Royaliste n°1207 (15 Mars 2021).
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Page 2 – Régionales : précis de décomposition. – Sur le mur de Jean Chouan.
Page 3 – Une transition écologique et sociale. – L’Écho du net.
Page 4 – Externaliser les services publics. – Persiflages.
Page 5 – La mer, bien commun des nations. – La quinzaine sociale.
Page 6 – Royaume Uni. – Voix étrangères. – Les Faits majeurs.
Page 7 – La France en Antarctique.
Pages 8 et 9 – La Monarchie au Portugal : entretien avec Dom Duarte de Bragance.
Pages 10 à 13 – Hommage à Honoré d’Estienne d’Orves.
Pages 13 à 15 – Nouvelle : Éloge du Grand Homme.
Page16 – Jacques Bainville vivant.
Pages17 et 18 – Gaspard Koenig. – Jean Lebrun. – Dans les revues.
Page 19 – La Fontaine, pour toujours.
Pages 20 et 21 – Un été avec la France sur la mer.
Page 22 – Concours d’idées : notre nouvelle fleur de lys.
Page 23 – Le mouvement royaliste.
Page 24 – Éditorial : Révolution ou dislocation.
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Un nouveau numéro de “Royaliste” (numéro 1217, daté du 27 Septembre) vient de paraître.
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Un nouveau numéro de “Royaliste” (numéro 1206, daté du 1er mars) vient de paraître.
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Un nouveau numéro de “Royaliste” (numéro 1208, daté du 29 mars) vient de paraître.
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UKRAINE
Cette analyse de notre ami Xavier Moreau vaut son pesant de gratons (comme on dit dans cette bonne ville de Lyon…)
http://www.realpolitik.tv/2014/04/republique-bananiere-dukraine-episode-8/
2. Et, toujours sur l'Ukraine, ces quatre "commentaires", à partir de notre note du mercredi 2 avril : Ukraine : une analyse de Bernard Guetta avec laquelle nous sommes (presque) d'accord) :
Ayant vécu en Europe de l'Est sous l'ère soviétique et connaissant la Russie le simple bon sens veut que l'intérêt des Ukrainiens est d'entretenir de bonnes relations à la fois avec son puissant voisin russe et ses voisins occidentaux. Des tas de commentaires ont été faits sur la crise ukrainienne et beaucoup d'avis sensés ont été exprimés. L'avenue est donc largement balisée et la répétition ne sert à rien. Bref, gageons que les Ukrainiens, un peuple slave raisonnable et intelligent, prendront le chemin de la réconciliation et de la paix, écartant un nationalisme borné et dangereux. Le pays de Gogol a plus d'une corde dans son arc !
Écrit par : de Wargny | mercredi, 02 avril 2014
Répondre à ce commentaire@de Wargny
Vous auriez presque raison si aucune puissance extérieure ne venait susciter des espoirs fous, irréalisables, provoquants à l’encontre des Russes, pour après, souffler sur les braises. Tout a été dit sur le rôle de la bannière étoilée, agissant avec son faux nez européen, ou directement. Comme le rappelle notre ami Xavier Moreau, les grands garçons des bords du Potomac regardent un investissement de 20 ans (fin de la guerre froide).
Lien http://www.realpolitik.tv/2014/04/republique-bananiere-dukraine-episode-8/
Ce qui me rappelle une petite histoire personnelle. Dans une de nos réunions d’anciens combattants en Septembre 2002, était invité un de nos homologues américains. Ex officier de renseignement dans l’US Air Force, carrière complète dans cette spécialité. Et à l’heure de notre rencontre, retraité, reclassé civil et détaché au Ministère hongrois de la Défense pour les aider à gérer leurs tableaux d’effectifs !! Garçon sans un gramme d’humour, il m’avait expliqué que désormais, ils étaient invités …
Écrit par : Jean Louis FAURE | mercredi, 02 avril 2014
Le prince avait raison de parler de "caniche".En fait,la France n'a vocation à être le caniche de personne,pas plus des USA,que des Russes ou des Chinois.
Hélas,depuis la révolution française et la chute du 1er empire,il faut reconnaître humblement qu'elle a toujours été un caniche en politique étrangère.De la Grande-Bretagne d'abord,puis des USA.
Il y a bien eu quelques tentatives ou intentions de se subordonner ailleurs,notamment du côté de la Russie soviétique,lesquelles ont heureusement tourné court.
En fait,il s'agit de discerner de quel côté vont nos intérêts,et non pas de suivre une ligne idéologique qui pourrait s'avérer sans lendemain positif pour nous.
Pour ce qui concerne l'Ukraine,état-tampon entre l'Est et l'Ouest,il paraît plus conforme aux intérêts français actuels de choisir l'Ouest,car il y a plus à gagner qu'à perdre dans ce choix-là.
