UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (102), ”..les châteaux sont semés comme des reposoirs...”...

     

    Le long du coteau courbe et des nobles vallées
    Les châteaux sont semés comme des reposoirs,
    Et dans la majesté des matins et des soirs
    La Loire et ses vassaux s'en vont pas ces allées.

    Cent vingt châteaux lui font une suite courtoise,
    Plus nombreux, plus nerveux, plus fins que des palais.
    Ils ont nom Valençay, Saint-Aignan et Langeais,
    Chenonceaux et Chambord, Azay, le Lude, Amboise.

    Et moi j'en connais un dans les châteaux de Loire
    Qui s'élève plus haut que le château de Blois,
    Plus haut que la terrasse où les derniers Valois
    Regardaient le soleil se coucher dans sa gloire.

    La moulure est plus fine et l'arceau plus léger.
    La dentelle de pierre est plus dure et plus grave.
    La décence et l'honneur et la mort qui s'y grave
    Ont inscrit leur histoire au coeur de ce verger.

    Et c'est le souvenir qu'a laissé sur ces bords
    Une enfant qui menait son cheval vers le fleuve.
    Son âme était récente et sa cotte était neuve.
    Innocente elle allait vers le plus grand des sorts.

    Car celle qui venait du pays tourangeau,
    C'était la même enfant qui quelques jours plus tard,
    Gouvernant d'un seul mot le rustre et le soudard,
    Descendait devers Meung ou montait vers Jargeau.

    Charles PEGUY, dans L'Opinion, 25 novembre 1912.

     

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : L'aventure France racontée par les Cartes...

     

    lafautearousseau

  • Feuilleton : Chateaubriand, ”l'enchanteur” royaliste... (53)

    1AZZZZ.jpg

    Anne-Louis Girodet, Portrait de Chateaubriand,
    Saint-Malo, musée d’Histoire de la Ville et du Pays Malouin.

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : Sur l'Islam et les Turcs...

    1A.jpg

    I : 

    "Sans parler du crime religieux que les Grecs auraient commis en abjurant leurs autels, ils n'auraient rien gagné à se soumettre au Coran. Il n'y a dans le livre de Mahomet ni principe de civilisation, ni précepte qui puisse élever le caractère : ce livre ne prêche ni la haine de la tyrannie, ni l'amour de la liberté.

    En suivant le culte de leurs maîtres, les Grecs auraient renoncé aux lettres et aux arts, pour devenir les soldats de la destinée, et pour obéir aveuglément aux caprices d'un chef absolu. Ils auraient passé leurs jours à ravager le monde, ou à dormir sur un tapis, au milieu des femmes et des parfums."

    (Itinéraire de Paris à Jérusalem et de Jérusalem à Paris, La Pléiade, pages 908/909)

    II : Civiliser la Turquie ?

    "...Prétendre civiliser la Turquie en lui donnant des bateaux à vapeur et des chemins de fer, en disciplinant ses armées, en lui apprenant à manoeuvrer ses flottes, ce n'est pas étendre la civilisation en Orient, c'est introduire la barbarie en Occident : des Ibrahim futurs pourront amener l'avenir au temps de Charles-Martel, ou au temps du siège de Vienne, quand l'Europe fut sauvée par cette héroïque Pologne sur laquelle pèse l'ingratitude des rois..."

    (Mémoires d'Outre-tombe, tome II, p.261)

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (55) : La fin de la Gaule romaine (II) : Attila...

    20 juin 451 : Attila est battu aux Champs Catalauniques, près de Troyes....

    Les Huns, ces mystérieux nomades, de type mongoloïde, avaient surgi un siècle plus tôt, venant d'Asie, et s'étaient installés dans la région du Danube. L'un d'eux, le prince Attila, fut élevé à la cour de l'empereur romain d'Orient, à Constantinople. Retourné parmi les siens, il les rassembla sous son commandement.
    Comme les autres Barbares, il combattit les troupes de Constantinople, puis décida d'attaquer les Gallo-Romains. C'est ainsi qu'il franchit le Rhin et détruisit Metz.

    À Paris, qui n'était encore que Lutèce, Sainte Geneviève se mit à la tête de la résistance, et recommanda aux habitants de jeûner pendant trois jours, pour s'attirer la bienveillance de Dieu. Les prières de Sainte Geneviève - devenue, depuis, Patronne de Paris... - furent exaucées, et Attila leva le siège de la ville...

    Durant leur marche vers le Rhin, les Huns furent attaqués par Aétius, un général gallo-romain qui avait été le compagnon d'armes d'Attila dans sa jeunesse.

    Bien que battu aux Champs Catalauniques, Attila poursuivit sa route et se dirigea vers Rome.

    Là, ce ne fut plus une femme, mais le Pape - Léon 1er, le Grand - qui réussit à le convaincre d'épargner la ville.

    Attila, "le fléau de Dieu", s'en alla alors mourir sur les bords du Danube, et les Huns sortirent de l'Histoire aussi soudainement qu'ils y étaient entrés...

     

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : L'aventure France racontée par les Cartes...

    lafautearousseau

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (61), Entre 541 et 767, la ”Peste de Justinien”...

    L'épidémie débuta en Égypte, en 541, pour atteindre Byzance au printemps 542 : elle y fit plus de 10.000 morts par jour, et l'on estime que la ville y perdit environ le tiers de sa population...
    Ensuite, l'épidémie suivit les voies de commerce du bassin méditerranéen, ravagea à plusieurs reprises l’Italie, les côtes méditerranéennes, remonta le Rhône et la Saône, et atteignit l’Irlande et la Grande-Bretagne.

    Elle se propagea aussi à l'est, ravageant la Syrie ou la Chine.

    En Gaule, on voit bien que c'est essentiellement en remontant le Rhône et la Saône que l'épidémie s'est propagée vers le nord et le nord-est, jusque vers Trèves, pour ce qui est de sa "première vague"; à partir de sa "seconde vague", elle touche presque la moitié du pays, essentiellement l'est (sud-est, centre-est, nord-est)...


    Grégoire de Tours en parle plusieurs fois dans son "Histoire des Francs" : il indique qu'elle a ravagée Arles en 549 ("Cette province est cruellement dépeuplée"), ou Clermont, en 567 ("...un certain dimanche, on compta 300 cadavres dans la cathédrale...")...

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : L'aventure France racontée par les Cartes...

    lafautearousseau

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (128), II/III : Les 80 departements carrés...

    1733753983.jpg

     

    Triomphe de l'idéologie, et du désir fou de refuser les Racines historiques, sentimentales, culturelles...

    C'est Jacques-Guillaume Thouret (1746-1794), plusieurs fois président de l'Assemblée - avant de perdre sa tête pendant la Terreur - qui proposa, en 1790, une dissolution du vieux découpage des provinces (ce qui sera fait) par un système de grille (que l'on voit ci dessus, ce qui ne sera pas fait !)...

    Pour la Révolution, il s'agit "du passé de faire table rase", afin de créer un citoyen nouveau, pour un monde nouveau, dans un esprit nouveau.


    Ce citoyen doit être "libéré" de tous ses héritages spirituels, religieux, politiques etc...


    Et, en ce qui concerne l'administration de ce nouveau monde, le citoyen nouveau doit être "libéré"des héritages historiques que véhiculent les Provinces.


    Deconnectée du réel, la pensée va si loin dans son abstraction que, dans un premier temps, "on" imagine, tout simplement, 80 départements carrés !


    Un peu de bon sens dans le délire hystérique ramènera les choses à nos actuels Départements... qui portent toujours la tare de leur origine et de leur raison d'être : avoir été voulus pour tourner le dos à notre Histoire, à notre Être profond venu du fond des âges...

     

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : 

    L'aventure France racontée par les Cartes...

     

    lafautearousseau

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (150), Querétaro, Mexique : du rêve fou au cauchemar...

    Si cet épisode tragique marque la fin, pour Maximilien, elle marque aussi le commencement de la fin pour le Second Empire et pour Napoléon III, dont le prestige est définitivement terni et pour lequel la période faste est définitivement révolue.

    De Jacques Bainville, Histoire de France, chapitre XX, La deuxième République et le second Empire :

    "...En 1864, ayant envoyé de concert avec l'Angleterre et l'Espagne, quelques navires et quelques troupes au Mexique pour appuyer la réclamation des créanciers de ce pays dévasté par une révolution, l'empereur avait été séduit par l'idée d'y fonder une monarchie dont le souverain serait un Habsbourg, l'archiduc Maximilien, frère de François-Joseph.

    Les plus dangereuses des conceptions napoléoniennes se rattachaient à une idée centrale. Il s'agissait toujours d'obtenir à l'extérieur un succès capable de plaire à l'imagination des Français. Il s'agissait toujours de satisfaire une fraction de l'opinion publique. Après l'expédition de Syrie, pour y protéger les chrétiens, l'expédition du Mexique détournerait peut-être les catholiques français de penser à Rome. L'empereur d'Autriche, dont le frère recevait une couronne des mains de la France, serait peut-être disposé à céder la Vénétie sans combat.

    Mais le Mexique dévora des hommes et de l'argent.

    En 1866, nous y avions sans résultat affaibli notre armée, et bientôt Maximilien, abandonné de la France, était fusillé par les Mexicains qui ne l'avaient jamais reconnu..."

     

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : 

    L'aventure France racontée par les Cartes...

     

    lafautearousseau

  • Feuilleton : Chateaubriand, ”l'enchanteur” royaliste... (6)

    1AZZZZ.jpg

    Anne-Louis Girodet, Portrait de Chateaubriand,
    Saint-Malo, musée d’Histoire de la Ville et du Pays Malouin.

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : Lettre relative à l'îlot du Grand Bé, Acte de décès et tombe de Chateaubriand...

    1. Lettre relative au tombeau du Grand Bé

    1A.jpg

     

    Monsieur,


    La délibération de Messieurs les membres du conseil municipal de St Malo, si promptement terminée, et leur généreuse résolution de préparer ma tombe aux frais de ma ville natale, me pénètrent de la plus profonde reconnaissance.

    Je vous prie, Monsieur, de vouloir bien leur en renouveler le témoignage et d’agréer en particulier les remerciements sincères que je m’empresse de vous adresser (offrir ?)


    J’ai l’honneur d’être, Monsieur, avec la considération la plus distinguée, Votre très humble et très obéissant serviteur,

    Chateaubriand

     

    2. Acte de décès

    1A.jpg

    Chateaubriand s'éteint à Paris, le 4 juillet 1848, à l'âge de quatre-vingts ans...

     

    3. La tombe, sur l'îlot du Grand Bé

    1A.jpg

    "Point d’inscription, ni nom, ni date, la croix dira que l’homme reposant à ses pieds était un chrétien : cela suffira à ma mémoire"

  • Au cinéma : Toni en famille, par Guilhem de Tarlé

    1A.jpg

     

    A l’affiche : Toni en famille, Un film français de Nathan Ambrosioni, avec Camille Cottin dans le rôle-titre.

    Toni en famille… la bande annonce est meilleure que le film, et les critiques trop favorables ne l’ont probablement pas vu… une femme seule à la tête d’une famille nombreuse. L’un des fils demande à aller voir son père… en fait aller sur sa tombe. On n’en saura pas davantage sur l’histoire de cette mère « célibataire » de  5 adolescents !

