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  • Paris et la politique, au-delà des municipales, par Jean- Philippe Chauvin.

    La campagne des élections municipales a pris un tour national fort peu ragoûtant et souvent inappropriée aux souhaits des électeurs comme aux nécessités communales et civiques. Il est vrai que l’affaire des images de M. Griveaux a mobilisé les grands médias plus que la raison et la simple décence n’auraient dû le permettre, et ce péché d’orgueil de l’ancien porte-parole élyséen lui a coûté une élection qui, de toute façon, semblait ne pas lui être vraiment promise. Mais, au-delà du grivois et de la fin d’une carrière politique, cette histoire révèle aussi quelques uns des travers de notre système politique particulier hérité des bouleversements principiels de la Révolution française.

    jean philippe chauvin.jpgEn effet, la mésaventure grivalsienne a eu un retentissement national parce que, dans ces élections municipales, celles de Paris ont une importance, une centralité qui nous rappellent que notre République est non seulement centrée mais aussi éminemment centralisée sur Paris. La même affaire à Rennes, ou même à Lyon ou Lille, n’aurait ému que la presse locale et suscité quelques minutes amusées du « Quotidien » de Yann Barthès, dans une sorte de condescendance à l’égard de ces « provinciaux » qui, décidément, « ne seront jamais complètement à la hauteur des Parisiens » (sic), mais Paris « est », dans une conception de « République une et indivisible », « la » ville de France, voire « la France »…

     

    Bien sûr que la capitale qui, comme son nom l’indique, apparaît comme la tête du pays, l’est symboliquement aussi, mais doit-elle en être la « grosse » tête, hypertrophiée au point de cacher le corps de la nation ? C’est bien de cette déformation dont la France souffre depuis plus de deux siècles, et à laquelle le général de Gaulle lui-même, en bon connaisseur de l’histoire de France et en politique conséquent (du moins sur ce plan-là), souhaitait remédier par ses projets de réorganisation régionale, ébauche d’une décentralisation qui n’aurait pas privé l’Etat de son autorité.

     

    La métropolisation contemporaine, traduction et vecteur privilégié de transmission de la mondialisation en France, a été largement favorisée par cette centralisation qui, plus jacobine que louisquatorzienne, fait de la France d’aujourd’hui une République (d’abord) parisienne plutôt que française au sens complet, aussi bien historique que politique : quand la France est « plurielle », pour reprendre l’heureuse formule de Fernand Braudel, la République n’est « que » une et indivisible, devenue au fil des décennies une mosaïque instable et mobile dont l’unité première s’est perdue et dont les harmonies parfois compliquées des siècles passés ont laissé place à un désordre cafouilleux et parfois désagréable. Son indivisibilité et son unicité (qui n’est pas l’unité mais l’uniformité désirée par le Pouvoir parisien et que l’école de Ferry avait vocation à concrétiser) sont, en fait, des sables mouvants plus que le roc d’une société vivante et enracinée.

     

    La campagne pour Paris est aussi un enjeu majeur pour les grandes structures partisanes, surtout en ce moment particulier de l’histoire dans lequel les grandes métropoles cherchent à s’émanciper des Etats dont elles sont, parfois, les capitales et à former des alliances entre elles, renforçant l’image et l’idée d’un archipel métropolitain mondial plus soumis à la « gouvernance » mondiale qu’aux gouvernements nationaux locaux : que l’actuel maire de Londres demande (en vain jusqu’à présent) à l’Union européenne une sorte de statut particulier pour les habitants de la métropole britannique quand son pays, lui, a rompu les amarres avec le continent institutionnel européen, doit nous alerter sur cette forme de sécessionnisme métropolitain en gestation. Mme Hidalgo a, un temps, donné l’impression d’être sensible à cette forme de tentation métropolitaine mais, si elle peut trouver une oreille attentive à cette option dans une part (la plus nomade et mondialisée) de son électorat, la révolte française des gilets jaunes a montré qu’elle ne pouvait guère se passer de la tutelle d’un Etat français qui lui fournit son « service d’ordre »… Sans doute avait-elle aussi en mémoire le destin tragique de son lointain prédécesseur Etienne Marcel qui avait cru pouvoir faire sécession du royaume, et qui en avait payé de sa propre vie la tentation…

