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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Perquisition chez Mélenchon, dans les locaux de la France insoumise et dans ceux du Parti de Gauche : Mélenchon persécut

     

    La France insoumise est bien soumise au Système établi, dont elles partage les intérêts, sous couvert de douillette rébellion contre ce que Gustave Thibon appelait "le chaos figé des conservateurs du désordre", vrai Désordre camouflé en faux Ordre et succédant - en en acceptant l'héritage - au "chaos explosif des révolutionnaires". 

    Mélenchon a beau pleurer aujourd'hui, et dire des "s’il vous plaît, dites partout que ceci est un acte politique, une agression politique", lui et son parti sont des privilégiés du Système, qu'ils ne combattent qu'en parole, et qu'ils contribuent à faire vivre, dont ils sont un des rouages. 
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    S'il voulait vraiment combattre l'Argent, l'Argent-roi, s'il voulait vraiment être révolutionnaire, Mélenchon se rallierait à Maurras qui est bien, lui, le seul, le vrai insoumis; le seul, le vrai révolutionnaire; le seul qui ait démonté la mécanique du Système : en tuant le Roi, la Révolution a ouvert toutes grandes les portes à la domination sans partage de l'Argent. 
    Maurras est le premier et le seul à avoir analysé presque cliniquement, froidement, lucidement, la lutte séculaire et titanesque entre les forces du "Sang" (c'est-à-dire tout ce qui tire l'homme vers le haut : religion, philosophie, culture, civilisation, traditions...) et les forces de l'Or ( "la Fortune anonyme et vagabonde" que dénonçait l'Action française; en clair : le fric, le matérialisme le plus vil et bas, bref le Système dans lequel nous vivons - de plus en plus mal... - où tout est sacrifié au court-termisme du profit matériel immédiat...).

    Cette image de la lutte entre le Sang et l'Or, c'est le fondement du petit livre de Maurras, L'Avenir de l'Intelligence, dont Pierre Boutang disait qu'il était un acquis pour la suite des temps; c'est elle qui nous montre bien comment faire, aujourd'hui, la seule, la vraie révolution, et en quoi elle consisterait, tout simplement :
    - Abattre l'Argent-roi, qui règne aujourd'hui sans partage, ce qui serait la réponse à tous les maux dont nous souffrons;
    - Abattre l'Argent-roi, ce qui serait la seule solution si l'on veut sortir la France - et nous avec - de l'impasse destructrice dans laquelle nous a plongée le Système, héritier de cette Révolution qui n'a servi qu'à abattre le Sang, pour lui substituer la tyrannie implacable de ce maître tout puissant : l'Or, le matérialisme vil et bas.
    - Ramener l'argent à sa seule fonction, naturelle et honorable : celle de servir;
    "De l’autorité des princes de notre race, nous avons passé sous la verge des marchands d’or, qui sont d’une autre chair que nous, c’est-à-dire d’une autre langue et d’une autre pensée."

    Mélenchon peut bien pleurer, aujourd'hui, ou faire semblant, en temps normal, d'être révolutionnaire : il n'y a qu'un seul révolutionnaire, Maurras, le vrai insoumis, le vrai rebelle; il n'y a qu'une seule révolution, la révolution royale, la reprise du pouvoir par les forces de l'Esprit.

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    "Notre société n’a que des banques pour cathédrales ; elle n’a rien à transmettre qui justifie un nouvel « appel aux conservateurs » ; il n’y a, d’elle proprement dite, rien à conserver. Aussi sommes-nous libres de rêver que le premier rebelle, et serviteur de la légitimité révolutionnaire, sera le Prince chrétien." (Pierre Boutang).
    Aujourd'hui, plus que jamais, si l'on veut que vive la France, il faut remettre à sa place le pouvoir qui a permis sa naissance; qui a fait d'elle la première puissance du monde lorsqu'éclata la funeste Révolution; qui a mené, tout au long de ses mille ans de pouvoir, une authentique politique de civilisation.
    Tel est le sens profond de notre "VIVE LE ROI !"

    François Davin

  • Mercredi 10 Avril : Jean-Philippe Chauvin sera l'invité du Centre Lesdiguières...

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    LE CENTRE LESDIGUIERES, associé au Cercle Dauphinois de Documentation et de
    Communication Culturelle, vous invite le mercredi 10 avril à 19h à la conférence de Jean-Philippe Chauvin, professeur d’histoire en lycée public et royaliste social revendiqué :


    Les royalistes face à la question sociale, de la Révolution à nos jours.



    En 1791, la Révolution française détruit l’ordre social corporatif, au nom d’un libéralisme: ainsi, «le prolétariat naît de la Révolution française», (dixit le comte de Paris) la République n’aura guère de scrupules à faire tirer sur les ouvriers durant le XIXe siècle, siècle de l’exploitation des travailleurs de l’usine et de la mine.
    Les rois de France et les royalistes sociaux cherchent des solutions à la terrible question sociale, dans les villes comme dans les campagnes : Villeneuve-Bargemont, puis La Tour du Pin, Albert de Mun, et Maurras lui-même… dénonçant les conditions de travail et de vie des ouvriers.
    Aujourd’hui, la question sociale n’est toujours pas réglée, et les Gilets jaunes comme les paysans français et les ouvriers démontrent, par leurs colères respectives, la nécessité de nouvelles pistes, au-delà du libéralisme comme de l’étatisme: et si l’on écoutait ce que les monarchistes contemporains ont à dire, et à proposer?
    Jean-Philippe Chauvin évoquera une lecture monarchiste de la question sociale, de
    l’Ancien Régime à nos jours, avec l’ambition de valoriser une «autre voie» économique et sociale conciliant nécessité économique et justice sociale.
    La réunion sera suivie d'un buffet convivial Salle des Vignes : 3 bis, avenue Maréchal Randon à l’Ile Verte - 38000 GRENOBLE (tramway ligne B « la Tronche Hôpital »)


    (Inscription requise et participation aux frais)
    Merci de vous inscrire par courriel au centrelesdiguieres@gmail.com

  • Sur un point précis de l'article de Sébastien Lapaque, présentant le dernier ouvrage de Stéphane Giocanti, ”C'était les

    giocanti.JPGLe hasard fait coïncider sa sortie avec la publication de notre Album, Maîtres et témoins (III) : Léon Daudet : Stéphane Giocanti vient de publier un "C'était les Daudet", que nous avons présenté ici-même le dimanche 3 février, avec l'excellente critique de Charles d'Andigné, dans Famille chrétienne... 

    Juste après l'article de Charles d'Andigné, Sébastien Lapaque présentait l'ouvrage à son tour, dans Le Figaro : LAPAQUE SUR GIOCANTI.pdf

    Rien à redire sur ce très bon article de Sébastien Lapaque, dont on connaît la culture, et que l'on sait bien informé, bien documenté. Sauf une chose, malgré tout, à la fin de son article, qu'il nous a semblé utile de signaler ici. Certainement pas dans un esprit de critique, encore moins dans un désir de polémique vaine et stérile, mais, bien au contraire, dans un esprit de "disputatio" amicale, persuadés que la confrontation des idées et des documents permet d'éclaircir les choses, de rapprocher finalement les points de vue, dans un esprit positif, et dans le but de faire progresser la connaissance et la compréhension des choses; ce qui est bien le but recherché ici, et la meilleure manière de "pratiquer" l'amitié intellectuelle...

    Voici le paragraphe de fin de l'article auquel nous voulons réagir, car nous pensons au contraire que, oui, Léon Daudet a bel et bien répudié l'antisémitisme, clairement, publiquement et définitivement :

    "...Rendre justice à Léon Daudet est une entreprise plus délicate. Stéphane Giocanti y parvient en n'écartant pas les motifs de fâcherie. Il recense, chez Léon Daudet, une formidable bonne humeur, une énergie rabelaisienne, un radar infaillible qui lui fait déceler tous les talents naissants, une générosité qui le pousse à toujours les défendre. Mais il ne disconvient pas du caractère odieux de son antisémitisme — odieux et surtout absurde, quand on songe que deux de ses meilleurs amis eurent pour nom Marcel Proust et Marcel Schwob.

    Face au mystère de la permanence d'Israël dans l'histoire, Léon Daudet ne daigne pas réfléchir en chrétien — comme Paul Claudel et Georges Bernanos s'obligèrent à le faire. L'ancien carabin s'obstine à raisonner en médecin hygiéniste et admire le Céline de Bagatelles pour un massacre. La destruction programmée des Juifs révulse ce germanophobe qui abhorre tout ce qui vient d'Allemagne en matière politique, mais il refuse de faire le pas de côté qui l'arracherait à sa tradition et à son préjugé. Il y a une part d'ombre chez cet homme à l'intelligence et la sensibilité fiévreuses traversées par des vents contraires. Un élan autodestructeur, également — la part maudite des Daudet."

    Nous l'avons dit : la publication de notre Album se fera en feuilleton; mais comme il compte plus de 250 photos, à raison d'un envoi d'une vingtaine de photos à chaque "livraison", ce n'est que dans plusieurs semaines que l'on trouvera une "réponse" à cette affirmation de Sébastien Lapaque, sur laquelle nous ne sommes absolument pas d'accord..

    En attendant - puisque l'article de Lapaque vient de paraître, et que nous souhaitons suivre l'actualité, en temps réel, comme on dit dans le jargon... - nous avons choisi de lever un coin du voile et de donner, simplement, les quatre citations suivantes, explicites, qui ne laissent planer aucun doute sur le fait que Daudet a bel et bien révoqué son antisémitisme originel. Quand elles paraîtront, elles seront accompagnées d'autres documents sur le même sujet...

