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Rechercher : Rémi Hugues. histoire

  • Sur Sud Radio, redoutez vous des pics de chaleur à répétition ?

    Avec Rémy ANDRÉ, météorologue, Brigitte BARÈGES, Maire de Montauban et Jean-François TOUSSAINT, Professeur de physiologie à l’Université de Paris.

  • Sur Sud Radio, le Covid va-t-il réussir à tuer le bac ?

    Le grand débat des Vraies Voix avec Philippe Bilger, Yaël Mellul et Jean Doridot, au micro de Philippe David.

    Et Jean-Rémi Gérard, président du SNALC (Syndicat national des lycées et collèges).

  • Action française : Don du sang. Solidarité nationale.

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    En ces temps d'épreuve, nous devons faire corps avec toute la nation.

    Parmi nos compatriotes, certains se battent contre la maladie, d'autres sont accidentés, etc.

    Comme Hugues, donnez votre sang pour sauver des vies. Agissons concrètement pour les nôtres.

  • De vendredi à dimanche : Salon du Livre de Blois.....

    Editions Hugues de Froberville

    33, rue saint Lubin

    41000 Blois

    06 74 07 27 92

    Communiqué

    Salon du livre de Blois

     

    Des auteurs et des animations que nous vous recommandons

     

    ·        de nombreux signataires d’ouvrage sont attendus sur le stand 132  des éditions Hugues de Froberville

     

    §   le prince Jean d’Orléans, (vendredi 15 octobre de 13h30  à 17H30) signera son ouvrage « un prince français » ;

     

    §   François Marin Fleutot (samedi 16 et dimanche 17 octobre de 10h à 13h et de 14h30 à 17h30) signera son ouvrage «les royalistes dans la résistance » ;

     

    §   Rolande Colas (samedi et dimanche après-midi) signera son ouvrage « paysans et artisans en région Centre » ;

     

    §  Serge Plénier (dimanche de 14h30 à 17h30) signera son ouvrage « histoire de la langue bretonne ».

     

    Sur le stand des éditions Robert Lafont

    §  Emmanuel de Waresquiel (vendredi de 14h à 16h) signera son ouvrage « une femme en exil : Félicie de Fauveau : artiste amoureuse et rebelle »

    §   A la bibliothèque abbé Grégoire (dimanche 17 octobre de 14h à 15h30) et au stand de « Québec éditions » le même jour de 15h30 à 16h30

    §  Eric Thierry signera son ouvrage sur les débuts de la Nouvelle France

     

    Sur l’espace jeunesse du Salon du livre

     

    §  Jean-Paul Gourevitch, auteur des ouvrages Ulysse.com, Pompéi.com et Pharaons.com,  anime un débat intitulé : « vérité historique et fiction romanesque dans le roman historique pour la jeunesse » Vendredi De 17h30 à 18h30 (De 9 à 13 ans). Il signera ses ouvrages.

     

    A l’occasion d’une apéritif, vendredi à 18h une délégation du Carrefour des Acteurs Sociaux  accueillera les maires de la région CENTRE désireux de s’associer à la campagne « Québec dans la ville »

  • Cinq semaines à peine d'existence, et un réel succès pour notre Page quotidiennne rapportant les activités militantes...

    lfar flamme.jpgNotre intuition a été bonne, et la bonne : pendant les vacances, nous nous sommes dit - avec l'équipe de jeunes qui m'entoure - qu'une des choses qui manquait aux royalistes était... la synergie. En gros, beaucoup de personnes de qualité, dans toute la France, menaient des actions de qualité, faisaient des interventions de qualité à la radio, proposaient des conférences, Cercles d'études ou de formation de qualité etc... mais l'information passait peu, ou mal, voire pas du tout; et, souvent - cela vaut aussi pour nous-mêmes... - des textes, conférences, vidéos... très intéressantes, provenant d'ici ou là, étaient tout simplement ignorées de tout ou partie du public royaliste... 

    D'où l'idée toute simple - aussi simple que l'oeuf de Colomb... - de réunir sur une seule page, actualisée quotidiennement, tout ce qui se faisait en France :

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/07/soutenez-participez-activites-des-royalistes-et-ou-du-pays-r-6180804.html

    Il faut croire que cela a correspondu à une attente, à un besoin - même non formulé... - puisque, en à peine cinq semaines, ce sont plus de cinquante réunions ou activités diverses qui ont été annoncées. Aujourd'hui, 9 octobre, 20 le sont, et on nous écrit de toute la France pour "annoncer" :

    après les Réunions de rentrée, les différents Cercles de chaque ville de France ont commencé leurs cycles de conférence/formation; les mercredis de la Nar reprennent; nous annonçons aussi les émissions de Radio Courtoisie avec Philippe Mesnard et Hilaire de Crémiers; les Cafés Actualité d'Aix et Histoire de Toulon reprennent également : celui-ci annonce plusieurs réunions pour octobre, dont une demain avec notre excellentissime ami Antoine de Lacoste : ce sera l'occasion de le rencontrer, de le saluer et de le remercier, de votre part à tous, pour ses chroniques sur lfar.

    Je ne résiste pas au plaisir de vous raconter une anecdote : il y a maintenant pas mal d'années de cela, Pierre Chauvet étant président de l'URP, j'avais mené un cycle de formation historico/politique sur toute une année avec une dizaine de collégiens marseillais, dont Hugues de Lacoste, neveu d'Antoine. Je le lui avais raconté lors de ma longue prise de contact téléphonique avec lui; et il est beau de voir qu'aujourd'hui, revêtant une autre forme, d'Hugues à Antoine, la relation perdure entre la famille de Lacoste et nous...

    Voilà ce que je tenais à vous dire : utilisez ce nouvel outil, utile au militantisme, pour démultiplier vos efforts, et ne vous contentez pas de bien faire, mais faites-le savoir...

    Vous aurez aussi remarqué que nous avons ouvert un lien permanent "Communiqués des Sections de la France entière" : il y en a neuf, pour l'instant, sur des sujets très variés, provenant de Paris, Nantes, Lyon, Le Mans...

    A vous de jouer : lafautearousseau est à votre service, pour "optimiser" (comme on dit aujourd'hui dans le jargon) vos activités : "l'optimisation militante", c'est original, non ? Utilisez lafautearousseau, dans un "gagnant-gagnant" mutuel, et, là, sans modération !...

    François Davin, Blogmestre,  et toute l'équipe de lafautearousseau

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (70), la France, de 987 à 1180...

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    ...ou, du début du règne d'Hugues Capet au début du règne de Philippe Auguste.

    De Jacques Bainville, Histoire de France, Chapitre V, Pendant 340 ans, l'honorable maison capétienne règne de père en fils :

    "Les premiers règnes furent sans éclat. Pendant une centaine d'années, cette royauté fit petite figure.
    Quel domaine étroit ! Avec Paris pour centre, Ses principales villes étaient Orléans, Étampes, Melun, Dreux, Poissy, Compiègne et Montreuil-sur-Mer.

    C'était à peu près tout ce que le roi possédait en propre, et maints châteaux forts au milieu de ses terres abritaient encore des seigneurs qui le bravaient.

