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  • Le Tour de France ”machiste et polluant” : le nouveau propos dément du maire de Lyon...

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    Hier, il insultait la mémoire collective du Peuple lyonnais - et de la France entière - en refusant, soi-disant au nom du principe de laïcité, d'assister à la cérémonie de renouvellement du Voeu des Echevins de Lyon de 1643.

    C'était mardi dernier; le lendemain, mercredi, ce Tartufe bien plus énorme que celui de Molière posait sans vergogne la première pierre de la mosquée de Gerland : laïcité, vous dis-je !

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    Aujourd'hui, nouvelle provocation : un propos dément, dans lequel il croit pouvoir affirmer que le Tour de France est "machiste et polluant".

    Insulter l'Histoire et la Mémoire, hier, insulter le Peuple aujourd'hui, à travers de ce qui est, chaque année, une grande fête nationale, populaire et sportive : décidément, ce pauvre Grégory Doucet semble avoir voulu se rendre célèbre comme maire de guerre civile, maire insultant et insulteur, maire diviseur, maire de fracturation, alors que la belle et noble magistrature suprême de la Cité est, au contraire, de ne parler et oeuvrer qu'en fonction du Bien commun de la dite Cité.

    Il y a eu, à la louche, deux tiers d'abstentions lors du second tour des dernières Municipales à Lyon; et Grégory Doucet a recueilli 52% des voix du tiers restant au second tour. Si l'on tient compte des non inscrits (par dégoût/rejet du Système ?), des bulletins blancs et nuls, on constate que le maire aux propos déments n'est maire - au mieux - qu'avec la moitié du tiers des voix : c'est "ça", la démocratie ? C'est "ça" le Système, la République et les "valeurs de la République" dont on nous rebat les oreilles ? 

    Maire "légal", certes, ce pauvre monsieur Doucet, aux propos déments, provocateurs, haineux et méprisants n'est évidemment pas un maire "légitime" si l'on s'en tient à la seule définition communément admise de la démocratie : détient le pouvoir celui ou celle qui a obtenu la moitié des voix plus une.

    Donner le pouvoir dans de grandes métropoles à des gens qui, de fait, n'ont pas de titre à l'avoir, c'est cela qui devrait "interroger quelque part" les Français, aujourd'hui, sur le Système qui nous régit, si mal...

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  • Action française - Restauration nationale : extraits de la conférence de Pierre-Yves Rougeyron.

    "Ce n'est pas l'empire que nous combattons. Nous combattons le penchant impérial parce que celui-ci condamne les nations."
    "L'empire a une tentation de prise mondiale. Il n'a pas de frontières.
    Barroso : "l'UE est le premier empire non impérial."
    L'UE entend plier la totalité du monde à son anthropologie post-civilisationnel."

    "Les peuples ont le droit à l'autonomie de leur pensée. Le nationalisme porte en lui un fait tolérance contrairement à l'empire qui est un fait unique.
    "L'homme en face de moi, du moment qu'il ne revendique aucun droit sur ma terre ou sur moi, a les mêmes droits que moi." "
    "Le roi est empereur en son Royaume"
    "Toute l'histoire de France est une conquête de liberté contre le fantôme impériale"
    "Le libéralisme a avancé avec un masque humaniste et s'est servi des droits de l'homme pour les transformer en droits d'ingérence vers l'épopée néo-impériale.
    Les droits de l'homme sont des choses au nom desquelles on tue. Ils ont tué plus de choses qu'ils en ont sauvé."
    "Tous les peuples ne sont pas faits pour être des nations. Certains sont des peuples d'empire, faits pour être soumis à un empire."
    "Aujourd'hui aucun empire ne dure, le prix du maintien de la domination est trop élevé."
    "Les vieux États nations durent, eux.
    La Chine est un État nation de 5000 ans."
    "La puissance nucléaire permet un Westphalie planétaire et une paix pérenne. Ça, la force impériale ne peut le supporter."
    "Les GAFAM sont des féodaux qui ont des tentations impériales.
    Mais, si le président des États-Unis le veut, Zuckerberg est un homme mort, Sorros est un homme mort. Le vrai pouvoir politique a ce pouvoir."
    "L'esthétisme peut faire tomber dans l'impolitique. Le mythe Patagon n'est pas assez prégnant pour mener à une politique ou à une impolitique."
    Nous étions plus de 160 ce soir, merci à tous ! Merci beaucoup à
    Pierre-Yves Rougeyron pour cette nouvelle intervention chez nous.
    Vous pouvez trouver nos enregistrements ici :
  • Marseille, à propos de la rupture de contrat entre la mairie et Franck Ferrand...

