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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • ERIC ZEMMOUR SUR LA QUESTION ALLEMANDE ... A LIRE ABSOLUMENT

    Sans titre-1.jpgExcellente analyse, une fois encore, d'Eric Zemmour sur le retour de la question allemande, dans le Figaro Magazine de cette semaineA vrai dire, ces réflexions, sur ce grand sujet, de tout temps  crucial pour la France, sont pétries  d'esprit maurrasso-bainvillien. Et elles collent à l'actualité la plus immédiate, raison pour laquelle nous la publions. 

    L'ALLEMAGNE NE PAIERA PAS !

     

    C'est le grand retour de la question allemande. Les socialistes, qui ont le don de tout gâcher, l'ont transformée en manœuvre grossière de diversion pour dissimuler leurs divergences partisanes sur la politi­que du gouvernement Ayrault; par peur d'être accusés de germanophobie et souci de tout ramener à un clivage droite-gauche démonétisé, ils ont fait croire qu'ils cherchaient querelle aux seuls conservateurs allemands, alors que leurs compatriotes sociaux-démocrates feraient à peu près la même politique et l'ont amplement prouvé par le passé. Cette question allemande mérite pourtant mieux que les gros sabots des apparatchiks de la Rue de Solferino. [Allemagne domine l'Europe, personne ne le conteste. Sa puissance commerciale est l'unique réassurance de l'Euro aux yeux des marchés. Son Bundestag et sa Cour de Karlsruhe trient le bon grain de l'ivraie des accords européens. Ses autorités financières rejettent l'union bancaire après avoir fait mine de l'accepter. Bruxelles n'est que la courroie de transmission des oukases berlinois. Merkel impose une politique de l'Euro fort et de rigueur budgétaire qui correspond à sa démographie vieillissante et à son industrie de produits à haute valeur ajoutée. L'exact contraire de la France.ZEMMOUR 2.jpg

     

    L'industrie française se meurt, prise en étau entre les pays à faibles salaires et à produits bas de gamme (la Chine et les émergents) et les industries à forte valeur ajoutée (Allemagne et nord de l'Eu­rope). Le prix Nobel d'économie Paul Krugman nous a enseigné que dans toute zone unifiée par une même monnaie, les régions les mieux dotées sont encore favorisées. Des jeunes ingénieurs espa­gnols, grecs (demain les Français et les Italiens ?) prennent la route des usines bavaroises, qui manquent justement de main-d’œuvre ! Si l'Euro avait existé dès les années 60, nous roulerions déjà tous en Volkswagen. Ce sont les dévaluations compétitives des années 70 et 80, tant décriées, qui avaient permis à l'industrie française (et ita­lienne) de résister jusqu'alors au rouleau compresseur germanique. De même qu'après la guerre de 1914, Aristide Briand avait cru que la paix signifiait la fin de la guerre, Lionel Jospin a cru que l'Euro était une sorte de fin de l'Histoire, nous protégeant et nous permettant n'importe quoi : 35 heures, relâchement salarial, et surtout endettement à tout-va pour financer un mo­dèle social obèse. Les socialistes découvrent effarés que les ajustements autrefois monétaires se font désormais par l'emploi et les salaires. Leur monde s'écroule. Et ils ont enfin compris que cette fois encore, l'Allemagne ne paiera pas...

  • Une chance, un gage de sérieux pour le royalisme français : Hilaire de Crémiers lance son Blog

                Par sa hauteur de vue et la pertinence de ses analyses, par sa culture et par la qualité de son engagement sans faille à la Cause qui est la nôtre, c'est-à-dire, tout simplement, la France, Hilaire de Crémiers a quelque chose à dire à tous les Français.

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                Après s’être engagé dès sa jeunesse à l’Action française, il s’exprime depuis plusieurs années à travers Politique Magazine, qu'il dirige. Mais, jusqu'à aujourd'hui, il n'utilisait pas encore Internet pour se faire entendre. Voilà qui est fait, puisqu'il vient de lancer son Blog :

                                  http://leblogdhilairedecremiers.hautetfort.com/

                Ce Blog, à l’allure générale sobre et élégante, propose, d’ores et déjà 7 textes de qualité, abondamment illustrés, mais aussi 3 vidéos, et un enregistrement audio. Le tout réparti en plusieurs Catégories : La Crise, Politique, Politique religieuse et Vidéo.