    Comme chef féodal et duc de France, le roi avait pour vassaux directs les comtes de Blois, d'Anjou et du Maine et les comtes bretons du Mans et de Rennes pour arrière-vassaux.
    Huit grands fiefs, relevant nominalement de la couronne, indépendants en fait, se partageaient le reste du territoire, si étroitement borné à l'Est par l'Empire germanique qu'il ne touchait même pas partout au Rhône et que ni Lyon, ni Bar-le-Duc, ni Cambrai, pour ne citer que ces villes, n'en faisaient partie.

    Les huit grands fiefs étaient ceux de Flandre, de Normandie, de Bourgogne, de Guyenne, de Gascogne, de Toulouse, de Gothie (Narbonne, Nîmes) et de Barcelone : la suzeraineté capétienne sur ces duchés et ces marches venait de l'héritage des Carolingiens. C'était un titre juridique qu'il restait à réaliser et qui ne le serait jamais partout. En fait, les grands vassaux étaient maîtres chez eux.

    La dignité royale et l'onction du sacre qui entraînait l'alliance de l'Église, une vague tradition de l'unité personnifiée par le roi : c'était toute la supériorité des Capétiens.
    Ils y joignaient l'avantage, qui ne serait senti qu'à la longue, de résider au centre du pays. En somme, le roi comptait peu, même pour ses vassaux directs. Tels étaient les comtes d'Anjou : de leur maison devait sortir la funeste dynastie des Plantagenets qui, un jour, mettrait la France en danger.

    L'autorité des premiers Capétiens était d'abord une autorité morale. Elle fut portée très haut chez le successeur de Hugues. Robert le Pieux sentit surtout le caractère religieux de la royauté. Sa tâche politique fut simplifiée par les rivalités qui mettaient aux prises les souverains provinciaux, et Robert, prêtre-roi, ne finit pas comme le pieux empereur, le fils débonnaire de Charlemagne.

    Après lui, Henri et Philippe premiers du nom réussirent à durer et même à accroître leur domaine; une expansion modeste commençait. Et déjà, ils avaient aussi le sens européen : Henri 1er épousa la fille du grand-duc de Kiev, qui prétendait descendre de rois de Macédoine. Ainsi le nom de Philippe entra dans la maison de France. Mais Philippe 1er était si peu puissant que le seigneur de Montlhéry l'empêchait de dormir.

    Il devait survenir, durant ces trois premiers règnes, règnes obscurs, deux événements d'une immense portée, la conquête de l'Angleterre par le duc de Normandie et les Croisades..."

     

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : L'aventure France racontée par les Cartes...

     

    lafautearousseau

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (75), La France avant et après Philippe Auguste...

    Sacré à quinze ans, Philippe Auguste est le dernier roi qui sera sacré du vivant de son père.

    Un moine de Saint Denis, le médecin Rigord, le nomme Auguste « …parce que les Anciens appelaient Auguste les empereurs qui augmentaient le domaine de l’Etat, et aussi parce que Philippe naquit au mois d’Août… ».

    De Jacques Bainville, dans le chapitre V de son Histoire de France, Pendant 340 ans l'honorable maison capétienne règne de père en fils :

    ".....Pour conduire cette lutte contre l'État anglo-normand, il se trouva un très grand prince, le plus grand que la tige capétienne eût donné depuis Hugues Capet. Philippe Auguste, devenu roi avant l'âge d'homme, car il était né tard du second mariage de Louis VII, fut d'une étonnante précocité. Chez lui, tout était volonté, calcul, bon sens et modération. En face de ces deux fous furieux, Richard Cœur de Lion et Jean sans Terre, fils d'Éléonore et d'Henri Plantagenêt, Philippe Auguste représente le réalisme, la patience, l'esprit d'opportunité.

    Qu'il allât à la croisade, c'était parce qu'il était convenable d'y aller. Il rentrait au plus vite dans son royaume qui l'intéressait bien davantage, laissant les autres courir les aventures, profitant, pour avancer ses affaires, de l'absence et de la captivité de Richard Cœur de Lion. Chez Philippe Auguste, il y a déjà des traits de Louis XI. Ce fut, en somme, un règne de savante politique et de bonne administration...."

     

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : L'aventure France racontée par les Cartes...

     

    lafautearousseau

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (86), La France de 1180 à 1328...

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    C'est-à-dire de la mort de Philippe Auguste à la mort du dernier Capétien direct, Charles IV, le Bel.

    C'est la fin de cette période remarquable qui inspira à Bainville le titre fameux du chapitre V de son Histoire de France : Pendant 340 ans, l'honorable famille capétienne règne de père en fils...

    Si "les premiers règnes furent sans éclat", comme le note Jacques Bainville, quelle différence entre ce que laissent ces "Capétiens directs" et ce qu'ils ont trouvé à leurs débuts !

    Quelle différence entre le minuscule domaine d'Hugues Capet, et sa dérisoire "puissance", et ce Royaume de France qui est déjà - trois siècles après - le premier en Europe, et qui dispose, de plus, d'un Etat solide : force démographique, force culturelle, force militaire, force diplomatique, force politique : le bilan est impressionnant, pour cette dynastie dont on peut vraiment dire qu'elle est partie, sinon de rien, du moins de presque rien, ou de pas grand'chose...

    Philippe le Bel est le dernier roi de la lignée dont les enfants régneront après lui (Louis X, Philippe V et Charles IV) mais sans avoir eux-mêmes de descendance mâle; le quatrième enfant de Philippe le Bel est une fille, Isabelle, mariée au roi d'Angleterre.


    Les Français refuseront que le fils d'Isabelle, pourtant bel et bien petit-fils de Philippe le Bel, monte sur le trône, car il était aussi roi d'Angleterre, et de père anglais.


    C'est Philippe VI de Valois qui lui sera préféré, ce qui sera l'une des causes lointaines (ou des prétextes...) de la Guerre de Cent ans...

     

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant :

     L'aventure France racontée par les Cartes...

     

    lafautearousseau

  • En cette période tragique pour son pays, nous nous souvenons d'Anne de Kiev, notre Reine de France...

    (tiré de notre Éphéméride d'aujourd'hui)

     

    1051 : Henri 1er épouse Anne de Kiev

     

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    Statue d'Anne de Kiev à Senlis, inaugurée par le président ukrainien Victor Iouchtchenko en 2005 

     

    Petit-fils d'Hugues Capet, Henri 1er est le troisième roi de la dynastie capétienne. Par ce mariage, il inaugure la première alliance franco-russe, qui ne devait pas être bien longue, car Henri 1er mourut brusquement à Vitry-aux-Loges, le 4 août 1060...

    En arrivant en France, Anne apporta un livre qui allait beaucoup compter pour tous les sacres des rois de France à Reims. À compter de 1059 et jusqu'à la fin du XVIIIème siècle, tous les rois de France, en accédant au trône auraient prêté serment sur un très ancien Évangéliaire ruthène, écrit en écritures cyrillique et glagolitique. Ce livre est l'un des plus anciens textes connus de la langue russe et l'un des plus anciens documents de la langue littéraire ruthène (ukrainienne) et sa première partie (cyrillique) pourrait avoir été écrite par saint Procope, qui mourut vers 1030.

