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Rechercher : qu'est ce que le système ?

  • Rétention de sûreté: pour sortir du blocage, une possibilité: un référendum !

              Il semble bien que la situation soit bloquée: le Président souhaite une rétention rétro-active, à laquelle 80% des Français paraissent favorables, selon les sondages.

              Mais le conseil Constitutionnel freine des quatre fers et interdit, d'une façon définitive, toute évolution en ce sens: il a bien accepté la nouvelle loi, mais pas question qu'elle s'applique aux détenus déjà condamnés, au nom du sacro-saint principe de non rétro-activité...

              Qu'y a-t-il, dans notre système, au-dessus du Président, ou du Conseil Constitutionnel, ou d'une loi, quelle qu'elle soit ? Le Peuple Souverain.

              Et si, pour sortir du blocage auquel on assiste, on posait la question, par voie de référendum, au Peuple Souverain ?...

  • Remous persistants après ”l'affaire” du professeur de Berlaimont...

              "Marche arrière, toutes !". Les politiques prennent conscience du malaise enseignant et tentent de rétablir une situation que la précipitation et l'idéologie soixantehuitarde ont pourri.

              Après le ministre de l'éducation c'est le premier ministre qui a recadré les faits, et sur le terrain les enseignants apportent leur soutien à leur collègue. Jugé et condamné sur le champ par des autorités qui se sont trompés et dans la forme et dans le fond, et qui s'en mordent les doigts à l'heure qu'il est, il a été vigoureusement défendu au micro de France Info, le mercredi 6 février, par le président du SNALC :

                "...les autorités du Ministère, les membres de la classe politique dans son ensemble n'ont pas réagi suffisamment vite à cette situation, mais ça ne nous surprend guère parce que nous considérons que ça fait quarante ans que la classe politique et la hiérarchie trahissent les professeurs dans le système éducatif. La source du malaise enseignant elle est là et pas ailleurs".

                Une manifestation dans tous les collèges et lycées de France aura lieu le 27 mars: nous y reviendrons...

  • Un ”Trader fou”, Jérôme Kerviel?...

              Ce n'est pas l'avis de Jacques Julliard dans "Le Nouvel observateur" du 30 Janvier:

    kerviel.JPG

               "Imaginons un instant que la Bourse, au lieu de plonger comme elle l'a fait, soit repartie à la hausse en janvier. A l'heure actuelle, Jérôme Kerviel ne serait pas mis en examen. Au vu des centaines de millions, voire des milliards, qu'il eût fait gagner à la Société Générale, il y serait devenu un héros...

                 Jerôme Kerviel n'est pas un fraudeur, c'est un zélateur du système. Il a fait, à une échelle mégalomaniaque, ce pourquoi il était payé: des arbitrages, des anticipations conjoncturelles, en un mot des spéculations..."

                 On songe irrésisitiblement à la réponse du général Mallet: "Mes complices ? La France entière et vous même, Monsieur le Président, si j'avais réussi...."

  • Dernière minute : Un ”Français” parmi les djihadistes tués ? Certainement pas !

    Français de plastique, peut-être, et même sûrement, mais Français "de coeur et d'esprit", comme le disait le Père de Foucauld, sûrement pas. Qu'on ne se moque pas du monde et qu'on ne dise pas n'importe quoi. Un terroriste a été tué, dans l'accomplissemment de sa sale et lâche besogne, qui est de s'en prendre à des innocents désarmés, qui ne faisaient rien d'autre que de travailler normalement et honnêtement.
    L'homme qui les a enlevés a commis un crime. Il a pris ses risques et ses responsabilités. Il a payé pour sa folie criminelle. Qu'il ait eu dans sa poche un petit rectangle de plastique que le Système lui a donné ne change rien à l'affaire : ce criminel n'était pas français : sa nationalité, c'était l'Islam-isme et le terrorisme, nos ennemis...

     

  • Mali, terrorisme islamique et Pôle emploi...

    IMMIGRATION ALGERIENS.jpgNous avions déjà posé la question, il y a quelques temps, lors de l'arrestation d'un djihadiste appelé "français" par les médias : français de plastique peut-être, disions-nous, mais "français de coeur et d'esprit", comme le disait le Père de Foucauld, certainement pas !