    L’important est sans doute ailleurs de nous présenter une femme qui cherche à se « réinventer », qui veut être « à la hauteur » de ses enfants et être « une mère qui leur ressemble» !  Ce vocabulaire « moderne », prétentieux – « pas qu’un peu » - et ces expressions « intellectuello-snobinardes » sont destinées à nous immerger au cœur d’une « famille monoparentale » dont les adolescents se chamaillent avant de « fusionner » et de faire leur « coming out » sous le regard attendri de leur mère !

    Convenons qu’il y peut-être du réalisme dans cette photo de notre (triste) société et reconnaissons au réalisateur de n’avoir pas coché toutes les case du « cinématographiquement correct » : ni « sexe », ni « joints », ni « diversité » !

    Je laisse donc à mon épouse le mot de la fin : « cela aurait pu être pire » !

    guilhem de tarlé.jpg

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (56), la fin de la Gaule romaine (III) : les Francs...

    De Jacques Bainville, Histoire de France, chapitre I, Pendant 500 ans, la Gaule partage la vie de Rome...

    "...De bonne heure, la Gaule était devenue chrétienne et elle avait eu ses martyrs. L'Église de Lyon, illustrée par le supplice de Pothin et de Blandine, fut le centre de la propagande. De bonne heure, ce christianisme gallo-romain eut pour caractère d'être attaché à l'orthodoxie.

    Dès qu'elle avait commencé à se répandre, la religion chrétienne avait connu les hérétiques.

    Nulle part les dissidents ne furent combattus avec autant d'ardeur qu'en Gaule. Saint Irénée avait pris la défense du dogme contre les gnostiques. Saint Hilaire lutta contre une hérésie plus grave et qui faillit l'emporter : l'arianisme.

    Les Barbares déjà établis en Gaule, s'étant convertis, étaient tout de suite devenus ariens. Lorsque les Francs parurent à leur tour, il y avait une place à prendre. La Gaule elle-même les appelait.

    Et l'Église comprit que ces nouveaux venus, ces païens, rivaux naturels des Burgondes et des Goths, pouvaient être attirés dans la vraie croyance. Ce fut le secret de la réussite de Clovis et c'est une des raisons pour lesquelles on ne peut pas dire qu'il y ait eu de conquête franque..."

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : L'aventure France racontée par les Cartes...

    lafautearousseau

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (57), un exemple de royaume barbare : les Burgondes...

    Le premier royaume de Bourgogne fut créé par le peuple burgonde à son arrivée sur les bords du Léman, en Sapaudie, au Vème siècle. Son souverain le plus glorieux, Gondebaud, gouverne alors un territoire qui s'étend de Langres à Marseille et du Rhin à la Loire.

    Pendant les six siècles qui suivent l'installation de ce peuple, les remous de l’histoire font naître successivement différentes entités géopolitiques aux limites territoriales toujours changeantes qui prennent le nom de Bourgogne.

    Le traité de Verdun de 843 divise la Bourgogne en deux grandes entités territoriales : une Bourgogne franque à l'ouest, (le futur duché) et une Bourgogne impériale à l'est dans laquelle se trouve le futur comté de Bourgogne ou Franche-comté.

    Au IXème siècle, la Bourgogne impériale voit naître, en son sein, deux royaumes :

    - l'un, tout au sud, touchant les rives de la Méditerranée, qui prend le nom de « Bourgogne-Provence » appelé aussi « royaume d'Arles »;

    - le second, appelé « royaume de Bourgogne », situé à l'origine en Helvétie, (en Transjurane, au-delà des monts du Jura).

    Il s'y ajoute rapidement d'autres domaines, dont les terres du diocèse de Besançon.

    Vers 933, sous le règne de Rodolphe II, roi de Bourgogne Transjurane, le royaume de Bourgogne et le royaume d'Arles s'unissent. Le royaume ainsi formé prend le nom de « royaume de Bourgogne et d'Arles », et se place sous la suzeraineté des souverains germaniques.