                Un rapide tour d’horizon de ce tout nouveau Blog fait apparaître un contenu attrayant et traitant de la plus brûlante actualité :

    I : Les deux premières Vidéos, courtes et percutantes, traitent de La Crise (7’58) et du Projet monarchique, qui est l’objet essentiel de l’action d’Hilaire de Crémiers (4’41). La troisième, plus longue (16’47), restitue l’intervention d’Hillaire de Crémiers en 2008 à Marseille, lors du Repas organisé chaque année par la Fédération Royaliste Provençale, après la Messe du 21 janvier. Rappelons que, au cours de cette soirée, les intervenants furent, cette année-là, outre Hilaire de Crémiers les Professeurs Christian Attias, Jean-Baptiste Donnier et Jean-François Mattéi. Le thème étant : L’exécution de Louis XVI, acte fondateur des Totalitarismes modernes.

    II : Les textes sont pour l’instant au nombre de sept :

    Benoît le Romain (à l’occasion de l’élection du pape Benoît XVI).

    L’heure de la politique (toutes les solutions proposées pour surmonter la crise se révélant mauvaises ou dangereuses).

    Espérance souveraine. (Bientôt vers un deuxième krach… C’est comme un sentiment général que tout se détraque… Que peut-il en advenir ?)

    L’Europe ou le chaos. (Il ne semble plus possible d’arrêter la tempête…Les dettes souveraines posent inéluctablement la question de la souveraineté des États.)

    D’échecs en crise. (Les politiques, au lieu de s’exciter sur leurs ambitions, feraient mieux de voir la réalité.)

    Au-delà des Régionales. (Nos institutions sont aussi complexes dans leurs agencements que grossières dans leurs principes. D’où l’impression d’échec inéluctable, surtout quand la crise s’aggrave.)

    « Mea redde principia… », Naissance d’une nation (en deux parties).        

    III : Enfin, l’enregistrement audio, d’une durée de 47’29, est la bande son du discours prononcé par Hilaire de Crémiers, sur ce même thème, au Rassemblement Royaliste des Baux de Provence de 1996.

     

    Evidemment, ce Blog figure en liens sur lafautearousseau.

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. À Poitiers, escrolos et "khmaire verte" ont encore frappé :  augmentation de 300 % du taux de la part intercommunale de la taxe foncière ! Du jamais vu ! Si, à Poitiers, l'aérien ne doit plus faire partie des rêves d'enfants, les impôts doivent faire partie des cauchemars des adultes ! Ainsi le veut la secte verte...

    AUX FOUS ! AUX FOLLES ! AUX FOLDINGUES !

    https://www.lanouvellerepublique.fr/poitiers/la-forte-hausse-de-la-taxe-fonciere-passe-mal-a-grand-poitiers

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    2. Des graffitis sur un mur : déplacement du Ministre. Assassinat sauvage d'un innocent par des dealers : rien, même pas un mot...

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    Et, pendant qu'il est à la mosquée, Darmanin ne peut pas être à Grigny, par exemple : question au ministre : les habitants de Grigny ont ils le droit de dormir dans le calme, de ne pas voir le matin, leur véhicule détruit par des voyous, de voir des policiers blessés, un quartier détruit ?

    (extrait vidéo 0'45")

    https://twitter.com/DanielBoutonnet/status/1381348257373302793?s=20

     

     

    3. Message de soutien du Cardinal Sarah au Curé de Saint Eugène-Sainte Cécile (l’abbé Guelfucci) :

    Cher monsieur le curé,

    "Je frapperai le pasteur et les brebis du troupeau seront dispersées" (Mt 26, 31), dit Jésus le soir du Jeudi Saint en citant le prophète Zacharie : "Frappe le berger, et que les brebis soient dispersées" (13, 7). Cette phrase de l’Ecriture Sainte m’est venue spontanément à l’esprit en prenant connaissance des nombreux articles et reportages relatant la Vigile pascale de cette année dans l’église Saint-Eugène-Sainte-Cécile de Paris. Je désire vous exprimer, ainsi qu’à M. l’abbé Gabriel Grodziski, mon soutien et ma compassion dans cette épreuve qui vous touche en tant que curé, et donc pasteur d’âmes, en vous demandant de bien vouloir transmettre aux paroissiens de l’église Saint-Eugène-Sainte-Cécile l’assurance de ma prière très fervente, en particulier à l’autel du Saint-Sacrifice de la Messe. Je me souviens avec joie et action de grâces de ma visite si réussie en mars 2015 qui m’avait permis d’apprécier l’accueil d’une communauté paroissiale dont la ferveur m’avait touché.

