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  • Bordeaux 31 mars : Conférence de Jean-Marie Le Méné sur le transhumanisme... C'est ce soir !

    Invitation

    Jean-Marie Le Méné

    président de la fondation Jérôme Lejeune

    Enjeux et dangers du transhumanisme  

    jeudi 31 Mars 2016 à 20h30 précises

    BORDEAUX Athénée municipal

    Place saint-Christoly

    Entrée libre

    La chosification du corps humain par un État qui se prend pour Dieu s'aggrave de façon terrifiante. Les dérives de la bioéthique et du transhumanisme ne sont pas seulement un problème d'ordre privé. Nous sommes là en présence d'un problème politique. Certains observateurs s'en inquiètent, comme le philosophe Fabrice Hadjadj ou le président de la fondation Lejeune, Jean-Marie Le Méné. Celui-ci vient de publier : « Les premières victimes du transhumanisme » aux éditions Pierre-Guillaume de Roux. Il sera à Bordeaux le 31 Mars. Nous vous invitons à venir l'écouter et à diffuser cette information autour de vous. Merci. B. Pascaud (Rencontres d'Amitiés françaises)

  • Vidéo-entretien - Jean Sévillia : « Le 16 octobre 1793 Marie-Antoinette était décapitée … »

     

    Elle était haïe, elle est devenue une icône.

     

    1dd0ad5cb1fc3695880af1725477b22e.jpgJean Sévillia raconte la fin édifiante de Marie-Antoinette. Il la l'évoquée, le jour anniversaire de sa mort, pour Boulevard Voltaire.

    Les lecteurs de Lafautearousseau l'écouteront avec intérêt.

    Entretien filmé avec Jean Sévillia par Charlotte d’Ornellas. •

     

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    Les derniers jours des reines

     

  • Famille de France • Le comte de Paris a honoré la mémoire de la reine Marie Antoinette et de son frère le prince Franço

    Saint Germain l’Auxerrois

    Jeudi 15 octobre, veille du 222e anniversaire de la mort sur l’échafaud  de la reine Marie-Antoinette, le Comte et la Comtesse de Paris ont assisté à la messe célébrée en mémoire de la souveraine guillotinée, en l’église Saint Germain l’Auxerrois à Paris, paroisse traditionnelle des Rois de France.

    Dans son homélie le prêtre a rappelé que la reine Marie-Antoinette est venue régulièrement se recueillir dans cette église lorsqu’elle demeurait aux Tuileries avec Louis XVI après leur départ de Versailles. A l’issue de la cérémonie religieuse les princes ont tenu à saluer chaque participant avec chaleur et grande simplicité. 

    Hommage du Comte de Paris au prince François d'Orléans 

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     Le 11 octobre dernier, le Comte de Paris avait rendu hommage à son frère le prince François, duc d’Orléans, mort il y a 55 ans en Algérie. Nous reproduisons ci-dessous le texte - qui nous a paru simplement beau  - lu par le Prince en la Chapelle Notre Dame de la Compassion (Porte des Ternes).

    « Aujourd’hui nous célébrons le 55° anniversaire de la mort du Sous- Lieutenant François d’Orléans, mort pour la France. Nous étions trois frères à nous être engagés volontairement pour l’Algérie, comme tant d’autres Français, pour ce que l’on appelait pudiquement une pacification, alors que nous savions bien que c’était la guerre avec toutes ses horreurs. Mais nous étions jeunes, nous nous pensions immortels. Nous y avons connu l’amitié, la souffrance et pour certains la peur face au spectre de la mort ! nous étions responsables de la vie ou de la mort de notre peloton, de nos hommes, nous les aimions et ils nous le rendaient bien…

