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  • Les sourds et la muette, par Elisabeth Lévy.

    Le président Macron à la Ferme du Cuin (légion étrangère), Saint Gauderic (11), le 12 mars 2021 © ELIOT BLONDET-POOL/SIPA Numéro de reportage : 01008954_000031

    Des Gilets jaunes en uniforme?

    Il flotte un petit air de Gilets jaunes dans les casernes.

    On dira que le pouvoir l’a bien cherché. Après la publication de la première tribune, celle des généraux en retraite qui s’alarmaient du délitement de la France, la macronie s’est répandue en criailleries hors de propos, dénonçant factieux, putschistes et autres séditieux.

    3.jpegRejoignant en cela le chœur des vierges de gauche qui, entre deux assassinats de policiers, entendaient des bruits de bottes. Quant à la ministre des Armées, droite dans les siennes, elle a réagi en parfait petit chef, promettant sanctions et tracasseries à des vieux de la vieille qui, deuxième section ou pas, ont quitté l’armée d’active. Il aurait peut-être suffi d’un mot présidentiel, laissant entendre que, malgré tout, le message était passé et qu’on entendait en haut lieu les inquiétudes de ces fidèles serviteurs de l’État, pour désamorcer la suite. 

    À l’armée, le respect des anciens n’est pas seulement un slogan compassionnel destiné à montrer sa bonté. Le mépris et les sarcasmes déversés sur des hommes qui, quoi qu’on pense d’eux, ont accepté (par contrat) de risquer leur peau pour nous et pour pas un rond, semblent en avoir énervé plus d’un dans les popotes et mess. D’où la tribune numéro deux, signée par des militaires d’active placé sous le patronage du couplet des enfants de La Marseillaise – qui commence par « Nous entrerons dans la carrière quand nos aînés n’y seront plus » et se termine par « nous aurons le sublime orgueil de les venger ou de les suivre ». Les signataires font les deux à la fois pour leurs anciens, plantant au passage une sacrée épine dans le pied de l’exécutif. 

    Il est assez curieux de leur reprocher leur anonymat quand on se pâme devant le moindre « lanceur d’alerte » dénonçant les turpitudes de son entreprise, de son institution ou de son patron, qu’on s’émerveille devant metoo et sa cohorte de mains dans la culotte de ma sœur alléguées tout aussi anonymement et sans preuve. L’ami Geoffroy Lejeune, patron de Valeurs actuelles, garantit que les signataires initiaux sont effectivement des soldats d’active (et bien entendu je le crois, mais j’ignore quelle proportion des 163 137 signataires enregistrés lundi à 17 heures ils représentent). On voit mal comment ils parleraient ouvertement puisque cela leur est interdit, et cela vaut pour tous les fonctionnaires astreints à un devoir de réserve. Personne ne s’indigne parce que le Watergate a été déclenché et mené de bout en bout par un officier de renseignement. Gorge profonde a transgressé toutes les règles de son institution, sans doute parce qu’il pensait que l’intérêt supérieur du pays l’exigeait. 

    Cette tribune s’adresse personnellement au président de la République, aux ministres, parlementaires et officiers généraux. Le « délitement » a cédé la place à la « déchéance ». Et cette déchéance, écrivent-ils, « précède l’effondrement ». Il y est question des « camarades qui ont offert leur peau pour détruire l’islamisme auquel vous faites des concessions sur notre sol ». De leur expérience dans Sentinelle, ils tirent un portrait douloureux de notre pays : « Nous voyons la violence dans nos villes et villages. Nous voyons le communautarisme s’installer dans l’espace public, dans le débat public. Nous voyons la haine de la France et de son histoire devenir la norme. » Aussi, ils en sont certains : « la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement ». En réalité, personne ne peut savoir parfaitement qu’une guerre civile couve. J’ignore quant à moi si cette phrase relève de la lucidité du désespoir ou d’un pessimisme excessif. Que la France soit traversée par de multiples fractures, il faudrait avoir été en hibernation depuis dix ans pour l’ignorer. Sommes-nous pour autant proches de la guerre civile, j’ai du mal à le croire mais peut-être devrai-je reconnaître dans un futur proche que j’étais une somnambule. On laissera chacun se faire son idée, laquelle varie d’ailleurs au gré de l’actualité et de l’humeur. 

    En attendant, contrairement à mon cher William Goldnadel, et en dépit et de l’admiration que m’inspirent ceux qui choisissent le métier des armes, je ne signerai pas ce texte des deux mains, ni d’aucune d’ailleurs. 

    Inutile de jouer à se faire peur, il ne contient nul appel à la sédition. « Oui, si une guerre civile éclate, l’armée maintiendra l’ordre sur son propre sol, parce qu’on le lui demandera », peut-on encore y lire. Ce qui signifie qu’elle n’interviendra pas si on ne le lui demande pas. 

    Le problème n’est pas que le constat soit éventuellement exagéré mais qu’il traduise une opinion politique. Peu importe que celle-ci soit ou non pertinente (et en l’occurrence elle l’est au moins en partie), elle rompt avec une tradition démocratique bien établie : la neutralité politique de l’armée. Certes, de Gaulle fait de la politique, dès 1934 quand il publie Vers l’armée de métier, et surtout en 1940. D’abord, pas le moindre de Gaulle à l’horizon. Ensuite, en 1940, la légalité républicaine s’était effondrée. Nous n’en sommes pas là. 

    On peut penser tout le mal qu’on veut du président de la République et de ses lubies déconstructrices, mais il est élu, ce qui signifie que, comme dirait Mélenchon, sa personne est sacrée. Et il est le chef des armées. Le boulot des militaires, c’est de lui obéir, à moins que sa forfaiture ait été établie et/ou leur intervention requise dans les conditions prévues par la Constitution. En parlant de « fourberie », de « lâcheté » et de « perversion » à propos des autorités politiques et de leur propre hiérarchie, les signataires transgressent la règle première de leur institution, celle qui fait sa force : la discipline, le respect du chef. Tous les soldats veulent que l’État qu’ils servent soit fort et ils ont raison. Le risque est qu’en contestant frontalement ceux qui le dirigent, ils contribuent encore à son affaiblissement. 

