UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : Rémi Hugues. histoire

  • Pour un retour à la pensée médiévale, par Rémi Brague.

    "L'athéisme, même sous formes atténuées, abrite un inconvénient majeur qui en fait est une maladie de mort."
    Le projet moderniste et la vision matérialiste du monde ont conduit à l'aliénation de l'homme et à la dévastation de la nature. Il est temps de briser l'idole du Progrès et de renouer avec la sagesse du Moyen Âge, seule capable de rendre sa dignité à l'homme, à sa beauté à la Création.
    Venez assister, ce vendredi, à la conférence de Rémi Brague, spécialiste de la philosophie antique et médiévale, maîtrisant aussi bien la tradition arabo-musulmane que la tradition chrétienne.


  • Rémi Brague - Les vertus chrétiennes devenues folles.

    2737274333.52.jpg

     

     

    https://soundcloud.com/user-245860045/remi-brague-les-vertus-chretiennes-devenues-folles?fbclid=IwAR0O_8pKJ-0Swu6XdELtz5bvMiu0_aNorBGulIzVztw4wG18YwBspfIb7SU

  • Sur TV Libertés, des vérités devenues folles par Rémi Brague

    Rémi Brague est le plus grand philosophe français et chrétien. En partenariat avec l'association "Renaissance Catholique" présidée par Jean-Pierre Maugendre, et dans le cadre de sa journée du livre à Villepreux, TVLibertés vous propose de suivre une conférence enregistrée en décembre dernier et animée par Rémi Brague intitulée "Des vérités devenues folles". Un événement à ne pas manquer !


     

  • Tout ce qui est Racines est bon ! Vu - et apprécié - sur la page facebook de Julien Rémy...

    Un bagad Scout d'Europe/Scout Unitaire de France pour le pèlerinage de Province le 13 octobre 2019; une autre manière de vivre la fraternité scoute; petit retour en vidéo...

  • Genre : le retour à la case pathologie ?, par Rémy Mahoudeaux.

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

    Les idéologues LGBT ne vont pas aimer les conclusions de cette étude de l’université de Cambridge ayant fait l’objet d’une publication dans Nature Communications, le 7 août dernier. La traduction de son titre est Proportion élevée de l’autisme et d’autres diagnostics de développement neurologique ou psychiatrique chez les individus transgenres ou affectés de troubles de genre.

    2.jpgLes auteurs dégagent trois conclusions. La probabilité pour qu’une personne ayant des troubles de genre soit, de plus, affectée d’autisme est entre 3 et 6,3 fois plus importante que pour les personnes cisgenres (Qui se conçoivent/perçoivent du même sexe que celui qui leur est assigné par la biologie). Toujours comparées aux cisgenres, ces personnes se perçoivent et se présentent d’elles-mêmes avec des traits conformes à l’autisme et minimisent les traits propres à l’empathie. Elles sont, en outre, sujettes, dans une proportion plus élevée que la normale, à d’autres troubles psychiatriques ou du développement neurologique. Il est possible que des personnes présentant des troubles de genre soient des autistes dont le diagnostic n’a pas été établi.

    L’étude ne prétend pas établir de causalité, elle ne cherche qu’à poser des constats statistiques, identifier des cooccurrences qui seraient conformes ou non à une distribution normale. Puisqu’elles sont anormales, elle évoque des hypothèses. Le non-conformisme développé par les autistes trouverait-il une expression hors de la binarité de genre, stéréotype de la normalité ? L’exposition prénatale aux perturbateurs endocriniens aurait-elle un impact sur la perception du genre des personnes ? Enfin, une société stressante, abusive et victimisante avec des personnes vulnérables et atypiques ne favoriserait-elle pas ces cooccurrences ? Poser ces questions, ce n’est pas y répondre, mais juste proposer des pistes de recherches pour mieux comprendre.

    Ajoutons que l’étude est réalisée par des pointures de grandes universités, principalement Cambridge, même si l’argument d’autorité est démonétisé aujourd’hui ; ses résultats s’appuient sur de très grandes cohortes statistiques, contrairement à celles promues d’ordinaire par les activistes LGBT ; et que Nature Communications est une revue supposée sérieuse avec comité de lecture, même si ça pourrait ne plus vouloir dire grand-chose après le scandale du Lancet.