    Ce 11 octobre 1960, à mon bureau du SGDN, tôt le matin, je fus convoqué par le Ministre de la Défense. Il m’annonça le décès de François lors d’un affrontement avec des fellagas. Quelques instants après je téléphonais à mes parents qui se trouvaient au Portugal, ce fut bref mais dramatique. Un avion m’attendait à Villacoublay pour me rendre en Algérie, puis un hélicoptère afin de rejoindre le cantonnement du 7° Bataillon de Chasseurs Alpins en Grande Kabylie; ce Bataillon fut créé par notre ancêtre Ferdinand Philippe d’Orléans, Prince Royal, fils du Roi Louis-Philippe. Ma soeur la Princesse Hélène de France en fut longtemps la marraine. Je tenais à me rendre sur place, connaissant par expérience les horreurs de cette guerre sauvage et implacable. L’hélicoptère me déposa en plein « djebel », près de l’endroit où il fut frappé… alors on me raconta…  

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    François avait presque fini son temps légal. Certains me dirent qu’il voulait rempiler pour trois autres années. Le Commandant du 7° BCA désirait le prendre à ses côtés dans un poste administratif. Mon frère avait déjà fait ses adieux à son peloton, lorsqu’il apprend qu’une bande de fellagas avait été localisée dans le secteur et que son peloton devait participer à l’affrontement. Il supplia le Commandant de pouvoir, une dernière fois, accompagner ses hommes. Au cours de l’accrochage, un de ses harkis est blessé. Il se précipite pour lui porter secours. Il est lui-même frappé par deux décharges de chevrotines. Son peloton met en fuite l’adversaire pour le secourir… et… ses derniers mots furent : « comment va le blessé ? »

    Le 7° BCA avait érigé une chapelle ardente pour le veiller sous une grande tente de l’Armée. Il était là, couché sur un lit de campagne, beau et calme. Il avait accompli son devoir de Prince de France, son devoir de Français. On allait le déposer dans son cercueil qui resterait ouvert, car ses adversaires l’avaient respecté. Mes Parents purent le voir dans la cour de l’hôpital de Bab El Oued à Alger. Et lorsque le cercueil traversa lentement Bab El Oued, tous les You-You des Femmes l’accompagnèrent longtemps, en signe de respect. Il fut décoré de la Légion d’Honneur à Dreux par le Général de Gaulle.

    Saint Michel Archange protecteur de la France, parrain des Parachutistes, défends nous dans le combat afin que nous ne périssions pas au jour terrible du jugement. La mer fut agitée et la terre trembla là où l’Archange Saint Michel descendit du ciel. Alléluia. Amen. »  •

    Texte dit par son frère aîné, Henri Comte de Paris en la Chapelle Notre Dame de la Compassion (Porte des Ternes) 11 octobre 2015

    Sources : Noblesse et Royautés & Le Blog du Comte de Paris 

     

  • Grenoble : conférence de Jean-Marie Le Méné au Centre Lesdiguières, ce soir, lundi 13 juin ...

     

    La chosification du corps humain par un État qui se prend pour Dieu s'aggrave de façon terrifiante.

    L’humanisme classique protégeait les plus faibles ; il est désormais remplacé par le transhumanisme. Le transhumanisme consiste en la volonté de faire advenir un homme « augmenté » ce qui ne laisse pas grand espoir à cet homme « diminué » que nous sommes tous plus ou moins. Ce n’est pas la maladie qui est traquée mais le malade, et l’un des premiers outils c’est l’eugénisme qui, par le dépistage anténatal et l’avortement, est censé nous débarrasser des êtres « imparfaits » avant la naissance. Dans cette perspective, le ventre des femmes est devenu un marché très rentable. 

