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Rechercher : qu'est-ce que le Système

  • Sur le site officiel de l'Action française : Une période grosse d'incertitude, l’éditorial de François Marcilhac

    La période qui s’ouvre est grosse d’incertitude pour un pouvoir qui sent monter la colère du pays réel. Que Macron ait cru nécessaire d’entamer un couplet sur la dictature, dans l’avion qui le ramenait d’Israël, montre combien il est lucide sur l’état de l’opinion. Nous passerons sur le fait qu’en décrivant l’idealtype d’une dictature, il ne faisait que reprendre les traits les plus caractéristiques de sa façon de gouverner, depuis deux ans : un pouvoir isolé, enfermé dans ses certitudes, traitant ses opposants de « séditieux », gouvernant sans tenir compte du Parlement dans le mépris le plus parfait de sa majorité, dont certains éléments commencent à se séparer, et réprimant à tout va sans plus s’imposer de limite en matière de violence ou de répression judiciaire…

    maxresdefault.jpgA preuve, le rétropédalage tardif de Castaner, qui « lâche  » — le mot est d’un syndicaliste de la police — ceux là même qui ont permis au pouvoir de résister depuis un an, en appliquant des méthodes contraires à la théorie française du maintien de l’ordre appliquée depuis mai 68. Nous apprenons que le pouvoir renonce aux grenades arracheuses de main, la GLI-F4. Sera-ce demain le tour des LBD ? Rien n’est moins sûr. Tant que le pouvoir pourra rester dans un déni général, lâchant ici ou là un peu de lest lorsqu’il le juge tactiquement nécessaire, il ne sera pas prêt à renoncer à une conception violente du maintien de l’ordre qui a pour double avantage de faire peur aux opposants et de les criminaliser a priori, puisqu’ils sont dignes d’être traités comme des …«  séditieux  ».

    Pourtant, ce n’est pas des Gilets jaunes, ni des syndicats non réformistes, mais du très respectable Conseil d’État que vient le dernier coup porté au pouvoir… au sujet de la réforme des retraites. Comme par hasard, la CFDT a fait profil bas… Le Conseil d’État, qui est chargé de porter un avis sur les projets de loi — la pratique étant désormais de les rendre publics — n’a pas mâché ses mots pour descendre en flèche une réforme que l’institution juge à la fois nullement nécessaire, douteuse aux plans constitutionnel et conventionnel — les conventions internationales que nous avons signées  —, manquer de cohérence, d’autant qu’elle juge les études d’impact, sur les conséquences, notamment financières et en termes de visibilité, des textes bientôt en discussion au Parlement, absolument insuffisantes — nous renvoyons à l’excellente analyse de Christophe Boutin sur le sujet. Contentons-nous de citer le début de sa conclusion : «  Pour le Conseil, les six objectifs assignés au système universel — équité des cotisations et prestations, solidarité au sein des générations, garantie de niveau de vie pour les retraités, liberté de choix de la date de départ à la retraite, soutenabilité économique du système universel et lisibilité des droits constitués par les assurés tout au long de la vie – “apparaissent par elles-mêmes dépourvues de valeur normative », ce qui veut dire, très concrètement, que ce n’est que du vent.”  » [1]

    Les politiques doivent se mordre les doigts d’avoir milité, au nom de la sacro-sainte transparence, pour que soient rendus publics les avis du Conseil d’Etat sur les projets de loi, auparavant connus du seul exécutif… [2] Qu’importe ? L’essentiel, en l’occurrence, n’est évidemment pas dans une réflexion sur l’équilibre des pouvoirs, pour savoir si, avec un tel avis, le politique n’est pas en train de perdre le peu d’autonomie qu’il lui reste par rapport au juge. Outre que cet avis n’est pas contraignant, ce qui importe seul, c’est sa validité. Et là, la gifle, pour l’exécutif, est violente. Car indépendamment de la pertinence de l’instauration d’un prétendu système universel, dont nous avons dit et redit ici, que la seule justification était de mettre fin, à terme, au système par répartition au profit des fonds de pension, il est clair que le projet du gouvernement paraît mal ficelé. Nous avions déjà pu constater qu’Edouard Philippe avait, sur la question des 80 kilomètres heure, une belle tête de vainqueur : son obstination imbécile a été un des éléments déclencheurs de la révolte des Gilets jaunes, avec l’augmentation des taxes sur l’essence. Sur un sujet infiniment plus grave, il est certain qu’il a atteint son niveau d’incompétence. Mais il entraîne dans sa chute de crédibilité un président de la République qui avait fait de cette réforme un moment phare de son quinquennat et qui semble surtout l’avoir pilotée à vue… La complicité de la CFDT n’était pas suffisante pour servir d’interface, comme on dit aujourd’hui, avec la société civile, surtout lorsque les plus hautes instances de la République s’en mêlent… 