    (Nous avons évoqué ce différend il y a 2 jours, Samedi. Voici les suites de cette lamentable affaire.)

     

    Bruits de couloir


    Arrêt du podcast de Franck Ferrand par la ville : l'opposition LR, "la naine réinvente le maccarthysme"
    L'annonce ce vendredi par Marsactu de l’arrêt du podcast "Marseille sans galéjade !" de Franck Ferrand après décision de l'adjoint PCF à la culture Jean-Marc Coppola, n’a pas manqué de faire réagir l'opposition. Dans un communiqué, les élus LR du groupe Une Volonté pour Marseille dénonce une "mairie de Marseille (qui) réinvente le maccarthysme". "Le crime de monsieur Ferrand ? Intervenir en tant que chroniqueur sur une radio, dans un hebdomadaire ("Valeurs actuelles", Ndlr) ou encore sur une chaîne de télévision ("CNews") ayant des avis parfois divergents de ceux de la nouvelle municipalité ! Après le déni de démocratie du mois de décembre propulsant à Marseille un maire qui n'a pas été choisi par les Marseillaises et les Marseillais, c’est la liberté d'expression et la liberté de la presse que la majorité municipale piétine désormais. Le maccarthysme de gauche est ainsi né, au 21e siècle dans la deuxième ville de France", dénonce le groupe d’opposition.

    Tandis que le maire de Cannes se dit prêt à accueillir Franck Ferrand...
    Ayant eu vent de l'arrêt du podcast "Marseille sans galéjade !", le maire LR de Cannes David Lisnard se dit prêt à accueillir Franck Ferrand sur le site de sa ville. "Je vous propose de réaliser un tel podcast pour Cannes. Vous êtes le bienvenu ! Nous ne confondons pas politique et travail, et acceptons même les gens dits de droite", ironise-t-il sur Twitter.


    ... Comme la présidente du Département Martine Vassal
    Martine Vassal "propose à Franck Ferrand de participer à la diffusion de la culture provençale pour tous". Pour sortir "de cette polémique stérile", la présidente LR demande à la Ville de céder leur exploitation au Département ou à la Métropole et propose à Franck Ferrand de "s'associer à la réalisation de nouveaux podcasts sur l'histoire de nos territoires, de notre richesse culturelle, qui sont concentrées dans nos principaux musées, comme le Musée départemental Arles antique ou bien le Muséon Arlaten".

    Source : https://www.laprovence.com/

  • Tristes D’Âmes, Tristes Sires, par Guy Adain.

    Les Âmes de la Chapelle Royale de Dreux errent comme les « âmes en peine » qu’elles sont !

    Abandonnées, esseulées, privées de leur protectrice : « la Famille Royale de France. »

    Torturer moralement des « âmes en peine », a t’on vu pire ?

    Mais qui s’en soucie ?

    Pour les plus proches de nous, et pourtant des « Vieilles âmes », les comtes de Paris, « Grand-Père et Père » hurlent en silence de l’infamie qu’on leur impose !

    Et si encore la mauvaise foi était l’oeuvre de nos ennemis héréditaires ?

    Mais, comme toujours, le coup bas vient des nôtres et ce n’est que pour « trente deniers » que l’on a vendu âmes et conscience !

