UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • « Gilets Jaunes : Bâtir un projet commun  », le Prince Jean de France s'exprime ...

    Louis XIV à cheval ...

    Publié le 13, actualisé le 14.12.2018

    2293089609.7.jpg

    Comme mon père le Comte de Paris qui est intervenu plusieurs fois récemment, je suis inquiet de la situation de notre pays.

    Le contrat politique et social d’après-guerre ne tient plus. Nous nous accordons tous pour dire qu’il faut changer nos schémas de pensée et nos comportements, ne pas vivre au dessus de nos moyens, respecter notre environnement. Mais si nous n’arrivons pas à résoudre les fractures de notre société, nous n’arriverons à rien. Elle sont nombreuses et profondes, entre les riches et les pauvres, les élites déracinées et la population, les villes et les territoires, les religions.

    Les Gilets Jaunes résument ces factures multiples. Ils représentent tous ces Françaises et Français, qui supportent tout depuis plus de trente ans mais qui n’y arrivent plus. Ils n’en peuvent plus de la cherté de la vie, du poids des impôts et taxes, d’un Etat qui ne les défend pas et qui ne les comprend même plus. S’agit-il de la France périphérique ? Je n’aime pas cette expression, elle est très parisienne. J’ai été parisien, mais depuis que je vis à Dreux je vois les choses autrement. D’ailleurs, sur le terrain et dans les territoires où les gens on gardé un certain bon sens, les manifestations de Gilets Jaunes sont autres. Aux ronds-points l’atmosphère est amicale, les échanges sont possibles, les solidarités fonctionnent.

    Le grand défi qui attend notre pays, c’est de retrouver au plus vite un dénominateur commun à partir duquel avancer, un socle commun a minima sur lequel nous puissions bâtir un projet fédérateur. Mais comment demander aux Françaises et aux Français des sacrifices, lorsqu’ils n’ont plus confiance dans leurs élites ? Comment se projeter dans l’avenir s’il n’y a pas de vision à long terme ? Comment réunir la population autour d’un projet commun lorsqu’on est l’élu d’une partie de la France contre l’autre ?

    Je souhaiterais quand même terminer mon propos sur une note positive. A Dreux, ce 8 décembre, dans le cadre de la fête populaire des Flambarts, la paroisse avait organisé une crèche vivante. Je ne sais si la chose s’est produite de façon fortuite mais les Gilets Jaunes et les forces de l’ordre se sont retrouvés un moment devant la crèche et ont entonné ensemble la Marseillaise. Peut-être que ce petit exemple peut nous donner une espérance pour sortir de cette impasse en vérité et sur des perspectives qui durent ? Courage, même si la situation est difficile !

    En cette fête du 8 décembre, où les chrétiens comme moi célèbrent la Vierge Marie, permettez-moi quand même de vous souhaiter, avec un peu d’avance, un joyeux Noël, pour vous-mêmes, vos familles, et tous vos proches.    

     

    Domaine Royal, le 13 décembre 2018

    Jean de France, Duc de Vendôme

     

    Le site officiel du Prince Jean de France

  • Le retour des centrales à charbon, un crime français, par Jean-Marc Frenove.

    Depuis 40 ans, c’est-à-dire depuis la fin de la présidence Giscard, la France est exportatrice d’électricité. Vitrine de l’excellence française, jamais le moindre problème, jamais le moindre accident. Et une électricité parmi les moins chères du monde. Ah, mais ! Il fallait que cela cesse. On a arrêté d’autorité les deux réacteurs de Fessenheim qui fournissaient 75 % de l’électricité d’Alsace-Lorraine.

    12.jpgEt aujourd’hui, zéro. Pas un seul ministre, pas un seul média pour dire à M. Macron qu’il allait priver d’emploi 3.000 personnes et transformer en désert une petite ville où le bonheur était palpable.

    Cette décision infantile a déjà sa sanction, qui va sans doute satisfaire le gamin : ce mois-ci, et malgré les températures estivales, EDF a dû rallumer ses centrales à charbon pour faire l’appoint, informe LCI. Ça ne s’était jamais vu en dehors des vagues de froid de l’hiver.

    Comment est-ce possible ?

    Dans notre système hexagonal parfaitement rodé, on profite des mois d’été peu gourmands en énergie pour faire la maintenance des réacteurs nucléaires, sous le contrôle sévère de l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire). Ils sont donc indisponibles à tour de rôle, et ça n’a jamais posé le moindre problème. Nos centrales zéro fumée zéro CO2 ont toujours fait face. Jusqu’à présent…

    Or, malgré ce fonctionnement sans faille du système nucléaire, la France, saoulée par la propagande écolo, a lancé, en 2010, un gigantesque programme de subventions d’éoliennes et de capteurs photovoltaïques. Ce programme a été dénoncé par la Cour des comptes, dans son rapport de 2018, pour son coût faramineux et pour son résultat dérisoire. Car il va coûter, s’il va à son terme, 121 milliards d’euros. Dépense totalement inutile. En France, les éoliennes et le solaire n’apportent rien au climat, puisque notre énergie électrique est entièrement décarbonée.
    En revanche, ils enrichissent des industriels aux méthodes douteuses, étrangers pour la plupart, et dont les porte-coton sont les politiciens . 121 milliards, c’est le jackpot ! Et sachez qu’ils sont financés par des taxes spécifiques qu’on ne cesse de greffer sur votre facture d’électricité.

    Selon le bon vieil adage : puiser dans la poche des pauvres pour enrichir quelques-uns. Au passage, on peut constater que le mouvement écolo, allié à l’extrême gauche, favorise en toute connaissance de cause un business où pullulent des entreprises à la moralité parfois douteuse. Règne de l’argent vite gagné et sans risque. Et ce business a des conséquences clairement négatives sur le climat, car la fabrication des éoliennes et du photovoltaïque est tout sauf décarbonée, et sur notre richesse nationale car la plus grande partie des milliards soustraits au contribuable va à des entreprises autres que françaises.

    Mais revenons à notre impasse électrique du mois de septembre : l’EDF, victime des deux réacteurs manquants de Fessenheim, comptait sur les éoliennes pour faire la jonction jusqu’à la fin des travaux de maintenance. Vu leur prix faramineux, elles allaient enfin servir à quelque chose.

    Hélas, les moulins de pacotille, commandés par des politiciens de pacotille, n’ont pas fonctionné : il n’y avait pas de vent !

    *Cour des comptes : Le Soutien aux énergies renouvelables, communication à la commission des finances du sénat, 117 pages, mars 2018. Disponible sur Internet.

     

     

    Jean-Marc Frenove

    Economiste et spécialiste des énergies
     
  • Après Le Bourget et Marseille : c'est parti pour deux mois très rudes.....

    Elections-300-pr.JPG        Nous ne donnerons pas plus de consignes de vote cette fois-ci qu'en 2007, ni qu'avant d'ailleurs, car notre rôle n'est pas là : nous ne nous dépensons pas pour la conquête du pouvoir par un Parti ou par un homme (ou une femme) mais pour la promotion d'une Institution et le changement de Système. 

            Tout le monde sait pertinemment que des royalistes voteront Hollande, d'autres Bayrou, d'autres Sarkozy, d'autres Le Pen. A quoi servirait, d’ailleurs, que nous disions pour qui nous croyons qu’il faudra voter ? Qui s’en soucierait ? Car chacun, de fait, fera selon ses penchants.

            Nous essaierons d’être utiles de deux manières : la première consistera à analyser, comparer, faire ressortir le positif et le négatif des politiques, des programmes, des hommes en « compétition », au seul regard du Bien Commun, celui de la France et des Français. C’est ainsi que nous contribuerons le plus utilement au jugement que chacun se forgera, à la décision que chacun prendra. Nous aussi, nous disposerons des deux mois qui viennent pour nous y essayer. Car , bien-sûr, nous ne nous désintéressons pas de l’avenir immédiat de notre pays. Et notre seconde manière d’être utiles se situera du point de vue d’un horizon plus lointain mais singulièrement plus essentiel : nous, nous rappellerons simplement qu'une fois passée la fièvre électorale, et quel que soit le candidat porté au pouvoir, à peu de choses près, car Droite et Gauche ont des politiques de plus en plus semblables, la France se retrouvera avec ses problèmes, le premier d'entre eux étant ses Institutions...

    sarkozy marseille election 2012.jpg        Quelques mots pourtant sur la première "grande" réunion de Sarkozy, à Marseille, qui "répondait" en quelque sorte à la grande réunion de Hollande au Bourget. On ne peut que constater que Hollande a réussi son coup, au Bourget, et Sarkozy le sien à Marseille : discours habile, affirmations musclées, propos alléchants, hymne à "la France"... il y avait même un subjonctif imparfait !

            Il est clair que - comme Chirac - Sarkozy est une "bête à élections" : ce qu'il en fait, ou peut en faire, après les avoir gagnées, c'est un autre sujet, mais, si l'on s'en tient à la forme, la principale révélation du meeting de Marseille est que la Campagne va être courte (deux mois de turbulences, qui seront longs pour la France) mais très, très rude : ce n'est pas à fleurets mouchetés mais à boulets rouges vifs que Sarkozy a tonné hier. Hollande - et Sarkozy lui-même - tiendront-ils la distance, auront-ils assez de souffle, de "coffre", pour tenir ce rythme ?

