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  • Cinéma : Notre-Dame brûle, par Guilhem de Tarlé

    1A.jpgÀ l’affiche : Notre-Dame brûle, un docu-fiction français de Jean-Jacques Annaud, avec Jean-Paul Bordes (général Gallet, commandant la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris – BSPP - ), Samuel Labarthe (général Gontier, qui dirige les opérations de secours lors de l’incendie de Notre-Dame de Paris, sous les ordres du précédent auquel il succèdera le 30 novembre 2019) et Mikaël Chirinian (Laurent Prades, régisseur de ND de Paris, chargé de l’inventaire des objets d’art de la cathédrale).

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  • Honneur à ces héros, dont les noms devraient être gravés sur les murs de la cathédrale rénovée

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    lafautearousseau approuve la suggestion de Guilhem de Tarlé : oui, le nom des magnifiques sauveurs de Notre-Dame, qui ont été le bras choisi par la Providence et qui ont lucidement et pleinement accepté ce choix, avec les périls qu'il impliquait, devrait être gravé sur les murs de la cathédrale restaurée.

    De toutes façons, ils sont déjà gravés dans le coeur des Français...

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    lafautearousseau entièrement d'accord avec Élisabeth Lévy, dans Causeur : Yvan Colonna n'est pas un saint ! Sa sanctification est insupportable...

    "Gérald Darmanin ouvre la voie à l’autonomie. Il n’y a pas pire moment et pires circonstances pour le faire, et il n’est nul besoin d’avoir lu Clausewitz pour comprendre que négocier avec un revolver sur la tempe, c’est être sûr de perdre. Emmanuel Macron avait cinq ans pour traiter la question corse. Il se penche dessus à trois semaines de la présidentielle. La ficelle électorale est un peu grosse. 

    Aveu de faiblesse

    Certes, Gérald Darmanin exige en préalable le retour au calme. Mais le mot « autonomie », lâché après des manifestations violentes et des agressions contre des forces de l’ordre en sous-effectif, est un aveu de faiblesse impardonnable. 70 policiers et gendarmes ont été blessés, et 18 hospitalisés, preuve qu’ils avaient face à eux des émeutiers aguerris. 

    Ça n’a pas loupé : à 11h30 mercredi, le FLNC menaçait de reprendre les armes..."

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