    CONTACT

    Centre Lesdiguières -  Le Buissert  38340 Pommiers-la-Placette

    centrelesdiguieres@laposte.net

  • Paris, ce soir ... Conférence du général (2s) Jean-Marie Faugère : « Sécurité et défense »

     

    Les mardis de Politique magazine

    Conférence le mardi 11 octobre 2016

    Sécurité et défense
    dans la France d’aujourd’hui

    par Jean-Marie Faugère
    général (2s), ancien inspecteur général des armées

    Rendez-vous à partir de 19h00 - Conférence à 19h30 précises
    Participation aux frais : 10 euros -  Etudiants et chômeurs : 5 euros

    Salle Messiaen
    3, rue de la Trinité  75009 Paris  Métro: La Trinité, Saint-Lazare

    Renseignements :  Politique magazine, 1, rue de Courcelles, 75008 Paris

    Tél. 01 42 57 43 22

  • Messes à la mémoire de la reine Marie-Antoinette, guillotinée le 16 octobre 1793

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    =  Lyon : samedi 11 Octobre, 10h30, Eglise Saint Georges, Quai Fulchiron (5ème).

    =  Nîmes : jeudi 16 octobre, 19H00, Chapelle Sainte Eugénie.

    =  Grenoble : jeudi 16 octobre, à 18h, Collégiale Sint André. 

     

    Nous annoncerons de même les messes qui nous seront signalées. u

     

  • Comment en est-on arrivé là, en relisant Marie Madeleine Martin..., par Frédéric Poretti-Winkler.

    3834054413.54.jpgLe remplacement des organisations naturelles et des corps intermédiaires, que la coutume et les traditions, l’usage et les habitudes avaient légitimés, par des structures artificielles, d’une nouvelle légalité républicaine, transformeront lentement les structures du peuple français…
    La mise en place des partis, dont les membres sont : « reliés seulement par la fidélité à des idéologies» ont perturbés profondément les structures de la société française, jusque-là fondé sur le réel. « La psychologie même de notre peuple en a été transformée… »Cette « maladie démocratique du pouvoir mis aux mains du nombre, se résumait par la division des Français en groupements antinaturels, gouvernés souvent par des puis¬sances occultes »

    frédéric winkler.jpg« Si l’on se représente, tout un peuple s’occupant de politique, et depuis le premier jusqu’au dernier, depuis le plus éclairé jusqu’au plus ignorant, depuis le plus inté¬ressé au maintien de l’état de choses actuel jusqu’au plus intéressé à son renversement, possédé de la manie de discuter les affaires publiques et de mettre la main au gouvernement ; si l’on observe les effets que cette maladie produit dans l’existence de milliers d’êtres humains ; si l’on calcule le trouble qu’elle apporte dans chaque vie, les idées fausses qu’elle met dans une foule d’esprits, les sentiments pervers et les passions haineuses qu’elle met dans une foule d’âmes ; si l’on compte le temps enlevé au travail, les discussions, les pertes de force, la ruine des amitiés ou la création d’amitiés factices et d’affections qui ne sont que haineuses, les délations, la destruction de la loyauté, de la sécurité, de la politesse même, l’introduction du mauvais goût dans le langage, dans le style, dans l’art, la division irrémédiable de la société, la défiance, l’indiscipline, l’énervement et la faiblesse d’un peuple, les défaites qui en sont l’inévitable conséquence, la disparition du vrai patrio¬tisme et même du vrai courage, les fautes qu’il faut que chaque parti commette tour à tour, à mesure qu’il arrive au pouvoir dans des conditions toujours les mêmes, les désastres et le prix dont il faut les payer ; si l’on calcule tout cela, on ne peut manquer de dire que cette sorte de maladie est la plus funeste et la plus dange¬reuse épidémie qui puisse s’abattre sur un peuple, qu’il n’y en a pas qui porte de plus cruelles atteintes à la vie privée et à la vie publique, à l’existence matérielle et à l’existence morale, à la conscience et à l’intelligence, et qu’en un mot il n’y eut jamais de despotisme au monde qui pût faire autant de mal »( Fustel de Coulanges )