            Réponse dans deux mois : à ce moment-là, lancinant, se reposera le problème qui justifie notre existence et notre action, temporairement éclipsé, pour les superficiels, par l'affrontement virulent qui démarre - une fois de plus - pour la conquête d'un pouvoir qui, au contraire, devrait être "séquestré", selon la formule de Renan, "réservé", selon celle de Maurras; a-démocratique, afin d'assurer stabilité et continuité à l'action pérenne en vue du Bien Commun.

            C'est peut-être moins exaltant, moins poudre aux yeux, moins bluffant, qu'une campagne électorale, mais, comme nous l’avons dit plus haut, c'est nettement plus profond.....

  • Notre Compte courant postal est ouvert : la réorganisation interne de lafautearousseau est terminée...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpgComme je vous l'annonçais avant-hier, et vous le confirmais hier, nous avons ouvert, avec notre nouveau Trésorier, le nouveau Compte de la nouvelle Association qui gère désormais notre cher quotidien lafautearousseau, qui vient de fêter ses douze ans et demi.

    Je vous annonce donc la fin de la ré-organisation/refonte complète de l'architecture de notre quotidien : il n'y a plus désormais qu'un seul sigle - "lafautearousseau" - pour le quotidien lui-même, pour l'Association qui le gère et pour le Compte courant postal.

    L'ancienne association ("les amis de lafautearousseau", dont j'étais Secrétaire et dont je me suis retiré) est donc caduque, dissoute de fait et, de toutes façons, dans l'impossibilité juridique d'intervenir en quoi que ce soit dans les affaires de lafautearousseau, sigle désormais protégé par l'INPI, et donc "marque déposée"; elle est remplacée par l' "Association lafautearousseau"

    De même, pour les finances, lafautearousseau ne passera plus désormais par le compte de la fédération royaliste provençale; c'était commode pour moi, car cela me libérait d'un souci matériel alors que la tâche rédactionnelle (articles, Albums, Ephémérides, PDF, Pages, Documents...) était très lourde. Mais il est vrai que ce n'était pas satisfaisant, en soi, et que cela n'aurait pas du durer. Je profite donc de ce qui s'est passé en mai pour assainir notre fonctionnement financier, le rendre totalement transparent et totalement indépendant de toute autre structure que... lafautearousseau.

    Je lance dès à présent un appel à votre générosité pour accomplir un acte militant : soutenir le quotidien que, militants nous-même, nous passons beaucoup de temps à vous offrir.

    Il ne s'agit pas de payer : j'ai voulu un lafautearousseau gratuit dès que je l'ai fondé, et gratuit il restera. Il s'agit simplement, vous le comprenez bien, de nous donner les moyens matériels de notre simple existence, d'une part, moyens qui nous permettront, d'autre part, de mener nos actions à venir : je pense particulièrement à la campagne que lafautearousseau a lancée pour sauver la maison de Maurras, à Martigues. Nul doute que les élections municipales qui approchent permettront à cette campagne - dont j'ignore encore quels développements elle aura... - de devenir peut-être une excellente manière de fédérer des énergies en vue d'une belle et noble cause : inscrire la Maison du Chemin de Paradis au réseau des Maisons des Illustres, et en faire le grand centre intellectuel de rayonnement national et international qu'elle peut et doit devenir. Pour cela, encore faut-il commencer par sauver cette maison - éviter qu'elle ne s'écroule par exemple... - et faire tomber le dernier mur de Berlin encore existant en Europe : celui d'une mairie hargneuse et vivant encore au temps de Peppone et de Staline, et qui empêche scandaleusement l'accès au site (jardin et maison) en même temps qu'elle le laisse se dégrader inexorablement...

    5 EUROS.jpg

    Vous comprenez bien que, pour notre existence quotidienne et pour de futurs combats comme celui-ci nous avons besoin de vous, de votre soutien, de votre "militantisme financier". Nous ne vous demandons pas grand'chose : il vaut mieux demander peu à beaucoup, que beaucoup à peu, et toujours les mêmes... Si chacun nous envoyait, une fois par an, 5 euros, l'avenir serait radieux pour nous et nos projets ! Jusqu'à présent, les dons reçus à notre adresse (qui, remarquez-le, n'a pas changé) allaient de 5 à 100 euros (chèques ou Paypal).

    Et, puisque je vous parle du Paypal, sachez qu'il ne sera opérationnel que dans une dizaine de jours, le temps nécessaire à la fabrication de la carte visa et du chéquier, qui comprendra le RIB avec les informations nécessaires à l'ouverture, justement, du compte Paypal...

    Voilà, je crois vous avoir tout dit. Je vous remercie par avance, en mon nom personnel et au nom de toute l'équipe de lafautearousseau, pour le soutien que - je n'en doute pas un seul instant - vous continuerez à nous manifester; comme je ne doute pas un seul instant du plaisir que vous aurez à le faire, égal au plaisir que nous avons, nous, de vous offrir, chaque matin, votre lafautearousseau...

    En avant, tous ensemble, vers toutes ces actions qui nous attendent !

    François Davin, fondateur et Blogmestre de lafauteraousseau

    lafautearousseau logo definitif.jpg

    PS : je vous joins, ci-après les trois documents officiels attestant de la création de l'Association "lafautearousseau" : il s'agit de trois mauvaises photocopies que j'ai faites sur place, en attendant; j'en ferai de meilleures très vite...

    JOURNAL OFFICIEL 1.jpg

    JOURNAL OFFICIEL 2.jpg

    JOURNAL OFFICIEL 3.jpg

  • Notre Compte courant postal est ouvert : la réorganisation interne de lafautearousseau est terminée...

    lfar flamme.jpgComme prévu, nous avons ouvert, avec notre nouveau Trésorier, le nouveau Compte de la nouvelle Association qui gère désormais notre cher quotidien lafautearousseau, qui vient de fêter ses douze ans et demi.

    Je vous annonce donc la fin de la ré-organisation/refonte complète de l'architecture de notre quotidien : il n'y a plus désormais qu'un seul sigle - "lafautearousseau" - pour le quotidien lui-même, pour l'Association qui le gère et pour le Compte courant postal.

    L'ancienne association ("les amis de lafautearousseau", dont j'étais Secrétaire et dont je me suis retiré) est donc caduque, dissoute de fait et, de toutes façons, dans l'impossibilité juridique d'intervenir en quoi que ce soit dans les affaires de lafautearousseau, sigle désormais protégé par l'INPI, et donc "marque déposée"; elle est remplacée par l' "Association lafautearousseau"

    De même, pour les finances, lafautearousseau ne passera plus désormais par le compte de la fédération royaliste provençale; c'était commode pour moi, car cela me libérait d'un souci matériel alors que la tâche rédactionnelle (articles, Albums, Ephémérides, PDF, Pages, Documents...) était très lourde. Mais il est vrai que ce n'était pas satisfaisant, en soi, et que cela n'aurait pas du durer. Je profite donc de ce qui s'est passé en mai pour assainir notre fonctionnement financier, le rendre totalement transparent et totalement indépendant de toute autre structure que... lafautearousseau.

    Je lance dès à présent un appel à votre générosité pour accomplir un acte militant : soutenir le quotidien que, militants nous-même, nous passons beaucoup de temps à vous offrir.

    Il ne s'agit pas de payer : j'ai voulu un lafautearousseau gratuit dès que je l'ai fondé, et gratuit il restera. Il s'agit simplement, vous le comprenez bien, de nous donner les moyens matériels de notre simple existence, d'une part, moyens qui nous permettront, d'autre part, de mener nos actions à venir : je pense particulièrement à la campagne que lafautearousseau a lancée pour sauver la maison de Maurras, à Martigues. Nul doute que les élections municipales qui approchent permettront à cette campagne - dont j'ignore encore quels développements elle aura... - de devenir peut-être une excellente manière de fédérer des énergies en vue d'une belle et noble cause : inscrire la Maison du Chemin de Paradis au réseau des Maisons des Illustres, et en faire le grand centre intellectuel de rayonnement national et international qu'elle peut et doit devenir. Pour cela, encore faut-il commencer par sauver cette maison - éviter qu'elle ne s'écroule par exemple... - et faire tomber le dernier mur de Berlin encore existant en Europe : celui d'une mairie hargneuse et vivant encore au temps de Peppone et de Staline, et qui empêche scandaleusement l'accès au site (jardin et maison) en même temps qu'elle le laisse se dégrader inexorablement...

    5 EUROS.jpg

    Vous comprenez bien que, pour notre existence quotidienne et pour de futurs combats comme celui-ci nous avons besoin de vous, de votre soutien, de votre "militantisme financier". Nous ne vous demandons pas grand'chose : il vaut mieux demander peu à beaucoup, que beaucoup à peu, et toujours les mêmes... Si chacun nous envoyait, une fois par an, 5 euros, l'avenir serait radieux pour nous et nos projets ! Jusqu'à présent, les dons reçus à notre adresse (qui, remarquez-le, n'a pas changé) allaient de 5 à 100 euros (chèques ou Paypal).

    Et, puisque je vous parle du Paypal, sachez qu'il ne sera opérationnel que dans une dizaine de jours, le temps nécessaire à la fabrication de la carte visa et du chéquier, qui comprendra le RIB avec les informations nécessaires à l'ouverture, justement, du compte Paypal...

    Voilà, je crois vous avoir tout dit. Je vous remercie par avance, en mon nom personnel et au nom de toute l'équipe de lafautearousseau, pour le soutien que - je n'en doute pas un seul instant - vous continuerez à nous manifester; comme je ne doute pas un seul instant du plaisir que vous aurez à le faire, égal au plaisir que nous avons, nous, de vous offrir, chaque matin, votre lafautearousseau...

