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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : pourquoi ?

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    pourquoi Éric Dupond Moretti s'obstine-t-il à avoir toujours un temps de retard ? Après avoir on ne peut plus malencontreusement déclaré peu de temps avant la décapitation de Conflans : "La France n'est pas un coupe-gorge", perdant une bonne occasion de se taire, le voilà qui déclare : "La barbarie est à nos portes", perdant de nouveau une autre bonne occasion de se taire. Car, évidemment, non, la barbarie n'est pas à notre porte : elle est bien installée dans la maison, sous forme d'une armée barbare d'invasion nombreuse, riche (par ses trafics) bien armée, disposant de nombreuses bases partout en France, dans les Cités et autres zones de non-droit où elle a accumulé tout ce qu'il lui faut depuis des années...

    pourquoi ne rappelle-t-on pas une certaine déclaration à notre ancien Premier ministre ? Qui a, lui aussi, perdu une bonne occasion de se taire !...

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    pourquoi ne fermer que la mosquée de Pantin (et pour six mois, encore !)  ? Il y a 152 mosquées ouvertement salafistes, 156 mosquées "UOIF", et, en tout, au moins 500 mosquées à fermer !...
     
     pourquoi ne pas poser carrément la question ? Edwy Plenel ne cherche-t-il qu'à provoquer grossièrement, ou bien alors jouit-il encore de toutes ses facultés mentales ? À quand une sorte d'hymne de Mediapart, genre Pauvre petit égorgeur tchétchéne que ces salauds des FDO ont tué, alors qu'on ne demandait qu'à le bichonner dans nos bonnes petites prisons françaises ?

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    pourquoi, trois jours à peine  après la décapitation de Conflans, l'Insoumis "bien soumis" Eric Coquerel pointe-t-il... "un racisme anti-musulman" ? Tout simplement parce que la plupart des députés  LFI sont élus par des immigrés (les nouveaux prolétaires, la nouvelle classe ouvrière remplaçant celle d'antan) et que LFI n'est plus que le faux nez de l'immigration/invasion...

    pourquoi le Système enfile-t-il paires de gants sur paires de gants pour ne pas expulser "un" clandestin fiché "S" ? Parce qu'il est fondamentalement complice - de par sa haine anti chrétienne - de ces musulmans eux aussi anti chrétiens. Et que ce Système pense - follement - que ces musulmans qui rêvent d'éradiquer le christianisme vont l'aider dans cette sale besogne, lui qui rêve aussi d'éradiquer le christianisme ! Au début du 20ème siècle, la République a osé envoyer des régiments militaires entiers pour expulser de simples moines catholiques, présents ici depuis des siècles et siècles, moines qui étaient chez eux, et qui ne faisaient de mal à personne...

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    ISLAM / NOUVELLE RELIGION RÉPUBLICAINE : MÊME COMBAT !

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    «C'est assez honteux cette façon de crier au fascisme partout en estimant que #GénérationIdentitaire ce sont des fascistes dangereux... Il faut arrêter de croire que quiconque ne pense pas comme soi, est un fasciste» À écouter via @MichelOnfrayTv

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    1. RÉGIME POURRI ! SYSTÈME POURRI !

    La première photo ci-dessous montre un collabo des Mafias négrières,  trafiquantes d'êtres humains  : il est protégé par la justice... pour avoir enfreint la loi ! La seconde montre de jeunes Français qui exigent l’application de la loi : eux, ils sont poursuivis par le Ministère de l'Injustice, calomniés/diffamés, et leur mouvement risque d'être dissous. Le Système pourri que nous subissons met la France à l’envers... et c'est bien lui qu'il faut abattre, et non se contenter d'un changement de personnel du Pays Légal !

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    2. Jean Chambaz, le Président de la Sorbonne, une des Universités les plus infestées par toutes les idéologies anti-françaises qui fleurissent depuis des années, n'est pas content. Mais alors, pas content du tout !  Pensez-donc ! On commence à enquêter sur l'islamo-gauchisme !...

    https://oumma.com/islamo-gauchisme-j-chambaz-president-de-sorbonne-universite-se-dit-stupefait-par-les-propos-de-la-ministre/

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    2 BIS. Le CNRS (sciences sociales) : dictature stalinienne, antiscientifique et antirépublicaine ?

    https://www.bvoltaire.fr/le-cnrs-sciences-sociales-dictature-stalinienne-antiscientifique-et-antirepublicaine/

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    4. Très bel hommage au Général Meyer qui refusa d’abandonner ces #harkis et leurs familles d’un massacre certain. Il y a des hommes d’honneur. Il en est des plus éminents. A lire dans le @FigaroMagazine @jchribuisson

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    5. Hélas, d'accord (forcément d'accord...) avec Jean-Frédéric Poisson : 

    Hier #ClichyLaGarenne, #Pau aujourd'hui... La sordide litanie des assassinés à l'arme blanche reprend. Mes pensées vont  aux familles, proches et collègues des deux victimes. Que la vérité et la justice soient vraiment faites. À quand de vraies mesures pour protéger les Français ?
     
    La toute première de ces mesures c'est évidemment de tarir le flot de l'immigration, mais Darmanin préfère dissoudre, de toute urgence, Génération identitaire plutôt que de s'attaquer, de toute urgence, à ce qui est sa tâche normale et PRIORITAIRE : NOTRE SÉCURITÉ !
     

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    6. DÉFENDRE NOS AGRICULTEURS ! Devant l’Intermarché d’Isneauville  et le Carrefour de Mont-Saint-Aignan (Seine-Maritime), ce samedi 20 février 2021, des membres du JA76 sont intervenus très tôt afin de déverser du fumier sur les chariots des deux grandes surfaces. Ils voulaient crier leur ras-le-bol : 

    https://actu.fr/normandie/isneauville_76377/seine-maritime-en-pleine-nuit-des-agriculteurs-deversent-du-fumier-devant-des-grandes-surfaces_39654964.html

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    7. On finira cette série d'aujourd'hui avec cette pensée d'Hannah Arendt  :

    "Politiquement, la faiblesse de l'argument du moindre mal a toujours été que ceux qui choisissent le moindre mal oublient très vite qu'ils ont choisi le mal."

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  • Rafale en Suisse : une baffe sur l’autre joue !, par Henri Gizardin.

    Décidément, les Ėtats-Unis ont bien appris des Indiens et Biden semble avoir adopté la méthode des Sioux, attitude subtile – et sournoise – en usant de ruses qui permettent d’échafauder des plans discrets pour parvenir à ses fins.

    5.jpegOn a un exemple éclatant avec les sous-marins australiens. Un autre, objet de moins de publicité, résulte du même scénario.

    Il s’agit de la vente de chasseurs F-35 à la Suisse. Le Rafale était en bonne position et il semble que, à l’instar de ce qui a été constaté avec Canberra, les discussions des Français avec les Helvètes se poursuivaient alors que le choix pour le concurrent était déjà arrêté !

    Les deux claques portées quasi simultanément à la France ont de quoi provoquer la grande déception des vendeurs et l’ire de notre Président !

