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Rechercher : Rémi Hugues. histoire

  • Patrick Buisson [2] répond aux auditeurs de France Inter

     

    Mercredi dernier, vous avez été nombreux à apprécier l'entretien de Patrick Buisson,  diffusé la veille, sur France Inter. Nous écrivions : « Fête de l'Histoire hier matin sur France Inter avec Patrick Buisson qui ne mâche pas ses mots pour dire les quatre vérités de la Révolution française, de la Terreur et du massacre de la Vendée. Avec les implications qui s'en suivent : les totalitarismes du XXe siècle, la crise de notre démocratie, notre identité malheureuse et menacée ...»  Voici la seconde partie de cette émission où Patrick Buisson répond aux questions des auditeurs. La discussion est aussi d'un grand intérêt même si, par définition, elle prête davantage au débat. Que de magistrales leçons d'Histoire et de politique très actuelle y donne Buissson ! A écouter absolument.  Lafautearousseau.   

     

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    A lire, à voir ou revoir sur Lafautearousseau ...

    Patrick Buisson sur France Inter : « En matière de terrorisme d'État, la Terreur, c'est nous qui l'avons inventée »

  • En vente à la Librairie de Flore.

    1A.jpgEn 1772, l’enseigne de vaisseau Jean-François Galaup de La Pérouse rencontre la fille d’un fonctionnaire colonial de l’île de France, Éléonore Broudou. Leur histoire d’amour à rebondissements l’entraîne vers son destin. Véritable gentilhomme des mers, La Pérouse pacifie les Indes et se concilie même ses ennemis anglais dans la guerre d’Amérique. Choisi par Louis XVI pour rivaliser avec James Cook dans une grande expédition autour du monde, il confirme son humanité face aux Indiens du Pacifique, mais il n’en remet pas moins en cause le mythe du bon sauvage, en se confrontant à une réalité souvent hostile. Son interprète, Jean-Baptiste de Lesseps, et le capitaine irlandais Peter Dillon tentent de percer le mystère de sa disparition à Vanikoro en 1788 lors d’une rencontre à Paris quarante ans plus tard…
    « Mon histoire est un roman que je vous supplie d’avoir la bonté de lire. »
    La Pérouse

  • Le legs d’Action française, par Gérard Leclerc.

    Source : https://www.actionfrancaise.net/

    Après l’éditorial du n° 58 de la Nouvelle Revue Universelle publié en quatre rubriques, le blog quotidien de l’Action française poursuit son été militant 2020 avec la publication par morceaux de la conférence de Gérard Leclerc, donnée au Camp Maxime Réal Del Sarte de 2019.

    Cette seconde série est à mettre en relation avec le quatre rubriques de Christian Franchet d’Esperey sur « Le nouvel âge du maurrassisme ».

    1 – Est-il opportun de s’accrocher à un homme aussi décrié ?

    2 – Les positions les plus contestées de Maurras ne doivent plus faire écran à ses découvertes majeures

    3 – maurrassisme intra-muros et maurrassisme hors les murs

    4 – Une demarche d’aggiornamento cest-a-dire de mise au jour

    Et maintenant voici la première rubrique de la conférence de Gérard Leclerc  : Le legs d’Action française.

    Ce n’est pas sans une certaine émotion, voire une certaine crainte, que je prends la parole ce matin devant vous, parce que le sujet que j’ai choisi est un peu redoutable.

    Comment traiter en environ une heure, cette question considérable qu’est le legs de l’Action française ? Ce que l’Action française a apporté sur le plan intellectuel et politique, ce dont nous sommes les héritiers aujourd’hui, il s’agit de le faire fructifier en tirant toutes les leçons de cette longue histoire. Elle n’a pas été un long fleuve tranquille, c’est le moins que l’on en puisse dire. Si je me permets d’aborder ce sujet moi-même, c’est d’abord parce que je suis, effectivement, un héritier.

    Quel héritier  ? J’avais dix ans au moment de la mort de Charles Maurras, et je me suis trouvé associé à un certain nombre de séquences. Amené assez jeune à prendre des responsabilités à l’Action française, j’ai été l’adjoint de Pierre Pujo pendant plusieurs années, très tôt éditorialiste à Aspects de la France, etc. …

    J’ai participé à la rupture, douloureuse pour moi, de 1971, puis j’ai connu un certain nombre des grands témoins, des grands acteurs de cette histoire, qui s’appellent Pierre Pujo, déjà nommé, Pierre Juhel, Louis-Olivier de Roux et aussi deux personnages dont je vais parler ce matin  : Pierre Debray dont j’étais assez proche, et Pierre Boutang, dont je peux dire que j’ai été l’intime pendant de nombreuses années.