    En avant, tous ensemble, vers toutes ces actions qui nous attendent !

    François Davin, fondateur et Blogmestre de lafauteraousseau

    lafautearousseau logo definitif.jpg

  • Notre Compte courant postal est ouvert : la réorganisation interne de lafautearousseau est terminée...

    lfar flamme.jpgComme prévu, nous avons ouvert, avec notre nouveau Trésorier, le nouveau Compte de la nouvelle Association qui gère désormais notre cher quotidien lafautearousseau, qui vient de fêter ses douze ans et demi.

    Je vous annonce donc la fin de la ré-organisation/refonte complète de l'architecture de notre quotidien : il n'y a plus désormais qu'un seul sigle - "lafautearousseau" - pour le quotidien lui-même, pour l'Association qui le gère et pour le Compte courant postal.

    L'ancienne association ("les amis de lafautearousseau", dont j'étais Secrétaire et dont je me suis retiré) est donc caduque, dissoute de fait et, de toutes façons, dans l'impossibilité juridique d'intervenir en quoi que ce soit dans les affaires de lafautearousseau, sigle désormais protégé par l'INPI, et donc "marque déposée"; elle est remplacée par l' "Association lafautearousseau".

    De même, pour les finances, lafautearousseau ne passera plus désormais par le compte de la fédération royaliste provençale; c'était commode pour moi, car cela me libérait d'un souci matériel alors que la tâche rédactionnelle (articles, Albums, Ephémérides, PDF, Pages, Documents...) était très lourde. Mais il est vrai que ce n'était pas satisfaisant, en soi, et que cela n'aurait pas du durer. Je profite donc de ce qui s'est passé en mai pour assainir notre fonctionnement financier, le rendre totalement transparent et totalement indépendant de toute autre structure que... lafautearousseau.

    Je lance dès à présent un appel à votre générosité pour accomplir un acte militant : soutenir le quotidien que, militants nous-même, nous passons beaucoup de temps à vous offrir.

    Il ne s'agit pas de payer : j'ai voulu un lafautearousseau gratuit dès que je l'ai fondé, et gratuit il restera. Il s'agit simplement, vous le comprenez bien, de nous donner les moyens matériels de notre simple existence, d'une part, moyens qui nous permettront, d'autre part, de mener nos actions à venir : je pense particulièrement à la campagne que lafautearousseau a lancée pour sauver la maison de Maurras, à Martigues. Nul doute que les élections municipales qui approchent permettront à cette campagne - dont j'ignore encore quels développements elle aura... - de devenir peut-être une excellente manière de fédérer des énergies en vue d'une belle et noble cause : inscrire la Maison du Chemin de Paradis au réseau des Maisons des Illustres, et en faire le grand centre intellectuel de rayonnement national et international qu'elle peut et doit devenir. Pour cela, encore faut-il commencer par sauver cette maison - éviter qu'elle ne s'écroule par exemple... - et faire tomber le dernier mur de Berlin encore existant en Europe : celui d'une mairie hargneuse et vivant encore au temps de Peppone et de Staline, et qui empêche scandaleusement l'accès au site (jardin et maison) en même temps qu'elle le laisse se dégrader inexorablement...

    5 EUROS.jpg

    Vous comprenez bien que, pour notre existence quotidienne et pour de futurs combats comme celui-ci nous avons besoin de vous, de votre soutien, de votre "militantisme financier". Nous ne vous demandons pas grand'chose : il vaut mieux demander peu à beaucoup, que beaucoup à peu, et toujours les mêmes... Si chacun nous envoyait, une fois par an, 5 euros, l'avenir serait radieux pour nous et nos projets ! Jusqu'à présent, les dons reçus à notre adresse (qui, remarquez-le, n'a pas changé) allaient de 5 à 100 euros (chèques ou Paypal).

    Et, puisque je vous parle du Paypal, sachez qu'il ne sera opérationnel que dans une dizaine de jours, le temps nécessaire à la fabrication de la carte visa et du chéquier, qui comprendra le RIB avec les informations nécessaires à l'ouverture, justement, du compte Paypal...

    Voilà, je crois vous avoir tout dit. Je vous remercie par avance, en mon nom personnel et au nom de toute l'équipe de lafautearousseau, pour le soutien que - je n'en doute pas un seul instant - vous continuerez à nous manifester; comme je ne doute pas un seul instant du plaisir que vous aurez à le faire, égal au plaisir que nous avons, nous, de vous offrir, chaque matin, votre lafautearousseau...

    En avant, tous ensemble, vers toutes ces actions qui nous attendent !

    François Davin, fondateur et Blogmestre de lafauteraousseau

    lafautearousseau logo definitif.jpg

  • Notre Compte courant postal est ouvert : la réorganisation interne de lafautearousseau est terminée...

    lfar flamme.jpgComme prévu, nous avons ouvert, avec notre nouveau Trésorier, le nouveau Compte de la nouvelle Association qui gère désormais notre cher quotidien lafautearousseau, qui vient de fêter ses douze ans et demi.

    Je vous annonce donc la fin de la ré-organisation/refonte complète de l'architecture de notre quotidien : il n'y a plus désormais qu'un seul sigle - "lafautearousseau" - pour le quotidien lui-même, pour l'Association qui le gère et pour le Compte courant postal.

    L'ancienne association ("les amis de lafautearousseau", dont j'étais Secrétaire et dont je me suis retiré) est donc caduque, dissoute de fait et, de toutes façons, dans l'impossibilité juridique d'intervenir en quoi que ce soit dans les affaires de lafautearousseau, sigle désormais protégé par l'INPI, et donc "marque déposée"; elle est remplacée par l' "Association lafautearousseau"

    De même, pour les finances, lafautearousseau ne passera plus désormais par le compte de la fédération royaliste provençale; c'était commode pour moi, car cela me libérait d'un souci matériel alors que la tâche rédactionnelle (articles, Albums, Ephémérides, PDF, Pages, Documents...) était très lourde. Mais il est vrai que ce n'était pas satisfaisant, en soi, et que cela n'aurait pas du durer. Je profite donc de ce qui s'est passé en mai pour assainir notre fonctionnement financier, le rendre totalement transparent et totalement indépendant de toute autre structure que... lafautearousseau.

    Je lance dès à présent un appel à votre générosité pour accomplir un acte militant : soutenir le quotidien que, militants nous-même, nous passons beaucoup de temps à vous offrir.

    Il ne s'agit pas de payer : j'ai voulu un lafautearousseau gratuit dès que je l'ai fondé, et gratuit il restera. Il s'agit simplement, vous le comprenez bien, de nous donner les moyens matériels de notre simple existence, d'une part, moyens qui nous permettront, d'autre part, de mener nos actions à venir : je pense particulièrement à la campagne que lafautearousseau a lancée pour sauver la maison de Maurras, à Martigues. Nul doute que les élections municipales qui approchent permettront à cette campagne - dont j'ignore encore quels développements elle aura... - de devenir peut-être une excellente manière de fédérer des énergies en vue d'une belle et noble cause : inscrire la Maison du Chemin de Paradis au réseau des Maisons des Illustres, et en faire le grand centre intellectuel de rayonnement national et international qu'elle peut et doit devenir. Pour cela, encore faut-il commencer par sauver cette maison - éviter qu'elle ne s'écroule par exemple... - et faire tomber le dernier mur de Berlin encore existant en Europe : celui d'une mairie hargneuse et vivant encore au temps de Peppone et de Staline, et qui empêche scandaleusement l'accès au site (jardin et maison) en même temps qu'elle le laisse se dégrader inexorablement...

    5 EUROS.jpg

    Vous comprenez bien que, pour notre existence quotidienne et pour de futurs combats comme celui-ci nous avons besoin de vous, de votre soutien, de votre "militantisme financier". Nous ne vous demandons pas grand'chose : il vaut mieux demander peu à beaucoup, que beaucoup à peu, et toujours les mêmes... Si chacun nous envoyait, une fois par an, 5 euros, l'avenir serait radieux pour nous et nos projets ! Jusqu'à présent, les dons reçus à notre adresse (qui, remarquez-le, n'a pas changé) allaient de 5 à 100 euros (chèques ou Paypal).

    Et, puisque je vous parle du Paypal, sachez qu'il ne sera opérationnel que dans une dizaine de jours, le temps nécessaire à la fabrication de la carte visa et du chéquier, qui comprendra le RIB avec les informations nécessaires à l'ouverture, justement, du compte Paypal...

    Voilà, je crois vous avoir tout dit. Je vous remercie par avance, en mon nom personnel et au nom de toute l'équipe de lafautearousseau, pour le soutien que - je n'en doute pas un seul instant - vous continuerez à nous manifester; comme je ne doute pas un seul instant du plaisir que vous aurez à le faire, égal au plaisir que nous avons, nous, de vous offrir, chaque matin, votre lafautearousseau...

    En avant, tous ensemble, vers toutes ces actions qui nous attendent !

    François Davin, fondateur et Blogmestre de lafauteraousseau

    lafautearousseau logo definitif.jpg

  • Vers le krach du siècle, l’explosion du Système et l’hyper-inflation, par Marc Rousset

     

    L’arbre qui cache la forêt en matière de crise systémique, c’est ce que l’on peut lire, voir ou écouter tous les jours dans les médias lorsqu’ils traitent des problèmes de l’inflation, des taux des banques centrales, de la situation des banques, des taux de croissance. Nous ferons un bref rappel de ces questions avant de nous intéresser au problème fondamental de l’hyper-endettement et à différentes annonces de crise systémique à venir par plusieurs économistes de renommée internationale.