    Nous voyons à travers l’écrit de Marie Madeleine Martin et de ces citations, que la responsabilité du désastre Français, n’est pas seulement dû à la révolution et à ses conséquences mais aussi aux forces contre-révolutionnaires qui par intérêt, confort ou laxisme ont laissés « pourrir » la situation jusqu’à devenir ce que l’on connaît aujourd’hui… « Que le pouvoir et les moyens d’action ayant appartenu presque sans arrêt, depuis 1789, aux partisans de la Révolution, c’est elle et ses doctrines sociales qui ont été amenées à triompher, parce qu’elles avaient pour elles la force, la puissance, l’influence »
    « Mais si certaines sociétés et certaines nations ont donné le spec¬tacle, à maintes époques, de l’ordre sage, de l’équilibre et de la prospérité, il faut donc que le triomphe du bien soit possible, il faut donc que l’homme ait le pouvoir de vaincre le mal ou du moins de limiter ses méfaits. Et ainsi, pour que, depuis 1789, les doctrines de sagesse et d’ordre n’aient jamais eu d’influence, que celles de mort aient continûment triomphé, pour que tous les sur¬sauts en faveur des résurrections aient été étouffés ou voués à l’échec, il faut que l’effort des « réactionnaires » ait été, quelque peu, ou irrationnel, ou maladroit, ou désorganisé, ou mené trop faiblement, car la nocivité même des doctrines triomphantes aurait dû les annihiler bien souvent, malgré les formidables moyens de succès mis à leur service. »
    « Dans une brochure retentissante publiée sous le règne de Louis XVIII, le Conventionnel et régicide Carnot, parlant au nom de tous ses collègues des Assemblées révolutionnaires, se tournait vers certains fidèles-nés de la monarchie, en leur démon¬trant que leur action avait été souvent plus funeste au sort du roi- martyr que le vote des Conventionnels. Sans oublier l’insolent désir de garder une part de pouvoir qui animait, sous la Restaura¬tion, Carnot et ses pareils, nous serons forcés de constater que son attaque n’était pas sans motif contre certains monarchistes, plus funestes au gouvernement qu’ils prétendaient défendre que ses adversaires déclarés. »
    « Lorsqu’on étudie l’histoire, on voit bien qu’une révolution ne progresse que fort lentement dans les mœurs et les coutumes d’un peuple, même si elle obtient des triomphes san¬glants passagers et des succès bruyants de discours et d’écrits subversifs. En demeurant objectif, on constate qu’au début du XIXe siècle, ce n’est pas la Révolution qui tient les leviers de commande dans la structure même de la nation, ce n’est pas le parti de la Révolution qui possède la fortune, ni les cadres sociaux traditionnels, ni même les grands hérauts de l’intelligence. Jusqu’au jour de l’année 1875 où le retour du comte de Chambord échoua, la France de la tradition a encore eu des chances et des forces non seulement égales, mais supérieures, à celles de la France nouvelle conquérante, et nous ne pouvons-nous contenter, par conséquent, d’attribuer tant de responsabilité aux révolution¬naires alors que leurs ennemis avaient encore de tels moyens pour riposter. »
    « …souligner l’incroyable lâcheté ou sottise des « bien-pensants ». Qu’on lise Drumont, Péguy, Léon Bloy ou Bernanos et l’on voit que leurs verges s’en vont frapper certaines « autorités sociales » défaillantes, douillet-tement abritées dans leur confort ou leurs préjugés, ou leurs rou¬tines, et qui n’ont point su peser de toute leur puissance, au moment opportun, sur le plateau de la balance où mouraient, en combattant, des héros que personne ne soutenait dans leur effort de réaction. « Quelle déplorable armée il nous faut conduire ! » écrit Montalembert à Veuillot, au milieu du XIXe siècle, en parlant des catholiques de l’époque. »
    « Si au XXe siècle la France qui fut naguère la nation la plus puissante et la plus enviée de toute l’Europe, si cette France s’est effondrée brusquement, après deux guerres, en laissant apparaître la désorganisation des familles, le pourrissement des classes diri¬geantes, l’absence des personnalités et des chefs, et surtout la veu¬lerie universellement répandue, la ruée vers l’Etat socialiste distri¬buteur de prébendes et d’assurances confortables sur toutes les difficultés de la vie, l’effroi devant les responsabilités, l’esprit de fonctionnarisation envahissant tout, comme au temps où il jetait bas l’Empire de Rome, reine de l’Occident, ce cataclysme est évi¬demment dû aux doctrines que la Révolution de 1789 avait fait triompher ; mais nous devons chercher sans ménagements à savoir si ce triomphe de 1789 n’aurait pu être jugulé, jusqu’à rester l’une de ces erreurs sanglantes mais passagères dont l’histoire est rem¬plie et qui n’eurent pas de prolongements... »
    « En réalité, à partir de la fin du XIXe siècle, c’est la pénurie de personnalités, qu’elles soient de droite ou de gauche, qui com¬mence à frapper tous les observateurs de la société, l’esprit de nivellement prêché par la Révolution commençant de laisser appa¬raître ses méfaits à partir de 1870. A force de déclarer la guerre aux supériorités on les a presque toutes détruites. Mais comme elles se sont mal défendues !... »
    «Ce ne sont pas les idées qui manquent, écrivait déjà Honoré de Balzac en 1832, ce sont les hommes d’exécution ».
    « En 1842, Charles de Rémusat constate : « Notre temps manque de grands hommes ». Et à la fin du XIXe siècle, Henri de Tourville précise : « Ce qui manque, ce n’est ni la science, ni l’outillage pour l’action matérielle, intellectuelle ou morale ; ces deux instruments sont en progrès incessants. Ce qui manque c’est l’homme... C’est la question de l’homme qui vient à son tour après celle du développement des autres puissances natu¬relles. Une grande œuvre a surgi, mais elle fonctionne mal, et après s’en être pris à toutes les forces de la nature, après y avoir fait appel, on s’aperçoit que ce qui fait défaut, c’est l’homme »Le nivellement révolutionnaire a détruit les hommes d’exceptions et d’actions…
    « L’oubli préliminaire des grandes lois dont Bossuet disait déjà « qu’on ne pouvait y toucher sans ébranler tous les fondements de la terre », et qu’un lecteur de Frédéric Le Play, en 1875, appelait ces « lois sociales, vieilles comme le monde, aussi certaines et aussi fixes que celles qui régis¬sent les étoiles »
    Frederic PORETTI-Winkler (Histoire Social, à suivre)