    C’est donc en tant que témoin de cette histoire que je vais essayer de la retracer, et de vous la transmettre. En y ajoutant un certain nombre de réflexions, de critiques que vous serez libres d’approuver ou non, car, comme le disait Charles Maurras, “la tradition est critique”. Si la tradition n’est pas critique, elle ne sert à rien… car cela signifierait que les échecs ne nous ont pas servi de leçon. Pourquoi faire une histoire lisse, purement positive et optimiste, de l’Action française, alors qu’elle nous pose de vrais problèmes  ? Si nous voulons nous comporter en véritables héritiers, il faut nous attacher à tirer de l’héritage le maximum de leçons.

    L’Action française est un mouvement qui a déjà cent vingt ans d’histoire derrière elle. Elle est née en 1899 et Charles Maurras est mort en 1952. L’histoire de l’Action française après Maurras, après le décès du maître, est déjà plus longue que la période de présence active de Maurras. Quand il s’agit d’envisager le legs historique de l’Action française, il nous faut donc en faire l’histoire complète. Aujourd’hui, je n’ai pas cette ambition, je ne pourrai que choisir un certain nombre de séquences, mais il faut que nous ayons bien en tête que l’histoire de l’Action française ne se termine pas en 1952, qu’elle s’est ensuite poursuivie, et qu’elle est intéressante et importante à étudier, surtout pour nous qui en sommes les héritiers immédiats.

    A suivre

  • Des jeunes nettoient des statues vandalisées, par Pierre Barbin et Florian Paume.

    Source : https://www.cnews.fr/

    Trois adolescents ont nettoyé la statue dégradée du Maréchal Lyautey, à Paris. Des actions similaires se multiplient dans toute la France.

     

    En se promenant dans les rues de la capitale, trois adolescents ont remarqué que la statue du Maréchal Lyautey était dégradée. Pour effacer les tags, ils ont utilisé de l'eau de javel et des brosses. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires.

    Ces trois jeunes s'opposent à la dégradation de l'Histoire de France. «On ne peut pas lutter contre le racisme en voulant effacer ou bien salir une partie de l'Histoire de France, déclare l’un d’eux. Pour moi, il faut au contraire, regarder ces périodes et ces personnages avec lucidité.»

    Des actions similaires se multiplient dans toute la France. Sur Facebook, plusieurs groupes appellent à défendre le patrimoine français en restaurant les œuvres historiques du pays.

  • Aux Mercredis de la NAR : #33 Laurent Henninger sur le thème “Quelques leçons sur la victoire de 1918”


    Mercredi 28 novembre, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Laurent HENNINGER sur le thème “Quelques leçons sur la victoire de 1918”.

    Historien, chargé d’études à la “Revue Défense Nationale”, membre du comité de rédaction du magazine “Guerres & Histoire”, Laurent HENNINGER a été à plusieurs reprises l’invité de nos réunions parisiennes.

    Avec lui, nous avions célébré en 2013 le soixante-dixième anniversaire de la bataille de Stalingrad. Nous l’avons invité cette année à évoquer le centième anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale.

    Le 11 Novembre a été commémoré comme victoire des Poilus et retour à la paix dans l’occultation des conditions stratégiques qui ont permis à la France et à ses alliés de sortir victorieux du conflit - sans que la paix en Europe soit pour autant garantie.

    En étudiant « La victoire de 1918 : quelques leçons pour l'histoire militaire dans la longue durée », Laurent Henninger nous permettra de saisir des enjeux qui sont d’une pleine actualité.

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : Windsor et Orléans - Deux familles pour une entente.

    Voici un bel article de nos amis du site « Monarchie Britannique », retraçant l’histoire d’une relation pas comme les autres entre deux familles royales, celle des Windsor et des Orléans.

    La France et l’Angleterre, deux voisins, deux ennemis qui ont la réputation d’être héréditaires. Pendant près d’un millénaire, le roi de France a voulu prendre le dessus sur le monarque anglais, et ces sentiments étaient réciproques. La perfide Albion va même pendant très longtemps prétendre à des droits sur la Couronne de France. Mais il est une famille qui, au contraire de ses cousins Bourbon, a souhaité faire de la famille régnante d’Angleterre une alliée, et même plus, une amie. La Maison d’Orléans voit son destin progresser au rythme de son entente avec les Windsor. L’heure est venue de vous conter cette histoire royale…
     
     
     
  • Les Eveilleurs reçoivent Franck Ferrand...