Écrit par : Patrick haizet | mercredi, 02 avril 2014
Des centaines de cadavres, certains atrocement mutilés, ne laissent désormais aucun doute sur la situation en Centrafrique. Et permettent en tout cas à M. Hollande d’affirmer que l’objectif de l’opération Sangaris est de « sauver des vies humaines » et « d’éviter une catastrophe humanitaire », donnant ainsi raison à ceux de ses adversaires qui veulent n’y voir qu’un moyen de propager ce qu’ils appellent par dérision « l’empire du Bien ». Mais M. Hollande prétend aussi - ce qui laisse sceptique - que « l’intervention sera rapide » et qu’à terme, ce sont les Africains eux-mêmes qui devront être en mesure de réagir.
La réalité est sans doute plus prosaïque. D’abord, le chef de l’Etat s’inscrit, malgré lui et malgré son idéologie, dans la lignée de ses prédécesseurs et même, comme le dit de façon sans doute exagérée M. Domenach, « des rois de France », tant il est vrai qu’on n’échappe pas au poids de l’Histoire.
Plus simplement, M. Guetta (eh oui !) reconnaît que l’intervention au Mali a redoré le blason de la France dans toute l’Afrique et qu’il faut continuer en Centrafrique de façon à assurer conjointement la sécurité de l’Europe et celle de l’Afrique et « ce faisant, d’y nouer et resserrer des liens politiques dont les retombées économiques pourraient être extrêmement profitables à l’emploi français ».
C’est dit : qu’on prenne les choses par un bout ou par l’autre, toute intervention, en l’occurrence française, répond à un intérêt, même caché, même inconscient. De fait, l’Afrique subsaharienne constitue pour la France un enjeu stratégique de première importance, et d’abord parce qu’elle est très riche en ces matières premières qui nous font cruellement défaut. De plus, elle est une opportunité paradoxale en raison de son développement démographique : si l’aider à se développer est indispensable pour notre sécurité, cela peut aussi se révéler très profitable pour notre économie.
Par ailleurs, malgré certains commentaires, il ne s’agit pas, en Centrafrique, de simples affrontements interreligieux mais d’un nouvel épisode de la fièvre islamo-terroriste qui secoue le continent africain. Les milices chrétiennes d’autodéfense ne font que répondre aux tueries et exactions de l’islamique « Séléka », laquelle compte dans ses rangs de nombreux étrangers, notamment soudanais et saoudiens. On sait tout cela à Paris : dès lors, intervenir en Centrafrique relève de la plus élémentaire cohérence après l’opération Serval.
Voilà qui pose, au fond, le vrai problème, celui des moyens. Si la France veut être présente – et c’est son intérêt légitime – en Afrique, il lui faut une armée dotée des moyens ad hoc. Pas de politique étrangère crédible sans une armée efficace. Or, la Loi de Programmation Militaire 2014-2019 ne va pas forcément dans le bon sens car elle ne garantit manifestement pas les moyens humains et matériels nécessaires, prépositionnés en Afrique et/ou basés en métropole.
Donc, M. Hollande, si m’en croyez, soyez chef de l’Etat jusqu’au bout en permettant aux soldats de la France d’être à même d’accomplir leur(s) mission(s) : ce devrait être un investissement rentable.
(réactvité face à un évènement politique majeur : cette note a été publiée dimanche matin, à 9h05, pour la photo et le titre, et rédigée ensuite, au fur et à mesure des confirmations, jusqu'à douze heure, heure à laquelle elle a été définitivement "envoyée"...)
explosion en vol, désintégration....
Ce n’est pas en nous plaçant sur le terrain de la morale privée, ni sur celui des attaques personnelles, que nous réagirons à l’affaire Strauss-Kahn. Nous dirons simplement que, ne surmontant pas ses pulsions et ne maîtrisant pas ses penchants personnels, bien connus, Dominique Strauss-Kahn, vient, paradoxalement, de s’exclure, de lui-même, de la participation à un Système dont il est, pourtant, l’archétype.
La vie privée des souverains qui ont régné sur la France ou sur l’Europe n’a pas toujours été exemplaire, si celle de certains autres l’a, par contre, été. Ces Princes, ces Rois, s’inscrivaient dans une Tradition, une Lignée, une Légitimité, dont ils n’étaient, somme toute, qu’un maillon, et, s’ils n’étaient à l’abri ni des critiques, ni des conséquences et sanctions de leurs actes, leurs fautes ne remettaient vraiment en cause ni la continuité des Institutions, ni la pérennité des États ni la cohésion de la société civile.
