UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : radio ville marie

  • Sainte Geneviève : femme de foi et femme politique.

    Cette année nous fêtons les 1600 ans de la naissance de sainte Geneviève. Elle n’est pas uniquement une sainte de l’Église catholique mais également une femme politique de premier plan. Elle est la patronne de la ville de Paris où elle a marqué le territoire et elle a aussi joué un rôle incroyable dans l’histoire de France en conduisant Clovis au baptême. Aujourd’hui encore elle constitue pour beaucoup une lumière dans les épreuves.

    Avec Florence Berthout, maire du Ve arrondissement à Paris, où se trouve la montagne Sainte-Geneviève, Geneviève Chauvel, journaliste auteur de Sainte Geneviève, premier maire de Paris et Mgr Yvon Aybram, du diocèse de Nanterre d’où est originaire sainte Geneviève.

  • Sur la page FB Corporatisme et royalisme social de nos amis du GAR : solidarité française.

    Une affichette comme on voit tant (et trop) fleurir dans nos centres-villes aujourd'hui : la 3e vague sera d'abord économique et sociale, et les aides de l'Etat, telles qu'elles sont pensées, ne suffiront pas à empêcher la tragédie sociale qui commence à déployer ses premiers tristes effets.
    Amis lecteurs, privilégiez les achats dans les commerces de proximité ; soutenez-les, concrètement : vos emplettes sont leurs emplois !!
    Solidarité française !!

    Sources : https://www.facebook.com/Corporatisme-et-royalisme-social-114488388602377/

    https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste

    http://www.actionroyaliste.fr/

  • Communiqué de presse de l'Action Française Arras : 87 ans plus tard, ”A bas les voleurs !” !

    Cette nuit, les Arrageois ont tourné dans toute la ville pour afficher un poème de Robert Brasillach, écrivain génial fusillé en 1945.
    Mort onze ans après le 6 février 1934, le jeune perpignanais n'avait pas même écrit ses œuvres de maturité ! Si telle est la considération de la culture en République, nous nous devons d'afficher ces vers dans la capitale artésienne. 1934, 1945, même credo : à bas les voleurs !
    Aux morts de février
    Les derniers coups de feu continuent de briller
    Dans le jour indistinct où sont tombés les nôtres.
    Sur onze ans de retard, serai-je donc des vôtres ?
    Je pense à vous ce soir, ô morts de Février.
    Robert Brasillach, Poèmes de Fresnes.

    9.jpg

  • Et Dreux restera toujours, l’endroit où nos morts, reposent en paix !, par Guy Adain.

    Magnifique phrase de Notre Dame de France, Comtesse de Paris.

    Qui d’autre aurait osé ?

    Les uns sont gens de chicane et les autres « Gens de France » !

    Notre Dame à nous, est une :

    « Belle Dame du temps jadis,

    Reine blanche comme un lys ! » 

    Elle, se soucie des âmes !

    Car elle sait bien que « Rien n’est plus vivant que l’âme des morts ». (Sic)

    Notre bonne ville de Dreux, devrait se féliciter d’héberger cette étoile royale qui illumine son ciel.

     

    Guy Adain

    20/08/2021

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    1. Original, profond, et tout simplement... beau ! : Des lycéens célèbrent la beauté des gestes agricoles grâce à des tableaux connus...

    https://www.lejdd.fr/Culture/des-lyceens-celebrent-la-beaute-des-gestes-agricoles-grace-a-des-tableaux-celebres-4023276?Echobox=1612537103

    1A.jpg

     
    2. Bien sûr, "il dit que non", il minimise... mais : le maire escrolo de Grenoble, Éric Piolle, est-il au coeur d'un scandale ?
     

    1A.jpg

     
    3. "On ne peut pas rester confinés indéfiniment" :  Louis Aliot, Maire de Perpignan, a annoncé lundi la réouverture de 4 musées. Il a raison. Il faut être lucides et réalistes : ce nouveau virus est là, pour plusieurs mois, plusieurs années, peut-être pour toujours, comme celui de la grippe, qui tue tout de même chaque année entre 10 et 15.000 personnes. Confine-t-on l'économie du pays à cause de la grippe pour autant ? La vraie solution est d'apprendre comment "vivre avec"...
     