    Pierre le Grand au XVIIème siècle et Nicolas II au début du XXème, voyageant en France, se le feront présenter. On l’appelle aujourd’hui l’Évangéliaire de Reims, et il est conservé à la Bibliothèque Nationale de Paris.

    Anne de Kiev eut quatre enfants avec Henri 1er : c'est elle qui introduisit le prénom Philippe - venant de ses ancêtres macédoniens - à la Cour de France en le donnant au fils aîné de son premier mariage qui régnera sous le nom de Philippe 1er...

     

    • https://tryzub.fr/histoire_anna.php?dark=1

     

    • chrisagde.free.fr/capetiens/annekiev.htm  

     
  • Lafautearousseau souhaite une Bonne Fête au Prince Gaston, Dauphin de France...

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    Saint Vaast (autre forme du prénom Gaston) à côté de Saint Rémy au baptême de Clovis à Reims, avec la colombe (du Saint-Esprit) qui apporte la Sainte Ampoule.

    Rémy confia à Vaast l'éducation chrétienne de Clovis; Gaston fut ainsi son éducateur de la Foi...

  • Explosion de l’insécurité : même les bonnes âmes admettent que l’immigration y est un peu pour quelque chose…, par Nicol

    Si l’on en croit une certaine vulgate médiatique, le véritable souci serait plus le « sentiment d’insécurité » que l’insécurité elle-même. Il n’empêche qu’en l’occurrence, les Français, à moins d’être aveugles et sourds, ont surtout le « sentiment » que le pouvoir leur cache en permanence ce qu’ils voient chaque jour de leurs propres yeux.

    9.jpgCertes, on peut faire dire ce que bon semble aux chiffres ; ces derniers sont néanmoins têtus, tel qu’en témoigne le bilan en la matière publié, ce 28 juillet, par Le Figaro. Première donnée brute : « La hausse est spectaculaire […] avec plus de 350.000 agressions constatées en six mois, contre 300.000 au premier semestre 2020 et 320.000 sur la même période de 2019. » Bref, la délinquance profite elle aussi de ce relatif déconfinement.

    L’autre donnée majeure, c’est la montée en puissance de cette même délinquance en nos campagnes. Après les voyous des villes, ceux des champs, où les violences faites aux personnes sont en train d’augmenter de manière plus qu’alarmante : « Meuse, +61 %. Calvados, +57 %. Morbihan, +52 %. Maine-et-Loire, +51 %. Saône-et-Loire, +48 %. Vienne, +40 %. Lot-et-Garonne, +39 %. Ille-et-Vilaine, +31 %. »

    À ce phénomène vient s’ajouter la délinquance des fameux MNA (mineurs non accompagnés), immigrés plus ou moins , donc pas toujours « mineurs » et généralement « accompagnés » de réseaux criminels, à en croire Rémy Heitz, procureur de , auditionné par la commission des lois du Sénat, en janvier 2020 : « Ces jeunes délinquants, souvent exploités par des adultes, sont extrêmement mobiles, utilisent fréquemment de multiples alias et leur minorité (réelle ou supposée) signifie en pratique qu’il n’est pas possible de les envoyer en prison. » Et le même d’avouer : « Nous sommes face à des mineurs qui sont des multirécidivistes […] Ils jouissent d’un sentiment d’impunité extrêmement fort. »

    Après, il y a évidemment le grand non-dit : quid de la proportion d’étrangers, en situation régulière ou pas, ou tout simplement enfants d’étrangers, dans ce tsunami d’ ? Les Français ont bien évidemment leur idée sur la question ; mais, une fois encore, il ne doit s’agir encore que d’un simple « sentiment »… Sauf que voilà, le mur du silence se fissure, à en croire ces voix commençant à timidement s’élever.

    Celle du sociologue Hugues Lagrange, pour commencer : « Les adolescents éduqués dans les familles du Sahel sont trois à quatre fois plus souvent impliqués comme auteurs de délits que les adolescents élevés dans les familles autochtones ; et ceux qui sont éduqués dans les familles maghrébines, deux fois plus. » Une prime par défaut à l’Afrique du Nord, donc, par rapport à l’Afrique noire, dira-t-on. Autre voix, celle de Laurent Mucchielli, sociologue, qui est obligé d’admettre : « L’observation des populations poursuivies par la et la justice montre qu’il existe bien, du moins en apparence, une importante “surreprésentation” de cette partie de la jeunesse dans la délinquance. » Ou de l’ de sauver ces mêmes « apparences », tout en finissant par vider son sac : « Les jeunes dits d’origine maghrébine ou africaine sont surtout surreprésentés dans la catégorie des atteintes aux personnes “dépositaires de l’autorité publique” (policiers) ou “chargés d’une mission de service public” (enseignants), ainsi que dans celles des vols avec violence, commis le plus souvent en “réunion”. Ils le sont également dans la catégorie des dégradations, type tags, et dans celle des destructions, type incendie de véhicules. »

    Après avoir abjuré son angélisme sociétal, laissons le soin à ce repenti de conclure : « En milieu urbain, les jeunes délinquants sont-ils souvent issus de l’ ? Oui. »

    Et en guise de post-scriptum, le mot de Xavier Raufer, criminologue bien connu de nos lecteurs : « Les voyous ne s’arrêtent que lorsqu’on les arrête. »

    Et les politiques, coupables de ce désastre, que faudra-t-il faire pour les arrêter ?

     

    Nicolas Gauthier

    Journaliste, écrivain
  • LIBÉRER LES ÉNERGIES EN ALLÉGEANT LE FARDEAU FISCAL. COMMENT FAIRE ?

    Par Rémi Hugues

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    Comme en 1789, la crise de régime actuelle, provoquée par le mouvement des gilets jaunes, a pour déterminant principal une fiscalité jugée trop lourde.

    L’iconographie révolutionnaire montrait le tiers état voûté, accablé par les privilèges de la noblesse et du clergé. Aujourd’hui les gaulois réfractaires en colère se plaignent d’un État qui ponctionne outre mesure tout en fournissant une qualité de services publics qui, à leurs yeux, est de plus en plus insuffisante. « Si elle se dégrade ainsi, où va l’argent ? » se demandent-ils, remontés contre la classe politique littéralement aux abois.

    Et les grands médias, sots qu’ils sont, de relever cette incohérence dans les revendications des gilets jaunes : entre plus de prestations des collectivités publiques et de l’État et moins de prélèvements obligatoires il faudrait choisir ! Le pays réel est ainsi infantilisé, assimilé à la conduite typiquement puérile qui, entre le chocolat et le nougat, renoncer à choisir, voulant les deux à la fois.

    En même temps mieux d’Etat et moins d’impôts 

    Ceux qui ont porté au pinacle le Président du en même temps se gaussent de la France périphérique qui veut plus de puissance publique et moins d’impôt. Pour eux, ils en sont catégoriques, un telle équation est-elle totalement chimérique.

    Sauf que nos compatriotes disposent d’un tant soit peu de mémoire, et dans leurs souvenirs il y avait, au début de la Vème République, un niveau d’imposition plus faible, alors qu’avec moins de fonctionnaires, l’Etat-providence accomplissait sa mission avec une certaine efficacité.