    La vie de Daudet se divise presqu'également en deux parties : 36 ans "avant" l'AF, et 37 ans "dedans"; on doit à la vérité de noter que si, depuis ses débuts et jusqu'à la Grande Guerre, Léon Daudet a effectivement été "antisémite", bien avant la fin des années vingt (il suffit de consulter la collection du journal, qui, évidemment, fait foi...) on voit que Daudet a cessé toute attaque contre "Israël"... Et on ne peut pas ignorer ces lignes, écrites par lui, qui se passent de tout commentaire, ou faire comme si elles n'avaient pas été écrites... :

    1. De Paris Vécu, 1ème Série, Rive droite, pages 27/28 (écrit en 1929 et 1930) :

    "...En ce qui concerne l'antisémitisme, il y a belle lurette que je m'en suis détaché de toutes manières - j'ai eu comme ami un juif authentique, Marcel Schwob - et que le développement de mon être intérieur m'a plutôt porté à essayer de comprendre Israël, et la raison de ses coutumes et de leur persistance, qu'à le maudire.
    Je ris quand j'apprends que des personnes me croient encore dans le même état moral vis-à-vis des fils de Sion qu'il y a trente ou vingt-cinq ans.
    J'ai toujours admiré, et même chéri, les vers de ce très mauvais bougre d'Henri Heine.
    Je crois avoir été l'un des tout premiers à célébrer le Chad Gadya d'Israël Zangwill..."

    Surtout, Léon Daudet - comme Charles Maurras - pose le "problème" en terme "politique", et non en terme "racial" ou en terme "de peau", comme l'a fait un Voltaire ou un Napoléon (qui disait : "On ne se plaint point des protestants et des catholiques comme on se plaint des Juifs. C'est que le mal que font les Juifs ne vient pas des individus, mais de la constitution même de ce peuple : ce sont des sauterelles et des chenilles qui ravagent la France" !...), et bien sûr un Hitler; comme le font aujourd'hui, dans nos Cités et banlieues, ceux qui crient en plein jour "Mort aux juifs !", et dont on sait qu'ils votent à 93% pour le candidat du Parti socialiste : "Dans toute cette affaire de décomposition et de l'enjuivement de l'État français, c'est la démocratie qui est coupable et non le juif. Cela Drumont n'a jamais voulu le comprendre..." écrit Daudet, juste après la citation précédente.
    En réalité, Léon Daudet a la même conception que le Maurras qui écrit :
    "L'antisémitisme est un mal si l'on entend par là cet antisémitisme de "peau" qui aboutit au pogrom et qui refuse de considérer dans le Juif une créature humaine pétrie de bien et de mal, dans laquelle le bien peut dominer. On ne me fera pas démordre d'une amitié naturelle pour les Juifs bien nés."

    2. De Paris Vécu, 2ème Série, Rive gauche, page 22 :

    "...Marcel Schwob avait une vaste culture, la sensibilité à fleur de peau et l'esprit de charité.
    Il n'était pas  de physique agréable, bien que l'éclair de son regard bleu fût unique.
    Mais il était attachant, et c'est par son souvenir, autant que par certaines réflexions qui me sont venues plus tard, que je me suis détaché de l'antisémitisme et que le problème de la race errante s'est imposé à moi objectivement, sous une forme simplement scientifique. 
    Je n'ai pas connu d'idéaliste plus complet que Marcel Schwob, promis, dès cette époque, à des affres surhumaines et qu'il devait supporter héroïquement.
    Georges Hugo s'était pris lui aussi d'amitié pour Schwob. Il l'invita dabord à Hauteville House, dont il était, à Guernesey, copropriétaire avec sa soeur, puis à La Marcherie, où se trouvait, cette année-là, Camille Claudel, soeur de Paul Claudel, et sculpteur de génie..."

    3. De "Au temps de Judas", pages 218/219 (paru en 1920) :

    "...Les juifs eux-mêmes ont reconnu qu'il y avait une question juive, puisque leurs sionistes se sont flattés de la résoudre, par la reconstitution territoriale d'une Judée.
    Nul homme sensé ne songe à persécuter Israël, après une guerre où ses fils ont mêlé leur sang à celui de nos enfants. Mais nul israélite sensé ne niera que l'égorgement de "L'Union Générale" fut une faute grave (1), comme fut une autre faute grave la campagne anticléricale et antimilitariste de l'Affaire Dreyfus.
    Pour empêcher le retour de pareilles fautes, des précautions peuvent et doivent être prises, d'un commun accord, entre les représentants les plus qualifiés du peuple juif et les dirigeants de l'Etat français.
    La nationalisation de cet État français, en assurant la sécurité extérieure, détruira ainsi les germes de haine qui nuisent à la paix intérieure..."


    (1) : "L’Union générale" était une banque catholique française, fondée en 1878 par Paul Eugène Bontoux.
    Après avoir connu un grand essor et réalisé de grandes choses, elle fit faillite de manière retentissante en 1882.
    Cette banque rencontra un grand succès dans les milieux catholiques et légitimistes, et obtint même l'appui du comte de Chambord. Le secrétaire du pape, le cardinal Jacobini, s'engagea également au capital de la banque.
    L'effonfrement de celle-ci fut liée à des spéculations hostiles - aux visées politico-économiques - venant de divers milieux, dont certains milieux bancaires juifs.
    A partir de là, il fut facile à certains antisémites de généraliser leur critique et leur ressentiment envers quelques banquiers à l'ensemble de la communauté juive...

    4. De "Au temps de Judas", page 17 :

    "...Persécuter Israël serait impolitique et odieux. Lui tracer des limites de bienséance et d'action politique, dont il recueillerait bien vite le bénéfice moral, serait une bonne et même une très bonne chose.
    Beaucoup d'israélites intelligents le reconnaissent volontiers et demandent à ne pas être confondus avec ceux qu'ils appellent, génériquement et méprisamment, les "levys", c'est-à-dire les éternels mécontents, les éternels agitateurs.
    Beaucoup d'israélites, intelligents et prévoyants, commencent à sentir, eux aussi, le besoin de l'ordre, d'un ordre qui les mettrait, cordialement, mais fermement, à leur plan..."


    Un François Mitterand - président de la République française... - ne parlait pas autrement lorsqu'il refusait de reconnaître la responsabilité de l'État français dans "la rafle du Vel d'Hiv", estimant qu'il s'agissait là "d'une demande excessive de cette communauté"...

    A bientôt, donc, sur notre "Album Daudet", pour encore plus de mises au point sur ce sujet délicat...

  • Sur Sacr TV, combattre pour la vraie France.


    Soutenez nos activités vidéos : https://www.tipeee.com/sacr-tv

    NOS RAISONS CONTRE LA REPUBLIQUE : https://fr.calameo.com/read/000869313...

    Pour les générations de français, d’aujourd’hui comme ceux de demain, qui veulent œuvrer pour le redressement de la France et sa gloire, ils devront d’abord apprendre à faire la distinction entre les deux France. Car ce n’est pas en propageant l’erreur ou en interprétant cette dernière comme une tradition, qu’on pourra changer les choses. Si en 2 siècles les forces nationalistes et contre-révolutionnaires ont échoué, c’est parce qu’il y a dans leurs principes ou leurs interprétations des erreurs émanant du patriotisme révolutionnaire. Nous l’avons bien vu entre autre avec Maurras… Certains culpabiliseront en rétorquant « Oui mais que faites-vous de tous ceux qui sont morts sous le drapeau républicain ? » Notre réponse est très simple. Nous nous devons de respecter ces morts qui de leur vivant, ont cru se sacrifier pour la vraie France. Ils méritent notre respect. Mais pensez-vous vraiment que ces combattants se soient sacrifiés pour voir émerger une France comme la nôtre en ce début du XXIème siècle ? Si le soldat inconnu sous l’arc de Triomphe à Paris se réveillait et voyait la France d’aujourd’hui, croyez-vous vraiment qu’il estimerait que sa mort fut réellement utile ? Bien évidemment que non ! Alors, devant le sacrifice de ces morts sous la bannière républicaine qui les a trahit, nous ne pouvons que combattre l’erreur qu’elle incarne, et offrir à ces combattants une France forte et glorieuse qui naîtra automatiquement de la déchéance de la république. C’est notre responsabilité vis-à-vis d’eux et même notre devoir ! Ayons toujours à l’esprit que la France n’est pas une civilisation à inventer. Elle est née du baptistère de Reims lors du Sacre de Clovis par Saint Rémi. Et ce dernier à sceller son destin par ces paroles :

    « Apprenez mon Fils que le Royaume de France est prédestiné par Dieu à la défense de l’Eglise Romaine, qui est la seule véritable église du Christ. Ce Royaume sera un jour grand entre tous les royaumes et il embrassera toutes les limites de l'Empire Romain et il soumettra tous les peuples à son sceptre, il durera jusqu'à la fin des temps. Il sera victorieux et prospère tant qu'il sera fidèle à la loi romaine, mais il sera rudement châtié toutes les fois qu'il sera infidèle à sa vocation. »

    Et les 1500 ans d’histoire qui succèderont au Sacre démontreront la véracité de ces paroles. Chaque fois que la France a dévié de sa vocation chaque foi elle fut châtiée ! Nous l’avons vu avec les défaites successives de la Guerre de Cent-ans, les 8 guerres de religions dû à l’arrivé du protestantisme, la révolution de 1789, les républiques etc… Chaque fois que la France a dévié de sa vocation en reniant ses fondements, la monarchie ou la foi en l’Eglise romaine, elle fût châtiée, et la Vème république n’est qu’un énième châtiment issu de notre reniement de la vraie France.