    1A.jpg

     
    3 BIS. Quelqu'un peut-il expliquer ? À gauche, en ville, à Grenoble, Téléphérique : ouvert; à droite, en montagne pour pourvoir skier : fermé !... 

    1A.jpg

     
    5. Valérie Boyer et Gilles-William Goldnadel ont raison tous les deux :
    - Valérie Boyer : "Est-ce faire preuve d’humanité que de donner de faux espoirs aux migrants ? Est-ce faire preuve de sagesse que de leur faire croire que nous pouvons les accueillir dans de bonnes conditions ? Est-ce faire preuve de raison que de se rendre complice de trafic d’êtres humains ?"
    - Gilles-William Goldnadel : "Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, les envahisseurs passent pour des victimes et les envahis pour des salauds . Et les deux mots sont interdits d’usage. Cette humanité qui nie les frontières des pays comme les portes et les murs est inhumanité."

    stop migrants.jpg

     
    5 BIS. "Trappes n'est plus une ville française, c'est une ville musulmane, régie par les lois musulmanes..." : fruit pourri de la politique pourrie menée en pleine connaissance de cause par le Système, qui veut en finir avec la France traditionnelle et nous impose, depuis 1976, une immigration insensée et suicidaire, qui dilue de fait notre pays dans des masses de plus en plus nombreuses  d'étrangers qui ne peuvent pas et, surtout, NE VEULENT PAS s'intégrer et s'assimiler

    1A.jpg

    Bienvenue en France ! Pardon, au Trappistan !...

    Ce Système veut dissoudre la France, c'est lui qu'il faut tuer !

    1A.jpg

    Et, pour mémoire, cette vision de Trappes vers 1910 : des enfants jouent sur la place de l'église Saint-Georges...

     

    5 TER. Oui, c'est un raccourci. Mais, oui aussi : c'est vrai !

    1A.jpg

  • Le ministre Emmanuelle Wargon prône la mixité sociale mais habite dans les beaux quartiers, par Iris Bridier.

    « Elle ne peut pas fustiger les riches qui ne veulent pas de HLM et habiter un joli pavillon », tacle Julien Weil, le maire (LR) de Saint-Mandé, au sujet d’, dans Le Figaro. Le ministre du Logement est ainsi accusé d’inciter à « faire ce que je dis, pas ce que je fais ».

    5.pngEn cause, la récente affaire « Pierre » qu’Emmanuelle Wargon analyse par un plus grand besoin de mixité sociale. « On a une forme de préjugé pensant que chacun veut vivre entre soi et, en fait, ce n’est pas vrai. Moi, je me déplace beaucoup dans des quartiers populaires, en ville et dans la ruralité, et les gens sont en demande de cette mixité sociale », explique-t-elle au micro de .

    2.jpg

    Mais pourquoi, alors, avoir choisi, comme le fait remarquer le maire de Saint-Mandé, « un cadre de vie résidentiel, luxuriant, un urbanisme maîtrisé et une ville proche de Paris » ? Le Figaro révèle, ainsi, que le ministre réside dans « une maison de 150 m², estimée à 1,5 million d’euros, selon sa déclaration de ». Dans le 9-4, certes, mais pas franchement au milieu des « relous » et autres « sauvageons » comme ceux qui tuèrent à coups de pied un sexagénaire, le week-end dernier, pour une simple remarque. Ironie de l’histoire, il s’appelait Pierre.

    Une nouvelle polémique, donc, qui s’est enflammée sur les , dénoncée par l’entourage du ministre. « Ce n’est pas aux habitants des villes qui ne respectent pas leurs obligations de déménager ou d’être pointés du doigt. » Sauf qu’imposer aux municipalités 25 % de d’ici 2025 relève plus du dogmatisme que du pragmatisme. « Ce n’est pas que je ne veux pas de mixité, mais la mixité a ses limites dans une ville où les prix au mètre carré dépassent les 12.000 euros le m² », répond Julien Weil. Une proposition irréaliste pour ce collectif de 22 maires du Val-de-Marne qui tente de proposer auministre un entre-deux.

