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AUJOURD'HUI, 21 JANVIER, SOYONS DE CEUX QUI, DANS TOUTE LA FRANCE, PARTICIPERONT AUX NOMBREUSES MESSES POUR LOUIS XVI ET LES VICTIMES DE LA REVOLUTION
Les Messes pour Louis XVI ne seront pas de simple commémoration.
Albert Camus le meurtre du roi prêtre.
Nous publions ici la liste de toutes les messes et manifestations dont nous avons eu connaissance, le 21 janvier ou les jours voisins.
Mardi 21 Janvier 2014Paris : * 12h00, Saint-Germain-l'Auxerrois, paroisse des Rois de France, 2 Place du Louvre. Messe célébrée à la demande de l’Oeillet Blanc, par Dom Philippe Piron, Père Abbé de Sainte Anne de Kergonan. En présence de Mgr le Comte de Paris et des princes de la Maison de France.
* 18h30, Eglise Saint-Nicolas du Chardonnet.
* 19:00, Eglise Saint-Eugène - Sainte-Cécile.
Saint-Denis : 12h00, en la Basilique Saint-Denis.Marseille : * 19h, Basilique du Sacré-Coeur, 81 avenue du Prado, 8ème. Messe célébrée par Monseigneur Jean-Pierre ELLUL, à la demande de la Fédération Royaliste provençale et du Cercle Bourbonien. Christophe GUIDA à l'orgue et Laurent FRIS à la trompette. A la fin de la messe, lecture sera faite du texte d'Albert Camus "Le meurtre du roi prêtre..."
* 18h30, Eglise Saint Pie X, 44, rue Tapis Vert (1er).
Lyon : 19h, Eglise Saint-Denis de la Croix Rousse, en présence du Prince Jean. (Ensuite, Galette des Rois...)
Bordeaux : 19h, Eglise Saint-Bruno (tramway : ligne A).Nice : 18h, Oratoire Saint Joseph, 18 rue Catherine Seguranne.
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Facebook/Tweeter/Net : quelques uns des liens "partagés" et des commentaires...
1. Et, d'abord, ces deux "commentaires suite à notre note sur Ecrit par un communiste athée, un inattendu L'Adieu aux Rois , celui d'Hélène Richard-Favre, qui donne le lien de l'émisssion de France info, Le livre du jour (animée par le toujours excellent Philippe Vallet), consacrée à Valère Staraselski), et celui de Rosalie K. :a) par Hélène Richard Favre :
"j'étais le 10 septembre à la présentation du livre L'Adieu aux rois par l'auteur, Valère Staraselski. Oui, cet homme de gauche, défenseur de Robespierre, a crié son appel pour que la gauche ne laisse pas à l'extrême droite le monopole de la question de l'identité nationale... S'interroger sur l'importance de la nation, c'est le devoir de chaque citoyen... Ce fut une remarquable soirée. Et j'invite chacun à courir rencontrer cet auteur sur les nombreux salons où il sera !" : http://www.franceinfo.fr/societe/le-livre-du-jour/l-adieu-aux-rois-de-valere-staraselski-1152935-2013-09-24
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Pervertir les enfants "dans" l'école, et "par" l'école" : c'est donc cela le "programme Peillon" !...
(Billet de "F B B", paru sur la Une du n° 2877 de L'Action Française 2000 : Le monde à l'envers.)
On devait s'y attendre : la sinistre théorie du genre, qui prône le nihilisme sexuel et la négation militante de tout ordre naturel, vient de devenir dogme officiel de notre non-monde dégénéré. L'OMS (Organisation mondiale de la santé) monte au créneau : son rapport intitulé «Normes d'éducation sexuelle en Europe» incite les gouvernements à promouvoir «une éducation sexuelle fondée sur l'égalité des sexes, l'autodétermination et l'acceptation de la diversité».
Selon ce rapport, les enseignants devraient ainsi informer les enfants de zéro à quatre ans sur "la masturbation enfantine" et leur apprendre à exprimer leurs propres besoins, désirs, et limites, par exemple en "jouant au docteur".