  • Sur le Blog La Couronne : Le prince Eudes et la princesse Marie de France célèbrent la Sidi Brahim

    https://www.la-couronne.org/actualite-royale/le-prince-eudes-la-princesse-marie-celebrent-la-sidi-brahim/?fbclid=IwAR30DelNIBG8cybypFJSbjwFO-JWrBOsLR05hJbiSVllYOC_W0V2g0lgzhw

     

    Autres photos (de la page facebook de Frédéric de Natal):

    https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1378331678990785&set=pcb.1378339745656645&type=3&theater

  • Demain, samedi, sur Arte, 20h50 : Marie-Antoinette, souveraine comme jamais...

    (extraits de la chronique Le Mag'Télévision de Famille chrétienne, par Mary de Montalembert, n° 2180, semaine du 26/10 au O1/11)

     

    "...Les derniers jours de Marie-Antoinette évoqués dans une fiction aussi ambitieuse que respectueuse...

    Plus aucun égard. Plus aucun lien avec ses enfants. Une femme abandonnée dans la tourmente de l'Histoire, qui va la dévorer. Et la révéler...

    Faire son procès, comme le souhaite Fouquier-Tinville ? Soit. Mais un simulacre de procès, avec jurés achetés... accusations en rafale, jusqu'à celle, ignoble, d'inceste...

    Ce film, qui montre sa force de caractère confondante, lui rend hommage. Dans le fond et la forme : décors soignés, comédiens convaincants, commentaire sobre et délicat dit par Denis Podalydès. La haine et les outrances de la Révolution n'en paraissent que plus laides."

    lafautearousseau

  • Alors qu'elle est entourée d'une indifférence générale, l'affaire Marie Laguerre nous concerne tous...

