicide, se drogue, déprime, se réfugie aussi dans des groupes sectaires ou sous l’aile de religions tribales.

    Le sentiment d’impuissance existe partout. Dans des milieux plus privilégiés, il porte le nom de cynisme. Ce sentiment d’impuissance, prolongé souvent par une forme ou l’autre de dépression, s’est soigné longtemps par le divertissement ou la consommation mais la crise sanitaire a rendu difficile cet exutoire. Certains tenteront désormais de le soigner par la violence, une violence qui risque aujourd’hui de prendre des formes nouvelles, provenant du bas comme du haut de la société.

     

    Charles Rojzman

    Essayiste et fondateur d'une approche et d'une école de psychologie politique clinique, " la Thérapie sociale", exercée en France et dans de nombreux pays en prévention ou en réconciliation de violences individuelles et collectives.
     
  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    Si Yannick Jadot était l'un des sept nains de Blanche-Neige, ce serait sûrement... SIMPLET !

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    Ah, bon ? Nos centrales nucléaires sont donc implantées en Russie et en Arabie ? Et c'est donc de là que vient notre énergie nucléaire ? Décidémment, entre Yannick Jadot et Sandrine Rousseau, chez les escrolos on enfile les cingleries de foldingues comme d'autres enfilent les perles !

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    1. Dans Front Populaire, à propos de ce qui se passe en Arménie : Mourir pour un cimetière ? "Pour quoi serions-nous aujourd’hui capables de mourir ? En défendant leurs cimetières du saccage des Azéris, les Arméniens donnent une leçon d’humilité à un Occident qui fuit la mort et son devoir civilisationnel." écrit Marguerite Frison-Roche. 

    Et le toujours excellent Jean-Christophe Buisson ajoute :  "L'Arménie est l'âme de l'Europe et le dernier bastion. La guerre du Haut Karabakh n'est qu'un avant-goût de l'affrontement de deux civilisations". Mais qui s'en rend compte ici ?

    https://frontpopulaire.fr/o/Content/co624084/mourir-pour-un-cimetiere

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    2. À Paris (XXème), une nouvelle "salle de shoot" (!) en plein milieu d'un groupe scolaire : oui, il est vraiment fou, ce Pays légal, administrateur du Système pourri !

    https://www.valeursactuelles.com/regions/ile-de-france/paris/no_agglomeration/societe/paris-la-salle-de-shoot-voulue-par-le-maire-ps-du-xxe-au-milieu-dun-groupe-scolaire-ne-passe-pas/

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    2 BIS. Et la réaction des Parisiens du lieu n'a pas tardé : plusieurs centaines de riverains et parents d'élèves ont organisé une manifestation ce samedi 4 septembre devant la mairie du XXème pour protester contre le projet du maire qui veut ouvrir une salle de shoot dans une école vacante de la rue Pelleport... :

    https://francais.rt.com/france/90322-paris-riverains-sopposent-ouverture-une-salle-de-shoot-dans-une-ecole-vacante

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    4. Le Système continue allègrement de transformer notre beau pays en une immonde poubelle : toute tentative de sauver la France (et nous avec) sera vaine si l'on ne mène pas la seule action qui vaille, "une action réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)

    https://actu17.fr/haute-marne-un-tchetchene-de-17-ans-radicalise-qui-voulait-sen-prendre-a-mila-interpelle/

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    5. Vive la Bretagne ! Et vive SOS Calvaires ! Sur cette vidéo, une initiative enracinée, positive, portée par des jeunes sains… Foi, soleil et binious : une magnifique procession bretonne pour la pose d'un calvaire dans le pays nantais par Sos Calvaires :

    https://twitter.com/nfaure_/status/1434518575646117894?s=20

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    Dans le pays Nantais, la pose du nouveau calvaire par les jeunes de
    Sos calvaires, au son du bagad de Nort-sur-Erdre. La croix est dressée ! Des membres d'une équipe de béhourd s'agenouillent et un prêtre délivre un discours enthousiaste avant de bénir ce calvaire de 1909 remis à neuf. Un excellent après-midi, catholique, médiéval, communautaire, breton et français...

     

    6. Vous avez dit "Arnaud Montebourg" ? Merci, mais... non merci !

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    7. Dans la ville de Saint Denis : "Lorsque les cocos ont perdu la mairie, les broyeuses ont bien tourné... Ils se tiennent tous les uns les autres avec des dossiers..." : un article révélateur dans Valeurs... :

    https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/bienvenue-en-republique-bananiere-de-saint-denis/

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    Oh, le boulet ! Oh, la boulette !!!!! Question : est-ce qu'elle le fait exprès ? Ils sont allés la chercher où, les escrolos ?...