Les Pouvoirs politiques nés de notre Révolution ne se prévalent ni de ce type de Légitimité, ni de notre Histoire qu’ils nient, rejettent et combattent, au nom d’une idéologie. Ils ont voulu que leur pouvoir relève de la Raison, appliqué à la mise en œuvre de cette idéologie, censée organiser le monde nouveau sur des bases nouvelles, et gérer des citoyens, des hommes nouveaux, sans roi et sans dieu. Aujourd’hui, le monde, le Système, dont ces principes ont accouché nous répugne. A nous et à beaucoup. Est-il permis de rêver à autre chose ? Nous dirons que ce rêve devient un devoir, qu’il doit se métamorphoser en une volonté d’autre chose …
La mondialisation est, d’évidence, presque au sens étymologique, une fiction sans souveraineté ni souverain, où, en quelque sorte, la seule « autorité », la seule incarnation d’une unité, bien-sûr strictement réduite à l’économique, est, en pratique, le Directeur Général du FMI, au numéro 700 de la 19ème rue à Washington, États-Unis d’Amérique. De notre planète ainsi et prétendument mondialisée, Dominique Strauss-Kahn était une sorte de Pape, régnant, depuis son Vatican de la Finance, Urbi et Orbi. Pour toutes sortes de raisons tenant à ses racines, à sa culture, à ses amitiés, à son « expertise » économique et financière, et, aussi, à son deuxième mariage, il était, en apparence, parfaitement, si l’on peut dire, adéquat à cette Haute Fonction …. Constitué pour …
Exit le règne de la Raison, exit l’expertise financière, exit le politique avisé, exit l’éventuel candidat du Parti Socialiste à l’élection présidentielle française, exit le Pape de la mondialisation. Au moins sur un point, Sarkozy ne s’est pas trompé lorsqu’il affirmait à ses amis que DSK ne pourrait pas tenir le choc d’une campagne présidentielle. Il n’aura même pas tenu le choc de la précampagne ; il devra, très probablement, jeter l’éponge avant même qu’il ait déclaré son intention d’y prendre part. Le « misérable petit tas de secrets » - qui tient aux misères de la nature humaine inchangée, vient, en effet, comme un « coup de tonnerre », d’envahir les ondes, les écrans, les feuilles de papier journal.
Inculpé d’agression sexuelle, de tentative de viol, de tentative de séquestration, passible de poursuites pénales lourdes pour des faits considérés aux États-Unis comme extrêmement graves, arrêté, in extremis, dans un avion en partance pour Paris, Dominique Strauss-Kahn a (très probablement) terminé , non pas sa vie de luxe et de richesse extrêmes qui lui ont, sans-doute, donné l’illusion que tout lui était permis, que tout s’achète, que tout s’obtient par le Pouvoir et par l’Argent, du moins sa carrière politique, ….. dans une chambre d’hôtel de New-York.
Sic transit….
Staline à lui seul donna personnellement l'ordre d'exécuter ainsi 25.7000 polonais...
Poutine a bien fait d'aller à Katyn, de reconnaître ainsi l'horreur dont le marxisme-léninisme s'était rendue coupable en ce lieu, et de poursuivre ainsi le travail de purification de la mémoire(pour reprendre l'expression de Jean-Paul II) entrepris par la Russie depuis la chute du communisme.
Et dont la réhabilitation de la famille impériale, son inhumation solennelle et sa canonisation ont été l'un des épisodes les plus significatifs...
Une telle chose est-elle possible en France ?
Un internaute -dans le courrier des lecteurs du Figaro- demande quand un dirigeant français aura le courage d'aller se recueillir sur les charniers vendéens.
C'est évidemment une demande légitime et fondée. Mais il ne faut pas perdre de vue que ce qui se passe en Russie ne s'y passe, précisément, que parce que le marxisme-léninisme s'y est effondré et a disparu corps et biens. Le tsunami, parti de Paris en 1789, et arrivé aux extrêmités de la terre, a commencé son reflux, logiquement, par les extrêmités de la terre. Il faudra encore un peu de temps pour que l'épicentre du cataclysme retrouve le calme d'avant.
Un président de la République française aux Lucs sur Boulogne, c'est tout simplement impossible. Car cela voudrait dire que la République idéologique renonce à ses origines, se contredit elle-même dans toute son histoire, dans tout son passé, dans ses fondements. Qu'elle se reconnaît coupable de s'être trompée, elle qui s'est auto-proclamée parfaite, puisque basée sur la Raison contre les superstitions et n'hésitant pas à proclamer qu'elle inaugurait l'ère des lumières face à l'obscurantisme et aux ténèbres. Excusez du peu !...
Et l'on retombe sur l'extra-ordinaire sophisme de Robespierre: il faut que Louis meure, car si Louis est innocent, alors ceux qui ont fait la Révolution sont coupables !
Ce qui donne, appliqué au cas d'aujourd'hui: il ne faut pas qu'un président de la république aille aux Lucs, car, s'il y va, c'est reconnaître qu'il y eu Génocide, puis négationnisme, révisionnisme et mémoricide.
