Les "banlieues kalach" et leur économie florissante : une "affaire" qui tourne !.....
"Ma petite entreprise, ne connaît pas la crise !...", on connaît la chanson....
Le Figaro du vendredi 30 décembre consacre sa page 7 (appelée plaisamment "Société" !) aux "incroyables comptes d'un dealer" : "un petit commerce de drogue à 110.950 Euros de bénéf par mois".
Mais qui donc a dit que la France était en crise ? Que les affaires allaient mal ? En tous cas, nous sommes rassurés, et voilà une vraie franche bonne nouvelle : comme "ils" sont venus en France pour payer nos retraites (dixit le "parti immigrationniste"...), au moins, de ce côté-là, on est tranquilles : on a trouvé mieux, et même très largement mieux, que les fonds de pension, états-uniens ou autres. Maintenant, on a ce qu'il faut chez nous.....
Y a-ton pensé en haut lieu ? : pour des dizaines de milliers de jeunes des Cités et banlieues, le choix est simple : se décarcasser pour trouver un travail "normal" - si on le trouve... - payé 900, 1.000 ou, au mieux, 1.100 euros, ou gagner des milliers d'euros par mois en s'affiliant aux Mafias qu'ils voient quotidiennement prospérer sous leurs yeux ?
Bon, trêve de plaisanterie(s), passons aux choses sérieuses :
Il s'agit, en l'occurrence, du carnet de comptes d'un réseau de la Cité de la Visitation à Marseille : les "nourrices" gagnent (!) 19.100 euros par mois; un "guetteur" : 4.8000 euros; une "entrée" : 6.000 euros; le vendeur et le gérant, 9.000 euros chacun. Toujours par mois, bien entendu.....
Et "on" s'imagine - ceci étant évidemment connu de tous - que la belle jeunesse de nos quartiers va aller travailler pour un salaire de 900 à 1.000/1.100 euros ?...
Jean-Marc Leclerc, l'auteur de l'article conclut sur une note qu'il croit optimiste :"Aussi paradoxal que cela puisse paraître, le milieu qui s'étripe à Marseille serait un signe que la police fait son travail" car, explique-t-il, avec raison, "si les balles fusent, ces derniers temps, c'est parce que la justice a mis derrière les barreaux des caïds dont le commerce, laissé en friche, suscite des convoitises..."
Jean-Marc Leclerc a raison. Mais sa remarque est incomplète : la police fait son travail ? Fort bien ! Et, surtout, qu'elle continue !
Mais la Visitation n'est pas un cas unique, ni à Marseille ni en France : "Certaines grosses cités font vivre quatre ou cinq lieux de deal similaire..." écrit toujours Jean-Marc Leclerc. C'est donc au "politique" qu'il incombe maintenant de faire son travail : il faut "vider" la France de cette pollution, la dégangréner, et faire le ménage sur une très grand échèlle.
Ceci passe par un durcissement et un changement de nos textes de lois, permettant la déchéance de nationalité sans faiblesse, et l'expulsion immédiate avec encore moins de faiblesse.....