    3970853321.10.jpgCe qui a radicalement changé entretemps c’est la charge, devenue écrasante, de la dette. Cette même dette qui empoisonna le règne de Louis XVI, lui fut fatale même. Elle fut l’amorce de sa funeste fin que l’on sait. Or le système républicain étant une « bancocratie » – ce que Charles Maurras avait mis en évidence lorsqu’il conchiait cette modernité qu’il entendait comme la substitution de la loi du sang par la loi de l’or – en aucun cas la solution ne peut venir de son sein. Comment Emmanuel Macron, ex-fondé de pouvoir chez Rothschild, pourrait-il ôter à ses maîtres, la coterie ploutocratique transnationale, le levier par lequel ils accumulent une masse édifiante de capitaux ? La loi de l’or, prise concrètement, est en réalité loi de l’usure.

    Les intérêts de la dette, qui grèvent non seulement le pouvoir d’achat des ménages et des entreprises, mais aussi la marge de manœuvre de l’Etat, sont un premier impôt à supprimer. Lequel est un impôt très sournois car c’est un impôt dissimulé.

    La spirale financière infernale

    Si l’Etat peut financer ses investissements de long terme par un « circuit du Trésor » qui s’exonère de tout recours aux marchés financiers privés, il peut en outre contracter des obligations auprès (pas nécessairement usuraires d’ailleurs) de ses sujets les Français. Les enrichissant il s’enrichirait lui-même. Et vice versa.

    printing-euros.jpgLe second cas prédominait dans la France des Trente glorieuses, avant que soit votée la scélérate loi du 3 janvier 1973, dite loi Pompidou-Giscard-Rothschild. Dans son essai La Révolution française[1], au sujet des assignats, Pierre Gaxotte soutient qu’il n’y a rien de plus dangereux qu’un État qui ait les moyens de mettre en branle la machine qui fait tourner la planche à billets. Rien n’est plus vrai.

    Les dirigeants européens, en statuant sur les prérogatives de la Banque centrale européenne avaient cette préconisation en tête. Dou l’indépendance de l’institution de Francfort. Mais indépendance formelle, comme l’a mis en évidence la crise de 2007-2008.

    Le système capitaliste s’est trouvé exsangue suite au krach de Wall Street. Plus d’argent, ce sang des pauvres selon Léon Bloy, plus d’argent frais pour irriguer les organes vitaux du monde économique, les banques. Il fallut le secours des contribuables. Leurs « représentants », les présidents Barack Obama et Nicolas Sarkozy en tête, pour éviter in extremis l’irruption d’un chaos apocalyptique planétaire, les firent cracher au bassinet.

    Fins de mois contre fin du monde

    Contribuables qui, aujourd’hui, n’en peuvent plus. Alors qu’ils travaillent, leur est ôtée par le fisc leur livre de chair, et ils se retrouvent sans le sou. Lors d’interminables fins de mois, nos compatriotes sont rentrés, à partir de novembre 2018, en rébellion ouverte, des ronds-points champêtres aux flamboyants Champs-Élysées, contre le système républicain, capitaliste, démocrate et libéral-libertaire. Une aubaine pour ceux qui s’y opposent depuis des lustres ? Oui. Il s’agit maintenant de mettre des mots sur leurs maux. Et pas seulement du point de vue des institutions politiques. À savoir : émettons des propositions concrètes censées permettre de réduire la pression fiscale.

    D’abord, on l’a dit, mettre un terme à l’impératif du crédit public usuraire. De surcroît, l’Etat français devrait reprendre le contrôle sur l’émission monopolistique de monnaie, via sa banque centrale nationale. Laquelle pourrait prêter « gratuitement », sans intérêts, à l’Etat royal, afin qu’il puisse combler ses déficits. 

    img-quantitative-easing.jpgSi la somme demeure raisonnable, le niveau d’inflation resterait modéré. Et ce ne sont pas les partisans du « quantitative easing » (assouplissement quantitatif), pratiqué depuis la fin des années 2000 par MM. Jean-Claude Trichet et Mario Draghi qui y verraient quelque-chose à objecter. Car voici l’impôt futur, l’impôt des temps du retour du Roi : sachez qu’un zeste bien dosé d’inflation, provoqué par une émission monétaire réalisée afin de rétablir l’équilibre d’un budget public légèrement déficitaire, serait moins coûteux que l’effort consenti par l’administration fiscale, qui s’évertue via ses nombreux fonctionnaires à récupérer une pléthorique variété de taxes et impôts. À cette heure en France il en existe tant que nous nous abstiendrons d’en dresser une liste exhaustive. La République gère mal mais avec elle la pression fiscale croît.   

    Pour un « impôt inflation »

    John Maynard Keynes, commentant les considérations de Lénine sur la monnaie, écrivit ceci : « Grâce à une inflation continuelle, le gouvernement peut secrètement et en toute impunité confisquer une bonne partie de la richesse de ses administrés. »[2]

    51dB0uxhaUL._SX363_BO1,204,203,200_.jpgLa Bible des économistes et de leurs étudiants, le manuel universitaire appelé « le Mankiw », contient l’observation suivante : « le gouvernement crée de la monnaie pour payer ses propres dépenses. Pour pouvoir financer la construction des routes, payer les salaires des forces de police et subvenir aux besoins des personnes âgées et des pauvres, le gouvernement a besoin de fonds. En temps normal, il se les procure par l’impôt et par l’emprunt. Mais il peut aussi imprimer de la monnaie. Quand le gouvernement a recours à la création monétaire, on dit qu’il lève un impôt inflation. Cet impôt est différent des autres, dans la mesure où personne ne reçoit d'avis d’imposition du gouvernement. Cet impôt est beaucoup plus subtil. […] L’inflation est donc un impôt qui frappe les porteurs d’argent. Quand le gouvernement lève cet impôt, il prélève des ressources sur les ménages sans avoir à leur envoyer une facture. »[3]           

    Ce serait  ainsi un moyen plus économique de parvenir à des résultats similaires. Dégraissons ce « mammouth » qu’est l’administration fiscale : ses fonctionnaires sont les mal-aimés par excellence, tandis que chacun sait l’utilité d’un médecin, d’un magistrat, d’un professeur, d’un policier ou d’un militaire. Cette méthode présente l’avantage d’abaisser le coût qu’entraine la gestion du prélèvement des ressources.

    Mais pour autant ne désirons pas l’abolition de tout impôt, de toute taxe. Ne nous laissons pas aveugler par les chimères du libertarisme, pensée politique étrangère à notre culture chrétienne, d’après laquelle faire œuvre de charité, ça n’est pas facultatif, c’est un devoir. L’impôt est au fondement du principe de solidarité nationale, du souci du bien commun. Il est donc un impondérable de la vie au sein d’une société politique, en tant qu’effectivité matérielle du lien social.  

    [1]  Paris, Tallandier, 2014, pp. 175-182.
    [2]  Cité par Gregory Mankiw, Principes de lʼÉconomie, Paris, Economica, 1998, p. 787.
    [3]  Ibid., p. 770-772.

    A lire de Rémi Hugues Mai 68 contre lui-même ...

