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  • Le reconfinement est un piège pour la société française.

    Dans cette tribune, près de 700 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé, du droit, de l’éducation et du social, ainsi que des artistes, se déclarent « atterrés » par des discours officiels qui dramatisent indûment la réalité afin de justifier des mesures de confinement risquant hélas de constituer un remède pire que le mal pour la société française.

    Par Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS

    C’est un secret de polichinelle : le reconfinement était envisagé depuis l’été dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée autour de cette perspective depuis plus de deux mois, de façon à la faire accepter par la majorité de la population le jour J. Les médias « mainstream » lui ont fourni une aide décisive. Ils sont le relais et l’instrument privilégiés de cette communication.

    Et force est, hélas, de constater qu’ils jouent très bien le rôle. S’appuyant mécaniquement sur les chiffres, la communication consiste à ne s’intéresser qu’aux indicateurs les plus alarmants, en changeant d’indicateur, au fil du temps, si celui qu’on utilisait ne permet plus d’envoyer le message espéré. Et si un indicateur a une évolution en dents de scie, la communication se fait uniquement les jours où les chiffres augmentent. Il n’y a qu’un seul message possible.

    Avant-hier, 27 octobre, la manipulation a atteint son comble. La totalité des médias a titré sur les prétendus 523 morts, « du jamais vu depuis le confinement ». Or ce chiffre était faux. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à l’hôpital, contre 257 la veille. Mais l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les 4 derniers jours. Prétendre compter les morts quotidiens ce jour-là revient donc à gonfler artificiellement les chiffres, à la veille de l’allocution annoncée du président de la République, qui a repris à son compte ce chiffre faux. Un détail ? Non, un exemple parmi beaucoup d’autres.

    Une deuxième vague prétendue «plus terrible» encore que la première

    C’est le président du « Conseil scientifique » (M. Delfraissy) qui le dit : arriverait une deuxième vague « plus forte encore que la première » et nous serions déjà dans « une situation critique ». Nous pensons que c’est une manipulation d’un Conseil qui n’est plus scientifique mais politique, et qu’il est urgent de revenir à la raison. Selon les chiffres de Santé Publique France, sur les près de 15 millions de tests effectués à ce jour, 93% sont négatifs. Et parmi les 7% restant de la population testée positive, plus de 85 % ont moins de 60 ans ; il s’agit donc essentiellement de personnes qui ne risquent pas de faire une forme grave de la maladie.

    Au final, moins de1% de la population est donc «à risque» et c’est uniquement elle qu’il faut protéger. Autre façon de le dire : au cours de la période récente (entre le 01/09 et le 20/10, jour où nous avons fait ce calcul), 7 621 098 personnes ont été testées. Sur cette même période, 38 100 individus ont été hospitalisés (0,5%) et 6 593 ont été admis en réanimation (0,09%) avec un test positif au Covid. En d’autres termes, depuis le 1er septembre, sur cet énorme échantillon de la population de 7,6 millions, la probabilité moyenne pour un individu lambda (sans distinction d’âge ou de comorbidité) de ne pas être hospitalisé est de 99,5% et celle de ne pas être admis en réanimation est de 99,91%. Justifier le reconfinement de 67 millions de Français sur cette base s’appellerait un délire.

    On dit alors : « oui mais l’hôpital est submergé par le Covid ». Manipulation encore. D’abord, les tests ayant été généralisés depuis juillet, toute personne entrant à l’hôpital porteuse d’une trace du Covid est comptée comme un « hospitalisé Covid » même si elle vient en réalité pour son cancer ou son hypertension. Et c’est la même chose si elle entre en réanimation ou si elle décède. Ensuite, si les chiffres de l’hospitalisation et de la réanimation augmentent bel et bien, cela n’a rien d’exceptionnel : c’est au contraire ce qui se produit chaque année à la même époque (automne-hiver) mais que nos politiques font semblant d’avoir oublié.