Les enfants de cette tranche d'âge doivent également être informés sur "le droit d'explorer les identités sexuelles". Les enfants de six à neuf ans ne sont pas en reste puisque le personnel éducatif devra leur parler "d'éjaculation", ainsi que les former aux "rôles socialement associés aux genres".
De neuf à douze ans, les enfants seront appelés à échanger sur la "première expérience sexuelle, le plaisir, la masturbation, l'orgasme" ainsi que sur les "différences entre l'identité sexuelle et le sexe biologique" (l'idée que ces deux aspects sont distincts fait donc autorité).
Pour les jeunes de douze à quinze ans, il s'agira enfin de promouvoir et de discuter des "déterminants historiques et sociaux des relations", en vue de "reconnaître des violations de droits et dénoncer les discriminations et la violence à caractère sexiste".» (Observatoire de la théorie du genre).
Tout est dit : depuis que l'on a cessé de discuter du sexe des anges, on doute de celui de l'homme. On projette de décérébrer les bébés en projetant des films pornographiques dans les cours de maternelle, on veut inciter les jeunes enfants à devenir transsexuels, et, qui sait, à force de les intoxiquer du concept d'"homophobie", pourront-ils à quinze ans attaquer leurs enseignants de petite section pour pédophilie ou pire, hétérosexualité.
F B B
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Mieux que toutes les "nouvelles" de lui : merci à Philippe Delorme pour la photo...
Il était hier à Saint-Germain l'Auxerrois : bravo à notre ami Yvan pour son énergie, et merci à Philippe Delorme pour le cliché...
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Ne peut que mieux faire, par Louis-Joseph Delanglade
Vaudeville pour les uns, psychodrame pour les autres, les amours élyséennes ont partiellement parasité la conférence de presse de M. Hollande. Ainsi peut-on considérer que la question de M. Domenach (Marianne) sur la santé de Mme Trierweiler (« comment va-t-elle ? ») répondait à l’attente de l’aréopage médiatique. D’autres journalistes, non contents de remettre en cause le principe même des « grand-messes de l’Elysée », jugées compassées et obsolètes, réclament désormais une sorte d’égalité de fait avec le chef de l’Etat, avec « droit de réponse » pour le journaliste questionneur… Décidément, ces gens-là se croient tout permis.
La conférence a quand même eu lieu, au cours de laquelle M. Hollande s’est exprimé de façon plus ou moins évasive, passant ainsi de l’habituelle incantation européiste à la récurrente évocation de notre millefeuille administratif. Plutôt bon sur la forme, convenons-en, il n’est pas vraiment, sur le fond, sorti de son ambiguïté coutumière – en bon admirateur de M. Mitterrand qu’il est. D’abord, en jouant avec les mots. Est-il social-démocrate, social-libéral ou social-patriote ? Il peut bien faire rire l’assistance aux dépens de M. Levaï (France Inter) sur sa fibre social-démocrate, c’est lui qui est plaisant de se référer à une posture politique qui a fait long feu dès lors que le(s) patronat(s) jouent gagnant à tout coup avec la mondialisation – même dans les pays de tradition germanique, aux syndicats puissants.
On objectera qu’il ne pouvait quand même pas se proclamer social-libéral : c’eût été un comble pour l’élu de la défunte gauche unie ! Et pourtant… N’a-t-il pas explicitement prôné une « politique de l’offre », confortant par là les tenants du libéralisme le plus classique ? Mais, passé maître dans le funambulisme verbal, pour désamorcer toute critique, M. Hollande n’a pas hésité à rapprocher les deux adjectifs « social » et « patriote » : en renvoyant ainsi, même de façon implicite, à la présence, de l’Etat, il rassure un pays qui a la tripe étatique. Pour un « socialiste », quel grand écart entre l’aspiration libérale et le souffle patriotique !
Si M. Hollande est fidèle à sa nature et à ses convictions, le problème reste entier. Quid, en effet, des moyens ou, de façon plus triviale, qui va régler l’addition des mesures annoncées ? Alléger les charges des entreprises va dans le bon sens, mais cela suppose soit qu’on supprime les allocations familiales, soit qu’on trouve l’argent ailleurs. Réponse : on va faire des économies. On nous permettra d’être sceptique. Ne vaudrait-il pas mieux mettre tout à plat et avoir le courage de demander à tous de faire des sacrifices, de vrais sacrifices : ce serait faire preuve de cette vertu essentielle en politique qu’est le courage.