    S’ensuit, pour ce dernier, des déclarations et décisions contradictoires ou paradoxales : « Je vais avoir prochainement un entretien téléphonique avec le président américain. » Entretien qui a eu lieu ce 22 septembre. Lui a-t-il dit sa déception : « Joe, I am very disappointed! Your behavior ruins our long friendship! » ?

    Réponse possible de Biden, conciliant, paraît-il : « Don’t worry, we’ll do something good for France later », en pensant résolument « America first! »

    Avec Parmelain, président de la Confédération suisse, une rencontre qui devait avoir lieu serait annulée. Enfin, on ne sait pas très bien. Était-elle vraiment planifiée ou seulement envisagée, point ne sait…

    À moins d’une votation spontanée et opposée à ce choix – on peut rêver -, la Suisse rejoindra le club des sept pays européens qui ont déjà opté pour l’avion américain.

    Il faut savoir, cependant, que plusieurs axes de coopération dans le domaine de la existent entre la France et son voisin. Nos forces aériennes aident à la sécurisation de son espace aérien lors d’événements importants. Ainsi – si si ! -, l’armée de l’air française a établi une zone d’exclusion de survol autour de Genève et a renforcé sa posture permanente de sécurité aérienne, lors d’une visite des présidents Biden et Poutine à Genève, les 15 et 16 juin derniers !

    C’est peut-être durant ces rencontres que Biden a fait une super promotion du F-35 ?

    Et la dernière couche : notre armée de l’air et de l’espace utilise le Pilatus suisse pour la formation de base des pilotes, et dont une nouvelle tranche aurait été récemment commandée.

    Mais alors, sommes-nous naïfs à ce point ?

    Le « Couteau suisse » qui s’annonçait au début de l’année était, en réalité, un poisson d’avril !

     

    Henri Gizardin

    Ancien pilote de chasse
  • Sur le blog ami du Courrier Royal : dormir et manger au château de Versailles, c'est maintenant possible.

    Combien de visiteurs du château de Versailles, ont pu rêver d’avoir la chance de dormir ne serait-ce qu’une nuit dans ce mythique palais de la Royauté française… C’est pour répondre à ce rêve (des touristes ayant quand même un bon compte en banque), qu’un projet ambitieux initié il y a 5 ans vient de se concrétiser au château de Versailles avec l’ouverture d’un hôtel 5 étoiles au nom complet d’Airelles Château de Versailles Le Grand Contrôle.

    En 1681, un hôtel particulier est érigé dans l’aile Midi de Versailles par Jules Hardouin-Mansart pour le duc de Saint-Aignan. Il est ensuite habité par le contrôleur général des Finances royales d’où le nom de Grand Contrôle. Au début des années 2000, il abritait des bureaux du ministère de la Défense. Le groupe d’hôtellerie LOV Hotel Collection remporta en 2016 l’appel d’offres comprenant un établissement hôtelier et restaurant. On parle quand même d’un investissement de 50 millions d’euros pour tout l’aménagement effectué avec une finesse exquise notamment quant au choix du mobilier et des tissus pour recréer une ambiance du XVIIIe siècle. Un collège scientifique a même été consulté tout au long du chantier.

    Au total 14 chambres (sans téléviseur pour ne pas altérer le décor) dont six se situent dans la dépendance dite du Petit Contrôle. 17 majordomes habillés en livrée se tiennent à disposition de la clientèle. Comptez un prix minimal de 1 700 € pour une nuit mais avec des privilèges non négligeables. Ainsi, il vous sera possible de visiter en privé le château et le Petit Trianon avant et après la fermeture des portes au public. Six circuits sont proposés dont une représentation à l’Opéra royal. Vous pourrez aussi naviguer sur le Grand Canal à bord d’une barque électrique, conduire des voiturettes dans les allées du parc et revenir à l’hôtel escortés à la tombée de la nuit par un majordome muni d’une lanterne.

    Le chef multi-étoilé Alain Ducasse est aux fourneaux et a l’ambition de faire revivre l’atmosphère des grands dîners royaux avec le cérémonial qui va avec. Pour un menu 5 services, il vous en coûtera 140 € hors boissons. Le site internet de l’hôtel précise : “Dans un décor empreint des splendeurs de la Cour, savourez une cuisine raffinée et profitez d’une mise en scène rappelant les fastes d’antan”. Inspirés par les festins du souverain, les mets, très nombreux, sont apportés en vagues successives appelées “services”. Après le service des potages, des entrées puis des rôts (pièces rôties) et salades, viennent ensuite celui des entremets, et enfin du fruit (le dessert).

    Quelques images pour rêver un peu

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    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Ce 21 Janvier, Grand Colloque de ”Clarifier”: L'Islam face à la Bible

     

    Nous avons le grand plaisir de vous inviter au prochain colloque que nous organisons le 21 janvier à Paris avec notre partenaire Mission Ismérie.

    Il aura pour thème "L'ISLAM FACE À LA BIBLE". Vous en trouverez la présentation ci-dessous.

    Nous en profitons pour vous adresser nos meilleurs vœux pour cette nouvelle année.

    Espérant vous retrouver ce 21 janvier,
    Bien cordialement,

    L’équipe de CLARIFIER

     
     
     

    LE SAMEDI 21 JANVIER, 9h30-18h30, À PARIS (7e)

    Lire la présentation du colloque sur le site de Clarifier

    Le « pôle études » formé par Clarifier et son partenaire Mission Ismérie organise un nouveau colloque sur l’islam, intitulé « L’islam face à la Bible ».


    Ce pôle d’études sur l’islam a pour vocation d’aider le public à le comprendre, d’éclairer sur ses réalités selon une approche pédagogique et respectueuse des personnes qui s’y référent, et d’apporter à la société des éléments de connaissance objective, de réflexion et de décision. Il avait déjà organisé un premier colloque en 2021 sur le thème « Islam-Occident : où va-t-on ? » (https://associationclarifier.fr/colloque-islam-occident-les-videos-le-compte-rendu/)

    Ce premier colloque avait déjà connu un beau succès, mettant au clair les fondamentaux de l’islam et leur éventuelle incompatibilité avec ceux de notre société issue du christianisme. Le colloque « L’islam face à la Bible » poursuivra cette exploration en profondeur par la question de l’appréhension de la Bible par l’islam doctrinal et par les musulmans.

     

    Les écritures sacrées et la compréhension qu’en développent leurs croyants sont en effet une clé fondamentale pour appréhender les sociétés et les civilisations, leurs visions du monde et de l’homme. En la matière, islam et Occident chrétien comme post-chrétien diffèrent fondamentalement. La Bible pourrait-elle être un chemin d’accès, d’adaptation, voire d’enracinement dans nos sociétés ?

     

    Mais pour pouvoir l’envisager, il nous faut comprendre comment la Bible est perçue en islam : qu’est-ce que le concept « d’écritures sacrées » en islam ? Comment la Bible est-elle comprise au regard du Coran ? Comment passer au-dessus des blocages pour faire comprendre le fonds civilisationnel de l’Occident aux musulmans ? Comment donner à aimer la culture française, et, pourquoi pas, proposer la foi chrétienne ?

