Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
SOS ÉDUCATION - QUI A MILLE FOIS RAISON - VA ATTAQUER L'ÉTAT !
Sur CNews, chez Sonia Mabrouk, Sophie Audugé est venue révéler ce scandale : l'Éducation nationale a mis entre les mains des élèves de Seconde un ouvrage porno dans le cadre du Prix Goncourt des Lycéens....
1. D'accord avec Arnaud Montebourg : Le gouvernement doit empêcher les fonds vautours de dépecer Atos..." (extrait/entame d eson article dasn Le Figaro)
1 BIS. D'accord aussi avec Alexandre Devecchio, qui défend la même position :
«Le gouvernement doit empêcher les fonds vautours de dépecer #Atos» Tribune exclusive d' Arnaud
3. La République des copains et des coquins; le Système des privilèges et des privilégiés de masse, très largement plus nombreux qu'avant la soi-disant révolution, et aux privilèges très largement plus exorbitants... Un exemple, avec Judith Weintraub : le CESE...
(extrait vidéo 2'28)
https://x.com/FredGaulois/status/1851698147845902732
Connaissez vous le CESE? Le Conseil Economique, Social et Environnemental ? Non ? Écoutez et découvrez l'un des mille et un "trous dans la baignoire" par où va s'écoule, en flots ininterrompus, NOTRE pognon... Il sert surtout à bien recaser les copains : cadre magnifique, rythme de travail pas exténuant, les indemnités sont confortables, 175 conseillers touchent entre 3700 et 4500 € bruts par mois, pendant 5 ans, mandat renouvelable une fois et retraite à vie. Ces sont des syndicats, des entreprises, des ONG (surtout écolo) qui nomment les conseillers. 153 fonctionnaires rédigent des rapports sur les bonnes idées des conseillers, rapport en écritures inclusives et idéologiques...
5. À lafautearousseau, nous sommes pour la suppression du Sénat.
• D'abord parce qu'une seule Chambre suffit, de fait;
• et, en plus, parce que cela représenterait une grosse économie : c'était un luxe de pays riche, lorsque Louis XVIII - pour notre plus grand bonheur - est revenu sur le trône, en 1814 et 1815, que de s'offrir le bi-camérisme. Maintenant qu'un siècle et demi de république idéologique nous a ruinés, vendant une bonne part des bijoux de famille et nous laissant une dette colossale de 3 milliards 300 millions, nous ne pouvons plus nous payer aucun luxe.
Cependant, aujourd'hui, le Sénat existe, et, pour une fois, il vient de dire quelque chose que nous trouvons juste. Nous nous devons, donc, de le noter (c'est si rare !...) Il propose la suppression du Service national universel (et c'est dans Le Parisien) :
6. Amaury Brelet revient sur la stupéfiante présence de Belattar dans la "suite" de Macron, en visite officielle au Maroc :
Le dossier reste chaud, très chaud. La montée en puissance, concomitante au redressement des Forges de Tarbes, filiale détenue à 100% depuis août 2021 par le groupe Europlasma en situation financière très compliquée, est surveillée comme le lait sur le feu par la Direction générale de l'armement (DGA). Pour trois très bonnes raisons : pour l'accélération des cadences de production des corps creux des obus de 155 mm, pour le soutien à l'Ukraine (livraisons des obus) et pour la tenue des engagements pris par les Forges de Tarbes, anciennement Tarbes Industry, pour des investissements dans l'outil industriel. Les Forges de Tarbes sont un acteur clé de l'économie de guerre voulue par Emmanuel Macron et mise en musique par la DGA, en matière de fabrication des corps creux des obus de 155 mm des canons Caesar (partie métallique de l'obus).
« C'est un dossier que nous suivons bien évidemment de très près, a confirmé la semaine dernière aux députés le Délégué général pour l'armement, Emmanuel Chiva. Il y a très régulièrement des visites des équipes de la direction de l'industrie de défense », une nouvelle direction créée au sein de la DGA.
Une surveillance d'autant plus légitime que la situation financière d'Europlasma, expert en montages financiers sophistiqués parfois avec des sociétés situées aux îles Caïmans, est compliquée. Au cours du premier semestre 2024, si la maison-mère des Forges de Tarbes a réalisé un chiffre d'affaires en forte hausse à 15,6 millions d'euros, le résultat opérationnel courant s'est dégradé à hauteur de 10,9 millions d'euros (contre - 8,5 millions au premier semestre 2023). En revanche, le résultat net s'est élevé à 2,1 millions grâce à un produit comptable exceptionnel de 14,8 millions d'euros lié à l'acquisition en plan de cession du fonds de commerce et des actifs de MG-Valdunes, fabricant français de roues pour les trains ou les métros.
Une production encore loin des objectifs
Au premier semestre 2024, les Forges de Tarbes ont produit environ 20.000 unités (contre 15.000 au premier 2023). Au total, l'industriel a livré plus de 27.000 corps creux au cours de cette période, le solde provenant des stocks disponibles à fin 2023. Très loin toutefois de l'objectif annoncé d'absorber des pics de production pouvant aller jusqu'à 160.000 pièces par an dès 2025. En 2023, la production du site tarbais a atteint 36.347 corps creux, une performance qui a permis de multiplier par trois les livraisons par rapport à 2022.