    Pour ceux qui militent et assènent, depuis des lustres, que le genre est le simple choix d’un individu libre, opposable à la société, et qu’il est fasciste de contester cette doxa, c’est la tuile. Que l’argument 0 % nature 100 % culture repose en paix, il a vécu. Pour sûr, quelques activistes agiteront encore ce zombie. Des politiciens postmarxistes feront sans doute semblant de continuer à croire à la véracité de cette (ex-?) doxa, par intérêt personnel : il faut bien qu’existent des classes dominantes et dominées pour qu’elles luttent entre elles !

    La dysphorie de genre fera-t-elle son retour comme pathologie ? C’est politiquement très incorrect, mais susceptible peut-être d’apporter aux personnes concernées les meilleures solutions thérapeutiques possibles en respectant au mieux leur dignité et leur intérêt personnel.

  • Sur le Cercle d'Artagnan, Conférence Rémi Soulié.

    C'est le travail de Rémi Soulié que le Cercle d'Artagnan a cette fois-ci le plaisir de vous présenter. A l'heure où "identité" marque toutes les lèvres, ce dernier nous invite à nous intéresser, pour faire face aux enjeux de notre temps, au concept plus large et pertinent de racine.

  • Les grandes manœuvres du clan du progrès, par Rémy Mahoudeaux.

    En ces temps de pandémie, la gouvernance publique est devenue folle, absurde, erratique, brownienne, ubuesque, irrationnelle et il serait lassant mais aisé de poursuivre. Cette gouvernance, toute incohérente qu’elle peut apparaître, a pourtant un cap et le suit tant bien que mal :

    2.jpgune société transhumaniste où rien ne pourra s’interposer entre l’individu et les marchés et l’État, tant que ce dernier subsistera. L’abolition du corps intermédiaire qu’est la famille est une étape clef, comme un cap à doubler pour tracer sa route dans la course.

    La France a signé la Convention internationale des droits de l’enfant en 1989 et doit répondre périodiquement aux questions de l’ONU sur l’application chez elle des dispositions de ce traité. Pour établir ces questions, l’ONU sollicite le monde associatif. Les associations du collectif Marchons enfants ! ont remis, en juillet dernier, une copie complète, fouillée, circonstanciée au comité ad hoc en charge de la synthèse. Celui-ci vient de publier son document. Hormis une question portant sur l’anonymat des fournisseurs de gamètes, toutes les violations probables du traité à commettre par la France dans le projet de révision de la loi de bioéthique sont passées à la trappe : exeunt les questions qui fâcheraient sur la PMA sans père et l’abolition de la filiation au profit de la fiction, la GPA, l’eugénisme des diagnostics préimplantatoires ou prénatals. Si l’ONU ne pose pas de questions gênantes, elle recevra des réponses dignes du bon docteur Pangloss : « Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ! » Les associations de Marchons enfants ! se sont indignées d’une telle autocensure et le font savoir. La gouvernance du « machin » laisse vraiment à désirer.

    Dans un pays où le Parlement est censé contrôler l’exécutif, c’est le Président qui impose aux chambres législatives l’ordre du jour. Le programme de travail du Sénat vient de tomber : il devra examiner en seconde lecture le projet de révision de la loi de bioéthique à partir du 19 janvier 2021 en commission et du 2 février en séance. Ce projet de loi avait déjà fait l’objet d’une seconde lecture bâclée et antidémocratique au creux de l’été à l’Assemblée nationale. Est-il permis de s’interroger sur ce calendrier qui semble conçu pour éviter – entre et couvre-feu – de voir des cohortes de gens normaux braver le froid et une dévoyée (sur ordre, et pour réprimer au-delà de toute mesure ) ?

    Une fois encore, ce pouvoir veut passer en force. Les circonstances compliquées que connaît le pays justifieraient que les priorités des parlementaires se réduisent, d’une part, à analyser et à voter les textes essentiels à la résolution des crises sanitaires, économiques, sociales et politiques qui accablent le pays et, d’autre part, à contrôler un exécutif doté de pouvoirs d’exception et dont certains des ministres pourraient, rappelons-le, être traduits devant la Cour de justice de la République pour leurs décisions irrationnelles.

    Quelques esquisses, pour conclure.