     

    Pour réfléchir à ces questions essentielles, le colloque mobilisera des intervenants et des témoins, intellectuels, observateurs, acteurs engagés, ex-musulmans et non musulmans.

    Télécharger le dossier de présentation
    (programme détaillé, intervenants, etc.)

    Contact presse : Sonia
    presse@mission-ismerie.com

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    L'énergéticien allemand Siemens Energy annonce une perte de 30%...

    Des problèmes de qualité ont été révélés sur des composants d'éoliennes et les résultats du dernier examen mené seront "bien pires que ce que j'aurais cru possible", déclare Jochen Eickcholt, patron de Siemens Gamesa, la filiale allemande de Siemens Energy (ci-dessous)... 

    https://www.lefigaro.fr/flash-eco/siemens-energy-annonce-une-debacle-dans-l-eolien-et-plonge-en-bourse-20230623

    LA SEULE ÉNERGIE QUI VAILLE EST LE NUCLÉAIRE,

    EN ATTENDANT L'HYDROGÈNE, 

    QUI SERA D'AILLEURS PRODUIT "PROPREMENT"

    PAR... LE NUCLÉAIRE !

     

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    1. Nos ennemis allemands ne prennent même plus de gants pour critiquer l'état (il est vrai calamiteux) des Finances françaises... Lars Feld, ci-dessous, Conseiller du ministre fédéral allemand des Finances Christian Lindner, vient de rompre avec les usages diplomatiques et dénonce la scandaleuse gestion du "Mozart de la Finance"... C'est dans le journal espagnol El País, et l'article est en anglais, mais une fenêtre, en haut à droite, permet la traduction en français... : 

    https://english.elpais.com/economy-and-business/2023-06-20/german-finance-ministers-advisor-in-recent-years-the-commission-has-misinterpreted-the-fiscal-rules.html

     

    2. (Sur TikTok) Dommage que cela ne dure que vingt secondes ! Michel Onfray atomise Lea Salamé : un pur bonheur, trop court, mais réjouissant tout de même !…

    https://twitter.com/charliezemmour/status/1672282622263799811?s=20

     

    3. (Dans Boulevard Voltaire) Ce que cache la série de départs de Valeurs actuelles, par Marc Eynaud : Le départ de Geoffroy Lejeune conclut une longue période de dégradation de ses relations avec le propriétaire de VA... :

    https://www.bvoltaire.fr/ce-que-cache-la-serie-de-departs-de-valeurs-actuelles/?feed_id=28099&_unique_id=6495ed1b477ac

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    4. (Dans France catholique) En Arménie, avec les résistants de la montagne... :

    "Coincés entre les Turcs et les Azéris musulmans, les chrétiens arméniens tiennent, avec la mémoire de la foi et des souffrances de leurs aînés. Reportage signé @fre_pons"
     

     

    5. La France "orange mécanique" à cause du Système... Quelques exemples de "l'explosion de la violence" (le mot est faible !...) dans quelques petites villes du pays. Comme le dit la chanson :

    "Mais à part ça, Madame la Marquise, tout va très bien tout va très bien !..."

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    6. Dans Famille chrétienne : Le diocèse parisien a annoncé le 23 juin le nom des artistes qui réaliseront pour Notre-Dame de Paris le mobilier liturgique, les chaises et le reliquaire de la Couronne d’épines, et dévoilé le dessin du futur autel...

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    6 BIS. Ce futur "mobilier liturgique" (?) de Notre-Dame-de-Paris ? D'accord avec Christian Venard :

    "Archéologisme, conservatisme des années 80, fixisme post conciliaire, les mots m'échappent pour qualifier la pauvreté artistique de tout cela... À l'image d'une pauvre Église de France déliquescente..."
     

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    À DEMAIN !

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  • Au Cinéma : Maison de retraite, par Guilhem de Tarlé

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    À l’affiche : Maison de retraite, un film français de Thomas Gilou, avec Kev Adams (Millan, condamné à 300 h de travaux d’intérêt général), Gérard Depardieu, Daniel Prévost, Mylène Demongeot, Marthe Villalonga, Jean-Luc Bideau, Liliane Rovère, Firmine Richard (les pensionnaires).

    guilhem de tarlé.jpgLundi de Pâques… il y avait du monde dans le hall du complexe CGR de Châteauroux.
    Quand on cria « Maison de retraite », pour inviter les spectateurs à se rendre dans la salle, nous fûmes les seuls, mon épouse et moi, à sortir de la foule... qui ria derrière nous.

    Maison de retraite,  c'est pour les vieux, évidemment.

    A vrai dire, je n'avais aucune illusion sur l'intérêt de cette comédie,  mais le sujet pouvait inspirer mon commentaire.
    L'âge et le financement de la retraite sont l'un des thèmes de ce 2ème tour de campagne présidentielle. Il est d'ailleurs incompréhensible que les retraités votent Macron qui devraient se souvenir de l'attaque et du préjudice qu'ils ont subis dès le début du quinquennat avec la non revalorisation des pensions et la hausse de la CSG.
    Le scandale Orpea aurait dû mettre aussi sur la table le sujet des EHPAD, à commencer par la gestion criminelle de la pandémie, isolant et abandonnant les personnes âgées, sans visites, emprisonnées dans les chambres de leurs maisons de retraite. Aujourd'hui encore, pour aller les voir, il faut un pass sanitaire !
    Enfin cette campagne électorale ne devrait-elle pas, plus généralement, mettre en cause la responsabilité de la classe politique dans le vieillissement de notre société ?  L'immigration que nous subissons est la  conséquence directe de l’inversion de la pyramide des âges dont sont coupables les élites qui nous gouvernent depuis les années 1970. Reconnaissons-le, le seul homme politique à avoir lancé un cri d'alarme sur ce sujet était Michel Debré, durant la campagne présidentielle de 1981, mais l'homme du Courrier de la colère n'était plus audible depuis la trahison gaulliste de l'Algérie française dont il avait été complice.

    Il nous faut, évidemment, aujourd'hui lutter contre les mouroirs, avec les escrocs et les fonds de pension qui veulent se faire du fric sur les vieux,  mais il faut aussi relancer une grande politique familiale et nataliste réservée aux Français.

    Il y a à boire et à manger, et aussi à vomir, dans ce long-métrage qui coche toutes les cases du politiquement correct, de la bien-pensance et de la moraline, avec la diversité des origines et des mœurs « en même temps » que la vulgarité et le vocabulaire crû. Il y a du moins mauvais, du mauvais et du pire dans cette production et j'ai pu, à certains moments, regretter d'y assister ; je note néanmoins l'absence de scènes scabreuses, et certaines sont même touchantes avec une bonne idée à la clef - que je dévoile pour vous éviter le pensum - à savoir la réunion dans une même structure d'une maison de retraite et d'un orphelinat.

    « Dans chaque  vieux, dit l’avocat, il y a un jeune qui se demande ce qui s’est passé ».

