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Idées, débats... - Page 486

  • Eh, oui, tout arrive : pas d'accord du tout avec un article paru sur Boulevard Voltaire...

    Boulevard_Voltaire1.jpgC'est évidemment une excellente chose que Robert Ménard ait ouvert Boulevard Voltaire, le Cercle des empêcheurs de penser en rond. Comme, par exemple, sur Causeur, d'Elisabeth Lévy (Surtout si vous n'êtes pas d'accord...), il s'y publie quotidiennement des articles qui sont autant de contrefeux aux mensonges imposés par une petite coterie qui impose ses vues, pour reprendre l'expression de Chantal Delsol. Ce sont autant de bouffées d'oxygène indispensables, pour qui veut combattre le politiquement correct, et tous les "ment" qui vont avec : historiquement, moralement, culturellement, on en passse, et des meilleurs !

    Et pourtant - heureusement - être souvent d'accord ne veut pas dire être toujours d'accord, et Robert Ménard sera sûrement... d'accord avec nous là-dessus : il y a peu, est paru, donc, sur Boulevard Voltaire un article de Jean-Claude Lauret à propos de François Reynaert…

    D'après Jean-Claude Lauret, dans son papier intitulé "Pour en finir avec les fadaises de notre Histoire", François Reynaert est un "un gentil garçon,  un passionné d’histoire. Il s’est donc plongé dans les œuvres des grands auteurs du passé…. etc… etc…"

    Avant de donner notre réaction, on lira ci-après ce que nous estimons être les surprenantes amabilités de Jean-Claude Lauret, parlant - beaucoup trop gentiment à notre goût - de Reynaert, dénonciateur -soi-disant... - des "fadaises"  de notre Histoire : 

    http://www.bvoltaire.fr/jeanclaudelauret/livre-pour-en-finir-avec-les-fadaises-de-notre-histoire,21251?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=e816cbfb1d-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-e816cbfb1d-25455017

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  • Stéphane Bern et son "Secrets d'Histoire" sur Richelieu : remarquable, de bout en bout...

    bern richelieu.jpgOn ne peut que féliciter Stéphane Bern pour cette émission dont l'intérêt et l'intensité n'ont pas fléchi une seule seconde, de la première à la dernière. 

    "Nous lui devons tant..." : c'est par ces mots que conclut Stéphane Bern, grâce à qui des centaines de milliers de nos compatriotes auront découvert un pan majeur de leur véritable histoire; auront appris à l'aimer, et, à travers elle, à aimer la France, l'Art, la Culture... bref tout ce qui tire vers le haut.

    Ce n'est pas la première fois que Stéphane Bern tient magistralement les promesses de ses annonces : il nous a donné rendez-vous pour d'autres Secrets d'Histoire, cette émission qui honore le service public et qui est diffusée à une heure de grande écoute, et qui donne son vrai sens aU terme de vulgarisation : mettre le savoir et la culture à la portée du plus grand nombrte, en les rendant aimables...

    Autant d'excellentes soirées en perspective...

  • Quand François Périer obligeait (presque) Michel Déon à adhérer à l'Action française ...

    Périer Maurras Déon Fig Mag 1.jpgDans Le Figaro Magazine d'il y a deux semaines, Jean-Christophe Buisson se contente de laisse parler Michel Déon, après presque quatre-vingt ans : de sa jeunesse lycéenne, de son arrivée à l'Action française, poussé d'y entrer par François Périer au lendemain du 6 février 34, puis encore de ses longues nuits de travail avec Maurras, à l'imprimerie du journal, à Paris et à Lyon et de cette sorte d'intimité filiale qui naquit alors entre le vieil homme et lui; puis, enfin de ses rencontres d'après-guerre, avec Nimier, Morand, Laurent, Blondin, Chardonne, Cocteau, Coco Chanel ...et quelques autres.