    Pour restaurer une gouvernance au service du bien commun, il faudrait au préalable constater que la Ve République est en soins palliatifs et qu’un tri est nécessaire dans les sujétions créées par les instances internationales et les traités.

    Bien sûr, je suis complotiste de voir une collusion dans une convergence de cap « progressiste » qui n’est certainement qu’un simple hasard.

    Attendons de savoir quelles seront les actions prévues par Marchons enfants ! pour s’opposer à cette loi et ce calendrier incompatibles avec l’état du pays.

    Il y a aussi une bonne nouvelle : « La mère est une femme, le père est un homme » fait son entrée dans la Constitution hongroise, nonobstant l’ire de la bien-pensance universelle et patentée.

     

    Rémy Mahoudeaux

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Le père, cet éternel inutile…, par Rémy Mahoudeaux.

    Oui, les femmes sont plus généreuses que les hommes dans l’engendrement : elles y passent neuf mois sans interruption, souffrent de désordres physiques, hormonaux, psychiques, subissent l’accouchement et les soins post-partum, les modifications temporaires ou permanentes de leur corps, le baby blues…  Jamais les hommes et les enfants ne montreront assez de gratitude envers les mères pour ça.

    2.pngMais la nature n’a pas permis que les rôles de l’homme et de la femme soient interchangeables. Nonobstant les délires des femmes transgenres qui s’identifient comme masculines, mais donnent naissance à des enfants, et tant que le cauchemar de l’ectogenèse ne sera pas devenu réalité, seules des femmes sont des mères et, à ce titre, ce sont elles qui donnent la vie à un enfant.

    Que donne l’homme ? Des gènes, ceux qu’il a hérités de ses parents. Certes, pas tous, mais la moitié. Certains s’exprimeront, d’autres pas, laissant à ceux donnés par la mère ce soin. C’est la loterie biologique. Parfois, il ne donne rien de plus, quand il prend la poudre d’escampette à l’annonce d’une grossesse. Un homme, ça peut être lâche. Il peut aussi donner un abri, une protection à la mère et à son enfant. Il peut aussi – c’est heureux – bâtir une famille, ce truc décrié où les enfants grandissent entourés de l’amour et de la protection de parents qui peuvent aussi s’aimer durablement l’un l’autre. Les pourraient trouver dans la lutte contre l’obsolescence programmée des couples et des familles une bataille qui mériterait d’être menée et gagnée.

    Et a priori, le père donne son nom de famille. Les féministes ricaneront : ça ne lui coûte pas cher. Indissociable de ce patronyme transmis à la génération suivante, il y a aussi toute la filiation paternelle.

    Le choix des prénoms et de leur ordre peut durer neuf mois, donner lieu à des discussions homériques virant à la dispute et même occasionner chantages, tractations et compromis. Une fois l’enfant né, il faut bien qu’à l’état civil, le bébé ait au moins un prénom.

    Les normes en vigueur à l’état civil français sont tatillonnes : elles exigent aussi un nom de famille. Par défaut, ce sera celui du père. Mais la loi prévoit déjà qu’on puisse déroger à cette norme : l’enfant peut porter celui de la mère, ou les deux accolés. C’est très bien, par exemple pour éviter que des patronymes ne disparaissent. D’autres normes existent ailleurs, par exemple en Espagne, où l’enfant porte les patronymes de son père et de sa mère.

    Une certaine Marine Gatineau Dupré, est la fondatrice et porte-parole de « Porte mon nom », une association qui vise à automatiser le port du double nom par l’enfant. Elle déplore que plus de 80 % des enfants ne portent que le nom du père et dénonce ce respect d’une tradition. Elle demande, en outre, de pouvoir rajouter le nom de la mère en cas de séparation et souhaiterait, enfin, que la mère valide la déclaration des noms et prénoms à l’état civil. Un député ! la soutient, Patrick Vignal. Avec une pétition de 7.000 personnes, ils souhaitent que le garde des Sceaux et le Premier ministre modifient les règles par simple décret. Pourquoi se gêner et passer par la loi ?