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (160), 1915/1916 : les Dardanelles, l'autre Front...

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    On appelle "les Détroits" l'ensemble formé par le Bosphore et les Dardanelles, et faisant communiquer la Méditerranée et la Mer noire.


    Après bien des péripéties, un accord international avait été trouvé et un "statut" des Détroits, avait été avalisé par la Turquie (maîtresse des lieux depuis la prise de Constantinople, en 1453...) : ce statut prévoyait expréssémment que le passage des Détroits était, en temps de paix, interdit à tout navire de guerre non Turc.

    Ce statut était donc en vigueur durant la Première Guerre mondiale : or, "en août 1914, la Turquie, qui n'était pas encore entrée en guerre, autorisa les deux croiseurs allemands Goeben et Breslau à se réfugier dans les eaux des Détroits. En 1915, les Alliés, au cours de l'Expédition des Dardanelles, tentèrent vainement de forcer les Détroits afin de porter secours à leur allié russe. Après la défaite de la Turquie, alliée aux Empires centraux, , le Traité de Sèvres internationalisa les Détroits, qui, placés sous la surveillance d'une "Commission des Détroits", furent ouverts à tous les navires de guerre étrangers...." (Michel Mourre).

    "L'arrivée de deux croiseurs allemands... - poursuit Michel Mourre - et l'entrée en guerre de la Turquie aux côtés des empires centraux (5 novembre 1914) rendaient très difficile la liaison des Alliés avec la Russie. En dehors des Détroits, elle ne pouvait en effet être établie que par le port d'Archangelsk, bloqué par les glaces pendant six mois de l'année, ou par Vladivostok et le Transsibérien, qui était encore à cette époque un chemin de fer à vois unique. Les Russes pressaient en outre les Alliés d'ouvrir contre la Turquie un second front, afin de diminuer la pression turque dans le Caucase. Préconisée par Winston Churchill, premier lord de l'Amirauté, l'expédition des Dardanelles fut décidée à la fin de janvier 1915. Elle commença par l'échec d'une tentative navale (18 mars 1915) qui coûta aux Alliés le cuirassé français Bouvet et les cuirassés anglais Océan et Irrésistible. Après la constitution du corps expéditionnaire (quatre divisions britanniques, une division française), deux débarquement purent être effectués au Sud de la presqu'île de Gallipoli, à Seddülbahr et à Gapa-Tépé (25 avril). La puissance des fortifications ennemies et l'énergie de la résistance turque, animée par le général allemand Liman von Sanders et par Moustafa Kémal, empêchèrent ces deux têtes de pont d'opérer leur jonction; la pénétration alliée ne dépassa jamais cinq kilomètres de profondeur.
    Après la stabilisation du front (juillet 1915), l'entrée en guerre de la Bulgarie contraignit la France à distraire une partie de ses troupes pour les porter au secours de l'armée serbe. A la suite d'une visite de lord Kitchener, l'évacuation fut décidée (novembre) et réalisée en deux étapes (19/20 décembre 1915, front de Gapa-Tépé et de Silva; 7/9 janvier 1916, front de Seddülbahr).
    Engagée avec une préparation insuffisante et des moyens trop faibles, l'expédition des Dardanelles se soldait par un désastre : 213.980 Britanniques et 27.049 Français mis hors de combat.
    Elle eut de fâcheuses répercussions psychologiques : en Angleterre, elle entraîna la démission de Churchill et contribua à la chute du cabinet Asquith (décembre 1916)".

     

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : L'aventure France racontée par les Cartes...

     

    lafautearousseau

  • La suite économique de François Reloujac : Trente ans d’errements

    reloujac.JPGFrançois Reloujac publie, chaque mois, dans Politique Magazine, une chronique économique, particulièrement pertinente et documentée.

    Il émane de ses analyses une vraie réflexion d'ensemble, de laquelle, implicitement, car François Reloujac traite strictement de la situation économique, se dégage ce que pourrait être une politique française, non seulement à l’égard de l’Europe, notamment de l’Euro, mais aussi à l’égard des deux principaux acteurs actuels mondiaux que sont les États-Unis et la Chine.

    Dans un domaine où nous n’excellons pas toujours, François Reloujac et Politique Magazine apportent, ainsi, une utile contribution à l’ensemble des royalistes français.

    Nous consacrons d'ailleurs l'une de nos Pages à La suite économqiue de François Reloujac : vous pouvez y retrouver tous ses articles de l'année en cours et, en PDF, ceux de l'année 2010 et de l'année 2011.

    Archives : 

    2011 LA SUITE ECONOMIQUE DE FRANCOIS RELOUJAC.pdf

    * 2010 LA SUITE ECONOMIQUE DE FRANCOIS RELOUJAC.pdf

    (Chronique parue dans le numéro 112, novembre 2012, de Politique magazine)

     

    Trente ans d’errements 

    Au moment où le débat sur le niveau de l’effort qui sera demandé aux Français s’installe au Parlement, il est bon de s’intéresser aux fondements de la fiscalité nationale, pour examiner à quoi elle sert et la façon dont elle évolue.

     

    Officiellement, dans la France de ce début du xxie siècle, l’impôt a trois raisons d’être : assurer le financement de l’état et des administrations publiques, redistribuer la richesse dans un but de justice sociale et aussi piloter l’économie afin de la rendre performante (sic). Comme dans tous les pays démocratiques, et compte tenu de l’importance de cette fiscalité sur la vie des « habitants » du pays, ce sont les citoyens qui consentent à l’impôt par l’intermédiaire de leurs représentants, c’est-à-dire les membres du Parlement. Si donc la croissance n’est pas au rendez-vous, si le niveau de chômage est élevé et si les inégalités sont flagrantes, c’est que le système fiscal ne répond pas aux attentes que l’on met en lui.

     

    Un impôt qui ruine la souveraineté nationale

    Le but premier de l’impôt est de financer l’état. Mais, tous les gouvernements qui se sont succédés depuis la seconde guerre mondiale n’ont eu de cesse de faire croître comme un cancer les services d’un état qualifié de « providence ». Aujourd’hui, la dépense publique représente plus de 56 % du Produit intérieur brut. Où est-il donc le temps où un président de la République expliquait que lorsque cette dépense publique franchirait la barre des 40 % du PIB, le pays aurait sombré dans le communisme ? Hélas, dans un système où l’on ne peut pas être élu sans faire des promesses plus grandes que celles de ses adversaires, les besoins publics ne peuvent que croître rapidement. Tous les prétextes sont bons ; depuis les obligations de l’état omniprésent jusqu’aux avantages catégoriels consentis aux groupes de pression sur lesquels s’appuient chaque candidat.

    jerome-cahuzac.jpgCette surenchère dans les interventions de l’état conduit à un budget qui, depuis plus de quarante ans, est voté chaque année en déséquilibre. Les dépenses de l’état ne peuvent plus être uniquement couvertes par l’impôt – pourtant déjà très élevé – et le Gouvernement doit continuellement faire appel à l’emprunt. Ceci a deux conséquences majeures : la première est que l’état devient de plus en plus dépendant des « investisseurs » internationaux (en 2012, la moitié de ces « investisseurs » venaient d’Asie et du Moyen-Orient) et des taux d’intérêt qu’ils imposent en s’appuyant sur l’éclairage des agences de notation ; la seconde est que le montant total des intérêts que la France doit rembourser chaque année est devenu le deuxième poste de dépenses publiques par rang d’importance (notons que cette charge d’intérêt est une composante du PIB que l’on cherche à faire croître car ce PIB est la somme des valeurs ajoutées par les entreprises et des « coûts de production » des administrations). Politiquement, cette surenchère électoraliste est ainsi en partie responsable de la perte de souveraineté actuelle de la France.