    (Cliquer sur l'image)

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  • Éphémérides du mois de Janvier : Table des Matières...

    fleur de lys divers.jpg1 : 1452 : Les Hospices de Beaune reçoivent leur premier patient. 1515 : Mort de Louis XII. 1540 : Entrée de Charles Quint dans Paris. 1560 : Mort de Du Bellay. 1565 : pour la première fois, l'année civile commence le premier janvier. 1677 : Première de Phèdre. 1697 : Naissance de Dupleix. 1762 : Louis XV refonde la Gazette de France. 1776 : Naissance de Cadoudal. 1777 : Premier numéro du Journal de Paris. 1860 : Paris passe de 12 à 20 arrondissements.

    : 876 : Fondation de Notre-Dame de Compiègne. 1322 : Mort de Philippe V, le Long. 1512 : Fondation de la Confrérie des Gardians. 1812 : Benjamin Delessert développe l'exploitation méthodique de la betterave à sucre. 1873 : Naissance de Thérèse de Lisieux. 1880 : Naissance de Louis-Charles Bréguet. 1913 : Mort de Léon Teisserenc de Bort.

    3 : 512 : Célébration de Sainte Geneviève, patronne de Paris. 1875 : Mort de Pierre Larousse. 1931 : Mort du Maréchal Joffre. 1953 : Découverte du Cratère et de la Dame de Vix.

    4 : 1782 : Mort d'Ange-Jacques Gabriel. 1790 : Naissance de Berryer. 1794 : La Convention décrète Marseille Ville sans nom. 1809 : Naissance de Louis Braille. 1941 : Mort d'Henri Bergson. 1960 : Mort d'Albert Camus. 

    5 : 1465 : Mort de Charles d'Orléans. 1477 : Le corps de Charles le Téméraire est retrouvé, après sa déroute à Nancy. 1665 : Denis de Sallo fait paraître le premier numéro du Journal des Sçavans... 1757 : Damiens tente de poignarder Louis XV. 1759 : Naissance de Jacques Cathelineau. 1767 : Naissance de Jean-Baptiste Say. 1875 : Inauguration de l'Opéra Garnier.

    6 : Célébration de l'Épiphanie. 1286 : Sacre de Philippe le Bel. 1558 : François de Guise reprend Calais aux anglais. 1585 : Naissance de Vaugelas. 1649 : Louis XIV, enfant, quitte Paris afin d'échapper à la Fronde. 1749 : Naissance de Montgolfier. 1806 : Mort de Riesener. 1831 : Mort de Kreutzer. 1852 : Mort de Louis Braille. 1923 : Maurice Vinot présente le premier Journal parlé, diffusé par Radiola. . 1975 : L'I.N.A. reçoit son statut définitif...

    : 807 : Mort de Widukind... 1499 : Mariage de Louis XII et d'Anne de Bretagne. 1709 : Début du Grand froid de 1709. 1722 : Mort d'Antoine Coypel. 1785 : Traversée de la Manche en ballon. 1844 : Naissance de Bernadette Soubirous. 1873 : Naissance de Charles Péguy. 1984 : Mort d'Alfred Kastler. 2005 : Départ de la Première de "La Grande Odyssée"...

    8 : Vers 290 : Martyre de Saint Lucien. 1463 : François Villon quitte Paris définitivement... 1570 : Mort de Philibert Delorme. 1896 : Mort de Paul Verlaine. 1934 : Mort de Stavisky.

    9 : 1431 : Début du Procès de Jeanne d'Arc. 1590 : Naissance de Simon Vouet. 1595 : Aux origines de la Galerie du bord de l'eau... 1873 : Mort de Napoléon III. 1959 : Première de Cinq colonnes à la Une. 1963 : La Joconde est à Washington...

    10 : 1660 : Louis XIV visite le Pont du Gard... 1724 : Philippe V, premier roi Bourbon d'Espagne, abandonne le pouvoir... 1747 : Fondation de l'École des Ponts et Chaussées. 1768 : Mort de Charles Cressent. 1822 : Mort du baron de Batz. 1880 : Début des travaux du Canal de Panama. 1929 : Première aventure de Tintin. 1975 : Début d'Apostrophe.

    11 : 1443 : Mort de La Hire. 1816 : Aux origines de la Chapelle expiatoire... 1887 : La Troisième République vend les Joyaux de la Couronne... 1891 : Mort du baron Haussmann. 1908 : Débuts de l'industrie aéronautique et spatiale française. 1924 : Naissance de Roger Guillemin. 1952 : Mort du Maréchal de Lattre de Tassigny. 1962 : Lancement du France.

    12 : 1587 : Bernard Palissy est condamné au bannissement... 1628 : Naissance de Charles Perrault. 1649 : Naissance de Jacques Carrey. 1833 : Mort d'Antonin Carême. 1852 : Naissance de Joseph Joffre. 1970 : Ionesco est élu à l'Académie française.

    13 : 367 ou 368 : Mort d'Hilaire de Poitiers. 1129 : Hugues de Payns fonde l'Ordre du Temple. 1151 : Mort de Suger. 1654 : Mort de Jacques Lemercier. 1790 : Mort de l'Amiral de Guichen. 2012 : Le Louvre acquiert Le Christ de pitié soutenu par Saint Jean de Jean Malouel.

    14 : 1684 : Naissance de Jean-Baptiste Van Loo. 1788 : Mort de l'amiral de Grasse. 1867 : Mort de Jean-Dominique Ingres. 1875 : Naissance d'Albert Schweitzer. 1964 : Création des Forces Aériennes Stratégiques. 2015 : Inauguration de la Philarmonie de Paris.

    15 : 533 : Célébration de Saint Rémy. 1200 : Création de l'Université de Paris. 1208 : Début de la Croisade des Albigeois. 1482 : La Provence devient française. 1742 : Naissance de Précy. 1790 : L'Assemblée constituante ordonne la création de 80 départements carrés. 1826 : Fondation du Figaro. 1912 : La Revue de Paris achève la publication, en feuilleton, de "Les Dieux ont soif"...

    16 : 430 : Mort d'Honorat d'Arles. 1409 : Naissance du futur "Bon roi René". 1675 : Naissance de Saint Simon.

    17 : Célébration de Saint Antoine, Patron de la Légion... 86 Avant J.C. : Mort du Consul Caius Marius. En 102 Avant Jésus-Christ, en Provence, il avait écrasé les Cimbres et les Teutons, sauvant Rome et la Civilisation...

    18 : 1462 : Mort du Chancelier Nicolas Rolin. 1641 : Naissance de Louvois. 1650 : Début de la Fronde des Princes. 1695 : Louis XIV institue la première Capitation. 1701 : Le Grand électeur de Brandebourg se proclame Roi de Prusse. 1800 : Création de la Banque de France. 1837 : Naissance de Jeanne de Tourbey, future Madame de Loynes... 1871 : Proclamation de l'Empire allemand dans la Galerie des Glaces de Versailles. 1871 : Apparition de Pontmain. 1878 : Mort d'Antoine Becquerel.

    19 : 1771 : Renvoi des Parlements par Louis XV et Maupeou. 1839 : Naissance de Cézanne. 1840 : Découverte de la Terre Adélie. 1865 : Mort de Proudhon. 1915 : Georges Claude dépose le brevet du Tube à Néon. 2001 : Mort de Gustave Thibon.