    D’autant, qu’à quoi rime de chasser la Famille Royale de France de son Domaine de Dreux, quand « le Roi est partout chez lui en France ! » Ici à Dreux, ou partout « Ailleurs en France ! »

    En sacralisant par son départ le 21 janvier 2019, Feu Henri d’Orléans, comte de Paris, tire de son bienheureux sommeil l’âme du Roi martyr, Louis le Seizième et toute la cohorte des Rois de France, tristes de voir les Gens de France, de la Fondation Saint-Louis, encore plein de rancoeur…

    Les prières et les cris des « Âmes en peine » sont entendues et comprises, elles reviennent en « Écho…Républicain ».

    Mille mercis à Madame Valérie Beaudoin de les relayer !

    Quant à nous, Royalistes de coeur, nous apportons tout notre soutien sans faille à notre Prince Jean de France et à notre Famille Royale.

    Il faut que les âmes en peine de la Chapelle Royale de Dreux retrouvent leur quiétude et leur sérénité, il faut garder à Dreux, la présence du Prince Jean et de sa famille, c’est un pan d’Histoire de France vivant, et un atout majeur pour notre bonne ville de Dreux.

     

    Guy Adain

    10/02/2021

  • Bicentenaire de Napoléon: «Courage, fuyons», par Bertrand de Saint Vincent.

    On était sans nouvelles de Jean-Louis Debré. Nous voilà rassurés. Le président du Conseil supérieur des archives est sorti de son
    exil : «N'en faisons pas trop, a-t-il lancé à propos des célébrations du bicentenaire de la mort de Napoléon. Ce serait vu comme une provocation. »

    Courage, fuyons. Bien après sa disparition, l’ombre de l’Empereur continue à faire trembler ses ennemis. Postés tels des snipers derrière les sacs de sable de leur bonne conscience, une poignée d’entre eux - indigénistes, anticolonialistes, féministes à tous crins, anti militaristes - mènent la charge. Balayant les siècles et faisant fi de tout contexte historique, cette minorité ultra-active s’élève contre le retour programmé de ce géant sur le devant de la scène. Elle lui reproche rétrospectivement d’avoir trop aimé la guerre, rétabli l’esclavage, rabaissé la femme; sans compter son faible penchant pour la démocratie.
    Napoléon, s’il veut survivre, doit expier ses crimes. L’offensive n’est pas nouvelle. La figure de l’Empereur a, de tout temps, suscité la controverse. Son œuvre de législateur, son génie militaire lui valent l’admiration; son opportunisme, le coût humain de ses batailles provoquent la réprobation. Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, le débat n’est pas près d’être clos ; il n’en demeure pas moins un personnage inégalable et fascinant de l’histoire mondiale.

    L'ombre de l'Empereur continue à faire trembler ses ennemis

    Son audace, son intelligence, la démesure de ses rêves séduisirent et séduisent encore jusqu’à ses adversaires les plus acharnés. De Stendhal à Victor Hugo, en passant par Chateaubriand, les plus grands écrivains ont nourri sa légende. A Moscou comme à Londres, les collectionneurs s’arrachent ses reliques; les Chinois en sont férus.
    Napoléon demeure, pour le meilleur ou pour le pire, un symbole de l’esprit de conquête qui nous fait aujourd'hui défaut. Faire renaître son épopée ne signifie pas le béatifier. Mais battre en retraite devant les purificateurs qui voudraient le condamner au silence, à l’oubli ou à la repentance serait habiller notre lâcheté en vertu.

    Source : https://www.lefigaro.fr/

  • Célébrer Napoléon, par Gérard Leclerc.

    Statue équestre de Napoléon à Rouen.

    © Giogo / CC by-sa

    On célèbre cette année le bicentenaire de la mort de Napoléon à Sainte-Hélène. L’événement sera-t-il dignement rappelé ou fêté ? De grosse réticences se font sentir. Toute une coalition se dresse contre un personnage et une légende pour elle insupportable. Que penser de cette pureté inflexible ?

    gerard leclerc.jpg« Sauf pour l’art, sauf pour la gloire, il eut mieux valu que cet homme n’ait pas existé. » Ce mot célèbre de Jacques Bainville au terme de son superbe essai sur Napoléon peut paraître sévère. L’échec sanglant de l’empereur, au terme de son incroyable épopée, justifie sans doute une telle sévérité. Mais l’art et la gloire, ce n’est pas rien, et le même historien soulignait que la légende soigneusement ciselée à Sainte-Hélène hanterait longtemps le souvenir des Français. Pas seulement d’ailleurs. La légende de l’empereur est universelle. Le Figaro qui consacre un éditorial et une double page au bicentenaire de sa mort rappelle le mot de son ennemi Chateaubriand : « Vivant il a raté le monde, mort il l’a conquis. » Oui, même les Chinois se passionnent pour cette figure égale aux plus grandes.