Cette fois encore, ce ne sera sans doute pas le cas. En effet, on peut se demander si M. Hollande n’est pas déjà en pré-campagne électorale pour 2017. Ses offres de service au patronat mettent la droite U.M.P. dans l’embarras : si les résultats sont là, ce sera porté au crédit du candidat Hollande ; si c’est un échec, les Bertrand, Copé et autres adeptes du libéralisme pourront difficilement se poser en recours.
M. Hollande vient de rappeler qu’il est un maître-politicien. Il eût été préférable, pour le pays, qu’il se manifestât davantage comme un véritable chef de l’Etat.
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Les démolisseurs de la France
Après les assauts négationnistes contre l'histoire de France, la culpabilisation par la repentance concernant l'esclavage, la colonisation et le régime de Vichy, la promotion du communautarisme, la désacralisation du mariage, le laxisme face aux actes de christianophobie et à la montée de l'islam, voici que nos gouvernants entendent développer l'usage des langues régionales tout en essayant de prouver que le français ne plus être la seule langue nationale et maintenant, à travers la remise en cause des régions, s'attaquer au souvenir de nos provinces chères au cœur des Français.
Comment nier, désormais, que tout est fait pour démolir notre pays, notre nation et sa culture ?
Mues par une idéologie mondialiste et antinationale, les forces qui dirigent l'Europe et, hélas, la France accélèrent chaque jour un peu plus la destruction.
Puisse l'année 2014, avec les élections qui approchent et la colère qui monte, marquer la volonté populaire de porter un coup d'arrêt à cette politique suicidaire et l'espérance de lendemains qui chantent la France !
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Dans votre quotidien cette semaine...
= Après le sujet d'actualité du lundi de Louis-Joseph Delanglade, qui exprime notre position sur les sujets importants du moment, et fixe la position de notre quotidien, nous continuerons à évoquer d'autres sujets de l'actualité immédiate : l'école (avec les aberrations de la théorie du genre et le test Pisa); la défense du dimanche (une réflexion prévue pour la semaine dernière, mais qui a dû être reportée, vu l'abondance de l'actualité); cette omerta qui gangrène logiquement et de plus en plus tant et tant de parcelles de notre pays, dans lesquelles, solidement installées maintenant, les Mafias issues de l'immigration croissent et prospèrent : Qousque tandem...?, jusques à quand... ?; ces journalistes, qui pratiquent allègrement le "deux poids deux mesures" selon que l'on porte un prénom "traditionnel" ou bien "issu des minorités" (!)...
Le tout, assaisonné des Grains de sel de Scipion, qui en sera, lundi, à son 82ème !...
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Où va la France ? Très intéressant débat Finkielkraut/Chemain dans le Famille chrétienne de cette semaine
S'agissant du numéro de la semaine en cours (n° 1879, du 18 au 24 janvier), nous ne pouvons bien évidemment pas le "passer" maintenant, et devons nous contenter de le signaler, et d'en conseiller la lecture (article payant pour les non abonnés) sur le site de l'hebdomadaire, http://www.famillechretienne.fr/ (en haut, à gauche, de la page d'accueil, rubrique "Articles du magazine") : le débat est d'un très bon niveau...
Par contre, nous pensons pouvoir passer juste le petit encart de fin d'article - "Je suis athée, hélas..." - dans lequel Finkielkraut fait une intéressante - autant, qu'émouvante - "confession"...
Si Famille chrétienne nous y autorise, dans quelques temps, soit nous passerons le texte, soit, devenu non payant sur le site du journal, nous redonnerons le lien qui y donne accès...
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Navigation sélective sur le Net : échos des Blogs, des Pages Facebook, et d'ailleurs...