    Christine Lagarde, une pure juriste sans formation économique, très habile politicienne, d’origine normande au sens propre et figuré, ne se « mouille » pas trop en nous promettant une « instabilité » accrue avec des « chocs répétés » dans les années à venir. Afin de combattre l’inflation en Europe, la BCE va de nouveau augmenter très probablement les taux d’intérêt de 0,50 % en mai, après les avoir déjà augmentés de 3,50 % depuis juillet 2022. Selon Isabel Schnabel, membre du directoire de la BCE, « il est clair que de nouvelles hausses de taux sont nécessaires, mais l’ampleur de ces hausses dépendra des données à venir ».

    MARC ROUSSET.jpgLes investisseurs gardent un œil inquiet concernant les perspectives économiques aux États-Unis et en Europe, suite aux incertitudes sur les banques, l’inflation et la croissance à venir. Aux États-Unis la croissance s’est effondrée au premier trimestre 2023 en passant de 2,6 % à seulement 1,1 %. En France, la croissance au premier trimestre n’a été que de 0,2 % tandis que l ‘Allemagne stagne, échappant de peu à la récession. Les pertes latentes dans les actifs des banques et des assureurs, essentiellement sous forme de baisse du prix des obligations car il y a très peu de cadavres boursiers jusqu’à ce jour, suite aux augmentations des taux d’intérêt, sont aussi très préoccupantes ; rien que pour les compagnies d’assurance en France, elles s’élèvent à 438 milliards d’euros.

    Aux États-Unis, les taux d’intérêt étant plus élevés qu’en Europe, il est probable que la Fed augmentera les taux de 0, 25 % seulement en mai, pour les porter à 5 – 5,25 %, tout en annonçant la fin de la hausse des taux, afin de rassurer les investisseurs et le Système. Les taux pourraient même ensuite rebaisser en cas de menace de trop grande dépréciation des obligations à l’actif des bilans, ce qui pose de graves problèmes aux banques régionales américaines, ou en cas de forte récession de l’économie américaine. Il faut entre 18 et 24 mois pour connaître les effets d’une hausse des taux sur l’économie.

    Les banques inquiètent davantage aux États-Unis qu’en Europe. La banque américaine First Republic, 14e banque du pays, est au bord du précipice, avec des retraits de plus de 100 milliards de dépôts pour ne laisser plus que 75 milliards dans les coffres, malgré une aide de 30 milliards d’un pool de grandes banques américaines menées par JP Morgan. L’action a encore plongé vendredi de 43 % pour finir à 3,51 dollars, soit une valorisation de la banque à 654 millions de dollars, alors qu’elle valait plus de 40 milliards en novembre 2021 ; la situation de cette banque est désespérée ; le problème de son sauvetage par la FDIC, l’agence américaine en charge de garantir les dépôts bancaires est posé, avec un dilemme : va-t-elle sauver tous les dépôts, y compris ceux au-delà de 250 000 dollars, comme cela été pratiqué pour SVB et Signature Bank, alors qu’elle n’en a pas le droit ! Mais si la FDIC ne rembourse pas finalement tous les dépôts sans exception aucune, cela pourrait très rapidement déclencher une panique bancaire aux États-Unis pour les banques moyennes et petites ! Sur le plan macro-économique, la hausse des taux d’intérêt ainsi que ces trois récentes faillites bancaires ont conduit à un durcissement des conditions des prêts bancaires, ce qui fragilise l’économie américaine.
    Selon Warren Buffet, « les faillites bancaires ne sont pas terminées ». La garantie des dépôts par le gouvernement américain au-delà de 250 000 dollars est très probable en cas de panique, mais elle n’est pas officielle et garantie. Le rétablissement souhaité par Biden d’une surveillance accrue pour les petites banques dont les actifs atteignent entre 100 milliards et 250 milliards de dollars, suite à l’erreur de Donald Trump qui les a exemptées des règles et ratios financiers de Bâle, contrairement aux banques importantes, va dans le bon sens.

    Le sentiment dominant sur les marchés est que les cygnes noirs en matière bancaire vont momentanément regagner leurs tanières, d’autant plus que les banques centrales sauront s’arrêter ou revenir en arrière pour les taux d’intérêts, malgré l’inflation, si cela devait engendrer de trop nombreuses faillites bancaires. Le secteur bancaire européen a connu cependant encore, ce vendredi 28 avril, des regains de tensions avec la banque britannique Natwest qui a fait état d’une baisse de 20 milliards de livres (22,7 milliards d’euros) de ses dépôts au premier trimestre. Le Système n’a pas les moyens aux États-Unis, comme en Europe, de couvrir l’ensemble des dépôts en cas de panique totale et de perte de confiance.
    Le danger de l’explosion du système bancaire est donc toujours là, mais en apparence sous contrôle car les banques centrales veillent comme le lait sur le feu, avec des réactions immédiates et très rapides, ce qui fut le cas pour Crédit Suisse. Mais le problème de l’hyper-endettement, lui, peut devenir très rapidement hors de contrôle, tel un tsunami qui ravagerait tout sur son passage, toutes les banques s’écroulant alors, les unes après les autres, comme un château de cartes !

    JP Morgan considère comme « cataclysmique » à juste titre la combinaison de la hausse des taux, de la crise des dettes publiques et de l’hyper-endettement tous agents confondus. Financer en 2023 un nouveau plafond de la dette publique américaine actuellement à 31 400 milliards de dollars qui représente 121 % du PIB, ce n’est pas la même chose à 5,1 % qu’à 1 %. En France, comme l’a souligné Villeroy de Galhau, le Président de la Banque de France, toute augmentation de taux d’intérêt de 1 % représente au bout de 10 ans, une charge supplémentaire d’intérêts de 39 milliards d’euros. Pour un taux normal historique à long terme de 6 %, cela représenterait donc environ 240 milliards d’euros de charges d’intérêt à terme, au bout de 10 ans, soit environ 80 % du des recettes du budget régalien de l’État (environ 300 milliards d’euros). Autant dire que la messe est déjà dite, que ce serait l’explosion et la faillite assurée pour la France ! À fin 2022, l’endettement de la France représentait 111,6 % du PIB.

    La dette de l’État italien est encore plus pharaonique (135 % du PIB) que la dette française. Le montant d’intérêts que l’Italie doit verser chaque année atteint 3,5 % du PIB. Le taux italien d’emprunt à 10 ans est déjà à 4,27 % ! Ce taux n’est donc déjà plus supportable pour les finances du pays, sauf si la BCE continue à acheter la dette italienne dont elle détient actuellement 31 % du stock.
    Bruno Le Maire et tous les gouvernements européens affichent sans vergogne une baisse en trompe-l’œil de la dette publique. L’endettement diminue en pourcentage du PIB grâce à l’inflation qui gonfle le PIB d’une façon artificielle, tandis que les déficits s’accroissent pour de bon en raison des boucliers énergétiques. Macron est resté ferme pour les retraites car sans cette réforme qui marque l’esprit des investisseurs, la note de la France aurait été encore plus dégradée, ce qui aurait signifié un taux d’emprunt encore plus élevé. Cela n’a pas empêché cependant l’agence Fitch, suite aux manifestations et au mécontentement social, de dégrader la note de la France à « AA – » avec « appréciation pessimiste ».

    La France avec un déficit de – 6,1 % du PIB au quatrième trimestre 2022, 53,5 % du PIB de dépenses publiques, 44,4 % du PIB de prélèvements obligatoires, n’est pas un pays sérieux depuis 40 ans ! Pour l’instant, le taux à 10 ans payé par la France est de 3,03 %, avec des projections à 3,4 % pour 2027, si les vents sont très favorables, ce qui n’est pas du tout certain ! De plus selon le FMI, la France est le seul pays incapable réduire régulièrement son déficit public pour le faire passer sous la barre des 3 %. La France devrait théoriquement atteindre en 2028, un taux d’endettement de 115 % du PIB. Dans le cadre d’une réforme de la zone euro, l’Allemagne exige des règles de désendettement strict (une réduction d’un point de PIB par an) que la France, structurellement insouciante et gaspilleuse, est incapable de mettre en œuvre, ne faisant rien pour combattre l’immigration ruineuse et suicidaire, ni pour diminuer le nombre de ses 2 millions de fonctionnaires en trop.

    Selon l’économiste américain Peter Schiff, la plus grande crise financière de mémoire d’homme se précipite vers nous ; sauve qui peut car un Méga-Krach avec une inflation à 2 chiffres se profile à l’horizon. Le choc sera d’une plus grande envergure qu’en 2008. Au moment de l’effondrement des « subprimes » en 2007, les décideurs affirmaient également qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter. L’argent n’est plus en sécurité dans une banque car soit votre banque fera faillite et vous perdrez votre argent, soit votre banque ne fera pas faillite parce que votre gouvernement se portera garant pour elle. Dans ce cas, votre argent perdra son pouvoir d’achat. Quoi qu’il en soit, vous devriez mettre votre argent à l’abri dès maintenant. Mais ne le placez pas sous votre matelas, car il y perdra également son pouvoir d’achat. Vous devriez donc, toujours selon Peter Schiff, le convertir en actifs durables ou en or physique.

