UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Et si l’Islam était « insoluble » ? par Louis-Joseph Delanglade

 

M. Valls souhaite, après tant dautres, avoir un interlocuteur représentant de « lislam de France », de façon à pouvoir organiser les rapports que lEtat doit entretenir avec ce dernier. Mais ce nest pas si simple. Certains évoquent à ce sujet deux précédents : celui de Napoléon qui, en 1806, a pu établir, grâce à la création du Consistoire, un nouveau modus vivendi avec le judaïsme; et celui, plus connu, de la loi de séparation des Eglises et de lEtat de M. Briand, un siècle plus tard. Mais lislam, en France, nest pas le judaïsme, religion très minoritaire et présente depuis toujours dans diverses provinces. Il est encore moins le christianisme dont il na pas la légitimité historique et culturelle. 

Une « instance de dialogue avec lislam de France » réunit donc, sous la houlette de M. Cazeneuve, les prétendus représentants des cinq millions (?) de membres de la « deuxième communauté confessionnelle » du pays. On y parle de tout ce qui peut caresser ladite communauté dans le sens du poil - comme la construction projetée de trois cents (!) mosquées. Et pour se garder de toute « stigmatisation », on ne parle pas, surtout pas, de ce qui pourrait la fâcher (radicalisation, provocations, attentats). Interrogé à ce sujet, le ministère répond benoîtement : « Nous avons estimé que ce serait un mauvais message adressé aux Français et à la communauté musulmane ».  

A celle-ci, peut-être; à ceux-là, certainement pas. En effet, que MM. Valls et tous les politiciens et idéologues de ce pays le veuillent ou pas, lislam est ressenti par une majorité de « Gaulois » comme un corps étranger, inquiétant et dangereux - son émergence massive sur le territoire métropolitain étant trop récente, trop brutale, trop liée à des problèmes de désordre, dinsécurité, de terrorisme.  

 

Mais la faute de M. Valls est dabord de partir dun a priori idéologique : la France laïque doit porter le « message » en Europe et dans le monde d'un islam « compatible avec la démocratie et la République ». Quelle naïveté ! il est douteux que lislam se renie au point daccepter que la religion, en loccurrence musulmane, ne soit considérée que comme une simple affaire individuelle de conscience. 

 

M. Godard, haut fonctionnaire au ministère de lIntérieur jusquen 2014, montre, dans La question musulmane en France, que l'islam est devenu « un régulateur social sur notre territoire ». M. de Montbrial dénonce, preuves à lappui, dans Le sursaut ou le chaos « l’état de communautarisation avancé de notre société » qui fragilise la cohésion nationale, la radicalisation de milliers de jeunes Français partis ou en partance pour le jihad et, surtout, le « risque réel » de guerre civile dont nous menacent ces ennemis de leur propre pays. 

Ce sont moins les individus qui sont en cause que la revendication de lappartenance à une communauté dont les « valeurs » et les finalités ne sont pas tout à fait compatibles avec celles de la France. 

Commentaires

  • Bonne analyse. Tout d'abord la république n'est pas la France. Ensuite l'islam a été écrit sept cent ans après Jésus Christ pour contrer le Judaïsme et le christianisme. Cette construction s'impose par l'épée sur toutes le populations colonisées. Les français trompés par la république et les médias à solde n'ont rien retenu de la guerre du Riff pas plus que celle d'Algérie. Il est vrai que nous abandonnons par pans entiers notre mode de vie, la famille, les amis, la langue, la culture et le spirituel. Au fait pourquoi la république qui se dit laïque favorise la construction de mosquées, voir le maire de Quimper, Pas si neutre que cela nos élus de la république, Ais je encore le droit de déclarer que ma culture est judéo chrétienne et que l'islam n'a rien à faire dans ma France; Suis je le seul encore chez moi à penser cela, puisque les gens de cette France républicaine acceptent d'être colonisés.

  • il faut que chacun sensibilise ses voisins et les membres de la famille qui sortent
    des principe d'une France forte mais pas avec des socialistes qui trahissent la France...en cherchant le vote des étrangers.

  • L'islamisation à marche forcée de la France par les forces républicano-socialo-maçonniques est parfaitement voulu. Il s'agit de finir la révolution afin d'éradiquer le christianisme du pays et même d'Europe. A l'Est, les Européens ne se laisseront pas faire. A l'Ouest, c'est moins sûr, l'UE, alliés de ses sbires mafieux à la tête des pays européens, anesthésie les esprits afin d'éviter toute réaction salutaire. Il revient donc aux catholiques de sortir de cette torpeur et de rappeler à temps et à contre-temps que la France est fille aînée de l'Eglise et que l'Europe n'est pas terre d'islam. Où sont donc les croisés du XIe siècle ? Sommes-nous donc assez lâches pour ne pas réagir à cette invasion islamique ? Assez lâches pour ne pas mettre un terme à ce système républicain pervers qui détruit tout sur son passage ? Assez lâches pour ne pas se débarrasser des suppôts du diable qui font le lit de l'islam ? "N'ayez pas peur" nous a dit Saint Jean-Paul II. Et s'il faut prendre les armes, nous les prendrons car il est hors de question de subir cette haine antichrétienne au quotidien. Ce ne sont pas les djihadistes qui vont faire leur loi ici. La charia et les fatwas, on n'en veut pas, de même que les mosquées !

Les commentaires sont fermés.