    Les Éveilleurs

     

    Pour ce nouvel entretien vidéo des Éveilleurs, nous recevons Franck Ferrand, animateur de radio et de télévision, auteur de plus d’une dizaine d’essais historiques, et d’un sixième roman paru il y a quelques semaines seulement, "l’année de Jeanne".

    Conteur d'histoire talentueux, homme de culture et de réflexion, Franck Ferrand intervient, plus rarement, sur les ondes pour commenter l'actualité française, dévoilant une pensée qui s'inscrit à contre-courant des canons de l’époque.

    Dans cet entretien, Franck Ferrand revient sur son enfance, ses racines, l'origine de sa passion pour l'histoire, les raisons de son amour pour la France, et décrypte pour les Éveilleurs l'actualité la plus récente, à la lumière de son dernier ouvrage qui met en scène une nouvelle Jeanne d’Arc qui surgirait quelques mois après la fin de la pandémie de Covid19.

    Passionnant, et décapant !

  • Sur la page FB du Prince Jean, Comte de Paris : accompagné de la Comtesse de Paris, présidente de Gens de France, Monsei

    Accompagné de la Comtesse de Paris, présidente de Gens de France, Monseigneur le Comte de Paris relancera demain le programme "La Nation en partage".
    Au service de l'éducation dans les zones les plus défavorisées, le programme permet à des jeunes de visiter des lieux d'Histoire avec le regard de leurs propriétaires.

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    Il a trois objectifs :
     
    - redonner vie à notre patrimoine immémorial
     
    - valoriser le travail de ceux qui le conservent
     
    - faire connaître et aimer notre Histoire
     
    Né à la Chapelle Royale de Dreux avec le soutien de la sous-préfecture, le programme a pour ambition de s'étendre à toute la France dans les années à venir.
    Première étape de cette nouvelle phase, le château du Mesnil-Voysin dans l'Essonne où le Comte et la Comtesse de Paris accueilleront 45 enfants de la Seine Saint-Denis, au côté du propriétaire M. de Beaugrenier.
  • Cinéma • Le cercle littéraire de Guernesey

     

    Par Guilhem de Tarlé 

    Le cercle littéraire de Guernesey, un film de Mike Newell avec Lily James (Juliet Ashton), Michiel Huisman (Dawsey) et Matthew Goode (Sidney Stark), d’après le roman Le cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates de Mary Ann Schaffer et Annie Barrows.

     

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    D’abord un très beau film avec des photos magnifiques, une jolie Juliet qui fait rêver d’être Roméo Dawsey, enfin une histoire d’amours et d’amour, et cette dernière, bien que téléphonée, garde toute sa fraicheur. 

    Peut-être ce long-métrage aurait-il pu s’intituler « la bague », qui tient presque le premier rôle dans cette histoire… •  

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plusieurs dizaines d’autres sur mon blog Je ciné mate.

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : quand la stratégie états-unienne néglige le caractère médiateur de la Monarchie hist

    Dans Le Figaro de ce mardi, Renaud Girard rappelle en quelques mots cette page méconnue de l’histoire de l’Afghanistan qui aurait pu changer le cours des choses et qui nous rappelle que la Monarchie, c’est la paix et la réconciliation possibles après des guerres terribles :

    « (…) L’Armée rouge quitta l’Afghanistan en avril 1989. A ce moment-là, le président afghan protégé des Russes, le Dr Najibullah, proposa à Washington une transition paisible en faveur du roi Zaher. Washington commit l’erreur de ne pas saisir cette main tendue, et, trois ans plus tard, le chaos s’installa à Kaboul où les milices de moudjahidins s’entretuèrent. » Et ensuite vint le temps des talibans…
    En empêchant la solution royale en Afghanistan, les États-Unis ont fait preuve d’idéologie plus que de pragmatisme et de sens historique : l’on en mesure les conséquences aujourd’hui.
    « L’histoire est notre maîtresse en politique » : cette formule royaliste classique est à méditer, encore et toujours : pour éviter de nouveaux drames, à Kaboul comme ailleurs !
     
  • Action française Perpignan, réponse au collage ”Déroitisez votre ville” à Perpignan.

    Dernièrement nos affiches ont été recouvertes d'un slogan "Déroitisez votre ville". Cela est une réponse à notre présence régulière sur les panneaux d'affichage perpignanais.
    L'Action française - Perpignan est consciente que ses collages ont un réel impact. Notre but est d'afficher publiquement nos idées et témoigner de notre présence.