     

    Ainsi, par leur médiatisation et la déflagration politique qu’ils ont provoquée (principalement) au sein du parti présidentiel, les malheurs de M. Griveaux qui, en d’autres temps, auraient simplement fait sourire, nous rappellent à nouveau que, en France, Paris n’est pas qu’une simple capitale, mais qu’elle est aussi une vitrine de la République (même si l’Elysée n’est pas l’Hôtel de ville, et réciproquement…) et de ses ambiguïtés, plus souvent pour le pire que pour le meilleur… Cela oblige donc à ne pas se désintéresser des débats autour de sa gestion, non par ambition partisane mais par simple souci de peser sur le débat politique national et d’être entendu au-delà des dix-sept arrondissements de la capitale…

     

    Redonner de la force et du sens à l’attachement national tout en « libérant » Paris de son hypertrophie et en lui redonnant sa juste place, « la première mais pas l’unique », dans le paysage institutionnel et national français (1), voici une ligne directrice de la future municipalité, qu’elle soit électoralement dans la continuité de la précédente ou pas… Mais aussi déjouer les pièges d’une métropolisation qui, en définitive, n’est qu’une forme nouvelle de « féodalisation » (urbaine, cette fois)  dont la nation politique comme les citoyens eux-mêmes doivent se défier. Renforcer et muscler l’Etat, redonner souffle et vivacité aux villes comme à la métropole parisienne sans que l’une étouffe les autres, et sans que l’autonomie des villes n’entraîne le séparatisme de celles-ci : tout un programme, dont il n’a, en définitive, guère été question et que M. Griveaux, avant même ses soucis « artistiques », n’a pas eu l’heur de valoriser, ni même de penser, ce qui en dit long sur l’état de la réflexion politique sur les institutions urbaines et leurs possibilités et perspectives civiques.

     

    Là encore, il ne sera sans doute pas possible de faire l’économie d’un débat institutionnel sur le moyen politique le mieux approprié à l’histoire française comme aux enjeux contemporains pour affronter ces défis de l’avenir… Oui, décidément, Paris mérite mieux qu’un Griveaux et qu’une République, et leur spectacle décidément peu honorable !

     

    Notes : (1) : Il faut absolument éviter le système d’un « Paris et le désert français » - en référence à l’ouvrage éponyme de Jean-François Gravier - qui oublierait les territoires provinciaux, périphériques ou ruraux (peu importe le nom), et ne raisonnerait qu’en fonction des métropoles « attractives », encore « soumises » (malgré les lois de décentralisation des années 1980 et 2000) à la République « seule législatrice et ordonnatrice » avant que de l’être aux lois terribles de la mondialisation et de sa gouvernance économique et si peu sociale.

  • Communiqué du secrétaire général de la Restauration Nationale- Action Française : Nous fêterons Jeanne d’Arc !

    2616090963.jpegNous fêterons Jeanne d’Arc !


    Depuis plus d’un siècle, l’Action Française rend hommage au sens politique de Jeanne d’Arc.

    De 1909 à 1912, les étudiants, ligueurs et camelots d’AF paieront au prix de 10 000 jours de prison l’autorisation de manifester cette fidélité.

    Maurice Barrès fait voter en 1920 la loi instituant la Fête Nationale de Jeanne d’Arc, le deuxième dimanche de mai.

    L’Eglise canonisera cette même année Jeanne d’Arc.

    camille berth.pngLe centenaire de la fête officielle de Jeanne d’Arc tombe cette année le dimanche 9 mai. Le confinement, dû au Covid 19, empêchera que nous puissions célébrer l’héroïne nationale comme chaque année.

    Le cortège traditionnel 2020 est donc annulé.


    Nous invitons néanmoins les Français qui le pourront à aller fleurir individuellement les statues, le 9 mai prochain, de celle qui incarne le redressement national. En date du 30 mai, jour de la fête religieuse de Sainte Jeanne d’Arc, les sections d’Action Française sont invitées à déposer des gerbes de fleurs devant les monuments de leurs villes.


    Vive Jeanne d’Arc ! Vive la France !