    20 : 1601 : Le Bugey, la Bresse et le Pays de Gex deviennent français. 1661 : Mort d'Anne d'Autriche. 1709 : Mort du Père La Chaise. 1775 : Naissance d'Ampère. 1986 : La Transmanche Link maître d'oeuvre du Tunnel sous la Manche.

    21 : 1338 : Naissance du futur Charles V. 1756 : Naissance de Claude François Chauveau Lagarde, défenseur de Marie-Antoinette. 1793 : Dix heures vingt deux : assassinat de Louis XVI. 1794 : Les Colonnes Infernales commencent la destruction méthodique de la Vendée. 1795 : Mort de Michel Corrette. 1867 : Naissance de Maxime Weygand. 1938 : Mort de Georges Méliès. 1948 : Le "Fleurdelysé" devient le drapeau officiel du Québec... 1976 : Premier vol régulier du Concorde.

    22 : 1516 : François Premier à Marseille: décision est prise de construire le Château d'If et le Fort de La Garde. 1592 : Naissance de Gassendi. 1703 : Naissance de Jean-Louis Orry, aux origines de la Manufacture de porcelaine de Sèvres. 1732 : Fermeture de la Cour des Miracles. 1751 : Louis XV crée l'École militaire. 1938 : Instauration de la Saint Vincent tournante. 1990 : Lancement du satellite SPOT 2. 1997 : Inauguration officielle du Pont de Normandie.

    23 : 52 Avant J.C. : Massacre des résidents romains de Cénabum, et début de l'insurrection générale de la Gaule. 1588 : Naissance de François Mansart. 1753 : Mort de Jean Martell. 1783 : Naissance de Stendhal. 1795 : Capture de la flotte hollandaise par la cavalerie de Pichegru. 1800 : Bataille du Pont du Loc'h, dernière grande bataille de la chouannerie. 1806 : Mort de Claude Chappe. 1832 : Naissance de Manet. 1891 : Représentation de Thermidor, vite interdite par Clémenceau pour cause de dénonciation de la Révolution.

    24 : 41 : Claude devient le quatrième Empereur romain. 1564 : Début du Tour de France de Charles IX. 1773 : Mort de Philippe Buache. 1860 : Lenoir dépose le brevet du moteur à explosion. 1909 : Béatification de Jeanne d'Arc. 1918 : Bergson est reçu à l'Académie française. 1943 : Fin de la Rafle de Marseille, et début de la destruction méthodique de la Vieille ville. 2015 : Bicentenaire de l'installation de la Maison Vilmorin à Verrières-le-Buisson...

    25 : 1370 : Charles V acquiert le Comté d'Auxerre. 1515 : Sacre de François Premier. 1826 : Mort de Joseph Boze. 1924 : Premiers Jeux Olympiques d'Hiver.

    26 : 1468 : Naissance de Guillaume Budé. 1754 : Naissance du baron de Batz. 1824 : Mort de Géricault. 1855 : Mort de Gérard de Nerval. 1959 : Publication de la découverte de la cause de la trisomie 21. 1995 : Mise en service du Pont de Normandie.

    27 : 1814 : Naissance de Viollet-le-Duc. 1852 : Naissance de Fulgence Bienvenüe. 1921 : Naissance de Georges Mathieu. 1967 : Mort d'Alphonse Juin. 1983 : Mort de Louis de Funès.

    28 : 814 : Mort de Charlemagne. 1225 : Naissance du futur Saint Thomas d'Aquin... 1393 : Tragédie du Bal des Ardents. 1794 : Mort de La Rochejaquelein. 1910 : Paris connaît la plus grave inondation de son histoire. 1921 : Inhumation du Soldat inconnu. 1945 : "L'infâme verdict" condamnant Maurras pour intelligence avec l'ennemi... 1998 : Inauguration du Stade de France. 2015 : Le Parlement déclare l'animal - jusque là "bien meuble" dans le Code Civil - "être vivant doué de sensibilité".

    29 : 1107 : Le Pape Pascal II consacre l'Abbaye Saint Martin d'Ainay, à Lyon. 1635 : Fondation officielle de l'Académie française. 1712 : Ouverture des négociations d'Utrecht. 1743 : Mort du Cardinal de Fleury. 1829 : Mort de Barras. 1842 : Mort de Cambronne. 1899 : Mort de Sisley, à Moret-syr-Loing. 1952. Mort d'Anne Morgan. 1953 : Le duc de Lévis Mirepoix est élu à l'Académie française, où il succède à Charles Maurras.

    30 : 1132 : La Grande Chartreuse détruite par une avalanche... 1652 : Mort de Georges de la Tour. 1791 : Naissance de Louis Fruchart. 1793 : Mort de la Rouërie. 1810 : Appert reçoit une subvention pour son procédé de conservation des aliments. 1875 : Mort de Dom Guéranger. 1924 : L'Abbaye de Maillezais classée Monument historique... 1956 : Jumelage de Rome avec Paris.

    31 : 1375 : Pose de la première pierre de la Chapelle du Collège de Beauvais. 1673 : Naissance de Louis-Marie Grignon de Montfort. 1793 : Discours de Danton sur les "frontières naturelles"..... 1861 : Naissance de Jacques-Émile Blanche. 1944 : Mort de Jean Giraudoux. 1977 : Inauguration du Centre Pompidou.

     

    Et pour les Éphémérides des mois de Février et de Mars :

    Éphémérides du mois de Février...

    Éphémérides du mois de Mars...

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    lafautearousseau

  • Autour du prince Jean ! Pourquoi cette famille, la famille de France, et pas une autre ?..... (3/3)

    Copie de Timbre bis RVB.png            La chute de l’Etat protecteur fut donc l’élément perturbateur majeur de la société gallo-romaine. Et celle-ci attendait, d’une façon ou d’une autre, sa ré-instauration.

                Or, après l’échec des mérovingien, les carolingiens faiblissaient à leur tour. L'ancienne Gaule devenait une proie facile pour les  pillards, cela se savait et cela les attira. A partir du début du neuvième siècle, des pillards vikings commencèrent à arriver, sur leurs drakkars, et se montrèrent de plus en plus audacieux, enhardis par l’incurie du pouvoir carolingien.

                Celui-ci se révéla régulièrement incapable de faire face à cette nouvelle menace, et c’est cela qui permit à une famille, celle des Robertiens, de combler le vide qu'il laissait et de se mettre en valeur, en défendant une population que les rois légitimes ne savaient, ou ne pouvaient, ou ne voulaient défendre.

                Après avoir donc cerné, dans le fond, l’origine du succès d’une famille, nous en arrivons, maintenant, à cerner concrètement les raisons pratiques et immédiates qui l’ont amené à se hausser au-dessus du lot et à assurer sa primauté....