    Et d'une; puis venait notre question : par contre, ce "jeune" a peut-être tué un (ou plus...) de nos soldats...

    Aujourd'hui c'est un députe UMP qui relaie - le sachant ou non - notre interrogation : Christophe Guilloteau se met à parler d'eux comme nous, les appelant "des hommes résidant en France" : là, c'est plus clair, et surtout beauoup plus juste, que "Français" !...

    Comme Caton l'Ancien, avec son "Delenda est Cartago", nous devons populariser le slogan DECHEANCE/EXPULSION en le reprenant à chaque fois, à chaque "affaire", à temps et à contre-temps 

    MALI TERRORISTES POLE EMPLOI.jpg

    Déchoir expulser et donc remettre en cause la nature du Système qui est le nôtre.pdf 

  • SOCIETE • Face à la gauche sectaire et hystérique qui demande sa révocation, soutenons Robert Ménard !

     

    13964587.jpgNous sommes ici fort peu pétitionnaires tant la gauche et l'extrême-gauche ont usé, abusé de ce système depuis des décennies au service des pires causes, des causes à vrai dire les plus dégoûtantes.

    En l'occurrence, soutenir Robert Ménard, traité, mis en cause, menacé de façon honteuse, y compris par le Premier Ministre, nous paraît être une cause juste, utile au pays, utile à son avenir politique et sociétal.

    Nous signerons donc la pétition qui a pour objet de soutenir Robert Ménard et encourageons les amis, lecteurs, visiteurs de Lafautearousseau à en faire autant.

    Nous mettrons de côté notre instinctive répulsion pour toute forme de pétitions et l'exception confirmant la règle, nous soutiendrons par ce moyen aussi Robert Ménard.  Lafautearousseau  

     

    Signer

     

  • Du déni de réalité

     

    par Jean-Louis Faure* 

    On apprend qu’il existe un ministre de la ville nommé Patrick Kanner

    Il vient de déclarer à une feuille de chou régionale : « une centaine de quartiers en France présentent des similitudes potentielles avec Molenbeek ». Hurlements de ce que Charles GAVE appelle joliment « la classe jacassière ». Kanner ne dit rien d’autre que ce que chacun de nous observe d’une communauté qui n’a nulle intention de s’assimiler, en croissance rapide où l’endogamie est la règle.
     
    Le Cambadélis de Solferino y est allé de sa dialectique trotskyste, soixantehuitarde enfumée. Et la totalité du Système politicard est au diapason. Du déni de réalité.
     
    Je suis surpris d’entendre de plus en plus souvent désormais, dans la bouche de gens que je tiens pour raisonnables - professions libérales éduquées et aisées - que la seule solution pour en sortir est une guerre civile … A noter. 
     
    * Reçu dans les commentaires

     

  • Institutions & Démocratie • Drame de l’impuissance !

     

    Avons-nous encore un Etat ? Hormis quelques circonstances de haute tension qui permettent de décider d'autorité de proclamer l'état d'urgence, avons-nous encore un gouvernement ? Contesté, méprisé, sans base populaire, le Système politico-médiatique a-t-il encore prise sur le cours des choses ? Sur France inter, Bernard Guetta pleure presque chaque jour que Dieu fait sur l'effondrement de ses rêves les plus chers : L'Union Européenne, les printemps arabes, la démocratie partout, la paix universelle ... La géopolitique réelle trahit la géopolitique légale et elle en meurt de tristesse. Il s'agit là de l'extérieur. A l'intérieur, c'est Thomas Legrand qui est, sur la même radio, le grand prêtre du Dogme et du Système. Il fallait bien cette symétrie. Et voici que, malgré son obstination et sa logique à œillères, Thomas Legrand ne peut plus ignorer le déclin, inexorable, semble-t-il, du Système. Il en résulte des chroniques matinales de profonde déploration, à la tonalité dépressive, qui constatent l'atmosphère de fin de règne, en matière politique et institutionnelle. Telle celle du 10.03 que nous reproduisons ici parce qu'elle est typique du climat régnant et qu'il est somme toute assez délectable d'entendre cette litanie de causes perdues, pour ceux que l'effondrement du Système ne ferait pas pleurer... LFAR   