1. Sur les Blogs, sur Facebook ou ailleurs... :
1. Le Général de Villiers est nommé Chef d'Etat-Major des Armées : http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/general-villiers-est-nomme-chef-d-etat-major-armees-8190
2. Dans L'Express : "Nier ce qui distingue les sexes nuit à l'enfant" (docteur Léonard Sax) : http://www.lexpress.fr/actualite/societe/nier-ce-qui-distingue-les-sexes-nuit-a-l-enfant_1314273.html#xtor=AL-447
3. Interdiction de Dieudonné : Clash entre Plantu et Finkielkraut : http://www.youtube.com/watch?v=YODdfx7nHBk#t=756
4. De quoi Dieudonné est-il le nom ? par Eric Zemmour : Zemmour Dieudonné.jpg
5. Avec le Pape François : http://www.vatican.va/auguri-francesco/fr/index.html#32
6. Thierry Rolando, président du Cercle Algérianiste, écrit à Madame Taubira : Garde des Sceaux.pdf
7. Le numéro de Prospectives Royalistes de l’Ouest du mois de Janvier 2014 : A télécharger gratuitement ici
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C'est aussi tout cela (tous ceux-là...) la France : dans les Ephémérides cette semaine...
Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides (et, en permanence : Du passé faisons table rase.pdf ) :
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Rions un peu...
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Marcher pour le Roi Mort
Dans son Journal d'une femme de cinquante ans(1), la marquise de La Tour du Pin relate son 21 janvier 1793 ; ils étaient réfugiés chez une amie à Passy, village alors hors les murs.
Pour les situer : Gouvernet, son mari, avait été colonel du Royal-des-Vaisseaux, puis après un poste diplomatique à La Haye fin 1791, il parvint après bien des péripéties à émigrer en famille aux États-Unis. L'Empire et Talleyrand ayant sollicité son concours, il ne purent obtenir son accord que tardivement pour la préfecture de Bruxelles ; la Restauration lui confia les ambassades des Pays-Bas puis de Sardaigne après le Congrès de Vienne où il négocia dans la délégation française, puis il refusa l'usurpation de 1830 ce qui lui valut la prison. Elle-même avait été dame de compagnie de la reine à Versailles, comme sa propre mère auparavant ; c'était une Dillon de grand caratère, capable de tout faire et experte en chevaux, Dillon du régiment irlandais, Dillon aujourd'hui du rhum Dillon de Martinique. Les voici à la fenêtre de Mme de Poix :
"Le matin du 21 janvier, les portes de Paris furent fermées, avec l'ordre de ne pas répondre à ceux qui en demanderaient la raison au travers des grilles. Nous ne la devinâmes que trop, et appuyés, mon mari et moi, sur la fenêtre de notre maison qui regardait Paris, nous écoutions si le bruit de la mousqueterie ne nous apporterait pas l'espoir qu'un si grand crime ne se commettrait pas sans opposition. Frappés de stupeur, nous osions à peine nous adresser la parole l'un à l'autre. Nous ne pouvions croire à l'accomplissement d'un tel forfait, et mon mari se désespérait d'être sorti de Paris et de ne pas avoir admis la possibilité d'une semblable catastrophe. Hélas le plus grand silence continua à régner dans la ville régicide. A 10 heures et demie, on ouvrit les portes, et tout repris son cours comme à l'ordinaire. Une grande nation venait de souiller ses annales d'un crime que les siècles lui reprocheront !... et pas une petite habitude n'était dérangée" (T.I-ch.XIII-§.II).
Le sang de Louis XVI devait être, selon son dernier vœu rapporté par Sanson, le « ciment du bonheur des Français ». Hélas, nous entrâmes dans un tunnel de cent cinquante ans de guerres et de dévastations ! Que l'on croit ou non en la justice immanente, le sang du roi est retombé sur nos têtes. Nous sommes les héritiers indivisaires du péché monstrueux de nos pères qui est plus difficile à laver que le péché originel, racheté, lui, par la venue du Christ. Est-ce pour cela que nous en sentons encore le poids ?