    Je vous bénis tous de tout cœur en vous confiant à Notre-Dame Consolatrice et à Saint Joseph, le Protecteur de l’Eglise universelle en cette année qui lui est consacrée.

    En vous souhaitant bon courage et une confiance en Dieu à toute épreuve dans la Lumière de Pâques que nous célébrons en ce moment dans la joie, je vous prie de croire en mes sentiments très cordiaux dans le Christ ressuscité, avec l’assurance de ma prière pour votre ministère sacerdotal à Saint-Eugène-Sainte Cécile.

    Robert Cardinal Sarah

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    4. D'accord avec François-Xavier Bellamy sur Sud Radio : 

     
    "Pendant l'année écoulée, la Turquie a violé l'embargo sur les armes en Libye, elle a envahi la Syrie et l'Arménie, etc. Et tout ce qui fait réagir les européens, c'est qu'il manque un fauteuil pour la présidente de la commission !
     
    (extrait vidéo 1'46")
     

     

    5. ...et d'accord avec Chris Saint Etienne (sur tweeter) :

    #saccageparis montre la partie émergée du saccage systématique de Paris, les rues et places, mais ne mentionne pas encore l'immergée, la multiplication par 7 de la dette, l'augmentation de près de 50% du personnel, le doublement de l'absentéisme...?

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    5 BIS. Abnousse Shalmani, née à Téhéran et parisienne depuis toujours déplore le saccage méthodique de Paris, qu'elle aime plus au monde. Elle réagit - dans L'Express - aux déclarations d'Anne Hidalgo qui renvoie ces critiques à une "trumpisation" : "Paris n'est plus une fête mais un combat quotidien contre les nuisances et la laideur"  :

    https://www.lexpress.fr/actualite/societe/paris-n-est-plus-une-fete-mais-un-combat-quotidien-contre-les-nuisances-et-la-laideur_2148625.html

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    7. Pour connaître ses actions et aimer l'Armée française : le #PEDAGOPS, une bonne initiative... : 30.000, c’est le nombre de militaires qui assurent #NotreDéfense, celle de la France et de ses intérêts, 24/24h, 7/7 j. Immergez-vous au cœur du dispositif opérationnel français déployé à travers le monde avec le #PEDAGOPS.

    (vidéo : 4'20") :

    https://twitter.com/EtatMajorFR/status/1380913469441073153?s=20 

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    À DEMAIN !

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  • Paris : Olivier Dard au Cercle de Flore, c'est ce soir...

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     A 20h, au Cercle de Flore : Olivier Dard viendra présenter son dernier ouvrage, Charles Maurras

     

       Cercle de Flore  - 10 rue Croix-des-Petits-Champs, 75001 Paris - Métro Palais-Royal ou Louvre-Rivoli. 

  • La Belgique s'effrite encore un peu plus.....

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    Et si la Belgique explose ?

     Si la Flandre "prend" son indépendance, au sens où l'entendait Maurras: "Les libertés ne s'octroient pas, elles se prennent"...

                Voici, pour alimenter le débat, ce que nous avons publié en 2007: Bienvenue chez vous.....pdf

  • Cette semaine, sur lafautearousseau...

    lfar flamme.jpg1. ...nous achevons la publication de la longue mais passionnante analyse de Pierre Debray : Une politique pour l'an 2.000. Les textes de cette étude s'achèvent en réalité aujourd'hui, mais Pierre Debray nous avait également accordé un entretien, que vous retrouverez en deux parties demain et mercredi; et vous lirez, jeudi, une sorte de conclusion rédigée par nos soins...

    2. Nous poursuivons évidemment notre campagne pour sauver la maison de Maurras : nous publierons bientôt une Lettre ouverte au Ministre de la Culture, Franck Riester, pour l'alerter sur le sujet et faire le point, très exactement, sur le statut de la maison, en partie "protégée" car "inscrite à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques pour la façade et la toiture", et donc sur laquelle le Ministère a son mot à dire...

    Mais aussi, nous publions un très intéressant article d'Eric de Verdelhan, Sur Riposte laïque : Mon hommage au "Grand Charles"...Maurras.

    Cet article est paru il y a trois jours, le vendredi 22 novembre : nous essayons toujours d'être le plus réactif possible, sur notre quotidien, comme lorsque nous avons publié, il y a un mois, le 25 octobre, le très intéressant article THE REVENGE OF MAURRAS, de Nathan Pinkoski, chercheur postdoctoral au St. Michael's College de l'Université de Toronto.