    Et pourtant, la célébration du bicentenaire n’a pas que des partisans. Elle a aussi des adversaires résolus, coalisés dans une vindicte sans limite. Ceux-là sont très représentatifs des idéologies qui font fureur jusque dans nos universités. Comment pourrait-on célébrer l’homme qui a rétabli l’esclavage dans nos colonies ? Oui, il est vrai qu’à l’aune des passions actuelles Napoléon n’est pas recevable. Il est le contraire absolu du politiquement correct. Si on laissait faire la légion de ses détracteurs, pas une de ses statues ne resterait en place et la présence de ses cendres sous la coupole des Invalides devrait susciter colère et manifestations.

    Je ne puis m’empêcher de trouver cette pureté dangereuse. Cette rage d’éradication va bien au-delà des nécessaires jugements critiques. Elle pourrait bien être à l’origine d’un nouveau totalitarisme, car il n’est pires psychopathes dans l’histoire que ces inventeurs d’une humanité réinventée. Philippe Muray avait déjà tout dit sur les ravages de ce qu’il appelait « l’empire du Bien ».

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 11 février 2021.

    Sources : https://www.france-catholique.fr/

    https://radionotredame.net/

  • Marie Antoinette, encore et toujours, par Hilaire de Crémiers.

    Le livre est intéressant. Le sujet est archi-traité. Il s’agit d’un essai biographique qui se veut essentiellement psychologique, voire psychanalytique : une sorte de portrait moral à dimension politique et sociale qui donne de la reine Marie-Antoinette une image plus complète, donc plus nuancée, hors des clichés trop partisans. Car tout a été dit, le pire comme le meilleur, sur cette reine qui, en raison de sa destinée tragique, reste à jamais « la reine » par excellence.

    hilaire de crémiers.jpgTelle est la marque des livres de Cécile Berly qui portent sur la même personnalité ou sur la même époque. Elle connaît son XVIIIe siècle et elle l’appréhende comme une femme qui en ressent toutes les impressions, avant, pendant et après la Révolution, cette Révolution qui reste toujours et malgré tout la grande rupture de l’histoire moderne. L’exquis y rejoint l’insane, le plus raffiné y côtoie le plus atroce, le plus mièvre s’y fait le plus cruel, telle fut cette fin de siècle qui s’acheva en drame historique.

    Mais, à force d’insister sur les libelles, les pamphlets, les campagnes de rumeurs infâmes, le risque est de s’imaginer que toute la société était gagnée par la même haine et partageait les mêmes jugements. La Révolution bien analysée fut essentiellement, à tous les niveaux de la société, l’œuvre de coteries, à la vérité de sales et sottes coteries. Certes, Marie-Antoinette fut plus qu’imprudente, et Louis XVI plus qu’imprudent de la laisser à son imprudence. Cependant, il faut le redire avec force : la reine ne trahissait pas quand elle défendait son roi et sa famille. Jamais Marie-Antoinette ne fut une femme sans mœurs et sans principes ; et quand elle dut affronter l’adversité, elle sut montrer sa grandeur d’âme dont l’héroïsme tranche singulièrement avec les comportements des misérables qui l’ont poursuivie de leur haine ignoble et ont voulu tuer en elle et la Reine et la Mère qu’elle demeure, du coup, à tout jamais dans l’imaginaire historique français et même mondial. Et c’est très bien ainsi.

    Marie-Antoinette, Cécile Berly. PUF, 2020, 180 p., 14 €.

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    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

  • La marche du Carême, par Gérard Leclerc.

    Sanctuaire de Notre-Dame de La Salette, Isère.