« La production poursuit son redressement en 2024 », a en outre estimé Emmanuel Chiva. C'est vrai mais, semble-t-il pas aussi vite que les promesses de livraisons qui ont été faites à l'Ukraine. En 2023, les Forges de Tarbes ont signé une commande pour la fourniture de près de 66.000 pièces et un accord de coopération avec une entreprise publique ukrainienne affiliée à l'Industrie de Défense Ukrainienne pour la fourniture de pièces utilisées dans la fabrication des obus de 155 mm portant sur la fourniture de 360.000 pièces sur trois ans.
Et les commandes continuent de pleuvoir : en juillet et septembre, le groupe Europlasma a reçu deux nouvelles commandes de corps creux de gros calibre, pour un total de 262.000 pièces, dont 62.000 devront être livrées en 2025. Le groupe a signé en mai avec le groupe américain Bizzell Corporation un accord de production de 500.000 corps
creux pour un prix catalogue de près de 140 millions d'euros. Un carnet de commandes soutenu par ailleurs par l'obtention en juin 2024 d'une licence export octroyée par le ministère des Armées vers la Roumanie de corps creux de gros calibre produits à Tarbes et utilisés dans la fabrication d'obus de 152 mm. « Cette nouvelle autorisation témoigne de la volonté des Forges de Tarbes de développer sa gamme de produits, d'une part, et son périmètre géographique d'autre part », a expliqué Europlasma dans un document financier.
Soutien financier de l'État
Avec le soutien de la DGA, Europlasma a lancé un programme de montée en puissance, qui permettra d'augmenter la capacité industrielle du site de Tarbes. « On fait attention à ce que les engagements qui ont été pris par l'industriel soient suivis d'effets », a d'ailleurs souligné Emmanuel Chiva. Car, dans le cadre du dispositif de soutien à l'industrie de la défense, l'État a accordé aux Forges de Tarbes une avance remboursable pouvant atteindre un montant maximum de 7,14 millions d'euros en deux phases, dont 1,5 million a été versé en 2023, afin de contribuer au financement des investissements prévus sur leur site de production jusqu'en 2025.
Le montant de 4 millions d'euros correspondant à la seconde phase sera octroyé sous réserve d'un avis favorable de la commission chargée de donner un avis sur certaines opérations relatives aux matériels d'armement complexes. « Les aides qu'on a fournies aux Forges de Tarbes, doivent soutenir les investissements dans les outils de production », a rappelé le Délégué général pour l'armement.
Pour sa part, Europlasma a annoncé en avril dernier la signature d'un nouvel accord de financement pouvant atteindre un montant nominal maximum de 30 millions d'euros sur 36 mois par l'émission d'obligations convertibles en actions nouvelles de la Société avec bons de souscriptions d'actions attachés le cas échéant au profit du fonds Environmental Performance Financing basé aux îles Caïmans. Cet argent permettra entre autres de développer les activités des Forges de Tarbes afin de lui permettre de soutenir la montée en puissance industrielle et de répondre favorablement à la demande du marché aussi bien en France et à l'international. Les Forges de Tarbes reçoivent régulièrement des marques d'intérêt de munitionnaires de pays d'Europe, justifiant ainsi son objectif de montée en puissance de sa capacité industrielle.
Progression du chiffre d'affaires
Cette montée en puissance se traduit par une forte hausse du chiffre d'affaires, qui reste toutefois modeste. Les Forges de Tarbes ont réalisé un chiffre d'affaires au cours du premier semestre équivalent à celui de toute l'année 2023 (6,5 millions d'euros). La société a enregistré une hausse de son chiffre d'affaires de 5,5 millions d'euros par rapport au 1er semestre 2023. En 2023, la filiale d'Europlasma avait réalisé un chiffre d'affaires de 6,5 millions pour un résultat net négatif de 1,9 million d'euros. Le résultat d'exploitation de l'activité ressort en baisse (- 418.000 euros) principalement en raison de pannes subies sur les moyens de production. Enfin, Europlasma a dû prendre des provisions pour risques à hauteur de 335.000 euros, liées à des lots défectueux produits avant 2022. Le groupe prend en compte les coûts de contrôle de ces lots ainsi que les potentiels coûts de remplacement.
Des lots défectueux qui ont pour origine le manque d'entretien jusqu'en 2021 de l'usine de production de corps creux en acier. Cela créer aujourd'hui encore des difficultés de fiabilité de production. Cela peut se traduire par une indisponibilité des équipements, une augmentation du taux de rebuts ou à la fabrication de pièces non conformes. Depuis la reprise de l'usine par Europlasma en août 2021, des actions correctives ont été engagées : un plan d'investissement basé sur la fiabilisation des équipements est en cours de déploiement, un plan d'action de maintenance préventive a été réalisé, les pièces détachées critiques sont en cours d'identification et vont être approvisionnées et du personnel de maintenance a été recruté.
À DEMAIN !