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Sur la page FB de nos amis du GAR : La Monarchie face à la mondialisation. Partie 5 : La République sans souffle et la Monarchie familiale.

Les diplomates français savent sans doute aussi que les Monarchies voisines de la France peuvent développer une diplomatie du sentiment et de la présence familiale que la République, malgré ses aspects monarchiques, ne peut réaliser pleinement, le statut du Président étant celui d’un homme seul, élu « locataire » pour un temps limité, de cinq ou de dix ans dans le « meilleur » des cas, quand la dynastie royale, elle, dispose d’un temps souvent plus long et prend le visage, multiple, d’une famille qui vit, vieillit, s’élargit ou se rétrécit selon les moments, entre naissances, mariages et deuils qui participent au « spectacle » du Pouvoir incarné…

M. Macron, qui connaît l'histoire sans toujours bien en saisir le sens profond et la portée, doit le ressentir un peu amèrement en constatant sa grande, sa douloureuse solitude de Chef d’État d'une République trop grasse et trop désabusée pour s'imaginer encore un destin. Au dîner d’État offert par Donald Trump aux époux Macron il y a quelques années, une fleur de lys ornait le menu officiel pour symboliser la France (Léon Daudet y aurait vu un heureux « intersigne ») : le jeune président français, déjà en quête de réélection et d’un peu plus d’amour électoral, et qui connaît l'importance des symboles, a pu alors méditer, peut-être, sur « le malheur d'être en République quand on est la France »…

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