     

     

    Le texte de Thomas Legrand

    Oui, il parait maintenant évident que la loi El Khomri sera au mieux (pour ses promoteurs) diluée dans un compromis de type édredon à réformes. Mais l’impuissance du Président se manifeste aussi avec l’affaire de la déchéance de nationalité. Vous vous souvenez que les députés avaient largement adopté un texte de compromis (pas édredon celui-là) qui prévoyait la déchéance de nationalité sans référence à la bi-nationalité, contre les terroristes condamnés, quitte à créer quelques apatrides. Le caractère indivisible de la citoyenneté était préservé, au moins, dans la Constitution. C’était, dès lors, au tour du Sénat de se prononcer. Il faut que les sénateurs votent exactement le même texte que les députés afin que le Président puisse convoquer le Congrès à Versailles pour modifier la Constitution. Le vote au Sénat va avoir lieu dans les prochains jours mais déjà la commission des lois du palais du Luxembourg a largement modifié le projet. Elle réintroduit par exemple la notion de bi-nationalité. Du coup, tout laisse penser que la déchéance sera enterrée. 

    Donc, là, c’est la droite qui bloque le texte…

    La droite sénatoriale, oui. Et derrière ce blocage, il faut voir l’influence de la primaire, et plus particulièrement de la guerre Fillon/Sarkozy. Nicolas Sarkozy ne veut  pas que son camp fasse obstacle à la déchéance, mesure réclamée de longue date par l’UMP puis LR. François Fillon, lui, veut faire échec à la réforme et à Nicolas Sarkozy. Il veut briser ce compagnonnage de circonstance et d’intérêt entre l’ancien et l’actuel président. Les amis de Fillon, très représentés au Sénat, ont donc suivi son conseil et désobéi à Sarkozy en proposant une mouture inacceptable par l’Assemblée. Si la stratégie des sénateurs fillonnistes, décidée en commission, se confirme en séance – et ce sera vraisemblablement le cas- la réforme de la déchéance, annoncée solennellement à Versailles par le président le 16 novembre, sera définitivement enterrée ! Manuel Valls aura raison de dire que c’est à cause de la droite. Mais, au passage, ce qui est paradoxale c’est que les sénateurs (donc la droite) bloquent le texte en proposant aux députés (donc aux socialistes) une mouture très proche de ce que proposait le président au départ ! Le plus absurde dans cette histoire, c’est que c’est en partie à cause de cette affaire de déchéance (qui a choqué les forces vives de la gauche) que le lien entre François Hollande et le cœur électoral de sa majorité a été rompu. Alors qu’au bout du compte l’extension de la déchéance ne se fera même pas ! Mais cette histoire a largement nourri le contexte très défavorable et de défiance, dans lequel la Loi-travail risque de s’échouer. On en arrive à ce que le Président et le premier ministre usent à ce point leur crédit, même pas en raison de ce qu’ils font mais simplement de ce qu’ils annoncent et n’arrivent pas à faire. C’est le comble de l’impuissance qui ne fait que conforter cette idée, selon laquelle, après 12 ans du Roi fainéant Chirac, 5 ans de vaine agitation sarkozienne et 4 ans de Hollande inopérant, notre façon de faire de la politique, sans doute nos institutions, sont exténuées… au bout du rouleau.

  • Société • Ne soyons pas (trop) connectés !

     

    par PM 

     

    Les argumentaires des fabricants d’automobiles se plaisent à vanter les performances de leurs systèmes qui – un jour prochain – aboutiront à  la conduite quasi-automatique. On se gare déjà sans toucher au volant, ce qui est spectaculaire et bénéfique.

    Le garage sait tout sur le véhicule et peut donc rappeler au conducteur qu’il est temps de faire une révision. Parfait. Ce sont des progrès pour autant que le « sachant », celui qui dispose des informations, n’abuse pas de cet avantage. Car il peut aussi altérer le système, de sorte qu’il préconise, par exemple, de changer les pneus un peu plus tôt que nécessaire… Qui s’en apercevra ? Le scandale des moteurs diésel bidouillés apparu chez Volkswagen montre que des fraudes sont réalisables à grande échelle. Selon la politique marketing de l’entreprise et selon « le profil » du client, on va lui imposer telle solution avec l’autorité irréfutable de la science (« c’est l’ordinateur qui le dit »).