    © Pascal Deloche / Godong

    Les jours et les semaines filent. Nous en sommes déjà à la quatrième semaine de Carême ! Alors que nous sommes tellement enveloppés par le climat de pandémie qui dure depuis un an, sommes-nous, nous autres chrétiens, dans l’esprit de cette montée vers Pâques ? J’observe une querelle à propos des conférences de Carême, qui ne semblent pas convenir à certains.

    gerard leclerc.jpgDu moins les font-elles réagir, c’est qu’elles ne les laissent pas tout à fait indifférents. Seraient-ils capable de mieux faire que le prédicateur, qui assume la tâche magnifique de succéder à une liste impressionnante de personnalités qui se sont inscrites dans la tradition du Père Lacordaire ? Je demande à voir. Mais la question de fond, c’est bien de présenter le mystère chrétien aujourd’hui, tel qu’il éclaire notre vie. Mystère chrétien qui se traduit par mystère pascal, dans la préparation de la Grande semaine de l’année.

    Sommes-nous capables de témoigner de Jésus, comme le personnage central de l’histoire, l’envoyé du Père qui, au travers de la dramatique du Vendredi saint, nous conduit à la gloire ? Je lis chez nos confrères de La Vie un entretien intéressant avec Ken Follet, cet écrivain britannique, qui vient de faire un don de 148 000 euros pour la restauration de la cathédrale de Dol-de-Bretagne. Mais je bute sur une de ses expressions : « Pour moi, Jésus est comme Socrate : il y avait bien un homme nommé Socrate qui n’a probablement pas dit ou fait tout ce que Platon lui a prêté. Mais tout de même, je trouve une grande sagesse chez Jésus. »

    Certes, il avait une grande sagesse. Mais n’était-il pas beaucoup plus ? « Le plus grand habitant ayant vécu sur la Terre » selon l’expression du docteur Couchoud, cet agnostique. Oui, en Carême il n’y a pas d’autre question à poser que celle de Jésus lui-même : « Qui dites-vous que je suis ? » (Mt 16, 15).

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 17 mars 2021.

    Sources : https://www.france-catholique.fr/

    https://radionotredame.net/

  • Samedi 27 mars pour cette réunion de lancement des activités de l’Action française en Morbihan.

    Nous étions nombreux ce samedi 27 mars pour cette réunion de lancement des activités de l’Action française en Morbihan.
    Réunis à l’initiative d’Erwan Boreau, correspondant AF Morbihan et d’Amaury de Perros, président de la fédération de Bretagne, nous avons rencontré sur le site de la chapelle expiatoire du Champ-des-Martyrs (commune de Brech) amis et sympathisants de la région, afin de préparer la structuration du mouvement dans ce département.

    Amaury de Perros et Erwan Boreau ont rappelé qu’elles étaient les idées de l’AF, sa doctrine, ses combats d’aujourd’hui, ses modes d’action, de formation et comment était organisé notre mouvement dans la région Bretagne (fédération, sections de Brest, Nantes et Rennes). A l’issue de cet exposé, notre ami Thierry Bectarte venu des Côtes d’Armor, rappela l’histoire de ce lieu où furent fusillés plus de 200 royalistes à la suite de la défaite des chouans à Quiberon.
    Un dépôt de gerbe et le respect d'une minute de silence furent suivi d'un moment convivial où nous avons pu discuter avec l’ensemble des participants, certains étant encore en pleine découverte de l’AF et du royalisme. Nos camarades des autres sections de Bretagne ont pu leur parler de leur expérience de création d’une section, dans des contextes parfois difficiles.
    Nombreux bretons ayant répondu présent, nous pouvons aujourd’hui envisager dans les semaines qui viennent la création d’une section d’AF. La Bretagne va se royaliser et comme dans la France entière, les idées de l’Action française trouvent de plus en plus d’écho au sein de la population.
    Amis du Morbihan, il est plus que temps. Le combat pour la France et le roi doit être mené dès à présent, rejoignez-nous !
    Amaury de Perros, président de la fédération de Bretagne
    (merci à Action Française - Rennes et Action Française - Brest)

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  • Madame la Comtesse de Paris, S.A.R. la princesse Philomena d'Orléans.