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    1. "Réfugiés afghans" ? Vous êtes sûrs ? D'accord avec Thierry Mariani :

    "...Si quarante "Afghans de Rennes" qui ont obtenu le statut de réfugiés en France sont partis cet été deux mois en vacances en Afghanistan c'est peut-être qu'ils ne sont pas si "réfugiés" que ça ! Il faut arrêter en France d’être idiot..."

    https://twitter.com/ThierryMARIANI/status/1434939270712672257?s=20

     

    2. L'Observatoire du journalisme attire sur un article de Die Welt :

     "Liens entre passeurs de migrants et ONG : les révélations explosives du journal allemand Die Welt n’intéressent pas les médias français"

    https://www.ojim.fr/liens-entre-passeurs-de-migrants-et-ong-les-revelations-explosives-du-journal-allemand-die-welt-ninteressent-pas-les-medias-francais/

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    3. Une famille expulsée à cause du "fiston" qui vend de la mort ? Encore d'accord avec Thierry Mariani :

    "Les parents doivent être responsabilisés! Quand un enfant est un délinquant multirécidiviste, la famille doit être exclue de son logement social car cette famille contamine tout un quartier. Si elle est étrangère, elle devrait même être logiquement expulsée"

    https://twitter.com/ThierryMARIANI/status/1434937604680687616?s=20

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    Une mère de famille s’est retrouvée expulsée de son logement HLM à Nice, car son fils vient d’être condamné pénalement pour trafic de drogue. C'est certainement dur pour elle, mais c'est normal : on manque de logements, et des familles modestes méritantes doivent attendre des années avant de se voir attribuer un HLM. Il est plus que normal de les réserver aux familles de non-trafiquants plutôt qu'aux familles de ceux qui vendent de la mort...

     

    4. Sur Le repaire des motards : petite leçon de pollution à destination des escrolos de la mairie de Paris...

    http://www.lerepairedesmotards.com/actualites/2021/niveau-pollution-vehicule-selon-vitesse.php

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    5. On en parlait hier ici-même, en, s'étonnant que NOTRE argent finance un spectacle aussi ignoble, par le biais des subventions de la Mairie, de la Région, de l'État.  Laurent Wauqiez vient d'annoncer qu'il coupait les aides au festival auto-proclamé "antifa" mais vraie "fa" lui-même "Tous les flics c'est des bâtards"...

    https://actu.fr/auvergne-rhone-alpes/villeurbanne_69266/villeurbanne-tous-les-flics-c-est-des-batards-wauquiez-coupe-les-aides-du-festival-antifa_44644668.html

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    6. La réforme des Retraites ? Parlons-en ! L'entretien de Raphaël Legendre, dans L'Opinion, avec Nicolas Marques, directeur général de l’Institut économique Molinari, et Thibaut Bechetoille, président de CroissancePlus : "La retraite par capitalisation, un sujet primordial pour notre économie et notre souveraineté"...

    https://www.lopinion.fr/edition/economie/retraite-capitalisation-sujet-primordial-notre-economie-notre-253010?utm_source=twitter&utm_medium=social&utm_campaign=barre-partage-site

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    7. Saccage Paris : le Maire du XVIIème arrondissement dénonce la saleté du secteur du boulevard Péereire. Six jours après son premier signalement au service propreté de la ville de Paris, rien n'a été fait ! Anne Hidalgo prétend gérer la France mais elle n’est même pas capable d’assurer la propreté des rues de la Capitale... :

    https://twitter.com/geoffroyboulard/status/1434901532231835648?s=20

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    En mai dernier, Geoffroy Boulard menait déjà, dans son arrondissement, le combat contre les rats et les punaises de lit...

     

     

    À DEMAIN !

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  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    Face au tandem Ruquier/Salamé, Zemmour décline, à grands traits, ce que pourrait être une politique ferme face au problème de l'immigration :

    (extrait vidéo 1'14)

    https://twitter.com/ZemmourEricFR/status/1436908120085831680?s=20

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    1. Éric Zemmour a donc arrêté l'émission "Face à l'info" : "J’ai beaucoup de vague à l'âme ce matin..." a-t-il déclaré face à Pascal Praud. Le CSA a gagné : à travers lui, le Système, qui promet la "Liberté" abstraite, nous fait vivre, concrètement, dans "l'a-libertés", dont la censure de fait... C'est une performance inégalée à ce jour, un acte de censure sans précédent que d'interdire d’antenne un journaliste, alors qu’il n’est pas candidat déclaré à l’élection présidentielle...

     

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    1 BIS. En guise d'hommage et de remerciement à Zemmour pour tout ce qu'il a dit et fait dans Face à l'info, nous redonnons ici la note que nous avons publiée le

    Hier soir, sur CNews, Zemmour a parlé de Maurras comme Boutang demandait que l'on en parlât : normalement !