    Sur l’affaire des retraites, Christophe Boutin semble penser que seul un référendum permettrait de sortir de l’impasse. «  Faut-il imaginer, pourquoi pas, un conflit nouveau dans la haute administration, entre une tendance “régalienne” qui verrait d’un mauvais œil le démantèlement de l’État et du pacte social entrepris sous la présidence d’Emmanuel Macron, et une tendance “mondialiste” à laquelle elle s’opposerait ? Ce qui est certain en tout cas, c’est que si le conflit se cristallisait il ne pourrait plus être arbitré que par le peuple, dans cette ultime expression du souverain qu’est la voie référendaire.  » On sait ce que nos élites en pensent,… et ce qu’elles font des référendums lorsque les résultats leur déplaisent. D’autant que l’impopularité du chef de l’Etat semble repartir à la hausse, ce dont nous ne nous plaindrons pas. Mais on connaît les reproches des tenants de la seule démocratie participative au référendum  : les Français répondent toujours à une autre question que celle qui leur est posée. Ce qui est sûr, c’est qu’un tel référendum — évoqué seulement par le pouvoir exécutif s’agissant de mesurettes à la sortie de la Convention citoyenne pour le climat — ne pourrait que viser à résoudre un conflit de grande ampleur, en prenant de cours un début de rébellion ouverte du pays réel.

    L’essentiel reste dans la fragilisation galopante de notre tissu social. Or, pendant ce temps, Macron ne trouve rien de mieux que de comparer la guerre d’Algérie à la Shoah, c’est-à-dire, outre le ridicule odieux de la comparaison [3], de fissurer davantage encore le regard que les Français et en premier, ceux de fraîche date, portent sur leur pays — ou sur celui que ces derniers devraient considérer comme le leur, alors que nos élites les poussent à le haïr, peut-être parce qu’elles le méprisent elles-mêmes…

    François Marcilhac 

    [1] https://www.atlantico.fr/decryptage/3586541/retraites–ce-qui-se-joue-vraiment-avec-l-avis-de-conseil-d-etat-sur-le-projet-de-loi-du-gouvernement-christophe-boutin

    [2] Ce changement dans les pratiques trouve son origine dans une déclaration du Président Hollande lors de ses voeux aux corps constitués le 20 janvier 2015. Celui-ci a annoncé son souhait de voir diffuser ces avis, considérant que  : «  Mieux légiférer, c’est aussi mieux préparer les projets de loi. C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de rompre avec une tradition séculaire des secrets qui entourent les avis du Conseil d’État. Le Conseil d’État est le conseil juridique du gouvernement. Son avis est d’intérêt public et son expertise sera donc rendue publique. Le Conseil d’État, par ses avis, informera donc les citoyens, mais il éclairera aussi les débats parlementaires.  »

    [3] Nous renvoyons à l’entretien de Jean Sévillia sur le sujet dans Le Figaro  : https://www.lefigaro.fr/vox/histoire/comparer-la-guerre-d-algerie-et-la-shoah-est-de-la-folie-sur-tous-les-plans-20200124

  • A la découverte de l'homme Maurras : Avant d'arriver aux deux autre stèles...(5)

    lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui : Avant d'arriver aux deux autre stèles...(5)

    Les deux stèles que nous venons de voir sont à gauche de l'escalier central, qui mène au Mur des Fastes, tout en haut du Jardin.

    Pour aller découvrir les deux autres, qui sont à droite du même escalier, on passe devant un petit monument émouvant, qui nous révèle un Maurras qui - s'il adorait son père, dont la disparition précoce fut un drame pour lui - était également intimement lié à sa mère.

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    Un moment, donc, de méditation devant ce petit monument, lieu qui renferme le coeur de Maurras (son corps étant à Roquevaire, dans le caveau familial, avec son père, sa mère et son frère).


    Maurras a en effet souhaité que son coeur reposât dans ce jardin qui s'est souvenu.

    Il se trouve dans un coffret à bijoux de sa mère, déposé dans une cassette de cyprès, le tout déposé dans un "petit logis de pierre", sur lequel cour une lame de marbre avec deux inscriptions:

    - un vers d'Euripide, pour lequel Moréas a proposé la taduction :

    Hélas, que le soleil est beau !

    - en dessous, les vers de Mistral :

    "La mar, bello plano esmougudo / Dou paradis es l'avengudo....."
    (La mer, belle plaine émue, / du Paradis est l'avenue....)

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    LAFAUTEAROUSSEAU

  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français : l'inique condamnation de 1945 (2/5)...

    lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui : l'inique condamnation de 1945 (2/5)...

    Nous sommes dans la semaine où l'on rappelle, dans nos Ephémérides, l'inique condamnation de 1945 : nous lui consacrerons donc les cinq notes de la semaine, jusqu'à vendredi inclus...