    3.jpg

    « Si on fait 40 % de social dans chaque nouveau programme immobilier, franchement, on ne doit pas être considéré comme mauvais élève », explique, au Parisien, Charles Aslangul (LR), le maire de Bry-sur-Marne. Or, ajoute le collectif, « la loi SRU résonne (sic) sur la totalité des logements existants dans la commune (stock) et non sur les efforts faits sur les nouveaux logements construits (flux). Étant précisé que chaque nouvelle résidence construite (pavillon ou collectif) augmente mécaniquement le nombre de logements sociaux à produire. C’est sans fin. Les communes historiquement pavillonnaires ou sans foncier disponible se trouvent inexorablement pénalisées, même si elles construisent plus de 25 % sur le flux. » Un paradoxe soulevé également par la Cour des comptes.

    Le ministre a beau avoir réuni ce collectif et l’avoir écouté, reste à savoir si ces élus de terrain seront entendus.

     

    Iris Bridier

    Journaliste
    Auteur
     
  • Le chantier du «remontage» de la flèche de la basilique de Saint-Denis débutera en septembre.

    Le «remontage» de la flèche qui culminait à 86 mètres débutera en septembre 2021 pour s'achever en 2028. Kenzo TRIBOUILLARD / AFP

    L'idée de reconstruire l'emblème de la nécropole royale a été lancée en 1987. Grâce aux financements de la Région Île-de-France et du Fonds de solidarité interdépartementale, ce projet s'accélère.

    Projet initié il y a plus de 30 ans, le chantier du «remontage» de la flèche de la basilique de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) débutera en septembre prochain et devrait s'achever en 2028, ont annoncé mercredi la Région Île-de-France et la ville dyonisienne.

    Achevées au début du XIIIe siècle, la tour nord et la flèche médiévales - qui culminaient à 86 mètres - avaient été démontées pierre par pierre en 1845 après une tornade qui avait fragilisé l'édifice.

    La ville de Saint-Denis avait lancé en 1987 l'idée de la reconstruction de la flèche de la basilique qui abrite les tombeaux des rois de France, projet auquel l'État avait finalement donné son feu vert en février 2017.

    Mercredi, la présidente (Libres!, ex-LR) de la région, Valérie Pécresse, a annoncé un «soutien» au projet à hauteur de 5 millions d'euros, qui viennent s'ajouter aux «20 millions déjà annoncés par le Fonds de solidarité interdépartementale par l'investissement». Un financement qui «permet au projet de rentrer dans une nouvelle phase opérationnelle».

    Afin de développer l'attractivité de cette ville populaire située au nord de Paris, le chantier sera ouvert à la visite. La première étape, celle des fouilles archéologiques et des travaux de consolidation de la basilique, commencera en septembre 2021.

    La première pierre «pourrait» elle être posée à l'automne 2022, a précisé à l'AFP la mairie de Saint-Denis, en ajoutant que le chantier devrait être achevé en 2028.

    Selon des chiffres des 2019, la basilique de Saint-Denis recevait 140.000 visiteurs chaque année, 100 fois moins que Notre-Dame de Paris.«Le chantier de reconstruction de la flèche présente l'opportunité d'un développement touristique national et international, notamment au moment des JO de 2024», espère Valérie Pécresse, citée dans le communiqué.

    Ce projet «s'inscrit par ailleurs dans la dynamique de la candidature de la ville de Saint-Denis pour obtenir le label Capitale européenne de la culture 2028 et fera partie intégrante du projet qui sera présenté pour la sélection», ajoute Mathieu Hanotin, maire PS de Saint-Denis et président de l'Établissement public territorial Plaine commune.

    Source : https://www.lefigaro.fr/

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : l'artificialisation des terres est un des grands soucis environnementaux d'aujourd'h

    L'artificialisation des terres est un des grands soucis environnementaux d'aujourd'hui, et la Chambre d'agriculture d'Ille-et-Vilaine s'en inquiète, à juste titre.
    Cessons d'urbaniser et de vouloir désormais construire "les villes à la campagne" ! Il serait plus intéressant de rénover et de faire revivre des centres-bourgs parfois "désertés" plutôt que de continuer à bétonner les alentours...

    https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/ille-et-vilaine-eau-urbanisation-la-chambre-d-agriculture-alerte-face-a-la-flambee-demographique

    Sources : http://www.actionroyaliste.fr/

    https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste

  • Notre feuilleton : Une visite chez Charles Maurras (32)

     

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

     

    lfar espace.jpg

     

    Aujourd'hui : Illustrations du Mur des Fastes (X/XIX)

     

    Illustrations du Mur des Fastes (X/XIX)

     

    "...le grand Malherbe fut blessé au siège qu'il avait mis devant Martigues..."