     

    Une redistribution qui ne reconnaît pas la citoyenneté

    La redistribution a officiellement un but égalitaire. Dès lors, elle cherche à confisquer toujours plus les biens de ceux qui réussissent pour donner aux malchanceux. Cela a trois effets complémentaires : d’abord, cela décourage ceux qui seraient les plus aptes à entraîner les autres et à créer de véritables richesses (pas simplement une richesse apparente, purement financière, qui n’est que le faux-nez d’une inflation qui finira bien par éclater) ; ensuite, cela les empêche d’utiliser leur argent pour des dépenses de luxe, grosses pourvoyeuses d’emplois ou pour de simples dons ; enfin, cela pousse les classes les moins aisées à gaspiller et, comme si cela ne suffisait pas, on les encourage à s’endetter. Tout le monde est ainsi encouragé à adopter un même mode de consommation, ce qui conduit à faire passer la qualité après le prix de vente des produits aux consommateurs. Or, les produits peu coûteux viennent souvent de pays où la protection sociale est inexistante et où les normes de production sont peu exigeantes ; dès lors, ces mauvais produits qui chassent les bons, nuisent à la production nationale.

    De plus, cette redistribution – non-discrimination oblige – est essentiellement tournée vers les populations les plus défavorisées, y compris les étrangers en situation irrégulière, ce qui ne favorise pas l’intégration et va même jusqu’à porter atteinte à la notion de citoyenneté.

     

    Trop d’impôt tue l’emploi

    En vertu des accords de libre-échange négociés dans le cadre de l’OMC ou imposés par l’Union européenne, le pays n’est plus maître du niveau de la pression fiscale sur ceux qui sont assez puissants (les entreprises multinationales) ou assez riches (notamment les vedettes du spectacle) pour se délocaliser. Les normes comp-tables internationales favorisent d’ailleurs cet état de fait. Le gouvernement ne peut donc plus agir que sur la pression fiscale qui est imposée à ceux qui ne peuvent pas partir.

    moscovici.jpgPour fixer cette pression fiscale, les Pouvoirs publics ne s’appuient plus sur un véritable projet économique, mais uniquement sur des statistiques et des chiffres comptables. Cela peut conduire à des aberrations dont l’une des dernières en date est la décision de l’actuel gouvernement de défaire la meilleure idée mise en pratique par le précédent : le statut d’auto-entrepreneur. Sous prétexte que le manque à gagner pour l’état atteindrait aujourd’hui quelques centaines de millions, on veut aligner le régime des auto-entrepreneurs sur les autres, c’est-à-dire leur imposer de payer impôts et autres charges sociales avant même de commencer à gagner de l’argent. Résultat : on les décourage de travailler. Comme aucune mesure fiscale n’est jamais neutre et qu’aucune décision ne débouche sur un résultat qui serait « toutes choses égales par ailleurs », le prétendu manque à gagner actuel ne rentrera pas dans les caisses publiques, mais le nombre de chômeurs qui auront recours aux aides étatiques va augmenter. Et le manque à gagner va se transformer en dépenses supplémentaires. L’impôt ne tue pas seulement l’impôt, il tue aussi le travail et l’emploi.

    En réalité, la fiscalité française est désormais une fiscalité à deux vitesses : douce pour les apatrides (grosses entreprises, fonds de pension et spéculateurs financiers), au nom du libéralisme financier ; lourde, voire confiscatoire, pour les particuliers et les PME, au nom d’une conception socialisante et étatisée de la solidarité.

     

    Des Parlementaires stipendiés

    Les parlementaires sont censés consentir à l’impôt au nom du peuple qu’ils représentent. Mais les parlementaires actuels ne sont pas de vrais représentants du peuple. Ce sont de simples professionnels du discours, choisis par les partis, et qui ne se sont jamais heurtés aux difficultés du peuple qu’ils sont censés représenter. La politique est devenue pour eux un métier. Comme ils sont choisis dans une caste essentiellement issue de la fonction publique, leur origine sociologique n’est en rien à l’image du pays. Ils décident de choses qu’ils ne connaissent pas et n’ont pas à supporter les conséquences de leurs décisions. Il ne faut donc pas s’étonner si leur consentement n’est pas convenablement éclairé.

    Il faut ajouter que, pour être élus, ils doivent avoir le soutien d’un parti dit « de gouvernement », dont le vainqueur a aussi le droit de désigner le chef de l’exécutif. Ainsi, ceux qui sont censés consentir à l’impôt au nom du peuple ne connaissent pas ledit peuple mais sont les obligés du Gouvernement qui sollicite leur consentement. Autant dire qu’à part quelques modifications de façade, ils ne s’opposeront jamais aux décisions de l’exécutif. Il est loin le temps où les Parlements de Bretagne ou de Provence pouvaient décider de refuser de voter les subsides demandés par un roi au pouvoir absolu !

  • Il faut supprimer l'ENA....

              Il faut supprimer l'ENA, mais la supprimer vraiment: et non pas, comme le propose curieusement François Bayrou, la remplacer par une École des Services Publics: celle ci deviendrait en effet, très vite, une nouvelle Ena, dont seul le nom aurait changé; c'est seulement par sa dissolution, si on supprime le mal à la racine, en tirant les leçons de l'évolution négative de cette institution, que l'on effacera cette erreur qu'a été la création de cette École; et que l'on évitera à l'avenir la reproduction à l'infini des mêmes "dysfonctionnements" (comme on dit dans le langage abscons des jargonautes....pour éviter de dire que c'est une pétaudière!). Car, dans les faits, de quoi s'agit-il? Il est exact que l'État a besoin de grands commis, de serviteurs zélés et de fonctionnaires compétents et formés; et l'on peut admettre la bonne foi qui a présidé à la création d'une école pour former et préparer ces serviteurs dont l'État a besoin;

              Mais le moins que l'on puisse dire est que cette École a rencontré au moins deux obstacles majeurs, qui l'ont conduit à ses dérives actuelles: le premier de ces obstacles est que, notre système étant dominé, sur-investi par les partis, ou du moins ceux-ci ayant une influence excessive dans l'Administration, du fait de la faiblesse de l'État, il était fatal que les appareils des partis investissent et colonisent cette École; et celle ci, insensiblement mais irrésistiblement, est devenue au fil des ans autant tournée vers le service des partis qui l'investissaient ( version douce du "clientélisme", en quelque sorte...) que vers le service exclusif des seuls intérêts de l'État...

              Lorsqu'il n'y a pas d'Arbitre indiscuté, de Pouvoir vraiment indépendant, l'impartialité et le service exclusif du Bien Commun sont une ligne de conduite trop difficile à tenir...Le deuxième obstacle auquel s'est heurté l'ENA est plus grave encore; formés en vase clos, ayant des contacts insuffisants avec les "vrais gens", la "vraie vie", les énarques sont de brillantes intelligences et ont de grandes compétences; mais ils souffrent d'un déséquilibre structurel -pourrait-on dire- de leur formation, et ce déséquilibre ne peut que se répercuter sur leurs actions et leurs décisions; et c'est là que le bât blesse: la part du contact avec les réalités est trop faible, dans l'ensemble de leur formation, par rapport  à la part de formation théorique, abstraite, purement intellectuelle...

              Si l'État a besoin, et il en a besoin, de former ses serviteurs, la meilleure façon de procéder est de leur donner la formation générale dont ils ont besoin, mais de leur faire passer le plus clair de leur temps dans des stages pratiques, à l'intérieur des Ministères dont ils relèveront plus tard: sinon, ils ressembleront -toutes proportions gardées- à ces Inspecteurs de l'Éducation Nationale, qui n'enseignent plus depuis des années (voire des dizaines d'années...) et qui débarquent un beau jour dans un Lycée pour dire au Professeur qui, lui, est au contact quotidien des élèves, ce qu'il faut faire, ou ne pas faire...

              A celles et ceux qui ne trouveraient pas pertinente cette comparaison, qu'il nous soit permis de poser cette simple question: comment se fait-il -même s'ils n'en sont pas les seuls responsables- que ce soit maintenant, depuis que tous nos Ministères sont truffés de ces brillantissimes intelligences, que la France cumule une Dette ahurissante de 2000 milliards d'euros, c'est à dire pas très loin de 14.000 milliards de francs, soit un million quatre cent mille milliards (en centimes de francs...): cherchez l'erreur!

  • Il y va fort Robert Ménard avec la République !

     
    C'était - aussi - le 11 mars 2015 et cela faisait pendant aux vociférations républicaines de Valls à l'Assemblée. Les propos de Robert Ménard [parus dans Boulevard Voltaire] en étaient une critique indirecte assez radicale. Après que nous les ayons repris, il eût la gentillesse de poster dans Lafautearousseau ce simple commentaire : « Vive la liberté de penser ! » Et de penser juste ...
     
    On a comme l'impression que plus on l'invoque, à longueur de discours, de phrases, d'éditoriaux, de professions de foi, plus il y a d'esprits, d'intellectuels, ou d'hommes d'action, pour critiquer, relativiser, moquer la République et ses valeurs auto-satisfaites ... De droite ou de gauche. De Robert Ménard à Denis Tillinac ou à Michel Houellebecq qui n'est pas précisément un homme de droite. Qui est, très probablement de quelque part ailleurs, de beaucoup plus important et de beaucoup plus profond. Sans-doute, la monarchie royale que nous prônons ici, n'est pas en vue, du moins pour demain, du moins à vue humaine. L'épuisement du Système, lui, est en vue ... Il convient d'y réfléchir. Que sera le futur nouveau régime nécessaire à la France ? Il est temps d'y penser ! Lafautearousau   
     
     
    1304377088.jpg

    Il fut un temps lointain où les politiques lisaient les philosophes, et un temps encore plus reculé où ils les comprenaient. Dans une époque où on lit peu et où ne pas comprendre est encore la meilleure façon de se protéger de la réalité, il n’est plus extravagant de voir un Premier ministre monter en chaire médiatique pour sermonner un philosophe.

     

    Le crime de Michel Onfray est d’une gravité extrême. D’abord parce qu’il s’agit d’un crime contre la République. De cette République qui n’en finit plus de pourrir sur pied comme une récolte dont nul ne veut plus. En Ve République, l’intelligence est bannie de la cité. Nul ne doit lui donner eau et pain. Même l’évidence est jetée du haut des remparts avec les ordures et les cadavres. Préférer une idée juste à une idée fausse n’est pas une erreur, mais un péché, un mal. Tous les docteurs en républicanisme le savent : on reconnaît une idée juste au fait qu’elle est professée par un savant de gauche. On reconnaît une idée fausse quand c’est un énergumène de droite qui cause.

     

    Michel Onfray a eu la tranquille audace de dire préférer une idée juste d’Alain de Benoist à une idée fausse de Bernard-Henri Lévy. Il aurait pu, cruel, ajouter qu’Alain de Benoist n’a jamais fait bombarder la Libye ni pousser à la guerre en Ukraine… Émoi et vitupération du Premier ministre. L’œil noir du corbeau tournoyant sur les charniers médiatiques. Et pourtant…

     

    Hormis d’être de « droite », même si, sur le tard, il s’en défend, Alain de Benoist porte surtout la tare d’avoir mené, en dehors du tohu-bohu soixante-huitard, une œuvre puissante et immense. Mais pour le condamner, encore faudrait-il l’avoir un peu lu. Encore faudrait-il avoir le goût de la pensée, de l’analyse, de la confrontation, du débat. Régis Debray, intellectuel de gauche, l’a compris qui a su parler avec Alain de Benoist.

     

    Michel Onfray a raison sur un autre point : ce mince épisode médiatique pose la question de la gauche politique. Celle-ci a coupé ses liens avec sa matrice métapolitique. Pour des raisons différentes, mais dans un même but, il en était allé de même pour la droite dans les années soixante.

     

    Alors, s’il n’y a plus de gauche, s’il n’y a plus de droite, et s’il y a de moins en moins de République, que reste-t-il à leurs orphelins ? La liberté, le courage et le devoir. Quand un cycle s’achève, l’année zéro approche. Et, durant ce compte à rebours, il n’est pas interdit – encore ! – de penser que la lecture de Michel Onfray ou d’Alain de Benoist est d’une urgente nécessité.   

     

    Robert Ménard 

    Maire de Béziers

    Ancien journaliste, fondateur de Reporters sans frontières et de Boulevard Voltaire

     

  • Il y va fort Robert Ménard avec la République !

     
    On a comme l'impression que plus on l'invoque, à longueur de discours, de phrases, d'éditoriaux, de professions de foi, plus il y a d'esprits, d'intellectuels, ou d'hommes d'action, pour critiquer, relativiser, moquer la République et ses valeurs auto-satisfaites ... De droite ou de gauche. De Robert Ménard à Denis Tillinac ou à Michel Houellebecq qui n'est pas précisément un homme de droite. Qui est, très probablement de quelque part ailleurs, de beaucoup plus important et de beaucoup plus profond. Sans-doute, la monarchie royale que nous prônons ici, n'est pas en vue, du moins pour demain, du moins à vue humaine. L'épuisement du Système, lui, est en vue ... Il convient d'y réfléchir. Que sera le futur nouveau régime nécessaire à la France ? Il est temps d'y penser ! Lafautearousau   
     
     
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    Il fut un temps lointain où les politiques lisaient les philosophes, et un temps encore plus reculé où ils les comprenaient. Dans une époque où on lit peu et où ne pas comprendre est encore la meilleure façon de se protéger de la réalité, il n’est plus extravagant de voir un Premier ministre monter en chaire médiatique pour sermonner un philosophe.

     

    Le crime de Michel Onfray est d’une gravité extrême. D’abord parce qu’il s’agit d’un crime contre la République. De cette République qui n’en finit plus de pourrir sur pied comme une récolte dont nul ne veut plus. En Ve République, l’intelligence est bannie de la cité. Nul ne doit lui donner eau et pain. Même l’évidence est jetée du haut des remparts avec les ordures et les cadavres. Préférer une idée juste à une idée fausse n’est pas une erreur, mais un péché, un mal. Tous les docteurs en républicanisme le savent : on reconnaît une idée juste au fait qu’elle est professée par un savant de gauche. On reconnaît une idée fausse quand c’est un énergumène de droite qui cause.

     

    Michel Onfray a eu la tranquille audace de dire préférer une idée juste d’Alain de Benoist à une idée fausse de Bernard-Henri Lévy. Il aurait pu, cruel, ajouter qu’Alain de Benoist n’a jamais fait bombarder la Libye ni pousser à la guerre en Ukraine… Émoi et vitupération du Premier ministre. L’œil noir du corbeau tournoyant sur les charniers médiatiques. Et pourtant…

     

    Hormis d’être de « droite », même si, sur le tard, il s’en défend, Alain de Benoist porte surtout la tare d’avoir mené, en dehors du tohu-bohu soixante-huitard, une œuvre puissante et immense. Mais pour le condamner, encore faudrait-il l’avoir un peu lu. Encore faudrait-il avoir le goût de la pensée, de l’analyse, de la confrontation, du débat. Régis Debray, intellectuel de gauche, l’a compris qui a su parler avec Alain de Benoist.

     

    Michel Onfray a raison sur un autre point : ce mince épisode médiatique pose la question de la gauche politique. Celle-ci a coupé ses liens avec sa matrice métapolitique. Pour des raisons différentes, mais dans un même but, il en était allé de même pour la droite dans les années soixante.

     

    Alors, s’il n’y a plus de gauche, s’il n’y a plus de droite, et s’il y a de moins en moins de République, que reste-t-il à leurs orphelins ? La liberté, le courage et le devoir. Quand un cycle s’achève, l’année zéro approche. Et, durant ce compte à rebours, il n’est pas interdit – encore ! – de penser que la lecture de Michel Onfray ou d’Alain de Benoist est d’une urgente nécessité.   

     

    Robert Ménard 

    Maire de Béziers

    Ancien journaliste, fondateur de Reporters sans frontières et de Boulevard Voltaire

     

     

  • Un référendum sur le retour de la monarchie, en Roumanie, courant 2016 ?

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    Dans un certain nombre de pays d'Europe, la situation des régimes en place est si dégradée - c'est évidemment le cas du nôtre - qu'une plus ou moins large partie des peuples se prennent à souhaiter un autre régime ou - c'est le cas de la Hongrie - à se doter d'institutions politiques non conformes à la doxa européenne.   

    La Roumanie, actuellement en pleine campagne présidentielle, pourrait organiser d'ici 2016 un référendum sur le retour de la monarchie. En effet, le Premier ministre Roumain (actuel candidat social-démocrate au poste de Président), Monsieur Victor Ponta, a promis durant la campagne d’organiser un référendum sur la forme de gouvernement du pays s’il était élu président : « Je crois que, dans les années à venir, en Roumanie, nous devrons non seulement avoir un débat public mais nous devrons également prendre une décision, par voie de référendum, sur la forme du gouvernement. », puis il ajouta « Nous devrions avoir un tel référendum sur la forme du gouvernement durant mon mandat, peut-être même d’ici 2016 ». Monsieur Victor Ponta a également déclaré qu’il démissionnerait si jamais les Roumains votaient en faveur de la Monarchie.

    Son principal adversaire, le candidat de la droite Klaus Johannis, est connu également pour ses sympathies monarchistes envers l'ancien Roi de Roumanie et a publiquement adressé une lettre au Roi Michel pour ses 93 ans, il s'est aussi fait  remarquer par sa façon de s'adresser au Roi comme si celui-ci était encore sur le trône. 

    Sa Majesté le Roi Michel Ier, roi actuellement sans trône, a déjà été roi de Roumanie du 20 juillet 1927 au 8 juin 1930 et du 6 septembre 1940 jusqu'à sa déposition le 30 décembre 1947. Il fut autorisé à retourner dans son pays natal seulement en 1997. Depuis 1997, le Roi Michel Ier et sa famille ont préféré se rapprocher du gouvernement roumain. L'ancien Roi a pris en charge quelques actions quasi-diplomatiques : par exemple, en 1997, il fit le tour des pays européens pour promouvoir l'admission de la Roumanie dans l'OTAN et dans l'Union européenne, et fut reçu officiellement par les représentants des gouvernements. Son épouse et ses filles ont organisé et financé des fondations humanitaires. En retour, le gouvernement leur a rétrocédé une partie des anciennes propriétés royales (châteaux de Săvârșin et de Peleș). Le Roi Michel Ier pense que la restauration de la monarchie en Roumanie ne peut se faire qu'en accord avec le peuple roumain, et a mis ses espoirs de démocratisation et de retour à la prospérité de son pays, dans l'intégration de la Roumanie dans l'Union européenne, accomplie en 2007. 

    Jusqu'à présent, la république paraît avoir toujours été la forme préférée de gouvernement dans le pays, mais, plus tôt cette année, un sondage a révélé que 45% des Roumains ont une « très bonne » opinion du Roi Michel. Un sondage similaire en 2013 indiquait que 30% des gens voteraient pour un retour de la monarchie, montrant par là une forte croissance dans le soutien à la monarchie. Pourquoi un peuple européen aimerait retourner en Monarchie ... question à poser, affaire à suivre.  ♦

     

    Source : Libération , La Couronne 

  • Société • Abomination consumériste et linguistique du « Black Friday ». Résistance et boycottage par Camif.fr

     

    Par Marc Rousset 

     

    3890715347.jpgEn 1929, le monde entier avait connu l’abomination du « Black Thursday » (le jeudi noir) à Wall Street, où les actions avaient dévissé de 22 %. Depuis quelques années, après déjà avoir connu l’introduction plutôt ratée, en provenance d’Amérique, des fêtes d’« Halloween », vieille tradition ancestrale indo-européenne, par les grandes surfaces commerciales, afin de faire consommer les Européens avant Noël, ces derniers assistent médusés à la nouvelle tentative d’introduction d’une fête exclusivement commerciale , le « Black Friday » (vendredi noir), toujours en provenance d’Amérique, pour des raisons exclusivement commerciales n’ayant absolument rien à voir avec nos racines culturelles et nos traditions.