    Le profil

    Ah, le profil… Grâce aux multiples objets connectés et aussi aux informations fournies fort imprudemment et bénévolement par tout un chacun (Facebook), chaque individu commence à être classé, catégorisé dans un profil-type. Il y a toujours  eu des imbéciles pour dire « Monsieur Untel s’appelle « de » , il habite à Neuilly et va à l’église , il vote donc Front National ! » Mais ces jugements à l’emporte-pièce n’entrainaient pas de conséquence grave. Demain tous nos goûts seront identifiés,  jusqu’à définir le type de personne que nous sommes.  Nous serons donc supposés prédéterminés à penser et à agir de telle ou telle façon. Les sondages d’opinion deviendront inutiles ! Le DRH écartera d’emblée les candidats qui n’ont pas le « profil du poste », alors que l’on sait l’importance décisive de l’entretien d’embauche où les deux parties cherchent à voir s’il existe une voie de succès commune. Et quelle sera demain la place des personnalités hors-normes ?

    Le profil détermine aussi le « protocole » à appliquer à l’hôpital. Faute de temps, beaucoup de médecins ne peuvent plus dialoguer avec le malade et exercer leur jugement, si important dans bien des cas (et c’est la partie intéressante de leur métier). Ils se limitent à suivre le parcours-standard préconisé dans les manuels. Au moins, ils sont à l’abri d’un procès…

    Adieu la liberté

    Les programmes de vente des entreprises seront orientés selon les catégories où sont classés les clients potentiels. Impossible d’y échapper. On ne nous proposera jamais une solution qui ne colle pas avec notre profil. Et on décidera à notre place de ce qui nous convient. Adieu la liberté, le droit de changer de comportement… C’est la tyrannie du profil ! Et n’oublions pas la tentation criminelle de modifier les données collectées, par exemple par Daech.

    Finalement, est-il bien souhaitable – sauf nécessité médicale – d’avoir une montre connectée qui  divulgue illico tous nos paramètres, une voiture  qui dit tout ce que nous faisons, une tablette qui révèle tout de nos gouts ? Oui c’est utile, mais  à ceux qui nous épient jour et nuit  pour nous diriger à notre insu ! Qu’aurait fait un résistant au nazisme dans un système ainsi verrouillé ? Il y a de par le monde bien d’autres dictatures…

    La vie professionnelle actuelle exige certes d’adhérer au système sauf à être  marginalisé. Mais évitons d’en faire trop. Limitons comme les avions militaires notre « signature » dans le ciel. Et surtout, édifions une cloison étanche entre notre vie privée et notre vie professionnelle et publique. La survie est à ce prix ! Nos ancêtres le disaient déjà, « pour vivre heureux,  vivons cachés » . 

     

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  • Grenoble : ce lundi 12 juin, conférence de Vincent Deschuyteneer au Centre Lesdiguières. A ne pas rater

     

    On pourrait croire que la question du régime, en France, ne se pose pas. En effet, comment remettre en cause le système républicain et la démocratie qui y est associée dans notre imaginaire collectif ?

    Jean-Luc Mélenchon constatant l’impasse politique propose une VIe république. Fau-t-il qu’elle soit plus présidentielle comme la IIe? Plus parlementaire comme la IIIe et la IVe ? Comme dirait Laurent Ruquier: « on a tout essayé ».

    Cependant, quiconque connaît l’Europe constate qu’il existe des régimes « républicains » et des monarchies.

    Les peuples y vivant ne semblent pas plus mal lotis que les Français qui viennent de vivre une séquence où le sens de « démocratie » a pour le moins pris un sens ambigu.

    En fait, se pose concrètement la question de la légitimité et de la représentation de tous aux bons niveaux de pouvoir... Il est peut-être temps de sortir de la démocratie totale.

    CONTACT

    centreslesdiguieres@laposte.net

  • La Semaine de MAGISTRO, une tribune d'information civique et politique

    magistro_fr.jpgAprès des années d'errance et par-delà les appareils et les discours dits de droite, dits de gauche ou d'ailleurs, ...  revenons aux fondamentaux !


    Pour cela, MAGISTRO vous invite à lire : 

     
     Hubert de GEVIGNEY, Officier, contre amiral : Scandale
      Pierre COLLIGNON, Directeur général de l'IRCOM : Un impôt détourné
      Charles GAVE, Economiste et financier : Un système de rentes - Capitalisme de connivence et Libéralisme
      Ivan RIOUFO, Journaliste politique : La société civile, tuteur du monde politique
      Gérard-François DUMON, Géographe, professeur d'université à la Sorbonne :   L'immigration serait sous-estimée en France
    •  Eric ZEMMOUR, Journaliste politique : La triple fracture de la jeunesse française
      Roland HUREAUX, Essayiste : François et l'Europe
      Jean-Luc BASLE, Economiste : L’Europe au milieu du gué
    •  François JOURDIER, Officier, amiral : Rwanda, disparition d’un témoin clé

  • Sur SACR TV, pourquoi etre royaliste ?

    Parce qu'il faut, toujours et continuellement orienter les indécis vers cette possibilité du bien que représente un minimum d'Etat, assurant le maximum de libertés concrètes, que représente l'harmonie des trois pouvoirs : Démocratie dans la commune, Aristocratie dans la province et Monarchie dans l'Etat (Aristote). Les esprits chagrins tousseront par l'absence de références historiques, ils ne tient qu'à eux d'ouvrir archives et textes pour réfléchir at ainsi devenir libre face à un "prêt à penser" destructeur, Notre jour viendra !! F.Winkler


    http://fr.calameo.com/read/0008693133...

    "La monarchie est un système politique qui a produit, entre autres, la civilisation égyptienne, la culture perse, la Grèce archaïque, l'empire romain (conservé pendant mille ans de plus sous la forme régénérée de Byzance), inspiré l'Israël de l'Ancien Testament, les Incas, les Chinois, les Turcs, les japonais, fondé la Russie et la France, fécondé les arts et les lettres, érigé les plus superbes monuments sous toutes les latitudes et les longitudes." Vladimir Volkoff

    Et c'est pourquoi nous ne faiblirons pas !

  • Sur la page FB de l'Action française Le Mans : Les Reportages du Média pour Tous : Les gilets rouges contre le 49.3, et.

    Reportage de l'excellent Le Média pour Tous - Vincent Lapierre sur la réforme des retraites. Une fois de plus on peut constater que l'extrême gauche se complaît des attitudes crasses et complètement hystériques refusant le débat des idées (par peur de se faire humilier). Ce reportage montre une fois de plus que l'extrême gauche ne connaît rien au royalisme et qu'elle est bel et bien un idiot utile du système capitaliste qu'elle décrit pourtant. Notons cependant que certains sont plus ouvert que d'autres au dialogue et prêt à débattre.

    Alors que le gouvernement d'Emmanuel Macron tente de faire passer en force sa réforme des retraites par l'utilisation de l'article 49.3 de notre Constitution, les oppositions s'organisent tant bien que mal. Ce samedi 14 mars, la mobilisation s'annonce massive, mais avant ça, des échauffements ont lieu dans toute la France, à l'appel de la CGT notamment. L'occasion pour Thibault et l'équipe du Média pour Tous d'aller à la rencontre de ces Gilets Rouges, ouverts à la discussion pour certains, ouverts à la guillotine pour d'autres.


  • Tout ce qui est Racines est bon ! Jusqu'à dimanche, le 49ème Festival Interceltique de Lorient...

    Ce 49ème Festival met à l'honneur, cette année... : la GALICE !

    https://www.festival-interceltique.bzh/actualites/

     

    Avec les Fêtes de Bayonne, de la semaine dernière, ce magnifique Festival constitue le début de notre Album Ces Fêtes qui "font", qui "sont" la France : tout simplement parce que les Basques constituent le premier peuplement connu de notre cher et vieux pays; et, aux Basques sont venus se superposer les Celtes : au moment où le Système, aux ordres d'une mondialisation qui veut effacer toutes frontières, toute Histoire et toutes Traditions, afin "d'organiser" la Terre entière en vue seulement du profit de "la fortune anonyme et vagabonde", il est bon de s'en souvenir...