    La vérité est que les gouvernements ne veulent pas investir dans l’hôpital public où l’on maltraite les professionnels et où l’on a perdu près de 70 000 lits en 15 ans alors même que la médecine de ville est saturée et que les services d’urgence voient leur fréquentation augmenter d’année en année. Bien sûr que l’hôpital est en tension, mais ce n’est pas fondamentalement à cause du Covid ! C’est essentiellement à cause de la maltraitance politique dont ce service public est l’objet de manière générale depuis plus de 20 ans, et tout particulièrement depuis que les politiques y ont introduit comme partout une politique du chiffre et de la rentabilité inspirée du management des grandes entreprises.

    Un Alzheimer généralisé s’est-il emparé de nos politiques et des journalistes ? Faut-il rappeler qu’en janvier 2020, à la veille de la crise du Covid, 1 000 médecins dont 600 chefs de service des hôpitaux avaient menacé de démissionner pour dénoncer « un hôpital public qui se meurt » ? Est-ce qu’on ne nous prendrait pas pour des idiots ?

    La vie sociale amputée, la démocratie en péril

    La vérité est que le confinement crée plus de problèmes qu’il n’en résout. Son bilan mondial n’est associé à aucune réduction mesurable de la mortalité tandis que son principal résultat observable est, d’abord de mettre au chômage des centaines de milliers et peut-être demain des millions de personnes, surtout, évidemment, parmi les plus fragiles (emplois précaires, personnes payées à la prestation, etc.), et de menacer de disparition la plupart des petites entreprises, souvent familiales, autres que les commerces de bouche, dont l’activité quotidienne ou saisonnière est la seule source de revenu.

    Gageons que les très grands groupes s’en rachèteront peut-être demain. Ces mesures de confinement ont ensuite pour effet d’amputer la vie sociale de la plupart des liens sociaux autres que familiaux. Un certain fantasme embourgeoisé s’en satisfait, chaque enfant ayant sa chambre pour vivre son intimité, son ordinateur pour rester en contact avec l’école et son smartphone avec forfait illimité pour échanger en permanence avec ses amis, les parents faisant du télétravail, sortant chaque jour faire leur footing dans des rues et des espaces verts « où on entend de nouveau les oiseaux », et se faisant livrer des repas à domicile s’ils ont la flemme de faire à manger ou la peur d’aller se mêler à la populace dans un supermarché.

    Mais de quelle infime proportion de la population cette vie est-elle le quotidien en confinement ? Que le confinement entraine ailleurs déjà des soulèvements et des émeutes de la faim? Qu’il fait exploser les inégalités sociales, les échecs scolaires, les violences intrafamiliales, les troubles psychologiques et les renoncements au soin? Et qui ne comprend que les oiseaux ont bon dos et que ces petits moments de répit procurés par la panique des humains ne sont rien au regard de leur lente extinction ?

    Quant à la démocratie, elle est mise sous cloche. C’est le coup d’état d’urgence permanent. Qu’est-ce qu’une démocratie sans liberté d’aller et venir, de se réunir et de manifester ? Qu’est-ce qu’une démocratie où il n’y a quasiment plus personne dans les hémicycles des assemblées parlementaires ? Qu’est-ce qu’une démocratie où la justice est paralysée ? Qu’est-ce qu’une démocratie où, finalement, il n’y a plus qu’un pouvoir exécutif ? Qu’est-ce qu’une démocratie où tout ceci s’impose par la peur et la culpabilisation, voire la censure et la mise en accusation de quiconque refuse d’y céder ?

    Chacun, en conscience, tirera les conséquences qu’il veut de tous ces dramatiques constats. Nous n’appelons pas à la révolution et nous ne faisons pas de politique partisane. Mais nous voulons dire que nous en avons assez qu’on nous demande de nous comporter comme les moutons de Panurge au nom d’un principe de précaution dénaturé. Nous réclamons qu’on en finisse avec cette panique sanitaire, qu’on donne aux soignants les moyens de remplir leurs missions de santé publique, qu’on cesse de violenter des pans entiers de la société et qu’on sorte de cet état d’urgence permanent pour bâtir démocratiquement une politique sanitaire consensuelle.