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    Le 28 janvier 1945, la cour de justice de Lyon déclare Maurras coupable de haute trahison et d'intelligence avec l'ennemi et le condamne à la réclusion criminelle à perpétuité et à la dégradation nationale...

    Aberrant ? Oui, certainement...

    Mais c'était le temps de la sinistre Epuration, qui ne fut rien d'autre qu'une vulgaire - mais sanglante - "re-Terreur" (l'expression est de Léon Daudet), qui dénatura et souilla d'une tâche indélébile la libération du territoire national, et dont l'un des grands "maîtres" (!) fut le non moins sinistre Aragon...

    Et pourtant !...

    Voici - publié sur Boulevard Voltaire - la mise au point éloquente de Laure Fouré, juriste et fonctionnaire au Ministère des finances, puis d'Eric Zemmour :

    Oui, l'Action française a toujours été anti nazi

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français...

    lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Du début février au 15 mars (fin de la première partie de notre campagne de sensibilisation pour la sauvegarde de la maison de Maurras) nous présentons divers textes ou documents relatifs à Maurras, sa vie, son oeuvre... 

    Au sujet de la Maison de Maurras, et de son Jardin, libres d'accès jusqu'à ce que la Mairie de Martigues n'en interdise l'entrée, ne les "ferme", aussi sournoisement que brutalement; n'érige autour d'eux comme une sorte de Mur de Berlin, aussi réel qu'invisible, nous demandons :

    1. Des informations claires et précises sur les travaux promis, et un calendrier, même approximatif, concernant le déroulement de ces travaux, qui doivent aboutir à la réouverture de la Maison au public...

    2. Et, en attendant, la remise à disposition du public du libre accès au jardin, sans autres conditions que celles qui prévalent en n'importe quel autre endroit public du pays, selon les règles et normes en vigueur partout...

    Cette semaine est la dernière avant que notre Campagne de sensibilisation ne prenne une autre forme, dès le lendemain du premier tour des élections municipales.

    Aujourd'hui, la recension faite par Christian Tarente - le dimanche 29 juillet 2018 - sur lafautearousseau : 

    Livres • Un printemps éditorial maurrassien

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français...

    lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Du début février au 15 mars (fin de la première partie de notre campagne de sensibilisation pour la sauvegarde de la maison de Maurras) nous présentons divers textes ou documents relatifs à Maurras, sa vie, son oeuvre... 

    Au sujet de la Maison de Maurras, et de son Jardin, libres d'accès jusqu'à ce que la Mairie de Martigues n'en interdise l'entrée, ne les "ferme", aussi sournoisement que brutalement; n'érige autour d'eux comme une sorte de Mur de Berlin, aussi réel qu'invisible, nous demandons :

    1. Des informations claires et précises sur les travaux promis, et un calendrier, même approximatif, concernant le déroulement de ces travaux, qui doivent aboutir à la réouverture de la Maison au public...

    2. Et, en attendant, la remise à disposition du public du libre accès au jardin, sans autres conditions que celles qui prévalent en n'importe quel autre endroit public du pays, selon les règles et normes en vigueur partout...

    Cette semaine est la dernière avant que notre Campagne de sensibilisation ne prenne une autre forme, dès le lendemain du premier tour des élections municipales.

    Aujourd'hui :

    Refuser l'interdit jeté sur Maurras et sur sa maison à Martigues ! 

    lafautearousseau

  • Colombes/Terroriste islamiste : non, Youssef T. n'est pas ”un Français de 29 ans” !

    Rappel des faits :

    Vers 17h30 ce lundi 27 avril, un homme en scooter refuse d’obtempérer face à un contrôle de police à motos à Colombes. Après une course-poursuite, l’individu abandonne son deux-roues et prend la fuite à bord d’une voiture. L’équipage de police se trouve alors sur le bas du boulevard de Valmy, quand un second véhicule les percute de plein fouet, volontairement. L'auteur de cet assassinat/tentative d'assassinat est un homme de 29 ans nommé Youssef T., domicilié à Colombes et né à Lunéville. Il a affirmé aux autorités : "Je l'ai fait pour l'Etat islamique." 

     Commentaire :

    Cet assassin n'est nullement "un Français". Il fait partie de ces millions d'étrangers follement reçus chez nous par le Système, sans que jamais on ait demandé au peuple français s'il était d'accord pour que, en si peu de temps (depuis 1975) on fasse "entrer" tant d'étrangers en France (plus de 300.000 par an, sans compter, bien sûr, les clandestins, et les déboutés du droit d'asile, qui restent ici même quand on leur a signifié le rejet de leur demande).