    Comme le disait Maurras : "Ce pays-ci n'est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d'un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie..."

  • L'épidémie met en lumière l'opposition entre classes dominantes et classes populaires, par Aristide Renou.

    Si l’épidémie actuelle devait servir à quelque chose d’utile, cela pourrait être de rappeler que l’idée que les classes dominantes pourraient se passer des classes populaires est largement une illusion. Une illusion certes plausible dans les temps paisibles, lorsque ni la nature ni la politique ne se manifestent trop brutalement, mais une illusion qui se dissipe dans les temps de crise, ou qui devrait se dissiper si nos élites avaient encore un minimum de clairvoyance.

    Comme l’a dit fort justement Rachida Dati ces derniers jours (eh oui…), ce sont les Gilets Jaunes qui tiennent actuellement le pays à bout de bras, les « aides-soignantes, infirmières, ambulanciers, aides à domicile, femmes de ménage, caissières, livreurs ou encore personnel pénitentiaire » qui se lèvent encore chaque matin pour se rendre sur leur lieu de travail, au péril de leur santé, et qui permettent aux bobos urbains ou au CSP+ de rester confinés tranquillement chez eux en attendant la fin de l’épidémie. Aujourd’hui comme il y a 2500 ans les « pauvres » sont les murs de la cité, les murs derrière lesquels on court se réfugier en cas de tempête ou de guerre. La nature et la politique (qui est la nature de l’homme) reprennent toujours leurs droits.

    « Le modèle économique de la société s’étant transformé, comme il l’a été dit précédemment, une grande partie de la main-d’œuvre ouvrière est devenue inutile. Les classes dominantes peuvent pour la première fois dans l’Histoire se passer des classes populaires, une fois les services de base à la personne (garderie, restauration, ménage, garde de malades et de personnes âgées) assurés par une main d’œuvre interchangeable ; les classes populaires sont dès lors face à une drôle d’alternative.

    Ou bien elles acceptent de travailler pour de bas salaires qui, selon toute évidence, ne permettent pas de vivre décemment ni d’élever une famille avec les standards du XXIème siècle français. C’est dans les rangs de ceux qui ont fait ce choix que se recrutent les Gilets Jaunes. En effet, le salaire médian en France (1762 euros en 2017), qui correspond au plafond touché par la moitié des salariés, n’autorise que la précarité, non seulement dans les grandes villes, mais même dans cette France périphérique où la voiture est nécessaire (en France, 70% des salariés se rendent au travail en voiture, contre 4% à vélo). Le complément de salaire lié aux revenus sociaux est indispensable, même en l’absence d’accident de la vie. Or cela nuit à la valorisation du travail et à l’estime que se porte le travailleur.

    Ou bien ces classes populaires renoncent à l’emploi, surtout s’il est rare et précaire, et elles basculent dans le système économique socialisé. Celui-ci est parfaitement rodé et accepté puisque la France distribue les plus généreuses prestations sociales au monde (le quart de son PIB). Cette économie sociale hors marché est un système unique au monde, devenu le marqueur de l’économie française : la grande distribution, le logement, les loisirs, la médecine, le système de formation, etc., dépendent aussi de la distribution des paiements de transfert. Les huit à neuf millions de pauvres sont ainsi économiquement intégrés au système, et ils contribuent indirectement à la croissance globale, non par l’emploi dont ils sont exclus (ou dont ils s’autoexcluent par manque de stimulation), mais par l’économie sociale pourvoyeuse de rentes ; les 85% d’immigrants annuels qui ne sont pas des migrants professionnels participent de cette étrange économie. A ce stade, enfin, la délinquance est une option non nulle, puisqu’elle offre un complément de revenu et qu’elle n’est pas moralement en balance avec une activité professionnelle qui n’existe pas. »

    Pierre Vermeren, La France qui déclasse