    À l’heure où l’engendrement devient un projet parental modulable (et même révocable avec l’), l’état civil deviendrait une place de marché où serait en quelque sorte marchandée et contractualisée cette composante essentielle de la personne qu’est son identification. Le bon sens commanderait que, préalablement à tout mélange de gamètes, les protagonistes s’assurent de pouvoir trouver assez de consensus durables pour assumer tous les risques induits par la possible procréation due à leur activité sexuelle. Les plus réalistes – mais d’autres les qualifieront de paranoïaques – verront une nouvelle attaque contre la et la filiation. Le père, cet inutile…

     

    Rémy Mahoudeaux

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Paternité : cherche cohérence, désespérément !, par Rémy Mahoudeaux.

    Tout augmente, mon bon monsieur ! Le congé de vient de passer de 14 jours à 28 jours. Le gouvernement l’a annoncé le 1er Juillet via Elisabeth Moreno, ministre déléguée à l’égalité homme – femme + la diversité + l’égalité des chances et , secrétaire d’état en charge de l’ et de la .

    4.jpg2.jpg

    Les motivations sous-jacentes, ce sont un meilleur accueil de l’enfant, un partage des tâches domestiques plus équilibré entre père et mère, et même la déconstruction de stéréotypes de genres qui persisteraient dans notre société encore hétéropatriarcale malgré le macronisme ambiant. Adrien Taquet ose le dire, la présence du père est capitale. Il est primordial que les parents s’investissent et prennent leur place.

    Qu’il est réconfortant de pouvoir, enfin, dire du bien d’une décision gouvernementale ! Oui, la présence du père auprès de son bébé juste né, c’est important. Tout d’abord parce qu’une mère doit se remettre d’une grossesse et d’un accouchement. Ensuite, parce que le bébé doit se confronter au monde extérieur, dont son père. Père et enfant ont été relativement séparés pendant 9 mois, leurs seuls échanges sensoriels relevant du tactile (indirect) et du vocal (dans le seul sens père vers enfant pour la voix). Il est opportun qu’ils fassent connaissance et y consacrer beaucoup de temps n’est pas un luxe, c’est un bienfait pour le bébé et pour la famille. Et puis il y a à gérer la logistique de l’accueil et les éventuels enfants précédents. Bref, c’est très bien.

    D’ailleurs, des entreprises généreuses avaient anticipé et accordé à leurs salariés des congés XL comparé au minimum syndical. Merci aux précurseurs et au gouvernement.

    Et en même temps …

    (Oui, vous l’aviez vu venir)

    Il n’aura pas échappé au lecteur de Boulevard Voltaire que l’Assemblée Nationale a voté en dernière lecture cette semaine la révision de la loi de bioéthique, faisant fi des amendements puis du rejet du Sénat, de la désapprobation exprimée largement lors des états généraux de la bioéthique, des manifestations conséquentes, et ce, malgré sa propre indigence argumentative (qui se résumait à ânonner le mantra « égalité » bien que le Conseil d’État ait statué sur ce hors-sujet). Cette loi prévoit d’ouvrir aux couples de femmes et aux femmes seules la possibilité d’accéder à la procréation médicalement assistée, aux frais de la sécurité sociale. Autrement dit, de se passer du père. Qu’il soit ici fait mémoire des brillantes interventions d’ (« Un père, ça peut être une femme, des oncles, une grand-mère ») et d’ (« Votre problème, c’est que vous croyez qu’un père, c’est forcément un mâle »).

    Bref, le père qui ,le mardi ne sert à rien d’autre qu’à fournir des gamètes et un vague dossier à remettre à la majorité de l’enfant, se voit réhabilité le jeudi : sa présence est capitale ! Si le gouvernement et la République veulent s’acheter de la cohérence, ça tombe bien, c’est la période des soldes …

     

    Rémy Mahoudeaux

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Bac : l’armée mexicaine, par Rémy Mahoudeaux.

    Au San Theodoros, l’armée comptait, lors de la première prise de pouvoir du général Alcazar, pas moins de 3.487 colonels pour 49 caporaux. Quel exemple pour les idéologues de  : un microcosme où tous ou presque sont chefs ! 

    4.jpgPeut-être que cette armée de galonnés n’était pas la plus efficace du monde pour gagner des guerres, et serait-il bien prudent de s’en moquer ?