    Les "maurrassiens" - victimaires plus souvent qu'à leur tour - s'obstinent à ne voir dans la destinée posthume de leur "maître" que l'élément de la "malédiction" : "M", le maudit, aiment-ils à se lamenter. Pour peu, ils contribueraient à le maintenir dans cet état de déréliction, qui cadre, au fond, avec leurs schémas et leurs formules, sans voir l'autre facette de cette même destinée de Maurras : cette espèce de tendresse, de respect pour cet homme intrépide et d'affection nostalgique dont beaucoup  témoignent, à son égard, y compris dans la grande presse.

    Au fait, nous ignorions que Maurras s'était amusé à rimer à propos du jeune Déon, déjà fumeur de pipe. Voici, pour ceux qui n'auront pas le courage d'aller plus avant, le quatrain que l'on pourra y lire :  

    Mais, bien finis nos temps torpides,

    Soyez bourrée, ô Sucre, ô Miel 

    Des chaudes herbes nicotides

    PRINCESSE, pipe de Michel 

    Qu'on lise donc, si on le souhaite, ces deux pleines pages du Figaro Magazine, où l'on retrouve tout ce charme si particulier des récits de Déon.  

    (Pour lire l'article du Figaro Magazine, cliquez sur l'image)

    Déon Irlande Fig Mag.jpg

  • La création de Versailles résumée en vidéo


    http://www.versailles3d.com/fr/en-video/de-louis-xiii-a-la-revolution.html

  • Notre Album Léon Daudet : A peine terminé/livré, déjà quatre ajouts...

    DAUDET ASSEMBLEE.jpgNotre Album Maîtres et témoins (III) : Léon Daudet compte, pour l'instant, 287 photos.

    Nous avons voulu, bien évidemment, qu'il porte sur l'homme, afin que chacun puisse connaître en vérité l'un de nos "maîtres"; mais cet Album est aussi, par force, une contribution à une histoire de l'Action française, le mouvement auquel il a consacré sa vie - à partir du milieu de celle-ci - étant devenu, dès lors, inséparable de sa propre existence...

    Il se trouve que, sitôt achevé sa publication - en feuilleton - nous avons reçu, successivement, la matière de quatre ajouts d'importance, dont nous avons, évidemment, enrichi l'Album : les deux premiers nous ont été fournis par Louis-Joseph Delanglade et Champsaur qui, l'un et l'autre, collaborent à Lafautearousseau; les deux suivants par le toujours excellent site Maurras.net...

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  • Bonne nouvelle : "Des Royalistes dans la Résistance", de François-Marin Fleutot bientôt réédité...

    On peut probablement trouver cette info dans plusieurs endroits : en ce qui nous concerne, nous l'avons trouvée dans la dernière livraison de la Nouvelle Revue Universelle (n° 32), sous la plume de Louis Gonnet, dans l'excellent article qu'il a consacré à "Quelques évènements oubliés de la libération de Paris". Il est même précisé - c'est important - que cette réédition sera "largement complétée".... 

    RESISTANCE ROYALISTES 1.jpg

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  • Sur le Site de Vendée chouannerie : « La Prise de la Bastille et ses conséquences… », de Gustave Bord

     VENDEE CHOUANNERIE.JPG

     Cliquez sur l'image...

     

     

  • Le numéro 32 de La Nouvelle Revue universelle vient de paraître, et il confirme le nouveau départ de la revue, et les promesses des deux précédents...

    christian franchet.jpg"Le diable porte pierre : nous pressentons devoir quelque jour tresser des couronnes au couple improbable que forment François Hollande et Christiane Taubira..." : la semaine dernière, Christian Franchet, en ouverture du n° 32 de La Nouvelle Revue universelle, revenait sur cette Insurrection de l'esprit que furent les Manif pour tous. 

    Il nous présente maintenant, rapidement, les principales collaborations de ce nouveau numéro, qui confirme le dynamisme renouvelé de la Revue, poiur laquelle on peut à juste titre parler d'un nouveau départ.

    Les royalistes de la chance d'avoir un tel "outil" à leur disposition, et une équipe decidée à lui donner la place qui doit être la sienne : que les encouragements et - surtout - les appuis et le soutiens concrets ne lui manquent pas ! 

