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Remous persistants après "l'affaire" du professeur de Berlaimont...

          "Marche arrière, toutes !". Les politiques prennent conscience du malaise enseignant et tentent de rétablir une situation que la précipitation et l'idéologie soixantehuitarde ont pourri.

          Après le ministre de l'éducation c'est le premier ministre qui a recadré les faits, et sur le terrain les enseignants apportent leur soutien à leur collègue. Jugé et condamné sur le champ par des autorités qui se sont trompés et dans la forme et dans le fond, et qui s'en mordent les doigts à l'heure qu'il est, il a été vigoureusement défendu au micro de France Info, le mercredi 6 février, par le président du SNALC :

            "...les autorités du Ministère, les membres de la classe politique dans son ensemble n'ont pas réagi suffisamment vite à cette situation, mais ça ne nous surprend guère parce que nous considérons que ça fait quarante ans que la classe politique et la hiérarchie trahissent les professeurs dans le système éducatif. La source du malaise enseignant elle est là et pas ailleurs".

            Une manifestation dans tous les collèges et lycées de France aura lieu le 27 mars: nous y reviendrons...

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