    Reste à savoir si nos gouvernants sont capables de répondre autrement que par des sanctions, des invectives et des tout ça c’est rien que de la racaille d’extrême droite. Si leur seule réaction est de lancer une chasse aux sorcières pour démasquer les contrevenants, elle ne fera que mobiliser autour de leurs camarades de nombreux militaires qui, aujourd’hui, se tiennent à l’écart de cette agitation. Dans la foulée, les policiers, qui en ont gros sur la patate et on les comprend, pourraient eux aussi vouloir interpeller leurs chefs. Et puis, pourquoi pas les Préfets qui, eux aussi, sont aux premières loges pour assister à ce qui se passe, qu’on le nomme délitement, déchéance ou ensauvagement. Autrement dit, si le pouvoir répond par la répression et le raidissement idéologique, il pourrait bien encourager une nouvelle forme de protestation au sein même de l’appareil régalien de l’État. Tous ces fonctionnaires astreints au devoir de réserve ne peuvent pas se mettre en grève et ceux qui ont le droit de manifester comme les policiers savent que cela ne sert pas à grand-chose. En revanche, ils peuvent ouvrir leur gueule – et vu le raffut provoqué par deux tribunes, la méthode risque de faire des émules. 

    S’il ne veut pas se retrouver confronté à des Gilets jaunes en uniforme, le pouvoir doit jouer fin, désapprouver sans doute, quoiqu’avec modération, mais en montrant qu’il comprend l’angoisse de disparition que nous sommes beaucoup à éprouver. En attendant, ne nous y trompons pas : ce que nous devons craindre, ce n’est pas une intervention intempestive des militaires ou des policiers, c’est qu’arrive un jour où ils refuseront d’intervenir. 

     

    Fondatrice et directrice de la rédaction de Causeur. Journaliste, elle est chroniqueuse sur CNews, Sud Radio... Auparavant, Elisabeth Lévy a notamment collaboré à Marianne, au Figaro Magazine, à France Culture et aux émissions de télévision de Franz-Olivier Giesbert (France 2). Elle est l’auteur de plusieurs essais, dont le dernier "Les rien-pensants" (Cerf), est sorti en 2

    Source : https://www.causeur.fr/

  • Les gauchistes attaquent la librairie Les Deux Cités à Nancy. Où sont les défenseurs des libertés ?

    L’Action Fran­çaise ne peut que mani­fes­ter son entière soli­da­ri­té avec la librai­rie des deux cités vic­time de la bar­ba­rie imbé­cile de sans-culottes incultes. Nous avions reçu Syl­vain Durain (au CMRDS ce mois d’aout), auteur de plu­sieurs ouvrages dont le très inté­res­sant : « éco­no­mie médié­vale et pou­voir féo­dale ». La revue Élé­ments nous livre ici un entre­tien presqu’à chaud avec Alexis For­get sur les inci­dents sur­ve­nus dans la librai­rie nan­céenne mar­di der­nier (NDLR)

    6.jpgLa librai­rie Les Deux Cités, à Nan­cy, vient de subir une nou­velle attaque gau­chiste, un an après son ouver­ture, mar­quée déjà par un déchaî­ne­ment de sot­tises et de vio­lence. FSU, Soli­daires, CGT et autres s’étaient alors « cou­ra­geu­se­ment » ligués contre Alexis For­get et Syl­vain Durain, fon­da­teurs et gérants de la librai­rie. Hier, mar­di 21 sep­tembre, c’était le ban et l’arrière-ban du gau­chisme pas­tèque – vert à l’extérieur, rouge à l’intérieur – qui ont fait bru­ta­le­ment irrup­tion dans la librai­rie, ren­ver­sant les rayon­nages et mena­çant le libraire. Évi­dem­ment, les jour­naux n’en ont pas par­lé. Évi­dem­ment, on n’a pas enten­du le ministre de la Culture s’indigner. Évi­dem­ment, la plu­part des confrères, plus empres­sés à cacher le livre de Zem­mour, n’ont pas levé le petit doigt. Silence radio – com­plice donc. Qui sou­tien­dra Les Deux Cités ? Nous, vous ! Nous avons inter­ro­gé Alexis For­get qui, hier, a reçu la visite de ces bar­bares repeints aux cou­leurs anti­nu­cléaires qui, en fait de déchets et d’enfouissement, en connaissent un rayon

    ÉLÉMENTS : Racon­tez-nous l’assaut que vous avez subi hier ? Appa­rem­ment des mani­fes­tants réunis à Nan­cy contre le pro­jet d’enfouissement de déchets nucléaires à Bure, dans la Meuse, après avoir été négli­gem­ment dis­per­sés par la police, ont déci­der de pous­ser jusqu’aux portes des Deux Cités. Ce n’était pas une visite de courtoisie ?

    ALEXIS FORGET. Dans son ouvrage, Psy­cho­lo­gie des foules (1895), Gus­tave Le Bon décor­ti­quait le carac­tère irrai­son­né de la masse en mou­ve­ment et ce qui s’est pro­duit hier ne fait pas excep­tion. Peu avant midi, une horde sau­vage d’une tren­taine d’hères a sur­gi devant la vitrine nan­céienne, scan­dant les cris habi­tuels et tam­bou­ri­nant sur la vitre tan­dis que quelques-uns pra­ti­quaient les arts plas­tiques. Le temps de sor­tir et de voir pié­ti­ner une ardoise com­mer­ciale – qui a fini par être empor­tée par le tor­rent –, je me suis fait pous­ser à deux reprises contre la vitrine tan­dis qu’un des inver­té­brés en pro­fi­tait pour s’introduire dans la librai­rie et, après avoir envoyé au sol deux rayon­nages (conte­nant des titres de La Nou­velle Librai­rie ou encore 1984 d’Orwell, la sym­bo­lique est grande), sub­ti­li­sait mon télé­phone por­table lais­sé sur le comptoir.

    ÉLÉMENTS : Cette attaque a‑t-elle sus­ci­té des réac­tions à Nan­cy et ailleurs, de soli­da­ri­té, on l’espère ? D’hostilité ? Ou bien une absence de réac­tion, silence – élo­quent, cela va sans dire – sur les exac­tions de l’extrême gauche ?

    ALEXIS FORGET. Au moment des faits, des com­mer­çants et res­tau­ra­teurs voi­sins à qui je tiens à rendre hom­mage sont rapi­de­ment inter­ve­nus pour se pla­cer en pro­tec­tion devant la vitrine, qu’ils en soient ici cha­leu­reu­se­ment remer­ciés. Quant à une réac­tion des pou­voirs publics de la ville, nous l’attendons encore : les membres du conseil muni­ci­pal (PS, PCF, EELV) font, depuis un an, le maxi­mum pour qu’aucune ren­contre n’ait lieu et, espé­rant me trom­per, je ne crois pas à une visite pro­chaine. Inutile de pré­ci­ser que si l’agression avait lieu à l’encontre d’un autre com­merce, les bonnes âmes se seraient pré­ci­pi­tées à son che­vet. Il ne fait pas bon être conser­va­teur à Nancy.

    ÉLÉMENTS : Que vous ins­pirent ces attaques à répé­ti­tion. On gave les étu­diants en jour­na­lisme et les appren­tis en librai­rie de prin­cipes solen­nels, on y répète en boucle le mot de Hen­ri Heine : « Là on l’on brûle des livres, on brû­le­ra bien­tôt des hommes. » Mais en véri­té on s’en fout, des livres… On peut les brû­ler à volon­té dès lors qu’ils ne cor­res­pondent pas à la doxa dominante ?

    ALEXIS FORGET. C’est la fameuse phrase du révo­lu­tion­naire Louis Antoine de Saint-Just : « Pas de liber­té pour les enne­mis de la liber­té » ; puisque per­çus comme des enne­mis du Pro­grès et de l’humanisme, nos droits ne sont pas les mêmes que ceux qui se situent du bon côté de la ligne. Il y a de fac­to, en France, une dis­cri­mi­na­tion opé­rée par ceux-là même qui se réfèrent pour­tant ad nau­seam à la Consti­tu­tion avec, en réa­li­té, des citoyens plus égaux que d’autres, selon la célèbre formule.

    ÉLÉMENTS : Vous avez dépo­sé une plainte auprès du commissariat ?

    ALEXIS FORGET. Bien sûr. Nous avons dépo­sé plainte hier après-midi pour vio­lence légère et vols avec dégra­da­tions. Ce ne sera que la cin­quième plainte depuis un an. Peut-être les pou­voirs publics s’empareront-ils du sujet quand un cock­tail Molo­tov aura été jeté dans le maga­sin… Après tout, ce sont les menaces enten­dues hier.

    ÉLÉMENTS : L’aventure se pour­suit plus que jamais ?

    ALEXIS FORGET. Avec Syl­vain, nous ne recu­le­rons pas. La bêtise et l’ignorance ne ser­vi­ront pas de pré­textes à des bar­bares illet­trés qui par­ti­cipent de la déca­dence de notre civi­li­sa­tion, aus­si qu’ils conti­nuent à agres­ser à piller : par leurs actions, la majo­ri­té habi­tuel­le­ment silen­cieuse se réveille.

    Le site de la Librai­rie Les Deux Cités

    Source : https://www.revue-elements.com/

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    L'antisémitisme tranquille et assumé de LFI !

    (source : BFM/TV)

    "UNE FAUTE" : POUR BOMPARD, LES ÉLUS QUI BOYCOTTENT LES JOURNÉES D'ÉTÉ (des escolos, ndlr) À CAUSE DE MÉDINE "CÈDENT" À L'EXTRÊME DROITE !

    https://www.bfmtv.com/politique/la-france-insoumise/une-faute-pour-bompard-les-elus-qui-boycottent-les-journees-d-ete-a-cause-de-medine-cedent-a-l-extreme-droite_AV-202308230244.html#xtor=CS9-144-[twitter]-[BFMTV]

    Problème ! : on se souvient que, lorsque Maurras fut "retiré" des personnalités à commémorer (en 2018) le député LFI Alexis Corbière avait justifié ce scandale en taxant Maurras d' "antisémite" !!!!!

    Se gardant bien - lui, le soi-disant professeur d'histoire - de citer ce passage de Maurras :  "L’antisémitisme est un mal si l’on entend par là cet antisémitisme de « peau » qui aboutit au pogrom et qui refuse de considérer dans le Juif une créature humaine pétrie de bien et de mal, dans laquelle le bien peut dominer. On ne me fera pas démordre d’une amitié naturelle pour les Juifs bien nés..."

    À LFI, on n'a que faire de l'histoire, de la vérité, de l'honnêteté intellectuelle...

    Comme quand - pour ne prendre que cet exemple - les deux députées LFI Obono et Simmonet ont reçu joyeusement l'antisémite Corbyn, viré du Parti travailliste pour... anti-sémitisme !

    Législatives: deux candidates LFI critiquées pour s'afficher avec Jeremy  Corbyn

    C'est cette tartuferie, cette imposture, ce scandale que nous dénonçons chaque jour sur la page d'accueil de notre Quotidien :

    (1/2) Ce qu'on ne pardonne pas à Maurras. Ou : Tartufferie d'un reproche...

    (2/2) Maurras est ostracisé, "interdit" par le Système, pour cause d'antisémitisme. Bon, mais tous ceux-ci, qui ont écrit des propos très durs sur les Juifs, ne le sont pas : pourquoi ?

     

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    Rappel historique, pas forcément inutile...

    La veille, 23 août, le Pacte Germano-Soviétique (ou "Hitler-Staline") a été signé; et, bien entendu, les communistes français "suivent" comme un seul homme, et cela durera jusqu'au 22 juin 1941, soit un an et dix mois tout de même de "franche collaboration" avec les nazis...

    Eh, oui ! Les cocos ? Les premiers Collabos !...

     

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    1. Au fou ! En parlant de l'esclavage transatlantique un juge (?) de l'ONU a exhorté le Royaume-Uni à payer 24.011 milliards de $ de réparations pour ce qu'il considère être "le plus grand crime de l’humanité"; la France 9.288 milliards de $...

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    Juste réponse de Noir Lys à cette cinglerie de foldingue :

    "Question : combien doivent rembourser les descendants de vendeurs d’esclaves qui enlevaient leur voisins sur les marchés aux esclaves d’Afrique depuis des millénaires ?"

     

    2. Dépénaliser le cannabis ? D'accord avec Philippe Ballard (et tant d'autres :

     CERTAINEMENT PAS !

    NI AUJOURD'HUI, NI DEMAIN, NI JAMAIS !

    "...Au lieu de relancer un débat sur la dépénalisation du cannabis dont des études scientifiques montrent la dangerosité de cette substance, Sandrine Rousseau et ses camarades devraient s’occuper de la complaisance des verts avec l’#antisémitisme..."

    (extrait vidéo 1'23)

    https://twitter.com/BallardPhilippe/status/1693964642282848325?s=20

    Non à la légalisation du cannabis

     

    3. Dans Front populaire (extrait de l'article de Paul Zeppenfeld) : OPINIONS - IMMIGRATION Séparatisme des quartiers : vers deux France irréconciliables ?

    CONTRIBUTION / OPINION. Les émeutes de juin dernier ont explosé à la figure des bien-pensants, qui n’ont pu nier davantage l’ampleur du séparatisme dans les quartiers. Mais est-ce désormais trop tard ?

    Depuis les émeutes de 2005, les responsables politiques avaient simplement mis la poussière sous le tapis, priant pour que la formule d’Henri Queuille, président du Conseil sous la IVᵉ République, s’avère exacte : « Il n’est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout. »

    Par ses apostrophes et sa politique pénale, Nicolas Sarkozy avait montré ses muscles. Emmanuel Macron a usé de prophéties autoréalisatrices en qualifiant la Seine–Saint-Denis de « Californie sans la mer », tout en répétant qu’il suffisait de traverser la rue pour trouver un emploi. Les banlieues cristallisent, on ne peut mieux l’échec politique des quarante dernières années. Ces territoires illustrent l’incompétence des gouvernements à résoudre les défis majeurs en termes d’immigration, d’intégration, d’insécurité et d’autorité de l’État. Peut-être faut-il y voir un lien : le débat sur les quartiers populaires est en permanence phagocyté par un affrontement idéologique outrancier et les acteurs politiques sont tétanisés devant l’immensité du chantier.

    La gauche et la droite n’ont pas la même perception du phénomène. Pour la droite, l’immigration doit être régulée avec fermeté et l’ensauvagement de la société doit trouver une solution judiciaire. À gauche domine le sentiment que la réussite de l’intégration dépend de la générosité de la politique de la ville, des aides sociales. Un sentiment mêlé à une foi inébranlable dans la capacité d’intégration des populations immigrées.

    La vulgate de gauche conduit à prendre fait et cause pour les habitants des quartiers parce qu’ils les assignent dans le camp des opprimés, réduits à leur appartenance à une minorité, victimes de discriminations et de violences policières, de racisme systémique et en situation de précarité. À droite et chez une majorité croissante de Français, un rejet plus vif de l’immigration se fait jour...

    Séparatisme des quartiers : vers deux France irréconciliables ?

     

    4. Quand Bruno Attal tacle vigoureusement Martine Aubry, et lui assène le "pan sur le bec" qu'elle a bien mérité !...

    1. La déclaration de Sa Suffisance, Martine :

    "À Lille, depuis 3 ans, nous avons fait le choix d’offrir l’intégralité des fournitures scolaires aux enfants lillois en primaire. Un soutien aux parents qui font face à une inflation encore forte, pour l’égalité de tous les enfants dans l’accès à la scolarité..."

    2. Le "pan sur le bec" de Bruno Attal :

    "Il faudrait que les politiques arrêtent ce narratif : «  Nous offrons » Vous n’offrez rien du tout, vous redistribuez l’argent des Français, en prenant au passage votre salaire et vos frais !!!"
     
    De Nombreuses Mains Différentes Avec Le Pouce Levé, Isolées Symbole  D'approbation Et De Consentement Photo stock - Image du augmenté, idée:  162426904
     

    5. (Source : Sud Radio) Nucléaire : l'ASN autorise un réacteur nucléaire à fonctionner jusqu'à 50 ans... : "Les calculs avaient été faits pour 40 ans. Après de nouvelles études, on se rend compte qu'ils pourront fonctionner bien plus longtemps. La durée de vie d'un réacteur nucléaire parfaitement entretenu peut être de 80 ans..."

    https://www.la-croix.com/Economie/Nucleaire-premier-reacteur-autorise-fonctionner-jusqua-50-ans-Tricastin-2023-08-22-1201279653

    Le réacteur numéro un de la centrale du Tricastin redémarre après sa visite  des 40 ans

    C'est une première pour le parc nucléaire français. Par une décision rendue publique le 10 août, l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) autorise un premier réacteur, le réacteur numéro 1 de la centrale du Tricastin (dans la Drôme, ci-dessus), à fonctionner jusqu'à cinquante ans...

     

    6. Les 26 et 27 Août prochains...

     

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    (extrait de notre Éphéméride du 4 Août)

    De Jacques Bainville, Histoire de France, chapitre V, Pendant 340 ans, l'honorable maison capétienne règne de père en fils :

    "Saint Louis représente un retour à l'idée du prêtre-roi. Il est en harmonie avec son temps, celui de saint Thomas d'Aquin, marqué par un renouveau de foi chrétienne. Toutes proportions gardées, c'est ainsi qu'après les encyclopédistes, le début du dix-neuvième siècle verra le Génie du christianisme et une renaissance religieuse.

    Mais la monarchie a grandi, Louis IX, ce n'est plus le pieux Robert qui s'enfermait dans son oratoire. La monarchie a des devoirs, des traditions, une vitesse acquise. Saint Louis continuera ses prédécesseurs. Seulement il les continuera en développant un élément que, jusqu'à lui, la dynastie capétienne n'avait qu'à peine dégagé. Les qualités de sa race, il les poussera jusqu'à la vertu, jusqu'à la sainteté.

    La royauté française était un peu terre à terre. Par lui, elle prendra un caractère de grandeur spirituelle dont elle gardera toujours le reflet. On a remarqué que la plupart des autres maisons royales ou impériales d'Europe avaient pour emblèmes des aigles, des lions, des léopards, toutes sortes d'animaux carnassiers. La maison de France avait choisi trois modestes fleurs. Saint Louis a été la pureté des lis..." 

     

     

    7. LIBERTÉ POUR FLORIAN,

    EN PRISON DEPUIS DEUX MOIS,

    POUR AVOIR SAUVÉ DES VIES !

     

  • JOYEUSES PAQUES !

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    Evangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Marc 16, 1-9) :

     
    "...Le sabbat terminé, Marie Madeleine, Marie, mère de Jacques, et Salomé achetèrent des parfums pour aller embaumer le corps de Jésus... En entrant dans le tombeau, elles virent, assis à droite, un jeune homme vêtu de blanc. Elles furent saisies de peur. Mais il leur dit :

    "N'ayez pas peur ! Vous cherchez Jésus de Nazareth, le Crucifié ? Il est ressuscité : il n'est pas ici. Voici l'endroit où on l'avait déposé. Et maintenant, allez dire à ses disciples et à Pierre : 'Il vous précède en Galilée. Là vous le verrez, comme il vous l'a dit."..."

  • La dizaine de magistro...

    Poujade ou Calvin ? Denis TILLINAC écrivain, chroniqueur
    Baaria Marie-Noëlle TRANCHANT Journaliste culturelle
    "Aider l’enfant à devenir soi" ? Aldo NAOURI médecin, pédiatre
    Boucs émissaires Chantal DELSOL Membre de l'Institut
    L'affaire Woerth Ivan RIOUFOL Journaliste
    Guignol à tous les étages Denis TILLINAC écrivain, chroniqueur
    L'essor du populisme Ivan RIOUFOL Journaliste
    Les femmes devant le déclin démographique Yves-Marie LAULAN Economiste, géopoliticien
    Europe-Amérique, l'unité utile face à la Chine et non en Afghanistan Roland HUREAUX Haut fonctionnaire
    Le mythe du gouvernement mondial Eric ZEMMOUR Journaliste, écrivain

    Ces articles sont sur le site  www.magistro.fr  consultable à tout instant

  • Famille de France • La princesse Antoinette de France a fêté hier ses cinq ans ... Joyeux anniversaire !

     

    La princesse Antoinette, Léopoldine, Jeanne, Marie, fille de Leurs Altesses Royales le Duc et de la Duchesse de Vendôme, a célébré hier en famille son cinquième anniversaire.

    La petite princesse est née le 28 janvier 2012 à Vienne en Autriche dans un hôpital dont la création avait été décidée par l’empereur Joseph II d’Autriche, frère de la reine Marie-Antoinette.

    La princesse Antoinette de France vit avec ses parents le Dauphin et la Dauphine de France dans leurs résidence du domaine royal de  Dreux, en compagnie de ses frères le prince Gaston de France et le prince Joseph de France, ainsi que sa petite sœur la princesse Louise-Marguerite de France.

    Nous lui souhaitons un Joyeux Anniversaire. Lafautearousseau 

    Source La Couronne

  • Samuel Paty : faillite à tous les étages, par Rémi Carlu.

    La décapitation de Samuel Paty est le résultat d’une longue suite de défaillances et de compromissions, à tous les niveaux. Services de renseignement et justice ont failli dans l’appréhension du risque, alors que la presse et les hommes politiques de gauche sont coupables de leur duplicité.

    Vendredi, en sortant de classe, le professeur d’histoire Samuel Paty a été sauvagement décapité par un terroriste islamiste d’origine tchétchène. Comme après chaque attentat, malheureusement devenus légion ces dernières années, le légitime concert de larmes et d’hommages s’est ensuivi tout le week-end. Dans de nombreuses villes, les Français se sont rassemblés dimanche pour pleurer la victime et crier leur colère, colère bien légitime dans le cas d’espèce tant les autorités, à tous les niveaux, ont failli.

    Les renseignements et la justice défaillants

    Indéniablement, les services de renseignements ont trop rapidement conclu à un apaisement de la situation. Révélée par Le Point, une note du renseignement des Yvelines datant du 12 octobre retrace l’ensemble des événements survenus au collège du Bois d’Aulne jour après jour. Le 5 octobre, dans un cours relatif à la laïcité et à la liberté d’expression, Samuel Paty dévoile les caricatures de Charlie Hebdo, après avoir prévenu ses élèves et proposés à certains de sortir la salle. L’épisode aurait déclenché « une vive polémique chez certains parents de confession musulmane, considérant qu’il s’agit d’une véritable offense ».

    Dès le lendemain, la principale du collège reçoit « des messages anonymes de protestation via la boîte mail de l’établissement ». Le 7 octobre, une famille contacte la principale, expliquant que sa fille aurait été mise à l’écart du cours parce que musulmane. La direction aurait alors demandé au professeur de rencontrer la famille et de s’excuser s’il avait été maladroit. Le 9 octobre, la hiérarchie de la principale du collège décide d’envoyer sur place un inspecteur de l’équipe laïcité et valeurs de la République pour « accompagner la principale lors d’un entretien avec le professeur pour notamment lui rappeler les règles de laïcité et de neutralité ». Ils auraient conforté le professeur dans la manière dont il a exposé son cours. On apprenait en tout cas que le président Emmanuel Macron avait modifié les règles de nomination au rectorat afin d’y pouvoir nommer une ancienne camarade de promotion à l’ENA.

    Des organes influents au sein des réseaux islamistes se sont emparés de l’affaire, et ont utilisé la caisse de résonance des réseaux sociaux pour jeter le professeur en pâture, lançant de facto une fatwa contre lui et rétablissant par la terreur un délit de blasphème

    Brahim C., le père d’une jeune fille qui n’était pas présente lors du cours, est reçu par le chef d’établissement, accompagné d’un certain Abdelakhim Sefrioui, imam fiché pour radicalisation à caractère terroriste au FSPRT, qui s’est présenté en « responsable des imams de France » auprès de la direction. Suite à cette rencontre, les deux hommes se sont appliqués à faire monter la tension dans deux vidéos largement relayées sur les réseaux sociaux. Le père, qui a communiqué les coordonnées du collège et l’identité du professeur, appelait à la mobilisation pour faire renvoyer Samuel Paty – « ce voyou ne doit plus enseigner à nos enfants » – alors que Sefrioui dénonçait le fait que depuis « cinq-six ans, des enfants de 12-13 ans, des musulmans, sont choqués, sont agressés, sont humiliés devant leurs camarades. […] On a dit qu’on exigeait la suspension immédiate de ce voyou ».

