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A la découverte de l'homme Maurras : Avant d'arriver aux deux autre stèles...(5)

lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

Aujourd'hui : Avant d'arriver aux deux autre stèles...(5)

Les deux stèles que nous venons de voir sont à gauche de l'escalier central, qui mène au Mur des Fastes, tout en haut du Jardin.

Pour aller découvrir les deux autres, qui sont à droite du même escalier, on passe devant un petit monument émouvant, qui nous révèle un Maurras qui - s'il adorait son père, dont la disparition précoce fut un drame pour lui - était également intimement lié à sa mère.

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Un moment, donc, de méditation devant ce petit monument, lieu qui renferme le coeur de Maurras (son corps étant à Roquevaire, dans le caveau familial, avec son père, sa mère et son frère).


Maurras a en effet souhaité que son coeur reposât dans ce jardin qui s'est souvenu.

Il se trouve dans un coffret à bijoux de sa mère, déposé dans une cassette de cyprès, le tout déposé dans un "petit logis de pierre", sur lequel cour une lame de marbre avec deux inscriptions:

- un vers d'Euripide, pour lequel Moréas a proposé la taduction :

Hélas, que le soleil est beau !

- en dessous, les vers de Mistral :

"La mar, bello plano esmougudo / Dou paradis es l'avengudo....."
(La mer, belle plaine émue, / du Paradis est l'avenue....)

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LAFAUTEAROUSSEAU

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