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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 1545

  • L'état de grâce médiatique du Pape François pourrait bien s'achever aujourd'hui : il a fixé des limites à la liberté d'expression...

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    « La liberté d'expression n'autorise pas à insulter la foi d'autrui. 

    Chacun a non seulement la liberté, le droit, mais aussi l'obligation de dire ce qu'il pense pour aider au bien commun. Il est légitime d'user de cette liberté, mais sans offenser. 

    Si un grand ami parle mal de ma mère, il peut s'attendre à un coup de poing, et c'est normal. On ne peut provoquer, on ne peut insulter la foi des autres, on ne peut la tourner en dérision! [...] Il y a tant de gens qui parlent mal des autres religions, les tournent en dérision, font un jouet de la religion des autres : ce sont des gens qui provoquent, »

     

     Pape François

    Dans l'avion qui l'emmenait de Colombo à Manille. (Jeudi 15 janvier 2015)

  • Mardi 20 janvier 2015 à 15h00 : Café Histoire de Toulon...

    LE RÔLE DE LA MARINE FRANÇAISE 
    PENDANT LA GUERRE DE 14-18
     

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    par François Schwerer, 
    
    membre de la Société française d'histoire maritime,
    au musé de la Marine,
    place Monsenergue - 83000 Toulon.
    Entrée gratuite
  • Comment, dans quel esprit, les socialistes ont organisé leur jour exceptionnel ... Les clercs de France Inter nous le disent. Ecoutons-les dire leur messe !

    Dès le lendemain du jour exceptionnel dont il est ici question (la grande marche "républicaine"), la radio la plus écoutée de France donne la clé de la façon dont été dirigées, formatées jusqu'à la nausée, les journées que nous venons de vivre. Les écueils qu'il fallait éviter ? C'était une réaction populaire qui prît la forme d'une affirmation identitaire, voire nationaliste. Plutôt que "Je Suis Français", il a suffi de forger le slogan, l'image, "Je Suis Charlie", répétée des milliers de fois et d'en faire le symbole de notre identité... C'est ce qui fut fait et réusi. Le bon peuple n'y a vu que du feu, s'y est associé de grand coeur et a accepté sans comprendre que son identité fût réduite à celle de Charlie. Ce ne sera pas forcément renouvelable...   Lafautearousseau       

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    « Les écueils des lendemains de grand choc ont été évités. Quelques drapeaux français, quelques Marseillaises bienvenues, mais pas de nationalisme outrancier; aucune affirmation d'ordre identitaire, si ce n'est de l'identité républicaine. Il est significatif que cette manifestation de ce qui est essentiel pour la France se fasse sur l'image devenue symbole de Charlie. »  Thomas Legrand - France Inter


    "Un jour exceptionnel"

     

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    « La France continue d'occupper une place à part dans le coeur du monde, mais à quoi le doit-elle ? : nous le devons d'abord, plus de deux siècles plus tard, à la Révolution française qui a si durablement identifié notre pays aux idéaux de la République. » Bernard Guetta - France Inter.


    "Douce et forte France" 

  • La vie des Princes, le Duc et la Duchesse de Vendôme, et leurs enfants.

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    Francesca nous adresse ces lignes qui nous apportent des nouvelles du Duc et de la Duchesse de Vendôme, à la veille de l'opération que doit subir la princesse Louise-Marguerite, leur toute petite-fille. Nous voudrions simplement leur redire notre affectueux attachement et que nous serons proches d'eux en pensées dans les jours qui viennent.  Lafautearousseau 

     

    Nos Princes, le Duc et la Duchesse de Vendôme, ont actuellement les préoccupations que connaissent les parents à la veille d'une importante intervention chirurgicale de leur enfant. 

    En effet, la petite princesse Louise-Marguerite, âgée de 5 mois et demi, sera opérée dans les jours qui viennent.  

    Ceci était prévu et rien ne se fait dans l'urgence. Tout se passera bien. 

