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Sur la page facebook de notre ami Frédéric de Natal...(3)

"Je pense en prince chrétien, j'agis en prince français ". Le prince Jean d'Orléans, prétendant au trône de France, rendant hommage à Louis XVI.

Seigneur,
Moi, Jean, Comte de Paris,
Comme tout fidèle au début de cette messe, je me reconnais pécheur devant Toi.
La Maison Royale de France, dont par Ta grâce je suis devenu le chef, nous Te demandons pardon, ainsi qu’aux victimes des fautes de nos ancêtres et en particulier de celle de Louis-Philippe-Joseph d’Orléans à l’égard de son cousin Louis XVI, roi de France, père de son peuple et qui a reçu l’onction par le sacre, mais aussi à l’égard de sa famille et de la France.
Nous implorons Ta miséricorde sur nous, notre famille et notre pays. Tu le sais, comme Josué, nous et notre maison, nous avons choisi de Te servir.

 

Texte lu à l'occasion de la messe en l'honneur de Sa Majesté Louis XVI, ce 21 janvier 2020, en la chapelle royale de Dreux.

Photo@ David Nivière Courtoisie de Prince Jean, Comte de Paris@facebook

Commentaires

  • La demande de pardon formulée par le prince Jean d'Orléans, Comte de Paris, à l'occasion de la messe du souvenir du 21 janvier 2020 célébrée en la chapelle Royale de Dreux, représente un moment fort de l'histoire de la royauté française auquel tout Français peut être sensible aujourd'hui, en particulier si son inclination penche vers une renaissance de l'institution royale dans notre pays. Avec clairvoyance et courage, le prince Jean d'Orléans a désiré réparer la faute commise par son ancêtre Philippe d'Orléans qui avait voté, pour le regretter ensuite, la mort de son cousin, le roi Louis XVI dans la suite de son procès sous la Révolution au cours duquel ses droits de la défense furent largement bafoués.
    Le vote de Philippe d'Orléans ne lui profita pas car il périt lui-même peu après sous la guillotine. Elle ne lui fit gagner aucune sympathie de la part de Robespierre, le maître du moment, et des plus acharnés révolutionnaires.
    Elle fut une faute envers le roi et sa famille et envers sa propre famille. Elle a été la cause d'un grand malaise et de divisions durables, compréhensibles mais stériles au sein de sympathisants de la cause royale, alors que tous devraient aspirer à son unité.
    Par la demande de pardon solennellement exprimée par le Prince Jean en son nom, en sa qualité d'héritier du trône et au nom des siens, envers le roi Louis XVI et sa famille, on souhaite qu'une page se tourne dans la longue histoire de nos rois que beaucoup de Français espèrent voir reprendre le cours.

  • Ce repentir officiel et public du chef de la maison d'Orléans est considérable d'importance. Il ressoude l'hérédité des fautes jusqu'ici niée par les descendants, en même temps qu'il la fait absoudre par Celui qu'il implore.

    Cette démarche d'humilité permet le raccord des quarante rois jusqu'ici impossible.
    C'est un grand moment, solennisé par l'érection d'une stèle du souvenir de Louis XVI au sein de la Chapelle Royale de Dreux.
    S'ils sont adroits, les docteurs de la monarchie ont ici matière à faire tomber le lambel de blocage.

    (pour la postérité, il serait utile de corriger deux fautes d'orthographe et de remettre l'article "Ta" devant grâce qui a disparu au montage)

  • Catoneo, nous avons rétabli le "Ta" et supprimé une faute d'orthographe ; merci de nous avoir signalé cela...

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