    (le long passage de Zemmour sur Maurras commence à 46'58")

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    1 TER. Éric Zemmour communique :

     
    Eric Zemmour
    "Je vous invite à me suivre maintenant sur ma chaîne YouTube : youtube.com/channel/UCjTbZ
    À très bientôt. E.Z."

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    4. Insensé ! Voilà le retour des "farines animales" ! "Ils" ont donc tout oublié et rien appris...

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    5. Soi-disant "mineurs" soi-disant "non-accompagnés" : pour lutter contre la délinquance des mineurs isolés dans les transports en commun franciliens, la Sûreté régionale des transports a créé un groupe spécialisé qui fait école. Parmi les interpellés identifiés qui se déclarent mineurs, 94% sont majeurs, révèle la commissaire Noémie Cognard... 

    Noémie Cognard, adjointe au chef de la Sûreté régionale des transports (SRT). LP/Olivier Corsan
    Noémie Cognard, adjointe au chef de la Sûreté régionale des transports 

    "Ces jeunes multirécidivistes font flamber les chiffres de la délinquance dans les transports en commun. Un peu moins d’un mis en cause sur deux traités cette année par les services de la Sûreté régionale des transports (SRT), le pendant judiciaire de la Brigade des réseaux franciliens (BRF), est un mineur non accompagné (MNA). Ces délinquants polytoxicomanes et imprévisibles, qui volaient surtout les touristes avant la crise sanitaire, s’en prennent désormais à la population locale. Et font monter un fort sentiment d’insécurité dans les transports..." (source : Le Parisien)

     

    6. Nancy : la Librairie Les deux Cités communique :

     
    Librairie《 Les Deux Cités 》
    @DeuxCitesLib
    • Sylvain Durain
    @SylvainDurain
    Énorme succès de notre salon du livre. Les réactions les plus entendues "enfin !" #LeLivreHorsLaPlace

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    7. Les prières de rue sont interdites dans de nombreux pays musulmans, Maghreb compris : en Vendée, à Challans, le Député Philippe Latombe (MoDem), a alerté les médias sur une prière de rue musulmane qui s’est tenue samedi 11 septembre au petit matin : "En plein centre-ville de Challans…, entre 7 heures et 7 heures 30 ce samedi matin, trois individus équipés d’une sono puissante ont déroulé leur tapis de prière et commencé la prière musulmane du Chourouk..." Leur conception du "vivre ensemble" !...

    https://www.valeursactuelles.com/regions/pays-de-la-loire/vendee/no_agglomeration/societe/pays-de-la-loire-un-depute-denonce-une-priere-de-rue-musulmane/

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    À DEMAIN

  • SOUTENEZ, PARTICIPEZ ! ACTIVITÉS DES ROYALISTES ET/OU DU PAYS RÉEL DANS TOUTE LA FRANCE...

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    Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)

    Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...

    Mais elle est aussi ouverte à d'autres groupes, pas forcément royalistes, ou exclusivement royalistes, qui mènent des actions allant dans le sens de la défense du Bien commun : SOS Éducation, le Collectif Némesis / La Cocarde étudiante /Jeunesse, si tu savais-Poussières d'étoiles / Baguette Musette / le Cercle d'Artagnan / Les Chemises blanches / Défendons notre Patrimoine...

     

    Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...

    • Conférences, Réunions, Cercles de formation, Manifestations diverses... dans la France entière...

     

     

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    Mercredi 29 septembre à 18h, retrouvez la conférence de rentrée de l'IAF, dont le thème sera "La guerre de trente ans" animée par Nicolas Koenig !

    On espère vous voir nombreux ! Plus d'infos en mp ! 

    DISCORD DE L'ACTION FRANÇAISE FAIT SA RENTRÉE

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    Jeudi 30 Septembre à 20h00, l'Action Française Metz vous convie à une audio-conférence dont le thème sera " le fascisme " animée par Louis Mourot sur Discord.
    C'est la reprise des conférences pour la section d'AF Metz.
    Plus d'informations en messages privés.

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    Samedi 02 Octobre à 10h, l'Action Française Clermont-Ferrand vous convie à sa Réunion de Rentrée Militante.
    À toi jeune Clermontois qui attend le bon moment pour t'engager politiquement.
    À toi jeune Clermontois qui est à la recherche d'une formation militante et intellectuelle de qualité. Rejoins-nous !
    Camaraderie, sport, conférences, un monde est à ta portée.
    Allier défense de la nation et épanouissement personnel !
    Plus d'informations en MP.

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    Samedi 02 Octobre à 11h, l'Action Française La Rochelle vous convie à sa Réunion de Rentrée

    Local de section (en mp)

    Nous vous attendons nombreux pour les conférences, la visite de la ville, le bilan et le repas /banquet.
    Une participation aux frais de 5 euros sera demandée.
    N'hésitez pas à nous contacter par Facebook ou par mail (inscrits sur le visuel) afin de confirmer ou d'infirmer votre présence parmi nous.
    Et pour que vive la France, vive le Roi

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    Samedi 02 Octobre à 17h, l'Action Française Lyon organise sa Réunion de Rentrée.