    Nous savons bien qu'une bonne partie de ces immigrés se comportent correctement, et il n'y a aucune raison pour qu'ils ne s'intègrent pas, et ne s'assimilent pas. Mais nous savons bien, aussi, qu'une autre partie refusent et de s'intégrer et de s'assimiler; certains même, comme l'assassin Youssef T., choisissant délibérément de "tuer du Français". Il y a encore un troisième groupe, dans cette immigration récente (depuis 1975), qui vient ici pour des raisons purement économiques, et que nous ne pouvons plus "supporter". 

    L'assassinat/tentative d'assassinat de Colombes vient rappeler - une fois de plus -cette triste réalité aux Français : il est urgent d'arrêter un flot migratoire démentiel qui nous apporte autant de problèmes (délinquances, violences, sécessions de Cités et banlieues par une islamisation de plus en plus radicalisée...). Et, pour ceux qui sont déjà entrés, il est urgent de mettre définitivement hors d'état de nuire les assassins, et de déchoir de la nationalité française, puis de les expulser sans délai, ceux qui ne se conforment pas à nos lois et, pire, qui se transforment en soldats ennemis déclarés de notre Nation... 

    lafautearousseau

  • A la découverte de l'homme Maurras : Le Mur des Fastes (3)...

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui : Le mur des fastes (3)...

    L'inscription relatant brièvement l'histoire du Consul Marius est comprise entre deux modestes piliers carrés :

    • au sommet de l'un (celui de gauche) : le bas-relief d'Aristarchê, copie fidèle de celui de l'Académie de Marseille... :

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    • au sommet de l'autre (celui de droite) : le relief ovale des Tremaïe, réunissant les trois personnages cités par Plutarque :


    - Marius, viril sous la toge;

    - Marthe, la prophétesse syrienne, long voilé à l'oriental;


    - Julie, à la toge romaine, la tante de César et femme de Marius, le fondateur des Légions romaines... :

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    Vous remarquerez que la grande prêtresse est au milieu, comme personnage principal, alors que le général vainqueur est, en quelque sorte, "relégué" à gauche : car c'est la prophétesse qui a insufflé aux combattants la foi en la victoire...

    Pour mieux connaître cet immense événement que fut l'écrasement définitif des Cimbres et des Teutons à côté de notre actuelle Aix-en-Provence, vous pouvez vous reporter à notre Ephéméride du 17 janvier...

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  • A la découverte de l'homme Maurras : Devant le mur des fastes, buste de Maurras posé sur un merlon grec du 6ème siècle a

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui : Devant le mur des fastes, buste de Maurras posé sur un merlon grec du 6ème siècle avant J-C...

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    Ce merlon grec vient de Saint Blaise...

    A l'époque où ils fondèrent Massalia, six siècles avant notre ère, les marins grecs explorèrent plusieurs fois la côte, et tous les lieux propices à une installation durable. Ces péripoles les menèrent d'Alalia (aujourd'hui Aléria, en Corse) jusque au sud de l'actuelle Alicante...

    D'autres établissements que Massalia auraient donc pu voir le jour, ou, plutôt, avoir la chance de devenir une grande cité, car il est clair que, en plus de Massalia, les Grecs s'établirent aussi, et par exemple, à Saint Blaise...

    Devant le Mur des Fastes, ce portrait/buste de Maurras, offert par une confrérie de pêcheurs, est l'oeuvre du sculpteur Henri Bernard, Grand prix de Rome.

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    Détail du buste, de profil



    Il a été placé sur un merlon grec, provenant de l'établissement Grec de Saint Blaise, et offert à Charles Maurras par Henri Rolland.

    Ce merlon, qui remonte - on l'a vu - à l'arrivée des Grecs en Provence, est contemporain des vestiges de Marseille, l'antique Massalia, et nous ramène donc vingt six siècles en arrière...

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  • A la découverte de l'homme Maurras : Aujourd'hui : Illustrations du Mur des Fastes (IV/XIX)...

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui : Illustrations du Mur des Fastes (IV/XIX)...

    "..."Gérard de Martigues fonda l'Ordre des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem, chevaliers de Rhodes et de Malte..."

     

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    L'ordre souverain militaire hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte est une organisation catholique souveraine à vocation humanitaire, créée au milieu du XIème siècle.

    Installé successivement à Jérusalem, Chypre, Rhodes, Malte et enfin Rome, il est tourné vers les pauvres et les malades en vertu de la première règle de l'ordre : « Protéger la foi, secourir les indigents, accueillir les sans-logis, soigner les malades et œuvrer pour la paix et le bien dans le monde ».

    Néanmoins, au cours de sa longue existence, il a été aussi un des principaux remparts de l'Occident chrétien, durant les croisades dans un premier temps, puis à l'époque où ses marins aguerris sillonnaient la Méditerranée, avant de développer, à partir de la Renaissance,un savoir médical envié et mondialement reconnu.