    Les près de 700 signataires

    Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
    Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
    Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
    Paul Touboul, Professeur de cardiologie à l’université Lyon 1
    Pierre-Yves Collombat, ancien sénateur du Var, ancien vice-président de la commission des lois
    Emmanuel Krivine, chef d’orchestre, directeur honoraire de l’orchestre national de France
    Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des Etats Généraux de la Prévention
    Marc Rozenblat, président du syndicat National des médecins du sport-santé
    Christian Celdran, Directeur Régional des Affaires Sanitaires et sociales (DRASS) honoraire
    Chantal Brichet-Nivoit, médecin et correspondante de l’Académie d’Ethique à l’Université de Paris
    Dominique Eraud, médecin, présidente de la coordination nationale médicale santé environnement
    Louis Fouché, médecin anesthésiste, réanimateur hospitalier
    Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier
    Gilles Perrin, médecin anesthésiste réanimateur
    Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM
    Gilles Guglielmi, professeur de droit à l’Université Paris II Panthéon-Assas, Directeur du Centre de Droit public comparé
    Éric Desmons, professeur de droit public, université Sorbonne Paris Nord
    Alain Wurtz, professeur émérite de Chirurgie Thoracique, Université de Lille
    Bernard Dugué, ingénieur des Mines, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie
    Elizabeth Oster, avocat à la Cour, ancien membre du Conseil National des Barreaux
    Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
    Mathias Delori, politiste, chargé de recherche CNRS
    Alexandra Menant, docteur en biologie, chercheuse au CNRS
    Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université Aix-Marseille
    Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie, Université de Bordeaux
    Éric Plaisance, professeur de sociologie à l’Université Paris Descartes
    Thierry Flaget, Conseiller principal d’éducation
    Marc Cognard, professeur de biologie et physique-chimie en lycée
    Malick Abubakr Hamid Diallo, journaliste
    Virginie Bauer, journaliste-enseignante
    Cesare Mattina, enseignant/chercheur à Aix-Marseille Université
    Nathalie Chapon, Enseignante et Chercheure à Aix-Marseille Université
    Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
    Marc Roux, professeur Honoraire de Zootechnie
    Pascale Gillot, Maître de conférences en philosophie, Université de Tours
    Charalambos Apostolidis, Professeur de droit international à l’Université de Bourgogne
    Didier Blanc, Professeur de droit public à l’Université de Toulouse
    Christophe Leroy, Biologiste, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire
    Dominique Domergue Anguis, gynécologue
    Evelyne Fargin, professeur de chimie à l’Université de Bordeaux
    David Lepoutre, professeur de sociologie, Université de Paris Nanterre
    Isabelle Vinatier, professeur émérite de sciences de l’éducation à l’Université de Nantes
    Marie Touzet Cortina, Maître de Conférences à l’Université de Bordeaux
    Rose-Marie Castello, médecin du Travail
    Sroussi Hubert, médecin généraliste (Montbéliard)
    Cécile Bourdais, maîtresse de Conférences en Psychologie à l’Université Paris 8 Vincennes à Saint-Denis
    Marie Estripeaut-Bourjac, professeur Émérite à l’Université de Bordeaux
    Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
    Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue
    Jean-Jacques Vallotton, médecin généraliste (39)
    Florence Lair, radiologue libérale, Blois
    Nassim Moussi, Architecte
    Jean-Christophe Besset, Réalisateur
    Luc Petitnicolas, Responsable R&D – Chargé de cours
    Murielle Dellemotte, Médecin du Travail
    Monique Lamizet, médecin
    Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon
    Monique Romagny-Vial, professeur des universités
    Jean-Jacques Robin, Juriste ancien directeur d’établissements médico-sociaux
    Sébastien Aubert, professeur agrégé de Génie Mécanique, Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
    Laurence Maury, psychologue (psychologie sociale et cognitive)
    Isabelle Aubert, Maitre de conférences HDR à l’Université de Bordeaux
    Thierry Gourvénec, pédopsychiatre
    Michèle Leclerc-Olive, chercheure retraitée CNRS-EHESS
    Hélène Banoun, pharmacien biologiste, Docteur ès-sciences pharmaceutiques
    Pierre Grenet, écrivain
    André Cayol, enseignant chercheur retraité de l’Université de Compiègne Sorbonne
    Shanti Rouvier, Docteure en Psychologie Clinique et Psychopathologie
    Jean-Michel de Chaisemartin, psychiatre des Hôpitaux Honoraire
    Gilles Mottet, enseignant artistique compositeur
    Marta Barreda, Médecin généraliste, spécialiste en Santé Publique
    Camille Allaria, Sociologue, chercheuse associée au CNRS
    Pierre Duchesne, Psychanalyste
    Michel Angles, médecin généraliste (12)
    Daniel Robinson, médecin généraliste (Ecully)
    Jean-Pierre Eudier, Chirurgien-Dentiste
    Christian Perronne, médecin infectiologue
    Christine Claude-Maysonnade, avocate (Tarbes)

  • Pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ?....

     

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    De l’Evangile selon Saint Jean :  

    Elle se retourne, voit Jésus sans le reconnaître, qui lui demande : "Femme pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ?"

    "Seigneur, si c'est toi qui l'as emporté, dis-moi où tu l'as mis et j'irai le prendre". Jésus lui dit : "Marie !"

    Elle le reconnaît et lui dit en hébreu "Rabbouni !", c'est à dire "Maître !".

    Lacordaire insiste :

     « Ce n’est pas à sa mère que Jésus apparaît d’abord; ce n’est pas à saint Pierre, le fondement de l’Église et le sommet de la théologie; ce n’est pas à saint Jean, le disciple bien-aimé; c’est à Marie-Madeleine, c’est-à-dire la pécheresse convertie, au péché devenu l’amour par la pénitence. »

  • Une ”pensée du jour”, qui va peut-être plus loin qu'il n'y paraît...

              La Provence du dimanche 15 novembre offre sa Pensée du jour à l'humoriste Jean-Marie Gourio. Mais - et même si c'est involontaire, de la part de son auteur - elle est susceptible de recouvrir plusieurs significations :

              "Au pôle Nord, au pôle Sud, à l'Equateur, l'homme s'acclimate partout, il n'y a qu'en banlieue qu'il ne s'acclimate pas..."

              La pensée de Jean-Marie Gourio a-t-elle... dépassé sa pensée ? Qu'a-t-il vraiment voulu dire ? Si ce sont certaines personnes qui ne s'acclimatent pas, parce que leurs fondamentaux sont trop différents, qu'on le dise, et qu'on dise, mais clairement, qui sont ces personnes...

              Cest Boutang qui a raison : il y a place, en France, pour plusieurs communautés, mais pas pour plusieurs civilisations...

  • Liquider Mai 68 ?...

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              Indispensable pour "commemorer les quarante ans", en dehors de tout conformisme officiel:

              Liquider Mai 68 ? (Presses de la Renaissance), ouvrage collectif sous la direction de Chantal Delsol et Matthieu Grimpret. Ont contribué à ce livre : Denis Tillinac, Christophe Durand, Jean Sévillia, Jean-Marie Petitclerc, Paul-Marie Coûteaux, Sarah Vajda, Antoine-Joseph Assaf, Jacques Garello, Ludovic Laloux, Elsa Godart, François Grimpret, Jean-Louis Caccomo, Pierre Guénin, Steve Frankel, Michelle d’Astier de La Vigerie, Ioanna Novicki, Dominique Folscheid, Ilios Yannakakis.

              En librairie le 15 avril. Blog du livre : http://liquidermai68-lelivre.blogspot.com

  • La roue tourne.....

              Nous étions 3.487.000 téléspectateurs sur FR3, le mercredi 6 février....

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              .....pour suivre l'excellent numéro de "Des Racines et des Ailes". Ce qui représente tout de même 14.7% de part d'audience (source: Médiamétrie).

