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Encore une fois, Atlantico fait un diagnostic exact et pose la bonne question ...

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1er janvier 2018

Commentaires

  • La danse de la pluie sur nos libertés et notre Nation. Chronique d'une anesthésie communicante. Une lugubre mascarade.

  • Les voeux de M. Macron ressemblent fort à une goulasch, ce plat hongrois.On y trouve de tout.Cependant, au contraire du plat maygar, les morceaux épicés ont été enlevés ou soigneusement édulcorés. Rien sur l'impérieuse nécessité de réduire significativement les dépenses publiques, les effectifs pléthoriques des institutions, les prébendes ou autres privilèges dont la république raffole.Bien sûr aucune réforme sérieuse des structures étatiques, régionales et locales.La suppression des innombrables doublons etc. La question de l'immigration illégale car ne provenant pas de pays en guerre a été à peine abordée.Une question en effet trop lourde et peu gratifiante pour le frêle locataire de l'Elysée.Quant aux coups de trombone à coulisse sur l'Europe seuls les gogos se pâmeront.Quelle crédibilité peut-on accorder à un pays dont les caisses sont vides et la dette plus haute que l'Everest.Les paroles, toujours les paroles à la Dalida. Mais le fond des choses ainsi que l'ardente obligation de nettoyer les écuries d'Augias restent des sujets tabous.Enfin, quant à la phrase célèbre de John Fitzgerald Kenney, elle est tombée bien à plat quand on sait que les élites de ce pays, majoritairement, ne pensent qu'à leur plan de carrière et à leurs médiocres intérêts matériels !

  • Les voeux de M. Macron ressemblent fort à une goulasch, ce plat hongrois.On y trouve de tout.Cependant, au contraire du plat maygar, les morceaux épicés ont été enlevés ou soigneusement édulcorés. Rien sur l'impérieuse nécessité de réduire significativement les dépenses publiques, les effectifs pléthoriques des institutions, les prébendes ou autres privilèges dont la république raffole.Bien sûr aucune réforme sérieuse des structures étatiques, régionales et locales.La suppression des innombrables doublons etc. La question de l'immigration illégale car ne provenant pas de pays en guerre a été à peine abordée.Une question en effet trop lourde et peu gratifiante pour le frêle locataire de l'Elysée.Quant aux coups de trombone à coulisse sur l'Europe seuls les gogos se pâmeront.Quelle crédibilité peut-on accorder à un pays dont les caisses sont vides et la dette plus haute que l'Everest.Les paroles, toujours les paroles à la Dalida. Mais le fond des choses ainsi que l'ardente obligation de nettoyer les écuries d'Augias restent des sujets tabous.Enfin, quant à la phrase célèbre de John Fitzgerald Kenney, elle est tombée bien à plat quand on sait que les élites de ce pays, majoritairement, ne pensent qu'à leur plan de carrière et à leurs médiocres intérêts matériels.

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