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : L'aventure France racontée par les Cartes...

    lafautearousseau

  • Au Cinéma : Limbo, par Guilhem de Tarlé

    Limbo - film 2021 - AlloCiné

     

    Art et Essai :  Limbo, un film Hongkongais (VOSTF) de Soi Cheang, avec Yase Liu (Wong To),   Ka Tung Lam et Mason Lee (le flic vétéran et son supérieur).

    Limbo… Deux acteurs principaux n’apparaissent pas au générique à savoir les bas-fonds de Hong-Kong et, surtout, la Violence extrême de ce long-métrage (1h58).

    Malgré la nuit et les coins sombres que surplombent des tours vertigineuses de lumière blafarde, impossible de s’endormir au milieu des poubelles, des détritus, des mains coupées et autres membres démembrés sous les coups qui pleuvent autant que le déluge qui inonde les ruelles de la ville.
    Certes, on ne s’ennuie pas à tenter de dénouer ces histoires qui s’enchevêtrent, du trafic de « caisses » à celui de la drogue en passant par un serial killer, avec la « violence policière » et un « homicide routier »… mais trop de violences tuent sans doute la violence ; et l’émotion, et l’empathie pour les victimes, et l’intérêt pour l’intrigue, disparaissent sur les visages des spectateurs qui quittent la salle, se regardant les uns les autres, avec un sourire au coin des lèvres.

    Mon épouse est plus bienveillante que moi, qui n’a pourtant pas su m’expliquer ce titre de Limbo. Le nom d’Enfer nous semblerait plus approprié.

    guilhem de tarlé.jpg

  • Autour du Prince Jean !: Le bonheur de nos princes est notre bonheur.....

    1A.jpgFête, joie(s), bonheur intense et profond: qu'on prenne les mots qu'on voudra, la fête de Senlis et de Chantilly a été une vraie, une belle, une grande fête. De celles qui comptent, et qui marquent, dans une vie.

    Nous y étions, et nous allons vous raconter ce que nous y avons vécu, sous forme de courts billets, relatifs chacun à l'un des moments forts de cette journée....

    Comme on le sait, pendant deux mois, nous nous sommes démenés comme de beaux diables pour présenter, du mieux que nous l'avons pu, le Prince Jean. Dans notre chronique tri hebdomadaire - "Autour du prince Jean!" - nous nous sommes attachés à présenter ses propos, ses articles, ses prises de position. Nous l'avons abondamment cité, nous permettant même à l'occasion de réfléchir, d'approfondir et donc de prolonger sa réflexion, comme pour le Discours de Vizille.

    Nous avons aussi présenté les déplacements du Prince en France (à Cadarache, ou avec le Professeur Henry de Lumley par exemple...) et ses voyages à l'étranger (en Pologne, au Liban, au Canada, au Maroc...).

    Enfin, nous avons tâché de bien tenir les deux bouts de la chaîne, si l'on peut dire: si nous nous sommes plongés dans notre Histoire pour y retrouver les sources de la légitimité de la Famille de France, sources qui s'appellent tout simplement services rendus, nous avons aussi voulu montrer comment le Prince se prépare à la tâche que les temps que nous vivons lui réservent.

    Le Prince s'informe et réfléchit; il écoute et il voyage; il fait preuve de sérieux dans sa volonté d'assumer les responsabilités qui sont les siennes, et c'est cela que nous avons tâché de faire toucher du doigt à nos lecteurs: ce sérieux du Prince, qui ne se contente pas d'être un héritier, mais qui se prépare véritablement à l'être, ce qui justifie tous les espoirs que nous plaçons en lui.

    Hier, il nous a convié à "sa" fête, qui fut aussi la nôtre. Nous allons vous dire pourquoi, tout au long de la semaine....(à suivre...)