    François Bel-Ker

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  • Communiqué du secrétaire général de l'Action Française - Restauration Nationale : Aujourd'hui, nous fêterons Jeanne d’Ar

    camille berth.pngDepuis plus d’un siècle, l’Action Française rend hommage au sens politique de Jeanne d’Arc. De 1909 à 1912, les étudiants, ligueurs et camelots d’AF paieront au prix de 10 000 jours de prison l’autorisation de manifester cette fidélité. Maurice Barrès fait voter en 1920 la loi instituant la Fête Nationale de Jeanne d’Arc, le deuxième dimanche de mai. L’Eglise canonisera cette même année Jeanne d’Arc.

    Le centenaire de la fête officielle de Jeanne d’Arc tombe cette année le dimanche 10 mai. Le confinement, dû au Covid 19, empêchera que nous puissions célébrer l’héroïne nationale comme chaque année. Le cortège traditionnel 2020 est donc annulé.

    Nous invitons néanmoins les Français qui le pourront à aller fleurir individuellement les statues, le 10 mai prochain, de celle qui incarne le redressement national.

    En date du 30 mai, jour de la fête religieuse de Sainte Jeanne d’Arc, les sections d’Action Française sont invitées à déposer des gerbes de fleurs devant les monuments de leurs villes.

    Vive Jeanne d’Arc ! Vive la France !

    François Bel-Ker

    Secrétaire-général de l’A.F.-R.N.

  • Communiqué de l'Action française Bordeaux : Sauvons l'église Saint-Jacques.

    Bordeaux, dimanche 31 Mai 2020,
    A l’attention du service politique.

    Ce matin des militants de l’Action française-Bordeaux se sont rendus devant l’hôtel de ville et devant l’ancienne église pour interpeller les Bordelais sur les risques pesant sur un élément méconnu du patrimoine bordelais.

    Alors que la préservation du patrimoine est une grande préoccupation des Français, l’église Saint-Jacques de Bordeaux court un grave danger. Située au 10 rue du Mirail à Bordeaux, cette église fut fondée il y a maintenant 900 ans le 1er Mars 1120. C'était une étape du célèbre pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Abandonnée par les pouvoirs publics, sa transmission aux générations futures est grandement en péril.

    Aujourd’hui, l’église est réduite à un garage pour voitures, chose inadmissible pour un tel fruit de notre civilisation. Malgré sa présence et son importance sur le chemin de Compostelle, malgré sa grande valeur historique, ce monument n’a jamais été intégré au patrimoine mondial de l’UNESCO. Il ne bénéficie donc pas de la protection due à un tel édifice et malgré les nobles efforts de sa propriétaire pour maintenir son intégrité, l’église fait face à un risque de disparition.

    Cette situation n’est plus tenable : il faut agir afin que ce monument ne soit pas évincé de notre riche patrimoine bordelais.

    L’Action Française, consciente des difficultés économiques que rencontrent et que vont rencontrer les Bordelais, s'adresse donc à monsieur Nicolas Florian, en lui demandant de bien vouloir faire tout son possible pour sauver cette église, symbole de notre civilisation et de notre culture.

    La section bordelaise de l’Action française.

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  • Procession à Rouen avec la croix présentée à sainte Jeanne d’Arc sur son bûcher, par Michel Janva.

    Source : https://www.lesalonbeige.fr/

    En ce centenaire de la canonisation de sainte Jeanne d’Arc, le diocèse de Rouen a ressorti la croix processionnelle présentée à Jeanne devant son bûcher.

    Selon l’inventaire dressé par le ministère de la Culture, propriétaire de l’objet, la croix de procession est une pièce d’orfèvrerie en bois recouverte de cuivre et de verre, datant probablement du XVe siècle. Une transcription apparaît sur lequel on peut lire : « IHS MA / Donnes par moy Simon Langlois, prêtre demt à Paris, 1600. » Après avoir été conservée dans l’abbaye de Fontaine-Guérard de Pont-Saint-Pierre à quelques kilomètres de Rouen, elle repose jusqu’à aujourd’hui dans la paroisse de Pont-Saint-Pierre, dans l’Eure.