               Le sujet en était le Versailles de Louis XIV et aussi celui de Marie Antoinette. Quelle différence avec les productions "d'avant" ! Les mensonges, la mauvaise foi et, très souvent, la calomnie pure et simple tenaient alors le haut du pavé. Maintenant on comprend et on expose simplement, sans les dénaturer ni les caricaturer, les visions et les pensées des Rois.

                Quant à Marie Antoinette, même si parfois on entend quelques critiques, le ton est plus souvent à la compréhension, voire à l'empathie. On a même entendu cette question: "Et si, finalement, il ne s'agissait que d'un grand malentendu ?...."

  • NOUVELLES DES PRINCES • La princesse Antoinette de France a célèbré son troisième anniversaire

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    Une autre information encore, sur la vie des Princes.

    La fille de Leurs Altesses Royales le Duc et de la Duchesse de Vendôme, la princesse Antoinette, Léopoldine, Jeanne, Marie, vient de célébrer son troisième anniversaire. La petite-fille du chef de la Maison de France, Monseigneur le Comte de Paris, est née le 28 janvier 2012 à Vienne en Autriche dans un hôpital dont la création avait été décidée par l’empereur Joseph II d’Autriche, frère de la reine Marie-Antoinette. La princesse Antoinette de France vit avec ses parents le Dauphin et la Dauphine de France dans leurs résidence du domaine royal de  Dreux, en compagnie de son grand frère le prince Gaston de France et de sa petite soeur la princesse Louise-Marguerite de France qui aura six mois ce 30 janvier.

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  • La Duchesse de Montpensier a fêté son 80e anniversaire ...

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    La Princesse Marie-Thérèse d'Orléans, Duchesse de Montpensier, née Marie-Thérèse de Wurtemberg, au château d’Altshausen en Allemagne, vient de fêter son 80e anniversaire. Á cette occasion, elle a reçu les journalistes du magazine Royals chez elle à Paris, pour un entretien exclusif.  La princesse, mère de S.A.R. le prince Jean de France, y évoque sa famille, ses passions, ses combats…

    Parole donnée à une grande dame à la dignité incarnée.  

    Nous lui exprimons tous nos vœux et redisons notre attachement à la famille de France, pour tout ce qu'elle continue de représenter de positif et de pérenne pour notre pays. 

    Source : La Couronne - Photo : magazine Royals

  • L'affaire Louis XVII, c'est avant tout la préfiguration et la matrice des horreurs totalitaires du XXe siècle ! A ne pas

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    Cliquez sur l'image

     

    « L'affaire Louis XVII, c'est avant tout la préfiguration et la matrice des horreurs totalitaires du XXe siècle ! »

    Le mystère Louis XVII

    21 janvier 1793. Sur la place de la Révolution, à Paris, Louis XVI est guillotiné. Neuf mois plus tard, Marie-Antoinette est décapitée à son tour. L'héritier du trône, Louis XVII, reste écroué dans la prison du Temple. Le garçonnet décède dans sa cellule deux ans après la mort de ses parents, avant d'être jeté dans une fosse commune. Pourtant, 38 ans plus tard, un certain Charles Guillaume Naundorff, horloger allemand, se présente à Paris et affirme être Louis XVII. Le fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette a-t-il survécu ? Le petit mort du Temple était-il vraiment l'héritier du trône ? Des notes secrètes apportent un nouvel éclairage sur ce mystère. ♦ 

    A ne pas rater : L'ombre d'un doute de Franck Ferrand, ce soir, à 20h45, sur FR3    

    Source : FR3

     

  • Un 31 janvier à Nancy ... A ne pas rater ... C'est aujourd'hui

     

    DIMANCHE 31 JANVIER 2016 A NANCY

    Messe pour le repos de l’âme du Roi Louis XVI

    à 10 h 30 Eglise Marie-Immaculée 32 avenue du général Leclerc à Nancy

    et à partir de 12 h 30 

    Fête des Rois de l’U.S.R.L.