    L’analyste suisse internationalement reconnu Egon von Greyerz estime aussi qu’un méga krach est inévitable. Les banques centrales ont pris l’habitude de faire face à chaque crise en imprimant de l’argent. L’émission incontrôlée d’argent et l’accumulation de montagnes de dettes, à des niveaux jamais atteints auparavant, se terminera inévitablement par un énorme effondrement. Les actifs des marchés financiers perdront jusqu’à 70 % de leur valeur et certains deviendront même totalement sans valeur.
    Selon Jacques Attali, une immense crise financière menace. À moins d’agir vite, elle frappera probablement au cours d’un été, à partir de cette année 2023 incluse. Et si, par procrastination générale, elle est reportée, elle n’en sera, plus tard, que plus sévère. Nous avons tout pour la dominer vraiment, à condition de comprendre que c’est tout notre modèle de développement qui est en cause. La crise se déclenchera, comme beaucoup d’autres avant elle, dans la deuxième quinzaine d’un mois d’août : comme en 1857, en 1971, en 1982 et en 1993, sans pouvoir prédire l’année exacte.

    Dans une interview accordée à CNBC, Patrick Carroll, PDG de la société d’investissement immobilier Carroll, prédit que le marché immobilier se retournera d’une façon désastreuse dans les prochaines années, car d’énormes quantités de dettes hypothécaires commerciales arrivent à échéance. La Banque Morgan Stanley alerte aussi sur l’immobilier commercial aux États-Unis en disant que ce sera pire que lors de la grande crise financière de 2008. Les économistes de Morgan Stanley sonnent l’alarme à propos du risque que représente l’immobilier commercial, entrevoyant des difficultés à venir en matière de refinancement.

    Quant au journaliste financier américain John Rubino, il prévoit l’éclatement de la bulle des milliers de milliards de dollars des produits dérivés. On assistera soit à des faillites massives, soit à un gonflement mondial supplémentaire des monnaies ; c’est aussi simple que ça ! 2023 sera une année passionnante car il nous sera possible de savoir dans quel type de crise nous nous trouvons. Si nous continuons à augmenter les taux d’intérêt, nous aurons une dépression déflationniste, comme dans les années 1930. Sinon nous aurons une hyperinflation comme sous la République de Weimar, en cherchant à sortir de nos problèmes de dettes par l’inflation.

    L’économiste américain Michael T Snyder estime aussi qu’on ne peut pas ignorer les signes avant-coureurs de la tempête qui se prépare. Ces dernières années, les investisseurs ont été gâtés par les banques centrales. Les marchés ont été inondés d’argent liquide et c’est de cette façon que des indices comme le Dax, Nasdaq et le S&P 500 ont constamment atteint de nouveaux sommets, alors que les crises ne manquent pas. Un sondage CNBC a révélé que les Américains « n’ont jamais évalué les perspectives économiques de manière aussi négative ». Ceci est effrayant car même à l’époque de la crise financière de 2008/2009, les Américains étaient beaucoup plus optimistes quant à l’état de l’économie.
    Selon Ray Diallo, le fondateur de Bridgewater Associates, les niveaux d’endettement sont devenus insoutenables. Les dettes augmenteront tellement que les banques centrales devront les acheter. Les taux d’intérêt sont suffisamment élevés pour lutter contre l’inflation et fournir aux prêteurs des rendements réels adéquats, mais ils sont insupportablement élevés pour les emprunteurs-débiteurs. Le système devra donc subir de grandes restructurations sous le poids de la dette. Nous allons tout droit vers une contraction économique.

    L’économiste le plus pessimiste et alarmiste est Harry Dent, fondateur de HS Dent Investment Management et auteur de plusieurs livres à succès. Le plus grand krach de notre vie « va se produire entre aujourd’hui et la mi-juin 2023. Il ne s’agira pas en fait d’une correction importante, mais d’un krach majeur que vous n’avez jamais vu de votre vivant ». Le plus grand krach qui se prépare est celui qui aurait dû avoir lieu en 2008-2009, notant que le S&P 500 avait chuté de 57 % à l’époque. Environ un an et demi après le début de ce krach, les banques centrales sont intervenues et ont commencé à imprimer de l’argent à des rythmes sans précédent. Cette récession n’a donc pas vraiment réussi à éliminer la plus grande bulle d’endettement de l’histoire. Plus précisément Dent s’attend à un effondrement de 86 % pour le S&P 500 et de 92 % pour le Nasdaq. Il anticipe aussi une chute du Bitcoin à 95 % pour atteindre les 4000 $ par BTC.

    Ma vision défendue depuis plus de 5 ans sur Boulevard Voltaire et Riposte Laïque est très proche de ce que disent tous les économistes cités ci-dessus. Nous pensons pour notre part comme Jacques Attali que tout peut arriver à partir d’août 2023, sans pouvoir dire si ce sera 2023, 2024 ou 2025. Il ne faudra pas cependant attendre les calendes grecques ; il suffira d’un gros cygne noir quelconque, d’un événement politique, économique, financier, bancaire, géopolitique, social imprévisible pour mettre le feu aux poudres.

    Il semble que pour l’instant les cygnes noirs économiques et bancaires aient regagné leurs tanières, mais la crise à venir est latente et inéluctable. J’ai la certitude absolue que le quinquennat Macron se terminera dans le chaos économique, social, sociétal et économique, avec une révolution conservatrice possible à la clé, soit par les votes, soit par la rue. La France vit sur un baril de poudre et ne l’aura pas volé, suite à notre lâcheté qui consiste à nier le réel pour tous les problèmes, à ne pas réagir dans la rue par millions sur les Champs-Elysées et dans toutes les grandes villes françaises lorsque l’on assassine nos enfants au Bataclan, lorsque l’on voit notre pays se faire envahir tous les ans par 500 000 extra-européens de plus ! Pour les retraites à 62 ans et travailler moins longtemps que la plupart des autres pays européens, il y a par contre beaucoup de monde dans la rue ! Les réalités, comme le cours de l’or, finissent toujours par se venger un jour !

    Je crois, sur le plan économique et monétaire, à l’explosion inéluctable de la zone euro, aux très fortes dévaluations successives à venir après un retour forcé au franc, bref au schéma final République de Weimar pour la France, avec les billets que l’on utilisait en 1923 pour tapisser les murs en Allemagne ! Seuls l’or et les actifs réels détenus en dehors du Système bancaire apporteront une garantie efficace et certaine aux Français lors du méga-krach à venir. Il n’est pas étonnant que les économistes et conseillers de gestion recommandent de plus en plus l’or physique pour diversifier les investissements des particuliers. La banque suisse UBS prévoit que l’or, malgré les hausses d’intérêt et des replis techniques passagers, atteindra bientôt les 2100 $ l’once !

    Marc Rousset

  • La mort d'un prêtre et l'âme de la France, par Jean-Philippe Chauvin.

    « S’en prendre à un prêtre, à un homme d’Église c’est s’en prendre à l’âme de la France » : ces mots, prononcés par le Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, sont sans doute les seuls que l’histoire retiendra quand l’émotion soulevée par l’assassinat du père Olivier s’apaisera...

    jean philippe chauvin.jpgLe père Olivier Maire est mort, assassiné par celui à qui il avait tendu la main. Son sacrifice prouve à notre société et à notre temps que des valeurs plus hautes que la consommation, le confort ou l’individualisme, existent et vivent, et qu’elles nous donnent, non pas des moyens d’existence mais des raisons de vivre, au-delà de nous-mêmes. Que ce sacrifice ait lieu sur la terre de Vendée qui a, jadis, prouvé que la foi en Dieu ouvrait souvent, dans les années les plus tristes de la Révolution française, les portes du martyre, peut être vu comme un intersigne, et montre les liens invisibles entre les temps et les lieux : la Vendée n’est pas un simple lieu, elle est une histoire, un peuple sculpté à la fois par la République de la Terreur et par la résistance « catholique et royale », et, à jamais, le nom de Vendée évoque des images terribles et belles aussi. Les colonnes exterminatrices de 1794 et la grande geste de cette armée de paysans et de nobles endimanchés, la laideur d’un Carrier et la jeunesse d’un « Monsieur Henri », le souffle de la haine et le courage du pardon… Ce même « pardon de Bonchamps » que le père Maire avait accordé à l’incendiaire de la cathédrale de Nantes ; ce même pardon que l’Église catholique accorde encore dans ses prières au meurtrier, et qui nous rappelle, tragiquement, le sens premier de l’amour christique… « Grâce aux prisonniers », gémit Bonchamps mourant à Saint-Florent-le-Vieil à l’automne 1793, et malgré les horreurs perpétrées par les troupes républicaines, « Bonchamps l’ordonne », les soldats bleus sont épargnés. Dans la noirceur des temps, et nos temps contemporains semblent parfois plus tristes qu’ensoleillés malgré toutes nos techniques, nos médecines et notre espérance de vie, il n’est pas inutile de nous souvenir (pour mieux les accepter et les pratiquer) des valeurs qui sont celles, qu’on le veuille ou non, de notre civilisation française, de ces valeurs hélléno-catholiques qui nous empêchent, ou devraient nous empêcher, de basculer dans le mal, la haine et la vengeance…

    « S’en prendre à un prêtre, à un homme d’Église c’est s’en prendre à l’âme de la France » : ces mots, prononcés par le Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, sont sans doute les seuls que l’histoire retiendra quand l’émotion soulevée par l’assassinat du père Olivier s’apaisera, après les discours et les réactions politiques convenus que le « pays légal » ne manque pas de produire à chaque drame… Que les politiciens, surtout en période présidentielle, soient plus sensibles, cela ne me dérange pas, même si, chez certains, je sens une pointe d’hypocrisie ou de facilité, et quelques arrière-pensées à peine discrètes. Mais j’avoue que, au-delà des polémiques qui, sans doute, ont raison d’être au regard de la situation et des enjeux, cette phrase a profondément retenti en moi, comme au cœur, j’en suis sûr, de nombre de Français, catholiques ou non, royalistes ou républicains. Qu’un ministre de la République évoque ainsi « l’âme de la France » n’est pas anodin, alors que cette même République, plus attirée d’ordinaire vers les grands vents de la mondialisation que par les forêts vivantes de la tradition, a détruit tant des fondations spirituelles et culturelles de notre nation. Est-ce le cœur enraciné de l’homme qui, d’un coup, a dicté ses mots resurgis d’une mémoire dans laquelle se côtoient les « saintes fondatrices de la France » (Blandine, Geneviève, Clotilde, Jeanne d’Arc) et le baptême de Reims ? Je ne sais, mais j’entends.

