UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Cinéma • Wonder wheel

     

    Par Guilhem de Tarlé 

    Wonder wheel, une comédie dramatique de Woody Allen, avec Kate Winslet, Juno Temple, James Belushi et Justin Timberlake. 

    Je ne suis pas fan de Woody Allen. Je n’ai aucun souvenir de Magic in the moonlight, ni de L’Homme irrationnel.

    J’aurais pu ne pas voir Café Society, et le seul que j’ai vraiment aimé est Minuit à Paris. Je ne crois pas en avoir vu d’autres de la petite cinquantaine de films qu’il a réalisés, ou alors j’ai oublié…

    A l’instar des deux derniers que je viens de citer, Wonder wheel est avant tout un film d’ambiance, mais pour y participer il faudrait avoir le temps de jouir des photos de cette plage couverte de monde et des attractions foraines qui la côtoient. C’est malheureusement impossible car, une fois de plus, le sous-titrage vous accapare et vous empêche de voir…

    A quand un C.S.C.S., un Club de Spectateurs Contre le Sous-titrage ? La défense de la langue française ne passe-t-elle pas aussi par le cinéma, même quand réalisation, production et acteurs sont étrangers ?

    Le film est « divertissant », comme il me le fut dit pour Fortunata, il l’est d’ailleurs davantage, et l’on chercherait bien fortune avec Carolina.   

    PS : Je vous propose mon blog  Je ciné mate avec déjà une quarantaine de films. Vous pouvez vous y abonner (en bas à droite) pour recevoir automatiquement les mises à jour et surtout y retrouver d’anciennes notices grâce au bouton Recherche (je continuerai de le compléter progressivement, à votre demande, de mes « critiques » 2016 et 2017)Merci, outre vos commentaires éventuels, de m’indiquer les difficultés que vous rencontrez, les corrections nécessaires ou les améliorations à apporter à ce blog.   https://jecinemat.wordpress.com

  • Famille de France • Le Prince Eudes, duc d’Angoulême au château de Vincennes

     
    Son Altesse Royale, le Prince Eudes de France, Duc d’Angoulême, a assisté récemment au château de Vincennes à la commémoration des combats de la Sidi-Brahim de 1845.

    Le frère cadet du prince Jean de France, a assisté, aux côtés des Officiers de l’armée française et des autorités civiles, à la prise d’armes et au défilé des Chasseurs. C’est en effet à Vincennes que fils du roi Louis-Philippe, le prince royal Ferdinand, duc d’Orléans,  à créé en 1838, le 1er Bataillon de Chasseurs à pieds. 

    En 1830, au cours des combats qui se déroulent sous Alger, le Haut commandement constate avec regret l’absence de troupes légères d’infanterie. Cette préoccupation, dominée par les nécessités de la conquête, devient l’idée première des grands chefs militaires de la Monarchie de Juillet et en premier lieu, Son Altesse royale le prince royal Ferdinand, duc d’Orléans. 

    L’héritier du Trône, s’intéresse particulièrement aux questions militaires. Il a l’idée, pour remplacer les anciens voltigeurs disparus depuis 1815, de créer un corps d’infanterie légère portant le nom de Chasseurs d’essai. Il prend l’avis des grands généraux survivants de l’épopée impériale, et, en août 1837, le général Houdetot, aide de camp du Roi, est chargé d’organiser à Vincennes une Compagnie de tirailleurs. Des hommes d’élite sont prélevés dans tous les régiments de la métropole. Les excellents résultats obtenus décident la création, d’abord provisoire en novembre 1838 puis définitive en août 1839, d’un bataillon à six compagnies, les Tirailleurs de Vincennes. La première remise des drapeaux des chasseurs, aura lieu, le 4 mai 1841, aux Tuileries, où les bataillons de chasseurs recevront leur drapeau des mains du Roi Louis-Philippe. 

    Sources
    Noblesse et Royautés & La Couronne
  • Affaire Méric : le scandale

    Clément Méric et ses potes ...

     

    Par Richard Savournin 

     

    justice-950x400.jpgAinsi donc, sur les trois protagonistes de ce triste fait-divers, deux ont été condamnés l’un à 7 ans de réclusion criminelle, l’autre à 11 ans.

