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Dans notre Ephéméride de ce jour : Un autre débarquement que celui de Normandie était possible, comme le demandait l'Action française...

1944 : Débarquement de Normandie

 

Suivant les plans de l'opération "Overlord", près de 5.000 navires débarquent 130.000 hommes sur 35 kilomètres de plage en Normandie : cette bataille de Normandie durera cent jours, durant lesquels un million de civils français seront comme pris en tenaille entre deux millions de combattants...

La nuit précédente, des parachutistes ont été lâchés derrière les lignes allemandes et les avions alliés ont commencé à bombarder les fortifications du "mur de l'Atlantique".

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Ce débarquement, placé sous le commandement du général américain Eisenhower, était secrètement préparé depuis plus d'un an en Angleterre. Fin juillet, les Alliés auront débarqué pas moins de 1.500.000 hommes sur le sol français. En mai 1945, l'Allemagne capitulera.

 

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 www.dday-overlord.com/

 

sites.estvideo.net/normandie1944/

 

 

D'un simple point de vue humain, les Français et les Européens ne peuvent qu'être reconnaissants aux soldats de toutes nationalités venus se battre, et, pour beaucoup, mourir, pour écraser le nazisme.

L'héroïsme et le sacrifice du "soldat de base" ne peuvent, évidemment, qu'être salués avec reconnaissance :

 

"Ceux qui, pieusement, sont morts pour la Patrie 

Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie..." (Victor Hugo)

 

La vérité historique, le bon sens et la raison obligent cependant à rappeler que Charles Maurras et l'Action française - et aussi bien d'autres... - souhaitaient un "autre" débarquement, à un autre endroit, et que cette solution eût été beaucoup plus heureuse pour la France :

 

Un autre débarquement était possible.pdf

 

 

Une Action française qui, soit dit en passant, dénonçait le nazisme dès 1930 - traitant Hitler d' "énergumène", de "monstre" et de "minotaure" - face à des insouciants/inconscients (le Pays légal) ou des traîtres qui, comme L'Humanité, approuvèrent le Pacte de non-agression Germano-Soviétique, six ans après les premières dénonciations royalistes de l'antisémistime... : voir - publié sur Boulevard Voltaire - la mise au point éloquente de Laure Fouré, juriste et fonctionnaire au Ministère des finances et d'Eric Zemmour :

Oui, l'Action française a toujours été anti nazi

Commentaires

  • Les gens en charge de la guerre ont cherché tous les moyens d'en finir au plus vite, soyons-en sûrs. Sur le second théâtre d'opérations, le Pacifique-nord, ils n'ont pas hésité à vitrifier Hiroshima et Nagazaki pour emporter la capitulation impériale qui hâtait l'issue de plusieurs mois et épargnait des centaines de milliers de soldats et marins américains.

    Sur le front européen, plusieurs solutions avaient été pesées et si celle préconisée par le général Juin était possible, les Alpes ne donnaient pas à une armée mécanisée les garanties de progression qu'offraient le bocage normand, la Beauce, la Brie, la Champagne jusqu'aux Ardennes. Il suffit de faire le trajet en voiture de Trieste à Salzbourg pour le comprendre.

    L'offensive du sud-est avait été tentée par les Britanniques secondés par les Français en 1915. La bataille des Dardanelles fut le désastre que l'on sait (50% de pertes).

    Curieusement, c'est assez sympa de la part du Martégal d'avoir voulu tranporter les ruines résultant des opérations en Vénétie et en Carinthie. Après tout, c'est nous qui avions déclaré la guerre et l'avions perdue. Il était moral que nous essuyassions les effets dérivés de notre impéritie. Etait-il utile chez l'Action française de critiquer le débarquement de Normandie ?

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