    Si tout le monde connaît le Malherbe poète ("Enfin, Malherbe vint !..." dit Boileau...), certains ignorent que, s'étant attaché à Henri d'Angoulême, fils naturel d’Henri II, il s'est aussi battu, dans les rangs de la Ligue, et qu'il a passé une bonne partie de sa vie en Provence, fixant sa résidence à Aix.
    Dans "Les secrets du soleil" (à Pierre Varillon), Maurras en dit un peu plus sur l'épisode qu'il évoque dans son "Mur des Fastes", et l'arquebusade qui blessa bel et bien, quoi qu'il en ait dit, le grand poète :

    "...Le XVIème siècle s'étant achevé en combats, ces joyeux "bragards" ne s'y étaient pas montrés méprisables ; avec ma chère petite ville originelle de Roquevaire et la tour de Toulon, Martigues fut des trois places de Provence qui résistèrent aux Impériaux de l’amiral Doria. Pendant les guerres de religion, la ville à peine réunie s'était de nouveau subdivisée et nos quartiers se partageaient entre les deux cultes, puis entre le Roi et la Ligue. Bataille, siège, assaut, reprises, trahisons, massacre, épidémie, toutes les misères !
    On connaît sur ce point un trait assez bien inventé : Autrefois à Racan, Malherbe l'a conté...

    Cette gasconnade du grand Normand est recueillie dans la Vie de Malherbe :
    "Il m'a encore dit plusieurs fois, écrit le disciple fidèle, qu'étant habitué à Aix depuis la mort de M. le grand prieur, son maître, il fut commandé de deux cents hommes de pied devant la ville de Martigues qui était infectée de contagion et que les Espagnols assiégeaient par mer et les Provençaux par terre, pour empêcher qu'ils ne communiquassent le mauvais air, et qui la tinrent assiégée par ligne de communications si étroitement qu'ils réduisirent le dernier vivant à mettre le drapeau noir sur la ville avant que de lever le siège."

    Le dernier vivant ! Presque aussi grand fanfaron que puissant poète, Malherbe faisait subir à nos bons aïeux le même sort qu'à ces deux moitiés de Ronsard qu'il ratura successivement un jour d'humeur et qui ne s'en portent pas plus mal. Mais les survivants de la peste et du siège durent rire de ce massacre digne de l'Ajax furieux. Car une de leurs arquebuses l'avait blessé autrement qu'en pensée ou figure de rhétorique. C'est l'ère qui suivit cette vengeance malherbienne où, très exactement, doit se placer notre âge d'or. Pareils en cela à beaucoup d'autres Français, notre grande prospérité est marquée à ce chiffre du XVIIe siècle. Le retour de la paix civile fit affluer les autres biens. Dès la première moitié du règne de Louis XIV, l'essor avait été si vif que la population s'était élevée à seize mille âmes..."

    LFAR FLEURS.jpg

     

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (121), La politique des ”Réunions” de Louis XIV...

    3852360888.jpg

    Sur cette carte, tirée de l'Atlas historique de Georges Duby (Larousse), on voit, en jaune, l'importance des "réunions" que, malheureusement, Louis XIV n'arriva pas à conserver; du moins la paix de Ryswick nous laissait-elle l'Alsace : ce n'était pas mal joué...

    De Michel Mourre :

    "Réunions (politique des) : Politique d'expansion territoriale sur les frontières de l'est poursuivie en pleine paix par Louis XIV, après le Traité de Nimègues (1679).

    Inaugurée par Croissy, secrétaire d'État aux Affaires étrangères, cette politique consistait à exploiter le vague des traités qui cédaient des territoires et des villes "avec leurs dépendances".

    Or, surtout dans ces régions de l'est, il y avait tant de complexité dans le régime féodal qu'on pouvait, sous le nom de "dépendances" élever des prétentions sur toutes sortes de seigneuries et de villes.