    Venez pour nous rejoindre, adhérer ou simplement prendre contact.
    Au programme :
    -Bilan et projets
    -Vente de @librairie_de_flore
    -Buffet
    Informations en MP, inscriptions (places limitées) :

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    Samedi 02 Octobre à 18h30, l'Action Française Le Mans organise sa Réunion de Rentrée.
    Que tu sois militant, sympathisant ou simple curieux, contactes nous pour nous rencontrer et pour venir découvrir nos idées !
    Tu pourras venir prendre connaissance des projets militants prévus pour cette année 2021/2022 tout en passant un bon moment de convivialité !

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    https://www.facebook.com/events/435289054685183/?ref=newsfeed

     

     

    Samedi 02 Octobre à 18h30, l'Action Française Arras et Lille organisent leur Réunion de Rentrée.
    Près de la Bassée
    Inscription en MP ou par mail
    10 euros
    Conférence, présentations et banquet !

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    Samedi 02 Octobre à 19h30, l'Action Française Strasbourg organise sa Réunion de Rentrée.

    Une nouvelle année militante s'annonce et c'est pour cela que nous vous donnons rendez-vous.

    Au programme:
    - Conférence par Jean-Luc Schaffhauser sur la souveraineté divine et la démocratie
    - Présentation des différentes activités de la section
    - Verre de l'amitié, dîner et camaraderie
    N'attends plus, rejoins-nous !
    Plus de renseignements par message privé.

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    Mercredi 06 Octobre à 20h00, l'Action Française Toulon organise sa Réunion de Rentrée.

    Antoine de Crémiers nous présentera une conférence autour de son prochain ouvrage " Regard sur l'actualité et les élections présidentielles ", avec une critique sur le Libéralisme comme il sait si bien la faire.<
  • Meilleure baguette de Paris : l’histoire était-elle trop belle ?, par Gabrielle Cluzel.

    C’était une belle histoire » : c’est ainsi que, de façon assez juste, Le Parisien résume l’affaire du lauréat de la meilleure baguette de 2021. Un script parfait pour téléfilm sur France 2, un « ancien sans-papiers [qui livrerait] désormais sa baguette à l’Élysée » : « Makram Akrout, boulanger d’origine tunisienne, [est] l’heureux lauréat 2021 du prix de la meilleure baguette de Paris. Un beau parcours pour cet homme arrivé en France à 23 ans, qui [avait été] depuis naturalisé ».

    gabrielle cluzel.jpegBien sûr, ce n’est pas la première fois qu’un boulanger issu de l’ remporte le prix de la meilleure baguette, ce pain popularisé par parce qu’il en trouvait la forme oblongue plus transportable pour ses soldats, cet emblème franchouillard, stéréotype de l’ français (avec le béret) s’il en est.

    En 13 ans, pas moins de 6 Tunisiens ont été primés (Anis Bouabsa, Ridha Khader, Sami Bouattour, Mahmoud M’seddi, Taieb Sahal et, à présent, Makram Akrout). Quant au Sénégalais Djibril Bodian, il a remporté deux fois le trophée (2010 et 2015).

    Ridha Khadher a même fait de sa « success story » un livre : La Baguette de la République (Fauves Éditions) : il y raconte comment, pendant un an, il a livré chaque jour à l’Élysée une quinzaine de baguettes « tradition » et même accompagné François Hollande, flanqué de plusieurs ministres, en déplacement en Tunisie.

    Des esprits chagrins, sur les réseaux sociaux, s’étonnent d’ailleurs de ce chiffre un peu trop élevé pour être une coïncidence. Discrimination positive ? Les épreuves font en tout cas mention d’une dégustation « à l’aveugle », et le fait est, comme le rapporte un article du Monde de 2012 intitulé « Au bon pain de Tataouine », que « les Maghrébins, en particulier d’origine tunisienne, investissent en rangs serrés dans ce commerce ». Il n’est pas rare, désormais, en région parisienne, que la baguette voisine avec des galettes de semoule et des pâtisseries orientales, non loin des croissants viennois. Chacun y verra l’allégorie qu’il voudra.