    L'agresseur de Marie Laguerre (les faits remontent au 24 juillet 2018) a été condamné à 12 mois de prison, dont 6 mois ferme, avec une mise à l'épreuve de 3 ans, et aussi à verser 2 000 euros de préjudice moral à la victime.

    Mais le problème n'est plus là : le JT de midi de France 2 ce mercredi 31 juillet, nous apprend que, depuis, Marie Laguerre vit un véritable enfer, parce qu'elle est l'objet de harcèlements incessants.
     
    Bravo à Jean-Baptiste Marteau d'avoir envoyé ce sujet, le révélant ainsi au grand public et brisant l'omerta qui, scandaleusement, l'entoure : le racisme inversé que nous subissons aujourd'hui, et qui est devenu la norme, fait que, lorsqu'un immigré agresse une Française, même s'il est incarcéré, la violence contre la personne agressée ne cesse pas, et l'on ne dit rien, l'on ne fait rien.
     
    Dans le cas contraire - que nous condamnerions tout autant - on verrait, n'en doutons pas, se déchaîner tout un tas d'associations anti-racistes, grassement subventionnées par nos impôts (qui seraient mieux employés pour nos pompiers ou nos infirmiers/urgentistes et autres soignants...). Et, bien sûr, l'inénarrable monsieur Toubon, Défenseur des Droitsmonterait au créneau pour appeler à la lutte contre la peste brune et le retour des heures sombres de notre histoire...
     
    Au moins en parler, au moins le dire, le dénoncer, c'est la première des façons d'aider Marie Laguerre : qui a dit : "Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire" ?
     
     
    "Défenseur des droits" : voilà un poste à supprimer d'urgence, dans le cadre des économies à réaliser...
  • Samedi 26 octobre, sur Arte, 20h50 : ”Marie-Antoinette, ils ont jugé la Reine”

    Samedi 26 octobre, Arte diffuse l’excellent "Marie-Antoinette, ils ont jugé la reine", à 20h50, avec la comédienne Maud Wyler dans le rôle principal.

    Dans la nuit du 2 au 3 septembre 1793, alors qu’échoue l’ultime tentative d’évasion de la reine (la Conspiration de l’œillet), les membres du Comité de salut public scellent le destin de celle que l’on nomme "la veuve Capet", dans une France qui sombre dans la Terreur.

    Alain Brunard ("Marie Curie, une femme sur le front") signe la réalisation en cinq actes de cette fiction extrêmement soignée, narrée par Denis Podalydès et adaptée du livre Juger la reine (Tallandier) de l’historien Emmanuel de Waresquiel.

    Ce dernier apporte un nouvel éclairage sur le procès truqué de Marie-Antoinette. Maud Wyler, vue au cinéma dans la comédie Perdrix, avec Fanny Ardant, et dans Alice et le maire, avec Fabrice Luchini, incarne la dignité et la douleur d’une reine et d’une mère : "Je ne voulais pas en faire un ange, ni tout à fait un démon. Elle aimait ses enfants, ses derniers mots sont pour eux. Cela m’a touchée".

  • ”Marie-Antoinette : ils ont jugé la Reine” : xénophobe, la Révolution a inventé le Terrorisme d'Etat et de masse...

    Pas de critique cinématograhique, ici. Notre excellent ami Guilhem de Tarlé s'en chargera peut-être, pour notre plus grand plaisir...

    Deux réflexions politiques, simplement, après ce remarquable docu-fiction qui montre la Révolution dans la hideuse réalité des horreurs et monstruosités innommables qui lui sont consubstantielles; qui sont dans ses gènes; qui sont son ADN...