    En 1985, le ministre de l’Éducation affichait l’ambition « d’amener 80 % d’une classe d’âge au niveau du baccalauréat ». Nous y serions parvenus en 2012, soit 27 ans après. Lycées et établissement d’études supérieures se sont créés, se sont agrandis pour faire face à l’afflux de jeunes. Sauf que pour y parvenir, le a surtout été dévalorisé, vidé de sa substance. C’est comme si, pour lutter efficacement contre le , vous décidiez chaque année de modifier la graduation de votre thermomètre. Si, dans dix ans, l’eau bout lorsque l’instrument de mesure indique 110 °C au lieu de 100 °C actuellement, les objectifs des grandes messes décarbonées sont atteignables à peu de frais.

    Le niveau est en chute libre, mais c’est compréhensible. Si le dernier admis au CAPES de mathématiques a une note de 5/20, si la moyenne des admis est de 8/20, comment espérer des miracles ? Comment déplorer la régression de la France au ? L’abandon des exigences élémentaires (par exemple lire écrire compter) puis des filières dites élitistes démontre, s’il en était besoin, le poids de l’idéologie égalitariste teintée de stalinisme de cette maison. Tous égaux dans le crétinisme et l’ignorance !

    Nous manquons d’artisans et nous n’en formons pas assez. L’attractivité du métier de plombier est faible quand, avec la promesse du bac, vous a été vendu un accès aux formations supérieures qui se révèlent souvent des voies de garage. La double peine, c’est de payer le maçon polonais ici au titre de la directive services, puis de payer pour les chômeurs ou les occupants de « jobs à la con » dont la formation ou l’emploi n’est pas adéquate avec les besoins de l’.

    Le complotiste lecteur de George Orwell décèlera dans cette régression une volonté délibérée de soumettre un peuple, promis à devenir incapable de se rebeller parce qu’il ne disposera plus de la maîtrise du langage qui le lui permettrait. Celui qui fréquente Aldous Huxley notera que la démagogie perverse de l’époque voudrait faire croire que tous, demain, seront des Alphas quand ils ne seront que des cohortes d’Epsilons. Qui, pour taper du poing sur la table, dénoncer cette idéologie suicidaire, dissoudre les syndicats d’enseignants, licencier les straß, puis restaurer une méritocratie authentique comme boussole ainsi que l’attractivité du métier d’enseignant ?

     

    Rémy Mahoudeaux

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Le vrai visage de la laïcité républicaine !, par Julien Rémy.

    L’imam radical Rachid El Jay de Brest est devenu «référent laïcité» grâce à un diplôme universitaire en Religions, droit et vie sociale !

    Un diplôme universitaire à Rennes 1, lui permettant de devenir «référent laïcité» dans divers domaines professionnels et associatifs.

    Rappelons que celui-ci défend un islam régoriste proche du salafisme.

    «Ces référents peuvent être amenés à éclairer, du point de vue du droit, de multiples situations quotidiennes où la question religieuse est susceptible de croiser les règles de l’Etat républicain et laïc», précise l’établissement.

    «Soutenus par le ministère de l’Intérieur, ces [diplômes universitaires] sont l’une des actions promues par le gouvernement pour rendre « républicano-compatibles » les imams des mosquées françaises», affirmait le quotidien Libération.

    L’écrivain palestinien Waleed Al-Husseini, auteur d’Une trahison française, ouvrage dans lequel il défend avec vigueur la laïcité et critique la religion islamique, s’étonne qu’un individu qui «justifiait le viol de femmes non-voilées» reçoive un «diplôme de laïcité».

    Rappelons que que suite aux attentats de 2015, sa mosquée subissait une perquisition, Rachid Abou Houdeyfa, est une personnalité qui fait polémique depuis plusieurs années. L’ancien président de la République, François Hollande, avait même fait référence à Rachid Abou Houdeyfa : «Il est Français, il ne peut pas être expulsé, mais son lieu de prière […] ce lieu de haine, a été fermé», avait-il déclaré en avril 2016 sur France 2. La haine dont il est question ici découle des nombreux prêches que Rachid Abou Houdeyfa diffusait abondamment sur internet. Entre autres exemples, en 2012, il avait déclaré : «Si la femme sort sans honneur, qu’elle ne s’étonne pas que les hommes abusent de cette femme-là.» En 2015, il avait affirmé dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux que la musique était prohibée par l’islam et que Dieu pouvait transformer ceux qui l’écoutaient en porcs ou en singes.

