SOUTIEN À NOS CAMARADES ET AMIS VENDÉENS !
UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
• Sur OpexNews :
"À Witry-lès-Reims, le site d’Aresia, unique fabricant mondial des réservoirs du #Rafale, s’apprête à doubler sa capacité de production pour répondre à l’essor des commandes internationales. De 6 à 7 réservoirs par mois aujourd’hui, l’usine devra en produire 15 d’ici 2025."
Pour pouvoir répondre pleinement à la forte demande de son client Dassault en réservoir d'avions pour le Rafale, le site Aresia de Witry-lès-Reims (Marne) doit aujourd'hui lever un certain nombre de freins. L'entreprise fait face entre autres à des problématiques de recrutement et de modernisation de ses équipements. Elle s'organise pour réussir sa montée en puissance..."

Dans Le Figaro, dédié à ceux qui exultent devant la chute d'Assad, tirent des plans sur la comète et voient des musulmans modérés partout, alors qu'il n'y en a nulle part... Il faut savoir raison garder, rester calmes et ne voir que les simples réalités.
Écoutons, par exemple, l'écrivain d'origine syrienne, Omar Souleimane, qui vient de prendre la nationalité française :
(extrait vidéo 1'26)
https://x.com/Le_Figaro/status/1866503132257083757
"Arc central et veille ficelle"...
Macron semble s'amuser comme un fou, et déclare qu'il ne veut surtout pas démissionner : la soupe est trop bonne ! Alors, il fait mu-muse, pendant que la France et les Français s'enfoncent...
A l’affiche : Here – Les plus belles années de notre vie, un film américain de Robert Zemeckis, avec Tom Hanks (Richard) et Robin Wright (Margaret), adapté de la Bande Dessinée Ici de Richard McGuire.
L’affiche indique « Par toute l’équipe de Forrest Gump »… Je n’ai pas vu ce film de 1994 ni lu le roman éponyme (1986) de Winston Groom dont il était tiré.
En revanche j’avais bien aimé le long-métrage Alliés (2016) du même réalisateur.
Here – Les plus belles années de notre vie est une adaptation de Ici, un « roman graphique », selon l’anglicisme à la mode pour dire tout simplement une BD.
Peut-être, une fois encore, aurais-je dû la lire avant de décider d’aller ou de ne pas aller voir ce film…
C’est l’histoire d’un lieu à travers les âges… je cultive ainsi mon inculture cinématographique en risquant de dire que le film est tourné en « plan fixe », ce qui signifie que la caméra est immobile qui fixe toujours, sous le même angle, le même espace dans lequel se meuvent les personnages. En l’occurrence, il s’agit de personnages différents selon les époques.
Cela m’a intrigué et amusé durant la première demi-heure, et sans doute cette idée originale aurait pu faire l’objet d’un bon court-métrage… Malheureusement, de même que trop de livres sont des « pavés », la mode est aussi à la longueur au cinéma, avec en outre des « flash-backs » qui ont fini par me perdre…
Mon épouse a bien aimé.

|
|
Va-t-on vers un suicide de l’humanité ? Pour envisager cette question, nous vous rappelons la venue d’Aziliz Le Corre jeudi 12 décembre ! Elle vient décrypter pour nous les dessous de l’hiver démographique traversé par la France. Wokisme, amour du confort, crise économique, angoisse climatique…la multiplicité des causes dessine la carte d’une mentalité contemporaine dans laquelle une vie nouvelle ne peut se faire une place qu’à coups de coudes rudement donnés.
Pour comprendre les enjeux de cette question vitale et pouvoir défendre autour de vous l’aventure de la fécondité, venez nombreux, c’est le 12 décembre à 20h30, Université Ouverte de Versailles ! |
|
|

L'édito de Vincent Trémolet de Villers : Reconstruire, plutôt que déconstruire...
(extrait vidéo 3'48)
https://x.com/vtremolet/status/1866027842192158977
Notre premier Président, le Commandant Dromard, mourut le premier Mai 1950.
Ce très court texte/poème de Maurras (alors emprisonné) parut le 23 Novembre 1950, à Aix-en-Provence, avec Le Lai d’Aristote, sans lieu, ni date ni achevé d’imprimer, sous une chemise protectrice.
Le tirage était de mille exemplaires, vendus au profit d’une école privée.
Le texte fut repris en 1952 dans La Balance intérieure.
Le poème est, on le voit, en partie hermétique, de prime abord, surtout au début : il s'éclaire au fur et à mesure, et son sens devient évident avec les trois dernières réponses (Non !...) du "myste" : "le myste", dans l'Antiquité grecque, c'est celui qui a été initié aux mystères. Comment ne pas voir, dans les trois derniers distyques du "myste", un écho de cette sorte de poème métaphysique de Pierre Boutang, que nous avons publié dans lafautearousseau : "Ce qu'on appelle vie est de ne pas te voir; Ce qu'on appelle mort, c'est regard qui commence..."
C'est Philippe Kaminski, au téléphone, hier, qui m'a appris l'existence de ce texte, que j'ai voulu "passer" tout de suite, même si, évidemment, il faudra y revenir.
Nous y reviendrons...
François Davin

Après des années dune guerre meurtrière et une victoire chèrement acquise, il n’a fallu que quelques jours aux islamistes précédemment vaincus pour balayer l’armée syrienne.
Que s’est-il passé ? Pour le comprendre, il faut partir d’un constat simple : l’armée syrienne n’a jamais valu grand-chose et beaucoup de ses meilleurs éléments sont morts dans les premiers mois de la guerre. Ce n’est donc pas elle qui avait gagné. Les vainqueurs ont été les Russes dans les airs, le Hezbollah libanais, les gardiens de la révolution iraniens et des milices chiites irakiennes au sol. A ces trois forces, il faut ajouter une multitude de petits groupes chrétiens ou alaouites qui avaient pris l’initiative de défendre leurs villages ou leurs quartiers face aux islamistes venus du monde entier (plus de 100 nationalités représentées). On ne le rappellera jamais assez : ce fut le plus grand jihad international de l’histoire. Nous avons rencontré ces combattants chrétiens de Sqalbieh ou Mhardeh, ils n’ont jamais reculé et ont perdu des centaines d’amis : plus de 800 noms entourent la petite église Sainte Sophie construite pour fêter la victoire et remercier la Vierge dont ils ont tous des images chez eux.
Cliquez sur l'image pour l'agrandir :
Son Altesse Royale le Prince Jean d'Orléans
Son Altesse Royale le Prince Gaston d'Orléans,
à côté des Bourbons des Deux-Siciles...

Et, dimanche matin, la Princesse Philoména est venue assister à la Messe : on a vu le couple princier deux fois, à l'écran (la Messe était retransmise sur France 2, par l'émission "Le jour du Seigneur)...
Cela a fait hurler cet hystérico/haineux d'Antoine Léaument, l'un des bras droits de Mélenchon (tout est dit...) et revenant de "la Section des Piques" de 1793, nostalgique assumé de la Guillotine partout et du Génocide vendéen, autant que du glorieux Goulag et du Petit Père des Peuples...
Il fallait donc qu'il bavât et qu'il éructât sa cinglerie du jour; la voilà :
Dans le cadre de la recherche de Documents pour servir à une Histoire de l'URP, nous mettons en ligne aujourd'hui ce Dossier concernant notre premier Président...
https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/121271