    1. C'est bien la Révolution et ses assassins sanguinaires qui ont inventé et mis en place le terrorisme d'Etat, culminant dans le Génocide vendéen (doublé de mémoricide) : Robespierre, Danton, Marat, Hebert et son Père Duchesne (mieux nommé : Pèr-vers Duchesne...) sont bien les parents d'une famille nombreuse : leurs enfants s'appellent Staline, Mao, Ho Chi Minh, Pol Pot, Ceaucescu... Le Tribunal (?) révolutionnaire a pour prolongements les sinistres Guépéou/KGB, Securitate et autres Stasi... Et la monstrueuse ré-éducation du malheureux petit roi Louis XVII par le sinistre Sanson - dont la conclusion est l'ignoble infanticide - sera suivie par celle des malheureuses victimes du Goulag soviétique, de la révolution culturelle de Mao, de celle de Pol Pot... qui se compteront en millions d'innocentes victimes...

    2. Terroriste, la Révolution est également xénophobe : c'est au cri de "A mort l'Autrichienne !" que "les bourreaux barbouilleurs de lois" dénoncés par le poète André Chénier - lui-même guillotiné - ont  mené la Reine à l'échafaud; et à ce même cri que la lie de la populace a accompagné notre Reine, digne et admirable, jusqu'au lieu de son supplice.

    La xénophobie n'est pas le racisme, mais elle en est certainement l'une des sources lointaines. Il est bon de le rappeler à ceux qui n'ont que le mot de "fraternité" à la bouche, alors qu'ils sont les descendants assumés des haineux assoiffés de sang qui ont hurlé jusqu'à l'hystérie ce cri odieux durant les quatre heures qu'a duré le passage de la charrette emmenant Marie-Antoinette...

    Il est bon de rappeler ces deux vérités aujourd'hui où, comme nous l'a si souvent répété Gustave Thibon, "le chaos figé des conservateurs du désordre" a succédé au "chaos explosif des révolutionnaires"...

    Oui, magnifique film et magnifique soirée, bien que triste et pénible - ô combien !...

    lafautearousseau

  • Ce soir, sur Arte, à 20h50 ”Marie-Antoinette. Ils ont jugé la Reine”

    (VIDEO Bande Annonce) ARTE diffusera ce Samedi 26 Octobre 2019 à 20h50 une fiction documentaire d’Alain Brunard intitulée Marie-Antoinette, ils ont jugé la reine, d’après le livre d’Emmanuel de Waresquiel, Juger la reine.

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    Dévoilant les arcanes d’un procès truqué, cette ambitieuse fiction historique livre la chronique rigoureusement documentée des derniers jours de Marie-Antoinette et du basculement de la Révolution dans la Terreur.

    2 août 1793 : Marie-Antoinette, dernière reine de France, est transférée à la Conciergerie. Son époux a été guillotiné, ses enfants lui ont été arrachés, les royaumes d’Europe l’ont abandonnée. Et le peuple de France réclame sa tête. Il ne faudra que 76 jours à la Révolution pour mettre en place un simulacre de procès qui ne durera que deux jours, du 14 au 16 octobre 1793. Son sort est scellé d’avance, fruit de tractations politiques et de luttes de pouvoir. À travers les arcanes de ce procès décrypté par l’historien Emmanuel de Waresquiel, le film revient sur les derniers jours de Marie-Antoinette, qui, en ces débuts de la Terreur, va se révéler d’une dignité insoupçonnée.

    La Révolution lui donne l’envergure d’une reine, sa mort tragique la rendra immortelle.


    (extraits de la chronique Le Mag'Télévision de Famille chrétienne, par Mary de Montalembert, n° 2180, semaine du 26/10 au O1/11)

     

    "...Les derniers jours de Marie-Antoinette évoqués dans une fiction aussi ambitieuse que respectueuse...

    Plus aucun égard. Plus aucun lien avec ses enfants. Une femme abandonnée dans la tourmente de l'Histoire, qui va la dévorer. Et la révéler...

    Faire son procès, comme le souhaite Fouquier-Tinville ? Soit. Mais un simulacre de procès, avec jurés achetés... accusations en rafale, jusqu'à celle, ignoble, d'inceste...