    Les rois ont rythmé l'histoire de Perpignan. Entre 1276 et 1344, Perpignan connaît son âge d’or par la monarchie. Notre ville est la capitale du royaume de Majorque comprenant les îles Baléares, le Roussillon, la Cerdagne et Montpellier. La population et la surface quadruplent en moins d’un siècle. C’est l’époque des grands chantiers, ceux de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste et du palais des rois de Majorque.
    Le roi de France Philippe III le Hardi meurt à Perpignan le 5 octobre 1285.
    "Déroitisez Perpignan" c'est effacer l'Histoire de notre ville !
    Pour que vive la France, vive le Roi ! 
  • Sur TV Libertés, synthèse avec Franck Buleux : Souvenons-nous du poujadisme.


    Lors des élections législatives de 1956, un mouvement, qui serait aujourd'hui qualifié de "populiste", avait fait trembler la IVème République. Ce mouvement avait été créé quelques années auparavant, dans une petite commune du Lot, Saint-Céré, suite à la révolte des commerçants contre les persécutions fiscales. À sa tête, un homme qui allait faire beaucoup parler de lui : Pierre Poujade. Le "poujadisme" était né...

    C'est l'histoire de cet homme au destin extraordinaire et aussi celle de ses organisations, l'Union et Défense des commerçants et artisans (UDCA) et l'Union Fraternité française, que nous raconte Franck Buleux dans le récent "Cahier d'Histoire du nationalisme" (n°20, sorti en décembre dernier) qui leur est consacré.

    Il est aujourd'hui l'invité de l'émission "Synthèse" animée par Roland Hélie et par Philippe Randa avec la complicité du professeur Pierre de Laubier.

  • Aux Mercredis de la NAR : #83 - Jean-Clément MARTIN pour son livre ”L'Exécution du Roi - 21 janvier 1793”.


    Professeur émérite de l’université Panthéon-Sorbonne, ancien directeur de l’Institut d’histoire de la Révolution française, Jean-Clément Martin a notamment publié une Nouvelle Histoire de la Révolution française et un Robespierre qu’il avait bien voulu présenter aux Mercredis de la NAR.
    Son nouvel ouvrage porte sur L’exécution du roi.
    La condamnation de Louis XVI à la peine de mort était un événement inconcevable pour les Français contemporains des premières années de la Révolution alors qu’il paraît aujourd’hui d’une logique implacable. Or Jean-Clément Martin montre que rien n’était acquis, même après le 10 Août 1792, et que le roi fut au centre de luttes féroces au sein de la Convention et entre la Convention et les sans-culottes, dans la nation en guerre. 
     
    La NAR sur le net :
  • Aux Mercredis de la NAR : #84 - Cyril Garcia & Omar Gousmi sur le thème de ”la Guerre d'Algérie et le rapport Stora”.


    Cyril Garcia est professeur d’histoire et géographie, Omar Gousmi a été longtemps professeur de lettres. Tous deux ont une connaissance approfondie du Maghreb et des pays méditerranéens. Nous leur avons demandé d’échanger leurs points de vue sur les relations entre la France et l’Algérie à l’occasion de la publication du rapport Stora sur l’histoire et la mémoire de la guerre d’Algérie.

    Dans un contexte marqué par la “culture de l’excuse”, quelle fut l’intention d’Emmanuel Macron lorsqu’il a commandé ce rapport et quels sont les usages faits par le gouvernement algérien de la mémoire de la guerre d’Algérie dans un pays marqué par de nombreuses crises ? Comment oublier que la guerre d'Algérie fut aussi une guerre entre Français et qu’il existe dans l’hexagone des Pieds-Noirs et des Harkis ? Comment ignorer que le regard des Français sur l’immigration est profondément affecté par les “événements” de 1956-1962 ?

  • Il renonce à se représenter : le dernier échec du ”Quinquenium horribilis”...

     

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    grain de sel.jpgComme César ou Napoléon, ou plutôt - plus prosaïquement - comme François Mitterrand, François Hollande a tâché de dresser lui-même ce qu'il souhaiterait que l'Histoire retienne de son quinquennat, essayant de faire que le constat, évidemment, soit à son avantage. Hélas pour lui, comme la plupart des choses qu'il a  faites, il a mal "fait" sa sortie, il l'a  ratée, et ce n'est certes pas cette autosatisfaction ahurissante qu'il nous a servie hier soir - et qui ressemble à s'y méprendre à de l'autisme politique - que la suite des années (ne disons même pas "l'Histoire" !...) retiendra.

    En réalité, cette prestation, pénible pour lui et pour le public, restera pour ce qu'elle est vraiment, la dernière "phrase" de sa fameuse anaphore de la campagne de 2012, "Moi, président..." : "Moi, président, j'échouerai si totalement, si profondément, si lamentablement que je ne pourrai même pas me représenter en 2017" !