    Son siège actuel est à Rome et sa devise depuis sa création est :


    « Tuitio Fidei et Obsequium Pauperum »,
    « Défense de la Foi et Assistance aux Pauvres »

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  • Dans Politique Magazine, Covid-19 : quels remèdes pour vaincre la crise économique ?, par François Schwerer.

    L’économie s’effondre car on ne produit plus. Les marchés financiers, perfusés de fausse monnaie, sont sous la menace d’une faillite des investisseurs. La mythique croissance s’éloigne toujours plus. Quand le politique va-t-il reprendre ses droits sur l’économique ?

    Le 16 mars au soir, le président Macron a martialement annoncé que l’Etat était prêt à faire un effort de 300 milliards d’euros pour aider les entreprises et les particuliers à passer le mauvais cap de la crise actuelle. Son annonce venait après celle de Madame Lagarde qui proposait que les prêts soient accordés aux entreprises « malades » du coronavirus à un taux négatif de moins 0,75 % et après celle de James Powell qui, au nom de la FED, avait proposé de baisser le taux des crédits. Malgré ces annonces, les Bourses ont continué à plonger. Et ce ne sont pas les demandes de Monsieur Le Maire de recourir à une politique budgétaire concertée entre Européens qui a changé quoi que ce soit. Cela est normal.

    françois Schwerer.jpgUne crise traitée par des analgésiques

    Si la crise économique et la crise sanitaire ont une même origine, elles ont aussi un autre point commun. Pour soigner l’une et l’autre, on n’a à disposition ni un remède efficace ni le moindre vaccin. Force est de se retourner vers les analgésiques et antipyrétiques dont on dispose : paracétamol ou anti-inflammatoire dans un cas, politique monétaire ou budgétaire dans l’autre. La première calme la fièvre (en injectant des liquidités), la seconde la douleur (en soutenant tel ou tel secteur économique). Mais aucune ne fait disparaître la cause du mal : un système économique fondé sur la production au moindre coût d’une quantité toujours plus importante de biens dont l’utilité finale n’est pas démontrée. De plus, on a déjà abusé par le passé de ces deux expédients au point que le système est drogué. La drogue financière a conduit le système économique à vivre sur une bulle monumentale de crédits (et de fausse monnaie) tandis que la bulle budgétaire a faussé tous les indicateurs économiques (échelle des prix) dans des pays administrés par un Etat-providence. Que ces mesures puissent, à très court terme, procurer un certain effet euphorisant – non encore perceptible – cela est possible mais en aucun cas elles ne permettront de remettre durablement sur pied l’ensemble de la vie économique au service de tous.

    Certains économistes rappellent que, lors des crises précédentes, ces politiques avaient eu un certain succès. Oui, après la crise dite des subprimes et celle des crédits, en inondant de liquidités l’ensemble des marchés financiers, on avait redonné un certain optimisme aux principaux agents économiques. Mais cet optimisme de façade ne reposait que sur un espoir de gain financier à court terme, qui occultait le creusement des écarts entre les riches et les pauvres et qui faisait oublier la croissance exponentielle de la pollution. Ces deux conséquences alimentaient simplement les discussions et le fonds de commerce des modernes sophistes.

    Une crise de nature différente

    La crise d’aujourd’hui est d’une nature totalement différente. Elle n’a pas commencé par éclater dans les milieux financiers. Ce ne sont pas d’abord des emprunteurs qui, n’ayant plus la capacité de rembourser leurs emprunts, ont communiqué leur virus aux banques. Ce n’est pas une chute généralisée de la consommation par défaut de confiance qui a fait chuter la production. C’est d’abord la production qui est tombée en panne et elle ne s’est pas arrêtée par défaut de demande solvable mais par impossibilité physique. Qu’elle soit monétaire ou budgétaire, la politique ne fera pas disparaître la pandémie. Qu’elle soit monétaire et budgétaire, la politique économique et financière stricto-sensu ne suspendra pas les mesures de confinement. Un surcroît de liquidités ou un étalement des charges fiscales et sociales ne rendra pas la santé ni le sourire aux malades, même guéris.

    Or, cette crise survient alors que le corps économique tout entier est malade. Malade d’un océan de dettes qui a rendu chacun dépendant du monde financier, malade d’un éclatement des chaînes de production qui a entraîné les phénomènes de délocalisation et de chômage de masse, malade d’une allergie aux risques qui mutualise les pertes et enrichit les fonds de pension, malade d’un égoïsme libéral qui laisse penser que la prospérité générale d’un pays n’est que la somme des richesses individuelles. Ce sont tous ces foyers d’infection qu’il faut éradiquer si l’on ne veut pas qu’au prochain incident la maladie ne reprenne et dégénère.