    Sur le fond de l’affaire, la Cour d’Assises a donné un exemple déplorable de mauvaise justice, indigne d’un pays comme le nôtre.

    D’abord, le qualificatif de meurtre en réunion a été validé, alors qu’il s’agit d’une rixe dans laquelle les condamnés ont été, non seulement provoqués, mais agressés, ce qui aurait dû conduire le verdict à tenir compte de la légitime défense. De plus, la Cour a retenu l’utilisation d’armes prohibées alors que sur six rapports d’expertise, un seul envisageait la possibilité de blessures causées par un poing américain par le principal condamné. Son acolyte est condamné presque aussi lourdement alors qu’il n’est nullement établi qu’il ait même touché le jeune Méric.

    En fait les juges n’ont pas tenu compte des faits de la cause, se contentant d’insister sur l’ « idéologie » des jeunes skinheads. Osons le dire, ce verdict est inquiétant pour la qualité de la Justice française.

    Certes, ces jeunes gens qui se donnent à plaisir des allures de croquemitaine, pour demander ensuite pardon à la Cour de s’être défendus ne représentent pas l’idéal du dévouement national ; mais ce n’est pas une raison pour les sanctionner au delà de tout bon sens.

    http___i.huffpost.com_gen_1180925_images_h-CLEMENT-MERIC-TOULOUSE-628x314.jpgD’autre part, le procès a laissé les avocats et l’avocat général glorifier les agresseurs, refusant de reconnaître que ces groupes prétendument antifascistes  (photo) ne cachent pas leur objectif qui est d’interdire toute expression publique à ceux qui s’opposent à eux en dehors du Système. Nous sommes en face d’une grave atteinte aux libertés,  qui frappe des déclassés sans défense, mais qui nous écrasera sans merci demain si nous n’y prêtons garde.   

  • Sur Sacr TV, français n'oublie jamais ce que tu es !


    Merci pour votre soutien dans nos activités vidéos : https://www.tipeee.com/sacr-tv

    L'ETHIQUE DE LA RECONQUETE :

    https://fr.calameo.com/read/000869313...

    Aujourd’hui tu es meurtrie par les délires malsains de la Vè république qui n’a de cesse de vouloir te détruire comme d’ailleurs, toutes les républiques depuis la première. C’est un violent châtiment issu des erreurs passées que tu subis actuellement.

    Ta musique n’est plus celle de Versailles enchantant les oiseaux, mais du bruit martelant les oreilles de tes enfants conditionnés par le système créant tes besoins…

    Tes bâtiments ne sont plus des lieux de vie, comme jadis dans tes villes peintes des temps classiques, où ceux-ci se mariaient avec le paysage, fruit de l’amour entre l’homme et la nature…

    Ta vie que rythmaient la beauté naturelle et le temps de chaque chose est remplacée par le confort et le luxe détruisant tes riches heures d’ententes communautaires mais il ne tient qu’à toi de retrouver ce chemin.

    Mais qu’importent les épreuves que tu devras affronter dans l’avenir. Quoi qu’il arrive, n’oublies jamais ce que tu es, français !

    Toutes ces légendes, des gisants de pierre aux mondes étranges, d’un jadis toujours vivant qui court dans nos esprits comme dans notre sang. Héritiers nous sommes et empiriquement dignes, nous demeurerons. Tout est symbole dans les limbes qu’expriment encore les pierres où vécurent ces sagas. Ces grands d’hier vivront à travers nos actes et comportements d’aujourd’hui, comme demain l’arbre de vie irrigue nos veines sous le soleil qu’apporte la lumière du ciel.

    Le guerrier qui sommeille en nous, que l’instinct maintient dans la permanence, comme l’épée symbolique et pure demeure à nos côtés, est le garant de la civilisation des valeurs hautes de la société.

    Il reste dans ton esprit cet amour du service, ce qui fit que tu étais cet être d’exception qui à travers le monde enchantait les peuples par ses différences.

    Français, n’oublies jamais que tu es et seras toujours la civilisation française chaque fois que tu poseras le genou à terre face à la Croix du Christ et que tu adoreras ce que tu as brûlé, et brûleras ce que tu as adoré !

    Ce jour-là Français, tout comme à l’époque de Jeanne d’Arc, tu feras reluire le soleil…

  • Sur Sacr TV, sans repentance - Bataille de France 1940.


    Soutenez nos activités vidéos : https://www.tipeee.com/sacr-tv

    Comment nos chers soldats se sont-ils comportés lors de cette terrible bataille de France ? L'historiographie abonde en clichés sur la prétendue « déroute » de l’armée française en 1940. Surtout de la part des auteurs anglo-américains, toujours promptes à dénigrer le rôle des soldats français lors de ce conflit mondial.

    Même si l’enthousiasme fut bien moindre que lors de la première guerre mondiale et on peut le comprendre, les français mobilisés se montreront pourtant parfaitement à la hauteur de leur devoir malgré la défaite.

    Nous n’avons pas à rougir de la combattivité de nos soldats français durant les épreuves de la seconde Guerre mondiale. Le seul malheur de ces soldats, comme de tout le peuple français depuis 1789, c’est la république et ses pseudos-valeurs. Ce régime a ouvert les portes du pouvoir à tous les incapables, à tous les traitres, les irresponsables et les incompétents. Forcément quand l’accession au pouvoir ne se fait que par l’argent et la communication, à défaut d’une transmission héréditaire, il faut s’attendre à un grand nombre de fruits pourris…

    On est loin d’un Louis XV s’exprimant devant les morts de Fontenoy à son fils : « Voyez ce qu’il en coûte à un bon cœur de remporter des victoires. Le sang de nos ennemis est toujours le sang des hommes, la vraie gloire est de l’épargner ». Attardons nous un instant et réfléchissons à ce que fut la vie de ceux qui survécurent. Regardons notre pauvre liberté si chère payée, devant tous les abandons successifs des gouvernements depuis. Le sacrifice de tant d’hommes, comme de femmes et d’enfants criant à nos oreilles : « Que faites-vous de cette liberté gagnée et de la dignité des héros et morts d’hier ». Quelle honte devrait avoir ces hommes, les poches pleines d’argent et non de vertu prétendant diriger notre pays. Ceux-ci sont inefficaces à toute décision, à toute anticipation, bref à toute notion de gouvernement devant les victimes innocentes d’hier et d’aujourd’hui. Ont-ils une pensée pour la vie de ces familles blessés au profond d’eux-mêmes, mères ou épouses, sœurs ou fiancée comme enfants souffrant devant un pays s’effondrant, voyant les listes de victimes innocentes s’accumuler. Et tous ceux seuls à jamais, devant l’indifférence d’un système qui n’a rien d’humain, puisque bâti sur le mensonge et le sang…

  • La France en Royauté, par Guy Adain.

    Autant dire la France en Beauté.

    Versailles brille de mille feux, le Roi Soleil illumine mieux le Royaume que les simples « Lumières » républicaines.

    Le merveilleux explose et ruisselle de la naissance du Royaume à la Renaissance :

    « La France, le plus beau royaume après celui du Ciel. » Grotius(Sic)

    Les Gens de France sont gentes dames et gentilshommes qui cultivent le Jardin à la française de notre beau pays.

    Oui, la Royauté est l’expression même de la Beauté, le summum de la Beauté est la Royauté.

    Du sacre du Roi, au Roi qui meurt pour que vive son successeur (le Roi est mort, Vive le Roi). De la beauté du geste à la beauté de l’âme, tout est royal ! Et le Royal est la quintessence du Beau et du sublime.

    Au dessus de toutes les autres considérations prime la Beauté !

    Ne regardons qu’Elle !

    Ne vivons que par Elle et pour Elle !

    Elle aveugle nos yeux et les remplit d’amour.

    Qui pense Royauté, pense Beauté.

    Qui pense Beauté, vit en Royauté.

    Qui vit en Royauté, vit entouré du Beau, du Merveilleux, et approche de la Sainteté.

    Qui regarde la France royalement, devient Enfant de Dieu ! 

    Alors, au diable les rancœurs, les jalousies et autres virus délétères !

    À nous le Beau, l’Amour, la Miséricorde et le Bonheur pour tous :

    Le Bonheur que nous n’attendons pas,

    mais celui que nous créons !

    Vivre en Royauté, c’est être Royal.