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                Dès 856 ont lieu des raid vikings sur Paris. La ville est incendiée. En fait, c'est dès la mort de Charlemagne, et après l'effondrement de son Empire que, suite à cette parenthèse de force et de puissance, la Francia occidentalis de Charles Chauve, faible et désorganisée, se retrouve la proie de ces hommes du nord ( "north men", d'ou dérive "normands" ) venus sur leurs drakkars. Si l'on songe à la puissance de Charlemagne, couronné en 800, on est frappé de voir que les premières incursions vikings datent de 843 ! :

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    • en 843, une centaine de drakkars attaquent et pillent Nantes : l'évêque de Nantes sera tué dans sa cathédrale avec de nombreux fidèles,
    • en 845 : plus d’une centaine de drakkars remontent la Seine et pillent Paris en brûlant les monastères et les églises. L’armée royale de Charles-le-Chauve, désemparée, s’enfuie. Les vikings quittent la ville contre un tribu de 7000 livres d’argent,
    • en 852 : une centaine de drakkars s’installe en bord de Seine à Jeufosse, à mis chemin entre Rouen et Paris : les vikings pillent la vallée et incendient à Tours le Sanctuaire de Saint Martin, le plus populaire de Gaule. Charles-le-Chauve, aidé pourtant de son frère Lothaire, n’ose pas intervenir,
    • en 856 : Paris est à nouveau attaquée : les vikings menacent de tout brûler si on ne leur verse pas une forte somme d’argent : Charles le Chauve s’exécute.
    • les vikings récidivent en 858 et en 861.

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                L'incurie des rois carolingiens, et leur incapacité à défendre le peuple contre ces hommes du nord, seront donc la cause directe de la montée en puissance des Robertiens, ancêtres des Capétiens, qui finiront par remplacer en 987 une dynastie carolingienne totalement discréditée parce que devenue totalement inutile.....

                C'est en effet pour avoir vaillamment participé à la défense de Tours contre les normands, en 853, que le roi concéda l'Anjou en 864 à Robert-le-Fort (ci dessous), ancêtre des Robertiens, dont les descendants continueront à défendre la population : ce sont ces services rendus qui fonderont la légitimité de la troisième dynastie : les Capétiens.

                De Jacques Bainville, Histoire de France, chapitre IV, La révolution de 987 et l'avènement des Capétiens :

                "....Mais, comme les Carolingiens, les Capétiens devront leur fortune aux services qu'ils ont rendus. Robert le Fort, le vrai fondateur de la maison, s'est battu dix ans contre les Normands et il est mort au champ d'honneur. Robert le Fort (ci dessous) était certainement un homme nouveau, d'origine modeste puisque la légende lui donne pour père un boucher. Son fils Eudes défend héroïquement Paris contre les mêmes adversaires, tandis que Charles le Gros se couvre de honte. Charles le Gros déposé, Eudes est candidat à une sorte de consulat à vie. Le duc de France fut élu à Compiègne en 888. Il faudra encore cent ans pour qu'un autre Robertinien, un autre duc de France devienne vraiment roi. Eudes, après avoir essayé d'étendre son autorité, comprit que les temps n'étaient pas mûrs. Une opposition légitimiste subsistait dans l'Est. Un descendant de Charlemagne la ralliait et les petits princes qu'alarmait la nouvelle grandeur du due de France, leur égal de la veille, soutenaient les Carolingiens pour se consolider eux-mêmes. Eudes trouva meilleur de ne pas s'entêter. Il réservait l'avenir. Il se réconcilia avec Charles le Simple et transigea avec lui : à sa mort, le Carolingien prendrait sa succession et retrouverait son trône. Cette restauration eut lieu en effet et ce fut une partie politique habilement jouée. Sans la prudence et la perspicacité d'Eudes, il est probable que les ducs de France eussent été écrasés par une coalition.

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                Pendant près d'un siècle, ils vont préparer leur accession au trône. Nous ne sommes pas assez habitués à penser au temps et au concours de circonstances qu'il a fallu pour amener les grands événements de l'histoire. Presque rien de grand ne se fait vite. Il faut vaincre des traditions, des intérêts. Et il faut aussi pouvoir durer. Si les Robertiniens, descendants de Robert le Fort, ne s'étaient maintenus solidement dans leurs domaines, si la mort était venue frapper leur famille comme elle a frappé, par exemple, la famille de Louis XlV, il n'y aurait pas eu de monarchie capétienne. Et les témoins de la longue rivalité qui mit aux prises les Robertiniens et les Carolingiens ne pouvaient savoir non plus de quel côté pencherait la balance. Un moment, il fut permis de croire que l'héritier de Charlemagne l'emporterait. À force de patience, à force d'attendre le moment sûr, les Robertiniens avaient failli tout gâter. Hugues le Grand se contentait de protéger les Carolingiens, de les faire rois, comme les Pipinnides, autrefois, s'étaient abrités derrière les Mérovingiens fainéants. Quand ce faiseur de rois mourut, le Carolingien, Lothaire, était un enfant, mais cet enfant allait être un homme ambitieux et actif.

                Hugues le Grand était mort en 956. Il laissait son duché à Hugues Capet. Il s'en fallait de beaucoup que celui-ci n'eût qu'à prendre la couronne royale. Avec Lothaire, la vieille dynastie se ranime. Lothaire veut ressaisir l'autorité, reconquérir son royaume. Il retrouve son prestige en délivrant Paris d'une invasion allemande. S'il eût vécu davantage, qui sait s'il n'étouffait pas la chance des Capétiens ? Il mourut, quelques-uns disent empoisonné, en 986. Son fils Louis ne régna qu'un an et fut tué dans un accident de chasse. Il n'y avait plus de Carolingien qu'un lointain collatéral, Charles de Lorraine. Hugues Capet tenait l'occasion que sa famille attendait depuis la mort d'Eudes, et lui-même depuis trente années....."

                Ainsi, en un siècle et demi environ, laps de temps finalement assez court si on le ramène au temps long de l’Histoire, les Robertiens et les Capétiens ont su répondre deux fois de suite à la double problématique du peuple : un besoin de protection permanent, de fond, par la création durable et stable d’un état protecteur. Et un besoin de protection plus immédiat, contre les Normands et les invasions répétées.

               C’est là et pas ailleurs, dans ces deux services rendus à cent cinquante ans d’intervalle, que ce qui était en train de devenir la Famille de France a commencé a puiser sa légitimité. Une légitimité qui devra, bien sûr, être entretenue et, en quelque sorte, refondée à chaque génération (rien n'est jamais acquis à l'homme sur la terre.....).

               Mais la dynastie qui s'empare du pouvoir en 987, avec Hugues Capet, va constamment mériter et maintenir sa légitimité puisqu'elle va faire la France, et qu'elle va faire de cette France la première puissance de l'Europe au  XVIII°siècle.....(fin).

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  • (Communiqués) : Succès d'audience pour le film Cristeros...

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    1. (reçu jeudi matin, de l'équipe de Saje Distribution) :

    En ce jour où l’Eglise fête Saint Christophe Magallanes (joué par Peter O’Toole dans le film), nous voudrions vous adresser un immense merci à chacun de vous pour vos encouragements et votre engagement à mieux faire connaître le film Cristeros.

    Vous êtes déjà plus de 20 000 à avoir vu Cristeros au cours de sa première semaine de sortie. Nombreux sont ceux qui nous manifestent avoir été profondément bouleversés par le film. N’hésitez pas à en témoigner autour de vous car c’est le bouche à oreille qui va désormais permettre au film de s’installer durablement dans les salles obscures.