    Une crise économique complexe

    Habituellement, lorsque l’on parle de crise on s’intéresse soit à l’offre soit à la demande. En cas de « choc » de l’offre, on propose une relance sectorielle grâce à une politique budgétaire bien ciblée ; en cas de crise de la consommation on stimule la propension à dépenser par une politique monétaire accommodante. Le problème, cette fois-ci est que nous ne sommes ni en présence d’un pur choc de l’offre, ni dans une panne généralisée de consommation. On est face d’une double crise : un choc de l’offre qui concerne essentiellement les produits et services de première nécessité ainsi que les productions intermédiaires et un effondrement de la demande qui impacte en premier l’énergie, les services du transport, du tourisme et de l’hôtellerie ainsi que des biens et services moins indispensables.

    La cause de ces difficultés n’est pas la même non plus. Le choc de l’offre est essentiellement dû à un absentéisme forcé du personnel – le télétravail ne peut pas être envisagé pour toutes les activités – ainsi qu’à des difficultés dans les approvisionnements et les livraisons. L’effondrement de la demande résulte d’abord de la peur de contracter le virus et de la désertion des points de contact (les marchés). Si, lorsque le confinement prendra fin, on peut espérer un redémarrage rapide de la demande pour les biens et services essentiels, il n’en sera probablement pas de même en ce qui concerne le tourisme et l’hôtellerie. Si rebond de l’économie il y a celui-ci sera beaucoup moins prononcé qu’après les crises antérieures car celle-ci n’a pas seulement provisoirement cassé la confiance dans un phénomène monétaire mais a d’abord cassé la confiance dans la circulation des personnes. La santé économique et financière n’est pas à l’origine de la crise ; son mauvais état a simplement joué le rôle de facteur aggravant en favorisant la contamination de tous les membres. Ce qui rend la crise encore plus complexe c’est que tous les membres n’ont pas été touchés de la même manière ce qui fait qu’ils devront être soignés différemment les uns des autres. Le primat de l’économie sur la politique a atteint ses limites.

    Une crise révélatrice de maux plus profonds

    Selon les secteurs d’activité, cette crise révèle des maux de différentes natures. Dans le domaine industriel, l’éclatement des chaînes de production et la gestion en flux tendus, s’ils permettent de faire baisser certains coûts, rendent aussi la production tributaire de ce qui se passe à l’étranger. Ils conduisent à une perte d’indépendance et dans la mesure où les phénomènes touchent des secteurs stratégiques (Santé, Défense…) ils portent directement atteinte à la souveraineté nationale. On savait qu’ils étaient une cause du chômage de masse (dont on cherchait à masquer le drame derrière des allocations de plus en plus réduites), on découvre qu’ils mettent en danger le fondement même du bien commun.

    L’importance prise par l’industrie des loisirs est telle que son arrêt, même provisoire, met en précarité un très grand nombre de personnes. Mais il révèle aussi combien elle est source de pollution. Les images de la terre prises par satellite depuis l’arrêt de nombreux transports aériens montrent que les nuages de gaz toxiques se sont en partie dissipés. On savait qu’un afflux de touristes dégradait sensiblement les sites visités, on a la preuve que leurs déplacements abiment sensiblement la qualité de notre environnement…

    Globalement le système actuel est maintenu sous perfusion permanente par les banques centrales qui inondent la terre de fausse monnaie en prêtant aux banques commerciales des sommes qui ne sont pas véritablement utiles pour l’économie réelle mais viennent faire enfler artificiellement la valeur des actifs financiers. Les perspectives de perte de chiffres d’affaires des grandes entreprises a fait chuter le prix des actions entraînant, dans leur sillage tous les « véhicules » financiers inventés par les opérateurs de marché pour participer au grand casino de la Bourse. Or pour acquérir ces titres que l’on voyait toujours monter, les « investisseurs » se sont tous plus ou moins endettés. Mais si la valeur de ces titres a chuté, le montant des emprunts contractés, lui, n’a pas varié. Beaucoup ne pourront donc pas être remboursés, risquant d’entraîner dans leur chute les banques les plus actives dans ce secteur.

    Quant aux finances publiques, déjà mises à mal par une politique de fuite en avant pratiquée sans discontinuer depuis de nombreuses années, elles laissent apparaître un déficit abyssal qui sera difficile à combler. Jusqu’à présent, les hommes politiques promettaient tous, les uns après les autres, que l’Etat pourrait rembourser ses dettes lorsque la croissance repartirait. Demain ! Face à la crise, le gouvernement a, une nouvelle fois, choisi de privilégier l’instant présent en accroissant encore les dépenses. Comme l’horizon, le retour à la croissance s’éloigne au fur et à mesure que l’on avance. La crise met en évidence que l’homme n’est pas tout puissant et donc que la croissance ne se décrète pas. Les ressources du pays ne sont pas infinies. Pour sortir de la crise, il va falloir faire des choix et ces choix ne sont pas d’abord économiques, ils sont essentiellement politiques. Ils supposent un gouvernement fort, capable de faire des choix douloureux, ce qui suppose qu’il jouisse de la confiance totale de la population.