    La croix devait être exposée en grande pompe pour les fêtes johanniques de Rouen, prévues pour ce mois de mai 2020. La crise du coronavirus en a décidé autrement mais le curé de Rouen, l’abbé Geoffroy de La Tousche, a profité du déconfinement pour célébrer l’anniversaire du martyre de Jeanne d’Arc et le centenaire de sa canonisation en 1920. Près de 600 ans plus tard et un siècle après sa canonisation, la croix processionnelle vénérée par Jeanne d’Arc, est pour la première fois exposée aux habitants de la ville.

    Après une présentation à Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen, une procession est partie de la cathédrale jusqu’à la place du marché :

     

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  • En 10 mois, 11 édifices chrétiens ont brûlé en France ... Accidents et rien d'autre ? Coïncidences et rien d'autre ?

     

    blue-wallpaper-continuing-background-wallpapers-bigest-images - Copie.jpgManque d'entretien ou effet induit du Vivre ensemble, ou sans-doute les deux, le résultat est le même : une nouvelle grande pitié des églises de France*. Églises, élément central, structurant, de nos villes et villages. Que l'on croie ou non, elles sont consubstantielles de notre identité nationale. Élément non pas accessoire mais principal et à tous égards central.  LFAR    

    Les 11 édifices brûlés ..

     Notre-Dame de Grâce d'Eyguières le 21 avril 2019

      Notre-Dame de Paris le 15 avril 2019

     Saint-Sulpice à Paris en mars 2019

     Cathédrale Saint-Alain de Lavaur en février 2019

     Saint-Jacques à Grenoble en janvier 2019

     Eglise du Sacré-Coeur à Angoulême en Janvier 2019

     Saint-Jean du Bruel en octobre 2018

     Eglise de Villeneuve d'Amont en août 2018

     Sainte-Thérèse à Rennes en juillet 2018

     Eglise Saint-Paul du Bas Caraquet en juin 2018

     Notre-Dame de Grace à Revel en juin 2018

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    * De 1910 à 1914, Maurice Barrès avait mené campagne pour la défense des églises menacées de ruine ...

  • L'Action française a honoré ses morts de la Grande Guerre ...

    A Paris, sur les Champs-Élysées
     
    Images d'un 11 novembre d'Action française
     
    Paris, Champs-Élysées

    Les militants d'Action française étaient présents en nombre sur les Champs Elysées pour rendre hommage aux morts de la guerre de 14-18.

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    Toulouse

    Un dépôt de gerbe a été suivi d'une intervention de Pierre de Meuse. Une cinquantaine de personnes ont participé à cette commémoration avant de se rendre à la Cathédrale Saint-Étienne où furent récompensés quelques-uns des militants pour leur engagement au sein de la section toulousaine. 

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    Nîmes

    C’est notamment à l’initiative de l’historique Cercle Saint-Charles qu’un dépôt de gerbes et une cérémonie d’hommage aux morts d’Action française de la Grande Guerre ont eu lieu à Nîmes où est érigée une stèle à la mémoire des Camelots du Roi nîmois morts pour la France. Une délégation d’une dizaine de militants marseillais de L’Union Royaliste Provençale conduite par Jean Gugliotta, son président, a participé à cette commémoration. L'Union Royaliste Provençale, représentante historique de l'Action française en Provence, était donc présente avec ses drapeaux, dont celui, d’avant-guerre, de la section d’Action française de Marseille.   

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    Bordeaux ...

    A Bordeaux, aussi, l'Action Française a honoré ses morts de la Grande Guerre. Une occasion pour le maire de la ville, Alain Juppé, de lire Le Bien Commun, le nouveau mensuel de l'Action française (photo).

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  • Histoire & Actualité • Les commémorations ont encore de la gueule dans certains pays

     

    blue-wallpaper-continuing-background-wallpapers-bigest-images - Copie.jpgLes célébrations de la Victoire commencent à Moscou par le défilé militaire sur la place Rouge. Cela mérite d'être regardé, n'est-ce pas ? Avec un rien de regret et d'envie ... Superbe ! 

     

     

    Le commentaire de RT France

    Ce 9 mai, la Russie célèbre le 74e anniversaire de la victoire sur l'Allemagne nazie. L'URSS, dont la Russie est l'héritière, a subi les plus grosses pertes humaines de la Seconde Guerre mondiale avec plus de 27 millions de victimes.