    Monseigneur Henri Delassus disait :« La France est née, elle a vécu catholique et monarchique, sa naissance et sa prospérité ont été en raison directe du degré où elle s’est rattachée à son Église et à son Roi. Toutes les fois qu’au contraire ses énergies se sont exercées à l’encontre de ces deux idées directrices, l’organisation nationale a été profondément, dangereusement troublée. D’où cette impérieuse conclusion que la France ne peut cesser d’être catholique et monarchique sans cesser d’être la France » Monseigneur Henri Delassus, L’esprit familial, page 210.

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    Retour sur le débat Zemmour-Darmanin...

    L’OCDE confirme les chiffres donnés par Zemmour : les aides sociales touchées par les immigrés représentaient 20,7 milliards d’euros, soit 28 % du montant total de ces prestations sociales ! ⁦

    https://www.europe-israel.org/2021/12/locde-confirme-les-chiffres-donnes-par-zemmour-les-aides-sociales-touchees-par-les-immigres-representaient-207-milliards-deuros-soit-28-du-montant-total-de-ces-pres/

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    1. Les chaînes télé et radio de la caste médiatique nous bassinent avec leur lavage de cerveau ininterrompu sur le Covid, qui permet d'occulter les échecs sans nombre de Macron et de ne pas parler de la situation très inquiétante dans laquelle se trouve la France. On annonce qu'Israël entame la 4ème dose, et qu'après la 5ème vague actuelle, janvier sera sûrement très mauvais... Bon. Mais, pendant ce temps-là, dans notre Pays légal en pleine déliquescence, les mises en examen, scandales et autres magouilles ne s'interrompent pas pour autant : alors, passe sanitaire et passe vaccinal ? "Ils" en ont oublié un :  le passe "casier judiciaire vierge pour les élus"...

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    2. La nouvelle provocation de Raquel Garrido (des "Insoumis", ou des "bien soumis" ?...) sur les réseaux sociaux qui, après avoir insulté le Président de Génération Z, valide le slogan "Fuck Zemmour" ! :

     

     

     

    3. D'accord avec Kevin Bossuet, mais en lui rappelant juste qu'il doit remonter un peu plus haut dans le temps, pour arriver à la source du communisme (et, indirectement - par l'anti-christianisme féroce et viscéral promu par la Révolution - du nazisme...) : la Révolution dite française, dont la révolution de Lénine ne s'est voulu que la quintessence... :

    Kevin Bossuet
    "Le 21 décembre 1991, l'URSS disparaissait. Des dizaines de millions de morts, des générations sacrifiées, des populations martyrisées et des libertés réduites à néant. Le communisme est avec le nazisme l'un des "virus idéologiques" les plus néfastes de notre histoire."

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    De Gilles-William Goldnadel, à propos du Parti communiste qui ose continuer à exister  : 

     

     

    4. Dans Valeurs :  Pour la seule Île-de-France, en 2020, les étrangers représentaient 92 % des mis en cause pour vols sans violence dans les transports en commun... :

    https://www.valeursactuelles.com/societe/ile-de-france-en-2020-les-etrangers-representaient-92-des-mis-en-cause-pour-vols-sans-violence-dans-les-transports-en-commun/

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    Affirmation confirmée par le dernier numéro d'INTER STATS du ministère de l'Intérieur...

     

    5. La Tribune de l'Art alerte : Quand le ministère de la Culture vandalise un hôtel particulier du Marais...

    Gilbert Collard a raison :

    "Pour mieux installer ses services dans un hôtel particulier du Marais, le Ministère de la Culture laisserait détruire de précieux éléments architecturaux : après Saccage Paris, Vandalise le Patrimoine"... 

    https://www.latribunedelart.com/quand-le-ministere-de-la-culture-vandalise-un-hotel-particulier-du-marais

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    6. Parce qu'il ne faut pas perdre la moindre occasion de se détendre et de sourire un peu... :

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    7. Et on terminera cette série d'aujourd'hui en félicitant Zohra Bitan qui ne craint pas d'annoncer la couleur et souhaite à tous, un "Joyeux Noël !" décomplexé, comme c'est la coutume et la Tradition sur notre vielle vieille terre, appropriée depuis mille ans... : son voeu fait écho au beau texte de Maurras dans L'Action française du 6 juillet 1912 (intitulé L'Hospitalité) : 

    "...Ce pays-ci n’est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d’un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie..."

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    "Pour moi ce sera Joyeux Noël et pas Bonnes fêtes. Pourquoi ? Parce j’ai la chance d’être née dans un pays où ses traditions sont une identité qui m’a construite et que j’ai additionné à la mienne ! Une identité est multiple et ne se fait pas avec des soustractions ! JOYEUX NOEL !"

     

     

    À DEMAIN !

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  • SOUTENEZ, PARTICIPEZ ! ACTIVITÉS DES ROYALISTES ET/OU DU PAYS RÉEL DANS TOUTE LA FRANCE...

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    Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)

    Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...

    Mais elle est aussi ouverte à d'autres groupes, pas forcément royalistes, ou exclusivement royalistes, qui mènent des actions allant dans le sens de la défense du Bien commun : SOS Éducation, le Collectif Némesis / La Cocarde étudiante /Jeunesse, si tu savais-Poussières d'étoiles / Baguette Musette / le Cercle d'Artagnan / Les Chemises blanches / Défendons notre Patrimoine...

     

    Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...

    • Conférences, Réunions, Cercles de formation, Manifestations diverses... dans la France entière...

     

     

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    Jeudi 15 Octobre, l'Action Française Bordeaux vous convie à son Cercle Léon de Montesquiou pour une conférence dont le thème sera " l'histoire de l'AF " animée par François Martin.

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    Vendredi 15 Octobre à 19h00, l'Action Française Vendée vous convie à un Cercle dont le thème sera " Léon Daudet " animée par Grégoire Haulaf.

    "On écrit pour fixer le réel. On parle pour réveiller ceux qui dorment. Réfléchir, c'est ressusciter les morts qui sont en nous."
    Léon Daudet

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    Vendredi 15 Octobre à 19h00, l'Action Française Clermont Ferrand vous convie à une conférence dont le thème sera " l'histoire de l'action française " animée par Jeanne Bubost.

    Ce sera l'occasion de (re-)découvrir l'histoire et les origines de notre mouvement et de la continuer.
    Plus d'information en MP.

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    Vendredi 15 Octobre à 20h00, sur l'IAF, notre serveur Discord, Venez assister à un cercle sur la décentralisation par un militant Hippolyte Renhardt ! Lien d'accès : https://discord.gg/MQXqvvk

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    Samedi 16 Octobre à 10h00, l'Action Française Nantes organise sa Réunion de Rentrée.

    https://www.facebook.com/events/410366067161078/?ref=newsfeed

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    Samedi 16 Octobre à 14h00, l'Action Française Limoges vous convie à sa Réunion de Rentrée.
    Une occasion pour tous les patriotes de Limoges de se rencontrer !
    Inscriptions et plus d'informations en message privé.

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    Jeudi 21 Octobre à 20h00, l'Action Française Vannes vous convie à une conférence dont le thème sera " histoire de l'Action française " animée par Lucas Kroener en direct sur discord.

    Nous continuons notre dynamique de formation.
    MP pour plus d'informations.

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    Vendredi 22 Octobre à 20h00, l'Action française Vannes organise son prochain Banquet Camelot : patriotisme, convivialité et bon esprit seront au rendez-vous !
    MP pour plus d'informations et contact. Faites passer autour de vous !

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    Samedi 23 Octobre à 16h00, l'Action Française Bourgogne fait sa Réunion de Rentrée à Chalon-sur-Saône.

    Au programme :
    - Stands
    - Conférence
    - Camaraderie
    Venez pour nous rejoindre, adhérer ou simplement prendre contact !
    Plus d’informations en MP !

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    • CERCLE DE FLORE PARIS

     

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    Site Officiel : https://www.actionfrancaise.net/recherche/cercle+de+flore

    Page FBhttps://www.facebook.com/cercle.de.flore/

     

     à 20h,

    10 rue Croix des Petits Champs, 75001 Paris, Metro 1 et 7 : Palais Royal - Musée du Louvre.

    PAF : 5€ (conférence) 10  (conférence + buffet)

     

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    Le Cercle de Flore et les Éditions de Flore recevront Vendredi 15 Octobre à 20h Sébastien Lapaque, préfacier de "La Commune de 1871" de Georges Bernanos, et François Angelier, auteur d'une biographie du grand écrivain.
    Une séance de dédicace ainsi qu'un buffet suivront la conférence.
     
     

     

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  • Le Sénat pour le droit de vote aux étrangers : logique, la République idéologique continue son offensive contre ”la Fran

          Nous ne sommes ni en République, ni en démocratie, mais dans une République idéologique, qui proclame une démocratie tout aussi idéologique. Et cette République-là n'aime pas la France. Du moins la France historique, la France traditionnelle, celle de l'Histoire, la France telle qu'elle a existé pendant mille ans en tant que telle, et qui est l'héritière de ce qui avait été avant elle : des Romains et des Celtes, de la sagesse de l'antiquité gréco-romaine, et de l'héritage judéo-chrétien.

            Cette République idéologique ne s'aime qu'elle-même, elle et sa nouvelle religion républicaine, qu'elle entend substituer à l'ancienne, du passé faisant table rase. Et ce qu'elle appelle "la France", ce n'est pas la France millénaire - et plus... - dont nous parlions plus haut... - , mais son idéologie et sa religion a elle, la NRL, la Nouvelle Religion Républicaine : c'est pourquoi, dans son esprit, "la France" commence en 1789 et 1793.

            Elle l'a d'ailleurs bien montré dès ses origines, en datant ses actes terroristes de l'An I, de l'An II de la République....

            C'était tellement "hénaurme" (pour parler comme Flaubert), que Napoléon lui-même, pourtant le sabre, le continuateur et l'héritier de la république et de la révolution, en revint très rapidement aux réalités, supprimant les billevesées les plus flagrantes. Mais, depuis qu'elle a pris le pouvoir - par notre faute... - en 1875, la République idéologique mène incessamment, vingt-quatre heures sur vingt quatre, sept jours sur sept et douze mois sur douze un sourd combat de sape contre tous les fondements traditionnels de la France historique.

    "Changer le peuple" dans son mental...

            Elle a commencé par changer le peuple dans sa "tête", dans son mental, son moral et ses "connaissances", en lui enseignant une histoire mensongère et tronquée : ce fut le rôle détestable de Jules Ferry - celui qui voulut "organiser le monde sans Dieu et sans roi..." - et qui y réussit, grâce au Ministère de la des-Éducation nationale et aux hussards noirs de la République. Ces Instituteurs - braves gens au fond d'eux-mêmes pour beaucoup d'entre eux, mais pas pour tous... - qui, croyant apporter le savoir jusqu'aux fins fonds les plus reculés du pays - et l'apportant, de fait... - mêlèrent le bon grain et l'ivraie : dans l'esprit des petits français, pour qui l'école laïque devint obligatoire, ils semèrent, c'est vrai, le savoir, et ils apprirent à lire, à écrire, à compter, reprenant en cela le grand mouvement d'instruction publique déjà largement entamé sous la Royauté, et interrompu par la Révolution, qui désorganisa tout...

            Mais ils semèrent également le venin de la fausse histoire, et, par le dénigrement systématique, le sectarisme, la mauvaise foi et l'esprit partisan, ils coupèrent peu à peu le peuple, par les enfants, de ses Racines, de la connaissance vraie de son passé, donc de son respect et de son amour pour lui...

    ...avant de "changer le peuple" par la substitution de population(s)....

            Depuis 1975 et les Décrets Chirac, la République idéologique est passée à une deuxième phase : après avoir "changé le peuple" mentalement, elle "change le peuple" physiquement, par une immigration insensée, dont on ne voit que trop combien elle porte en elle-même la disparition de la France historique, qui s'est maintenue jusqu'ici, et se maintient encore, malgré tout, malgré tous les efforts de la Répubilque idéologique. Déjà des quartiers entiers de plusieurs de nos villes ne sont plus ce qu'ont connus nos parents - sans remonter au déluge - et, en Seine-Saint-Denis, deux habitants sur trois viennent de l'extérieur (1). Mais cela ne suffit pas, pour les  idéologues  : en accueillant officiellement chaque année 200.000 étrangers (en fait, évidemment plus, avec les clandestins), quasi exclusivement venus d'Afrique du Nord ou d'Afrique noire - et ce sans la moindre justification raisonnable, sans que cela corresponde au moindre besoin véritable... - ; sans parler des régularisations massives effectuées plusieurs fois dans un passé récent, ce qui est recherché, d'une façon méthodique et planifiée, c'est la dilution du vieux fond de population français, stable depuis le cinquième siècle, comme l'ont montré tous les analystes sérieux, de Jacques Dupâquier à Michèle Tribalat, Gérard-François Dumont, Jean-Paul Gourévitch, Jean Sévillia....

            Le vote du Sénat va dans ce sens. Certes, "on" nous rassure en nous disant - ce qui est vrai - que ce vote ne sert à rien puisque l'Assemblée rejettera ce texte. Il n'empêche : ce n'est pas un simple report, un simple ajournement qui changeront le fond du problème. Et le fond du problème, c'est que la France est dirigée par un Système qui s'est pensé et voulu, organisé et construit, sans ses Racines de tous ordres; et non seulement "sans" mais en dehors et contre ces Racines; radicalement contre, pour employer un pléonasme permettant de mieux nous faire comprendre.

    Alors "il est urgent de devenir réactionnaire", comme vient de le dire Ivan Rioufol ?

            Oui, mais vraiment réactionnaire : c'est de Système, c'est ce Système qu'il faut changer, et pas seulement les hommes - ou les femmes - qui le gèrent et l'administrent. Du moins, si l'on veut que l'aventure France continue, la France restant fidèle non à des formes du passé, mais à un esprit français... Sinon, le Système nous conduira à ce que nous a annoncé Éric Besson : non pas dans un lapsus révélateur - car ce n'en était pas un... - mais dans ce qui était plutôt une gaffe dûe à la précipitation et à l'anticipation - donc préminitoire : la France deviendra un "conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble" (!), c'est-à-dire une juxtaposition de tribus, de clans, de communautées, rassemblées par très peu de choses (la plupart abstraites, donc ne "pesant" rien...) et séparées par beaucoup, et celles-là très concrètes. C'est-à-dire que la France que l'on a connu dans l'Histoire, "avant", deviendra, deviendrait, une poudrière permanente....

            "A moins que..." comme disait Maurras.....

           

    (1) : nous citions récemment ce court passage de Sévillia : ".....Il existe une histoire de la nation française, qui est née au Moyen-Âge sous l’égide de la monarchie capétienne et qui a poursuivi son cours à travers les différents régimes qui se sont succédé ensuite. Il existe une histoire de la population française, dont le fond est resté le même du Vème siècle au XIXème siècle : à l’échelle du temps long, le phénomène migratoire est un fait récent dans notre histoire, mais dont l’accélération et la mutation depuis les années 1970 – la proportion d’immigrés extra européens ayant supplanté le pourcentage de migrants européens – représente évidemment une révolution fondamentale dans le cours de notre histoire. Il existe enfin une spécificité française, qui tient au rôle que l’Etat, bâtisseur de la nation, a toujours joué chez nous. La crise de l’identité française est née au carrefour de ces réalités. Nation millénaire, la France semble en panne de projet national au moment où elle subit une recomposition ethnoculturelle qui n’a pas été choisie mais imposée ou subie...." 

  • Philippe de Villiers au Cercle de Flore : « On est près du grand mouvement de l'inversion »

     

     

     

    Le cercle de Flore a reçu le 8 décembre, Philippe de Villiers, venu présenter son dernier ouvrage : Le roman de Jeanne d’Arc. Mais pas seulement.

    Certes, ce fut l’occasion d’une magnifique évocation de Jeanne d’Arc, car Philippe de Villiers est un remarquable conteur qui, parfois, est aussi acteur …

    Mais cette évocation historique est sans cesse mise en perspective, sans cesse rapprochée de notre temps, de la France d’aujourd’hui …

    Et, parlant sous un portrait de Charles Maurras, qu’à sa manière il salue, dans ce « lieu historique » (le 10 rue Croix du Petits Champs) qu’il signale, Philippe de Villiers définit une politique, une action politique, que ni Maurras ni Boutang n’auraient désavouées.

    L’une et l’autre (option stratégique purement Action française) s’inscrivent nécessairement en dehors du Système et contre lui ; il s’agira de se débarrasser des « élites » qui ont trahi la France comme au temps de Jeanne : les élites politiques qui ont transféré sa souveraineté à l’étranger, les élites économiques qui sont allées chercher ailleurs qu’en France leurs profits, les élites médiatiques et cléricales qui exècrent la nation. Et si l’on pose à de Villiers la question même du régime, il ne l’esquive pas, il y répond à la façon de Pierre Boutang : « il n’y a pas de pouvoir légitime, durable, sans pérennité et sans sacralité ».

    « Au temps de Jeanne, dit-il, tout est presque perdu. » Comme au nôtre. Le roi est « de médiocre apparence » et la France est divisée en trois royaumes. On sait le redressement spectaculaire et rapide qui suivit. Pour plusieurs siècles.

    De Villiers prêche donc l’espérance : « On est près du grand mouvement de l’inversion ». Lequel ? Celui qui mettra en cause la Révolution, la Révolution historique (« La terreur est dans son ADN ») mais aussi la Révolution agissant aujourd’hui. « Il y a des signes du sursaut ; des gens qui bougent ; des voix qui s’élèvent et qui parlent de plus en plus fort ».

    La conclusion, métaphorique pour nous, revient à Jeanne : « Gentil Dauphin, dit-elle à Charles VII rétabli sur son trône, je ne vous appellerai plus gentil Dauphin ; je vous appellerai Sire le Roi ».

    Bref, nous ne saurions trop conseiller de regarder, d’écouter, cette vidéo d’une conférence, d’un débat, d’une rencontre qui ont une évidente importance.   Lafautearousseau   

     

  • Atlantico : « Le modèle suisse ou la force tranquille de la nation (n’en déplaise à Emmanuel Macron...) »

     

    2293089609.14.jpgIl nous paraît nécessaire que les royalistes - à l'Action française, notamment - prennent conscience de l'actuelle évolution des esprits. Elle est en réaction contre la pensée dominante dans de nombreux médias. Et elle gagne des publications dont ce n'était pas forcément la vocation d'y prendre part. Cette évolution nous paraît marcher du même pas que les transformations politiques en cours en Europe et Outre-Atlantique. L'entretien qui suit - en défense du nationalisme et du populisme - est paru dans Atlantico hier 5 juillet. Qu'on le lise ! Il est sur la même ligne que celle exposée en d'autres termes par Mathieu Bock-Côté [Article suivant]. Les textes ci-dessous sont parus sur Atlantico ...  .  LFAR  

     

    boutin.jpgLa Suisse met en vigueur ce 1er juillet une législation de « préférence indigène » avantageant la recherche d'emplois des résidents par rapport aux frontaliers. De son côté, Emmanuel Macron continue de cracher son venin sur les pays dont les choix nationalistes populaires les font passer, selon lui, pour des lépreux. 

    Atlantico : Emmanuel Macron dénonçait le 21 juin « la lèpre qui monte » « le nationalisme qui renaît, la frontière fermée que certains proposent » ce qui lui avait valu les réponses de Matteo Salvini, mais également de Steve Bannon, ancien conseiller de Donald Trump qui a pu déclarer : « nous avons été traités de déplorables, d’obscurantistes et maintenant de lépreux… Les Français sont en train de réaliser combien Macron est devenu embarrassant. » Au delà de ces échanges, ne peut on pas voir un risque à critiquer ainsi les nations à priori ? N'est ce pas également nier le caractère parfaitement démocratique de certaines nations, et leur capacité à faire des choix ?

    Christophe Boutin : L’historien de l’évolution des sociétés démocratiques de la fin du XXe et du début du XXIe siècles sera certainement étonné de la violence et de la suffisance qui auront ponctué les réactions des représentants de la super-classe mondiale lorsque les peuples avaient le malheur de ne pas faire le « bon choix ». 

    Aux USA ou en Europe, dans ces États démocratiques dont le principe est pourtant, comme le rappelle l’article premier de notre Constitution, le « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple », c’est en effet aussitôt, de la part de l’oligarchie au pouvoir,un incommensurable mépris qui se déverse dans ce cas. « Lèpre », « sans dents », « déplorables », « racistes », tout est fait pour salir et stigmatiser ceux qui n’ont pas fait le choix de leurs princes. 

    Le même historien relèvera aussi les procédés mis en œuvre pour contrôler cette expression démocratique : atteinte à la liberté d’expression et au pluralisme des courants d’idée et d’opinion, pourtant censément garantis par les textes fondateurs des déclarations des droits, grâce à des lois pénalisant tout écart de la doxa ; organisation, après un blocage, d’une nouvelle consultation, en espérant un choix différent ; vote d’un texte d’abord rejeté par référendum par un Parlement aux ordres ; utilisation des « marchés » pour faire pression sur les économies des États frondeurs et leurs populations ; lenteurs dans la mise en œuvre des choix démocratiques par des négociations sans fin ou l’absence de textes réglementaires d’application ; refus d’organisation de nouveaux référendums ou de prise en compte des pétitions de citoyens ; organisation de manifestations « spontanées »… Refermant ses archives, cet historien verra peut-être dans tout cela une courageuse tentative des « sachants » pour museler enfin la plèbe ignare, ou, peut-être, l’une des causes de la révolution qui a suivi… il est encore trop tôt pour le dire.  

    Quoi qu’il en soit, il est intéressant de voir combien est grande chez cette oligarchie mondialiste la détestation de la nation. Belle idée, puisque de gauche, au XVIIIe, lorsqu’au nom de la nation on mettait à bas la monarchie, la nation, devenue de droite à la fin du XIXe siècle (Taine, Renan, Maurras…), est alors passée du côté obscur de la Force. Synonyme d’enfermement sur soi, vecteur des plus sombres pulsions, l’Union européenne ne cesse de nous rappeler que « le nationalisme, c’est la guerre ». La nation ne peut plus exister, à la rigueur, que comme dispensatrice de subsides à des résidents devenus tous citoyens, et qui peuvent ainsi, par la magie administrative, « faire nation » lors de cérémonies festives comme la coupe du monde de football. Mais qu’elle se prétende enracinée dans l’histoire, porteuse de valeurs voire, horrosco referens, d’une identité, voilà qui révulse nos oligarques.  

    Le problème est que si les peuples peuvent s’amuser à oublier leurs solidarités lors des périodes bénies de l’histoire, si tant est qu’il y en ait eu, en temps de crise ils cherchent au contraire à les retrouver : la peur ressoude, et elle ressoude ceux qui se ressemblent contre un ennemi commun qui prend la figure de l’Autre. On peut le déplorer, on peut penser qu’il faudrait au contraire, pour conjurer les violences, se jeter dans les bras de cet Autre, se dire que « si tous les gars du monde se donnaient la main cela ferait une ronde », mais l’historien cherche en vain des partisans de cette démarche qui aient survécu à la rencontre. Or dans ce cadre de crise qui est le nôtre en Europe en 2018, la nation est le plus vaste des cercles d’appartenance, la communauté cohérente la plus importante, et, malgré les critiques, elle ressurgit donc « naturellement » pourrait-on dire. 

    Par ailleurs si le nationalisme a parfois produit des emphases et des excès, il a tout autant favorisé le développement des arts, enrichi des cultures, développé des droits et libertés. Et il a su défendre l’ensemble lorsqu’il le fallait, c’est-à-dire lorsque les frontières - encore un gros mot pour certains, qui oublient qu’un groupe humain vit sur un territoire donné, qu’il façonne selon son génie propre - étaient menacées.  

    Le nationalisme ne mérite donc pas cet excès d’indignité, qui s’explique sans doute plus par le fait qu’il ose lutter pour garantir la protection de la communauté nationale contre les effets délétères d’une économie mondialisée qui reste l’horizon ultime de nos oligarques. Ce qu’ils reprochent à la nation, c’est de freiner l’avènement de ce monde nouveau où les winners pourront enfin régner sans partage. Mais le risque, pour tous ces donneurs de leçons, est de laisser par trop voir le décalage qui existe entre les principes de la démocratie, répétés comme des mantras puisque, pour que le peuple ne se soulève pas, il faut, rappelle Tocqueville, qu’il pense tenir la chaîne qui lie collectivement ses membres, et la réalité d’un pouvoir inégalitaire. 

    Alors que la Suisse met en vigueur ce 1er juillet une législation de « préférence indigène » avantageant la recherche d'emplois des résidents par rapport aux frontaliers, ou que le Japon, après une longue période de refus de l'immigration, a pu ouvrir ses frontières afin de faire face à ses besoins, comment expliquer notre regard moral posé face aux choix réalisés par les nations ? Comment expliquer ce regard porté sur des décisions prises de façon démocratique dans le cadre national ?

    Les nations, dont l’objectif principal est de « persévérer dans leur être », ce qui ne veut pas dire fixisme mais évolution volontaire, ont toute légitimité pour agir comme elles le veulent, « ouvrant » ou « fermant » leurs frontières en fonction de leur seul intérêt. Et à partir du moment où, si la règle du jeu national est la démocratie, les règles démocratiques ont été respectées lors des débats et des votes, la décision prise par la nation, soit directement par le référendum, soit par ses représentants, est juridiquement parfaitement légitime.  

    On objectera qu’elle doit encore respecter le « droit » - la loi française devant par exemple respecter la Constitution, et pouvant être sanctionnée par le Conseil constitutionnel lorsque ce n’est pas le cas. Mais n’oublions pas que, d’une part, le Conseil constitutionnel refuse de contrôler la conformité de lois référendaires qui sont l’expression directe du peuple souverain, et, d’autre part, qu’en cas de désaccord il y a toujours la possibilité pour ce même peuple souverain de réviser la Constitution pour amener le juge constitutionnel à accepter ses choix. Reste, c’est vrai, l’existence de juges supranationaux, au premier rang desquels la Cour européenne des droits de l’homme, mais sa légitimité ne résulte que de la signature d’un traité, qui peut toujours être dénoncé, et non d’une sorte de mystique d’un droit supranational. 

    Rien n’explique donc les termes employés pour critiquer certains choix, sinon la nécessité, lorsque la critique politique n’est plus possible, de la remplacer par une critique morale. Au nom d’une pseudo-morale pseudo-universelle, au nom en fait de la doxa de la classe dominante traduite en termes binaires de conflits entre le « Bien » et le « Mal », relayée ad nauseam par des médias peuplés de ces intellectuels organiques décrits par Gramsci comme servant à domestiquer la société, éclairée par ces images passant en boucle qui achèvent, dans le monde moderne, de sidérer les populations, on prétend discréditer la thèse démocratiquement majoritaire et conférer une légitimité absolue, parce que « morale », à celle qui a été rejetée.   

    En quoi ce biais visant à lier « nation » et « lèpre », niant les nations démocratiques, peut-il justement conduire à renforcer des acteurs du type de Steve Bannon ou Matteo Salvini, dont les objectifs peuvent parfois être classés dans une rubrique plutôt « nationaliste » ? 

    Comme le dit Steve Bannon dans le même entretien, « l’autorité ne vient pas de l’imagination » - comprendre ici de ce délire moralisateur qui ne repose que sur du vent – « mais de la réalité. Et la réalité, c’est que Macron parle pendant que Salvini ou Orbán agissent ». On peut en effet tenter d’écarter des thèses, de les interdire de parole, de cacher des informations, de travestir la réalité. On peut, comme dans le conte bien connu d’Andersen, faire croire que l’empereur porte un merveilleux costume quand il est nu. Mais un jour vient où la réalité, brute, violente, évidente, ne peut plus être niée.  