  • Au Cinéma : Sweat, par Guilhem de Tarlé

    1A.jpg

     

     

     

    A l’affiche : Sweat,  un film suédois de Magnus von Horn, avec Magdalena Kolenisk (Sylwia).

    guilhem de tarlé.jpg« On est cent que la gloire

    Invite sans raison

    Mais quand meurt le hasard

    Quand finit la chanson

    On se retrouve seul »

                                (Jacques Brel)

     

    Sweat…   Mon épouse, à qui rien n’échappe, avait remarqué la formule en haut de l’affiche – Tout le monde l’adore, personne ne l’aime – qui identifie parfaitement le sujet, à savoir l’histoire d’une fille extravertie dont les « 600 000 followers »

    « N’empêchent que dans la glace

    On se retrouve seul(e) ».

     

    Mon épouse a aimé ce regard sur notre société du virtuel avec tous ses clichés – le culte du corps, « un jour végan, un jour homo » - tandis que je me suis copieusement ennuyé à voir cette poupée Barbie faire du « coaching sportif ».

  • Au Cinéma : La petite sirène, par Guilhem de Tarlé

    La Petite Sirène en DVD : La Petite Sirène - AlloCiné

     

    A l’affiche : La Petite sirène,  un film américain de  Rob Marshall,  avec Halle Bailey (Ariel, dans le rôle-titre) et Jonah Hauer-King (qui, malgré son nom n’est que Prince, Éric),

    D’après le conte éponyme d’Andersen.

    "L'intérêt de cette Petite sirène 2023, selon La Provence, est de coller aux mœurs avec une célébration de la diversité sous toutes ses formes".
    Quand on lit que les parcs Disney vont tenir leur première nuit de la Fierté LGBTQ, on peut s'attendre au pire !

    Cette Petite sirène est en effet une adaptation très libre et même très "libérale" et ethnique du conte d'Andersen. avec des dialogues et des propos tantôt écolos, tantôt de "créolisation", confortés par la bande son, les rythmes, les tam-tam et les voix des chanteurs.
    Mais on est plongé néanmoins dans un très beau conte de fée qui pourrait se terminer par la formule : "Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants".
    Gaïa Merci,  pour "la Planète (qu')Il faut sauver"… Les réalisateurs ont su y résister !
    Déjà qu'on peut s'interroger sur le " crédit social" et la quantité de CO2 que cette Petite sirène  a dû consommer sur le "pass climatique" de Disney !

    Ne crachons donc pas dans la soupe, ni dans l'océan, et même si elle est un peu longue (2h15) menons y nos enfants ou petits-enfants qui verront une belle histoire d'amour avec un "mâle blanc et hétéro" dans une société monarchique dont le "prince" a nom "Éric" !
    Ils apprendront aussi qu'avant les mangas et autres Harry Potter, il y avait et il y a des contes, et même des Contes de Perrault ou d'Andersen !

    guilhem de tarlé.jpg

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (34), routes d'Hannibal...

    Le 25 Août 218 avant Jésus-Christ, après avoir franchi les Pyrénées, et avant de franchir les Alpes, Hannibal traverse le Rhône, très probablement entre Arles et Avignon.

    S'agissant d'un événement aussi lointain, on n'aura jamais de certitude absolue sur telle ou telle date précise, mais le jour du 25 août est communément retenu par plusieurs spécialistes pour le franchissement du fleuve.

    Il emmène avec lui cinquante mille hommes, neuf mille chevaux et trente-sept éléphants de guerre, sans compter ses impedimenta: Polybe, Sénèque, Tite Live, Varron (et, plus généralement, l'ensemble du monde antique) ont considéré cette marche d'Hannibal comme l'un des exploits les plus fascinants de l'Histoire.

    Cet épisode, qui frappa l’imagination des anciens, fut considéré comme un exploit Herculien parce que c’était la première fois qu’une armée entière le réalisait.

    Encore faut-il préciser qu’Hannibal, parti de Carthagène avec 100.000 hommes, avait déjà perdu la moitié de ses effectifs en arrivant au Rhône, et qu'il allait en perdre encore la moitié puisque, sur les 50.000 hommes qui franchissent le Rhône avec lui, seuls 26.000 entreront en Italie...

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : L'aventure France racontée par les Cartes...

     

    lafautearousseau