    La Russie commémore ce 9 mai le 74e anniversaire de la victoire sur l'Allemagne nazie. Des défilés ont lieu dans plusieurs villes du pays afin de rendre hommage aux nombreuses victimes soviétiques du conflit qui a fait 27 millions de morts en URSS.

    Comme de coutume, un grand défilé est organisée sur la place Rouge à Moscou. Des centaines de véhicules militaires, soldats et officiers traversent chaque année la célèbre place moscovite depuis 1965, date du 20e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale, connue comme la «Grande Guerre patriotique» en Russie. Après l'effondrement de l’URSS, cette tradition avait été brièvement interrompue, avant de reprendre en 1995.  

  • Le Sénat interdit le ”voile” lors des sorties scolaires : la Turquie condamne !

    Ou : quand le ridicule ne tue plus...

    Le dictateur Erdogan se met à ressembler de plus en plus à une sorte de Hitler - "l'énergumène", comme l'appelait Jacques Bainville... - dans sa politique de provocations à l'extérieur, par exemple en Syrie, où il recule dès qu'il voit une résistance sérieuse, en l'occurrence celle de  Poutine...

    Mais, contesté dans son propre pays malgré, ou à cause de, son autoritarisme et sa brutalité (il a perdu les élections municipales dans les deux plus grandes villes de Turquie) il affecte de garder, bien que vieillissant et manifestement moins tonique qu'avant, ses postures, gestes, discours d'antan...

    Aujourd'hui, il se manifeste en condamnant le vote du Sénat français, interdisant le port du voile aux accompagnatrices de sorties scolaires. Il trouve que c'est "discriminatoire" et que cela "marginalise les musulmans".

    Mais, de quoi se mêle-t-il ? N'est-ce pas là une ingérence dans les affaires internes d'un Etat souverain ? Et par la même personne qui envahit un pays (la Syrie), alors même que ses troupes occupent depuis trente ans le tiers d'un autre Etat membre de l'Europe ?

    Pas de réaction officielle en France, du moins pour l'instant. Macron a pourtant la dent dure, lorsqu'il veut : n'a-t-il pas employé le terme de "lèpre" et d'autres mots tout aussi fleuris pour insulter dirigeants et peuples de plusieurs pays d'Europe, qui ont, il est vrai, commis le crime de dire qu'ils ne voulaient pas que l'Europe cesse d'être elle-même à cause de l'invasion migratoire, et d'agir en ce sens.

    Cette arrogance-là, pour Macron, semble être, doit être, beaucoup plus grave que l'inadmissible ingérence d'un dictateur dans nos affaires intérieures...

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    lafautearousseau

  • BRAVO ET SOUTIEN TOTAL AU MAIRE DE TEMPLEUVE QUI DEMISSIONNE CONTRE LA SNCF

    Luc Monnet démissionne : les élus municipaux l’ont quasiment tous applaudi debout. "On ne peut pas toujours demander aux mêmes les efforts et ne pas être entendus".

    Luc Monnet dénonce - et il  a raison - l’absence de concertation sur la nouvelle grille horaire qui supprime 17 trains par jour à Templeuve et les liaisons directes vers Lille. "J’y vois là une forme de mépris à l’égard des habitants du territoire". Un mépris d’autant plus fort que les collectivités locales ont investi 12 millions d’euros depuis 2013 dans la modernisation de la gare en pôle d’échange, censée conforter Templeuve en ville d’appui…

    Il ne croit pas qu’avec moins de trains, le service de la SNCF sera mieux assuré et pense, au contraire, que la suppression d’un train par heure aux heures de pointe va lourdement pénaliser les habitants du territoire.

    Il rappelle quelques chiffres : "Avec 675 000 voyageurs par an, la gare de Templeuve est l’une des plus importantes de la région".

    Et, avec cette décision, la SNCF réfléchit à rebours de toutes les politiques publiques qui, au nom de l’environnement et de la santé publique, demandent d’utiliser plus de transports en commun.