    « Macron consacre toute son énergie à essayer de contenir la vague populiste – continuait Bannon - et c’est tout ce qu’on retiendra de lui. Mais il est impossible de la stopper. » Il est certain en tout cas que ce n’est pas en occultant les éléments qui ont contribué à créer cette vague, comme le choc migratoire ou la revendication identitaire, et en stigmatisant de manière  méprisante nationalistes et populistes, que les peuples européens ne se rendront pas compte que l’empereur est nu.Le décalage entre le discours moralisateur et la réalité du quotidien ne peut donc que servir les discours réalistes. 

    Pourquoi alors les moralisateurs ne s’en rendent-ils pas compte ?

    Parce que nous en sommes arrivés à une véritable incommunicabilité paradigmatique entre les « progressistes » et les « conservateurs », entre « les moralisateurs » et les « réalistes » : ce sont les mêmes mots qui sont utilisés (nation, démocratie…), mais ils n’ont plus le même sens dans l’esprit de ceux en usent ou les entendent, au point que les gardiens de la doxa ne se rendent plus compte que les éléments critiques qu’ils présentent (« c’est un nationaliste ») servent en fait dans l’esprit d’une grande partie de nos populations ceux qu’ils voudraient abattre. Un cas d’école qui fascinera certainement l’historien que nous évoquions.   

    Christophe Boutin est un politologue français et professeur de droit public à l’université de Caen-Normandie, il a notamment  publié Les grand discours du XXe siècle (Flammarion 2009)  et co-dirigé Le dictionnaire du conservatisme (Cerf 2017).

     Voir la bio en entier

  • 10 Novembre 1914 ... L'état-major du général Galliéni est composé de vaudevillistes, de ténors et d'impresarii

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    Grosclaude, dans Le Journal, a publié avant-hier un  excellent article qui gênera considérablement l'obscure intrigue qui se noue en faveur de la paix, intrigue pour laquelle Joseph Caillaux travaille et qui n'attend qu'une occasion pour sortir de l'ombre. L'article de Grosclaude nous est confirmé de première main : c'est une nouvelle Affaire Dreyfus qui s'annonce, avec les mêmes éléments.

    Aujourd'hui Les Débats donnent, comme venant de La Nouvelle Presse libre de Vienne, la traduction d'un article où Joseph Caillaux est présenté comme l'homme de la situation, celui qui sera le héros de la France de demain parce qu'il est le seul homme politique de la République qui n'ait pas de responsabilité dans la guerre, etc... Pavé de l'ours germanique, horriblement compromettant pour Joseph Caillaux. Or cet article avait paru le 17 octobre dans La Gazette de Francfort. Je l'avais traduit. Maurras l'avait commenté, et la censure avait interdit texte et commentaire. Le texte prohibé à L'Action française comme venant de Francfort a donc paru hier aux Débats, comme venant de Vienne. Chef-d'oeuvre de la censure dont l'étourderie et l'ignorance sont sans bornes et qui fait choir dans le ridicule les idées de salut public et d'autorité. L'état-major du général Galliéni est composé de vaudevillistes, de ténors et d'impresarii. La censure est recrutée parmi des coulissiers juifs, des habitués du café Weber*, des journalistes de bas étage (à deux ou trois exceptions près), bref parmi tout un monde totalement illettré.    

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    * Célèbre café, rue Royale, que fréquentait Marcel Proust.

  • Merci, Macron, de ne pas nous avoir souhaité ”Joyeux Noël”. Petit rappel instructif...

    ... qui en dit long sur la perversité essentielle de ce Système, où l'ennemi, qu'il faut exterminer, c'est le christianisme, et lui seul...

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    C'est écrit et dit en 2017...

    Alors, comme ça, depuis deux mille ans, sur cette vieille terre dont le sol "est approprié par les races dont le sang coule dans nos veines"∗, Noël n'est pas "un temps de partage" ? 

    Macron est  bien le digne semble-Président nocif d'un Système nocif qui veut tuer la France traditionnelle; il l'est après Hollande, après Sarkozy, après Chirac, après tous : ce ne sont pas les semble-Présidents qu'il faut combattre, ou changer :

    c'est ce Système-contre-la-France qu'il faut détruire !

     

    extrait de l'article de Maurras, L'Hospitalité, paru dans L’Action française, le 6 juillet 1912 : "...Ce pays-ci n’est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d’un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie..."

    À noter : Le Premier ministre israélien ainsi que des dizaines de représentants musulmans chiites et sunnites ont souhaité un Joyeux Noël aux Chrétiens mais pas Macron... Pas le Chef, le Grand-Prêtre de la Nouvelle Religion Républicaine, qui est engagée dans une lutte à mort avec le christianisme, qu'elle veut exterminer...

  • SOUTENEZ, PARTICIPEZ ! ACTIVITÉS DES ROYALISTES ET/OU DU PAYS RÉEL DANS TOUTE LA FRANCE...

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    Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)

    Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...

    Mais elle est aussi ouverte à d'autres groupes, pas forcément royalistes, ou exclusivement royalistes, qui mènent des actions allant dans le sens de la défense du Bien commun : le Collectif Nemesis / Jeunesse, si tu savais-Poussières d'étoiles / Baguette Musette / le Cercle d'Artagnan / Les Chemises blanches / Défendons notre Patrimoine...

     

    Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...

    • Conférences, Réunions, Cercles de formation, Manifestations diverses... dans la France entière...

     

     

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    https://www.actionfrancaise.net/evenement/universite-dete-cmrds-2/

     

     

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    Mercredi 9 Juin à 18h, l'Action Française-Restauration Nationale vous convie à une  audio-conférence dont le thème sera la décentralisation animée par Nicolas Koenig sur Discord.

    Plus d'infos en mp.

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    Mercredi 9 Juin à 20h, l'Action Française Toulon vous convie à une  conférence dont le thème sera le sacre des Rois.

    Inscription par mail ou en mp.

    Toulon@actionfrancaise.net

    Une bonne occasion pour nous rencontrer !

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    Samedi 12 Juin à 19h, l'Action Française la Rochelle vous convie à une  conférence dont le thème sera l'écologie intégrale animée par Francis Venciton, secrétaire général adjoint de l'Action Française.

    Nous vous attendons nombreux à la conférence et à l'apéritif qui suivra. Une participation aux frais libre sera demandée.

    N'hésitez pas à nous contacter par Facebook ou par mail (inscrits sur le visuel) afin de confirmer ou d'infirmer votre présence parmi nous.

    Et pour que vive la France, vive le Roi

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    Mercredi 16 Juin, de 19h45 à 23h, le Cercle de Flore Lyon vous convie à un Dîner/Conférence.
    Pour clore cette année atypique, nous recevrons Bernard Lugan sur un sujet au cœur de l'actualité intellectuelle et politique.

    Dans son nouveau livre, qu'il viendra nous présenter, Bernard Lugan démontre que l'offensive décoloniale, islamo-gauchiste et repentante, à laquelle nous faisons face n'est pas un simple « séparatisme » mais une véritable guerre idéologique de conquête. Il nous donne aussi les munitions intellectuelles pour y répondre.

    Merci de vous inscrire exclusivement en suivant ce lien (Centre de Lyon - Adresse lors de l'inscription - Places limitées) :

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    • CERCLE DE FLORE PARIS

     

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    Site Officiel : https://www.actionfrancaise.net/recherche/cercle+de+flore

    Page FBhttps://www.facebook.com/cercle.de.flore/

     

     à 20h,

    10 rue Croix des Petits Champs, 75001 Paris, Metro 1 et 7 : Palais Royal - Musée du Louvre.

    PAF : 5€ (conférence) 10  (conférence + buffet)

     

     

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    • CERCLE DE FLORE LYON

     

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    Page FB : https://www.facebook.com/cercledeflorelyon/

     

     

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    • URBVM

     

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    Site Officiel : https://urbvm.fr/

     

     

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    • Les Mardis de Politique magazine

     

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    Chaîne Vidéos : https://www.youtube.com/channel/UCYlZgfsklLOeodytYauQONQ

    https://www.youtube.com/user/Politiquemag

     

     

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    • Le Café Actualité d'Aix-en-Provence

     

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    • Le Café Histoire de Toulon

     

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    Pages FB : https://www.facebook.com/publegraal/

     

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  • NOTRE FEUILLETON ESTIVAL : UN ETE AVEC JACQUES BAINVILLE...

    423267013.jpgA partir du vendredi 19 juillet, et jusqu'à la fin du mois d'août, nous vous proposerons de découvrir, ou de mieux connaître, mais aussi de faire découvrir à d'autres (par le jeu des partages) l'immense Jacques Bainville, par le biais d'une photo quotidienne tirée de notre "Album Jacques Bainville" (lafautearousseau vous propose également un "Album Léon Daudet" et un "Album Charles Maurras").

     

     

    Aujourd'hui : 38. L'incident des obsèques...

     

    Tiré de notre Album "Maîtres et témoins"... (II) : Jacques Bainville" (186 photos)

    L'incident des obsèques...