     

    Oui, la France a une âme, elle est une âme par elle-même : que M. Darmanin nous le rappelle, même « malgré lui », doit nous inciter à ne jamais désespérer d’elle, ni de son éternel miracle toujours renouvelé depuis plus d’un millénaire…

    Source : https://jpchauvin.typepad.fr/

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    Ce montage d'Olivier nous a plu (sur tweeter) :

    "Le véritable journalisme. Des femmes et des hommes d'honneur."
     
    On est d'accord, on partage...

    1A.jpg

     

    lfar espace.jpg

     

    1. Dans la double série "La France a un incroyable talent" et "Il faut donner des moyens à nos Armées, avec un budget militaire à 4% du PIB" : 

    (Source : OpexNews)
     "Le #Patroller répond aux besoins des armées. C'est une plateforme modulaire qui pourrait accueillir d'autres charges utiles. Nous sommes d'ailleurs prêts à développer une version armée en un temps record."
     

    https://www.lefigaro.fr/societes/safran-pret-a-developper-une-version-armee-du-drone-patroller-20230217

    1A.jpg

     

    1 BIS. Et, toujours pour OpexNews :

    "Nous devons investir dans les SNLE 3G, dans l’hypervélocité pour préserver la capacité de pénétration de nos missiles et dans la sécurisation de nos transmissions contre la menace #cyber et le quantique car il en va, à terme, de la crédibilité de notre dissuasion."

    https://blog.ametragroup.com/snle-3g-sousmarins-nucleaires-lanceurs-engins-navalgroup-technicatome/

    1A.jpg

     

    3. Évidemment d'accord avec François Devedjian :

     "#ArtsakhBlockade - Jour 69 La dictature azéri poursuit sa guerre silencieuse contre la population civile arménienne d’#Artsakh, qui reste sous blocus.  
    réouverture sans délai ni condition du #LachinCorridor  
    interposition d’une force de paix  
    sanctions contre le régime Aliyev"

    1A.jpg

    SOUTIEN TOTAL À L'ARMÉNIE !

    (on aimerait juste que ce soutien s'exprimât en français !)

     

    4. De Driss Ghali :

    "Marcel Gauchet a écrit une superbe recension de mon livre sur la colonisation française. Il conseille même à Emmanuel Macron de le lire. "Une contre-histoire de la colonisation française" vient de paraître chez Jean-Cyrille Godefroy."

    https://www.marianne.net/agora/lectures/une-contre-histoire-de-la-colonisation-francaise-le-livre-que-macron-devrait-lire-selon-marcel-gauchet

    1A.jpg

    296 pages, 24 euros

     

    5. Deux fois d'accord avec Fabien Bouglé ! La première... :

    "Très important ! @rte_france dévoile encore l'incroyable échec des #éoliennes.
     Malgré 10,5% de puissance éolienne installée en plus en 2022, leur production électrique totale en France n'a augmenté que de 2,7%. Le facteur de charge reste très faible à 21,6%"
     

    1A.jpg

    D'après le bilan @rte_france, entre 2020 et 2022 la France a installé environ 1200 #éoliennes en plus. Et leur production a baissé de 5,5 %, passant de 39,6 twh en 2020 à 37,6 twh en 2022. Conclusion : plus d'éoliennes égale moins de production électrique...

     

    5 BIS. ... et la seconde :

     "D'après le bilan @rte_france, la France a importé en 2022, 27,4 Twh d'électricité au #charbon et à la lignite venant d'Allemagne. Jamais dans l'histoire de l'électricité en France de ces 40 ans dernières années nous avions été importateur net d'électricité. C'est une HONTE !"

    1A.jpg

    Cliquez sur l'image pour l'agrandir...

     

    7. Et l'on nous permettra, pour terminer cette série d'aujourd'hui, de nous réjouir du succès remporté par notre publication sur notre Page facebook Lafautearousseau Royaliste (pour rendre hommage à l'immense Molière, en cette période où l'on célèbre l'anniversaire de son décès, le 17 février 1673)

  • Les royalistes présents dans la campagne présidentielle en 2022 ? Oui, bien sûr..., par Jean-Philippe Chauvin.

    La période des vacances estivales est normalement le moment où les esprits et les corps s’abandonnent au désœuvrement ou aux loisirs, même si l’histoire du XXe siècle nous rappelle que c’est aussi le temps des tensions géopolitiques et des déclarations de guerre (l’été 1914 ; septembre 1939, quand la rentrée des classes n’était pas encore faite…).

    jean philippe chauvin.jpgMais cette année, c’est la question sanitaire qui domine, qui écrase même (et c’est bien malheureux) l’actualité et ses débats, au risque de nous empêcher de voir l’essentiel, qui n’est pas forcément dans une pandémie relativement peu létale (au regard de l’histoire médicale, qui aurait beaucoup à nous apprendre). Les chaînes d’information jouent leur rôle de « distraction », mais suscitent de plus en plus la méfiance – compréhensible et souvent fondée - des citoyens, au risque de voir les autres modes de circulation des informations et des discussions occuper de plus en plus le terrain ainsi déserté par les « médias de masse » et s’imposer comme alternatives à ce qui paraît (à tort ou à raison, selon les interlocuteurs) comme une « propagande d’État » quand elle s’avère plutôt celle de l’idéologie dominante de ce que l’on pourrait qualifier, en paraphrasant Bertrand de Jouvenel, de « Minotaure » désormais mondialisé (1). Il me faudra revenir, néanmoins, sur la question des libertés (et j’emploie ce mot au pluriel à dessein), principales victimes des errements des politiques sanitaires d’une République capable de dire et de se dédire à quelques semaines d’intervalle, et sur celle des « gagnants » de la crise (ce dernier terme dont l’étymologie est révélatrice quand elle indique la « séparation » entre un avant et un après), que l’on peut synthétiser en trois lettres : BBC, soit Big Data/Big Tech (certains diraient plutôt Big Brother), Big Pharma et Chine…, sans pour autant négliger d’autres gagnants périphériques et, plus encore, idéologiques sur lesquels, là encore, je reviendrai ultérieurement (2).

     

    Or, au-delà de la crise sanitaire, d’autres sujets méritent l’intérêt et l’action, tant sur le plan social qu’environnemental, sans négliger l’économique et le politique : la lourde dette publique de la France (à laquelle il faudrait rajouter les dettes privées qui fragilisent une part désormais importante de la population de notre pays) dont le journal Les Echos expliquait perfidement il y a peu qu’elle était « alourdie de 67 années » à cause du soutien aux entreprises et des politiques sociales liées à la crise de la Covid (mais sont-ce vraiment les causes profondes ?) ; le chômage structurel qui touche autant les jeunes que les plus anciens, alors même que – paradoxe ! - nombre de professions ne trouvent pas de candidats, que cela soit dans le monde agricole ou dans les métiers de bouche ; la question des retraites, relancée à la veille de l’élection présidentielle, les candidats de la Droite officielle proposant un report de l’âge de départ à la retraite à 65 ans quand le président en exercice évoque 64 ans et que l’Union européenne souhaite 67 ans ; la transition énergétique qui, par le biais des institutions européennes et sous la pression de certaines féodalités financières mais aussi de quelques écologistes naïfs, sacrifie certains secteurs d’activité pour se rallier à des solutions (ou considérées telles) sans véritable stratégie d’ensemble sur le long terme ; etc. Si ces sujets (et tant d’autres) devaient être « oubliés » lors de l’année politique qui s’annonce, cela serait, non seulement dramatique, mais criminel : il importe de les mettre sur le tapis des discussions et d’en débattre librement et honnêtement, sans limiter la réflexion aux seules postures idéologiques dominantes. N’est-ce pas le rôle des royalistes, qui s’abstiendront sans doute de présenter un candidat à la présidentielle du printemps prochain, de poser les bonnes questions et d’y apporter quelques réponses, pas forcément dogmatiques mais pragmatiques sans oublier d’être imaginatives et toujours en cherchant le Bien commun, celui de la nation qui fait celui de ses citoyens et habitants ? Si les royalistes affichent « Plutôt le Roi que la présidentielle ! », cela ne signifie pas qu’ils se désintéressent de la politique réelle mais, au contraire, qu’ils s’engagent, sous leurs couleurs et sans concessions inutiles, en toute indépendance d’esprit et d’action, dans une campagne de long terme pour proposer « autre chose que ce qui domine aujourd’hui ». Le « combat des chefs » de 2022, s’il ne nous laisse pas indifférent, n’est pas notre préoccupation principale : nous n’attaquerons pas les candidats pour ce qu’ils sont (ou semblent être), mais sur leurs programmes si ceux-ci ne correspondent pas aux intérêts de la nation et de ses populations.