    Voilà quelques chiffres à l’issue de notre première semaine d’exploitation en salle.
    Sur les 15 nouveautés de la semaine dernière, nous sommes 5e. Ce qui est plutôt honorable, c’est d’avoir réussi à dépasser « Kidon » qui sortait avec 26 copies de plus que nous (et plus de séances par copies en raison des durées respectives des deux films). Sur l’ensemble des films qui étaient à l’affiche cette semaine, nous sortons 15e. Au niveau du nombre de spectateurs moyens par copie, nous sommes 3e du classement, ce qui est plutôt un très bon score, susceptible d’encourager les salles à nous garder (ou à nous prendre).
    La quasi-totalité des 61 salles qui nous ont fait confiance pour la première semaine, nous reprennent à partir de ce mercredi. Nous avons la satisfaction d’accueillir quelques nouvelles salles ce qui fait que nous serons sur 70 copies cette semaine (dont les nouvelles villes suivantes Aix-en-Provence, Anglet (Bayonne-Biarritz), Arras, Chatou, Cran-Gevrier (Annecy), Enghien-les-Bains, Lagny-sur-Seine, Le Grau-du-Roi, Libourne, Lourdes).

    Si vous avez déjà vu le film, et qu’il vous a plus, parlez-en autour de vous, invitez vos amis à aller le voir, profitez de la fête des voisins pour distribuer des tracts que vous pouvez imprimer directement chez vous en cliquant ici. Pensez également à noter le film sur Allociné (5 étoiles si vous pensez qu’il le mérite), à cliquer sur le bouton "Devenir fan" et à laisser un commentaire qui puisse donner envie au grand public d’aller voir ce film.

    Pour finir, voilà un florilège tiré des différents médias qui ont parlé du film (vous pouvez consulter la revue de presse ici) :

    « Bien écrit, bien filmé, bien rythmé, bien joué. Andy Garcia et Oscar Isaac sont parfaits dans leurs costumes de chefs chouans en sombrero. » (Le Figaro Magazine)             « La terreur qui veut essouffler cette foi, est montrée avec force et brio » (Le Monde des religions)
    « Film épique (qui) n’a rien à envier aux blockbusters américains » (Paris Match)
    « Cristeros communique la ferveur mystique de cette guerre animée par une extraordinaire volonté spirituelle » (Le Figaro)
    « Dean Wright raconte un épisode méconnu et passionnant de l’histoire mexicaine » (L’Officiel des spectacles)
    « Le film est servi par une maîtrise technique indéniable, la beauté des paysages mexicain, et le jeu d’Andy Garcia, plutôt convainquant dans son rôle de général qui se convertit dans tous les sens du terme à la cause » (Rue 89)
    « Cristeros raconte avec beaucoup de fougue et d’humanité cette épopée historique et méconnue » (Figaroscope)
    « La présence d'Andy Garcia, Eva Longoria et de Peter O'Toole donnent une idée de la qualité de ce long-métrage » (Direct Matin)
    « Andy Garcia fait mouche dans le rôle d’un général charismatique » (Première)
    « Une histoire vraie, à peine romancée » (La Provence)
    « Une fresque ambitieuse » (Le Dauphiné Libéré)
    « Le plaisir de retrouver un Andy Garcia moustachu en fin stratège de la guérilla » (Le Progrès)
    « Un western historique habité par le souffle de l’épopée » (Air le Mag)
    « Une émouvante épopée mise en scène avec classicisme et porté par un excellent casting » (Télé Poche)
    « Une passionnante fresque historique » (Prima)
    « Une vraie claque à prendre absolument ! » (Mdame Michu)
    « Peter O’Toole qui, pour son avant-dernière apparition, incarne un prêtre à la bonté et à l’humilité forcément désarmantes » (La Vie)
    « Des sommets d’émotions » (Famille Chrétienne)
    « Des scènes d’actions efficaces et un rien de leçon d’histoire » (Panorama)
    « Cristeros est l’un des rares films qu’il faut voir » (L’1visible)
    « Très fidèle à la vérité historique » (Jeunes Cathos blog)
    « Remarquable travail de recherche et de documentation de Michael Love, auteur du script » (Histoire du Christianisme Magazine)
    « Une pléiade de très bons acteurs, des décors superbes, tout a été réuni pour en faire un chef-d’œuvre » (L’Homme Nouveau)
    « Un bon et grand film qu’il faut aller voir ! » (Padre Blog)


    L’Equipe de Saje Distribution

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    2. (reçu vendredi matin, de Jean-Marie Schmitz, à propos du livre d'Hugues Kéraly sur les Cristeros) : 

    Cristeros : Après le film, en savoir plus... 

    Madame, Monsieur,
    Chers amis du Secours de France,

    Le très beau film américano-mexicain qui sort enfin dans les salles françaises éveille aujourd’hui l’intérêt du public pour une page de l’histoire du Nouveau Monde qui s’est trouvée systématiquement falsifiée, voire partout interdite d’Histoire pendant plus de trois générations.

    C’est la plus grande insurrection catholique du XXème siècle, celle d’une nation entière qui se lève pour défendre les libertés de sa foi, mais une insurrection occultée par le clergé et l’Etat mexicains, en raison notamment de son épouvantable conclusion. L’amnistie signée le 21 juin 1929 entre l’épiscopat et le gouvernement de Mexico ressemble en effet comme deux gouttes d’eau au “cessez-le-feu” du 19 mars 1962 en Algérie : l’ouverture du grand permis de massacrer (jusqu’en 1941 !) les combattants qui avaient cru en la parole donnée par les politiques, les diplomates et la Hiérarchie.

    Cette apocalypse recèle bien d’autres tragédies politiques, humaines et spirituelles, en amont et en aval du soulèvement général de 1926-1929, dont le film de Dean Wrigth ne pouvait rendre compte sans sortir du genre épique et narratif qui en fait le principal intérêt.

    Notre ami Hugues Kéraly – qui participe activement aux communications du Secours de France – est remonté aux sources, c’est-à-dire aux témoins. Il a longuement circulé et enquêté sur place, avec l’aide de plusieurs amis mexicains, à une époque où le simple port d’un insigne religieux au Mexique était encore puni d’amende ou de prison…

    A travers son livre, “La véritable histoire des Cristeros” (aux Editions de L’Homme Nouveau), Hugues Kéraly retrace dans toute leur ampleur le sens historique et l’actualité spirituelle de l’insurrection cristera, en l’illustrant par les photographies les plus symboliques de cette tragique épopée.

    A l’heure où 200 millions de chrétiens sont encore persécutés dans le monde, par des régimes qui ont décidé à leur tour d’en finir avec la foi chrétienne, je me permets de vous recommander la lecture de cet ouvrage, remarquablement inspiré, écrit et documenté. 

    Jean-Marie Schmitz
    Président du Secours de France

    Hugues Kéraly, journaliste et philosophe chrétien, a fait ses premières armes dans le grand reportage en Amérique Latine. Sa rencontre avec les survivants de l’épopée cristera, qu’il a pu interroger dans sa langue maternelle, l’espagnol, remonte aux années soixante-dix.

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    "La véritable histoire des Cristeros"