    Le « Black Friday » a été importé des États-Unis en 2010 par Amazon et Apple, un événement promotionnel qui a lieu aux États-Unis, au lendemain du « Thanksgiving », fête traditionnelle exclusivement américaine pour remercier les Indiens d’Amérique qui ont sauvé les premiers immigrants anglais du Mayflower menacés de famine, avant que les descendants de ces derniers et les nouveaux arrivants, contrairement aux colons de la Nouvelle France, les exterminent en guise de remerciements.

    Les commerçants de l’électronique, afin de pousser les consommateurs à anticiper les achats de Noël, se sont engouffrés dans la brèche d’Amazon et d’Apple. Les rabais proposés en France par les enseignes commerciales sont limités (de l’ordre de 20 à 30 %) car, contrairement à la version américaine, la vente à perte est réservée aux seules périodes de soldes officiels.

    Les Européens ont une seule fête véritable avant Noël qui s’appelle la Toussaint, pour honorer nos morts, se recueillir dans le silence du souvenir, acheter quelques cierges et des chrysanthèmes, ce qui n’a rien à voir avec tous ces gadgets et déguisements, masques en plastique d’Halloween, tous ces produits gaspillés sur l’autel de la consommation où le supermarché devient notre nouvelle église du dimanche et où la seule religion célébrée est celle de la consommation futile, stupide, crétine, exubérante, bruyante, hédoniste. 

    Le phénomène « Black Friday » se développe actuellement dans toute l’Europe, le seul peuple qui résiste étant les Espagnols. En France, Emery Jacquillat, le directeur du site Camif.fr, a sauvé l’honneur. IL a fermé son site le vendredi 24 novembre 2017 en guise de protestation et a seulement affiché les raisons pour lesquelles il s’opposait à la crétinerie ambiante.

    Camif.fr proteste contre la surconsommation stupide que n’ont jamais vraiment combattue les soixante-huitards et leurs rejetons gauchistes « écolos » uniquement préoccupés par le très discutable réchauffement climatique et l’hostilité stupide au nucléaire. Il nous rappelle qu’un ménage français engloutit, chaque année, trente-quatre tonnes de matières premières, une piscine olympique pour l’eau, quatre terrains de football de terres et émet, à lui seul, quinze tonnes de dioxyde de carbone (CO2).

    Que les Ricains se gardent leur « Black Truc Chouète » ! Parlons français, consommons français, restons des Français européens et fêtons en français les seules fêtes bien de chez nous ! Assez de cette colonisation rampante par la langue et par la surconsommation matérialiste stupide qui fait des Européens des « Euro-Ricains » dévirilisés et décérébrés incapables de se défendre ! Boycottons « Halloween » et « Black Friday » ! Protestons par la grève des achats !   

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    Économiste

    Ancien haut dirigeant d'entreprise

  • Tensions en Méditerranée : que se passe-t-il entre la Grèce, la Turquie et la France ?, par Michaël Bloch.

    Des navires turcs le 10 août en Méditerranée. (Reuters)

    Source : https://www.lejdd.fr/

    La Turquie a déployé lundi en Méditerranée un navire de recherche sismique, escorté par des bâtiments militaires. Une initiative qui a relancé les tensions dans une zone disputée et riche en gisements gaziers et qui a provoqué une réaction de la France.

    4.jpgCe que l'on sait : La situation tendue depuis des semaines entre la Grèce et la Turquie s'est détériorée lundi après le déploiement par Ankara d'un navire de recherche sismique, escorté par des bâtiments militaires, dans le sud-est de la mer Egée, une zone de la Méditerranée disputée et riche en gisements gaziers. Les navires de recherche sismique ont pour mission de repérer d'éventuels gisements sous-marins. Selon la Grèce, les bâtiments turcs se trouvaient mercredi à 60 milles marins au sud de l'île grecque de Kastellorizo, soit sur le plateau continental grec, ce qui constitue une "violation" des frontières maritimes.

    Pourquoi cette montée de tensions entre la Grèce et la Turquie? La découverte ces dernières années de vastes gisements gaziers en Méditerranée orientale a aiguisé l'appétit des pays riverains et renforcé les tensions entre la Turquie et la Grèce, aux relations régulièrement ponctuées de crises. Les tensions actuelles sont en grande partie dues à un différend entre les deux pays membres de l'Otan concernant les délimitations de leurs frontières maritimes.

    La Grèce accuse la Turquie de violer son territoire en effectuant des recherches énergétiques au sud de l'île grecque de Kastellorizo, mais la Turquie refuse d'admettre que ce petit territoire situé près de ses côtes limite son champ d'action. Les relations entre la Turquie et la Grèce sont mauvaises depuis de nombreuses années. Ankara et Athènes ont notamment un différend territorial concernant Chypre. Depuis 1974, l'île est coupée en deux entre la partie nord, sous domination turque et la partie sud, greco-chypriote.

    La Turquie cherche également à agrandir sa zone d'influence en Méditerranée face à des voisins qui se sont alliés en janvier 2020 dans la construction d'un gazoduc devant à terme transporter entre 9 milliards et 11 milliards de mètres cubes de gaz naturel par an depuis les réserves offshore au large de Chypre et d’Israël vers la Grèce, puis vers le reste de l’Union européenne. "La Turquie se sent encerclée par la Grèce, Israël et l'Egypte", résume l'ancien ambassadeur Michel Duclos dans La Croix. La Turquie a toutefois un atout dans son jeu : l’accord migratoire UE-Turquie de 2016 qui permet à Ankara de disposer d’un moyen de pression de poids pour plaider sa cause auprès de l'Union européenne.

    Pourquoi la France intervient aussi? Face aux manoeuvres de la Turquie, la France a temporairement renforcé sa présence militaire en Méditerranée orientale avec le déploiement de deux avions et deux navires de guerre. "Cette présence militaire a pour but de renforcer l'appréciation autonome de la situation et d'affirmer l'attachement de la France à la libre circulation, à la sécurité de la navigation maritime en Méditerranée et au respect du droit international", a indiqué jeudi le ministère des Armées. "En Méditerranée orientale, après avoir établi un rapport de forces, l’urgence est d’établir un dialogue entre la Turquie et les autres puissances concernées par ses agissements. La parole doit être maintenant aux diplomates", décrypte l'ancien ambassadeur Gérard Araud.

    Depuis plusieurs mois, les tensions sont vives entre la France et la Turquie, en particulier sur les dossiers libyens et syriens. Jeudi, Recep Tayyip Erdogan s'en est d'ailleurs de nouveau pris jeudi à Emmanuel Macron. il l'a accusé de visées "coloniales" au Liban et qualifié sa récente visite à Beyrouth de "spectacle". Le président turc s'en est aussi pris sans le nommer à un "pays qui n'a pas de littoral en Méditerranée orientale", le sommant de "ne pas se croire plus grand qu'il ne l'est". "Je remercie le Président Macron pour sa solidarité. Emmanuel Macron est un vrai ami de la Grèce mais aussi un fervent défenseur des valeurs européennes et du droit international", a, pour sa part, affirmé le Premier ministre grec, Kyriákos Mitsotákis.