    Paris, 13 février 1936, au croisement du boulevard Saint-Germain et de la rue de l'Université. 
    La foule attend le cortège funèbre de Jacques Bainville, dont la dépouille doit être transportée depuis son domicile, rue de Bellechasse, à la gare de l'Alma, pour être inhumée à Marigny, en Normandie. 
    L'Église catholique - qui ne s'est pas honorée en la circonstance... - lui a refusé les obsèques religieuses, en raison de la "mise à l'Index" de l'Action française par le pape Pie XI, en 1926....
    Le quotidien de la Ligue d'Action française a appelé ses lecteurs à se masser, à midi, l'heure de la levée du corps, boulevard Saint-Germain....
    Le corps du défunt a été exposé dans la cour de l'immeuble de la rue de Bellechasse. 
    A midi, deux discours sont prononcés : l'un par Léon Daudet, au nom des amis du défunt, l'autre par Me Henri Robert, directeur de l'Académie Française (extraits) :



    1. De Me Henri Robert : 

    «La mort de Jacques Bainville est pour tous ceux qui l'ont connu, aimé et admiré, un sujet de profonde tristesse. Certes, nous le savions malade, atteint aux sources mêmes de la vie, mais nous voulions espérer quand même. II nous donnait l'exemple, en luttant avec un indomptable courage, un magnifique stoïcisme contre le mal qui le torturait. Il avait auprès de lui, pour l'aider dans ce dur combat, sa femme dont les soins attentifs et l'inlassable dévouement réussirent par une sublime conspiration, à l'arracher plusieurs fois à son cruel destin. Sa femme et son fils, ses confrères et ses amis ne sont pas les seuls à ressentir profondément la perte douloureuse qu'ils viennent de subir. Les Lettres françaises sont aussi en deuil. Maurice Donnay, en le recevant à l'Académie, a fait de notre confrère un magistral et définitif éloge. Dans les tristes circonstances présentes, je ne puis qu'évoquer son oeuvre. Jacques Bainville a écrit des livres qui ont consacré sa grande réputation, et il est toujours resté fidèle au journalisme dans lequel il avait fait ses débuts, alors qu'il sortait à peine du lycée, en écrivant à Francisque Sarcey une lettre que celui-ci inséra dans Le Temps. Voir pour la première fois son nom imprimé dans les colonnes d'un grand journal, quelle joie et quel orgueil pour un collégien. Ce simple fait décida peut-être de sa vocation... »

    2. De Léon Daudet :

    «C'est comme vis-à-vis quotidien de Jacques Bainville, à notre table commune de travail de l'Action Française depuis vingt-huit ans, que je viens apporter à l'admirable veuve et au fils de notre cher ami, le suprême témoignage de notre douleur et aussi de notre fierté. Fierté que peuvent partager tous les collaborateurs de ce grand écrivain qui fut aussi un grand patriote. Eadem velle eadem nolle ea est vera amicitia. Vouloir les mêmes choses, ne pas vouloir les mêmes choses, voici la véritable amitié. La fidélité amicale de Bainville était connexe à la fidélité de ses convictions politiques. Il disait de Charles Maurras qu'il lui devait tout, sauf le jour. Cette formule pourrait être celle de la plupart d'entre nous. Tant de peines profondes et aussi de joies et de certitudes en commun ont créé entre nous, les maurrassiens, une solidarité que la mort même ne saurait anéantir. S'il est vrai que l'amour est plus fort que la mort, cela n'est pas moins vrai de l'amitié et au-delà des tombeaux quand il s'agit d'écrivains et d'hommes d'action, celle-ci se continue par leurs oeuvres, par leurs actes, par leurs intentions fraternelles. Amis, nous le fûmes dans la patrie, dans la France, notre mère, dont les dangers, les risques nous apparurent ensemble. Historien né, objectif et clairvoyant, pressentant les effets dans les causes comme un Thucydide et un Fustel de Coulanges, Bainville était atteint de cette transe des époques troubles : l'angoisse pour le pays. Il n'était pas de jour qu'il ne m'en parlât ou n'y fît allusion. Poète par surcroît et de l'esprit le plus vif, le plus spontané, il voyait, navigateur des âges écoulés, monter à l'horizon les points noirs, annonciateurs de la tempête. Un article de lui dans la revue d'Action Française du 14 juillet 1914, intitulé Le Rêve serbe, annonce avec précision et clarté le mécanisme de la guerre européenne qui vient... Sa plume ne tomba de ses mains qu'à la dernière minute. Jusqu'à ses derniers moments il s'entretint avec nous des sujets les plus divers, de ceux surtout qui lui tenaient au coeur. Cela nous permettait à nous, les collaborateurs de chaque jour, de lui cacher notre inquiétude. La veille de sa mort, il s'occupait avec Maurras de La Bruyère et il nous parlait de ses projets. Une seule plainte : quand pourrai-je reprendre avec vous nos petits dîners d'amis. Cher Bainville, tendre, délicat, grandiose ami, jusqu'à l'heure d'aller vous rejoindre, quand nous aurions dû vous précéder nous ne cesserons de penser à vous, de vous pleurer, de prier pour vous. »

    Au premier rang de l'assistance, se pressent les plus hautes personnalités de la politique et des lettres...
    Le cortège est précédé de deux chars remplis de fleurs et de couronnes, dont celles du duc et de la duchesse de Guise.
    Charles Maurras et la reine Amélie du Portugal suivent aussitôt après la famille.

    L'imposant cortège s'engage dans le Boulevard Saint-Germain, et c'est alors que se produit "l'incident" : une automobile, dans laquelle ont pris place Léon Blum et Georges Monnet, est arrêtée par la foule, qui attend le passage du cortège. 

    Il est évidemment impossible, étant donnée la notoriété de Bainville, et l'importance de l'événement, qu'une personnalité comme Léon Blum ait été dans l'ignorance de ce qui se passait à cet endroit, et à ce moment-là...
    Il semble que l'auto voulut passer malgré tout, coupant ainsi la double haie de la foule attendant, de part et d'autre du boulevard, le passage du cortège.
    Léon Blum reconnu, des cris et des sifflets se firent entendre. Provocation ? La vitre arrière de la voiture fut brisée, et un mouvement de foule eut lieu autour du véhicule... Léon Blum et Mme Monnet furent légèrement contusionnés... 
    Les Camelots du Roi, présents sur les deux trottoirs du Boulevard, protégèrent Blum, qui se fit conduire à l'Hôtel Dieu.

    Quand il revint à la Chambre des députés, il fut accueilli aux cris de "Dissolution des Ligues". 
    Et Albert Sarraut, ministre de l'Intérieur, fit signer, par le président Albert Lebrun, la, dissolution de toutes les organisations d'Action Française, que suivit celle de toutes les ligues nationales...

    Sur cette malheureuse journée des obsèques, Albert Thibaudet écrit :
    "...Les trois formes des guerres historiques françaises semblèrent conviées aux obsèques de Bainville.
    D'abord, notre forme la plus française de la guerre religieuse, celle que connaissent bien les lecteurs de Port-Royal.
    Ensuite la guerre civile : on a, dans le malheureux incident Léon Blum, la sensation physique de cette Discorde que les poètes épiques, et Boileau dans le Lutrin, invoquent pour signifier un moment exceptionnel où tout sort de la mesure, tout est déréglé, tout est déchaîné démoniaquement. Je saurai désormais ce que veut dire l'hémistiche : la Discorde triomphe...
    Enfin, la guerre étrangère : le jour des obsèques était le jour de la discussion du pacte franco-soviétique, sur les conséquences duquel je n'ai pas d'opinion, mais Bainville en avait une, très nette, et l'un de ses derniers articles disait : "Une alliance avec les Soviets offre tout ce qu'il faut pour vous amener à la guerre."
    On songe alors à la dernière phrase de Jaco et Lori, où Jaco disparaît dans les arbres : "Je criai par trois fois : Ca finira mal !"
    Le cortège funèbre de Jacques Bainville s'est déroulé justement entre les trois cris."

  • Éphéméride du 3 Avril

    2007  : Record de vitesse du TGV, à 574,8 km/h

     

     

     

     

    1367 : Du Guesclin prisonnier 

     

    Inlassable combattant pour la libération du territoire, du Guesclin a été chargé, en cette période, de débarrasser le royaume des Grandes compagnies, c'est-à-dire des bandes de soldats/mercenaires licenciés par leurs chefs temporaires, mais qui refusaient de quitter les armes pour retourner à la vie civile, et vivaient en rançonnant les campagne et le petit peuple.

    À la demande de son roi, Charles V, du Guesclin s'est donc mis personnellement à la tête de ces pillards, et les a emmenés en Espagne, où il soutint le parti d'Henri de Transtamare, qui disputait le trône de Castille à Pierre le Cruel.

    Celui-ci, sur le point d'être vaincu par le connétable, fit appel aux deux meilleurs généraux anglais du temps : Chandos et le Prince noir. Le sort des armes tourna alors, temporairement, en défaveur de du Guesclin, qui fut fait prisonnier par le Prince noir (prince de Galles, héritier de la couronne d'Angleterre) pendant la bataille de Nájera, en Navarre.

    Le même Prince noir qui mettra Limoges à sac trois ans plus tard (voir l'Éphéméride du 19 septembre).        

    Surnommé le Prince Noir, à cause de la couleur de son armure, le Prince de Galles enfermera le connétable à Bordeaux où les émissaires du roi de France négocieront sa libération, qui interviendra le 17 janvier 1368, après paiement d'une forte rançon.  

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    Statue de du Guesclin à Dinan
     
     
     
     
     
     
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    1369 : Apparition du tir sportif

             

    Le roi de France Charles V (ci-dessous) promulgue un Édit recommandant la pratique des jeux d'arc et d'arbalète, et prétend interdire aux sujets de son royaume la pratique de tout autre jeux (le jeux de dés, le jeu de paume, les quilles, les palets, la soule et les billes sont explicitement désignés).