    Les royalistes ne sont pas dupes d’eux-mêmes : ils savent que la Monarchie royale n’est pas et ne sera pas, en 2022, au centre des débats politiques, et qu’elle ne sera pas ré-instaurée à la fin de cette année-là. Mais il dépend d’eux, de nous, que le recours institutionnel que représente la Monarchie royale devienne, de plus en plus, visible, intelligible et crédible. « L’avenir dure longtemps », disait le comte de Paris à la suite du général de Gaulle qui le lui avait écrit : le saisir est le moyen de ne pas désespérer et de poursuivre ce nécessaire combat au bénéfice des générations de cette France qui, toujours, veut (doit !) vivre, libre et forte. « Demain, la Monarchie », n’est pas une formule de procrastination politique, mais un appel à réduire le délai avant qu’elle devienne réalité institutionnelle. L’histoire n’est jamais finie et ce qui semble impossible en un temps devient parfois naturel ou logique un peu plus tard : à nous de préparer cet avenir royal que, tout compte fait, la France mérite à défaut, pour l’heure, d’y penser déjà…

     

     

     

    (à suivre, évidemment…)

     

     

    Notes : (1) : Le livre « Du Pouvoir », publié dans les années 1940 par Bertrand de Jouvenel est une réflexion sur l’accroissement de la puissance des pouvoirs d’État au fil des siècles, les révolutions et les crises jouant souvent un rôle d’accélérateur de cette montée en puissance.

     

    (2) : La lecture du livre « Bienvenue dans le pire des mondes », publié en 2016 sous la direction de Natacha Polony et du Comité Orwell, est tout à fait éclairante pour saisir ce qui se passe actuellement et qui n’est que l’accélération et la confortation de processus qui s’inscrivent dans celui, plus général, de globalisation : là encore, il sera nécessaire d’y revenir…

    Source : https://jpchauvin.typepad.fr/

  • Julliard : « Le vivre-ensemble est une blague, une blague sanglante »

     

    Jacques Julliard médite ici brillamment sur la violence des sociétés multiculturelles [Le Figaro 4.04, extrait]. Le diagnostic qu'il pose, avec force, lucidité et réalisme n'est guère contestable. Ce n'est pas que « la juxtaposition sur un même territoire de communautés différentes » doit toujours être redoutée, toujours être créatrice de violences, c'est que l'on se trouve en un tel cas lorsque les communautés en présence se rattachent à des civilisations, des mondes trop différents, trop radicalement antagonistes même, pour ne pas créer une explosion en forme de tragédies plutôt qu'une harmonie. Et tel est en effet le résultat d'un multiculturalisme où le présence de l'Islam est massive et a, parmi nous, ses défenseurs conscients ou non. Accord donc, avec Julliard, sur ce premier point. Sa conclusion, en revanche, est déroutante. Est-ce vraiment d'universalisme - fût-il chrétien - dont la France d'aujourd'hui a besoin ? A fortiori s'il s'agit de l'universalisme des Lumières ou de la Révolution française qui a ensanglanté le monde. D'universalisme - il est vrai de basse inspiration - la France nous paraît gorgée, saturée, profondément anémiée. Claude Lévy Strauss nous conseillerait plutôt de cultiver notre identité et Jean-François Mattei, avec Platon, de retrouver le chemin qui conduit chez nous. Telle nous paraît être l'urgence.  Lafautearousseau 

      

    Le communautarisme est une immense faillite

    Les attentats de Bruxelles ont-ils sonné le glas du communautarisme? Ce serait trop beau. Certes, la preuve par Molenbeek et Schaerbeek a été apportée qu'à laisser se constituer des ghettos ethniques au cœur des cités, on joue notre liberté et notre sécurité à la roulette russe, ou plutôt islamiste. Mais la culture de l'excuse a encore de beaux jours devant elle. Quand on ne trouve à l'action des terroristes que des mobiles légitimes, tels que la frustration, le refus de la discrimination et des fractures sociales, le désir de «socialisation» (sic), sans parler du « contexte international », on n'est pas très loin de leur donner raison (ainsi Corinne Torrekens, directrice de DiverCity, un groupe de conseil en sciences sociales et politiques lié à l'Université libre de Bruxelles, Libération, 24-03-2016). Il faudra encore beaucoup de crimes et de souffrances pour que l'on admette que le « vivre ensemble », cette expression inepte, indécente, derrière laquelle on camoufle l'apartheid des cultures, n'est qu'une blague, une blague sanglante.Nos sociétés sont multiculturelles et sont vouées à le devenir un peu plus chaque jour. La rapidité, le bon marché des transports, les énormes écarts de prospérité entre les nations font que les pays riches d'Europe et d'Amérique sont en train de devenir des mosaïques ethniques, tandis que les pays pauvres conservent pour l'essentiel leur identité. Pour les pays d'accueil, le communautarisme est une solution de facilité et une marque de candeur extrême. Pour permettre au migrant de « conserver ses racines », on somme le pays d'accueil de renoncer aux siennes, ce que les populations locales n'acceptent pas ; elles ont l'impression d'être déracinées sur leur propre sol.
     
    Ajoutez à cela un phénomène nouveau, qui est la marque propre de l'islamisme, et qui contraste avec l'immigration du passé : la détestation du pays hôte. Le résultat, c'est ce cocktail détonant qui est en train de gagner toute l'Europe et que l'on appelle sommairement le populisme. Le communautarisme, c'est-à-dire la juxtaposition sur un même territoire de communautés différentes par l'origine géographique, la langue, la religion, l'histoire, la culture, la philosophie, est une immense faillite. L'Europe, si le phénomène devait persister, ne lui survivrait pas. L'Allemagne, les Pays-Bas, les pays scandinaves l'ont reconnu depuis peu. La Belgique, le Royaume-Uni ne tarderont pas à le faire. Nos nations multiculturelles sont donc devant une alternative brutale, sans échappatoire: intégration ou guerre civile. Seule la version universelle de l'humanisme, héritée de la chrétienté, des Lumières et de la Révolution française, nous permettra d'échapper à ce désastre. 
     
     
    [LE CARNET DE JACQUES JULLIARD]           
  • 2 points de vue sur : (2/2) la Leçon du 18 Juin 1940, par Christian Vanneste.

    Le 18 Juin, ce devrait être une Fête nationale. Ce jour-là un homme a cru en la France plus que la plupart des Français, et presque seul parmi ceux qui exerçaient ou avaient exercé des responsabilités. Il a affirmé haut et fort que la France n’était pas vaincue et qu’elle devait poursuivre le combat aux côtés de ses alliés. Cette attitude s’appuyait sur deux piliers inébranlables : un patriotisme qui mettait l’intérêt supérieur de la Patrie au-dessus de toute autre considération politique et une clairvoyance qui anticipait les moyens dont les ennemis de l’Allemagne disposeraient pour la vaincre.

    christian vanneste.jpgPlusieurs discours ont été prononcés par le Général de Gaulle entre le 18 Juin et le 2 Juillet. Le suivant ne sera délivré que le 8 Juillet, parce que le 3 Juillet, les Britanniques ont attaqué la flotte française ancrée à Mers-El-Kébir, hors d’état de se défendre, l’ont détruite en grande partie et tué 1300 marins français. Cet acte odieux, mais pragmatique, à l’encontre d’un allié dont Londres ne voulait à aucun prix que la puissante flotte ne tombât dans les mains de l’Axe, venait ruiner la démarche du Général et fournir des arguments à la collaboration. De Gaulle persista parce que son principal argument subsistait : les Alliés rejoints par les Etats-Unis et leur formidable industrie gagneraient la guerre, et il fallait que la France, demeurée libre, figure parmi les vainqueurs ! Le 8 Mai 1945, c’était chose faite ! « Quoi, les Français, aussi ! C’est un comble ! » dira Keitel avant de signer la capitulation. Durant toute la guerre, l’Homme du 18 Juin s’efforça de maintenir l’indépendance et la dignité de la France. Au début, c’était une fiction, puis peu à peu avec les ralliements, la présence à ses côtés d’hommes comme Philippe de Hautecloque, celui qui allait devenir le Général Leclerc, Maréchal à titre posthume, après son décès en 1947, la France Libre serait de plus en plus une réalité incontournable. Leclerc commença son action dans l’Afrique Equatoriale Française, au Gabon, puis au Tchad, d’où il lança son offensive contre les Italiens en Libye. L’A.E.F. a été le premier territoire à redonner à la France Libre son statut d’Etat souverain grâce au gouverneur du Tchad, Félix Eboué, Guyanais, comme la sinistre Taubira, descendant d’esclaves, et dont l’attachement passionné à la France peut être rappelé face au déferlement « racialiste » actuel. Sa carrière, son entrée dans la Résistance, son corps au Panthéon sont une réponse à ces « Français » récents, immigrés, et non descendants d’esclaves, qui accusent la France de racisme et réclament des « droits » alors qu’ils n’ont aucun titre.