    Louis XIV créa dans le parlement de Metz, dans le conseil souverain de Brisach, et dans le parlement de Besançon des "chambres de réunion" chargées de rechercher les terres et fiefs qui avaient relevé des Trois-Evêchés, des villes d'Alsace ou de Franche-Comté, afin de prononcer, par arrêt de justice, leur réunion à la Couronne.

    Ces chambres adjugèrent à la France Sarrebrück, Saarewerden, Falkenberg et Germersheim, qui appartenaient à l'électeur de Trèves; Weldenz, qui appartenait à l'électeur palatin; Deux-Ponts (Zweibrücken), qui appartenait au roi de Suède; Lauterburg, qui appartenait à l'évêque de Spire; Montbéliard, qui appartenait au duc de Wurtemberg, etc...


    Sans tenir compte des protestations de la diète germanique de Ratisbonne, Louis XIV, en septembre 1681, concentra en Alsace près de 30.000 hommes, qui investirent Strasbourg et sommèrent la ville de reconnaître pour maître le roi de France, en vertu d'un arrêt du parlement de Brisach; la municipalité dut s'incliner et, le 8 octobre 1681, Louis XIV fit son entrée dans Strasbourg.


    Ces manifestations de l'impérialisme français indignèrent l'Allemagne et favorisèrent les intrigues de l'infatigable ennemi de Louis XIV, Guillaume d'Orange.


    L'Allemagne, où la France avait compté jusqu'alors tant d'alliés et de clients, se groupa presque tout entière contre Louis XIV dans la Guerre de la Ligue d'Augsbourg (1689/97).


    Au traité de Ryswick (1697), Louis XIV dut restituer toutes les "réunions", sauf celles d'Alsace."

     

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : 

    L'aventure France racontée par les Cartes...

     

    lafautearousseau

  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    VOLKOFF.jpgEntre autres choses, elle parle du grand martégal Gérard Tenque, fondateur de l'Ordre de Malte, à qui Charles Maurras, empêché par la mairie communiste d'honorer son compatriote sur une place ou rue de sa ville, résolut de le faire... dans son propre jardin, celui de sa "vieille maison que nul âge ne ride..."

    Elle évoque aussi notre cher ami Vladimir Volkoff, que nous avons eu la chance d'écouter si souvent aux Baux de Provence, lors de nos Rassemblements royalistes, partageant avec lui non seulement la journée et les discours, mais aussi les chants de nos veillées du samedi soir, dans les grottes, autour des feux, auxquelles il participait avec un plaisir évident...

    lafautearousseau

  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    maurras.jpgElle vous parlera des origines de la famille du duc de Lévis-Mirepoix, dont l'ancêtre, Guy de Lévis, reçut de Simon de Montfort, en récompense de sa bravoure, la ville de Mirepoix et les terres alentour..

    Ce Guy de Lévis est à l'origine de la lignée dont est issue le duc de Lévis-Mirepoix, successeur de Charles Maurras à l'Académie française, et qui prononça donc l'éloge de son prédécesseur lors de son Discours de réception, le jeudi 18 mars 1954, conformément à l'usage.

    Il y prononça cette phrase : "Il connut sans fléchir les pires vicissitudes et la plus cruelle de toutes. Un nom vient naturellement à mes lèvres. Il eut à subir comme Socrate la colère de la cité..." (Discours de réception proposé en intégralité...)

    lafautearousseau

  • Sur la page facebook de Corporatisme et royalisme social

     
     
    Aucune description de photo disponible.
     
     
    Ce papillon a été édité et affiché par les royalistes de l'Action Française dans les rues des villes de France vers 1935 : n'est-il pas d'une brûlante actualité, la mondialisation ayant pris le relais des "internationalistes" de l'époque ?
    En tout cas, oui, les Corporations, rénovées, modernisées et valorisées, peuvent permettre une meilleure garantie du Travail en France et une plus grande solidarité professionnelle.

    1A.jpg

    Il faudrait y rajouter le rétablissement du repos dominical en 1814 sous Louis XVIII, et la création du livret d’épargne en 1818, grâce au même roi.

    Jean-Philippe Chauvin

  • Feuilleton : Chateaubriand, ”l'enchanteur” royaliste... (33)

    1AZZZZ.jpg

    Anne-Louis Girodet, Portrait de Chateaubriand,
    Saint-Malo, musée d’Histoire de la Ville et du Pays Malouin.