    La princesse Philomena, est l’épouse du Chef de la Maison royale de France Monseigneur le comte de Paris. Si les Français décidaient de renouer le fil de leur histoire, Madame la comtesse de Paris, régnerait au coté de son époux en tant que Reine de France.

    Née de Tornos y Steinhart, la princesse Philoména est née le 19 juin 1977, à Vienne. Petite fille de Juan de Tornos, chef du secrétariat de feu le comte de Barcelone lors de son exil au Portugal, elle réunit deux nationalités: espagnole – par son père, Alfonso de Tornos – et autrichienne, par sa mère, Marie-Antoinette von Steinhart.
    Après le baccalauréat, Philomena a étudié, à Paris en Sorbonne, les langues et civilisations russe et germanique. Elle a travaillé cinq ans comme cadre dans une société industrielle française d’extraction de roches. Après son expérience professionnelle, Philomena décide de se dédier un temps à sa passion pour la mer et le grand large. Elle s’inscrit au Lycée maritime de Ciboure, au Pays Basque, et passe le Certificat d’initiation nautique et le Capitaine 200.
    Pendant une année elle mènera la vie des marins pêcheurs de Saint-Jean de Luz. Elle effectue ensuite plusieurs périples en Atlantique et en Méditerranée et suit plusieurs régates….
    En épousant le prince Jean de France le 2 mai 2009 à Senlis, Philomena de Tornos y Steinhart est devenue officiellement la nouvelle duchesse de Vendôme. Un titre qui fut porté la dernière fois par la princesse Henriette de Belgique, fille des comte de Flandre et sœur du Roi Albert I depuis son mariage en 1896 avec le prince Emmanuel d’Orléans, duc de Vendôme jusqu’à sa mort en mars 1948. Plus de 60 ans donc que ce titre attendait sa duchesse… Le 2 février 2019, son époux le prince Jean d’Orléans, alors nouveau Chef de la Maison de France, annonce le jour des funérailles de son père, relever le titre de comte de Paris, faisant ainsi “de facto” de son épouse la nouvelle comtesse de Paris.
     
  • Une monarchie royale, pour une France forte à l’international, par Jean-Philippe Chauvin.

    Article relayé par le blog Le Courrier Royal

    La mondialisation apparaît désormais comme notre cadre de vie, influençant nos comportements économiques et de consommation, et, au-delà, nos manières de sentir, de penser et, donc, d’agir. Dans ce processus de mondialisation, ou face à lui, que peut la France, et que pourrait la Monarchie ? S’interroger sur cela ne signifie pas nier ce qui est, mais plutôt chercher à le comprendre, pour s’en défendre ou pour y répondre.

    Il ne s’agit pas d’un repli sur soi, d’un isolement qui, pour splendide que certains le verraient, serait, en définitive, mortel pour ce qu’il s’agit de préserver et de transmettre, mais d’une affirmation de soi, de l’exercice de la « liberté d’être » qui est d’abord un pouvoir, la possibilité d’être soi-même et de tracer son propre chemin dans l’histoire, ce qui donne une « raison de vivre » à notre pays, au delà même de ses conditions économiques d’existence.

    Pour cela, la France a de nombreux atouts, qu’ils soient économiques, culturels, diplomatiques, politiques, géopolitiques, mais elle semble parfois incapable de les valoriser, y compris aux yeux et aux cœurs de ses natifs ou de ceux qui l’ont rejointe en ces dernières décennies. Et pourtant ! La France est une puissance moyenne, mais une puissance quand même, une puissance qui, par sa taille même, peut jouer un rôle de médiation entre les puissances impériales et les nations. Tenir son rang, c’est ne pas céder à la tentation impériale qui fut celle de Napoléon et de la Troisième République (sous des formes différentes selon le cas évoqué), ni au tropisme de l’empire des autres : de Gaulle, dans la lignée des Capétiens, a rappelé ce que pouvait être une politique française d’indépendance, en écoutant les uns et les autres sans forcément leur céder. Si Kennedy en conçut quelque dépit, son concurrent Nixon (malgré tous ses défauts) comprit alors ce qu’était la France « historiquement libre », et il la respecta beaucoup plus que nombre de ses successeurs…

    jean philippe chauvin.jpgJean-Philippe Chauvin

     

     

     

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://jpchauvin.typepad.fr/jeanphilippe_chauvin/

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : reportage de TF1, week-end autour de Nérac, les terres d'Henri IV.