  • Le manque de masques en France vient du dogme libéral, par Patrice de Plunkett.

    Les premières enquêtes sur le scandale du manque de masques renvoient au délire anti-Etat et anti-stocks qui a formaté les années de la glorieuse “révolution libérale” :

    5.jpg2011, avant-dernière année de celui qui voulait être appelé “Sarko l’Américain” : une “grande concertation” avec le privé est organisée par le gouvernement, qui veut se défaire du stock d’Etat d’un milliard de masques chirurgicaux et 700 millions de masques FFP2. Motifs de cette braderie : 1. l’existence de stocks en tous domaines est condamnée par le dogme libéral au profit de la fameuse “logique des flux” ; 2. en vertu du dogme, lors des crises sanitaires graves le “flux” d’approvisionnement de la France en masques sera censé reposer désormais sur… la Chine, usine du monde. One world, free trade.

    Où passent les stocks de masques français après 2011 ?  En principe ils partent dans les entreprises, l’Etat se déchargeant désormais de la protection sanitaire des salariés (toujours en vertu du dogme) ; mais au vu de la situation de 2020, on peut se demander ce qu’il est réellement advenu des stocks après leur dispersion. Gaspillés ?  Vendus à l’étranger ? Mystère. La transparence du privé est très relative. Toujours est-il – constatent les enquêteurs – qu’en janvier 2020 l’Etat ne détient plus que 145 millions de masques chirurgicaux et aucun masque FFP2. Quand le coronavirus explosera en territoire français, ce sera juin 40... D’autant que l’industrie de la Chine ne sera plus capable de fournir de masques au monde dont elle était censée être l’usine. Et que la principale usine de masques en Europe est en Allemagne, Etat qui s’est empressé de mettre l’embargo sur sa production ! On mesure en cela ce qu’est réellement l’Union européenne… ("sans laquelle nous serions en guerre les uns contre les autres”, disent les conformistes).

    L’affaire des masques s’ajoute ainsi à l’ensemble de la crise du virus pour condamner la globalisation libérale.

    Reste à venir maintenant le tsunami de la crise économique mondiale, qui s’annonce pire que 2008 et 1929, et qui consacrera l’effondrement du système sur nos têtes – au prix d’indicibles souffrances humaines. Il y a des cas où l’on souhaiterait n’avoir pas eu raison d’avance...

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  • Un quinquennat compromis par Gérard Leclerc

    Comment un éditorialiste pourrait-il échapper à la situation d’un pays paralysé par la grève et au dossier épineux qui est à l’origine du mouvement social ? Difficile de se dérober ! Et pourtant, la difficulté technique de la réforme des retraites constitue déjà un fameux obstacle. Nous n’avons même pas encore le projet définitif du gouvernement.

     

    13584804_1050497325039319_7100176010205014433_o.jpgIl sera présenté par Édouard Philippe mercredi midi devant le Conseil économique et social. Il a fait l’objet de plusieurs réunions ces jours derniers à Matignon et à l’Élysée pour trancher les dernières difficultés. Serons-nous alors pleinement éclairés sur ce qui nous attend et sur ce qui attend surtout les prochaines générations, puisqu’il s’agit, nous dit-on, de travailler pour l’avenir, de garantir la sécurité d’un système social qui s’est bâti notamment au moment de la Libération, mais qui nécessite un rééquilibrage urgent si l’on tient à le sauvegarder pour l’essentiel.

    Autant avouer mon incompétence en termes techniques. J’écoute les experts les plus qualifiés et ils sont en désaccord. Il en va de même pour les syndicats très divisés. Les adversaires les plus résolus de la réforme sont en vedette, notamment le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, rejoint par les responsables de FO, de la FSU, de la CGC… La CFTC n’a pas appelé à la mobilisation, laissant ses structures régionales décider par elles-mêmes. Le gouvernement attend beaucoup de la CFDT et de son dirigeant Laurent Berger. Ce syndicat a acquis, depuis Nicole Notat, une réputation de syndicat réformiste. Berger a d’ailleurs donné son accord au régime par points, qui est le dispositif central du projet élaboré par Jean-Paul Delevoye.

    Emmanuel Macron joue très gros dans cette affaire. S’il recule et obtempère à la volonté de ses opposants qui veulent un retrait pur et simple de la réforme, son quinquennat aura perdu sa dynamique réformatrice et lui-même son aura progressiste. Le problème, c’est que lorsqu’on est dans un rapport de force, ce n’est pas forcément la rationalité qui domine. Puisse-t-elle être sauvegardée au minimum pour que le pays ne se déchire pas trop.

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 10 décembre 2019

  • A la découverte de l'homme Maurras : Sur le Mur des Fastes, Claude Couture et son Traité de l'Olivier...