    Nos Princes savent qu'ils peuvent compter sur les pensées et les prières des royalistes, et eux-mêmes demandent particulièrement la protection de Saint Louis, de Sainte Marguerite et de la Bienheureuse Louise, fille de Louis XV. 

    En raison de ces soucis, les Princes espèrent que ceux qui ont eu la gentillesse de leur envoyer leurs voeux comprendront que les réponses individuelles ne sont pas possibles cette année ; c'est pour cette raison que notre Dauphin a offert ses voeux sur le site de Gens de France. 

    Je ne manquerai pas de vous donner des nouvelles de notre jolie petite Princesse. 

    Gardons confiance.  

    Francesca

     

  • Auteurs : Henry Bonnier, « éminence grise » du royalisme international, par Péroncel-Hugoz

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    Péroncel-Hugoz consacre ce coup de chapeau - rédigé au Maroc où il réside - à Henry Bonnier, « éminence grise » de la pensée monarchique universelle, prix de l'Académie française pour l'ensemble de son œuvre, qui consacre son trentième livre au Maroc d'hier... Et surtout d'aujourd'hui. Lafautearousseau

     

    Je ne connais Henry Bonnier que par ses livres, nombreux et variés, il est vrai, ou par ceux, idem, qu'il a suscités éditorialement de la part de personnages politico-historiques aussi différents que Mohamed-Réza Chah, Gorbatchev, le comte de Paris, le président turc Ozal et, bien-sûr, le roi Hassan II, avec "Le Défi", ce maître-livre pour tous ceux qui veulent appréhender le Maroc du XXe siècle. Je suis au courant, bien sûr, aussi, du rôle d'« éminence grise » que M. Bonnier JOUE, avec toute la discrétion efficace convenant à ce sobriquet, dans le mouvement, évidemment informel, monarchiste international; dans l'illustration intellectuelle de cette famille politico-spirituelle.


    Certes, le futur Hassan II, en vacances dans le Midi français pendant que son père, le sultan Mohamed ben Youssef, prenait les eaux à Vichy, eut l'occasion de connaître le jeune Henry à Apt (Vaucluse) mais c'est son dévouement désintéressé d'adulte envers l'idée royale qui lui valut, et jusqu'à nos jours, la confiance du Palais chérifien. Bonnier pourrait sans doute reprendre à son compte la fameuse phrase de Lyautey que, du reste, il cite : « J'ai réussi au Maroc parce que je suis monarchiste et que je m'y suis trouvé en pays monarchique. Il y avait le sultan, dont je n'ai jamais cessé de respecter et de soutenir l'autorité. J'étais religieux et le Maroc est un pays religieux.» Sur cette lancée, l'auteur explique très bien pourquoi aucune dynastie, aucun gouvernement ne peut durer, nulle part, sans une part de "sacré", de "mystère", de "silence". Le général de Gaulle pensait exactement la même chose. Sans leur faire l'honneur de les citer nommément, Bonnier vise indirectement cette douzaine de plumes marocaines ou françaises qui, depuis 2000, ont périodiquement lancé des torpilles contre le règne actuel, pratiquant chacune à leur tour un savant et pervers amalgame entre le vrai et le faux, méthode bien connue des systèmes marxistes afin de troubler les esprits mal informés, de désacraliser ce qui doit le rester, de dénigrer le travail accompli.

    Certes, il reste encore beaucoup de bidonvilles en Chérifie, certes la question saharienne n'est pas réglée - mais à côté que de progrès pour une bien meilleure écoute des souhaits populaires, quelle détente du climat politique national, que d'avancées spectaculaires en matière par exemple de communications terrestres ou maritimes, damant le pion sur ces points à la richissime voisine algérienne !... Ses cent séjours au Maroc, sa culture encyclopédique, l'importance qu'il a toujours attachée aux grandes religions révélées, son intimité politico intellectuelle avec des figures marocaines comme Mahjoubi Aherdane ou feu notre confrère Moulay Ahmed Alaoui, ont permis à Henry Bonnier d'accéder à une vision de haut vol, et en même temps détaillée, d'un demi-siècle, à la fois tumultueux et fructueux, d'Histoire du Maroc. Cela donne "Une passion marocaine", essai d'une longueur modérée (257 pages) sans verbiage et sans délayage.

    Chaque mot compte, que ce soit sur Hassan El Dakhil ("L'Entrant"), le premier Alaouite établi au Maroc, sur le ministre déchu Driss Basri (là Bonnier manque un peu de charité), sur l'opposant réhabilité Abraham Serfaty (là Bonnier louange abusivement, selon moi, ce stalinien impénitent...), sur le combat inlassable, loin d'être toujours reconnu, des monarques chérifiens depuis Moulay Youssef jusqu'au Sire actuel, un combat titanesque pour au Maroc marier Authenticité et Efficacité, Modernité et Fidélité. Presque la quadrature du cercle et pourtant aucun de ces princes régnants n'a jeté la cognée, ne s'est laissé décourager par la violence ou la mauvaise foi des attaques, des critiques, même celles venant d'un membre de la lignée alaouite... Bonnier est de ces privilégiés de l'esprit qui ont saisi de longue date que le contraire de "conservateur" n'est pas "progressiste" mais "destructeur" et que c'est "rétrograde" qui s'oppose à "progressiste". Les royautés exemplaires, pérennes, solides de Tokyo à Londres via Rabat, Copenhague ou La Haye ont toujours été des systèmes "conservateurs-progressistes " nimbés de foi sacralisatrice. 

    Oui parfois c'est vrai, Henri Bonnier, ce serviteur universel de la grande idée monarchique, donne parfois l'impression de verser dans la courtisanerie voire le sentimentalisme, mais il se reprend vite... Ce n'était sans doute qu'une ruse pour faire mieux apprécier du lecteur sa philosophie de l'Histoire, sa description des Grandes Nations comme le Japon, l'Angleterre, le Maroc, le Siam, l'Arabie ou l'Espagne qui ont su préserver en elles leur flamme royaliste; c'est ce qui fait leur saveur sans pareille, qu'aucune république ne peut offrir.    

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    En avant-première pour les lecteurs de cette chronique, quelques citations du livre de Bonnier qui ne sortira en librairie que fin janvier. 

    FLORILEGE

    "Pas de civilisation possible sans religion !"

    "Il n'est d'Histoire que de l'âme. Le progrès n'est qu'une technique".

    "Parmi les Etats les plus anciens du monde : Chine, France, Maroc, ce dernier est le seul à ne pas s'être trahi".

    "Grandeur et noblesse faites d'humilité et de servitudes. Ainsi va le rite musulman malékite qui façonne depuis plus de mille ans le cœur et l'âme des Marocains".

    "L'actuel roi du Maroc ne gouverne ni ne préside mais "impulse " les décisions (...). Le jeu est subtil, faisant appel tant au spirituel qu'au temporel".

    "Mohamed VI fait preuve d'une véritable gourmandise envers la lecture. Il dévore plusieurs ouvrages à la fois (...). Essais de stratégie, documents d'actualité, biographies, romans, poésie". 

    - HENRY BONNIER, "Une Passion marocaine", Le Rocher, Monaco et Paris, 2015.

    Le 30ème livre d'un penseur royaliste européen mais connaissant bien la relation fusionnelle entre le Peuple marocain et la Maison alaouite .


    - SOULEIMAN BENCHEIKH, "Le dilemme du Roi", Casa-Express, Rabat et Paris, 2014.

    Essai prometteur d'un jeune journaliste marocain réfléchissant sur la fragile balance entre Tradition et Modernité que doit maintenir quotidiennement la Royauté chérifienne pour la tranquillité du pays. 

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    Le360 - Péroncel-Hugoz 

  • Demain, à ne pas manquer !

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  • Qui sème le vent… par Pierre CHALVIDAN *

    Pierre CHALVIDAN.jpgCe n’est pas aux provocations de Charlie Hebdo que l’on pense en évoquant cette formule même si elle pourrait leur être appliquée. Mais il est clair que ces provocations, quelles qu’elles aient pu être, ne peuvent en rien justifier l’acte barbare qui vient d’être commis. 

    Non, ce à quoi on pense – car après le recueillement, il faut bien penser – c’est aux racines mêmes de cette barbarie. Car enfin, il faudra peut-être un jour se décider à aller au fond des choses et cesser de brandir ce voile de l’islamisme qui nous permet si facilement de ne pas voir que nous, Européens, sommes peut-être les premiers responsables de cette barbarie. Avec au premier rang de ces premiers responsables… les premiers Indignés d’aujourd’hui. 

    Dans l’alchimie intellectuelle de terrorisme musulman, mettons qu’il y ait un tiers d’Islam, mais c’est un petit tiers. S’y ajoute un bon tiers d’excitation médiatique, la drogue mortelle de la Modernité. Et enfin – et c’est celui-ci que l’on tend à occulter – un gros tiers de formatage idéologique : l’idéologie de la violence, de la révolution, de la lutte des classes sans cesse réinventée. 

    On ne remontera pas, ici, aux Pères fondateurs de cette idéologie, mais pensons à toutes ces petites mains (sanglantes) dont on a, pendant des lustres, fait briller l’étoile aux yeux des « Damnés de la terre », selon le titre du célèbre ouvrage de Frantz Fanon. 

    Le « Che », par exemple, pour n’en citer qu’un de mémoire encore fraîche : «  la haine intransigeante de l’ennemi qui pousse au-delà des limites naturelles de l’être humain, qui en fait une efficace machine de guerre à tuer, violente, sélective et froide… Nos soldats doivent être ainsi… etc. ». (Œuvre révolutionnaire – Maspero ­ 68 II, p. 285). 

    Ou bien ce Frantz Fanon que je citais dont le livre fut, pendant des décennies, la bible des « colonisés » : « Seule la violence paye, c’est la mitraillette qui libère et non le rêve religieux des anciens cultes qui fournissent tout au plus un exutoire… etc. ». Un livre dont la première édition fut honorée de la préface du Maître-penseur du moment, un certain Sartre, dans sa période maoïste, où il expliquait qu’en tuant un colon, le colonisé faisait  d’une pierre deux coups : « Abattre un Européen, c’est supprimer un oppresseur et un opprimé. Restent un homme mort et un homme libre ». Le même expliquant par ailleurs (« Actuel », février 1973) qu’il était « partisan de la peine de mort politique » : « un régime révolutionnaire doit se débarrasser d’un certain nombre d’individus qui le menacent et je ne vois pas, là, d’autre moyen que la mort. On peut toujours sortir d’une prison. Les révolutionnaires de 1793 n’ont probablement pas assez tué (sic !) et ont ainsi inconsciemment servi un retour à l’ordre, puis la Restauration… etc ». 

    Telles sont, concluait le regretté Jean Brun qui le cite, les exigences des « chemins de la liberté » ! [1] 

    La liberté, voilà bien justement une seconde question de fond à reprendre, car lorsqu’on lit la plupart des commentaires publiés ces jours-ci autour de la liberté d’expression, on est effaré par cet absolutisme de la liberté qui nous a saisis. 

    Ainsi, pour exemple à nouveau, celui-ci cueilli sous la plume d’une chroniqueuse habituellement mieux inspirée : « nous avons tous compris dans notre chair et dans notre âme ce que nous pressentions jusque là : la liberté sans la provocation ce n’est pas ce que nous appelons la liberté » [2]. 

    Si c’est cela que nous avons retiré des évènements, c’est pauvre et cher payé ! 

    Une valeur – la liberté incluse – n’a pas de valeur par elle-même. Elle tire sa valeur de la tension qu’elle entretient avec des valeurs de valeur égale. Qu’est-ce que la liberté sans la responsabilité et les vertus qui vont avec : modération, prudence, respect… ? Réponse : une forme de terrorisme. 

    Combien nous faudra-t-il de morts pour le comprendre ?  