    Dans son reportage, les caméras de TF1 commence son parcours dans le Lot-et-Garonne sur les bords d'une rivière à Nérac, la ville où Henri IV avait passé sa jeunesse.

    Il subsiste son château et un patrimoine naturel à découvrir à vélo. Maurice Monnier, raconteur de pays, va nous servir de guide. Il nous emmène dans le parc royal de la Garenne qui a été créé par l'épouse d'Henri IV, la reine Margot. C'est un espace bucolique parsemé de fontaines, dont une statue de Fleurette, souffrante du roi qui se serait jetée dans la rivière par dépit amoureux.

    Direction Lot-et-Garonne pour profiter d'une promenade dans différentes époques de l'histoire.

    Dans le Lot-et-Garonne, notre parcours commence sur les bords d'une rivière à Nérac, la ville où Henri IV avait passé sa jeunesse. Il subsiste son château et un patrimoine naturel à découvrir à vélo. Maurice Monnier, raconteur de pays, va nous servir de guide. Il nous emmène dans le parc royal de la Garenne qui a été créé par l'épouse d'Henri IV, la reine Margot. C'est un espace bucolique parsemé de fontaines, dont une statue de Fleurette, souffrante du roi qui se serait jetée dans la rivière par dépit amoureux.

    Le Lot-et-Garonne dispose de nombreux cours d'eau plus ou moins grands, mais c'est le Lot qui est le plus important. C'est d'ailleurs un endroit incontournable. À Castelmoron-sur-Lot, à quelques dizaines de kilomètres de Nérac, Anibal Ferreira loue des canoës et des bateaux à moteur. En famille ou avec des amis, cet ancien champion de Kayak se met à l'eau dès que possible. Une occasion pour admirer cette rivière qui a forgé toute la vallée centrale du département. À peine accosté, il est temps de plonger dans le monde agricole. Quels sont les bons plans et les autres sites à découvrir ?

    Sources : https://www.lci.fr/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal/

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Pourquoi la Monarchie ? Partie 4 : une monarchie active mais pas omnipotente.

    Néanmoins et quoi qu’il soit, la Monarchie offre indéniablement plus de possibilités qu’une présidence piégée par le calendrier électoral et obligée de se méfier du temps quand la Monarchie, par son principe même, n’est pas limitée par des échéances démocratiques.

    Cela signifie-t-il que le roi peut faire n’importe quoi ? Bien sûr que non, et l’histoire montre à l’envi que les souverains qui se sont succédé en France, quels que soient leurs qualités ou leurs défauts, ont su généralement rester attentifs à leurs devoirs d’État envers le pays comme envers les peuples de France. D’ailleurs, leur intérêt bien compris était de faire en sorte que le royaume se porte plutôt bien, au risque de grever l’avenir et, en particulier, celui de leurs propres héritiers : être roi, c’est aussi exercer un métier, une charge, et non se contenter de paraître ou de parader... Le prestige monarchique n’est pas le « bling-bling » républicain du mari de Carla Bruni avant 2012 ni les « macroneries » festives et vaniteuses de l’actuel locataire de Madame de Pompadour !
    De plus, en France (mais pas forcément dans les autres pays aujourd’hui monarchiques), la Monarchie se doit d’être « active » et de savoir s’engager sur de grands chantiers à long terme : elle n’est pas un régime d’opérette mais un élément essentiel de la vie politique du pays, non qu’elle prenne toutes les décisions, mais parce qu’elle joue un rôle d’arbitrage sur les grands dossiers après avoir entendu, autant que faire se peut, tous les points de vue et étudié tous les aspects du sujet et les perspectives possibles, aussi différentes soient-elles. La magistrature suprême de l’État n’a pas non plus à faire le travail des ministres ou des partis politiques, ni à s’immiscer dans la vie parlementaire qu’elle surplombe par son rôle de garante des institutions, mais elle se doit de rappeler, lorsque la nécessité s’en fait sentir, les grands principes de l’État et d’ordonner la diplomatie, dont le roi reste le principal acteur et l’incarnation de la France.
     