    La république ne cesse de renoncer et de trahir la France. Français vos élites républicaines vous trahissent chaque jour d’avantage, rejoigniez l’Action Française !

    Source : https://urbvm.fr/

  • Histoire • Thierry Maquet : « La Grande Guerre a fait émerger les pays anglo-saxons qui, depuis, dirigent le monde »

     

    LAFAUTEAROUSSEAU / ENTRETIEN - Thierry Maquet, historien autodidacte, est spécialisé dans la Première Guerre mondiale, événement qui a marqué profondément et durablement sa région, puisqu'il vit dans les Ardennes. Il développe ici, sur la Grande Guerre des points de vue qui suscitent la réflexion. On n'est pas forcément d'accord sur tout. On peut en débattre. Entretien par Rémi Hugues pour Lafautearousseau 

     

    41418405_2225893421021798_8973707314515148800_o.jpgÊtes-vous d'accord avec le philosophe Gustave Thibon lorsqu'il disait que la Grande Guerre a été un suicide collectif de l'Europe ? 

    Tout à fait d'accord. C'est également le terme qu'emploie le pape Benoît XV. À quel degré de folie étions-nous arrivés pour qu'un homme de lettres écrivît ceci en détournant le sens des mots religieux : 

    « Tous vinrent à Verdun, comme pour y recevoir je ne sais quelle suprême consécration ; comme s’il eût fallu que toutes les provinces de la patrie eussent participé à un sacrifice d’entre les sacrifices de la guerre, particulièrement sanglant et solennel, exposé aux regards universels. Ils semblaient, par la voie sacrée, monter, pour un offertoire sans exemple, à l’autel le plus redoutable que jamais l’homme eût élevé » . Ces mots sont de Paul Valéry. 

    Puisque tous les « poilus » sont morts, est-il selon vous toujours légitime de célébrer le 11 novembre ? Que pensez-vous de ceux qui veulent le supprimer en tant que jour férié ? 

    J'estime que la Grande Guerre, c'est de l'histoire, à l'égal des guerres et des batailles de 1870, du premier Empire et de l'Ancien Régime, qui, elles ne sont plus célébrées. De plus, avec l'afflux massif de populations extra-européennes qui s'en fichent et la désaffection du public français pour les cérémonies, je pense qu'il ne faut plus célébrer cela, même si mon grand-père paternel y participait. 

    De plus, on célèbre là une « horrible boucherie »  (encore un terme utilisé par le pape de l'époque) qui a permis aux francs-maçons et autres universalistes de détruire les dernières monarchies catholiques ou chrétiennes et de dresser la nouvelle tour de Babel, la Société des Nations (S.D.N.) du président Wilson inspirée par le franc-maçon français Léon Bourgeois. 

    Diriez-vous que le discours officiel - ou mémoire officielle - sur la Première Guerre mondiale a évolué ces dernières décennies ? 

    Si je prends le discours du président Hollande lors du centenaire de la bataille de Verdun: il a confondu l'agresseur et l'agressé en présence de la chancelière allemande. La victoire française de Verdun y a été passée sous silence ; 4 minutes, seulement, sur 15, du discours présidentiel, ont concerné la bataille de 1916 et le reste ne fut qu'apologie de l' « Europe » , du multiculturalisme et de l'immigration. On est loin des dignes et sobres cérémonies de 1966 qui avaient été précédées par une messe célébrée sur le parvis de l'Ossuaire. 

    Je profite de la parole qui m'est donnée pour contester formellement les inscriptions ajoutées, en 2016, dans l'Ossuaire de Douaumont en allemand et en français avec les noms de Merkel et Hollande. Quant aux discours du secrétariat d'Etat aux Anciens Combattants qui sont lus devant chaque monument aux morts de France, ils ne sont que des condamnations des adversaires et encensement de leur Europe et de la multiculturalité. 

    Peut-on faire, d'après vous un parallèle entre ce conflit et les guerres napoléoniennes, qui, on le rappelle, ont permis à Nathan Rothschild de devenir le maître incontesté de l'Angleterre ?           

    En tout cas, la Grande Guerre a permis l'émergence des pays anglo-saxons qui, depuis, dirigent le monde après avoir empêché une victoire française en 1918, sauvé l'empire allemand,  la république de Weimar étant la continuation en pire de l'empire et renforcé l'œuvre de Bismarck, et ce pour sauver les investissements allemands des banquiers américains d'origine allemande. 