    Des organes influents au sein des réseaux islamistes se sont emparés de l’affaire, et ont utilisé la caisse de résonance des réseaux sociaux pour jeter le professeur en pâture, lançant de facto une fatwa contre lui et rétablissant par la terreur un délit de blasphème. La mosquée de Pantin avait notamment relayé les vidéos de Brahim C. avant de les supprimer. L’éducateur Daoud Tatou, qui a inspiré le rôle de Malik joué par Reda Kateb dans le film Hors norme, était un symbole de la bonne volonté et de la bonté banlieusarde. L’intéressé a pourtant relayé sur les réseaux sociaux la vidéo et a reposté sur sa page Facebook un message envoyé par le parent d’élève. Il a effacé tous les messages ce week-end ; ce lundi, il semble avoir disparu des réseaux sociaux.

    Les renseignements ont indéniablement sous-estimé la gravité de la situation : la note du 12 octobre stipule que la situation est « apaisée » entre les enseignants et les parents d’élèves qui, « reconnaissant une certaine maladresse du professeur, ne le désavouent pas pour autant ». Quatre jours plus tard, Samuel Paty était décapité au terme d’une opération sur laquelle la lumière reste à faire.

    Le professeur a été exécuté par Abdoulakh Anzorov, jeune homme de 18 ans d’origine tchétchène. Il habitat Évreux, à près de 80 km du lieu du crime, et était connu pour des faits de dégradation et de violence en réunion. Il était membre d’une bande d’Éragny fréquentée par un islamiste fiché S, mais n’était pas connu pour radicalisation.

    Quand le droit de l’hommisme dessert les Français : voilà le véritable point de départ de ce drame. Ce week-end, on apprenait qu’une décision de justice datant du 15 avril 2011 avait contraint l’État à octroyer un titre de séjour le statut de réfugié à la famille Anzorov, et ce alors que l’OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides) le lui avait préalablement refusé. C’est de cette manière que l’assaillant a pu obtenir de manière automatique une carte de séjour valable dix ans le 4 mars 2020, dès sa majorité.

    Le numéro d’équilibrisme de la gauche médiatique, associative et politique

    Confortablement assisse sur l’omerta du politiquement correct, la presse et les partis politiques de gauche ne cessent de dresser des procès en xénophobie à tous ceux qui osent pointer du doigt l’islamisation grandissante de la société française. Peu s’en faudrait d’ailleurs pour qu’une partie d’entre elle voit dans le comportement de Samuel Paty une provocation islamophobe. Toujours est-il qu’ayant pris l’habitude de donner la parole et de défendre de fausses victimes, la gauche médiatique, associative et politique a fait montre d’une prudence coupable dans leur traitement de l’information. France Inter, pourtant radio publique financée par les deniers du contribuable, a longtemps tardé à annoncer la décapitation de Samuel Paty. Dès le lendemain de l’attentat, Libération dégainait son habituel – et abject – article pour dénoncer une supposée récupération du drame par l’extrême droite. Maître en art du déni, le New York Times a scandalisé les internautes en titrant son article « La police française abat un homme après une attaque mortelle au couteau dans la rue ».

    Lors de l’hommage à Angers, Maryse Lepron (CGT) a profité de la tribune qui lui était offerte pour affirmer que « l’enseignement privé » et la « fraction réactionnaire de la mouvance catholique » constituaient des problèmes tout aussi fondamentaux

    Une partie d’entre elle a même franchi le Rubicon de l’indécence, de la malhonnêteté et de la trahison : lors de l’hommage à Angers, Maryse Lepron (CGT) a profité de la tribune qui lui était offerte pour affirmer que « l’enseignement privé » et la « fraction réactionnaire de la mouvance catholique » constituaient des problèmes tout aussi fondamentaux. Dans son « Humeur du matin » sur France Culture, Guillaume Erner partage le même diagnostic et ne traite que des catholiques pour expliquer que les fanatiques détestent l’humour. Abdoulakh Anzorov n’a-t-il pas crié Allah akbar ?

    Ce dimanche, toutes les formations politiques de gauche, La France Insoumise en tête, défilaient dans les rues françaises comme si de rien était, alors qu’on les sait toutes tiraillées en profondeur par le communautarisme musulman. Ayant abandonné la laïcité, et surtout la France, beaucoup d’entre elles trempent franchement dans l’islamo-gauchisme : le 10 novembre dernier, Mélenchon et ses amis défilaient aux côtés du CCIF. De même, la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE), l’une des trois principales fédérations de parents d’élèves, a certes condamné l’attentat, mais défend parallèlement le port du voile pour les accompagnatrices scolaires et les repas de substitution. De nombreux hommes politiques de droite et des personnalités publiques tels Eric Naulleau et Zineb El Rhazoui ont refusé de participer au rassemblement pour protester contre cette duplicité des gauches radicales. Si elle s’est sentie obligée d’être présente, c’est que l’extrême gauche est particulièrement mal à l’aise sur cette affaire. Paty était un professeur : LFI s’en trouve partagée entre les deux tenants de son électorat que sont les professeurs et le fonctionnariat d’un côté, les communautés musulmanes de l’autre.

    La gauche a en tout cas subi un terrible camouflet puisque une partie de ses idoles antiracistes se sont compromises ce week-end. Si on attend encore la réaction de Camélia Jordana, d’autres ont révélé au grand jour leur double-jeu. L’officine islamique qu’est le CCIF, qui n’est plus à présenter, n’a effectué qu’une publication minimaliste, dont on se demande si elle pleure la mort de Samuel Paty ou d’Abdoulakh Anzorov : « L’horreur renverse et paralyse. Le deuil devrait imposer le silence. Alors que certains veulent déjà récupérer cet acte sidérant à des fins racistes, personne n’empêchera la conscience humaine de prendre le temps de la douleur et de la tristesse ». Et a annoncé saisir la justice pour les diffamations subies.