Et la République idéologique s'écroule sur ses bases...
Il faut donc que nous attendions encore - en poussant à la roue pour accélérer ce mouvement déjà largement entamé - que le virus de 1789 s’épuise et finisse son cycle, les forces de son Idéologie étant elles-mêmes épuisées, et se trouvant démenties par les réalités qui montrent qu'à l'évidence, le Système hérité de 89 a terriblement mal vieilli, qu'il n'a pas tenu ses promesses, et qu'il a échoué, tout simplement...
Mais peut-être qu'on n'a plus à attendre très longtemps, tellement le Système est vermoulu...
.....de Cesaro Battisti à Caroline Freud :
"...Parce que tout ce qui est de gauche, même le crime, même le mensonge, bénéficie d’un passeport moral et médiatique qui permet de franchir les frontières de l’intolérable. Ils peuvent tout dire, ils sont dans le bien universel, dans la vérité, dans le cœur qui bat l’estrade. Avec eux, un terroriste de gauche, un fasciste, est un brave mec et ses morts des accidents de l’histoire… C’est tellement vrai que le procureur italien a parlé d’une « formidable désinformation en France. » Que se passe-t-il dans la pensée française pour qu’il suffise de se déclarer de gauche pour avoir tous les droits à la suffisance doctrinale, à l’affirmation péremptoire, à la confiance, à l’impunité ?..."
http://www.gilbertcollard-leblog.com/article-sainte-caroline-terrassant-la-vipere-76669681.html
Ce coup de gueule salutaire nous ramène à cette étrange attirance/fascination pour la violence révolutionnaire de la part d'un certain nombre de personnes. Une attirance qui s'explique, en réalité, fort bien...
Nous en avons déjà parlé, ici-même : c'était à propos de Max Frérot (dans notre note du 9 juin 2009 : max frérot.pdf ) :
"....Eric Zemmour notait il y a peu que Besancenot n’était pas ostracisé comme Le Pen, tout simplement parce que l’extrême gauche est « angélisé », disait-il, en France.
Et il a raison. Et c’est normal, ou du moins c’est compréhensible parce que c’est logique : la révolution est née dans la violence et la Terreur ; elle est née de et par la violence et la Terreur. Et c'est seulement parce qu'avec la Terreur elle a frappé de stupeur ses adversaires – au sens ancien et fort du terme stupeur - qu’elle a pu s’installer, se prolonger et se pérenniser.
Comment ses descendants et héritiers n’éprouveraient-ils pas une sorte de fascination morbide et, disons-le, une certaine forme d'attirance voire de tendresse envers les criminels politiques (pourvu, bien sûr, qu'ils soient d'extrême-gauche) ? Et en tout cas une sorte de presqu'impossibilité - à tout le moins une répugnance extrême... - à condamner ces militants révolutionnaires dans lesquels, consciemment ou non, ils se reconnaissent, peu ou prou ?.....
D’où cette suite de décisions judiciaires, toutes plus écoeurantes les unes que les autres, mais surtout toutes aussi logiques les unes que les autres, concernant Max Frérot aujourd'hui, mais Nathalie Ménigon et Jean-Marc Rouillan hier, et Marina Petrella, en passant par celle qui a permis la fuite de Cesare Battisti etc... etc...etc.....
Car il y a dans le Pays Légal républicain, s'agitant dans l'ombre et les coulisses, de véritables réseaux de sympathie vis à vis des violents et des extrêmistes dits politiques; toute une nébuleuse de groupes de pression, d'avocats, d'associations, de sympathies plus ou moins avouées, plus ou moins avouables, bref de véritables machines de guerre pro-tueurs - à la seule condition bien sûr, condition indispensable et non négociable, qu’ils soient révolutionnaires, sinon cela ne marche pas… -, tout un petit monde qui s'agite et qui s'active très efficacement, et qui va du Syndicat de la Magistrature jusqu'à l'ultra gauche, en passant bien sûr par la fraction la plus enragée du Parti socialiste....."
A l'heure actuelle un fait est acquis la CRIMEE est RUSSE et personne n'y changera rien.
GUETTA souligne à juste titre que l'UKRAINE doit être un pont entre RUSSIE et EUROPE du fait de la multiplicité de ses composants mais comment les fédérer avec certitude ? Le risque posé par des "électrons libres" désirant aller se "noyauter" ailleurs, qui pour la culture, qui pour la langue, qui pour la religion, serra toujours présent.
Et en final comment ne pas souligner, comme GUETTA, la non existence diplomatique de l'Europe, cette Europe des marchands ? A croire que les U.S.A. pourraient trouver un nouveau VIETNAM en EUROPE.
Écrit par : REALE François | mercredi, 02 avril 2014
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