  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Sous les étoiles de Paris.

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    A l’affiche : Sous les étoiles de Paris, un film français de Claus Drexel, avec Catherine Frot et Mahamadou Yaffa.

    guilhem de tarlé.jpgJe reviens te chercher... et nous étions prêts, ce mercredi 19 mai, à voir n'importe quoi sur grand écran dans une vraie salle de cinéma.

    Je me doutais bien à lire le synopsis qu'il s'agissait d'un film de propagande, et nous avons été servis avec ce "conte de fée" à l'eau de rose où tout est bien qui finit bien. Une histoire bisounours qui veut faire pleurer Margot sur un véritable mineur non accompagné. Tout le monde a le cœur sur la main et les migrants sont gens cultivés qui parlent un français impeccable "grâce à la colonisation". Même le final veut nous faire croire que l'on expulse les clandestins !

    Mensonge, donc, sur toute la ligne, sauf quand il est rappelé, une seule fois,  pour faire passer la pilule, qu'on ne peut pas accueillir toute la misère du monde. Admettons d'ailleurs que tout n'est pas noir - si on peut dire- avec de très jolies photos de Paris, et une Catherine Frot méconnaissable qui campe parfaitement son personnage.

     PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 500 autres sur mon blog Je ciné mate.

    Pour mémoire :  palmarès des films vus au cinéma en 2020

    Titre

    Réalisateur

    appréciation

    genre

    nationalité

    Date de sortie

    Dark Waters

    Todd Haynes

    Je recommande

    Biopic, drame

    américain

    Février 2020

    Le cas Richard Jewell

    Clint Eastwood

    Je recommande

    drame

    américain

    Février 2020

    La fille au bracelet

    Stéphane Demoustier

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    romance

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    Drame

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : rejoindre Gens de France, c’est soutenir la Maison Royale de France et se joindre à

    Association lancée en 2003 par le comte de Paris, Gens de France est la grande famille qui permet au Prince de soutenir et développer ses engagements au service de la France.

    Alors qu’on qualifie de plus en plus en souvent notre pays d’archipel, Gens de France a vocation à être un trait d’union.

    Entre les Français soucieux du bien commun et de notre rayonnement international. Mais aussi entre le présent et le passé de notre pays, à travers la Maison Royale de France et son chef, le comte de Paris. C’est autour de tous ces échanges que naissent les projets qui sont à la base des engagements du prince.

     

    Qu’est-ce que Gens de France ?

    Gens de France est une association créée en 2003. Elle a pour but de soutenir les engagements de la Maison Royale de France, dans des domaines aussi variés que le patrimoine historique, l’environnement ou la francophonie. Elle rassemble toutes les bonnes volontés autour du prince Jean d’Orléans, comte de Paris, son fondateur, pour lui permettre de soutenir et développer ses engagements au service de la France. Elle agit à trois niveaux : local, national et international.

     

    Pourquoi adhérer ?

    Adhérer, c’est s’engager concrètement auprès du Comte de Paris pour servir sa vision du bien commun. Gens de France est avant tout un outil de relations. Relations entre Français soucieux de partager l’idéal d’unité porté par l’idée monarchique. Relations entre les Français et leur Histoire, à travers la Maison Royale de France qui en incarne toute la complexité.

    Rejoindre Gens de France, c’est réaffirmer l’importance de ce tissu de relations qui fonde notre destin commun. Votre adhésion est indispensable pour en assurer la pérennité.

     

    L’adhésion en ligne ?

    Afin de permettre à chacun de rejoindre facilement l’association du prince, Gens de France, a mis en place un système d’adhésion en ligne, directement accessible sur le site de Monseigneur le Comte de Paris. Adhésion en ligne à Gens de France

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal/