UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : Rémi Hugues. histoire

  • Aujourd'hui, comme hier, nous sommes ”aux côtés de nos amis les Bertran de Balanda”...

    Hier, nous étions avec lui, dans sa chambre à La Timone pour l'accompagner durant ses derniers instants; aujourd'hui, nous serons au Sacré Coeur, toujours avec lui, et avec sa famille.

    Les souvenirs, évidemment, affluent à la mémoire...

    En guise d'hommage, pour Guy et toute sa famille, je remets ici le texte que j'ai publié le jeudi 13 février 2014 sur le Blog de notre Fédération Royaliste Provençale (une autre appellation que nous avons utilisée un temps à la place de Union Royaliste Provençale) lors du décès de Madame de Balanda : une façon comme une autre de marquer notre amitié, qui se base évidemment sur des idées communes, des choses que nous voulons ensemble et que nous ne voulons pas ensemble, mais qui existe aussi, et au quotidien, sur le plan personnel...

    Aux côtés de nos amis les Bertran de Balanda

     

    1798463737.jpg

    Guy Bertran de Balanda vient de nous faire part du décès de sa mère. Il y a peu, c’était Bénédicte – l’une de ses sœurs – qui perdait son mari, notre ami lui aussi, Hubert de Lapeyrouse. La famille Bertran de Balanda est donc encore dans l’épreuve, si peu de temps après : Guy, Pierre, Bénédicte, Florence et Hugues.

    Nous sommes tout naturellement à leurs côtés dans ce deuil, comme nous l’avons été si souvent, et depuis si longtemps, dans les moments heureux et, surtout, les moments militants.

    Nous serons autour d’eux vendredi en la basilique du Sacré-Cœur du Prado (Messe à 11h), pour leur témoigner notre amitié et leur manifester notre soutien.

    La famille Bertran de Balanda est une famille de fidélité : il n’est que de lire ce passage où Léon Daudet évoque les « fidélités royalistes » qu’il a rencontrées dans toute la France, lors de ses déplacements, montrant combien, chez les Catalans, il se sentait chez lui, au milieu des vieilles familles des d’Espéramoins ou des Bertran de Balanda.

    Pour notre part, ce n’est pas sans émotion que nous faisons mémoire, en cette occasion, du père de Guy, lorsqu’il nous recevait, chez lui, à Marseille, dans ce salon d’angle donnant sur le Boulevard Baille et le Cours Lieutaud; puis, lorsqu’il nous eut quittés, de la présence régulière de sa mère aux Rassemblements royalistes de Montmajour et des Baux ainsi qu’à d’autres manifestations. Toute la famille était là, aussi, par exemple, avec les Jonquères d’Oriola et tant d’autres vieilles familles catalanes, lorsque le prince Jean se rendit en Catalogne, à l’invitation d’Henri de Lumley.

    La fidélité est plus qu’une qualité : c’est une vertu. Voilà quelque chose que l’on sait, chez nos amis les Bertran de Balanda. Guy, comme nous tous, est Camelot du roi, depuis bien longtemps déjà : qui pourrait compter le nombre de tracts que nous avons distribués ensemble (avec, parfois, bagarres à la clé !) ? Le nombre d’affiches collées pendant nos nuits d’interminables affichages, où nous couvrions les murs, comme le disait – furieux – un policier qui nous avait arrêtés et qui nous « engueulait » dans le fourgon : « on ne voit plus que du rouge et du jaune dans tout Marseille !. » (Il parlait des affiches du Rassemblement royaliste, collées par milliers chaque année) ? Le nombre de journaux vendus, de réunions tenues, de tâches obscures et ingrates réalisées ensemble, fastidieuses parfois, mais toujours accomplies dans la bonne humeur et, en fin de compte, malgré la fatigue, avec le sentiment du bon travail accompli pour « la Cause » ?

    Voilà pourquoi nous avons choisi de faire figurer ici « notre » commun insigne de Camelots, que nous sommes nombreux à avoir reçu de Pierre Chauvet et Jean Lavoëgie, à l’Union Royaliste Provençale. Et voilà ce qu’exprimera – même, peut-être, de façon muette – notre présence, vendredi, aux côtés de nos amis, les Bertran de Balanda.

  • Chiffres en vrac sur la France actuelle... Collectés par Péroncel-Hugoz [1/7]

    Par Péroncel-Hugoz

    images[3].jpgAu gré de ses lectures ou des émissions de radio-télévision qu'il a suivies, Péroncel-Hugoz a glané - c'est le mot - nombre de chiffres, significatifs de la France actuelle, classés en six catégories : Politique – Société – Civilisation – Religion – Économie - Aides sociales ou allocations. À quoi il a ajouté une Petite bibliothèque française. Cela fait sept parties - de longueur inégale. Sept jours aussi, une semaine sur lafautearousseau.  Publication de la série de lundi 25 à dimanche 31 mars. Pour servir à notre documentation, nos articles, nos commentaires, nos débats. À ne pas rater ! LFAR 

    2222227622.jpgPolitique

    • Le Grand Débat national déclenché par le président Macron, suite au mouvement populaire des Gilets-Jaunes (débuté en novembre 2018) à suscité en 3 mois 16 000 « cahiers de doléances » provenant de 10 000 communes sur les 35 000 que compte la France, où il y a 46 millions d’électeurs inscrits, pour 65 millions d’habitants. En 1789, il y avait eu 60 000 cahiers de doléances adressés au gouvernement royal, en vue des Etats généraux convoqués par le roi, dans une France comptant alors 26 millions de sujets.

     Depuis le début de la révolte des Gilets-Jaunes, le 17 novembre 2018, 11 partisans de ce mouvement ou assimilés, ont été tués – au cours d’accidents ou incidents en marge des manifestations, aucune de ces victimes n’étant tombée sous les coups directs des forces de l’ordre.

     Seulement 60% des Français, en 2018, se disaient « attachés » à l’Union européenne.

    • Le fonctionnement de la royauté britannique revient à 0,75 euro par an au contribuable du Royaume-Uni ; celui de l’Elysée coûte 3,50 euros par an à chaque contribuable français.

    640_rts537i.jpg• Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) compte 233 membres et coûte au contribuable français 42 millions d’euros par an ; ce Conseil produit des « rapports » que personne ne lit et sert surtout à recaser – le traitement est confortable … – des amis du pouvoir sans emploi … Depuis l’époque gaullienne, il est question de supprimer le CESE (ainsi que le Sénat), mais ceux qui profitent de son existence résistent en sourdine – et le CESE perdure.

    clodion.jpg• Contrairement à la célèbre formule forgée, au début du XXe siècle, par des membres de l’Action française de Charles Maurras, ce ne sont pas 40 monarques qui ont « fait la France » mais 88, de Clodion 1er (428-447) à Napoléon III (1848-1870) via Clovis, Hugues Capet, Saint Louis, Henri IV et Louis XVIII.

    • 15 millions d’Algériens (sur 42), ont des attaches familiales en France leur permettant le cas échéant de bénéficier de la loi Giscard-Chirac-Stoléru-Dijoux (1976) sur le regroupement familial.

    algerie-map.jpgEn 1830, lors de la conquête française, la Régence turque d’Alger comptait environ 2,5 millions d’habitants et à la fin de la période coloniale, en 1962, les départements français d’Algérie, Sahara inclus, comptaient 10 millions d’habitants dont 9 millions d’autochtones. En 2019, environ la moitié des quelque 10 millions de musulmans présents dans l’Hexagone sont Algériens, de nationalité française ou pas.  [A suivre, demain mardi] 

    Pour consulter l'ensemble de la série ...
    Chiffres en vrac sur la France actuelle
  • Coronavirus : un rapport au vitriol des pompiers dénonce la gestion de la crise.

    Une travailleuse saisonnière subit un test pour le SARS-CoV-2 pratiqué par des pompiers, dans un gymnase à Châteaurenard (Bouches-du-Rhône), le 10 juin 2020. CLEMENT MAHOUDEAU / AFP

    Source : https://www.lemonde.fr/

    Dans un rapport interne, la Fédération nationale des sapeurs-pompiers recense les ratages : une administration de la santé dépassée, des préfets « relégués au second plan » et des pompiers pas assez mis à contribution.

    Une administration de la santé dépassée, des préfets « relégués au second plan », un numéro d’urgence saturé : la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France (FNSPF) dénonce dans un rapport au vitriol la gestion de l’épidémie de Covid-19.

    Révélé par Le Parisien, ce document destiné au ministère de l’intérieur « n’est pas finalisé et ne devait pas fuiter dans la presse », a regretté auprès de l’Agence France-Presse (AFP) le colonel Hugues Deregnaucourt, vice-président de la Fédération.

    L’organisation, qui représente les 247 000 pompiers de France, assume toutefois les critiques formulées dans ce document particulièrement cinglant à l’égard du ministère de la santé et des agences régionales de santé (ARS).

    « La gestion de crise, c’est un métier »

    « Les préfets ont très longtemps été aveugles, aucune descente d’informations n’était faite par les délégués territoriaux des ARS », a déclaré M. Deregnaucourt. « La gestion de crise, c’est un métier, on ne la laisse pas aux directeurs administratifs et financiers », a-t-il estimé, assurant que, dans de nombreux départements, « on a vraiment fait attention à ne pas utiliser les pompiers. »

    La gestion de l’épidémie est étrillée par le rapport, qui dénonce une « crise (…) du leadership de la communication », selon Le Parisien. « Pour être efficace, la gestion d’une crise d’ampleur doit mobiliser un directeur unique, un commandant des opérations unique et des conseillers techniques », développe le document. A l’avenir, « pourquoi ne pas créer un ministère de la protection civile, comme certains pays le font ? », plaide M. Deregnaucourt.

    Selon le rapport, « on a confié le rôle de commandant de crise à des conseillers techniques », ce qui a provoqué un « travail en silo des administrations, un brouillage des décisions stratégiques ».

    Une « gestion comptable et financière du système de santé »

    Aux commandes, les ARS ont eu une « gestion comptable et financière du système de santé » et n’étaient « aucunement préparées à la gestion des situations d’urgence. Elles ont semblé accaparées par la gestion du nombre de places en réanimation hospitalière et par les remontées statistiques », écrit la FNSPF.

    Sans dialogue avec les ARS, « les préfets ont été relégués au second plan », d’après le document. Avec, pour conséquence, « l’oubli des Ehpad [établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes], laissant seules les collectivités territoriales face aux décès en nombre de nos aînés ».

    Le rapport estime également que les centaines d’évacuations de patients en TGV ou en hélicoptère, conçues pour désengorger les hôpitaux, étaient de « pures opérations de communication » et une « véritable esbroufe ». « Etait-il efficace de faire faire des centaines de kilomètres aux victimes, alors que souvent il y avait de la place dans la clinique d’en face ? », cite Le Parisien.

    Le document dénonce également la saturation du 15, régulé par le service d’aide médicale urgente (SAMU), avec des temps d’attente avoisinant les quarante minutes dans certaines régions.

  • Communiqué de presse - référé-suspension au sujet du bac 2021.

    Le Minis­tère de l’Éducation natio­nale a fait savoir qu’il n’ac­cor­de­rait pas le béné­fice du contrôle conti­nu aux lycéens hors contrat, en rem­pla­ce­ment des épreuves de spé­cia­li­té du bac pré­vues pour mars 2021 (qui viennent d’être annu­lées pour rai­sons sani­taires).

    Les lycéens des éta­blis­se­ments publics et sous contrat pas­se­ront, quant à eux, ces matières en contrôle conti­nu, sans stress, sans révi­sion, et sans expo­si­tion au risque de la Covid.

    Au contraire, pour les élèves des éta­blis­se­ments hors contrat et les can­di­dats libres, le mois de juin sera celui de tous les dan­gers puis­qu’ils devront pas­ser dans des centres d’exa­men de grandes tailles non seule­ment ces épreuves de spé­cia­li­té mais aus­si les épreuves de tronc com­mun (les­quelles por­te­ront sur deux ans au lieu d’une seule année comme c’est les cas pour les autres candidats).

    Il est dif­fi­cile de com­prendre ce qui pour­rait jus­ti­fier ce « deux poids-deux mesures », et conduire, dans les condi­tions sani­taires actuelles, à dis­cri­mi­ner ces élèves ain­si et à les expo­ser à des risques sani­taires plus impor­tants que leurs cama­rades, au terme de deux années sco­laires chao­tiques et éprouvantes.

    Dès que le décret sera publié (ce qui est immi­nent, selon le Minis­tère), l’as­so­cia­tion Créer son école dépo­se­ra un réfé­ré suspension.

    Anne Cof­fi­nier, pré­si­dente de Créer son école : « En 2021, deux bacs de valeurs inégales risquent donc se côtoyer. Le bac hors contrat cor­res­pon­drait alors au bac à l’an­cienne, avec 100% des points obte­nus en épreuves de fin d’an­née. Il serait plus dif­fi­cile à obte­nir que le nou­veau bac, en vigueur dans les lycées publics et sous contrat, qui repose majo­ri­tai­re­ment sur le contrôle conti­nu. Un double stan­dard qui risque de pous­ser les élèves les plus faibles à trou­ver refuge dans les lycées publics, et qui pour­rait bien faire du bac hors contrat un label recher­ché demain pour l’en­trée dans les études supé­rieures ou le monde du travail. »

    L’as­so­cia­tion Créer son école, au ser­vice des écoles libres hors contrat depuis 15 ans, informe, conseille, finance, forme, sou­tient, défend les créa­teurs et diri­geants d’é­coles libres hors contrat, et pro­meut la liber­té d’en­sei­gne­ment au ser­vice de tous les enfants (www.creer-son-ecole.com et www.educfrance.org).

    Elle a pour par­te­naire la Fon­da­tion Kai­ros pour l’in­no­va­tion édu­ca­tive- Ins­ti­tut de France.

    Contact presse pour le bac hors contrat :

    • Anne Cof­fi­nier, pré­si­dente – 06 34 38 90 30
    • Axelle Girard, direc­trice d’E­duc’­France – 07 63 62 73 92
    • Pierre-Hugues Bar­ré, juriste de Créer son école – 06 16 71 07 99

    Voir en ligne | Je m’ins­cris | Modi­fier mon abon­ne­ment | Me désa­bon­ner

    Créer son école, 29 allée des Bocages, Le Vési­net, 78110, France, https://www.creer-son-ecole.com/

    Source : https://www.actionfrancaise.net/

  • Beaucoup de ”Merci !” en ce jour anniversaire...

    lfar flamme.jpgIl est d'usage de "remercier", lors d'un évènement important, la seule crainte étant d'oublier quelqu'un, tant il y a de personnes à citer!

    Je vais donc m'atteler, aujourd'hui, à ce délicat travail, et adresser mes remerciements et ceux de toute la Rédaction... en commençant, justement par les membres de cette Rédaction, dont Bayard et Jean-Baptiste Colvert, qui nous ont permis de refonder, d'assainir et de sécuriser notre organisation interne. Ce qu'on a appelé ailleurs "choc de simplification" fut, pour nous et en interne, rondement mené, et réussi : dorénavant, à lfar, il n'y a plus qu'une seule entité, pour tout et partout : "lafautearousseau" : c'est l'Association lafautearousseau, déclarée en Préfecture et dont le nom est déposé à l'INPI, qui gère le compte bancaire "lafautearousseau", lequel pourvoit aux besoins du quotidien sur le Net "lafautearousseau" et de sa galaxie (trois Pages facebook - avec leurs 14.600 "Amis" - le compte tweeter et le compte Telegram). Au moins, c'est clair...

    Je tiens à remercier ensuite nos généreux et réguliers donateurs, dont certains sont des récidivistes et même des multi-récidivistes : comme je l'ai écrit avant-hier à l'un d'entre eux (car j'envoie un mot de remerciement manuscrit pour chaque chèque reçu au siège de l'Association) cette catégorie de récidivistes-là nous change... de l'autre ! Les dons arrivent régulièrement, soit par Paypal, soit par chèque et cela nous est un précieux encouragement, non seulement pour poursuivre mais encore pour intensifier toujours plus nos efforts quotidiens en vue de la diffusion des idées de salut public...

    Annie_Laurent.jpgJe remercie aussi nos collaborateurs/rédacteurs réguliers, qui nous gratifient de leurs articles, mais en les accompagnant à chaque fois de commentaires amicaux, et avec qui nous entretenons des rapports qui dépassent très largement la simple contribution/partage d'un article : Annie Laurent, à qui nous devons tant sur le sujet devenu central de l'Islam, et que je rencontre très régulièrement; Marc Rousset, qui me confiait, il n'y a pas si longtemps,marc rousset.jpg que pour l'une de ses chroniques qu'il m'envoyait il venait d'être félicité par Eric Zemmour; Antoine de Lacoste, dont nous publions chaque vendredi les très intéressants conseils de lecture, qui accompagnent les chroniques Moyen orientales et qui m'a répondu, alors que je lui envoyais notre antoine de lacoste.jpgÉphéméride sur la Vendée créole, livre écrit par Odile de Lacoste : "Odile est ma soeur"; je lui avais déjà demandé s'il avait un rapport avec Hugues de Lacoste, qui faisait partie du groupe d'une dizaine d'adolescents à qui Pierre Chauvet m'avait demandé de donner une formationguilhem de tarlé.jpg doctrinale (il y quelques temps déjà !...) : "c'est mon neveu...". Je n'oublierai pas, bien sûr, notre cher "Monsieur Cinéma" Guilhem de Tarlé, dont la liste a été élue dans sa commune du Berry, en s'opposant frontalement à un projet fou d'éoliennes, et dont la concision des critiques n'a d'égale que leur humour, ce qui les rend si GUY ADAIN.jpgagréables à savourer... Et je n'oublierai pas non plus notre cher Guy Adain, qui "parle avec son coeur", comme l'a joliment écrit un commentateur, ni tous ces représentants des diverses sensibilités royalistes, de Gérard Leclerc à Jean-Philippe Chauvin; ni, bien sûr, Gilles Lenormand et Thomas Planquert, qui nous font partager leur goût pour la Peinture et le Théâtre...

    Il me faut enfin vous remercier vous-mêmes, lectrices et lecteurs, dans toute la France métropolitaine et dans nos Outre-mer : vous remercier de nous lire régulièrement et fidèlement et de vous faire très souvent, je le sais, les propagandistes de notre action et les échos de nos prises de position...

    Voilà, je pense n'avoir rien oublié, ni personne : je nous souhaite longue vie et prospérité puisque, nous le savons bien, ce qui nous réunit et scelle notre amitié c'est de vouloir et refuser les mêmes choses : "eadem velle, eadem nolle, ea est vera amicitia". Le Bien commun, l'intérêt supérieur de notre nation, et, donc, la remise en cause du Système afin de réussir la remise en ordre du Pays, voilà pourquoi nous sommes et resterons ensemble : parce que nous voulons que vive la France, et, pour que vive la France, que vive le Roi ! 

     

    François Davin, fondateur et Blogmestre de lafauteaousseau

    LFAR FLEURS DE LYS.jpg

  • Théo : plus que du pass culture et du pass sanitaire… c’est d’un pass sécuritaire dont nos jeunes ont besoin !, par Gabr

    En mai dernier, Emmanuel Macron offrait avec largesse un pass culture aux jeunes de 18 ans. Aujourd’hui il est question d’imposer un pour convaincre, notamment, cette génération de se faire vacciner. Pour-se-protéger-et-protéger-les-autres, comme ils disent. 

    gabrielle cluzel.jpegPuisque le mot est à la mode, quel dommage qu’on ne déploie pas la même énergie volontariste pour leur offrir un pass sécuritaire.

    Car ce n’est pas du covid, qu’est mort Théo, jeune bachelier de 18 ans, qui avait semble-t-il décidé de consacrer ses loisirs à un job d’été dans un magasin de téléphonie mobile à Claye Souilly, mais de l’impéritie devenue mode de gouvernement ordinaire en France.

    Son assassin est un Sénégalais de 62 ans, dont on s’est empressé de préciser qu’il était en situation régulière. On a un peu moins insisté sur le fait qu’il était « défavorablement connu des services de  » depuis 1993, qu’il avait « un passé de délinquant multiréciviste [témoignant] de sa violence potentielle » (Le Figaro)… sans doute pour éviter de répondre une fois de plus – confer l’assassin de – à cette lancinante question : quelle sorte de fonctionnaires criminellement inconscients  accordent des titres de séjour à ce genre d’individu ?

    Théo est « mort pour une facture de téléphone », commentent certains, comme s’ils ne voyaient que dans ce motif dérisoire la raison de se lamenter. Mais s’il arrive à tout d’être en bute, avec son portable, à une situation aussi kafkaïenne qu’injuste, qui retourne dans la boutique poignarder le vendeur ?

    Tué pour “une facture”, comme d’autres, guère plus âgés,  l’ont été pour un « mauvais regard » ou “une cigarette”. Mais pas plus que le mauvais regard ni la cigarette, la facture n’est responsable. 

    Le prénom, forcément, fait parler. Nombreux sont ceux à faire remarquer qu’il n’y a pas si longtemps, un hashtag pour Théo montait sur les réseaux sociaux. Des manifestations étaient organisées à travers toute la France, des stars, des personnalités – Patrick Bruel, Hugues Auffray, Josiane Balasko, Mathilda May, Nils Tavernier, Olivier Py, Anne Roumanoff – signaient une tribune véhémente et indignée dans Libération, un président de la accourait à son chevet sans même que l’on soit fixé sur les faits.

    Curieusement, cet autre Théo qui, lui, a pourtant trouvé la mort, ne suscite pas d’autre réaction qu’un silence gêné. Dans les , certains font un choix éditorial qui ne s’embarrasse pas de pincettes : évoquant la fuite du tueur,  FranceTVInfos explique que « dans sa course folle, il est arrêté par deux fonctionnaires de police et deux passants, dont Mohammed ». Comment s’appellent les trois autres ? Nul ne le saura, ils resteront dans l’anonymat. Il faut sauver le soldat immigration.

    Alors que les fractures se multiplient, il en est une que l’on évoque peu : celle des générations.

    Après les avoir enfermés et avec force arguments culpabilisateurs, les boomers, sur les plateaux-télés, exigent des jeunes qu’ils se fassent vacciner pour les protéger. Mais qu’ont ils fait, ces boumers – avec un u -, après avoir tout reçu et tout dilapidé,  faisant exploser, dans un grand boum, tout notre pays ?  Qu’ont-ils fait  pour protéger – c’était pourtant leur devoir ! – leurs enfants et petits-enfants d’une société que depuis des dizaines d’années, élection après élection, ils travaillent à ouvrir à tous vents, déréguler, déverrouiller, transformer en ZAD et livrer à l’ensauvagement ?

     

    Gabrielle Cluzel

    Ecrivain, journaliste
  • Ukraine, Russie... Islam : où est la vraie guerre, aujourd'hui, pour l'Europe...

    1A.jpg

    Anne de Kiev épousa Henri 1er, le troisième roi capétien (fils de Robert le Pieux, lui-même fils d'Hugues Capet, fondateur de la dynastie). Elle fut reine des Francs de 1051 à 1060 et mère du roi Philippe 1er : c'est par elle que ce prénom de Philippe, alors inusité en Occident, entra dans la famille royale de France, illustré ensuite par un Philippe Auguste ou un Philippe le Bel et, de nos jours, par un Philippe VIII célébré par Maurras comme le grand roi qu'il aurait fallu à la France et qui lui a manqué; qui aurait peut-être pu éviter la tragédie de la Guerre de 14...

    De politique étrangère, la République idéologique n'en a pas et ne peut pas en avoir : de par sa nature même, et la fluctuation de l'opinion et des groupes de pression, le temps long lui est forcément inconnu : Maurras l'a admirablement montré dans son Kiel et Tanger.

    On le voit bien aujourd'hui, même quand cette politique "étrangère" s'applique à ce qui se passe à nos portes, dans notre Europe, envahie par un Islam conquérant et où deux peuples frères et amis, européens et chrétiens, dont nous avons besoin pour résister au troisième assaut musulman contre notre vieille Europe, sont à deux doigts d'entrer en guerre l'un contre l'autre.

    1A.jpg

    Et pourquoi (pour quoi) ? Parce que les USA et leur bras armé, l'Otan, s'arrogent le droit de faire ce qu'ils veulent en Europe, considéré comme une sorte d'arrière cour par la Maison blanche malfaisante, en tout cas toujours hostile, depuis 14, à tout ce qui aurait été bon pour la France.

    Exemple, hier : le Kosovo, état mafieux voulu et imposé par les USA, d'où les musulmans ont chassé la majorité des habitants chrétiens et persécutent de fait la minorité chrétienne qui s'accroche héroïquement à sa terre; et notre ami/alliée la Serbie honteusement bombardée. Les USA, via l'OTAN, et l’U.E. à leur botte ont ouvert une boîte de Pandore dans l’ex-Yougoslavie...

    1A.jpg

    Aujourd'hui, ils jouent avec le feu en essayant, depuis des années, d'otaniser l'Ukraine : quel intérêt, pour nous, Européens ? Notre vraie guerre est contre l'Islam, et la Chine. Et, dans ces deux guerres, nous avons besoin de la Russie. Or, elle est traitée en paria depuis des années par les USA, par l'UE bureau-technocratique et par un Pays légal français qui - nous en revenons au début de notre réflexion - n'a pas de politique étrangère, tout simplement parce qu'il ne peut pas en avoir...

    Un Roi de France, au-dessus de tout et de tous (Partis, Argent, influences étrangères, groupes de pression de tous ordres...) mènerait envers la Russie une politique d'entente et d'amitié, qui n'exclurait pas des divergences, parfois, mais qui nous permettrait, au moins, d'avoir des moyens réels d'influer sur les décisions russes.

    Macron, lui, s'est pris pour Jupiter, qui montrait ses muscles : on les a vus, ses muscles : ils sont en plastique !

    Et, pendant que notre diplomatie est impuissante et que les menaces s'accumulent sur nos têtes (Islam, Chine...) notre politique officielle aberrante reste celle de l'isolement de la Russie, de sanctions imbéciles qui nous sanctionnent plus nous-mêmes qu'elle... Et, comme hier avec Mussolini naissant, qu'elle a poussé par idéologie dans les bras d'Hitler, la République idéologique pousse Poutine dans les bras de la Chine. Et nous distrait de notre combat urgent : la lutte, tous les frères Européens unis et confondus, contre l'islamisation du vieux continent...

    À noter : hier soir, chez Christine Kelly, dans Face à l'info, Dimitri Pavlenko a longuement cité Jacques Bainville et ses Conséquences politiques de la paix, établissant un parallèle pertinent entre les réflexions de Bainville au lendemain de l'épouvantable tragédie de 14/18 et l'illusion de la promesse faite aux Russes, lors de l'effondrement de l'URSS, que l'Otan ne "pousserait" pas ses territoires vers l'Est, englobant d'anciens pays de l'Empire du Mal. "Illusion" : tout est là. Quand un gouvernement, un peuple croient en des illusions, il ne faut s'attendre qu'à des lendemains qui déchantent...

    Bravo à Dimitri Pavlenko de l'avoir rappelé hier, et d'avoir cité notre immense Jacques Bainville.

    Bainville.jpg

  • Le Carrefour des acteurs sociaux communique...

     

    1A.jpg

    INFORMATION DU CAS – SEPTEMBRE 2023

     
     

    4 septembre

    PÔLE ÉNERGIE DU CAS

    Une délégation du pôle énergie du CAS composée de Lionel Taccoen Ancien Délégué général aux Affaires Européennes d’EDF, Contrôleur Général Honoraire d'Electricité de France, Président de Géopolitique de l'énergie, Alexandru Andrei, directeur du pôle énergie et Michel Servion sera reçue le 4 septembre par la direction d’un grand opérateur énergétique pour discuter de la mise en œuvre d’une offre énergétique française en Europe.

    Renseignements : andrei.alex.victor@gmail.com

     

     
     
     
     
     
     

    12 septembre
    RÉUNION DE RENTRÉE
    DU PARTENARIAT EURAFRICAIN

    Date : le 12 septembre 2023 à 15h30
    Lieu : Maison des Associations, Mairie du 20ème arrondissement à Paris,
    18 rue Ramus – 75020

    Notre abonné Michel Lelart directeur de recherche émérite au Centre national de la recherche scientifique, rattaché au Laboratoire d’économie d’Orléans, spécialisé dans les relations monétaires et financières internationales ; membre du comité de pilotage du Partenariat Eurafricain donnera une conférence sur le thème : Historique, et problématiques actuelles de la microfinance en Afrique sub saharienne

    La conférence sera suivie d’un exposé de Mme Sandrine Fansi, chargée de clientèle/microfinances à la Société Générale. Auteure de « Sandrine La Résiliente »

    Le sujet sera introduit par Robert Fopa et suivi d’un débat. Public visé : cadres des communautés africaines ; entrepreneurs ; association de microfinancement. Merci d’enrichir nos fichiers en nous communiquant des adresses de personnes à inviter ou de transférer cette information vers des cibles utiles.
     

    20 et 21 septembre

    COLLOQUE DE MADRID

     
    Date: 20 au 21 septembre 2023
    Lieu : École de Diplomatie de Madrid (Paseo Juan XXIII N°5, 28040 Madrid)

    L’Institut AFRIKA présidé par le Dr Paul Kananura organise un Forum International Afrique-Europe ayant pour thème « Sécurité, Migration et Développement en Afrique-Europe ».

    Le Partenariat Eurafricain y sera représenté par le Pr Carlos Uriarte Sanchez S.G. De Paneuropa Espagne, Membre du Conseil de Présidence de l´Union Paneuropéenne (UPI) Internationale, Professeur de droit à l`Université Rey Juan Carlos qui pourra y présenter le manifeste euro africain voté par l’UPI (envoi sur demande à la lafederation@lafederationmff.fr

    Le Forum a pour but de réinventer une relation dynamique à travers un dialogue stratégique dans un monde en mutation géopolitique, où l’Afrique fait face à des convoitises des puissances anciennes et émergentes. Il s’agit de trouver des solutions communes aux crises multiformes pour construire ensemble un avenir paisible.

    Seront abordés les sujets suivants :
    1. L’Afrique face au changement géopolitique et au Nouvel Ordre Mondial
    2. Terrorisme et menaces asymétriques : domination par la terreur ?
    3. Géostratégie et multipolarité dans la coopération internationale
    4. Migration et défis d’intégration
    5. Migration et jeunesse Africaine : enjeux de gouvernance et de développement
    6. Migration, investissement, environnement et développement local

    Suivrez les activités du Partenariat Eurafricain à la page Linkedin dédiée.
     
     

    9 au 11 octobre

    30e BIENNALE
    DE LA LANGUE FRANÇAISE

    Les Francophonies de l’avenir. Sous l’égide de la Cité de la Francophonie à Villers-Cotterêts Parmi les intervenants : Philippe kaminski Gérard Pelletier.

    Accéder au site biennale-lf.org
    Renseignements liliane.soussan@orange.fr

     

    13 octobre 2023

    CONFÉRENCE DE Me JEAN-CLAUDE AMBOISE

    Chanter en français : l’atout d’une marque musicale sur les marchés non francophones tel sera le titre de la conférence que donnera Me Jean-Claude Amboise, avocat au barreau de Paris, spécialiste de la chanson française dans le monde. Des animations accompagneront la conférence, notamment avec Nicole Rieu. Un comité de parrainage est en cours de constitution avec déjà Catherine Distinguin, présidente d’ALF, Hugues de Froberville, ancien président de l’Agence de la Langue Française, président du cercle Henri Estienne et
    Christian Tremblay, président de l'Observatoire Européen du Plurilinguisme.

    Date : 13 octobre 2023
    Lieu : Théâtre de Douai, avec le parrainage de la ville de Douai.
    Organisation apepac.fr
    Renseignements : denis.lamy@free.fr
     
     

    13 septembre

    SALON DE L’AFRIQUE UNIE

    Date : Mercredi 13 septembre 2023 de 17H à 18H30
    Lieu : La Maison de l'Afrique 4 rue Galilée 75016 , Paris.

    Urmine Gounongbe, présidente du salon, Alain Arnaud, chef d’entreprise, président de Energy Biomass, implanté dans plusieurs pays d’Afrique, Youssouf Camara, Directeur de la Maison de L'Afrique, Joël Broquet, délégué du Partenariat Eurafricain présenteront le salon aux entreprises souhaitant s’y associer ainsi qu’à nos abonnés. Merci d’en informer les entreprises.

    Parmi les partenaires citons Orange, la Conférence permanente des Chambres de Commerce Africaines et Francophones (CPCCAF) ou encore ou la Chambre de Commerce du Bénin. Nous prendrons part à diverses animations (environnement, formation des élus locaux …) au cours de ce salon.

    Renseignements : Urmine Gounongbe urminegounongbe@hotmail.com
    (qui fait son entrée au comité de pilotage du Partenariat Eurafricain)

    Au cours de ce salon, Gérard Pelletier, directeur général de Datafranca animera un atelier sur les enjeux de l’Intelligence Artificielle DataFranca

    9 au 11 novembre - Cotonou

    SALON DE L’AFRIQUE UNIE

    Le Partenariat Eurafricain est partenaire du salon de l’Afrique Unie (S.A.U.)
    qui se tiendra du 9 au 11 novembre 2023 à Cotonou, Bénin
    Site du salon : salonafriqueunie.com
     
     

    OBSERVATOIRE EUROPÉEN DU PLURILINGUISME

    Le pôle francophonie du CAS approuve totalement les options stratégiques développées par l’OEP. La lettre de l’OEP n° 96 (juin-août) vient de paraitre. Chacun est invité à s’y abonner et à inviter à s’y abonner toutes les personnes exerçant une fonction dans instances des institutions européennes ou des associations trans-européennes.

    Site : observatoireplurilinguisme.eu
    Renseignements : cathydistinguin@wanadoo.fr
     

    LE CERCLE HENRI II ESTIENNE

    Le cercle Henri II Estienne est désormais présidé par Hugues de Froberville ancien vice-président du CES de la région Centre ; ancien président de l’Agence de la Langue Française (issue du Commissariat Général à la Langue Française)
     


    Compte rendu de la Table Ronde du 14 juin 2023 :

    FRANCOPHONIE :
    DES ENJEUX ACTUELS... ET STRATÉGIQUES

    Des documents à exploiter dans vos réseaux ! Voici les liens qui donnent accès aux vidéos correspondant à chacune des interventions : Cheryl Toman - Philippe Kaminski - Christian Tremblay Gérard Pelletier Ilyes Zouari
     
     
    dircas@cas-france.org
  • Grenoble : ce lundi 11 Décembre, conférence de Dolorine de Boschère au Centre Lesdiguières. A ne pas rater

     

    Tout le monde connait ce vieil adage qui sous-entend que l’histoire est pensée d’un seul point de vue et utilisée à des fins politiques voire idéologiques. A la suite de la longue tradition des chroniques hagiographiques du Moyen-âge, le XIXe siècle crée le Roman National, récit idéologisé de l'Histoire de France.

    En sommes-nous sortis? Un coup d’oeil sur les programmes d’Histoire de l’Education Nationale nous prouve une fois encore que l’enseignement de l’Histoire sert un but politique. Est-il possible d'envisager un enseignement de l'Histoire neutre? L'Histoire, clé de voûte de notre identité, doit elle forcément être instrumentalisée pour créer ou détruire le sentiment national ? Quelle est la frontière entre mythe et réalité en Histoire ? C'est à ces questions que nous tenterons de répondre.  

    CONTACT

    centreslesdiguieres@laposte.net



  • La dizaine de MAGISTRO...

    Pour donner du sens à la vie politique :  http://www.magistro.fr/

    Présentation de Magistro par François Georges Dreyfus.pdf

    Dr Strauss et Mr. Kahn  Eric ZEMMOUR Journaliste, écrivain
    Rigueur: en finir avec la peur des mots  Ivan RIOUFOL Journaliste
    Assez d'illusions sur l'Islam  Rémi BRAGUE Membre de l'Institut
    Déniaisement  Denis TILLINAC écrivain, chroniqueur
    Juppin et Villepé  Eric ZEMMOUR Journaliste, écrivain
    L'immigration ne peut rester un sujet interdit Ivan RIOUFOL Journaliste
    Le couple franco-allemand François-Georges DREYFUS Historien
    La rigueur, vertu ou névrose allemande ? Roland HUREAUX Haut fonctionnaire
    Madagascar : politique et religion au coeur de la crise. Alain JOLY Pasteur luthérien
    Penser le vulnérable  Olivier ABEL Professeur de philosophie éthique
    Le quatrième centenaire de la mort de Henri IV  Alain JOLY Pasteur luthérien

                Trois extraits : Rémy Brague, Ivan Rioufol, François-Georges Dreyfus.....

    I : Extrait du Rioufol :

    "...les maires avouent être dépassés par les faits : augmentation des actes de grande délinquance (une policière municipale vient d'y laisser sa vie) ; communautarisme de plus en plus hostile à la France considérée comme une puissance colonisatrice ; islamisation des quartiers repliés sur eux-mêmes. Le message des maires est de dire: si le gouvernement réduit ses aides, ce geste sera compris par la population comme une "déclaration de guerre aux quartiers" (dixit François Pupponi, maire (PS) de Sarcelles). "De guerre", oui.
    Ce que redoutent ces élus est probable. Cela "pète" d'ailleurs tous les jours, ici et là, au moindre prétexte. Il y a longtemps que les banlieues sont devenues des barils de poudre. Or, il est ahurissant de constater l'incapacité de ces maires (de droite comme de gauche), pourtant en premières lignes, à formuler publiquement le moindre début de critique sur la poursuite de cette immigration de peuplement, qui reste largement à la charge de la collectivité et qui rechigne néanmoins, pour une partie d'entre elle, à adhérer aux règles de la société d'accueil. La baignoire déborde, mais personne n'ose toucher aux robinets. Mieux: dès qu'il en a l'occasion, Eric Besson, ministre de l'Immigration, se flatte de poursuivre une politique ouverte et généreuse. Or ces attitudes cherchent d'abord à flatter la terrorisante idéologie antiraciste, qui se contrefiche visiblement des scandaleuses conditions d'accueil réservées, faute de moyens, à ces populations déracinées qui mettent déjà en faillite certaines communes et le département de la Seine-Saint-Denis lui-même.
    Au grand bal des faux-culs, les belles âmes se bousculent. Elles sont les responsables de ce qui est en train de se passer dans les cités...."

        II : Extrait du Brague :

    -L'Eglise catholique française a pris position contre la prohibition de la burka.
    Faut il parler de pusillanimité de la part d'une institution qui semble vouloir ménager l'Islam ?
    Ne pas stigmatiser les personnes musulmanes relève du bon sens. Il faut évidemment se prémunir de tout amalgame et ne pas parler des Musulmans comme si ceux-ci formaient un groupe homogène. Cela peut avoir un résultat désastreux : transformer des gens d'origine musulmane qui ne sont pas particulièrement religieux en militants. Si tel est le souci de l'Eglise, il est amplement justifié. Mais il y aussi chez certains catholiques l'idée qu’il faut "préserver" le dialogue avec l'Islam. Or j'ai montré dans un de mes livres, Du Dieu des chrétiens et d’un ou deux autres que ce dialogue, tant qu’on le situe au niveau des théologies, était une illusion. Les musulmans convaincus ne s'intéressent pas au christianisme, qu'ils considèrent comme une religion révolue et falsifiée.

        III : Extrait du Dreyfus :

    "...Depuis vingt ans, la France a pratiqué une politique fondée sur la consommation. Jusqu’en 2007, elle n’a pas de vision globale et les politiques industrielles se heurtent à l’opposition d’une classe ouvrière encore animée par l’idée de la lutte des classes. Depuis vingt ans, tous nos gouvernements, pour ne pas affronter les politiques syndicales et pour ne pas faire de peine à l’intelligentsia gauchisante, ont cédé devant les revendications et admis d’endetter la France dans des proportions considérables. Il est vrai qu’en Allemagne, la classe ouvrière contribue à cogérer l’économie et accepte des sacrifices tandis que l’État a tout à la fois une vision globale du développement économique et social (comment aurait réagi l’opinion française devant le plan de rigueur du chancelier SPD, Gerhard Schroeder ?). De surcroît, le gouvernement allemand, directement ou indirectement, facilite par tous les moyens la mise en place d’une Europe germanophile, allant de la Suède à la Hongrie et à la Roumanie, utilisant les réseaux religieux, linguistiques et culturels. Après tout, les Français oublient un peu trop facilement qu’au 1ernovembre 1918, la Transylvanie (roumaine aujourd’hui), la Croatie, la Hongrie, la Slovénie, la Slovaquie, la République tchèque, l’Autriche, les États baltes, appartenaient à l’aire germanique. C’est l’une des raisons pour laquelle se constitue aujourd’hui à l’est de l’Europe une autre forme de zone euro, qui s’inspire largement des méthodes berlinoises.
    Au fond, de 1990 à 2010, l’Allemagne a mis à profit "l’esprit de sacrifice", la France, "l’esprit de jouissance"...

  • Le plaidoyer d’évêques et d’intellectuels pour lever l’interdiction des messes

    Tribune collective

    «La célébration de la messe n’est pas pour les catholiques une modalité de l’exercice de leur foi, mais en constitue la source et le sommet.» Pawel Horosiewicz/wideonet - stock.adobe.com

    «La liberté de culte ne peut se négocier, surtout en des temps où elle est menacée», écrivent dans Le Figaro cinq évêques et plusieurs intellectuels catholiques, parmi lesquels Rémi Brague, Chantal Delsol, Fabrice Hadjadj et Pierre Manent.

    Au moment même où notre pays entrait dans une deuxième période de confinement, le triple assassinat de Nice est venu douloureusement nous rappeler que les chrétiens paient un lourd tribut dans les attentats terroristes. Trois personnes ont en effet été sauvagement massacrées dans une église pour le seul motif qu’elles étaient chrétiennes. Déjà, le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel avait été égorgé à Saint-Étienne-du- Rouvray, au cours de la messe qu’il était en train de célébrer.

    Les hommages qui se multiplient partout en France, en ces jours où nous sommes encore sous le choc de la décapitation du professeur Samuel Paty, montrent en ces jours où nous sommes encore sous le choc de la décapitation du professeur Samuel Paty, montrent à quel point notre pays reste attaché à ses libertés fondamentales, bafouées par ces crimes: liberté d’expression, liberté d’enseigner, liberté de culte.

    Les chrétiens en général, les catholiques en particulier, sont sensibles aux marques de sympathie et de solidarité qui leur sont adressées. Ils sont conscients de leur devoir de participer à ce sursaut collectif, si nécessaire dans la lutte contre le terrorisme islamique.

    Pourtant, alors qu’on réaffirme que la liberté de culte constitue un droit fondamental à protéger, on la restreint dans son exercice par une interdiction quasi totale de se réunir dans les édifices religieux. On considère par là qu’elle n’est pas une «activité essentielle».

    Nous pensons au contraire que la liberté de culte ne peut se négocier et qu’on doit lui permettre de s’exprimer, particulièrement en ce temps où elle est contestée. Si «la République assure la liberté de conscience» (loi de 1905, 1er article), l’État se doit de rendre possible l’exercice et la pratique du culte.

    De nombreux catholiques se refusent à déserter leurs églises, où les fidèles viennent trouver consolation et espérance, en ces temps qu’il est bien difficile de traverser seul. La célébration de la messe n’est pas pour eux une modalité de l’exercice de leur foi, mais en constitue la source et le sommet. L’eucharistie non seulement rassemble, mais construit l’Église; elle en est le cœur et le centre vital. Depuis les origines de l’Église, les chrétiens ont toujours affirmé: «Sans le dimanche, nous ne pouvons vivre.» Même les persécutions n’ont pas découragé les chrétiens de se réunir le jour du Seigneur.

    Ce nouveau confinement, nécessaire pour se protéger du virus, est un temps particulièrement difficile et anxiogène pour beaucoup. Les messes constituent un des rares moments où les fidèles viennent reprendre force et courage pour le supporter. En interdire l’accès, c’est la double peine pour les catholiques, si éprouvés dans leur foi. Ne les privons pas de ces espaces de ressourcement ! Si les lieux de consommation et les grandes enseignes de distribution restent ouverts, ils ne combleront pas les aspirations les plus profondes du cœur et ne suffiront pas à apaiser les craintes.

    Face à l’épidémie de coronavirus, nous sommes conscients des précautions sanitaires à prendre et du respect de toutes les normes à observer rigoureusement. Depuis le déconfinement, nous avons pris nos responsabilités et les mesures barrières ont été strictement respectées. On n’a pas recensé de foyers de contamination dans les églises. Nous partageons pleinement le souci de préserver la santé publique. Mais l’interdiction générale des messes nous paraît avoir un caractère disproportionné face au besoin de réaffirmer nos libertés les plus chères, parmi lesquelles celle de pratiquer notre religion. Aussi, nous voulons pouvoir célébrer publiquement la messe, notamment le dimanche. L’eucharistie est le cœur de notre vie.

    Pour autant, il nous semble que cette question doit interpeller tous les hommes attachés à nos libertés publiques fondamentales. En effet, à travers cette interdiction de la pratique religieuse, c’est la liberté de culte que l’on ne respecte pas.

    Devant cette situation d’une profonde gravité, nous avons déposé plusieurs recours devant le Conseil d’État puisque déjà lors du déconfinement de juin, ce dernier avait enjoint le premier ministre de prendre des mesures mieux proportionnées aux risques sanitaires encourus.

    LISTE DES SIGNATAIRES : Marc Aillet, évêque de Bayonne; Bernard Ginoux, évêque de Montauban; Jean-Pierre Cattenoz, archevêque d’Avignon; David Macaire, archevêque de Saint-Pierre et Fort-de-France; et Dominique Rey évêque de Fréjus-Toulon. Charles Beigbeder, entrepreneur; Rémi Brague, philosophe; Thibaud Collin, professeur de philosophie; Chantal Delsol, philosophe; Fabrice Hadjadj, philosophe, Jean d’Orléans, comte de Paris; Pierre Manent, philosophe; Charles Millon, ancien ministre de la Défense; Jean Sévillia, historien et journaliste; Martin Steffens, professeur de philosophie.

    Source : https://www.lefigaro.fr/vox/

  • Feuilleton : ”Qui n 'a pas lutté n'a pas vécu”... : Léon Daudet ! (229)

     

    1AAAAAAAAAa.jpg

     (retrouvez l'intégralité des textes et documents de ce sujet, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : Mercredi 1er juillet 1942, 17h28...

    ---------------

    ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi...

    1A.jpg

    Maurras tutoie Daudet pour la première fois...

    En juillet 1942, lorsque Daudet mourut, dans le cimetière de Saint Rémy de Provence, Maurras, "fit à son ami, à son frère, des adieux pathétiques, le tutoyant pour la première fois…" (Henri Massis). Quel déchirement ce dût être pour lui de voir partir un ami à la fois si proche et si différent !
    Cela peu de temps après avoir perdu Jacques Bainville, au moment de la défaite et de l’occupation d’une France qu’ils avaient si passionnément aimée, et pour laquelle, avant cette guerre comme avant la précédente, ils avaient donné ensemble les avertissements nécessaires contre l’Allemagne.

    De "L'Action française racontée par elle-même", d'Albert Marty (pages 387/388) :

    "...Charles Maurras, le 3 juillet 1942, annonça la tragique nouvelle aux lecteurs de l'Action française :
    "Chers amis de toutes nos villes et de tous nos pays qui me demandiez, à chaque passage, "Et Daudet ?" ou sous la forme familière la plus répandue : "Et Léon ?" ne croyez pas que j'aie jamais pu altérer la vérité quand je vous répondais par des mots de sécurité ou d'espérance, je n'en aurais point trouvé d'autres, il m'était impossible de mettre en doute cette magnifique architecture de chair et d'âme, ce monument de force et de vie...
    Nous avions tous assisté d'ailleurs à de telles phases d'abattement et de renaissance qu'il ne nous semblait pas que notre foi pût mentir : "Il reviendra. Il revivra. Avec la belle saison ! La Provence !"
    Pour cette fois, la mère Provence nous aura trompés.
    Le 27 mai dernier, à Saint-Rémy-de-Provence, j'ai - poursuivait Maurras - embrassé notre ami pour la dernière fois. Un petit accident qui avait paru grave et que l'on avait conjuré le retenait au lit, mais il ne lui manquait que le mouvement : la lucidité était parfaite, l'intelligence cristalline, la mémoire intacte, le jeu de l'imagination enthousiaste et moqueuse brillait toujours au fond des yeux, mais, il est bien vrai, quelque chose qu'on avait entrevu déjà s'était accentué : ce sourire léger, d'une extrême finesse, où se peignait, à bien parler, la résignation et le détachement.
    Si les pauvres humains continuaient à le toucher, ce sourire semblait le transfigurer dans un ordre nouveau qui, n'étant plus du monde, planait sur les choses mortelles; le soir venu, j'en rapportai à Lyon une obscure inquiétude dont je ne pouvais me défaire... Eh ! quoi ! vraiment ? Non, non, l'idée affreuse ne pouvait pas se former, ou elle était chassée avec révolte et horreur.
    Nous y voilà pourtant - gémissait Maurras - Elle est là. La haute chanson de ce grand rire est éteinte. Cette joie de vivre et d'agir ! Cette puissance de l'image et de la pensée, analytique dans les accumulations du savoir, synthétique par la poésie du génie ! Cette générosité, ce don total de soi à la grande cause, cette intrépidité et cette vaillance de l'âme, de la parole écrite et dite, de l'action physique osée, portée, propagée en tout et partout.
    Pour dire adieu à tout ce que nous perdons, quelle douleur doit surmonter une affection comme la nôtre, vieille de près de quarante ans !...
    ...Quel deuil - s'exclamait Charles Maurras - Et quelle atroce tentation pour le désespoir !
    Ce grand Français sera donc couché dans la tombe avant que notre France en soit tout à fait ressortie.
    Et son action aura cessé avant d'avoir complètement abouti à la restauration de l'ordre national et royal, tel que l'a toujours conçue, désirée, voulue, préparée ce royaliste passionnément dévoué à ses princes et qui n'avait jamais songé qu'à eux en les servant.
    Il est vrai que les actes de Léon Daudet lui survivent avec leurs conséquences. Ses actes et ses livres. Ses grands livres, qui ajoutaient à l'oeuvre du politique celle de l'intellectuel, du critique, du moraliste, et qui visaient plus haut qu'un changement de régime : le relèvement des moeurs, et la réforme des idées..."

     

    Dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française", voir :

    • la mort de Léon Daudet...

    • numéro du Vendredi 3 Juillet 1942 :

    Grandes "Une" de L'Action française : 1er juillet 1942, mort de Léon Daudet (1/3)...

    • numéro du Samedi 4/Dimanche 5 Juillet 1942 :

    Grandes "Une" de L'Action française : 1er juillet 1942, mort de Léon Daudet (2/3)...

    • numéro du Lundi 6 Juillet 1942 :

    Grandes "Une" de L'Action française : 1er juillet 1942, mort de Léon Daudet (3/3)...

  • Daniel Lefeuvre informe...

            .... que l'Association des Professeurs d'histoire et de Géographie à mis sur son site une pétition contre la suppression de l'histoire et de la géographie en terminale scientifique et pour leur rétablissement comme disciplines obligatoires.

            Pour prendre connaissance de cet Appel national (et le signer ?) et prendre connaissance du programme des Etats généraux de l'histoire et de la géographie le 28 janvier prochain, rendez vous sur le site www.aphg.fr

     

    lefeuvre

  • (Communiqué) Vient de paraître...

    correspondance_comte_thiard.pdf

    "La grande histoire vue par un homme de bon sens, familier des rois, dévoué à la reine...", Texte, Notes et Avant-propos de Bernard Alis...

  • Décès de Michel de Decker...

    Ecrivain et historien, Michel de Decker officiait également comme chroniqueur dans plusieurs émissions sur l'Histoire (dont Secrets d'Histoire).

    C'était un passionné, il savait faire "passer" son amour pour l'Histoire et les petites histoires, qui éclairent souvent la grande, n'était pas "langue de bois" pour deux sous, et intervenait toujours avec justesse et précision, rendant clair ce qui parfois semblait confus, en allant, carrément, à la Rabelais, au fond des choses, appelant un chat, un chat...

    Il avait 71 ans, et il était, aussi, un grand amoureux de la Normandie, la terre de La Varende et du Marquis de Frotté...

    A Dieu, Michel, et merci pour tout...