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : le Traité de Paris, calamité héritée de la calamité des Cent Jours...

    Après la fin cataclysmique et sans gloire des funestes Cent-Jours, la France payera cher "l'égoïsme féroce" (Chateaubriand) de cette entreprise insensée :

    douze communes perdues, représentant environ 500.000 habitants;
    • une occupation du territoire pendant trois ans,
    • et une "amende" (!) de 700 millions de francs !...

    Il suffit de comparer la carte de l'Europe issue des Traités de Westphalie et celle de l'Europe issue des Traités de 1815 pour tout comprendre...

    Débarrassée de tout danger immédiat sur sa frontière nord-est, après les Traités de Westphalie (voir l'Éphéméride du 24 octobre) la France allait voir s'ouvrir pour elle plus d'un siècle de prépondérance européenne. Et pouvoir continuer sa marche vers l'amélioration de ses frontières du Nord et de l'Est (le "pré carré"), en "réunissant" la Franche-Comté, la Flandre gallicante, une partie du Hainaut (Valenciennes), l'Alsace puis la Lorraine (sans oublier, au sud, le Roussillon)...

    À l'inverse, après les traités de 1815, les choses sont radicalement inversées : notre expansion territoriale vers le Rhin est bloquée, la Prusse est à nos portes, puisque les territoires rhénans de la rive gauche du Rhin lui sont attribués (Bonn et Cologne, Coblence, Mayence, Trèves...) et nous le paierons très cher...

     On mesurera la catastrophe qu'a représentée cette "évolution" en consultant les deux cartes suivantes de notre Album L'aventure France racontée par les cartes :

     "Instructif : comparer la France après Richelieu..."

    et

     • "...et après Napoléon !"

    1A.jpg

    Si le premier Traité de Paris, en 1814, s'était contenté de ramener la France à ses frontières d'avant la révolution, ce second traité va l'amputer de territoires et de populations (environ 500.000 personnes) en lui faisant perdre (carte ci dessus) :

    • les forteresses de Philippeville et Marienbourg (cédées toutes deux à Louis XIV en 1659) ainsi que Bouillon (la ville de Godefroy !...), actuellement en Belgique.
    • les villes de la Sarre, aujourd'hui allemandes (Sarrelouis, fondée par Louis XIV en 1681 et Sarrebrück) et aussi Landau, aujourd'hui dans le Palatinat, mais qui fit longtemps partie de la décapole alsacienne (ville française depuis 1648 !).
    • Versoix, sur la rive nord du Léman, et une partie du pays de Gex, français depuis Henri IV, aujourd'hui en Suisse (les six communes de Versoix, Pregny-Chambésy, Collex-Bossy, Grand-Saconnex, Meyrin et Vernier furent cédées à Genève ).
    • Sans compter les Jurassiens français, qui demandaient leur intégration à la France, les Cent Jours étant un excellent prétexte pour le leur refuser : pour les humilier davantage, on les intégra dans le canton germanophone de Berne...

    Avec, en prime, une occupation de trois ans et une "amende" de 700 millions de francs !...

    1A.png

  • La Dizaine de Magistro

    magistro.jpg         Par-delà le discours dit de droite, dit de gauche ou d'ailleurs, l'essentiel touche aux fondamentaux... un choix de civilisation !


            MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d'information civique et politique, en ligne depuis 2008 :
     http://www.magistro.fr/  
     

     


    * Marie-Laure des BROSSES, Présidente du Mouvement mondial des mères : Quand certaines féministes finissent par nuire aux femmes !
    * Maxime TANDONNET, Haut fonctionnaire : Le chaos absolu
    * Christophe GEFFROY, Directeur fondateur de La Nef : Medias et démocratie
    * Eric ZEMMOUR, Journaliste : Politiques et médias
    * Charles GAVE,Economiste, financier : A propos de l'Ukraine
    * Alain CORVEZ, Conseiller en stratégie internationale : La crise ukrainienne révèle l'impuissance de l'UE
    * Gérard-François DUMONT, Géographe, démographe : Les Roms
    * Eric ZEMMOUR, Journaliste : Guerre des mots
    * François BROCHE: Journaliste, écrivain : Barrès et Jaurès