    NRU 32.jpg

     

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  • Mexique : l'épopée des Cristeros, "Cristiada", "For greater glory", invisible en France..., pour l'instant !

    Cristiada_caballos.jpg 

    Le film est sorti en 2012, mais on attend le distributeur qui le diffusera en France. On pense à Katyn, qui a été boycotté/étranglé : par qui ? mais, voyons ! poser la question, c'est y répondre...

    Demandez donc à Vincent Peillon, digne héritier de Viviani...

    Pour en savoir plus sur cette magnifique et tragique épopée des Cristeros, qui ont gagné militairement une insurrection que leurs propres évêques et le "pays légal" du Mexique ont confisquée et "annulée" :

    http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/cristiada-ferait-il-peur-au-136362

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Censure-Cristiada-le-film-a-succes-americain-que-vous-ne-verrez-pas-18219.html

  • En ouverture du n° 32 de La Nouvelle Revue Universelle : Insurrection de l'esprit, par Christian Franchet d'Espèrey

    christian franchet.jpgLe diable porte pierre : nous pressentons devoir quelque jour tresser des couronnes au couple improbable que forment François Hollande et Christiane Taubira.  

    La droite serait-elle restée au pouvoir qu’elle aurait fait adopter un statut d’union homosexuelle d’apparence bénigne, lisse comme un miroir, conçu de manière à ne provoquer que quelques vaguelettes. Celui-ci n’en eût pas moins entraîné dans son sillage, au profit de ces nouveaux « contractants », la possibilité de s’offrir un enfant par insémination médicale et, le cas échéant, par location d’utérus à prix tarifé – le fameux duo PMA-GPA – qu’aurait inéluctablement imposée la jurisprudence européenne. Le tout serait passé comme une lettre à la poste, dûment tamponnée par le Conseil constitutionnel.  

    NRU 32.jpg

     

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  • Bainville, l’homme qui avait tout vu, par Jacques de Guillebon

    jacques de guillebon.jpgIl savait qu’une Allemagne puissante reviendrait à ses pulsions hégémoniques. 

    "Trop tard est un grand mot, un mot terrible de l’histoire." Lancé au lendemain du traité de Versailles, l’apophtegme de Jacques Bainville (1879-1936) est peut-être le meilleur résumé de la relation tourmentée entre la France et l’Allemagne.

    En 1920, dans ses célèbres Conséquences politiques de la paix, ce brillant sujet analyse le danger représenté par l’Allemagne nouvelle, anticipant le conflit des Sudètes et l’Anschluss.

    Et dès le début des années 1930, il pressent la folie hitlérienne ou la planche savonneuse de l’alliance avec les Soviétiques.

    Bainville, pourtant, n’est pas suspect de germanophobie : il est plutôt obsédé par l’Allemagne, d’abord parce que, comme tous les Français, il a baigné dans la crainte du "péril boche", ensuite parce qu’ayant vécu des années à Berlin, il est un immense connaisseur de la culture germanique.
    Contrairement à certains de ses petits camarades, il est totalement hermétique à l’antisémitisme et au racisme : "La France, écrit-il, est mieux qu’une race : c’est une nation.". Et cette nation, un peuple voisin n’a de cesse de l’envahir et, dans la foulée, de dominer l’Europe entière.


    La question allemande est donc centrale pour la diplomatie française. Que l’Allemagne soit divisée en de multiples États, principats ou monarchies, et l’équilibre est assuré ; qu’elle se rassemble en une nation impériale unique, le désordre surgit. La politique de la France, qui servira, dit Bainville, l’intérêt de toute l’Europe, doit faciliter cette dispersion : "La vraie politique de la France consistait à favoriser les mouvements de sécession qui se produisaient naturellement à l’intérieur…, à intervenir par tous les moyens, y compris ceux de la force, lorsqu’un des États de l’Allemagne faisait mine de vouloir soumettre et rassembler les autres."