Le temps existe-t-il ou n'est-il que convention de la Relativité ? Nos mœurs, nos choix d'aujourd'hui ont-ils pesé jadis ? Vraie question si l'on abolit l'abscisse des temps : sommes-nous maintenant coupables en pensées et en actions de laisser retentir en nous les désordres révolutionnaires d'antan ? Que renvoyons-nous aux mânes des suppliciés de Septembre de plus que nos petites lâchetés et une prière rapide chaque 21 janvier ? L'acceptation discrète de notre asservissement moral et matériel, le confort du jacobinisme transmuté en social-démocratie orwellienne, le laisser-passer donné à de nouvelles hordes sans combattre ! Sommes-nous dignes de leur martyre ? Moi, j'en doute, et c'est en ce sens que j'éprouve une gêne à chaque anniversaire du 21 janvier 1793.
Le marquis de La Tour du Pin Gouvernet, pourtant habitué au carrousel des régimes, lui, n'accepta pas les Trois-Glorieuses. A 73 ans, il se jeta sans hésiter dans la révolte de Marie-Caroline de Bourbon-Siciles quoiqu'il ait dû lui en coûter fors l'honneur. Il prit trois mois de forteresse !
Marcher pour le Roi Mort est une manifestation nostalgique de tradition. En conscience, elle nous semble nécessaire et le serait sans doute davantage si nous la vivions comme une expiation, non tant du crime que de notre réserve. C'est ce qu'évoque la chapelle érigée par Louis XVIII au cimetière de la Madeleine vers laquelle nous devrions marcher la tête couverte de cendres, du moins s'en oindre le front et ranger les bannières, à défaut de pouvoir prendre les armes.
La conjuration du mauvais sort passe par l'instauration d'un roi qui renouera les fils de notre destin. Prions pour nous d'abord ! Louis-Auguste de France est, lui, tiré d'affaire. Pas nous !
Messes partout (cf. lafautearousseau). Cortège de l'Action française à Paris, de La Madeleine au Square Louis XVI, ce dimanche 19 janvier 2014 à 18h45.
Catoneo
Note (1) : Cet ouvrage est en accès libre à la Gallica.
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Libérer la France, par Hilaire de Crémiers*
Il n’est pas de jour où des Français, des groupes de Français, ne protestent contre le carcan qui les étouffe et que le régime ne cesse de resserrer sur eux, tout en affirmant, comme pour se gausser, qu’il le fait au nom de la Liberté, de l’Egalité et, pourquoi pas, de la Fraternité.
Pourquoi les Français n’osent-ils pas voir les raisons de leur malheur ? Les institutions, telles qu’elles fonctionnent, ne correspondent plus aux nécessités du siècle. C’est le cœur du problème politique français. Qui ne le comprend ? Du sommet de l’État jusqu’à la plus petite autorité investie de la puissance publique, il faudrait, dans cette période difficile, à l’encontre de ce qui se passe aujourd’hui, des personnes qui aient d’abord et fondamentalement le sens du bien commun et que rien ne puisse, d’une manière ordinaire, les en détourner. Voilà où va sans aucun doute le vœu politique du peuple français, le vrai, celui qui travaille, qui souffre et qui aime : il devine que ce serait là le salut de la France, mais il n’a pas la capacité d’imaginer ni encore moins d’exprimer un tel souhait.
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A propos de la conférence d'Olivier Dard sur Charles Maurras, un contemporain capital
Bel après-midi, en vérité, que celui passé à Martigues, samedi dernier, grâce à l’Association des Amis de la Maison du Chemin de Paradis, vivante et active parce que Nicole Maurras et Dominique Paoli ne cessent de l’animer ; grâce, aussi, à la Municipalité, à Olivier Dard, Catherine Rouvier et quelques autres…
Se trouver, ou se retrouver, au Chemin de Paradis, chez Charles Maurras, dans ce jardin provençal chargé de tant de symboles et de souvenirs, ou, encore, dans cette bastide du XVIIIème siècle qui couronne ce jardin, tous deux intacts, conserve toute sa magie et reproduit toujours l’émotion des visiteurs, les anciens, comme les nouveaux.
Mais, tout cela étant évoqué dans une note annexe, il s’agit, ici, d’écouter la conférence tout à fait remarquable que le professeur Olivier Dard a prononcée dans la soirée à la Villa Khariessa. C’est ce que nous permet la vidéo réalisée par la Fédération Royaliste Provençale. Et cette conférence suscite la réflexion, une réflexion qui peut et doit nous être utile.