    Point n’est besoin de se « réinventer » à l’instar des sans-culottes, nous les Sujets du Roi, adorateurs de la Beauté, de l’Amour, nous voyons cette Beauté partout et tout le temps, elle remplit nos cœurs et comble nos âmes.

    Nous avons la chance d’être royalistes, c’est une grâce infinie, il faut en remercier le Ciel, faire partager notre amour du Beau et du Royal avec tous les Français et redonner son Roi à notre si joli royaume.

     

    À Dieu mon âme,

    Ma vie au Roi,

    Mon cœur aux Dames,

    l’Honneur pour moi !

     

    À très vite !

     

    Guy Adain

    16/06/20

    1.jpg

  • La fierté d’être Français, par Gérard Leclerc.

    © Pascal Deloche / Godong 

    Le gouvernement est à la peine pour trouver un équilibre entre mesures répressives et mesures positives afin de lutter contre les tendances séparatistes. Il ne suffit pas d’envisager un volet social dans la logique de la politique de la ville. Car la question est aussi civilisationnelle.

    gerard leclerc.jpgLa mise au point de la loi contre le séparatisme s’est avérée délicate. Il s’agit de prendre les mesures les plus efficaces contre l’extrémisme islamiste et sa logique de fait séparatiste, mais aussi de ne pas, comme on dit, « hystériser le débat ». Hystériser le débat se serait réduire toute une stratégie politique à des mesures autoritaires et répressives, alors qu’il y a a tout un volet social qui s’impose pour ne pas repousser toute une population hors de la cité. C’est ainsi qu’au XIXe siècle on définissait la condition prolétarienne. Aujourd’hui, le prolétariat a été remplacé par les migrants. Le problème s’est donc compliqué, aggravé, de façon que la puissance publique peine à le résoudre et même à l’analyser.

    Le volet social nécessaire, je l’évoquais lundi dernier, en parlant de la nécessité d’en finir avec les ghettos urbains où se structure le séparatisme. Cela réclame déjà des moyens considérables en termes financiers. Mais il n’est pas sûr qu’à disperser l’habitat, comme me le fait remarquer un correspondant, l’extrémisme se dissoudrait. Ne se répandrait-il pas sous d’autres modes ? Il y a bel et bien un problème de fond qu’Emmanuel Macron a tenté de définir dans un entretien au média Brut, à destination de la jeunesse. Il faut que la jeunesse immigrée se sente reconnue avec sa part d’identité légitime.

    Mais cette identité n’est pas évidente à reconnaître. Est-elle de nature religieuse ? Ne risque-t-elle pas de se ramener à des marqueurs qui concernent la couleur de peau. Sans compter qu’une idéologie dite indigéniste ou post-coloniale se répand pour entraîner à la révolte contre une nation dénoncée toujours comme oppressive. Est-il impossible d’inviter toute une jeunesse à participer à la fierté d’être française ? Oui, la tâche est redoutable avec un séparatisme qui est d’abord de nature culturelle et idéologique.

    Source : https://www.france-catholique.fr/

  • Gare aux analogies historiques !, par Gérard Leclerc.

    1904 Séparation de l’Église et de l’État en France

    - Manifestation devant Notre-Dame des Champs

    Y a-t-il un danger de recrispation à l’égard du domaine religieux dans le projet de loi contre le séparatisme. C’est la crainte de certains. Va-t-on au contraire vers un processus d’apaisement semblable à ce qui s’est passé autour de 1905. Mais l’analogie entre christianisme et islam est-elle pertinente ?

    gerard leclerc.jpgDécidément, je n’échapperai pas, cette semaine, à la discussion sur la loi contre le séparatisme, ou plutôt la loi « confirmant les principes républicains », pour reprendre les termes employés par le gouvernement. Cet infléchissement sémantique permettra-t-il d’apaiser les esprits, en clarifiant l’objet poursuivi ? Je n’en suis pas sûr. Dans un entretien au Monde, le premier ministre se défend avec force de stigmatiser les musulmans. Il semble que cela ne suffise pas à rassurer notre confrère La Croix, dont le directeur Guillaume Goubert, ne cache pas sa crainte « que les esprits antireligieux ne voient dans cette nouvelle loi l’occasion d’une revanche sur le principe de liberté religieuse qui a fini par prévaloir lors des débats de 1905 ».

    Voilà qui m’a rappelé des débats anciens, notamment une conversation avec le professeur René Rémond, figure éminente de l’intellectuel catholique, qui exprimait une inquiétude analogue. On peut voir dans ce type de position un front commun des religions dénoncé autrefois par Alain Finkielkraut. Mon sentiment est qu’au sein même du catholicisme, voire de la hiérarchie, les opinions sur le sujet, et l’islam en particulier, sont très loin de coïncider. Tout d’abord, parce qu’il est périlleux de mettre toutes les religions sur une sorte de pied d’égalité, alors que leurs structures intimes diffèrent considérablement.

    Aussi suis-je, personnellement, très circonspect à propos de l’analogie que l’on tient à faire entre ce qui s’est passé entre l’Église catholique et la République française autour de la loi de 1905 et les problèmes d’intégration actuels de l’islam. Certes, on doit souhaiter un apaisement. Mais celui-ci n’interviendra pas dans la méconnaissance d’un tout autre contexte religieux, historique et civilisationnel.

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 10 décembre 2020.

    Sources : https://www.france-catholique.fr/

    https://radionotredame.net/

  • Rafale en Croatie, c’est parti !, par Henri Gizardin.

    Bingo ! Ce vendredi, la Croatie a choisi le pour équiper son de l’air. Cinquième client export après l’Égypte, l’, le Qatar et la , elle est le second pays européen à opter pour ce chasseur.

    7.jpegCertes, douze unités restent modestes, mais ce pays qui compte moins de cinq millions d’habitants et 2.000 personnes dans son armée de l’air l’est aussi. Il faut noter que la décision vient après une compétition avec des offres concurrentes des États-Unis, d’Israël et de la , ce qui lui confère un éclat supplémentaire. Et c’est Andrej Plenkovic, le chef du gouvernement croate, qui le déclare dans son communiqué : « La Croatie obtient l’avion le mieux noté et le mieux équipé ! »

    Comme indiqué précédemment, ce sont des avions d’occasion prélevés sur la dotation de notre armée de l’air et de l’espace. Cependant, ils disposeront de certains armements air/air et air/sol très performants, identiques à ceux emportés par les ailes tricolores.

    La coopération des forces aériennes française et croate va comprendre la formation des pilotes, l’instruction des techniciens et l’organisation de la logistique particulière à un avion de combat moderne. Surtout après les MiG…

    Mais aussi, une coopération plus étroite va se concrétiser lors d’exercices en commun, ce que notre ministre des , Florence Parly, commente dans la perspective d’une européenne renforcée et plus intégrée : « Le choix de la Croatie est un choix de , résolument européen. Le Rafale est un avion exceptionnellement puissant et moderne, parfaitement en mesure de protéger la population, le territoire et les intérêts croates. Le fait qu’un pays européen choisisse l’offre d’un autre pays européen est un signe fort qui dépasse le symbole. »

    Amis croates, bienvenue dans le club Rafale !

     

    Henri Gizardin

    Ancien pilote de chasse
  • NOUS LES 70% !, par Guy Adain.

    DEUX MILLE 22 V’LÀ LE ROI (Suite).

     

    « Quand nous serons 2 ou 3 réunis en son nom » (pour l’heure, je pense au Roi), « il sera au milieu de nous ! »

    Le Seigneur a dit cela, et : « les voies du Seigneur sont impénétrables ».

    Ce ne sont pas ces belles paroles publiées sur nos sites royalistes qui aideront à convaincre le Peuple de France.

    Il en faudra un peu plus, j’ai beau y mettre toute ma foi et mon coeur à l’ouvrage, ce n’est que remplir le tonneau des Danaïdes !

    Je suis bien conscient d’écrire sur le sable de la plage, à peine la dernière lettre écrite, celle du début du mot est effacée…

    Si vous me lisez, c’est que vous êtes déjà convaincus, et donc cela ne sert à rien !

    Les dernières élections sont intéressantes par leurs résultats. Bien que l’interprétation ne soit pas une science exacte, justement parce qu’elle interprète à sa façon ; mais on peut quand même extrapoler ainsi, près de 70% des électeurs ne se reconnaissent :

    • Ni à Gauche (extrême, insoumise, verdâtres-écolos, en-marche arrière…comprises),

    • Ni à Droite (extrême, à l’arrêt, en-marche avant, centrale…comprises),

    • Ni dans aucun des autres clan aux divers gilets.

    On pourrait rêver en se disant : 70% de potentiel royaliste !

    Bien évidemment je ne fais pas cette analyse et reste les pieds sur terre ; mais tout de même 70% de Français hors du paysage politicien imposé…

    Ce sont eux qu’il faut aller chercher et convaincre, non pas de devenir subitement plus royalistes que le Roi, mais simplement de leur faire toucher du doigt une évidence : Dans la République Française si valeureuse, il y a 70% de Français qui ne trouvent pas leur place !

    Pourquoi pas ne pas les inciter à réclamer un référendum sur nos institutions et leur vision d’une France de demain ?

    J’arrête ici mon billet, et serais heureux d’ouvrir le débat à partir des commentaires…

     

     

    Guy Adain

    03/07/2021

  • Sur TV Libertés, le libéralisme libertaire contre la vérité de l'homme - Poléco 286 avec Bruno de Saint Chamas.


    Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Bruno de Saint Chamas, ingénieur, ancien président d’ICHTUS.

     

    1) Ichtus comme un poisson dans l’eau

    - Inspiration des premiers chrétiens, tout aussi valable pour aujourd’hui

    - Ordonner les priorités sociales et politiques

    - En politique, celui qui gagne a-t-il raison ?

    - Camus l’homme révolté, le serait plus encore aujourd’hui

    - La révolte comme expression de la limite à ce que l’on peut supporter

    - La mondialisation, comme le marxisme, sans vision anthropologique

    - Déconstruire pour augmenter les opportunités de gains

    - Le camp du bien et ses postures moralistes

    - Le bonheur selon le chrétien

     

    2) Analyse économique et anthropologique de la mondialisation à travers l’expérience d’entreprise

    - Une carrière d’ingénieur : le réel impose toujours sa loi

    - L’époque de l’excellence française

    - Une start-up dans un garage à Boulogne, le travail valorisé

    - Tout le contraire du management global, insensible à la dimension humaine du travail

    - Robotisation des hommes

    - Le management des universités américaines

    - Le triomphe du capital sur le travail

    - Une des grandes faiblesses du néolibéralisme : le juge de paix est la maximisation du profit

    - Evocation de Simone Weil et de son expérience du travail

    - Fondements de la doctrine sociale de l’Eglise

    -Considération sur le principe de subsidiarité

     

    3) Le travail et le revenu de base universel

    - Effet de mode mais surtout d’opportunité

    - Les puissants encore plus riches, les "manants" s’appauvrissent !

    - Ne plus avoir de travail, c’est ne plus avoir de sens

    - Même dans les cabinets conseil, la contestation se fait jour

    - Le cas "fabless" (entreprise sans usine) : disparition de d’Alcatel

    - Manants et immanents

    - Le RBU, socle citoyen, aumône du Grand Reset ?

    - Les trois valeurs du travail : objective, subjective et collective

    - RBU : grande réinitialisation, un effet d’aubaine pour les immanents

    - Les manants vont-ils se révolter ?

    - Que changer, que conserver ?

    - Dépasser la mesure financière de toute chose

    - La revue "Permanences", un outil de résistance à la pensée unique contre l’effet TINA (There is no alternative)

     

    Peut-on vivre dans ce monde sans en connaître l’intelligence créatrice (le Logos des chrétiens) ?

  • Sur TV Libertés, covid : un vaccin contre l'Etat profond ? - Politique & Eco n°299 avec Jean-Philippe Delsol.


    Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent maitre Jean-Philippe Delsol, président de l’IREF (Institut de Recherches Economiques et Fiscales).

    L’Etat dans la crise sanitaire a encore progressé dans ses prélèvements qui atteignent 66% de la richesse nationale, mais il s’est révélé tout aussi impuissant à gérer la crise : la bureaucratie médicale à l’image de la bureaucratie administrative française, les hauts fonctionnaires médicaux entre cafouillage et autoritarisme. A l’hôpital, plus de 35% du personnel n’occupe pas une fonction médicale contre 24% en Allemagne.

    Des cliniques privées n’ont pas été sollicitées alors même que les lits de l’hôpital saturaient. Selon Jean-Philippe Delsol, nous ne sommes pas loin de la logique soviétique du Gosplan. Déficit publics, dette, PGE, l’Etat distribue à la louche. Gagnant en extension, il est perdant en efficacité mais s’abrite derrière une fausse bienveillance et la peur créée par les médias rendent les Français addicts à sa protection (La Boétie : La servitude volontaire).

    Les responsables : une oligarchie aveugle mais prospère, la question de l’ENA et de l’école de la magistrature est posée. Dans cette analyse, Macron est un faux réformateur avec par exemple la réforme de l’indemnisation du chômage : d’assurance elle est devenue un impôt. L’obligation pour les entreprises de payer les cotisations de mutuelles complémentaires est, finalement, payée par les salariés qui se félicitent un peu vite de cette "conquête sociale". A dire vrai, conquête socialiste.

    Nouvelles dépenses en vue : l’obligation écologique, un écologisme de la terreur (toujours la peur comme pour le covid), un écologisme punitif. Une politique régressive, pourquoi ne sommes-nous pas libres de choisir nos repas dans nos cantines pour nos enfants ? Jean-Philippe Delsol finit par une note optimiste, il n’est de richesses que d’hommes (Jean Bodin) et il faut faire confiance aux formidables capacité d’invention et d’adaptation de la nature humaine.

  • Reconquête de la souveraineté dans le Pacifique ? La France a les atouts en main !, par François Félix.

    Les Australiens décident d’arrêter le programme d’achats et de construction sous-licence de douze français. Ce revirement est orchestré par l’alliance éternelle des Anglo-Saxons et leur rivalité avec la Chine. 

    67.jpgC’est un coup qui fait mal, mais il ne surprend pas si, a contrario des naïfs et des incultes, l’on prend un minimum de recul historique et stratégique.

    Les français ne répondraient, prétendent-ils, ni à leur besoin, ni à leur ambition. Soit, grand bien leur fasse, arrêtons de gémir et de se défendre en faisant la morale et en suscitant pitié et moquerie. Prenons acte du fait que les intérêts anglo-saxons sont une nouvelle fois différents des nôtres et travaillons à retrouver notre indépendance et notre souveraineté.

    La France dans le Pacifique existe. La Polynésie et la Nouvelle-Calédonie sont des joyaux stratégiques et économiques inégalables. « Gardez-vous de vendre l’héritage que nous ont laissé nos parents ». Rendons grâce à nos anciens d’avoir conquis, défendu à la sueur de leur front et de leur vie ces terres françaises. Grâce à eux, la France est l’un des seuls pays au monde pour lequel le « pivotage » des enjeux stratégiques mondiaux vers cette partie du monde n’est pas synonyme de déclassement ou de déclin, à condition ….

    À condition, d’organiser urgemment la et le respect de notre souveraineté. À terre comme en mer, c’est-à-dire dans les eaux territoriales et les zones économiques exclusives qui les prolongent. Cela doit passer notamment par la restauration et l’agrandissement de la base navale de Nouméa. L’enrichir d’une base de classique serait une option stratégique audacieuse et visionnaire. Le revirement australien nous en donne, de fait, l’opportunité, les études et avant-projets sont faits aussi bien pour les sous-marins que pour les infrastructures portuaires.

    J’ai la faiblesse de penser que le peuple français dans sa majorité y est prêt. Il ne reste plus qu’à trouver les politiques et les chefs militaires, amoureux de la France et convaincus qu’en relevant la tête, qu’en agissant au lieu de « communiquer », ils restaureront l’esprit français d’indépendance et de reconquête.

     

    François Félix

    Cadre dans l'industrie navale, ancien pacha de SNA et de SNLE
     
  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Josep.

    9.jpg

     

     

     

    Art et Essai : Josep, un dessin animé de Aurel.

    guilhem de tarlé.jpgLa guerre civile espagnole se termina à la fin du 1er trimestre 1939, et dès février la France - du Front populaire - avait reconnu le gouvernement franquiste tandis que 400 000 réfugiés passaient la frontière française – la Retirada - et étaient internés dans des camps.
    Bartoli était de ceux-là. Avouerais-je, une fois de plus, que le nom de ce dessinateur m'était inconnu, par ailleurs commissaire politique du POUM, Parti Ouvrier d'unification Marxiste (dissidence du Parti Communiste, qualifiée de "trotskiste").

    Si le dessin est bien fait, avec de nombreuses reproductions des œuvres de l’artiste, j’ai néanmoins eu du mal, malgré les fils de fer barbelé, à m’accrocher à ce film de propagande anti « fâchiste ».

    J’ai néanmoins noté qu’après s’être échappé de différents camps, le héros n’avait pas participé à la guerre contre les nazis mais s’était réfugié au Mexique (1943) où il devint l’amant de Frida Kahlo à qui l’on attribue le poème « Tu mérites un amour… ». L’a-t-elle écrit à son attention ?

     PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et 500 autres sur mon blog Je ciné mate.

    Pour mémoire :  un tableau récapitulatif donnant, dans le désordre, un « top ten » des films vus au cinéma depuis le 1er janvier

    Titre

    Réalisateur

    appréciation

    genre

    nationalité

    Date de sortie

    Dark Waters

    Todd Haynes

    Je recommande

    Biopic, drame

    américain

    Février 2020

    Le cas Richard Jewell

    Clint Eastwood

    Je recommande

    drame

    américain

    Février 2020

    La fille au bracelet

    Stéphane Demoustier

    Je recommande

    Drame, justice

    Français

    Février 2020

    Voir le jour

    Marion Laine

    Un bon film

    Comédie-dramatique

    Français

    Août 2020

    Les choses qu’on dit,
    les choses qu’on fait

    Emmanuel Mouret

    Un très bon film

    Comédie dramatique,
    romance

    Français

    Septembre 2020

    The Perfect Candidate

    Haifaa Al Mansour

    Un bon film

    Docufiction

    Saoudien

  • Hommage à la Sorbonne, par Gérard Leclerc.

    © Jean-Nicolas L. / CC BY-NC-SA 2.0

    Ce soir hommage de la nation à Samuel Paty. Le choix de la Sorbonne est judicieux et l’Élysée s’en est fort bien expliqué. La mission de l’éducation nationale doit ainsi être mise en valeur dans le sens le plus positif, si l’on veut vraiment combattre l’adversaire.

    gerard leclerc.jpgC’est, bien sûr, une excellente idée que d’avoir voulu organiser l’hommage de la nation à Samuel Paty dans la cour d’honneur de la Sorbonne. On peut retenir la communiqué de l’Élysée, qui précise que ce choix a été opéré en accord avec la famille du défunt : « Temple de la connaissance, lieu historique de l’enseignement universitaire français, foyer du génie français, la Sorbonne à travers les siècles a toujours su être une tribune pour l’expression des libertés et des idées, un lieu qui aujourd’hui revêt une dimension symbolique forte. » Comment mieux exprimer le message ? Habituellement, les hommages de la nation se déroulent dans la cour des Invalides, mais la qualité d’enseignant de Samuel Paty devait être honorée dans le lieu symbolique de l’intelligence française. Tant de souvenirs sont attachés à la Sorbonne sur la montagne Sainte-Geneviève, et il est bon que l’on ne limite pas l’évocation aux seules Lumières du XVIIIe siècle. C’est toute le richesse de la pensée, depuis Albert le Grand et Thomas d’Aquin, qui présidera à cette démarche qui suscite une unanimité nationale.

    On a beaucoup insisté, comme je le remarquais hier, sur la démarche critique de l’enseignement. Dimension qui doit être prise aussi dans son ampleur positive. L’intelligence, selon la meilleure tradition, n’est pas seulement orientée vers la négativité du jugement, mais elle l’est aussi vers l’étonnement, voire l’admiration face au monde, au mystère de notre condition. Le pire serait de paraître défaitiste, voire nihiliste devant l’adversaire. Je me suis rappelé à ce propos du terrible petit livre de Philippe Muray [1], écrit après la tragédie du 11 septembre 2001 : « Chers djihadistes, nous vous battrons. Et nous vaincrons. Bien évidemment. Parce que nous sommes les plus morts. » À nous de montrer qu’il n’en est rien, et que pour l’avenir il est encore la foi.

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 21 octobre 2020.

    Source : https://www.france-catholique.fr/