    Aussi lucide ait-il été, Bainville peut-il éclairer notre monde, si différent du sien ?

    L’Allemagne est aujourd’hui pacifique, Dieu merci. On n’en assiste pas moins, depuis la chute du Mur, à la réactivation du tropisme, inconscient et récurrent, qui la pousse à dominer l’Europe d’une façon ou d’une autre.


    L’économie est-elle la poursuite de la guerre par d’autres moyens ? Le 21 août 1914, l’historien notait dans son Journal : "Quelle imprudence chez ces socialistes français qui croient encore que la République allemande assurerait la paix de l’Europe !"

    On paie aujourd’hui au sens propre le prix de la pusillanimité de François Mitterrand lors de la réunification. Résultat : dans l’Europe de 2013, comme dans celle de 1920, "il reste l’Allemagne, seule concentrée, seule homogène, suffisamment organisée encore".

     Organisée, sans doute, puissante assurément. Mais malheureuse. La première victime de l’hybris allemand, c’est l’Allemagne, observe Bainville. Et si elle souffre, c’est parce qu’elle a oublié la loi de Bismarck : "L’Allemagne devait éviter de casser quoi que ce fût dans une Europe formée à sa convenance, d’attenter à un état de choses dont elle était l’unique bénéficiaire, et au maintien duquel elle était la plus intéressée."

    On aimerait qu’Angela Merkel fût plus fidèle à l’héritage du génial Prussien.

    PS : on nous permettra, suite à cet excellent article, de renvoyer à notre Album Maîtres et témoins...(II) : Jacques Bainville. et à notre Catégorie "Lire Jacques Bainville"...

  • En attendant "Bainville dans la Pléiade", son "Journal" est réedité...

    Bainville journal réédité.jpg

    (Dans le Figaro magazine...)

     

    Description de l'ouvrage

    Date de publication: 11 avril 2013| Série: Omnia

    L'auteur des Conséquences politiques de la paix, qui anticipait dès 1920 le Second conflit mondial, a tenu son Journal pendant les premiers mois de la Grande Guerre d'août 1914 à juin 1915. Il en résulte des portraits tracés sur le vif, des fulgurances, et surtout une implacable analyse des événements qui montrent que Bainville savait que la guerre ne se terminerait pas après un armistice. Il avait parfaitement saisi les mécanismes à l'oeuvre qui mettraient à mal dans ses fondements l'équilibre européen. A la lecture de ses pages on découvre que Bainville ne pratiqua jamais le bourrage de crânes. Il n'exacerba pas non plus les passions nationales. Puisant ses informations aux meilleures sources, il note chaque jour ses impressions. Un document en partie inédit, le témoignage d'un grand penseur lucide.

  • Mariage gay : quand les hommes de loi font triompher la théorie du genre (Jean-François Mattéi, dans Le Figaro du lundi 6 juillet)

    DEBATS 

     

    JEAN-FRANÇOIS MATTÉI

    Portrait.jpg 

    Après la décision de la Cour suprême américaine sur le mariage gay, le philosophe* analyse le glissement progressif qui a conduit à reconnaître la primauté du genre « neutre ».

     

    La Cour suprême des États-Unis vient d'invalider la lot qui limitait le mariage à l'union d'un homme et d'une femme. Cette loi a été jugée anticonstitutionnelle car elle privait « l’accès à la liberté des personnes », protégé par le 5e amendement de la Constitution. Les couples homosexuels mariés auront donc les mêmes droits que les couples hétérosexuels et, selon le président Obama, il n'y aura plus de « discrimination inscrite dans la loi ».

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  • Sous la direction d'Axel Tisserand, préfacé par Michel Déon, de l'Académie française : Parution de « Maurras, 60 ans après »...

     axel tisserand maurras 60 ans après.JPG

    Editions Téqui, 110 Pages, 18 euros

     

    Regard critique sur un poète-philosophe engagé dans les tourments politiques et religieux de son siècle

    Préface de Michel Déon de l’Académie française

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