    Cette fois, la mariée était peut-être trop trop belle. Un journaliste de Causeur a trouvé, relayées en arabe sur le compte Facebook (aujourd’hui fermé) du lauréat, des publications haineuses contre la France et aux relents islamistes : « La France encourage et propage la décadence dans nos pays pour protéger ses intérêts colonialistes et nous pousse à nous éloigner de la et des valeurs islamiques. » Ou encore : « Nous avons pleuré pour et pour Notre-Dame mais du côté de la France, ils ne pleurent pas, ces chiens, lorsqu’on se moque du maître de la création, Allah. »

    L’intéressé conteste les captures d’écran, a parlé d’abord d’un piratage, menace de porter plainte… mais a annulé sa présence à la remise des prix par Anne Hidalgo, ce 2 octobre. L’affaire, évidemment, embarrasse les élus, en particulier le maire du XIIe arrondissement – celui dudit boulanger – dont l’envolée lyrique d’il y a quelques jours tombe un peu à plat : « C’est une belle histoire gorgée d’espoir pour celles et ceux qui arrivent en France, pour ces personnes qui ont de l’or dans les doigts, un savoir-faire valorisé, une histoire qui fait modèle (sic), qui doit nous interroger sur l’accueil et que nous devons chouchouter. »

    Anne Hidalgo, après avoir hésité, a décidé ne pas bouder la cérémonie de remise des prix, « mais l’hôtel de ville a tout de même saisi le préfet pour savoir si les faits étaient avérés ou non » (Le Parisien)… preuve, en creux, qu’aucune vérification n’a été faite en amont.

    Makram Akrout deviendra-t-il LE boulanger attitré de l’Élysée pendant un an ? La question reste posée. Et, avec elle, celle de la légèreté d’un jury et d’une mairie trop pressés de célébrer la diversité heureuse pour prendre l’élémentaire précaution, comme il était d’usage pour les rosières, de vérifier la moralité des impétrants. Au risque de donner en exemple un islamiste et de lui offrir accessoirement un accès privilégié à l’Élysée.

     

    Gabrielle Cluzel

    Ecrivain, journaliste
  • Tant de peines pour faire un peu de bien, par Charles de Meyer.

    Du Proche-Orient, j’aimerais ne vous décrire que les hommes, les paysages, les odeurs, et les contradictions. J’aimerais ne m’appesantir que sur les cœurs qui s’élargissent en découvrant des liturgies ancestrales et des ermites insoupçonnés. J’aimerais vous dire nos courses aux frontières et nos émerveillements quand nos volontaires atteignent les séminaires ou demandent le baptême.

    6.jpgC’est pourquoi je ne dis pas habituellement la peine qui envahit le cœur quand on fait le compte des déceptions devant l’église militante. Rien, je ne dis rien des consternations devant l’impolitesse de tel archevêque qui ne propose pas un verre d’eau à son confrère oriental venu lui rendre visite. Rien non plus de cet académicien qui donne la leçon aux patriarches résidant en Syrie au début de la guerre civile. Rien non plus de querelles, connues de quelques-uns seulement, pourtant tellement révélatrices des hypocrisies entourant les appels à l’engagement des laïcs.

    Je ne dis rien de tout cela car un moine m’a dit un jour : « Quand sa mère est nue, on ne l’insulte pas, on la recouvre d’un manteau, et on la veille ». Je peux simplement témoigner des douleurs de l’âme devant les embûches et les lâchetés. Le Christ nous a prévenus, tenter de faire le bien ne va pas sans mal.

    Quand cependant le mal sort du monde, la liberté est de mise. Au milieu d’une tablée, l’alerte sonne. Des pigistes vous bafouent. Ils ne connaissent ni les pays, ni les hommes dont ils parlent. Ils n’ont épuisé aucune route, aucune soirée, aucune fête à tracer un chemin pour proposer une parcelle de bien. Ils n’ont inauguré ni église, ni école, n’ont bâti aucun centre, offert aucun cadeau. Ils n’ont pas vu les enfants handicapés des montagnes de l’Irak ou les veuves de Mhardeh. Ils ne savent rien de cela. Ce n’est pas leur sujet, ce n’est pas leur monde.

    Les démons de la presse contre les beautés de la mission

    Ils ont une bourse de Georges Soros, des positions dans des journaux financés par le milliardaire américain, des réseaux, ceux du magnat. Ils ont pour eux une mélodie qui assimile la gauche à la liberté et aux convictions, la droite à l’opprobre. Tout cela fait leur partage et même leur salaire. Alors ils vous insultent, ils travestissent l’évêque d’une ville martyre, fidèle à son troupeau au milieu des mortiers, en parrain douteux. Qui leur répondra qu’ils ne savent rien, qu’ils n’ont rien touché, qu’ils n’ont ni main, ni cœur ?

    Qui pourra dire à cette jeunesse, issue des Instituts d’Etudes Politiques, que la vie orientale n’a rien à voir avec une lutte pour dégenrer les sanitaires et briser les statues ? Personne puisqu’ils n’écouteraient pas. Ce n’est pas leur sujet. Leur sujet est de salir, d’instiller, de corrompre. Leur sujet est d’humilier les chrétiens syriens, en armes pour que leur fille ne soit pas éventrée par un Tchétchène et leur fils pendu par un djihadiste aux papiers français. Leur sujet est d’humilier la génération qui se lève pour aider les chrétiens d’Orient, là-bas, dans la fournaise et le dénuement. Leur sujet est de violer les desseins les plus purs et les volontés les plus nobles. Il y a des démons de la presse qui ne supportent pas les beautés de la mission.