    et de La LORRAINE ROYALISTE

    Repas suivi de la galette traditionnelle

    Auberge de « Maître Marcel »

    Angle Routes de Martinvaux et Maron – Chaligny

    Allocutions de

    Jean-Marie CUNY - Jean-François GICQUEL 

    Paul LUPORSI - Philippe SCHNEIDER 

    Prix comprenant un apéritif, le plat principal, la galette et une boisson :

    22 € par personne avec Choucroute royale comme plat principal (option 1)

    ou pavé de sanglier sauce poivrade et spaetzles fraiches (option 2)

    10 € pour les enfants (nuggets de poulet, frites, galette, une boisson)

    S'inscrire au plus tôt auprès de La Lorraine Royaliste, 284 avenue de la Libération, 54000 Nancy ou par courriel à lalorraineroyaliste@yahoo.fr ou téléphone au 06 65 64 72 17.

     

  • Le poulet du Sujet, par Guy Adain.

    Au Roi !

     

    Si l’on veut qu’il revienne, encore faut-il l’appeler !

    Pour le trouver, c’est simple, il est encore « sous le boisseau alors que sa place est sur le chandelier pour éclairer toute la Maison France… »

    Pourtant nous ne manquons pas de « Lumières »… mais :

    « Les Lumières » ne sont pas La Lumière !

    Les unes, illuminent jusqu’à l’aveuglement dans un feu…d’artifices… entretenu, pour que l’on y voie que du feu… et que l’on chemine en godillots au son de l’En-marche funèbre.

    L’ autre éclaire et montre la voie.

    L’un est éclairé, il est « La Lumière de France. »

    L’autre illuminé, actionne les feux de la rampe et les « spot light » de la consommation mondialisée.

    Le virus avance masqué, il est mieux loti que nous !

    Mais au bout du compte nous vaincrons car nous avons une aide précieuse en ce mois de Mai, mois de Marie notre espérance.

    Prions Marie, elle protègera la France et le Monde.

     

    Guy Adain

    05/V/2020

  • Sur TV Libertés, Notre-Dame de France se prépare à sillonner le pays.

    "Terres de mission", Guillaume de Thieulloy reçoit le 22 mars l'écrivain Alain Pascal qui présente son dernier ouvrage sur "Le siècle des ténèbres" - une dénonciation du caractère anti-catholique, et parfois même luciférien, des philosophes dits "des Lumières".

    Julien Clos, porte-parole de l'association des Pauvres chevaliers du Christ, réunissant des jeunes gens pour protéger les églises, invite ensuite à la deuxième marche contre la christianophobie qui aura lieu à Nice le 5 avril prochain. (Marche contre la christianophobie annulée. Pour en savoir plus, écrivez à Julien Clos : pauvreschevaliersduchrist@yahoo.fr)

    Enfin, Jacques et Marie-Anne, bénévoles du pèlerinage de Notre-Dame de France, présentent ce magnifique projet du "M de Marie" qui va commencer au mois de mai à Lourdes et La Salette, passer par Pontmain et la rue du Bac pour finir le 15 août à Pellevoisin, traversant ainsi une bonne partie de la France.


  • Une sélection d'articles de qualité : La Semaine de Magistro...

    - Christophe GEFFROY Journaliste, directeur fondateur de La Nef : Le retour de l’ordre moral
    - Marie-Noëlle TRANCHANT Journaliste culturelle : Jeanne, si petite et si grande
    - Chantal DELSOL Membre de l'Institut : Les droits de l’homme sont-ils sans limite ?
    - Henri HUDE Philosophe : Sur les droits de l'Homme. Une citation à méditer

    - Charles GAVE Economiste, financier : La déroute des hommes de Davos
    - Sophie de MENTHON Présidente d'ETHIC  (Entreprises de taille Humaine Indépendantes et de Croissance) : Pour en finir avec notre Etat profond… Très profond !

