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  • QAND LUCHINI SE MOQUE DE LA GAUCHE : TROP DRÔLE !

    Le blog du CRAF (Centre Royaliste d'Action Française) a déjà publié cette vidéo et il a bien fait car non seulement Luchini est très drôle mais, en plus, il décrit le socialisme, les socialistes, la "tragédie de ce pays" de façon très pénétrante, très véridique, comme le sont les grands moralistes français dont il lit les textes avec le talent et le succès que l'on sait.

    Luchini n'hésite pas à braver la bien-pensance, à lire, dans des théâtres parisiens archicombles, les auteurs qu'il aime, que cela plaise, ou non. Et ce qu'il dit, ici, des socialistes, il le fait avaler à ses interlocuteurs sidérés, malgré qu'ils en aient, tel Patrick Cohen qui rit jaune, mais qui n'en peut mais, parce que la verve et l'intelligence de Luchini emportent tout. Comme sera emportée, un jour, souhaitons-le, par le bon sens d'une réaction venue de la France profonde, le conformisme et, en définitive, la sottise des bobos.

    Le son est un peu faible mais c'est drôle et c'est vrai. Goûtons-en le plaisir ! 

    Pour la vidéo en plein écran, cliquez sur l'icone de droite

     

  • L' "affaire" Céline : l'objection faite à Frédéric Mitterand...

            A proprement parler, il n’y a rien à reprocher ni à objecter à Serge Klarsfeld, qui défend simplement la mémoire et le sentiment des Juifs de sa génération, victimes de l’antisémitisme des années de guerre et d’avant-guerre. Klarsfeld fait, après tout, son travail, avec une conscience de son appartenance à la communauté juive, une fidélité, qui n’est pas blâmable. On aimerait même que les Français en général prennent son exemple et en fassent autant. Qu’il ait fait pression sur les pouvoirs publics, notamment sur Frédéric Mitterrand, pour que Louis-Ferdinand Céline soit retiré de la liste des personnalités qui seraient nationalement célébrées en 2011, est dans l’ordre des choses.

            L’on n’était, en revanche, nullement obligé de lui donner satisfaction, l’on avait même de bonnes raisons de ne pas le faire, alors que c’est, comme chacun sait, ce que Frédéric Mitterrand a pourtant fait sous la forme d’une décision ainsi rédigée :

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