    Le 18 Juin a sauvé l’honneur de la France. De Gaulle avait parfaitement vu que la fidélité aux engagements pris envers le Royaume-Uni, malgré la disproportion entre un Empire qui tenait les mers et la poignée de Français libres, était moins dangereuse pour l’indépendance de notre pays que la soumission de son Etat, encore bien réel, à une Allemagne totalitaire qui serait impitoyable. Cette lucidité politique rejoignait la clairvoyance militaire qui lui avait révélé l’importance de l’armée blindée, cette « force mécanique » que l’Etat-Major français avait écartée et par laquelle il avait été vaincu. En mettant l’accent sur notre déficience « tactique » plus que sur le délabrement intellectuel et moral, sur la décadence contre laquelle beaucoup de ceux qui soutenaient Pétain voulaient lutter, de Gaulle souhaitait ne pas compromettre l’avenir, ni l’union de tous les Français. Il voulait n’accuser que ceux qui collaboraient avec l’ennemi après avoir mal préparé la guerre. Il tenta en 1947 de mener cette seconde bataille, politique, avec le RPF. Avec le recul du temps, on se rend compte à quel point ce second combat, idéologique et non plus militaire n’a pas été gagné. Notre civilisation est remise en cause, notre nation fondée non sur une race ou une ethnie, mais sur une histoire, un destin commun au peuple français, est accusée. On veut qu’elle révise son passé, s’excuse de crimes qu’elle n’a pas commis. On veut qu’elle débaptise des lieux, quelle déboulonne des statues…. Le 18 Juin est une date qui permet au contraire de se souvenir que près du gouffre, la France n’y est pas tombée, mais au contraire s’est relevée avec courage. C’est cet esprit nourri de ce « riche legs de souvenirs », comme écrivait Renan, qui doit nous animer en espérant que bientôt des hommes et des femmes qui le portent remplacent les dirigeants actuels dont les propos et les comportements n’ont rien de commun avec la Résistance et la Libération.

  • Illusions macroniennes : à leur préférer le vice et le crime !, par Jacques Myard.

    On se souvient de l’accord de l’ du 21 juillet prévoyant 750 milliards d’euros à injecter dans l’économie des 27 pays membres, accord qualifié d’historique par car il permettait à l’Union européenne d’emprunter sur les marchés. Le président de la République saluait alors avec emphase le grand pas en avant fédéral : la mutualisation de la dette entre tous les pays membres !

    2.jpgLe 22 juillet, je qualifiais ce prétendu accord historique de « Bombe à retardement ». Eh bien, aujourd’hui, il est pire qu’une bombe, c’est devenu une machine infernale qui met à mal la cohésion de l’Union européenne.

    La et la subissant les rappels à l’ordre permanents des pays « pères la morale » qui les accusent de démocratie illibérale, en leur enjoignant de respecter les valeurs, les principes démocratiques que tout membre se doit de respecter.

    Las d’être vilipendés, ils ont décidé de bloquer le processus d’adoption de l’accord « historique ». Ils ont refusé d’adouber le budget pluriannuel (2021- 2027) et, surtout, bloqué l’autorisation donnée à la Commission par les Parlements nationaux d’emprunter !

    Bref, la crise est là, et bien là.

    En voulant contraindre et faire passer en force la possibilité d’emprunter par l’Union européenne, par pure idéologie fédérale, alors qu’il était possible d’agir et d’aider les pays atteints par la crise par la voie intergouvernementale, Emmanuel Macron s’est bercé d’illusions sur la réalité européenne !

    Pour la diplomatie française pensée – si l’on peut dire – par le locataire de l’Élysée, l’Union européenne est essentiellement le couple franco-allemand, les autres pays devant s’aligner sur ce prodigieux moteur de l’intégration européenne qui incarnerait le sens de l’Histoire – fermez le ban !

    C’est ainsi que, pour bien marquer cet axe de fer, on a pu lire avec grand étonnement un appel à Joe Biden pour de nouvelles relations transatlantiques, cosigné dans un journal du soir par le ministre des Affaires étrangères français et son homologue allemand Heiko Maas. Ces deux ministres feignent de nous faire croire que la France et l’Allemagne ont des vues communes et surtout des intérêts identiques.

    Intérêts identiques avec la Russie ? Avec la ? Avec les États-Unis ? En matière de défense ? En ont-ils parlé à AKK (Annegret Kramp-Karrenbauer) ? Dans la lutte contre les djihadiste au Sahel où la France attend toujours les soldats allemands, comme Godot ?

    Ce sont, sans doute, des intérêts virtuels, fantasmés.

    Ce pathos du politiquement correct qui n’a de cesse de célébrer l’axe -Berlin est non seulement illusoire mais, surtout, il devient insupportable de naïveté et de contre-vérités.

    Alors, comment comprendre les lamentations d’Emmanuel Macron, dans un entretien à la revue Le Grand Continent, rapportées par un journal du soir ? Emmanuel Macron déplore que la France n’ait eu droit qu’à des « condoléances pudiques » lors de l’assassinat de Samuel Paty ?

    Comment comprendre qu’Emmanuel Macron découvre seulement aujourd’hui que les Anglo-Saxons n’ont de cesse d’accuser la France d’être un pays hostile aux religions ? Alors que les États-Unis les vénèrent et reconnaissent, par exemple, la Scientologie comme une religion qui est, pour la France, une secte, une pompe à fric !

    Sur le plan de la politique intérieure, de la sécurité publique et de la maîtrise des flux migratoires, le refus de réformer l’État de droit qui paralyse, par exemple, l’action du ministre de l’Intérieur pour expulser les délinquants, trafiquants ou terroristes en puissance, est un déni de réalité, aporétique. C’est un total blocage psychologique de la bien-pensance du gouvernement…

    Toujours sur le plan de la politique intérieure, la saga réitérée de la formation des imams pour combattre la radicalisation est plus qu’une douce illusion, c’est un déni tragique de réalité car n’importe quel musulman peut s’autoproclamer imam et enseigner la charia, le radicalisme : totale illusion d’un islam à la française alors que le prosélytisme radical prend sa source hors de nos frontières .

    Sommes-nous gouvernés par des amateurs et des naïfs ?

    Sans doute, car ce florilège d’illusions et de naïvetés coupables est bien l’apanage d’Emmanuel Macron, qui devrait méditer Henry de Montherlant : « Je hais le vice et le crime. Mais au regard de la naïveté je crois que je préfère encore le vice et le crime » (La Reine morte).

     

    Jacques Myard

    Homme politique
    Maire de Maisons-Laffitte
  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    SOUTIEN TOTAL ET INCONDITIONNEL AUX PAYSANS !

    De François Lenglet (dans RTL Matin) :

    "L'enfer vert de l'agriculteur : nos agriculteurs ont faim, alors que la souveraineté alimentaire française n'est même pas assurée..."

    https://x.com/RTLFrance/status/1749322726781898979?s=20

    Une agriculture française en révolte légitime…

    La révolte du monde paysan français est légitime…

    Image

     

    1AZZZ.jpg

     

    1. La hausse insensée et injustifiée du prix de l'électricité (qui n'est qu'un vol déguisé)... De Nicolas Meilhan (sur tweeter) :

    https://www.senat.fr/travaux-parlementaires/structures-temporaires/commissions-denquete/commission-denquete-portant-sur-la-production-la-consommation-et-le-prix-de-lelectricite-aux-horizons-2035-et-2050.html

    1A.jpg

     

    2. Entièrement d'accord avec Éric Zemmour :

     

    3. Y a-t-il une "affaire de Trèbes" ? De Gilbert Collard (sur tweeter) :

    "Attentat de Trèbes : des écoutes révèlent les liens troubles du délégué du préfet avec un dealer proche du terroriste qui a tué Arnaud #Beltrame; en échange de "la paix sociale", le délégué le rencardait sur les opérations de police : c'est un scandale national, et le silence, pour l'instant, entoure cette trahison; criez et qu'on crie !"
     
    Image

     

    4. Goldnadel fait bien de ne pas "louper" la Sophie Binet...·

    "Cette dame là nous donne des leçons de morale. La même Mme Binet qui a défendu son cadre CGT qui avait demandé à E. Zemmour si son train partait bien à Auschwitz et d’autres cadres CGT qui avaient fait l’apologie du 7/10"
     
    G-William Goldnadel on X: "«Cette dame là nous donne des leçons de morale.  La même Mme Binet qui a défendu son cadre CGT qui avait demandé à E.  Zemmour si son train
     
    La CGT ? Elle peut se déguiser en femme,
    et mettre un chapeau :
    la caque sent toujours le hareng !!!!!

     

    5. Dans Challenge, relayé par OpexNews (sur tweeter) : Lassé de ne pas être payé par le gouvernement saoudien, l’office d’armement français #ODAS bloque la livraison à Riyad de 7 navires intercepteurs HSI 32, construits par le chantier naval cherbourgeois CMN. De son côté, le ministère des armées ne semble guère enclin à soutenir ODAS, craignant de menacer d'éventuels futurs contrats export...

    https://www.challenges.fr/entreprise/defense/armement-l-improbable-bras-de-fer-franco-saoudien_880951

    1A.jpg

     

    6. Au Québec : de Nouvelle Alliance (sur tweeter) :

    "De Québec à Montréal, nos militants honorent leur drapeau.
    ".. Regrettez-vous encor ces jours de Carillon,
    Où, sur le drapeau blanc attachant la victoire,
    Nos pères se couvraient d'un immortel renom,
    Et traçaient de leur glaive une héroïque histoire ?..."
    - O. Crémazie"
     

    1A.jpg

    1AA.jpg

    1AAA.jpg

    1AAAA.jpg

     

    7. Encore et toujours les belles et bonnes actions de SOS CALVAIRES :

    "Sous la #pluie glacée et le #vent de la côte nantaise nos