    La Première Guerre mondiale n'a-t-elle profité qu'aux marchands de canon ? Peut-on même dire que ces derniers l'ont suscitée ? 

    Je dirais que la Grande Guerre a profité, par inertie, aux marchands de canons mais ils n'en sont pas responsables. Ceux qui sont à l'origine de cette guerre sont les francs-maçons français, italiens et serbes. Leur plan était déjà dévoilé le 12 novembre 1882 par le journal L'Univers  : « Les plans de subversion universelle, les projets abominables qui tendent à couvrir l’Europe de ruines et de sang en vue de substituer partout la République aux monarchies, l'idéal matérialiste et révolutionnaire à l'idéal spiritualiste et chrétien, sortent aussi des ateliers et des convents maçonniques. »   

    Lors d'une visite à l'abbesse de l'abbaye de Maredret, en Belgique, l'empereur Guillaume II (qui n'était pas franc-maçon) lui dit : « Savez-vous une des grandes causes de la guerre ?  - Non. - Les francs-maçons 

    Le franc-maçon René Viviani, qui a été président du Conseil, en 1919 : » Vous croyez avoir fait la guerre, vous n’avez pas fait la guerre, vous avez fait une révolution.»  Comme le Grand Orient de France, en 1918 : « La guerre actuelle est profondément révolutionnaire. Elle prépare un ordre nouveau ». Il y a tant à dire à ce sujet. Les sources sont aisément consultables sur Gallica... 

    Et puis il y a la date du 28 juin : jour anniversaire de la naissance de Rousseau, de l'assassinat de l'archiduc autrichien, du premier jour du congrès maçonnique international de Paris, en 1917, et jour de la signature du traité de Versailles. 

    Enfin, dernière question, plus politicienne et donc facultative, que pensez-vous du tour de France commémoratif qu'a décidé de faire le président Macron pour célébrer le centenaire de l'armistice du 11 novembre 1918 ? 

    Les censeurs de l'histoire ont parlé ; le « dogme»  historique et mensonger de 1945 doit être respecté et Macron s'incline... 

    Même la parole de De Gaulle (« leur » idole...) est niée, lui qui déclarait à Douaumont, en 1966, sous les applaudissements des anciens combattants : «  Si par malheur, en d’autres temps, en l’extrême hiver de sa vie, au milieu d’événements excessifs, l’usure de l’âge mena le maréchal Pétain à des défaillances condamnables, la gloire qu’il acquit à Verdun, qu’il avait acquise à Verdun vingt-cinq ans auparavant et qu’il garda en conduisant ensuite l’armée française à la victoire, ne saurait être contestée, ni méconnue par la patrie. » 

    Le même De Gaulle justifiait l'armistice de 1940 devant l'Assemblée consultative, le 15 mai 1945 : « Qu'on imagine ce qu'eût été le développement du conflit, si la force allemande avait pu disposer des possessions françaises d'Afrique. Au contraire, qu'elle fut l'importance de notre Afrique du Nord comme base de départ pour la libération de l'Europe.»  (Journal officiel de la République française. Débats de l'Assemblée consultative provisoire. 15 mai 1945). 

    Le général Pétain ne voulait pas l'armistice, en novembre 1918, mais une capitulation allemande signée à Berlin, après une offensive victorieuse prévue le 14 pour encercler les armées allemandes de Belgique.

    Lors du drame de 1940, tout le monde politique a jeté (démocratiquement, par la Chambre issue du Front populaire) le pouvoir entre les mains du vieil homme qui ne pouvait rien ajouter à la gloire dont étaient chargées ses épaules. Par patriotisme, par dévouement, par amour de la France et des Français, parce qu'il avait fait ainsi toute sa vie, il a fait don de sa personne d'une façon « christique » alors qu'il était innocent du désastre. Il prenait sur lui le déshonneur et la lâcheté des autres.   

  • Paris : Rémi Soulié au Cercle Aristote, c'est ce soir...

    cercle aristote.jpg

      Rémi Soulié, Entre folie et raison, comprendre Niietzsche. 

    Ce lundi 10 mars, 20h, Le François Coppée, 1 boulevard du Montparnasse (6ème, Métro : Duroc/Falguières)