    Entrepreneur en argent public qui multiplie la création d’associations militantes, Samuel Grzybowski a brillé de la même duplicité. Son association Coexister est subventionnée par l’État à hauteur de 150 000 euros et soutenue par des organisations gouvernementales et par de grandes villes françaises. Sous couvert de vivre ensemble, il défend pourtant une conception multiculturaliste de la société fondée sur la coexistence des communautarismes, notamment islamistes. Au détriment de la culture française, celui pour qui « il y a des choses intéressantes dans l’idéologie des Frères musulmans » communautarise au nom de la laïcité et racialise au nom du postcolonialisme. Il y a quelque temps, il twittait : « Il n’y a pas d’islamisme significatif en France. Ce mensonge répété ne vise qu’à faire peur et à détourner des vrais sujets ». Depuis la décapitation de Paty, Grzybowski, en proche du CCIF et de BarakaCity, a passé son week-end à tweeter pour défendre et la liberté d’expression et ces officines islamistes.

    Gérald Darmanin a annoncé vouloir dissoudre le CCIF et BarakaCity. Nicolas Cadène, rapporteur général de L’Observatoire de la laïcité, devrait être remplacé. À la tête de l’organisme gouvernemental créé en 2007 par Jacques Chirac, il est accusé de soutenir les mouvements intégristes, travaillant en étroite relation avec Coexister. Il aurait participé à des conférences avec des islamistes radicaux.

    Source : https://lincorrect.org/

  • Explosions africaines et ondes de choc, par Michel Servion.

    Comme le disait l’ancien pré­sident du Mali, Ibra­him Bou­ba­car Kei­ta « Si la digue est rom­pue au Sahel, ce sera l’invasion de l’Europe ». Non seule­ment la digue en Afrique avec le risque de voir le dji­had défer­ler vers l’Océan mais aus­si la digue qui fait écran avec l’Europe et d’abord avec la France.

    Depuis tou­jours les dia­spo­ras repré­sentent dans un pays don­né des popu­la­tions plus ou moins homo­gènes venues d’ailleurs et conser­vant à des degrés divers des mœurs, une culture, une reli­gion, une langue qui les carac­té­risent et leur per­mettent de per­sé­vé­rer dans leur être. Cette per­sé­vé­rance per­met leur épa­nouis­se­ment dans une pers­pec­tive de type fédé­ral ou du moins qui sait en prendre à son aise avec le tota­li­ta­risme jaco­bin. On par­le­ra alors de com­mu­nau­té.  Elles peuvent deve­nir des menaces pour l’unité natio­nale à pro­por­tion que le lien fédé­ra­tif (qui peut être le Roi ou le sen­ti­ment du des­tin com­mun selon Renan) se dis­tend ou s’affaiblit. Ces mêmes dia­spo­ras peuvent aus­si se dis­soudre dans une assi­mi­la­tion accep­tée – ou subie (la dia­spo­ra polo­naise, les Pieds Noirs, le Arméniens).

    Nous nous en tien­drons ici aux dia­spo­ras sub-sahariennes

    Ces dia­spo­ras sont pré­sen­tées à juste titre comme des traits d’union entre le Nord (les pays d’accueil) et le Sud (les pays de départ) et cela sous divers aspects : sou­tien au pays d’origine par des trans­ferts de fonds (30% du PIB como­rien est assis sur des trans­ferts d’argent Nord/Sud). On sait éga­le­ment que les trans­ferts Nord/Sud émanent pour les ¾ des dia­spo­ras contre ¼ éma­nant des bailleurs publics ; ren­for­ce­ment des soli­da­ri­tés cla­niques, fami­liales et tri­bales à tra­vers l’accueil réser­vés aux nou­veaux arri­vants ; par­ti­ci­pa­tion même mar­gi­nale aux ten­ta­tives de struc­tu­rer l’Espace Fran­co­phone Mon­dial (OIF) ; déve­lop­pe­ment des radios com­mu­nau­taires émet­tant en France. Il faut encore signa­ler les soli­da­ri­tés tenant au fait que les « migrants poli­tiques » ayant fuit leur pays appar­tiennent sou­vent à ou aux eth­nies vic­time de conflits civiles … ou d’élections per­dues. On mesure d’importance du pro­blème quand on voit avec quel soin les ambas­sades afri­caines sur­veillent leurs res­sor­tis­sants émi­grés. Les dia­spo­ras sont sou­vent des foyers d’oppositions pour les régimes en place.

    Peu à peu la donne change. Avec le déve­lop­pe­ment des com­mu­ni­ca­tions modernes les dia­spo­ras sont deve­nues des acteurs poli­tiques dans le pays d’origine.  Par les trans­ferts finan­ciers d’abord, et de plus en plus par le « trans­ferts de valeurs » acquises au Nord (reven­di­ca­tions démo­cra­tiques essen­tiel­le­ment). Au fil du temps les dia­spo­ras sont deve­nues actrices sociales dans les pays d’origine et même actrices poli­tiques, assez sou­vent contre le pou­voir en place.  Avec des suc­cès divers et sou­vent des phé­no­mènes de rejet de per­son­na­li­tés vou­lant « reve­nir au pays » pour y faire car­rière, comme ce fut le cas pour Kofi Yam­gnane (qui fut ministre Fran­çais) au Togo. On enten­dit même au Togo des invec­tives telles que « Kof­fi go home » Reste que socia­le­ment ou poli­ti­que­ment les dia­spo­ras pèsent sur le pays d’origine.

    Elles pèsent aus­si, et de plus en plus, sur le pays d’accueil. Plus rési­lientes, moins impres­sion­nées par les « valeurs » du pays d’accueil (on ima­gine les effets du mariage uni­sexe dans des popu­la­tions atta­chées à des valeurs tra­di­tion­nelles ou l’émergence d’une doxa LGBT qui ne demande plus à être recon­nue mais à être domi­nante), déve­lop­pant leur propres soli­da­ri­tés fami­liales, cou­tu­mières, tri­bales. Devant l’effritement de la socié­té fran­çaise, l’échec de son école, son repli indi­vi­dua­liste, les dia­spo­ras se rétractent, deviennent imper­méables au dis­cours du « pou­voir blanc ». Nous pou­vons témoi­gner d’expériences comme dans le 18ème arron­dis­se­ment où cer­taines com­mu­nau­tés – y com­pris musul­manes – trou­vaient dans les paroisses des secours que la mai­rie était inca­pable de fournir.

    Bama­ko (capi­tale du Mali) comme N’Djamena (capi­tale du Tchad) sont en Afrique. Oui mais les dia­spo­ras issues des pays d’Afrique sub-saha­rienne sont bien en France et plu­tôt concen­trées dans cer­taines villes comme les Como­riens à Mar­seille et Nan­terre, les Séné­ga­lais à Mar­seille, Paris ou Rouen et d’une manière moins voyante dans nombre de villes.

    Si demain cer­tains pays d’Afrique sub-saha­rienne devaient pas­ser sous la coupe des dji­ha­distes ce sont des popu­la­tions entières qui devien­draient des otages à tra­vers les­quels les nou­veaux maitres pour­raient don­ner des ordres aux membres des dia­spo­ras sur les­quelles s’exercerait un ter­rible chan­tage. Une approche fine devra tenir compte des soli­da­ri­tés eth­niques (ou tri­bales) qui des­sinent les véri­tables contours des dia­spo­ras. Para­phra­sant Joseph de Maistre qui n’avait jamais vus d’Hommes mais seule­ment des Russes ou des Alle­mands on pour­rait dire qu’on croit voir des Afri­cains la où sont des Bami­le­kés ou des Zou­lous. On se repor­te­ra ici aux tra­vaux de Phi­lippe Laburthe Tol­ra ou Michel Michel.

    Emma­nuel Macron, il y a deux ans décla­rait « je gagne­rai la pré­si­den­tielle avec les dia­spo­ras » et d’ailleurs dès 2017 le mou­ve­ment s’était amor­cé au 2ème tour.  Aujourd’hui les dia­spo­ras sont actrices de la poli­tique fran­çaises, natio­nale, locale et nous allons bien­tôt le véri­fier, régio­nale. Mais, en 2021 on est loin du dis­cours de Oua­ga­dou­gou appe­lant la jeu­nesse à secouer ce qui res­tait de la Fran­ça­frique. L’affaire tcha­dienne est pas­sée par là. Macron, en adou­bant le fils s’Idriss Deby, sans aucun recul pos­sible, dans l’urgence, avec les « conqué­rants » à 200kms de N’Djamena, est, d’un seul coup, reve­nu à une poli­tique dont la condam­na­tion était sa marque de fabrique. La dia­spo­ra tcha­dienne réagit très mal par la voix de Vincent Homad­ji, secré­taire géné­ral de la Dia­spo­ra Tcha­dienne de France, membre du comi­té de pilo­tage du Par­te­na­riat Eur­afri­cain. Les voix des dif­fé­rentes dia­spo­ras qui sem­blaient acquises à Macron pour­raient lui faire défaut l’an pro­chain et mar­quer plus encore la dis­tances entre elles et la socié­té fran­çaise. Jean Claude Gau­din par­lait d’un glis­se­ment qui s’opérait entre la France et les dia­spo­ras. Ce glis­se­ment pour­rait-il aller jusqu’à la frac­ture ? une de plus ? celle de trop ?

    Source : https://www.actionfrancaise.net/

  • Pour parler de Marseille différemment : au coeur de son nouveau Musée d'Histoire, 26 siècles vous accueillent....

    Il est injuste de condamner "tout Marseille", à cause de la politique insensée du Système qui a pourri la ville. C'est le Système qui est à dénoncer, et à rejeter, et à "larguer", et non la ville de Marseille, qui souffre du Système comme en souffrent toutes les villes de France, et la France toute entière...

    Marseille, par où sont venus les Grecs, Marseille vantée par Cicéron, Marseille par où le christianisme est entré en Gaule, Marseille grâce à qui, pour une bonne part, Athènes, Rome et Jérusalem sont, à côté de Paris, nos trois autres capitales, Marseille mérite mieux que "ça"; comme toute la France, comme toutes les villes de Fance, qui souffrent toutes, elle mérite mieux que le Système...

    Alors, pour une fois, parlons-en autrement qu'à cause des lamentables conséquences des folies d'un Système criminel qui échoue partout et dans tout, sauf dans son action constante d'abaissement de la France...2600 ANS D HISTOIRE.jpg

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  • ”La manif pour tous” dans toute la France : les rassemblements du 2 février

    Dans chaque département aura lieu un rassemblement le samedi 2 février après-midi. Pour plus d’infos, cliquez sur le nom de votre ville : 

    http://www.lamanifpourtous.fr/-le-2-fevrier- 


    Paris, 13 janvier...

  • 25 septembre 1914 ... L'action, sur la Somme et l'Aisne, devient plus violente

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    L'action, sur la Somme et l'Aisne, devient plus violente, nous disent les communiqués. Il y a, sur les visages, dans la physionomie des villes, dans le ciel même de cette belle fin d'été, il y a comme une grande attente.  u

     

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  • Sauver Palmyre !

    Le groupe terroriste s'est emparé hier soir de la quasi-totalité de la ville.

    « Les loups sont entrés dans Palmyre.  Et le monde, au balcon, spectateur indifférent, regarde. »
     
    Dominique Jamet
  • Action française : Adhérez !

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    Partout des Français nous rejoignent.

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    Adhérez à l'Action française et contactez-nous en mp si vous souhaitez lancer une section dans votre ville ou participer à son développement.

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  • Action française : hommage à Jeanne d'Arc dans toute la France.

    Samedi dernier, dans de nombreuses villes, nous avons honoré Sainte Jeanne d'Arc à l'occasion de sa fête religieuse.

    Cet hommage est celui des Français qui espèrent trouver dans sa figure la volonté de rendre à la France son unité, sa grandeur et son roi !

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  • Lu sur la page facebook de Frédéric de Natal

    La page officielle de la ville de Dreux annonce que le prince Jean d'Orléans, comte de Paris, sera interviewé le 26 octobre dans le journal de TF1 , Le reportage sera diffusé dans la rubrique "week-end à...", le 26 octobre à 13h.

    FdN

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