    SOS chrétiens d’Orient a tout traversé. Les guerres, les calomnies, les insultes, et même l’enlèvement de quatre de nos amis. Le fanatisme de la gauche française a durci notre peau et renforcé nos traits. Mais le soir, quand nos familles pleurent de ce qu’on dit de vous, une question nous taraude : parviendront-ils à noircir notre cœur ?

    Puisse nos âmes s’en défendre, nos amis nous en prémunir, et la loyauté à tant de sacrifices librement consentis, obtenir de La-Haut, la force qu’il nous faut pour souffrir comme doivent souffrir ceux qui savent ce qu’ils font.

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    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

  • Conflans : des actes et non des discours !, par Christian Vanneste.

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    Le président de la République et le ministre de l’Education Nationale se sont rendus au collège où enseignait Samuel Paty, le professeur d’histoire qui a été égorgé et décapité pour avoir montré les caricatures du « prophète » à ses élèves dans un cours destiné à ouvrir les esprits des collégiens à la liberté d’expression. On dit que les assassins reviennent toujours sur les lieux du crime. L’auteur présumé de cet acte terroriste n’en a pas eu le temps puisqu’il a été abattu par des policiers à proximité du lieu où sa victime a été découverte. Quatre interpellations suivies de gardes à vue ont eu lieu, notamment parce qu’une photo atroce aurait été diffusée sur la « toile ».

    christian vanneste.jpgMais on peut se demander si les complices objectifs ne sont pas ailleurs, beaucoup plus haut dans notre société vermoulue. Certes, il est normal que les responsables de l’Etat se précipitent sur les lieux du crime, mais leurs appels à la fermeté et à l’unité de la nation devant le terrorisme islamiste donnent la nausée tant ils sentent le réchauffé ou le faisandé. L’assassin est un Tchetchène qu’il n’y a aucune raison d’accueillir en France parce que la France n’a aucun lien avec un pays membre de la Fédération de Russie, pénétré de longue date par le djihadisme. Le fanatisme religieux y trouve une tradition guerrière propice à former des recrues particulièrement dangereuses. Ceux qui ont fui la Russie en lutte contre le terrorisme islamiste, on les reçoit donc en France ?!? Beaucoup de Tchetchènes ont combattu dans les rangs de l’Etat islamique. Leur sens de la communauté animé par une identité singulière en fait des immigrés dont « l’intégration » semble très hypothétique. L’expédition punitive de bandes tchétchènes à Dijon au mois de Juin, semant le chaos dans la ville, était pourtant une alerte rouge sur la solidarité communautaire, sur le mépris de nos lois et sur la violence dont ces groupes sont capables. L’assassin de Conflans était connu des services de police… comme d’habitude ! Le Professeur avait été l’objet de menaces. Des parents musulmans avaient exercé des pressions sur le chef d’établissement pour qu’il cesse d’enseigner la liberté de penser et de s’exprimer. Son assassinat était donc possible, sinon prévisible. Devant cette passivité à répétition de l’Etat face à la menace islamiste, les sempiternels et péremptoires discours de matamore sur la fermeté sont ridicules sinon odieux de la part de ceux qui depuis longtemps ouvrent à n’importe qui les frontières de la France, de ceux qui encouragent une immigration excessive par leur laxisme et des aides sociales absurdes consenties aux étrangers, de ceux qui par des regroupements familiaux contraires au bon sens, favorisent le communautarisme et la fragmentation du pays.

    Hier le président opposait les individus libres et les citoyens solidaires. Aujourd’hui, il a été contraint à la synthèse en appelant les Français à être des citoyens libres. On touche là du doigt la contradiction mensongère du « en même temps ». Pour qu’il y ait des citoyens à la fois libres et solidaires, il faut qu’il y ait une communauté nationale forte et unie, non par la loi abstraite, dont à l’évidence on se moque dans certains quartiers, mais par une identité culturelle solide animée par le respect de l’autre propre au christianisme et par le goût de la liberté suscité par une éducation teintée d’occident. On ne peut y parvenir en favorisant le multiculturalisme et l’immigration massive qui conduisent au communautarisme. La France se veut un pays voué à la laïcité et à l’universalisme, patrie des droits de l’homme, et en continuant à affirmer ses grands principes, en leur nom même, elle développe sur son sol une population qui refuse la liberté de pensée, l’égalité des sexes, le choix de la religion, et l’humanisme. Lorsqu’on prétend barrer la route à la barbarie et à l’obscurantisme, il faut d’abord empêcher les barbares d’envahir le pays !

