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  • Les Journées du Patrimoine à Dreux, chez le Prince Jean...

    Lu sur le Site officiel du Prince Jean 

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    A l'occasion de l'inauguration du Square Marie-Amélie, le Maire de Dreux remet au Prince Gaston un morceau du ruban qu'il vient de découper... 

  • Sur Valeurs Actuelles, elle a combattu dans les tranchées.

    Connaissez-vous l'histoire de la femme la plus médaillée de France ? Deux fois officier de la Légion d'Honneur, pionnière de l'aviation féminine et grande sportive, Marie Marvingt est une Française comme on en fait peu.

  • Amitié d'AF : Aix, ce dimanche 7 mars, autour de nos amis les Bertran de Balanda...

    Dimanche 7 mars, à 10h30, en la cathédrale d'Aix-en-Provence, nous nous retrouverons pour une Messe aux intentions de Guy, d'Hubert (mari de l'une de ses soeurs) et de Madame Bertran de Balanda...

    François Davin, Blogmestre

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  • Amitié d'AF : Aix, ce dimanche 7 mars, autour de nos amis les Bertran de Balanda...

    Dimanche 7 mars, à 10h30, en la cathédrale d'Aix-en-Provence, nous nous retrouverons pour une Messe aux intentions de Guy, d'Hubert (mari de l'une de ses soeurs) et de Madame Bertran de Balanda...

    François Davin, Blogmestre

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  • Sur TV Libertés, 66 jours otage à Bagdad ! - Terres de Mission n°213.


    Eglise universelle : Mai, c'est le mois de Marie, c'est le mois le plus beau Traditionnellement le mois de mai est consacré à la Très Sainte Vierge Marie, c'est le "mois de Marie". Le chanoine Alban Denis, prêtre de l'Institut du Christ- Roi Souverain Prêtre, nous explique les origines de cette dévotion particulière à Marie au mois de mai. Il nous rappelle également les origines du rosaire et les fruits de cette prière.

    Eglise en Marche : 66 jours otage à Bagdad

    Alexandre Goodarzy, directeur adjoint des opérations de SOS Chrétiens d'Orient, témoigne dans un passionnant ouvrage, "Guerrier de la paix", de ses 66 jours de détention comme otage à Bagdad en janvier 2020. Au-delà de cet événement, il nous fait, aussi découvrir la vie des chrétiens d'Orient au travers des diverses missions qu'il a effectuées à travers le monde, au service des chrétiens persécutés. Le témoignage d'un homme de conviction qui mérite d'être entendu car, sous certains aspects, c'est notre avenir qui s'écrit en Syrie.

  • À Grenoble, ce lundi 16 octobre...

    Ce lundi 16 octobre 2023 à 18h30 une messe de requiem sera célébrée à la mémoire de la Reine Marie- Antoinette en la collégiale Saint André place St André dans le cadre de la Confrérie Notre Dame du Suffrage. 

    L'Autrichienne : une reconstitution minutieuse et poignante du procès de  Marie-Antoinette (en DVD)

  • LOUIS XVI 2020 (II/II) : Manifestations dans toute la France...

    Imaginées par les Encyclopédistes, imposées par la brutalité et la fureur sanguinaires des terroristes révolutionnaires, propagées par les Républiques et les Empires en Europe, les idées folles de ceux que Maurras appelait "Les princes des nuées" se sont répandues jusqu'aux extrémités du monde : en Extrême-Orient, en Afrique, dans l'Amérique latine jusqu'au Mexique des Cristeros...

    C'est la Révolution, par son acte fondateur des Totalitarismes modernes que fut le 21 janvier, qui est la mère et la matrice de toutes les horreurs qui suivront, en France, en Europe et dans le monde, et c'est de cela que nous faisons mémoire, chaque 21 janvier.

    Aucun folklore, aucune nostalgie, donc : nous marquons simplement, nous datons l'origine de nos maux, en remontant à la source d'un assassinat qui fut suivi de tant d'autres : la Reine, puis le second roi martyr, l'enfant-roi Louis XVII, puis le Génocide vendéen, les villes françaises martyrisées (Lyon, Toulon, Marseille, les noyades de Nantes...), la folie sanguinaire et destructrice déchaînée partout en France; puis les révolutionnaires du monde entier, héritiers de cette funeste révolution, répandant à leur tour ses horreurs chez eux : Goulag, Lao Gai et Camps de ré-éducation; Guépéou/KGB, Stasi, Securitate, Gardes rouges et Khmers rouges; Lénine/Staline, Mao, Ho Chi Minh, Pol Pot, la monarchie marxiste léniniste des Kim en Corée, Castro...

    Voilà pourquoi, à côté de toutes les manifestations, les Messes qui seront dites à cette occasion le seront, comme chaque année depuis ce sinistre 21 janvier 1793 "pour Louis XVI et toutes les victimes de la Révolution"... : en France, en Europe, dans le monde...

    Une Révolution qui tue, martyrise et opprime encore aujourd'hui...

    Voici la liste des manifestations déjà prévues : vous pouvez nous communiquer les détails des cérémonies et manifestations qui se dérouleront chez vous ou à côté, afin qu'elles soient annoncées ici.

    Courriel : CONTACTEZ NOUS

     ou LFARroyaliste@outlook.fr

    Merci à nos amis du Blog La Couronne, qui renvoient leurs lecteurs vers notre Tableau récapitulatif quotidien des manifestations "Louis XVI 2020 !"...

    SAMEDI 18 JANVIER

     

    A Paris, retrouvez nous le samedi 18 janvier 2019 pour deux événements :

    Marche aux flambeaux en hommage au Roi Louis XVI (départ : Place des Pyramides, 20h)

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    Soirée sur une péniche durant toute la nuit

    ◽à 21h30 un vin chaud sera servi; à partir de 22 h jusqu'à 5h, nous retrouverons sur une péniche au cœur de Paris.

    Pour tous renseignements : souvenirlouisxvi@gmail.com

    Merci de vous munir de votre billet et d'une pièce d'identité.
    Toute personne arborant une attitude ou une tenue vestimentaire provocatrice se verra refuser l'accès.

    Souvenir de Louis XVI

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    Souvenir de Louis XVI

     

    • Toulouse : 11h, Chapelle Saint Jean Baptiste, 7 rue Antonin Mercié. Métro Capitole ou Esquirol ou Parking Esquirol.

    • Périgueux : 16h, Eglise Notre-Dame de Toutes Grâces, 19 rue du 34ème Régiment d'Artillerie.

    • Lyon : 10h30, Basilique Saint-Bonaventure, 7 place des Cordeliers (2ème arrdt.).

    • Avignon : 18h30, Chapelle de l'oratoire, 32 rue Joseph Vernet.

    • Montelimar : 17 h, Chapelle Notre-Dame de la Rose, 36 Avenue Saint Martin.

    • Equemauville (Calvados) : 10h, Eglise Saint-Pierre d'Equemauville, Le Bourg ou Avenue le Jumel.

    • Coligny (Ain) : 10h, Eglise Saint Martin, rue Saint-Martin.

     

     

    DIMANCHE 19 JANVIER

     

    • Paris : 10h30, Chapelle expiatoire, square Louis XVI, 29, rue Pasquier (2ème arrdt.).

    • Nancy : 10h30, Eglise Marie-Immaculée, 33 Avenue Général Leclerc.

    • Faye d'Anjou (Maine-et-Loire) : 11h, Prieuré Saint-Louis-Marie Grignon-de-Monfort.


     

    LUNDI 20 JANVIER

     

    • Paris : 20h, Eglise Saint Roch, 296 rue Saint Honoré (1er arrdt).

    • Grenoble : 18h, Collégiale Saint André, ancienne Chapelle Royale, place Saint André. 

    • Limoges : 18h, Chapelle Saint-Antoine des Papillons, rue des Papillons.

    • Villié-Morgon (Rhône) :  18h, Eglise Saint Joseph, 53 rue de la Liberté.

     

     

    MARDI 21 JANVIER

     

    • Paris :

    - 10h, Rassemblement Place de la Concorde, devant la statue de Rouen, côté Hôtel Crillon/Ambassade des Etats-Unis. 

    - 12h15, Saint-Germain-l’Auxerrois, paroisse des Rois de France, 2 place du Louvre. Métro Louvre. Parking place du Louvre. (1er. arrdt). 

    - 19h, Eglise Saint Eugène Sainte Cécile, 4 rue du Conservatoire (9ème arrdt).

    • Saint Denis : 12h, Basilique Saint Denis, 1 Rue de la Légion d'Honneur.

    • Dreux : 10h30, Chapelle Royale Saint-Louis, 2 Square d'Aumale, en présence de Monseigneur le Comte de Paris.

    Marseille : 19h, Basilique du Sacré-Coeur, 81 avenue du Prado (8ème arrdt).

    • Lyon : 18h30, Eglise Saint Georges, Quai Fulchiron (5ème arrdt).

    • Lille : 19h, Eglise Saint Etienne, 47 rue de l'Hôpital militaire.

    • Brest : 18h30, Chapelle Sainte-Anne, 43, rue Bruat.

    • Nantes : 20h, Eglise Saint Clément, 4 rue Lorette de la Refoulais.

    • Dijon : 10h30, Eglise Notre-Dame, 2 Place Notre Dame.

    • Toulon : 18h30, Eglise Saint François de Paule, Place Louis Blanc.

    • La Rochelle : 18h30, Cathédrale Saint Louis, rue Pernelle.

    • Metz (Plantières) : 18h30, Eglise Saint Bernard, 1 rue Monseigneur Pelt.

    • Perpignan :  

    - 18h30, Eglise Saint-Matthieu, 12bis rue Grande Monnaie.

    - 18h30, Chapelle du Christ-Roi, 113 Avenue Maréchal Joffre. 

    ​​Béziers : 19h, Chapelle des Pénitents bleus, 4 rue du 4 septembre.

    Fontainebleau : 19h, Eglise du Carmel, 6 bis rue du Général Leclerc.

    • Lanvallay (Côtes d'Armor) : 11h, Chapelle du Sacré-Coeur, Prieuré Sainte Anne de Lanvalay, Avenue de Beauvais.

    • Montpellier : 19h, Chapelle des Pénitents bleus, rue des Etuves.

    • Bordeaux :

    - 18h30 : Chapelle Notre Dame du Bon Conseil, 62 rue de Lisleferme

    - 18h30 : Eglise Saint-Eloi, Grosse Cloche, rue Saint-James.

    - 19h : Eglise Saint-Bruno, 5 Place du 11 Novembre.

    • Limoges : 12h15, Eglise Saint-Michel des Lions, Place Saint-Michel.

    • Poitiers : 18h30, Eglise Notre Dame la Grande, paroisse de la Trinité, Place Charles de Gaulle.

    • Tulle : 18h, Cathédrale Notre-Dame, Place Gambetta

    • Angers : 18h30, Église Notre Dame des Victoires, 24 Rue Pocquet de Livonnières

    • Saint-Etienne : 18h30, Chapelle Saint-Bernard, 9, rue Buisson

    • Lissac (Haute Loire) : Les moines de la Fraternité Orthodoxe Saint Michel célébreront le 21 janvier 2020 une Pannychide (Service de Requiem), afin de faire mémoire devant Dieu du Roi Louis XVI. Ils associent à ce Service,  l'âme de son épouse Marie-Antoinette,  celle de Louis Charles de France (Louis XVII) ainsi que celle de toutes les victimes civiles et religieuses de la révolution. La Pannychyde sera célébrée en la chapelle de la Fraternité, sis 5 Place du Monument.

    • Chambéry : 19h, Cathédrale Saint François de Sales, 6 Rue Métropole.

    ​• Bayonne : 18h30, Eglise St-Amand, Avenue du Maréchal Soult.

    • ​Biarritz : 18h, Eglise Saint Martin, 4 rue Saint Martin.

     

     

    MERCREDI 22 JANVIER

     

    • Amiens : 18h30, Chapelle Saint-Vincent-de-Paul (de l’ancien Grand séminaire d’Amiens), 54 ter rue Jules Barni.

     

     

    JEUDI 23 JANVIER

     

    • Bayonne : 18h, Cathédrale Sainte-Marie, 15 rue des Prébendes.

     

     

    SAMEDI 25 JANVIER

     

    • Carcassonne : 18h, Basilique Saint-Nazaire, La Cité, Place Saint-Nazaire.

    • Nîmes : 11h, Eglise Saint-Baudile, Place Gabriel Péri.

    • (Sarthe) : 12h15, Chapelle du Chêne (à environ 6km de Sablé-sur-Sarthe, route de La Flèche/Tours).

     

     

    DIMANCHE 26 JANVIER

     

    • Mansac (Corrèze) : 11h00, Eglise Saint-Sigismond d'Aime. (l'église se trouve entre Saint-Pantaléon-de-Larche et Cublac, à environ 10 km à l'ouest de Brive).

    • Nice : 10h, Chapelle des pénitents rouges, 1 rue du Saint-Suaire.

    • Calais : 8h45, Chapelle Sainte Victoire, rue de Hames (Hames Boucres), (Près de Guines).

    • Aix-en Provence : 10h, Chapelle des Pénitents gris, dits Bourras, 15 rue Lieutaud.

    • Monaco : 18h30,

  • Sur TV Libertés, le témoignage d’une femme sous influence, par Sarah Bernard.

    Elle a bouleversé des centaines de milliers de personnes sur les réseaux sociaux. TVLibertés vous propose le témoignage fort, pédagogique et poignant de Sarah Bernard, femme sous l'emprise d'un mari pervers narcissique. Elle voulait seulement fonder une famille heureuse. Aimer et être aimée.

    Entre les mains d'un mari qui finit par lui dire : "je détruis tout ce que j'ai dans ma vie", elle va vivre un véritable cauchemar où l'époux se transforme en bourreau. 15 années ont passé. Sarah parle avec lucidité de la violence qui a failli tout simplement la tuer ! Un document exclusif.

  • Sur TV Libertés, Nietzsche, l'avenir des Européens ? - Le Zoom - Rémi Soulié.


    Philosophe et écrivain de renom, Rémi Soulier a écrit la postface d'une anthologie des œuvres de Friedrich Nietzsche réalisée Pierre-Marie Durand. Rémi Soulier évoque les deux parties de l'ouvrage : décadence et renaissance. Il définit la notion de "derniers hommes" que Pierre-Marie Durand qualifie d'avortons et autres crevettes bien-pensantes de notre temps. Pour Rémi Soulier, toute l'œuvre de Nietzsche vise à laisser mourir le vieil homme en nous, "le dernier homme", pour retrouver les voix de la volonté et de la puissance. Un message qui reste d'une vibrante actualité.

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (164), La 2ème DB : de Douala à Berchtesgaden (I/II)...

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    (Source : Général Philippe DUPLAY, La 2ème DB - de Douala à Berchtesgaden, Espoir n°107, 1996).

    12 juillet 1940. Le capitaine de cavalerie Philippe de Hauteclocque, 38 ans, déjà deux fois évadé des mains allemandes, portant encore les traces d'une blessure à la tête reçue au combat, passe en Espagne.

    Son patriotisme, son honneur, la conception qu'il a de son métier font devoir à ce père de six jeunes enfants de rejoindre celui qui, de Londres, a lancé l'appel à poursuivre la lutte.

    Devant lui, c'est l'inconnu, l'aventure : il n'a jamais rencontré de Gaulle ; il n'a jamais enfreint les ordres ; la France n'a jamais été si près de sombrer. Les mains vides, seul, il n'a pour lui que sa volonté, son courage et sa valeur professionnelle, éclairés par une foi intense : foi en Dieu, foi en son pays, foi dans les hommes, foi en lui-même.

    Un mois plus tard, le 25 août, par une nuit d'encre, sous des trombes d'eau, devenu colonel Leclerc, il arrive en pirogue, avec une poignée d'hommes, à Douala, au Cameroun, en Afrique. Trempé mais vibrant de volonté, parlant au nom du général de Gaulle, il subjugue les Français qu'il rencontre, au premier rang desquels le capitaine Dio qui l'appuie de sa troupe et le ne quittera plus. En quelques journées, la colonie est retournée : un territoire français redresse la tête, refuse la défaite et se remet au travail... pour vaincre cette fois.

    Après quelques semaines au cours desquelles l'Afrique française libre s'organise, réunissant le Gabon au Congo, à l'Oubangui, au Tchad et au Cameroun, Leclerc reçoit du général de Gaulle une nouvelle mission : prendre la tête des moyens militaires disponibles au Tchad et faire rentrer, avec eux, l'armée française dans la guerre.

    Alors commence l'épopée. Arrivé à Fort-Lamy le 2 décembre 1940, Leclerc parle dès le 3 d'aller attaquer Koufra, redoutable forteresse italienne perdue dans les sables, à quelque 2 000 kilomètres ! Et pour commencer, afin de bien montrer que l'heure est au combat, il saisit l'occasion qui s'offre de joindre quelques Français à un raid que les Britanniques organisent, au nord du Tibesti, contre des postes du Fezzan. Un accrochage se produit à Mourzouk le 11 janvier 1941 : le lieutenant-colonel Colonna d'Ornano, qui avait joué un rôle important dans le ralliement du Tchad à la France libre, est frappé à mort. Cette affaire, ce premier sacrifice prennent figure de symbole : par la radio de Londres, les Français découvrent avec joie que leur armée d'Afrique a repris le combat.

    Au Tchad aussi les visages s'éclairent, mais les spécialistes hochent quand même la tête lorsque, le 25 janvier, les premiers éléments d'une colonne s'éloignent vers le nord-est, vers Koufra qui hante Leclerc. En tout, le Colonel n'emmène que deux cent cinquante hommes sur cent mauvais camions et il ne dispose que d'un canon.

    Les débuts sont de fait fort difficiles : le climat, le terrain, l'absence de pistes, l'ennemi bien équipé offrent de gros obstacles. Malgré l'échec sanglant, le 30 janvier, de la patrouille britannique qui précédait la colonne, Leclerc maintient ses ordres : le 7 février, avec un élément léger, il va lui-même « tâter » la forteresse ; les 18 et 19, il livre à la Compagnie saharienne mobile italienne qui bat l'estrade sous les remparts un combat décisif et, aussitôt, il met le siège devant la citadelle. Dix jours plus tard, le 1er mars 1941, contre toute attente et contre toute logique, grâce à la fougue, à l'imagination et au talent des hommes et du chef, la garnison ennemie capitule.

    C'est le premier succès des armes de la France depuis l'été 1940. Sans attendre, le colonel Leclerc engage l'avenir : Ne déposer les armes que lorsque nos couleurs, nos belles couleurs flotteront à nouveau sur la cathédrale de Strasbourg. C'est le serment de Koufra, serment que tous ceux qui, désormais, se joindront à Leclerc se sentiront tenus d'accomplir.

    Un an s'écoule ensuite, consacré à préparer l'opération qui permettra d'aller rejoindre les Britanniques au bord de la Méditerranée, au bout de 2 200 kilomètres de désert, vers le nord cette fois. Ces mois, bien que fort occupés à ouvrir des pistes, à implanter des dépôts avancés, à recueillir des renseignements, paraissent soudain bien longs lorsque, au début de 1942, l'offensive britannique s'arrête et que les forces allemandes de Rommel contre-attaquent en direction du Caire. Le coup est rude ; autant pour sauver le moral de ses hommes que pour apporter aux Alliés le maximum de secours, Leclerc change ses plans en quelques jours : au lieu de tenter d'aller jusqu'à Tripoli, il va se borner à attaquer les postes italiens du Fezzan par une sorte d'opération commando.

    Avant de donner le départ, il se décide à porter les étoiles de général que de Gaulle lui a données six mois plus tôt ; et, en quelques jours, ses unités, pourtant toujours maigrement équipées de camions — les « caisses à savon », ainsi que les surnomment les combattants eux-mêmes —, s'emparent de trois drapeaux, ravagent quatre garnisons ennemies, détruisent trois avions, incendient plusieurs dépôts et ramènent de nombreux prisonniers. Le succès de ces raids, annoncé par la radio de Londres, soutient le moral des Français de métropole à l'heure où partout, les Alliés connaissent de dures épreuves.

    Puis, du côté britannique, la situation s'améliore et, dès l'automne 1942, il apparaît que la grande opération vers la mer va devenir possible. Entre-temps, les moyens se sont un peu étoffés : des hommes sont arrivés, venus du monde entier, anxieux de se joindre à ce jeune chef qui sait se battre et gagner ; des armements aussi, fournis par la France libre. Et c'est avec trois mille hommes cette fois, montés sur trois cent cinquante véhicules, non blindés certes mais corrects, appuyés de seize avions, que la colonne Leclerc s'élance vers le nord, peu avant Noël, au départ du Tibesti. Tous les postes italiens du Fezzan tombent les uns après les autres : Umm et Araneb le 4 janvier 1943, Gatroun et Brack le 6, Mourzouk le 8, Sebha (le chef-lieu) le 12, Midza le 22 ; le 24, nos avant-gardes rencontrent, dans Tripoli, celles de la VIIIe Armée de Montgomery : la mer est atteinte, cette Méditerranée qui borde aussi la France !

    Commence alors la poursuite de l'ennemi — l'Allemand, cette fois — qui reflue vers la Tunisie. Rapidement recomplétée en hommes, véhicules et équipements de toutes sortes, — Montgomery donnera même à Leclerc un battle-dress dont il avait le plus urgent besoin —, renforcée de quelques-unes des unités françaises qui, depuis l'Egypte, avaient, de leur côté, combattu avec les Britanniques, la colonne Leclerc devient la force L. Elle flanc-garde à l'ouest les gros de la VIIIe Armée, s'illustre en arrêtant le 10 mars, à Ksar Rhilane, une contre-attaque de Panzers, entre la première à Gabès le 29 mars et, le 20 mai, elle participe au défilé de la victoire dans Tunis libéré. Dans cette campagne, son rôle ne fut pas mince ; le général Montgomery, présentant Leclerc au roi George VI, put lui dire : Sire, voici le général Leclerc ; sans lui, je n'aurais pas pris la ligne Mareth.

    Dès lors, il apparaît que la prochaine étape sera le continent, peut-être la France, ce que tout le monde espère. Mais, pour atteindre ce rêve, il va falloir que la maigre colonne sortie du désert se multiplie, s'équipe, s'instruise en vue des combats de tout autre dimension qu'elle espère. Et c'est, de l'été 1943 à l'été 1944, une nouvelle bataille que va livrer le général Leclerc : La constitution de la 2e DB fut ma plus belle victoire dira-t-il plus tard. De fait, dans l'ambiance de l'Afrique du Nord de l'époque, il n'était pas facile de rassembler, dans une même unité, des hommes que beaucoup d'événements des mois passés avaient profondément divisés. Il n'était pas facile non plus de transformer l'équipement et l'instruction des petites cohortes, armées à la diable de pièces et de morceaux, pour en constituer des régiments soudés, richement outillés du puissant matériel blindé que les Américains mettaient alors à la disposition de la France.

    Cet amalgame, cette transformation, c'est au Maroc d'abord, près de Rabat, dans la forêt de Temara, puis, à partir de Pâques 1944, en Angleterre, dans de nombreux villages du Yorkshire, qu'ils s'accomplirent, vite, efficacement, au prix d'un travail acharné, sans pour autant que ni l'âme ni la foi qui avaient permis les succès antérieurs soient le moins du monde altérés.

    Autour des vétérans d'origines déjà fort diverses - marsouins du Tchad, spahis d'Egypte, compagnies de chars reconstituées en Angleterre - se réunirent ainsi des régiments entiers d'Afrique du Nord demeurés jusque-là l'arme au pied, une unité de fusiliers-marins et une nuée de volontaires venus, seuls ou groupés, de tous les points du monde avec l'intense désir de se battre : jeunes gens et cadres de métropole, réchappés des prisons espagnoles; corps-francs d'Afrique; jeunes femmes arrivant des Etats-Unis avec leurs ambulances; anciens guérilleros républicains espagnols, etc.

    Si beaucoup de choses pouvaient les séparer, ils avaient en commun d'être volontaires, d'aimer profondément la France, d'être jeunes et d'avoir de fiers caractères ! Pour rassembler ces volontés impatientes, il en fallait une des plus fortes : ce fut celle de Leclerc. Autant par sa poigne que par la séduction de son ardeur et de sa compétence, il fit, en moins d'un an, de la 2e Division blindée une force de près de vingt mille hommes disciplinés, rompus au maniement de leurs armes, s'estimant les uns les autres et prêts aux plus durs combats.

    Vint le jour du débarquement allié en Normandie, le 6 juin 1944. La 2e DB était alors en Yorkshire, piaffant d'impatience, mais sûre que, bientôt, elle débarquerait en France avec, bien sûr, Strasbourg comme point de mire. Mise à la disposition de la IIIème Armée américaine du général George S. Patton — quel plus fantastique entraîneur pouvait-elle espérer ? —, la 2e DB franchit la Manche dans la nuit du 31 juillet au 1er août 1944. Débarquant à Utah Beach, au pied du Cotentin, elle est bien vite lancée, par la toute fraîche percée d'Avranches, dans le vaste mouvement qui permet et de couper la retraite aux forces allemandes de Bretagne et de venir frapper sur le flanc sud de celles qui tentent de quitter la Normandie pour gagner la basse Seine. Par Fougères et Château-Gontier, acclamée par une population toute surprise de découvrir des Français sous des combinaisons américaines, la 2e DB atteint Le Mans le 9 août et, dès le matin du 10, elle attaque la 8e Panzer en direction d'Alençon.

    Les premiers combats de chars se livrent dans l'enthousiasme sous un ciel éclatant. Malgré de fortes pertes dues à la témérité des nôtres, littéralement enivrés de frapper l'ennemi sur le sol national, la ville est atteinte le 12 août avant l'aurore et, sans désemparer, la Division, poussant vers Argentan qui est son objectif, détruit dans les journées qui suivent, autour et dans la forêt d'Ecouves, ce qui reste de la grande unité ennemie. Ce brillant succès contribue à la libération de tout l'ouest de la France, il est pour tous la preuve que l'outil durement trempé au Maroc et en Angleterre est valable ; mais déjà Leclerc et ses hommes ne pensent plus qu'à Paris, Paris toujours envahi, Paris qui s'est soulevé le 19 août, Paris qu'il faut absolument sauver du désastre auquel, on le sent confusément, Hitler l'a sûrement condamné.

    Une fois encore, décuplée par celle qu'il constate chez ses hommes, la volonté de Leclerc l'emporte. Malgré les hésitations, les réticences, les craintes du haut-commandement allié, il arrache l'ordre et, le 23 au matin, la 2e DB quitte Argentan en direction de la capitale. Le soir même, à Rambouillet, dans un brouhaha de veille de fête, Leclerc signe l'ordre d'opérations pour le lendemain : Mission : 1. s'emparer de Paris... De Gaulle, qui l'a rejoint, lui dit simplement : Vous avez de la chance !

    Le 24 août, en deux colonnes, la Division s'élance vers Paris. Par la vallée de Chevreuse, Jouy-en-Josas, Clamart, Massy, Wissous, Fresnes, le groupement Billotte fraye leur chemin à coups de canon. Les Allemands, solidement armés, se battent bien ; mais le soir, vers 20 heures, à la Croix-de-Berny, Leclerc sent qu'une occasion se présente : il saisit le capitaine Dronne au passage et il le lance, avec trois chars et trois sections sur half-tracks, vers le coeur de Paris. L'audace est payante : à 21 heures 22, Dronne arrive place de l'Hôtel de Ville, les cloches de la capitale sonnent à toute volée ; les Parisiens frémissent.

    Le lendemain 25, c'est le coup de grâce : la 2e DB entre dans la ville, s'empare du gouverneur allemand et réduit au silence tous les centres de résistance. Près d'une centaine des nôtres, souvent des Parisiens d'ailleurs, trouvent la mort dans ces opérations toujours sanglantes ; mais, dans les rues, quelle joie, quel soulagement ! Les groupes de résistance, qui se battaient depuis près de huit jours à un contre dix, soupirent et fêtent ces soldats français providentiels que Paris attendait depuis quatre ans sans trop y croire.

    Le 26, la 2e DB se regroupe à l'Etoile, au Rond-Point, à Notre-Dame : elle voit le général de Gaulle descendre à pied les Champs-Elysées sous les acclamations d'une foule en délire. Tandis que la ville est en liesse, que des milliers de jeunes gens se bousculent pour pouvoir se joindre à nos unités et combattre avec elles, une partie de nos moyens se porte vers le nord, Saint-Denis, Montmorency, Gonesse : une division allemande prétend reprendre Paris ! Beaucoup de Parisiens ignoreront les combats qui se livrent alors, les 27 et 28 août, notamment à Pierrefitte et au Bourget ; pourtant, quelques-uns des meilleurs de nos camarades y donneront leur vie pour qu'enfin Paris soit vraiment libéré.

    Après dix jours consacrés à remettre en état les quatre mille véhicules, à recompléter les rangs, à prendre un repos et une détente bien mérités aussi, le 8 septembre la Division reprend la route. Pas un homme ne manque au départ : qu'on y songe en pensant à ceux, nombreux, qui, absents depuis deux, trois ou quatre ans, auraient pu estimer pouvoir céder leur place à d'autres... La direction est l'est, bien sûr. La 2e DB retrouve sa place dans le dispositif américain avec le XVe Corps et, dès la Marne franchie, elle aborde l'ennemi, Il faut se battre, sévèrement, à Andelot, puis, entre Meuse et Moselle, à Contrexéville, Vittel, et surtout Dompaire où les sous-groupements Minjonnet et Massu rencontrent une Panzerbrigade toute fraîche, équipée de chars neufs, lancée en contre-attaque. Les combats sont très durs dans la journée du 13 septembre ; mais les efforts conjugués des chars moyens du 12e Chasseurs d'Afrique, des tanks-destroyers du Régiment blindé de fusiliers-marins, des fantassins du Régiment de marche du Tchad, des artilleurs du colonel Crépin et des Thunderbolts de l'aviation alliée infligent aux Allemands des pertes telles — cinquante-neuf chars détruits sur quatre-vingt-dix engagés — qu'ils doivent se replier.

    En même temps, plus au nord, le mouvement en avant s'est poursuivi et, dans la matinée du 15, le sous-groupement La Horie franchit la Moselle à Châtel. Nos éléments y subissent une nouvelle contre-attaque, la déjouent de nouveau, s'avancent jusqu'à la Mortagne de Doncières à Moyen, passent la Meurthe de vive force le 22 dans la région de Flin et, finalement, s'arrêtent, sur ordre, dans la forêt de Mondon, au sud de Lunéville. Un répit est nécessaire pour que les Forces alliées se regroupent avant d'aborder les Vosges, pour que les ravitaillements suivent, pour qu'hommes et véhicules se reconstituent après une chevauchée de quinze jours riche en péripéties.

    Pendant tout le mois d'octobre, donc, la 2e DB s'immobilise. Si elle cesse d'avancer, elle ne cesse pas de se battre contre un ennemi qui reste actif et qui harcèle nos postes. Nous-mêmes le harcelons afin de mieux le connaître, afin de n'avoir aucune hésitation le jour prochain où nous repartirons vers Strasbourg et sa cathédrale, l'objectif que les anciens de Koufra — dont beaucoup sont encore avec nous — ont juré de rendre à la France.

    L'opération commence le 31 octobre par la prise de Baccarat. Minutieusement montée, mettant en oeuvre six sous-groupements dont chaque temps est réglé, l'attaque menée de main de maître réussit au moindre prix : elle sera plus tard comparée à un menuet du Grand Siècle. Puis, derrière le gros du XVe Corps américain qui se heurtent à la ligne de défense que les Allemands ont pu réaliser au pied des Vosges, les escadrons de reconnaissance du 1er Régiment de marche des spahis marocains guettent la première percée : elle se produit les 15 et 16 novembre. Leclerc y engouffre aussitôt ses moyens et, dès lors, la course commence. Au nord, le groupement Dio vise Saverne en franchissant les Vosges, soit par le col de Saverne, soit par la Petite-Pierre. Au sud, le groupement de Langlade, profitant de la chute de Badonviller obtenue le 17 par le sous-groupement du lieutenant-colonel de La Horie — qui y trouve la mort —, passe la crête du Dabo ; le groupement V, du colonel de Guillebon le suivra et, en plaine, tout le monde convergera vers Strasbourg.

    Comme une charge, s'accélérant jour après jour, la poussée de la 2e DB s'avère irrésistible : sauf au centre, sur la route de Saverne où, comme on s'y attendait, l'ennemi est le plus fort, les résistances allemandes sont bousculées partout. Les routes sont jonchées de débris, de matériels abandonnés ; les prisonniers ne se comptent plus. Aussi, tandis qu'on se bat encore sur les crêtes du côté de Phals

  • Paris, ce 23 juin : Marc Rousset, invité de la ”Rencontre du Club de l'Horloge”...

    lfar rousset.jpg

    C'est très volontiers que nous transmettons l'information suivante, en souhaitant un plein succès à cette "Rencontre" avec notre ami Marc Rousset...

     

    Chère Madame, chère Mademoiselle, cher Monsieur, chers amis,

    Nous avons le plaisir de vous convier à notre prochaine « rencontre du jeudi » du Carrefour de l'Horloge, qui se tiendra le 23 juin 2022 à 19 heures précises
    au siège de l'association, 4 rue de Stockholm, Paris 8e (nouveau code d'entrée : 3478A).

     
    Nous recevrons Marc Rousset, ancien élève d’HEC, docteur ès sciences économiques, prix de l’Académie des sciences morales et politiques, ancien haut dirigeant d'entreprise et auteur de nombreux ouvrages, dont Pour le renouveau de l’entreprise (éd. Albatros), La nouvelle Europe Paris-Berlin–Moscou (éd. Godefroy de Bouillon) et Adieu l’argent roi ! Place aux héros européens (même éditeur). Ce dernier titre  a donné lieu à  la  rencontre du jeudi du 31 octobre 2017. Tout récemment, notre invité a publié Comment sauver la France - Pour un Europe des nations avec la Russie (éd. du Panthéon).

    Marc Rousset interviendra sur le thème :

    « Comment redresser la France et l’Europe ? »
    Marc Rousset propose une restauration républicaine qui reviendrait sur la révolution cosmopolite de 1968. À cet effet, il veut en finir avec la société marchande, affirmer la primauté de la fonction souveraine sur la fonction productive, du politique sur l’économique. Alors, la France, sûre de sa souveraineté et de son identité, pourrait réaliser une Europe des nations, libérée de l'OTAN et de l’hégémonie des États-Unis d’Amérique et qui se rapprocherait tout naturellement de la Russie, tout en mettant fin au libre-échangisme et à l’immigrationnisme. Autant d'idées-force que Marc Rousset développera et dont il débattra avec nous.

    Diffusion en direct de la conférence de Marc Rousset, et du débat qui suivra, sur Radio Athéna, la radio du Carrefour de l’Horloge :
    https://youtu.be/CDHog0YIvEI
    Puis diffusion à la demande sur la chaîne YouTube du Carrefour de l'Horloge : https://www.youtube.com/c/carrefourdelhorloge

    En espérant que vous pourrez participer à cette réunion, je vous prie de recevoir mes salutations cordiales.

    Pierre Millan
    s
    ecrétaire général du Carrefour de l'Horlog
    e

    Inscription sur place. Participation aux frais : 5 euros.

    Pour contribuer à la réinformation des Français, diffusez le communiqué de la prochaine rencontre du jeudi, qui est ouverte à tous.

    Pour aller plus loin, consultez les articles de nos sites et les vidéos de nos chaînes :

    nos sites :

    - site du Carrefour de l'Horloge : https://cdh.fr/
    - site d'Henry de Lesquen : https://lesquen.fr/
    . site du PNL (Parti National-Libéral) : https://www.natlib.fr/

    ...et nos chaînes :
    . chaîne YouTube du Carrefour de l'Horloge : https://www.youtube.com/c/carrefourdelhorloge
    . chaîne YouTube de Radio Athéna, la radio du Carrefour de l’Horloge : https://youtu.be/CDHog0YIvEI .
    . chaîne YouTube d'Henry de Lesquen : https://www.youtube.com/channel/UCABqe4i9tBXzCgMpftEgaZw
    . chaîne Odysee d'Henry de Lesquen et de Radio Athéna : https://odysee.com/@Lesquen:5
    . chaîne BitChute d'Henry de Lesquen et de Radio Athéna : https://www.bitchute.com/channel/lesquen/

     

    Renseignements :
    Carrefour de l'Horloge - 4 rue de Stockholm 75008 Paris
    Tél. : 01 42 94 14 14
    cdh75008@orange.fr

    Métro : Saint-Lazare (lignes 3, 12, 13 et 14, RER E) [sortie n° 1, Cour de Rome], Europe (ligne 3), Saint-Augustin (lignes 9 et 14).
    Autobus : lignes 20, 21, 24, 26, 27, 28, 29, 32, 42, 43, 53, 66, 80, 84, 95, 99.
    Parc de stationnement Bergson (sous la place Henri Bergson) : entrée rue de Laborde, à droite de l'église Saint-Augustin.

  • Paris, ce 23 juin : Marc Rousset, invité de la ”Rencontre du Club de l'Horloge”...

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    C'est très volontiers que nous transmettons l'information suivante, en souhaitant un plein succès à cette "Rencontre" avec notre ami Marc Rousset...

     

    Chère Madame, chère Mademoiselle, cher Monsieur, chers amis,

    Nous avons le plaisir de vous convier à notre prochaine « rencontre du jeudi » du Carrefour de l'Horloge, qui se tiendra le 23 juin 2022 à 19 heures précises
    au siège de l'association, 4 rue de Stockholm, Paris 8e (nouveau code d'entrée : 3478A).

     
    Nous recevrons Marc Rousset, ancien élève d’HEC, docteur ès sciences économiques, prix de l’Académie des sciences morales et politiques, ancien haut dirigeant d'entreprise et auteur de nombreux ouvrages, dont Pour le renouveau de l’entreprise (éd. Albatros), La nouvelle Europe Paris-Berlin–Moscou (éd. Godefroy de Bouillon) et Adieu l’argent roi ! Place aux héros européens (même éditeur). Ce dernier titre  a donné lieu à  la  rencontre du jeudi du 31 octobre 2017. Tout récemment, notre invité a publié Comment sauver la France - Pour un Europe des nations avec la Russie (éd. du Panthéon).

    Marc Rousset interviendra sur le thème :

    « Comment redresser la France et l’Europe ? »

    Marc Rousset propose une restauration républicaine qui reviendrait sur la révolution cosmopolite de 1968. À cet effet, il veut en finir avec la société marchande, affirmer la primauté de la fonction souveraine sur la fonction productive, du politique sur l’économique. Alors, la France, sûre de sa souveraineté et de son identité, pourrait réaliser une Europe des nations, libérée de l'OTAN et de l’hégémonie des États-Unis d’Amérique et qui se rapprocherait tout naturellement de la Russie, tout en mettant fin au libre-échangisme et à l’immigrationnisme. Autant d'idées-force que Marc Rousset développera et dont il débattra avec nous.

    Diffusion en direct de la conférence de Marc Rousset, et du débat qui suivra, sur Radio Athéna, la radio du Carrefour de l’Horloge :
    https://youtu.be/CDHog0YIvEI
    Puis diffusion à la demande sur la chaîne YouTube du Carrefour de l'Horloge : https://www.youtube.com/c/carrefourdelhorloge

    En espérant que vous pourrez participer à cette réunion, je vous prie de recevoir mes salutations cordiales.

    Pierre Millan
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    Pour contribuer à la réinformation des Français, diffusez le communiqué de la prochaine rencontre du jeudi, qui est ouverte à tous.

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    - site d'Henry de Lesquen : https://lesquen.fr/
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    ...et nos chaînes :
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    . chaîne YouTube de Radio Athéna, la radio du Carrefour de l’Horloge : https://youtu.be/CDHog0YIvEI .
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    Renseignements :
    Carrefour de l'Horloge - 4 rue de Stockholm 75008 Paris
    Tél. : 01 42 94 14 14
    cdh75008@orange.fr

    Métro : Saint-Lazare (lignes 3, 12, 13 et 14, RER E) [sortie n° 1, Cour de Rome], Europe (ligne 3), Saint-Augustin (lignes 9 et 14).
    Autobus : lignes 20, 21, 24, 26, 27, 28, 29, 32, 42, 43, 53, 66, 80, 84, 95, 99.
    Parc de stationnement Bergson (sous la place Henri Bergson) : entrée rue de Laborde, à droite de l'église Saint-Augustin.

  • Histoire & Actualité • Emmanuel Macron fêtera Jeanne d’Arc ? Bonne nouvelle !

     

    Pour une fois que la République s’incline devant l’Histoire qui la précède, ne soyons pas bégueules.

    par Charlotte d'Ornellas

    Nous ne savons pas si Charlotte d'Ornellas a bien raison [Boulevard Voltaire - 30.04] de se féliciter que « la République s’incline devant l’Histoire qui la précède », dimanche 8 mai à Orléans  - en la personne très médiatique d'Emmanuel Macron. A vrai dire, on aurait de sérieuses raisons d'en douter : elle l'a fait tant de fois, à Orléans ou ailleurs, par la voix de ses plus hautes autorités sans que cela ne change rien à ce que Maurras appelait la mécanique de nos malheurs, ceux qu'induit ce régime, si souvent antihistorique, antifrançais ! Hommages, donc, sans conséquences ni engagements... Quant à Macron, il semble se définir essentiellement comme l'homme des banques, de la mondialisation et de la culture libéralo-libertaire ... Quelles paroles - sur notre Histoire et nos racines - prononcera-t-il donc à Orléans, dimanche prochain ? Seront-elles seulement des paroles de circonstance ou bien de vérité ? Y mettra-t-il quelque profondeur ? Sans-doute en serait-il capable et, pour ce qu'il reste de forces saines et vives au sein du Pays Réel, pour leurs combats futurs, ce ne serait pas indifférent. Dans ce cas, Charlotte d'Ornellas aurait eu raison. C'est pourquoi nous écouterons ou lirons Emmanuel Macron avec attention, dimanche prochain, Fête Nationale de Jeanne d'Arc.  LFAR

     

    9fcfe4689efe7a4738249e7060ebd6bf.jpeg.jpgQue personne ne s’affole, Emmanuel Macron ne « kidnappera » pas Jeanne d’Arc, d’abord parce que les Orléanais ne se laisseront pas faire ! Le 8 mai, à Orléans, personne n’a jamais réussi à récupérer la libératrice : les fêtes ne s’y prêtent pas, elle seule les préside réellement.

    Cette année, les fêtes johanniques seront présidées par le ministre de l’Économie et des Finances, et c’est une bonne nouvelle car en effet, c’est la première fois depuis 10 ans qu’un ministre en exercice tiendra ce rôle.

    Il ne sera pas là seulement en tant qu’Emmanuel Macron, mais bien en tant que ministre, c’est-à-dire en tant qu’il représente l’Etat. Et ce dernier doit bien ça à la petite Lorraine.

    Le 8 mai 1429, Jeanne d’Arc libère la ville des Anglais, et lance une procession d’action de grâce, suivie par tous les Orléanais. Depuis, et chaque année à quelques exceptions près (dues aux guerres notamment), la population fidèle à son héroïne rejoue la victoire.

    L’adage veut que « la moitié des orléanais regarde défiler l’autre moitié » lors de ces fêtes qui rassemblent les ordres civils, militaires et religieux. Seuls les Orléanais y parviennent encore, parce qu’ils ont eu la sagesse de ne s’attacher qu’à Jeanne, au moins ce jour là.

    Tous les présidents de la République se sont succédés à la tribune pour glorifier la Pucelle, un 8 mai, à Orléans. C’est depuis l’accession au poste de Nicolas Sarkozy que la tradition est rompue, sans que les raisons ne soient d’ailleurs connues, et c’est bien triste.

    Quelles qu’aient été les étiquettes politiques des maires d’Orléans, tous ont participé à ces fêtes avec la même ferveur et admiration pour celle que la ville honore comme une sainte, comme une héroïne française et comme un chef de guerre admirable.

    Aucun d’entre eux n’a songé a bouder la messe d’action de grâces qui est célébrée chaque 8 mai au matin dans la cathédrale d’Orléans, nul n’a pensé à supprimer le défilé militaire qui est le deuxième plus important en France après le 14 juillet, nul n’a jamais refusé de remettre le 7 mai au soir l’étendard de Jeanne – gardé par la mairie toute l’année – à l’évêque de la ville, parce que tous ont trouvé normal qu’il revienne à l’Eglise le jour où ses plis décorés des noms de « Jésus et Marie » sont à l’honneur.

    1913205714.jpgC’est dans cette tradition intacte que s’inscrira Emmanuel Macron, parce qu’il existe encore des petits bouts de France si miraculeux qu’ils échappent à nos légitimes querelles politiques.

    Si Jeanne d’Arc anime des passions politiques en France, elle réunit à Orléans et il était tant qu’un ministre en exercice vienne rassurer ses habitants : non, l’État n’a pas oublié l’héroïne qu’elle est !

    Il y a à ce titre bien plus de sens dans la venue d’Emmanuel Macron que dans celle de l’invitée précédente qu’était Audrey Pulvar d’ailleurs.

    Jacques Chirac, Valéry Giscard d’Estaing ou François Mitterand ont célébré Jeanne d’Arc au même pupitre que Régine Pernoud et Denis Tillinac. Et tous ont salué avec la même puissance la France qu’ils avaient en commun, incarnée par Jeanne d’Arc…

    Notre pays est en train de crever de désespérance, mais il y a chaque 8 mai, à Orléans, une toute jeune fille au parcours terrestre si mystérieux qui continue à rassembler. Posons les armes et savourons, ne serait-ce que le temps d’une (trop courte) journée.

    Et puis entre nous, pour une fois que la République s’incline devant l’Histoire qui la précède, ne soyons pas bégueules et laissons les Orléanais chanter une fois encore, avec les invités qu’ils veulent, « vive Jeanne, vive la France ! » 

    Journaliste indépendante

    Lire aussi

    Emmanuel Macron va présider les fêtes de Jeanne d'Arc à Orléans ... Redira-t-il qu'il nous manque un roi ?  [LFAR - 28.04]

  • Le Système est l'héritier du Terrorisme révolutionnaire, négationniste/révisionniste et matrice des Totalitarismes moder

    Aujourd'hui (14) : Les Colonnes infernales...

    Aux bourreaux Turreau et Amey, l'Arc de Triomphe !

    1A.jpg

    (documents tirés de notre Album : Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, "Guerre de géants...")

    Aujourd'hui, Robespierre porte costume et cravate, il affiche une apparence distinguée, et loge sans vergogne dans les appartements de la Royauté, tâchant de ressembler à ces autres Rois ou Présidents du monde.

    Mais il ne s'agit que d'un masque, d'une leurre, d'une Tartuferie institutionnalisée : c'est "le chaos figé des conservateurs du désordre" qui est en place, sous des apparences "normales" et policées; et ce chaos n'est rien d'autre que l'héritier assumé du "chaos explosif des révolutionnaires".

    Voici quelques exemples de ce que fut ce "chaos explosif" des révolutionnaires de 1789/1793, si fanatiques qu'ils ont eux-mêmes baptisé leur méthode de gouvernement (?) "la Terreur"; de ses aspects monstrueusement inhumains, d'une atroce barbarie, qui préfiguraient les épouvantables horreurs du marxisme-léninisme et du nazisme...

    Et voilà pourquoi, chaque année, nous signalons cette date du 21 janvier à nos compatriotes comme celle du début de notre décadence, comme l'origine de tous nos maux, comme la matrice et le ventre - hélas fécond - d'où sont sortis les abominations qui ensanglantent le monde depuis lors...

    Voici quelques aspects de ce que fut la Terreur révolutionnaire en Vendée, et ce qu'en ont dit quelques uns de ceux qui ont oeuvré à sa mise en œuvre "systématique", au sens premier du terme...

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    Aujourd'hui (13) : Les Colonnes infernales...

    Aux bourreaux Turreau et Amey, l'Arc de Triomphe !

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    (documents tirés de notre Album : Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, "Guerre de géants...")

     

     

    Voici une très brève présentation de François-Pierre Amey, dont le nom - inscrit sur le pilier est de l'Arc de Triomphe, comme celui de cet autre criminel de guerre qu'est Turreau - souille et dénature ce monument...
    (Extrait du n° 151 -juillet 1985 de la revue du Souvenir Vendéen):

    Pierre-François-Joseph Amey, général de division, était né à Sélestat (Bas-Rhin), le 2 octobre 1768, de François-Pierre Amey, chirurgien-major de la Légion Suisse, et de Ursule Collignon. Mort à Sélestat le 16 novembre 1850. Entra comme cadet dans le régiment de Vigier, le 2 octobre 1783, promu sous-lieutenant au dit régiment le 17 juillet 1788. Arriva rapidement en passant par tous les grades à celui de général de brigade, le 8 frimaire an II. Il avait servi à l'armée des Côtes de La Rochelle sous Duhoux, puis Menou, qui combattirent contre les vendéens.

    Blessé en Vendée, le 25 juin 1793, il avait été nommé provisoirement adjudant-général, le 23 juin précédent, et fut confirmé dans son grade le 30 septembre 1793 ; servit sous Kléber et Marceau et fut nommé général de brigade, le 28 novembre 1793. Blessé à la bataille du Mans, le 12 décembre 1793.

    Il commande une Colonne infernale et en février 1794, brûle la petite ville des Herbiers. après s'être sinistrement distingué en brûlant les femmes des Epesses et des environs dans des fours allumés. Suspendu de ses fonctions, le 6 août 1794, il fut réintégré, le 4 septembre 1794. Pris part ensuite à toutes les guerres de la Révolution et de l'Empire dont il fut nommé baron, le 19 mars 1808…

    Après les Cent jours, il fit sa soumission à Louis XVIII, fut admis à la retraite le 9 septembre 1815 et se retire dans sa ville natale, Sélestat, dont il est nommé maire, de 1820 à 1830. Présente les clés de sa ville à Charles X, lors de son voyage en Alsace en 1828. Il réside à Strasbourg à partir de 1830 et y décède le 16 novembre 1850.


    Son nom figure – avec celui de Turreau - sur le pilier ouest de l’Arc de Triomphe de l’Etoile !...

    Deux témoignages sur ses atrocités :


    - En janvier 1794, l'officier de police Gannet l'accuse de laisser ses soldats tuer des civils en les jetant dans des fours :

    "Amey fait allumer des fours et lorsqu'ils sont bien chauffés, il y jette les femmes et les enfants. Nous lui avons fait des représentations ; il nous a répondu que c'était ainsi que la République voulait faire cuire son pain. D'abord on a condamné à ce genre de mort les femmes brigandes et nous n'avons trop rien dit; mais aujourd'hui les cris de ces misérables ont tant diverti les soldats et Turreau qu'ils ont voulu continuer ces plaisirs. Les femelles de royalistes manquant, ils s'adressent aux épouses des vrais patriotes. Déjà, à notre connaissance, vingt-trois ont subi cet horrible supplice et elles n'étaient coupables que d'adorer la nation. La veuve Pacaud, dont le mari a été tué à Chatillon par les Brigands lors de la dernière bataille, s'est vue, avec ses 4 petits enfants jetée dans un four. Nous avons voulu interposer notre autorité, les soldats nous ont menacés du même sort..."



    - "…il avait même fait fusiller des municipalités entières, revêtues de leurs écharpes " (Mariteau, maire de Fontenay-le-Comte).

     

    -------------------

     

    C'est "çà", la Révolution !

    C'est "ça" qui fut voulu et ordonné par Robespierre et sa bande de psycopathes de la Convention; et fidèlement exécuté sur le terrain par "les Bleus", qui ont perpétré là le premier Génocide des Temps modernes, doublé d'un mémoricide puisque, deux siècles et demi après, celui-ci n'est toujours pas reconnu

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    Le visage de Robespierre reconstitué par Philippe Froesch, présenté à Barcelone en décembre 2013, par un spécialiste de la reconstruction faciale, qui dit avoir utilisé les techniques du FBI et du cinéma, et un médecin légiste, qui en a profité pour donner la liste des maladies dont souffrait le révolutionnaire... 
  • Éphéméride du 29 juillet

    1987 : Début de la construction du Tunnel sous la Manche

     

     

     

     

    1656 : La Reine Christine de Suède débarque à Marseille 

     

    C'est un personnage tout à fait hors du commun - excentrique, disent certains - qui entame un voyage en France; un voyage qui sera, comme toute sa vie, marqué par le surprenant : la reine causa - par exemple - un grand scandale lorsque, au cours de son séjour, à Fontainebleau, elle fit assassiner son écuyer et amant, Monaldeschi (1657).         

    Très cultivée, elle avait convaincu Descartes de venir en Suède, et correspondait avec Pascal, Gassendi ou Madeleine de Scudéry.

    Pour Louis XIV, il ne fit aucun doute qu'il fallait recevoir magnifiquement cette reine d'un pays nordique protestant : l'importance diplomatique de sa "visite" ne peut se comparer qu'à la traversée de la France par Charles Quint, sous François premier.

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    Christine de Suède et sa cour (partie droite du tableau).

    La Reine écoute Descartes faisant une démonstration de géométrie, en présence du Prince de Condé, d'Élisabeth de Bavière (princesse Palatine) et du père Marin Mersenne.

    Louis Michel Dumesnil (1680-1746), Musée national du Château de Versailles

     

    christine de suede.pdf

     

    http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/caief_0571-5865_1957_num_9_1_2097 

     

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    1666 : Pose de la première pierre du Canal du Midi       

              

    Les travaux, commencés par l'ingénieur Paul-Pierre Riquet, s'achèveront en 1681. Cette voie d'eau navigable mesure 241 kilomètres et relie la Garonne à la Méditerranée, de Toulouse à l'Étang de Thau.

    Le site tout entier est classé au Patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco.

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     Dans notre album L'aventure France racontée par les cartes, voir la photo "Le Canal du Midi : la prouesse technique du XVIIème"

     

    • http://www.canalmidi.com/ 

     

    • http://www.canal-du-midi.org/

     

     

     

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    1666 : Premières joutes nautiques à Sète

     

    Elles ont lieu à l’occasion de la pose officielle de la première pierre du Môle Saint-Louis.

    C’est à partir de cette date du 29 juillet 1666 que l’on fait traditionnellement débuter la création de la ville de Sète... :

    En 1684, le port est visité par Vauban; en 1703 a lieu la consécration de l'église Saint-Louis et, en 1745, Louis XV assiste aux joutes nautiques de la Saint-Louis à Sète.

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    Sète, vue aérienne (à gauche, le Canal royal)

    Site officiel de la Ville, qui présente également les très belles Fêtes de la Saint Louis :

    http://www.tourisme-sete.com/joute-nautiques-fete-tradition.html

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    1693 : Victoire de Nerwinden

     

    Après trois brillantes victoires à Steinkerque, Leuze et Fleurus, le maréchal de Luxembourg remporte sa quatrième grande victoire en quatre ans, celle de Nerwwinden.

     

    On le surnommera "le tapissier de Notre Dame" en raison du grand nombre de drapeaux pris à l'ennemi : 55 étendards et 25 drapeaux ! On suspendait ces drapeaux dans le choeur de la cathédrale de Paris à l'occasion des Te Deum chantés pour les victoires.

     

    MARECHAL DE LUXEMBOURG.jpg 

    François-Henri de Montmorency-Bouteville, comte de Bouteville et comte de Luxe, duc de Piney-Luxembourg, Pair de France (1661) et Maréchal de France (1675), plus connu sous le nom de "Maréchal de Luxembourg" ou celui de "Tapissier de Notre-Dame"...

     Envoyé en Hollande combattre Guillaume III d'Orange, il fut de nouveau opposé aux troupes du Roi d'Angleterre plusieurs années après : il remporta les victoires de Fleurus en 1690, puis de Steinkerque en 1692. 
    Le 29 juillet 1693, il se retrouva une nouvelle fois face au prince d'Orange à Neerwinden (au Nord-Ouest de Liège), la bataille la plus meurtrière du 17ème siècle : 75.000 Français y affrontèrent 50.000 ennemis : 20.000 de ceux-ci perdirent la vie... 

    Le Maréchal de Luxembourg envoya alors un message laconique au Roi Louis XIV :

    "Vos ennemis ont fait des merveilles, vos troupes encore mieux. Les Princes de votre sang se sont surpassés. 
    Pour moi, Sire, je n'ai d'autre mérite que d'avoir exécuté vos ordres. Vous m'aviez dit d'attaquer une ville et de livrer une bataille; j'ai pris l'une et j'ai gagné l'autre."

     

    https://www.herodote.net/almanach-ID-3397.php

     

     

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    1836 : Louis-Philippe inaugure l'Arc de Triomphe de l'Étoile

     

     

    Après la victoire d’Austerlitz, Napoléon 1er décida de faire ériger un arc de triomphe à la gloire de la Grande Armée, sur la place de l’Étoile.

    L’empereur confia la réalisation du projet à l’architecte Jean-François Chalgrin. La pose de la première pierre eut lieu le 15 août 1806.

    En 1810, pour l’arrivée de l’impératrice Marie-Louise à Paris, une maquette grandeur nature en charpente et en toile fut érigée sur les pieds de l’arc qui étaient en construction, permettant ainsi d’admirer ce que serait l’effet produit par le monument une fois terminé.

    Chalgrin mourut en 1811 et ne vit pas l’aboutissement du projet. Goust, Guyot puis Blouet lui succédèrent comme architectes.

    L’arc de triomphe fut achevé sous Louis-Philippe et fut inauguré le 29 juillet 1836.

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     Il est bien regrettable qu'un lieu si imposant soit souillé par l'honneur qui y est rendu aux sinistres bourreaux de la Vendée, agissant sur l'ordre de la Convention :
     
     
     
     
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    1866 : Mort de Barbe Nicole Clicquot, dite La veuve Clicquot