    _______________________________________

    [1] In « Vérité et Christianisme » - Librairie Bleue 1995, p. 65.

    [2] G. JURGENSEN – La Croix 10-11 janvier 2015 

     

    * Pierre CHALVIDAN est Docteur en Droit, diplômé de Sciences Politiques, licencié en Théologie.

     

  • Toute ressemblance avec... ne serait que fortuite ! Par François Schwerer

    466px-Death_of_Marat_by_David.jpgQuand Marat fut assassiné, fallait-il que le peuple entier défile, clergé en tête, avec une pancarte au bout d’une pique proclamant « Je suis l’Ami du peuple » ?

    Que les prêtres, assermentés ou non, aient prié pour le repos de son âme et que le peuple se soit associé à leurs prières très bien. L’ont-ils fait ? Que l’on prie encore aujourd’hui pour lui – et pour Charlotte Corday – est même un acte de charité. Si l’on croit à la communion des saints, cela est même un devoir.

    Mais cela doit-il nous conduire à considérer que Marat incarnait, à lui tout seul, la Liberté ? Qu’en tuant Marat, Charlotte Corday a assassiné la liberté de penser ?

    Certes, Charlotte Corday est aussitôt monté sur l’échafaud, mais les amis de Marat y sont montés aussi… plus tard ! Et ce ne sont pas les amis de Charlotte Corday qui les y ont fait monter. 

    Il est vrai que l’on n’apprend plus l’histoire. Mais, ceux qui n’ont pas la mémoire trop courte ou trop sélective devraient méditer la leçon. 

  • Le sujet qui fâche, par Louis-Joseph Delanglade

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    Lattentat contre la rédaction de Charlie Hebdo est venu rappeler à tous ceux qui ne voulaient pas y croire que nul nest à labri, dès lors quexiste, de facto, une sorte d’état de guerre, non assumé jusque là, entre les islamo-terroristes et tous les autres. Les ridicules jérémiades et pleurnicheries qui ont suivi ny changeront rien : au « pays des droits de lhomme », des citoyens sont décidés à faire prévaloir, les armes à la main, leur « logique religieuse ». Leur opposer une autre démarche, quasi religieuse elle aussi puisque fondée sur des tabous (les « valeurs de la République »), nest sans doute pas le meilleur moyen de se protéger. Dautant que lhypocrisie est patente, la plupart de ceux qui ont véhiculé lopération « Je suis Charlie » étant les mêmes qui, il y a quelques semaines, essayaient de faire taire M. Zemmour. Quon le veuille ou pas, se pose en France le problème de lislam, dont les valeurs de civilisation sont manifestement ressenties comme peu compatibles avec les us et coutumes des sociétés européennes.   

    On ne peut, certes, tenir pour assuré le scénario-catastrophe de M. Zemmour. Mais, si on veut éloigner le spectre dune « guerre civile  » entre Français dorigine afro-islamique et Français dits de souche, encore conviendrait-il de manifester dès maintenant la volonté politique de défendre un pays, une terre, une histoire. A défaut, on risque aussi de voir se réaliser le scénario de M. Houellebecq dont la crédibilité repose sur les trop évidentes veulerie et trahison des « élites », dabord politiques. Paradoxe : dans ce cas de figure, lislam apparaîtrait comme une sorte de planche de salut pour un pays complètement vidé de sa substance par  deux siècles de religion démocratique. 

     

    Retour sur terre. Une peur raisonnée et maîtrisée de lislamisation ne signifie pas islamophobie. De très nombreux musulmans, sorte de majorité silencieuse, prouvent tous les jours quils sont daussi bons « Français » que les autres.  Mais limmigration de masse de ces dernières décennies a eu aussi pour résultat incontestable de créer, au sein même du pays, une communauté ressentie, et dabord par elle-même, comme étrangère. Le terrorisme procède de lislamisme, ce dernier prospère dans les mosquées et les prisons mais aussi dans les cités de non-droit : cest bien là que résident la faute et la responsabilité du pouvoir politique dont le devoir est dabord de tarir la source dune immigration ouvertement islamique donc islamisante, et de déclarer la guerre aux islamo-terroristes « français ». 