    De fait, tous les jeux "qui n’ont point d’utilité pour exercer nos dits sujets au maniement des armes" sont visés, les contrevenants s’exposant à l’importante amende de quarante sous; pour se divertir, les sujets doivent s’adonner exclusivement au tir à l’arc ou à l’arbalète. Une telle mesure n’est pas tout à fait originale dans la mesure où Charles V ne fait qu’imiter le roi d’Angleterre Édouard III.

    Pour le roi de France, qui tente de réorganiser le royaume, il s’agit clairement d’améliorer les qualités militaires du peuple français. Le souvenir des cuisantes défaites de Crécy (1346) et de Poitiers (1356) est encore très vif : lors de ces deux batailles, la force de l’archerie avait largement déterminé la victoire anglaise...

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    1559 : Traité de Cateau-Cambrésis

              

    Signé entre Henri II de France et Philippe II d’Espagne, souverains de deux pays épuisés par le conflit, ce Traité (ci-dessous) met fin aux Guerres d’Italie.

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    Après la défaite de Saint-Quentin (voir l'Éphéméride du 10 août), la France renonce à ses prétentions sur l’Italie, mais conserve les Évêchés de Toul, Metz et Verdun : première étape de sa marche vers l'Est et vers le Rhin, la réunion des Trois-Évêchés prélude à celles de la Franche-Comté, de l'Alsace et de la Lorraine....

    Si elle conserve malgré tout quelques places fortes en Italie, la France doit céder le duché de Savoie et ses conquêtes dans le Piémont. Par ailleurs, elle permet aux Génois de reprendre la Corse.

    La veille, la France avait signé un traité de paix plus favorable avec Élisabeth 1ère d’Angleterre, lui concédant Calais pour huit ans. Pour conserver définitivement la ville, elle devra verser 500.000 écus.

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    La longue marche vers l'Est...
     
     
     
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    1591 : Naissance d'Yves Nicolazic

             

    Né à Pluneret, dans le diocèse de Vannes, Nicolazic est mort à Sainte-Anne-d'Auray le 13 mai 1645.

    C'est lui qui est à l'origine du culte de Sainte Anne en Bretagne, où il fit élever le sanctuaire dédié à celle qui lui apparut de 1623 à 1625. 

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     Haut lieu de la culture religieuse bretonne, Sainte Anne d'Auray (Santez-Anna-Wened) : le Pardon s'y célèbre le 26 juillet...  

    http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/Nicolazic/table.htm

     

     

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    1711 : Découverte de l'île de Clipperton

     

    Cette année-là, le vendredi 3 avril est le Vendredi saint : les marins français baptisent donc Île de la Passion l'atoll qu'ils viennent de découvrir. Les commandants, Mathieu Martin de Chassiron et Michel Dubocage, dressent la première carte de l'île... 

    L'histoire de la prise de possession de cet îlot par la France fut assez mouvementée, et ne prit fin qu'en... 1959 !

    C'est grâce à des "possessions" de ce genre que la France, dispose du deuxième espace maritime mondial et s'étend sur trois océans et quatre continents.

    Avec cet empire maritime et ses savoir-faire, la France a le potentiel pour répondre avec succès aux trois grands défis du siècle :

    • la pénurie en eau potable,

    • l'alimentation problématique de milliards d'êtres humains,

    • et la question récurrente des ressources énergétiques.

    La maîtrise et l'exploitation raisonnée des océans - dont, en l'occurrence, Clipperton... - constitue une formidable chance pour la France.

    Et le monde...

     

     Clipperton.pdf

    3 avril,du guesclin,prince noir,bordeaux,charles v,cateau cambresis,philippe ii,henri ii,trois évêches,tgv,alsthom,clipperton

    http://www.clipperton.fr/incagen.html?histoire.htm~main

     

    Dans notre Album L'aventure France racontée par les cartes...., voir la photo "L'exemple de l'ilôt de Clipperton" et les deux photos précédente et suivante...

     

     

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    1987 : Cérémonie d'ouverture du Millénaire Capétien...

     

    Le 22 janvier 1987, paraissait au Journal officiel de la République française, un décret portant création d’un Comité pour la commémoration du millénaire de l’avènement d’Hugues Capet. 

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    Piéfort en or réalisé pour le Millénaire par la Maison Palombo :

    10 francs - Hugues Capet - 1987

     

    3 avril,du guesclin,prince noir,bordeaux,charles v,cateau cambresis,philippe ii,henri ii,trois évêches,tgv,alsthom,clipperton,jerome lejeuneLe 3 avril suivant, le chef de l’État et le Comte de Paris, héritier des rois de France, se sont retrouvés côte à côte, dans la grande nef de la Cathédrale d’Amiens, pour l’ouverture des Festivités du millénaire devant un public de 800 personnes environ, au pr

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    À Moscou hier, comme à Paris avant-hier, l'ennemi principal et premier, non unique mais le pire de tous, partout, c'est le terrorisme islamique.

    Et, sur ce coup, nous sommes d'accord avec le message posté par Gabriel Attal sur tweeter : 

    "L'ennemi est connu, c'est le terrorisme islamiste. La menace qu'il fait peser sur notre pays est forte et réelle. Depuis le début de l'année, deux attentats ont été déjoués. Nous ne laisserons jamais une seule seconde de répit à ceux qui souhaitent s'en prendre à la France. Nous allons dans les heures qui viennent renforcer les moyens et les effectifs sur le terrain, en particulier à proximité des établissements scolaires."

    Certes, il est tard, il est bien tard, il est très tard, après des années de déni et, même, de politique(s) favorisant - de fait - le-dit terrorisme islamiste, mais enfin, il n'est jamais trop tard...

    Comme, dans un autre domaine, en ce qui concerne le ré-armement militaire de la France, que le Système désarme depuis des décennies : il est tard, bien tard, très tard, mais enfin, chaque année, chaque mois, chaque semaine, chaque jour passé à ré-ouvrir des usines de fabrication d'armement pour les trois Armes; chaque augmentation des budgets militaires (l'objectif, c'est 4¨% !); chaque commande de matériels(s)... tout est bon à prendre : dans ces deux domaines si différents, et qui pourtant se rejoignent, du terrorisme islamiste et des crédits militaires, le vocabulaire et l'action des royalistes d'Action française ne peut que rester le même :

    armons !, ARMONS ! ARMONS !

    (La "Une" de L'Action française du Samedi 1er Octobre 1938)

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    Lycée Maurice Ravel : l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers...

    "L'Islam politique a fait céder la République française...
    ...Dans La dernière classe d'Alphonse Daudet, le professeur dit adieu à ses élèves parce que les Allemands ont pris l’Alsace. Au lycée Ravel, le proviseur quitte son école parce que les islamistes ont gagné la partie. Quand on aime son pays, ces deux histoires serrent le cœur."
     
    Conclusion ?
     
    C'est "la république française" qui plie devant l'Islam, qu'elle a, elle-même, implanté, de force, dans notre pays, sans jamais solliciter leur avis ni leur accord aux habitants, qui, eux, n'ont rien demandé.
    Il faut donc changer ce Régime qui a failli, qui menace la permanence et la pérennité de la France, qui fera et (fait déjà, dans de nombreux endroits) de notre vieille terre chrétienne une république islamique si on le laisse en place !
     
     NOUS, NOUS VOULONS QUE VIVE LA FRANCE
     
    ET QUE SE POURSUIVE SON AVENTURE PLUS QUE MILLÉNAIRE !
     
    IL EST VISIBLE MAINTENANT PAR TOUS QUE LE SYSTÈME NOUS DÉPOSSÈDE DE NOTRE PAYS, NOUS L'ENLÈVE ET NOUS LE VOLE
     
    POUR Y INSTALLER UNE AUTRE CULTURE, UNE AUTRE CIVILISATION
     
    DONT NOUS NE VOULONS PAS !
     
     
    Voilà pourquoi nous menons une action politique contre ce Système qui nous tue; une action
    "réellement d'opposition, c'est-à-dire prêchant ouvertement la subversion du régime..." (Léon Daudet)
     
    VIVE LA FRANCE !
     
    ET, POUR QUE VIVE LA FRANCE,
     
    VIVE LE ROI !
     

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    1. Finances publiques, mur de la dette "déroute budgétaire" et déficit incontrôlable : l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers :

    Le déficit public de la France en 2023 s'établit à 5,5% du PIB - Vidéo  Dailymotion
     

     

    1 BIS. Le Maire veut faire des économies (il a raison : c'est par là qu'il faut commencer !) et trouver des milliards ? Voilà pour lui, de l'Observatoire de l'immigration et de la démographie :

    "35 à 40 milliards d'euros par an : voici le coût net de l'immigration pour les finances publiques en France, tel qu'évalué par l'OCDE et le CEPII (service rattaché au Premier ministre). Ce montant représente un tiers des recettes annuelles de l'impôt sur le revenu et dépasse l'ensemble des dépenses du ministère de l'Intérieur. Pour @LePoint, Nicolas Pouvreau-Monti (directeur de l'Observatoire de l'immigration et de la démographie) met en lumière cet angle mort du plan d'économies envisagé par le ministre des Finances."

    Image

     

    1 TER : De Marion Maréchal :

    "Dans notre pays, sur 1000 euros de dépenses publiques : 575€ sont consacrés aux dépenses sociales, 23€ pour la sécurité, 7€ pour la justice. L’Etat nounou dévore l’Etat régalien."

    (extrait vidéo 2'03)

    https://x.com/MarionMarechal/status/1772901640040845552?s=20

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