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • Décapitation de Conflans : c'est le Système et ”sa” République idéologique qu'il faut chasser (1)...

    De tous temps, tous les pays du monde et toutes les sociétés ont produit leur "taux incompressible" de malades mentaux et fous furieux, d'assassins, voleurs, pervers et malhonnêtes etc... Jaunes, Blancs, Noirs, aucune Culture, aucune Nation n'a jamais échappé à la règle. Quel que soit le Régime politique d'un pays (république, monarchie, empire...) il y aura toujours et partout des scélérats.

    Par contre, il y a des doctrines, des écoles de pensée, des systèmes politiques, des religions... qui sont plus violentes que d'autres, et qui prônent même la violence dans leurs fondamentaux doctrinaux. C'est le cas de l'Islam et de... la Révolution française qui se rejoignent sur plusieurs points :

    les deux font commencer le monde avec elles : pour les musulmans, l'Histoire commence avec l'Hégire de Mahomet (le 16 juillet 622, jour de sa fuite vers La Mecque) : nous sommes donc en 1442, pour les musulmans, et non en 2020. De même, les terroristes révolutionnaires, après le succès de leur coup de force du 10 août 1792, datent les documents de "l'An I de la République", puis on aura "les soldats de l'An II" etc... Cette mascarade sera tellement ridicule et aura si peu de prise sur les réalités que Napoléon, pourtant continuateur et "sabre" de la Révolution, reviendra au calendrier chrétien le 9 septembre 1805... A la différence du calendrier musulman, toujours en vigueur, le calendrier républicain n'aura donc duré que... 13 ans !

     les deux sont animées d'une rage destructrice de tout ce qui les précède : les terroristes révolutionnaires français ont détruit (ou vendu/dispersé) le tiers du patrimoine national ! Jamais les vandales du Vème siècle n'ont commis autant de destructions... Et la télévision a rendu mondialement publiques les destructions par les fous de l'Islam des Bouddhas de Bâmiyân ou de la merveille qu'était la ville de Palmyre. Et c'est partout, dans le monde conquis par l'Islam, que sont détruites les églises chrétienne, tout ce qui ne s'inspire pas du Coran ou qui est interdit par lui...

     les deux sont totalitaires : Louis-Antoine de Saint Just proclame carrément que "Ce qui constitue une République, c'est la destruction totale de ce qui lui est opposé". Et l'Islam ne laisse d'autre choix aux peuples conquis qu'entre la conversion forcée, la mort ou l'exil. Une quatrième solution - mais c'est l'enfer sur terre - est la condition de "dhimmis", personne non musulmane tolérée en terre d'Islam, mais comme être "de seconde zone". Deux remarques, ici, sur l'Islam :

    1. Aucun pays sur terre ne s'est jamais converti librement, ne s'est jamais "donné" à l'Islam. Celui-ci a, toujours et partout, été apporté par le fer et le feu, par la contrainte et la force pure (Égypte, Syrie, Perse...)...

    2. A proprement parler, l'Islam n'est pas un totalitarisme, puisqu'il croit en Dieu, qu'il place au-dessus de tout. Mais il induit une société totalitaire, dans laquelle "tout" est régi par... le Coran. S'il n'est donc pas totalitaire, en théorie pure (mais, le monde est-il une théorie pure ?...) l'Islam est, bien pire que cela, totalitaire de fait, en ceci qu'il enferme ceux qui lui sont soumis dans un système où tout est réglé, et où ils n'ont qu'à obéir à ce système. 

     mais, plus fondamentalement, et essentiellement, les deux sont d'abord et avant tout anti-chrétiennes : c'est sur ce point que, secrètement, les deux terrorismes se rejoignent. Certes, Mahomet ne pouvait "prévoir" Robespierre, et Robespierre et ses complices en terrorisme n'ont jamais cherché à construire de mosquées ! Mais le combat qu'ils mènent l'un et l'autre (et tous leurs sectateurs avec eux) est bien le même : "Écrasons l'infâme". Mahomet comme Robespierre veulent éliminer Jésus-Christ. C'est aussi simple que cela...

    Après la énième horreur d'hier à Conflans (et avant les prochaines !... ) ce ne sont donc pas "les arabes" qu'il faut accuser, ni même l'ensemble des musulmans. À titre individuel, il y a - il y en a même beaucoup... - des musulmans sincères qui acceptent parfaitement le fait de vivre avec d'autres personnes, d'une autre religion, et d'obéir à d'autres lois, dans le pays où ils se trouvent, que celles inspirées par le Coran.

    Ce que l'on doit nommer comme responsable du terrorisme c'est une Religion dans ses fondements - l'Islam - et un Système politique - la République idéologique française, ou Nouvelle religion républicaine - qui l'a favorisé de fait et le favorise encore, croyant naïvement trouver un allié en lui dans son combat conter les racines chrétiennes de la France et de l'Europe...