     

    Quand des armes de guerre, maniées par de véritables combattants, circulent en quantité sur le territoire national, le temps nest plus à la compassion. Dans cette lutte « asymétrique » contre un ennemi dun nouveau type, on ne peut combattre efficacement quen « sanctuarisant » les forces de lordre. Ce qui signifie dabord que leurs équipements et effectifs doivent devenir une priorité budgétaire mais ce qui signifie surtout que leur mission d’éradication doit être réaffirmée au plus haut niveau de lEtat, sans état d’âme « humaniste », pour la seule défense de la France. 

     

  • La dizaine de MAGISTRO, une tribune d'information civique et politique

    magistro_fr.jpgAprès des années d'errance et par-delà les appareils et les discours dits de droite, dits de gauche ou d'ailleurs, ...  revenons aux fondamentaux !

    Pour cela, MAGISTRO vous invite à lire :

     

    Marc DUGOIS  Avocat   Voeux 2015

    Sophie de MENTHON   Chef d’entreprise, Présidente d'ETHIC, Membre du CESE   Toubib
    Denis TILLINAC  
    Ecrivain   L'opposition, c'est lui
    Ivan RIOUFOL  
    Journaliste politique   Plus de berceuses !
    Jean-Luc BASLE  
    Economiste   Liberté d'expression : pourquoi contester à Zemmour ce qu'on accorde à Charlie hebdo ?
    François JOURDIER  
    Officier, contre amiral  Charlie Hebdo : Enfumage
    Bertrand GALIMARD FLAVIGNY 
    Journaliste, écrivain  La Légion d’honneur au service de la nation  
    Jacques BICHOT 
    Economiste, Professeur émérite à l'Université Lyon 3   Pour s’y retrouver dans le maquis normatif
    Hubert de GEVIGNEY  
    Officier, contre amiral   Je ne suis pas Charlie
    Mezri HADDAD  
    Philosophe, ancien ambassadeur   Ces scènes de guerre étaient prévisibles !
    Philippe BILGER 
    Magistrat honoraire, président de l'Institut de la parole  Un mauvais citoyen ?
    Eric ZEMMOUR  
    Journaliste politique, écrivain   La Grèce, l'Allemagne et l'euro
     
      

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  • Loisirs • Culture • Traditions ...

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  • Livres • La sélection de janvier de la Librairie de Flore

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    L'Action française, parfois désignée sous l'acronyme AF, représente à la fois une école de pensée et un mouvement politique nationaliste qui s'est développé dans la première moitié du XXe siècle en France.
    Fondée en 1898 par Henri Vaugeois et Maurice Pujo sur une position antidreyfusarde, l'Action française devient monarchiste sous l'influence de Charles Maurras et de sa doctrine du nationalisme intégral, dite égaIement "maurassisme", L'AF évolue vers une idéologie nationaliste, contrerévolutionnaire, antirépublicaine et anti-individualiste, sur fond de positivisme et de transformisme.
    Dès lors, le mouvement revendique une monarchie traditionnelle, héréditaire, antiparlementaire et décentralisée.(...)

    Histoire de l'Action française des origines à 1945
    Lazare de Gérin-Ricard, Louis Truc.
    Éditions Deterna, 299 pages, 2014.

    26,00 euros  

     

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    Clotilde est chrétienne, jeune, belle et de noble lignée burgonde. Elle vit à la cour de son oncle Gondebaud, celui-là même qui avait massacré ses parents. (...)

     

    Clotilde
    Alain d'Orange, Monique Amiel.
    Éditions
    du Triomphe, 32 pages.

    14,70 euros 

     

     

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    Lot de 15 fascicules de formation :  Libéralisme et libertés, Maurras et la pensée d'Action Française, Henri Lagrange et le Cercle Proudhon, Argumentaire sur le libéralisme... 

     

    Lot de 15 fascicules de formation
    Action Française.

    50,00 euros

     

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