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Sur la page FB de nos amis du GAR : quand la stratégie états-unienne néglige le caractère médiateur de la Monarchie historique afghane.

Dans Le Figaro de ce mardi, Renaud Girard rappelle en quelques mots cette page méconnue de l’histoire de l’Afghanistan qui aurait pu changer le cours des choses et qui nous rappelle que la Monarchie, c’est la paix et la réconciliation possibles après des guerres terribles :

« (…) L’Armée rouge quitta l’Afghanistan en avril 1989. A ce moment-là, le président afghan protégé des Russes, le Dr Najibullah, proposa à Washington une transition paisible en faveur du roi Zaher. Washington commit l’erreur de ne pas saisir cette main tendue, et, trois ans plus tard, le chaos s’installa à Kaboul où les milices de moudjahidins s’entretuèrent. » Et ensuite vint le temps des talibans…
En empêchant la solution royale en Afghanistan, les États-Unis ont fait preuve d’idéologie plus que de pragmatisme et de sens historique : l’on en mesure les conséquences aujourd’hui.
« L’histoire est notre maîtresse en politique » : cette formule royaliste classique est à méditer, encore et toujours : pour éviter de nouveaux drames, à Kaboul comme ailleurs !
 

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