    Ce film, qui montre sa force de caractère confondante, lui rend hommage. Dans le fond et la forme : décors soignés, comédiens convaincants, commentaire sobre et délicat dit par Denis Podalydès. La haine et les outrances de la Révolution n'en paraissent que plus laides."

    lafautearousseau

  • Marie-Antoinette, ils ont jugé la reine 2019 (Docu/fiction en intégralité)


     

    Rediffusion du documentaire sur la chaine ARTE le Dimanche 10 Novembre à 15h50.

    Pour la 1ère diffusion du docu-fiction le Samedi 26 Octobre, les chiffres de l'audimat ont été de 636000 téléspectateurs et s'est classé 6ème en terme d'écoute ce qui est plutot remarquable vu la concurrence du samedi soir.

    Dévoilant les arcanes d’un procès truqué, cette ambitieuse fiction historique livre la chronique rigoureusement documentée des derniers jours de Marie-Antoinette et du basculement de la Révolution dans la Terreur.

    21 janvier 1793. Louis XVI est guillotiné en place publique, sous les clameurs de la foule. Pour les chefs révolutionnaires se pose, dès lors, la question du sort de Marie-Antoinette, enfermée au Temple avec ses enfants et sa belle-sœur. Alors que la jeune République est menacée en son sein par l’insurrection de la Vendée royaliste, et à ses frontières par une coalition de monarchies européennes, la Convention nationale vote, en avril, la création du Comité de salut public, principal et bientôt tout-puissant organe du gouvernement révolutionnaire. Le 2 août, la souveraine déchue, désormais privée des siens et de ses derniers biens, est transférée à la Conciergerie, dans l’attente de son jugement. Antoine Fouquier-Tinville, l’accusateur public du Tribunal révolutionnaire, et le pamphlétaire Jacques-René Hébert, qui déverse sa haine de "l’Autrichienne" dans les pages de son très populaire journal, Le père Duchesne, pressent Robespierre de fixer une date. Dans la nuit du 2 au 3 septembre, alors même que la dernière tentative d’évasion de la reine échoue, les membres du Comité de salut public, réunis en secret, scellent son destin funeste. En offrant au peuple la tête de "la veuve Capet", Robespierre a trouvé un moyen de faire tomber celles de ses opposants politiques (les Girondins, modérés), emportés par les débordements sanglants de la Terreur qui s’instaure. Témoignages contradictoires, absence de preuves, jury de sans-culottes recrutés par les hommes forts du régime, avocats de la défense arrêtés à l’issue de leurs plaidoiries : le 16 octobre, au terme d’un simulacre de procès qui aura duré seulement deux jours et deux nuits, Marie-Antoinette est condamnée à mort, puis conduite à l’échafaud quelques heures plus tard.

    Archives inédites

    Adaptée du livre Juger la reine, dans lequel l'historien Emmanuel de Waresquiel chronique le procès à la lumières d’archives inédites, et narrée par Denis Podalydès, cette fiction documentaire en cinq actes, première du genre coproduite par ARTE France, déroule le récit des derniers mois de Marie-Antoinette, qui révèle une force de caractère et une dignité insoupçonnées face au piège qui se referme sur elle. Dans des décors soigneusement reconstitués et avec l’appui d’un casting de haute volée (Maud Wyler, vue récemment dans Perdrix, d’Erwan Le Duc, en tête), Alain Brunard plonge dans l’intimité de la dernière reine de France, tout en éclairant les tractations politiques et luttes de pouvoir qui ont présidé à sa fin tragique.

    Marie-Antoinette, ils ont jugé la reine
    Documentaire d'Alain Brunard (France, 2019, 1h46mn)

  • La cathédrale d’Oloron-Sainte-Marie attaquée à la voiture-bélier, le trésor dérobé...

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    http://www.leparisien.fr/faits-divers/la-cathedrale-d-oloron-sainte-marie-attaquee-a-la-voiture-belier-le-tresor-derobe-04-11-2019-8185809.php?fbclid=IwAR2mqjT1imUnh0q2RlS4Ha905l7zRrFRd0ne3vbtMVuKY8S2xy_B2RWKoEU#xtor=AD-1481423552

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