    Le Pays Légal, et sa sur-administration, ses énarques technocrates et sa logique purement comptable ? Une arme de destruction massive du Pays réel...

    lafautearousseau

  • Prince Jean de France : Déclaration à l’occasion des Journées du Patrimoine

    Visite de la Chapelle Royale, Dreux

     

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    En ces temps de culte immodéré du progrès et de la technique, les Français, plus que jamais chaque année, montrent leur attachement au patrimoine de notre pays.

    L’amour du patrimoine n’est pas l’amour d’un passé, même récent, qu’on veut à tout prix figer. Le peuple français n’est pas cet enfant qui cherche vainement à protéger son château de sable des assauts de la marée montante.

    Au contraire, ce que nous avons reçu, ce sont des châteaux de pierre, des forêts de chênes millénaires, des artistes au retentissement universel, des constructions contemporaines exceptionnelles. Devant cet héritage, il n’est d’autre choix que de chercher à préserver, à transmettre, mais surtout à incarner.

    Car le patrimoine n’est rien, sans ce couple qui décide de sacrifier tout pour rénover la maison de famille, sans cette dame qui chaque jour ouvre la petite église du village, sans ces habitants qui parlent avec fierté de leur cathédrale, sans ces promeneurs qui patiemment entretiennent les chemins creux qui sillonnent leur pays, sans ces artisans qui transmettent leur savoir-faire immémorial, ou sans ce maire qui décide de protéger et de faire vivre le monument contemporain de sa ville.

    En tant que prince de France, il est important pour moi, comme les rois qui m’ont précédé, d’incarner et de protéger ce patrimoine spirituel et matériel, celui qu’aucun fond d’investissement ne pourra jamais sauver. C’est ce patrimoine-là qui nous fait regarder avec fierté notre pays, et le fait rayonner dans le monde entier.

    Je vous souhaite à tous de très bonnes journées du patrimoine !   

     

    Le 15 septembre 2018

    Jean de France, duc de Vendôme

    Le site officiel du Prince Jean de France

  • Dalaï Lama : « L'Europe appartient aux Européens »

     Conférence publique à Malmö le 12 septembre 2018
     
     

    Le Dalaï Lama a déclaré mercredi à Malmø en Suède que « l’Europe appartient aux Européens » et qu’à terme il était souhaitable que les réfugiés retournent chez eux « pour reconstruire leur propre pays ». 

    S’exprimant lors d'une conférence dans la troisième plus importante ville suédoise, qui abrite une importante population d’immigrés, le Dalaï-Lama, prix Nobel de la paix 1989, a souligné que l’Europe était « moralement responsable » lorsqu’il s’agit d’aider « un réfugié dont la vie est réellement en danger ». 

    lhassa.jpg« Recevez-les, aidez-les, éduquez-les... Mais à terme, ils doivent développer leur propre pays », a déclaré le chef spirituel du bouddhisme tibétain qui a fui en 1959 le Tibet pour s’exiler en Inde, à la suite de la répression par les autorités communistes chinoises d’un soulèvement tibétain. 

    Ces déclarations ne sont pas accidentelles. Elles reflètent une constante dans la pensée du Dalaï Lama. 

    Ce n'est pas la première fois, en effet, que le Dalaï Lama dit de telles choses sur le sol européen. En 2016, déjà, il avait évoqué l'arrivée massive d'immigrants en Allemagne et déclaré que « l'Allemagne ne peut pas être un pays arabe. L'Allemagne est l'Allemagne. »

    Alors, le Dalaï Lama mieux que le pape François ?  

  • Marseille : Rubirola, ”madame Tiers” est élue Maire (ou Mairesse ?) !

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    La Droite la plus bête du monde l'a voulu ainsi : majoritaire en voix, elle a offert le bureau du Maire, juste en dessous du buste de Louis XIV et au dessus des fleurs de lys du fronton, à Michèle Rubirola. C'est Bainville qui a raison : a ce stade, "il n'y a plus qu'à tirer l'échelle !"...

    On vous laisse faire le calcul : à Marseille, il y a eu 173.743 suffrages exprimées, dont 66.512 pour Michèle Rubirola (et votes blancs : 3.555/votes nuls : 2.176).