    - Maxime TANDONNET Ancien Conseiller au cabinet du Président de la République :     Le Moloch médiatique dévore ses propres enfants

    - Marie-Noëlle TRANCHANT Journaliste culturelle : Palmarès équilibré à la Mostra de Venise
    - Renaud GIRARD Journaliste, géopoliticien : Afghanistan, ne pas partir trop tôt !

  • En vente à la Librairie de Flore.

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    Ultra-Graal pour 18,00€ sur la librairie de flore !


    Éditions Pierre-Guillaume de Roux, 2020.


    Disponible sur commande

    Vers 1180, Chrétien de Troyes écrit Perceval et le Conte du Graal, après avoir rédigé Lancelot ou le Chevalier de la Charrette pour Marie de Champagne, fille d’Aliénor d’Aquitaine.

    C’est un conte écrit en octosyllabes et en "roman", c’est-à-dire en ancien français et non plus en latin.

    La littérature française, comme sa cousine anglo-normande des Plantagenêts, un dialecte très proche, est en train de naître dans les cours et sur les parvis des cathédrales.

    Les romans de Chrétien succèdent au poème épique de la Chanson de Roland, au XI siècle, où le mot "France" est utilisé pour la première fois, et aux chansons des troubadours, comme Guillaume IX d’Aquitaine, le grand-père d’Aliénor, puis aux Lais de Marie de France rassemblant la « matière de Bretagne ». (…)


    #librairiedeflore

  • Autour de nos amis, les Bertran de Balanda, ce dimanche, à Aix-en-Provence...

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    bouquet.jpgComme je vous l'avais annoncé, je me suis rendu avec Bayard à la cathédrale Saint Sauveur d'Aix, hier, dimanche 7 mars, pour assister à la Messe, dite en particulier en mémoire de Guy, d'Hubert (son beau-frère, mari de Bénédicte), et de Madame de Balanda.

    J'ai redit à tous les membres de la famille présents notre amitié et notre affection à tous : à Renaud, l'un des deux fils de Guy, à Hugues, son frère, à Bénédicte, sa soeur (et épouse d'Hubert de Lapeyrouse) ainsi qu'à Florence - son autre soeur - et à son mari.

    Je leur ai transmis également le salut et l'affection d'Annie Laurent (que la famille de Balanda connaît bien...) : je l'ai rencontrée samedi après-midi, et elle serait très volontiers "monté" avec moi si elle n'avait eu un rendez-vous ecclésial de longue date ce dimanche...

    Enfin le salut fraternel et militant de notre camarade, collaborateur et rédacteur Jean-Baptiste Colvert, qui apporta tout son concours et toute son aide à Guy quand il décida d'écrire l'histoire de sa famille...

    François Davin, Blogmestre

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  • Sur TV Libertés, l’implosion des Etats-Unis est-elle possible ? - Politique & Eco n°303.


    Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Yves-Marie Adeline pour un article paru dans "Lectures Françaises" n° 766 : "L'implosion de l'Amérique'.

    Après avoir parcouru toutes les formes de gouvernement possibles, il apparaît que la nation est la forme politique qui s’inscrit dans la durée. Une brève histoire de l’Amérique montre que la fédération des Etats-Unis manque singulièrement de substrat historique à la différence des pays d’Europe, de la Chine ou de la Russie. Bâtie sur le rêve américain et l’idéologie démocratique, elle est en réalité une oligarchie ploutocratique. La récente élection de Joe Biden a signifié la victoire de l’Etat profond contre Trump, la dérive à gauche du parti démocrate et une nouveauté :

    une curieuse orientation socialiste. Désormais, deux moitiés du pays ne veulent plus vivre ensemble et cela représente un risque potentiel, moins de guerre civile que d’explosion du régime. Les conséquences géopolitiques sont considérables eu égard à la puissance militaire et maritime des Etats-Unis. Dans cette affaire, la France, puissance à la fois terrestre et maritime, est partagée mais condamnée à la vassalité américaine. Pour conclure, Yves-Marie Adeline cite Freud : "L’Amérique est gigantesque, il est vrai, mais c’est une gigantesque erreur".