Syrie : Quand la République idéologique tue ses propres enfants...
Par Academos
Syrie : Six djihadistes Français de plastique tués par les frappes des Rafales ? Ou : quand la République idéologique tue ses propres enfants...
Jacques Chirac, Premier ministre du Président Giscard d'Estaing, est à l'origine des suicidaires et scélérats décrets de 1975 sur le regroupement familial. Il n'a jamais voulu reconnaître sa faute, ni qu'il avait touché la France au coeur, si l'on peut dire, c'est-à-dire dans la constitution même du peuple de France : car ses décrets, accordant automatiquement la nationalité française par le jeu incontrôlé du droit du sol, ont abouti tout simplement à changer le peuple. Pas encore complètement, certes, mais à introduire au coeur même du vieux pays des masses de Français de plastique, des français « légaux », mais qui, pour reprendre les termes du Père de Foucauld, n'ont ni le coeur ni l'esprit français; et, pire, qui ne souhaitent acquérir ni l'un ni l'autre mais, bien au contraire, ne rêvent que d'une chose : nous imposer leur coeur et leur esprit : l'Islam. Merci, Chirac !
Dans son aveuglement, Chirac était même allé, devenu Président, jusqu'à déclarer que ces jeunes des cités, qui haïssent tout de nous, de nos racines, de notre Être profond, étaient « les enfants de la République ». Enfants de la République idéologique, peut-être; enfants de la France, certainement pas ! Chirac a peut-être cru, ce jour-là, réussir une belle (!) envolée lyrique, il n'a réussi qu'à mériter le fameux « errare humanum est, perseverare diabolicum ».
Et voilà qu'aujourd'hui on apprend que nos Rafales ont détruit un camp d'entraînement de terroristes islamistes qui, en Syrie, préparaient leurs sales coups, leurs attentats, leurs assassinats; et que, dans le tas des tués (bon paradis d'Allah, les gars !) il y avait (il y aurait) six Français.
Valls refuse de confirmer, mais, quoi qu'il en soit, une seule chose est sûre : il n'y avait aucun Français parmi ces assassins en puissance. Il n'y avait que des ennemis de notre peuple, de notre culture, de nos traditions, de nos héritages culturels et religieux. Ils sont morts là-bas, s'étant enfermés dans la logique mortifère qu'ils ont librement choisie et qu'ils ont suivie en toute liberté : mieux vaut cela que de les avoir laissés venir ici se faire exploser au milieu d'innocents qui n'ont rien demandé...
Mathias Léridon s'est permis de dire - et il a mille fois raison - qu'on n'est pas Africain parce qu'on naît en Afrique, mais parce que l'Afrique bat dans votre coeur.
Eh bien, ce que l'on permet de dire à Mathias Léridon, ils serait piquant que l'on nous interdît de le dire, à nous, accommodé à la réalité française : on n'est pas Français parce que l'on naît en France ou parce qu'un Système haineux de notre Histoire et de notre passé, de notre culture et de nos traditions vous a - follement - donné un petit rectangle de plastique. On est Français, si l'on est naturalisé, parce que la France bat dans votre coeur.
Et, sinon, non ! •
* On n'est pas Africain parce qu'on naît en Afrique, mais parce que l'Afrique bat dans votre coeur.
Commentaires
si cela est vrai bon voyage chez Satan et que cela soit le commencement .
Cette phrase de M. Léridon ne veut rien dire. A cette aune là, on est Patagonais ou Mongolien parce qu'on a ces deux contrées dans le coeur même si l'on y a jamais mis les pieds et qu'on entend goutte à leur langue. Ce genre de platitude ressort directement du marketing touristique de bas étage qui veut faire croire que partout c'est merveilleux.
Bien entendu, il ne sera jamais question de reconnaitre que parmi ces tués, il y avait des Français, car les Français (au sens du coeur et de l'esprit et de la culture et de l'intelligence) devraient combattre pour la France et non contre elle et ses valeurs. Où est passé l'esprit de nos vaillants combattants des deux guerres mondiales, qui ont tout affronté pour que la France reste la France ? Avec ces monstres qui ne se battent que par haine et pour combattre l'esprit de liberté qui est le nôtre, nous ne pouvons que regretter ce laxisme effarant de nos actuels dirigeants qui poursuivent - il est vrai - ce qu'a commencé M. Chirac.
Il est tout de même intéressant de noter que M. Poutine n'a que des jeunes russes blancs pour l'avenir de son pays, alors que la nôtre, de jeunesse, est plutôt - comment dire pour rester politiquement correct - couleur sable du désert autrement dit très bronzée. Ces jeunes, qui "poussent" sans éducation, sans culture, sans la religion d'amour qui est la nôtre, autrement dit celle de Jésus-christ, ces jeunes qui sont livrés à la rue, à la drogue, à toutes les dérives, ne peuvent donner de fruits sains car les racines de l'arbre sont pourries.
Faut-il pour autant souhaiter la mise au pouvoir d'un mouvement extrémiste pour donner à ces voyous, ces délinquants, ces renégats, l'envie de se repentir ? Les prisons sont pleines à craquer et celle qui devait faire construire 60 000 cellules a disparu de la circulation. Elle, qui a favorisé la déchéance dans laquelle nous descendons un peu plus chaque jour, se réjouit certainement que notre pays continue sa lente descente aux enfers.
Si je le pouvais, je rétablirais la peine de mort pour qui commet les attentats et sème la désolation et la peur ! Ces djihadistes ne méritent pas le statut de Français et ils peuvent partir pour ne plus revenir et aller direct en enfer. Quant aux larmes des parents, parlons-en : qu'ont-ils fait pour que leur progéniture intègre les valeurs de la république, respectueux de ses lois ? Stop au laxisme et stop au pardon...
Je me permets de signaler que rien n'indique pour le moment que les pertes islamistes "francaises" soient des enfants de l'immigration. Il y a aussi des "souchiens" convertis et peut-être même les plus zélés comme il en va toujours des néophytes. Ce qui remet le titre d'aplomb.
PS: Léridon communique pour le Club Med sans doute.