    Donc, avec un peu plus du tiers des voix, Dame Rubirola est élue Mairesse (eh, oui ! Il faut féminiser les noms, sinon Marlène (Schiappa, ndlr) ne va pas être contente !).

    Il y en a qui appellent "ça" : DEMOCRATIE !

    A l'échelon national, Zemmour s'amusait, sur C News, à démonter la pseudo "vague verte" qui aurait "submergé" la France : les verts, disait-il sous forme de boutade, c'est "la moitié d'un Français sur quatre" !

    Et encore, uniquement dans les zones urbanisées/boboïsées; dans la France périphérique et rurale, chère à Christophe Guilluy, "Anne, ma soeur Anne..." n'a pas vue la moindre vaguelette verte...

    PS : la Mairesse à déjà déclaré à la feuille locale "MarsActu" : "Je ferai de Marseille, une ville accueillante pour les migrants" !

    Marseille "dégustait" déjà, mais, là, on va battre des records !

  • Jean d'Orléans, président du château de Vendôme, par Frédéric de Natal.

    Source : http://www.monarchiesetdynastiesdumonde.com/

    Relayé par le blog ami de La Couronne: https://www.la-couronne.org/

    Le prétendant au trône de France, le prince Jean d'Orléans, continue d'assurer sa mission de sauvegarde du patrimoine français. Le château de Vendôme a annoncé aujourd'hui que le comte de Paris avait accepté de prendre la présidence d'honneur de l'association qui gère ce qui reste de ce château médiéval.

    frédéric de natal.jpgLe prince Jean d'Orléans, comte de Paris, prétendant à la couronne de France devient officiellement le président d'honneur de l'association du château de Vendôme. Un titre qu'il a porté de 1987 à 2019 en tant que dauphin de France et octroyé par son grand-père , le prince Henri d'Orléans (1908-1999) lors des festivités du millénaire capétien.

    «Vendôme a été ma signature jusqu'à l'année dernière et ma nouvelle fonction de chef de la maison royale de France n'a pas atténue mon attachement à votre ville et au patrimoine que vous défendez, par ailleurs si intimement lié à l'histoire de ma famille et à la famille royale de France» a écrit le prince Jean d'Orléans.

    Classé dans la liste des monuments historiques, son histoire se confond avec celle de la maison Bourbon depuis le XIVème siècle. Apanage donné à César de Vendôme (1594-1665), fils illégitime du roi Henri IV et de Gabrielle d'Estrées, c'est en 1712 que les terres sont rattachées au domaine de  la couronne royale.

    Le château médiéval est actuellement en ruine mais rentre dans le projet de sauvegarde et de défense du patrimoine français si cher au prince Jean d'Orléans.

    Copyright@Frederic de Natal

  • Communiqué de l'Action française : Élections municipales ?

    Ces municipales sont une remise en cause violente d’une République à bout de souffle qui étrangle nos petites patries pour leur voler le peu d’oxygène que le jacobinisme leur avait laissé.

    En forçant sa propre constitution, la Ve République aura réussi à couronner des maires tous suspects d’illégitimité pour l’ensemble de leur mandat.

    Pire, elle a assis le succès des communautés, sexuelles, religieuses et utopiques, toutes ultra-partisanes au détriment du service des habitants. Après la communication chaotique du confinement, après la privation de nos libertés, la République a versé ces dernières semaines dans la guerre civile mémorielle.

    Le résultat est sans appel : la majorité des petites et moyennes communes avaient élu leurs édiles, les grandes métropoles, ou plutôt une minorité dirigeante en leur sein, ont fait le choix du Green Washing. Comme à l’habitude , les partis du surplace s’étonneront d’accueillir bientôt la colère populaire dans leur centre-ville, que la végétalisation des trottoirs n’aura pas transformé en lieu de paix et de prospérité.

    Les libertés communales pourraient réunir les Français : absorbées par des ensembles inhumains, elles sont niées, le pays légal s’acharne à les réduire.

    L’échec des partis prétendument conservateurs à s’emparer des thématiques portées par l’Action Française, comme le localisme ou la justice sociale, aura accéléré leur déclin. Encore une fois, leur impéritie laisse le champ libre aux fanatiques destructeurs de la Nation.

    Le bureau politique de l’Action française