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui : Poursuivons notre "lecture" du Mur des Fastes, pour parler de Claude Couture, et de son Traité de l'Olivier...

    ...Claude Couture écrivit chez nous un Traité de l'olivier que firent imprimer les États de Provence..."

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    Claude Couture : Traité de l'olivier, présenté à nos seigneurs et messieurs les procureurs des gens des trois-états du pays et comté de Provence.

    Consultable à la Bibliothèque Méjanes, d'Aix-en-Provence.

    Publié à Aix : chez Antoine David, 1786

    Autre intitulé : Traité de l'olivier, présenté à nosseigneurs & messieurs les procureurs des gens des Trois-états du pays & Comté de Provence. Par Mre. Couture, curé de Miramas, de l'Académie des Arcades de Rome. Livre premier [-second].
    Éditeur : A Aix, chez Antoine David, imprimeur-libraire du Roi & du Pays. M. DCC. LXXXVI.

    lafautearousseau

  • A nos lecteurs, à nos amis, à tous : à compter de ce soir, minuit...

    3053309136.3.jpgPendant la quinzaine des Fêtes (malgré les perturbations !...) vous aurez tous, comme nous, "la tête ailleurs"; vous penserez à vos familles, et vous serez avec elles; vous fêterez - pour le plus grand nombre possible, nous l'espérons... - le Noël chrétien, religieux et spirituel que l'on célèbre depuis deux millénaires sur cette vieille terre de civilisation que nous avons la chance d'avoir reçue en héritage, et dont il nous appartient aujourd'hui - à notre tour - de faire vivre les Traditions vivifiantes, fondatrices, qui sont notre véritable colonne vertébrale, le coeur de notre Être profond.

    Et vous vous souviendrez qu'avant d'être de simples consommateurs - ce que voudrait bien le Système... - nageant simplement dans le matérialisme ambiant, vous êtes, nous sommes, surtout et avant tout Coeur, Esprit, Âme...

    Ces considérations pour vous dire que, pendant ces quinze jours, nous suspendrons trois de nos Pages, qui reprendront leur parution (avec une nouvelle), le jeudi 2 janvier :

    1. "Soutenez, participez...", qui annonce les activités...

    2. "Formation, militantisme...", qui en rend compte, une fois qu'elles ont eu lieu...

    3. "A la découverte de l'homme Maurras..." : nous avons bien avancé dans notre présentation de l'homme et de sa maison/jardin du Chemin de Paradis, qu'il est urgent de sauver; et, pour ce qui est des Municipales, ce n'est qu'à partir du début janvier que les choses vont s'accélérer : on suivra bien sûr avec intérêt les défections dans l'actuelle équipe d'union de la gauche (il y en a déjà une, que nous vous avons signalée) et, surtout, ce que fera définitivement LaRem, dont trois comités étaient d'abord officiellement recensés jusqu'à ce que deux d'entre eux se fondent dans un collectif, baptisé "Boulegon tous", avec, aux manettes, Jean-Luc Cosme, conseiller municipal depuis 2014, et Thierry Boissin, sans mandat...

    Une fois passée la période des Fêtes, ces trois Pages reprendront leur service (utile et apprécié, à en juger par ce que vous nous en dites...).

    S'ajoutera, pendant tout le mois de janvier, notre Page annuelle "Louis XVI !" (cette année, donc : "Louis XVI 2OI9... !"), qui recensera toutes les manifestations rappelant cette date sombre de notre Histoire, Acte 1 des Totalitarismes modernes, moment fondateur de toutes les atrocités du terrorisme révolutionnaire qui s'étendra, par la suite, à toute la terre... (Informez-nous, dès que vous en avez connaissance, des manifestations qui auront lieu chez vous ou près de chez vous... merci d'avance !)

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  • A la découverte de l'homme Maurras : Poursuivons notre ”lecture” du Mur des Fastes, pour parler de l'immense victoire de

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui : Poursuivons notre "lecture" du Mur des Fastes, pour parler de l'immense victoire de Denain...

    "...Vainqueur à Denain des ennemis du royaume, le maréchal de Villars fut prince de Martigues...".

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    La bataille de Denain, qui eut lieu le 24 juillet 1712, est un épisode décisif de la guerre de Succession d'Espagne.


    Elle se solda par une victoire des armées françaises commandées par le maréchal de Villars sur les Austro-Hollandais du Prince Eugène.


    Alors que tout semblait perdu, elle permit - après plusieurs défaites françaises - de négocier une paix favorable.

     

    Sur cette bataille, ses causes et ses conséquences - fort heureuses pour la France puisqu'elle lui permit de gagner le terrible Guerre de Succession d'Espagne - lire (de Jacques Bainville) : Un Bourbon sur le trône d'Espagne : le bon choix...

    lafautearousseau