    Un assassin a assassiné, et il a été tué : c'est une chose.

    Le fond du problème est ailleurs, d'une autre nature et d'une autre dimension...

    (à suivre...)

    lafautearousseau

  • Comment la pieuvre islamiste a infiltré le sport français, par Jérémy Bouhy.

    Le sport français est au cœur de la stratégie d’infiltration de la pieuvre islamiste, dans la guerre de civilisation qu’elle mène sur notre territoire.

    Une note de la DGSI (renseignement intérieur) datée de 2018 dressant l’état des lieux de la pénétration de l’islam fondamentaliste en France détaille la stratégie des différentes mouvances pour prospérer dans l’espace social, le monde de l’entreprise, l’éducation… et le sport.

    00000.jpegIl existerait, à ce jour, sur notre sol une trentaine d’associations sportives identifiées comme pratiquant le communautarisme et le prosélytisme religieux.

    Cela soulève un certain nombre de questions d’ordre politique et social, d’autant plus que ces structures sont souvent hébergées dans des bâtiments appartenant aux collectivités et que ces clubs sont parfois même subventionnés.

    La presse avait notamment déjà fait état de la ville de Bobigny, qui loge un club privé de fitness et d’arts martiaux non mixte, le « Sunna Club », dont le nom désigne la loi coranique et les règles et préceptes imposés par Allah. Les très jeunes générations sont, bien évidemment, au cœur de cet projet.

    Alors qu’ils étaient censés représenter des creusets d’intégration républicaine, de mixité sociale et de laïcité, notamment dans les quartiers les plus sensibles, certains clubs sportifs sont en passe de devenir des groupes ethnico-religieux.

    Il a, ainsi, été constaté dans de nombreux quartiers sous surveillance l’émergence de structures mêlant ouvertement le sport, l’aide aux devoirs et les activités religieuses, phénomène rendu possible par la nature du cadre juridique et institutionnel délimitant la pratique sportive, qui reste très largement permissif et propice au mélange des genres. La note analyse également le phénomène de radicalisation religieuse par le sport, qui serait aujourd’hui le premier foyer de radicalisation.

    On y apprend, notamment, qu’un grand nombre d’éducateurs sportifs seraient fichés S. L’univers du football est régulièrement cité dans les signalements qui remontent aux autorités. Il existerait même une forme de compétition entre les groupuscules pour noyauter les associations et recruter de nouveaux fidèles.

    Si la mouvance salafiste est en première ligne, les services soulignent l’émergence du mouvement tabligh, particulièrement dans le sud de la France, et plus précisément dans la région de Toulouse, où ce mouvement ultra-rigoriste, qui prône un retour à l’islam des origines, est très implanté.

    La note met au jour une récurrence de phénomènes préoccupants, tels que le refus d’être encadré par un éducateur féminin, de serrer la main aux femmes ou encore de s’entraîner avec elles, refus de la nudité sous la douche (en l’imposant, parfois, aux autres pratiquants), prières sur le terrain ou dans les vestiaires, la modification des horaires d’entraînement pour le ramadan ou pour la prière du vendredi, l’exclusion ou la marginalisation des femmes ou des non-musulmans, le refus en dojo du rituel du salut du maître fondateur du judo Jigoro Kano… La radicalisation par le sport est, par ailleurs, clairement identifiée comme étant un point de bascule qui mène au djihadisme.

    De nombreux « guides pratiques » publiés régulièrement sur Internet demandent explicitement aux aspirants au djhad de se renforcer musculairement, pratiquer des sports de combat et prendre des cours d’autodéfense impliquant le maniement d’armes blanches, de préférence dans une salle fréquentée par des musulmans et à des horaires où il n’y a pas de femmes.

    L’immense majorité des terroristes ayant commis des attentats en France, de 2012 à 2020, pratiquaient la boxe, la boxe thaï, la lutte ou le MMA, pour la plupart dans des clubs affiliés aux différentes fédérations nationales.

    C’est, notamment, le cas de l’auteur de la décapitation de Samuel Paty, qui a participé plusieurs fois aux championnats régionaux de lutte, sport prisé de la communauté tchétchène.

    Le séparatisme se définit comme la « volonté attribuée à un groupe possédant une homogénéité géographique, ethnique ou religieuse, de se détacher de l’État dont il fait partie pour constituer une entité politique autonome ». Dans cette optique, les réseaux islamistes ont investi un ensemble de champs et d’institutions leur permettant de fabriquer des individus dont la vision du monde est étrangère au legs de l’héritage politico-culturel français afin d’ériger une véritable contre-société sur le territoire national.

    Le sport est au cœur de ce projet diabolique.

    Jérémy Bouhy

    Agent sportif