    L'article de Pinkoski d'il y a un mois, comme l'article de Verdelhan d'il y a trois jours, sont les symboles même de ce que nous aimerions voir et entendre dans une Maison de Maurras, à Martigues, intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et qui serait devenue un centre national et international d'études et de recherches sur la pensée et l'oeuvre du Maître de Martigues...

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    lafautearousseau

  • L'avenir de l'AF : quand Stéphane Blanchonnet (qui a raison) parle comme Gustave Thibon...

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    Nous publions aujourd'hui l'excellente chronique de Stéphane Blanchonnet parue dans Le Bien Com­mun  (n°25).

    Comment ne pas voir l'adéquation parfaite entre le message de Stéphane Blanchonnet et celui de Gustave Thibon, que nous citions ici-même le jeudi 26 janvier 2017 :

     

    Gustave Thibon, la fidélité à Maurras, et nous...

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  • En ce mois de Mai, un numéro exceptionnel du Bien commun...

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    Un numéro exceptionnel pour ce mois de mai 2023 avec des entretiens exclusifs :

     • l'inclassable Antoine Goya nous dit tout sur son rapport à Maurras,

    • Laurent Ozon nous parle des IA en expert...
     
    et toutes vos rubriques habituelles !  
     
    En vente ici :
     
  • À partir de lundi, sur lafautearousseau, notre troisième Feuilleton : ”En cartes, l'aventure France”...

    lfar flamme.jpgAprès nos deux premiers Feuilletons (Maurras et les Guerres de Vendée/Le Génocide vendéen), nous commencerons la publication de notre troisième Album ce lundi : En cartes, l'aventure France...

    Le sujet étant assez long, nous proposerons le plus souvent possible  deux épisodes par jour...

    Puis viendront, en rafale, Bainville, Daudet et Chateaubriand...

    Bien entendu, nous continuerons de proposer ces sujets sous la forme actuelle de nos 21 Albums, qui a ses avantages (mais aussi ses inconvénients)

    lafautearousseau

  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    debray 1.jpgElle vous parlera - entre autres choses, et à l'occasion de la date anniversaire de sa mort - de Pierre Debray.

    Rappelons que lafautearousseau vous propose en permanence deux séries d'articles de Pierre Debray :

    • Une politique pour l'an 2.000 (28 articles, tout de même !...),

    • Maurras et le Fascisme (10 articles)...

     

    lafautearousseau

  • À partir de lundi, sur lafautearousseau, notre troisième Feuilleton : ”En cartes, l'aventure France”...

    lfar flamme.jpgAprès nos deux premiers Feuilletons (Maurras et les Guerres de Vendée/Le Génocide vendéen), nous commencerons la publication de notre troisième Album ce lundi : En cartes, l'aventure France...

    Le sujet étant assez long, nous proposerons le plus souvent possible  deux épisodes par jour...

    Puis viendront, en rafale, Bainville, Daudet et Chateaubriand...

    Bien entendu, nous continuerons de proposer ces sujets sous la forme actuelle de nos 21 Albums, qui a ses avantages (mais aussi ses inconvénients)...

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  • Dix choses à savoir sur le Rwanda... afin de ne plus se faire piéger, par Ilyes Zouari.

    Nous pro­po­sons cet article paru il y a un an sur l’affaire du Rwan­da, que nous adresse ILYES ZOUARI Pré­sident et co-fon­da­teur du « Centre d’é­tude et de réflexion sur le monde fran­co­phone » (CERMF), que nos habi­tués connaissent bien.

    5.jpgPour ceux qui se perdent un peu sur les posi­tion­ne­ments géo­po­li­tiques de la France en Afrique et plus par­ti­cu­liè­re­ment sur le géno­cide du Rwan­da, cet article a le mérite de rap­pe­ler des faits et les don­nées éco­no­miques qui ont conduit au désastre huma­ni­taire et au déchai­ne­ment de cruau­té que nous connais­sons. Nous invi­tons nos « inter­nautes » à prendre connais­sance de cet article, comme éclai­rage préa­lable avant la dif­fu­sion de nou­veaux élé­ments venant appuyer ces révé­la­tions, deux vidéos récentes de la très cou­ra­geuse Judi Rever au sujet du géno­cide rwan­dais, et mises en ligne suite à la publi­ca­tion du livre « Rwan­da : l’E­loge du sang » (récom­pen­sé au Cana­da, mais qui a failli être cen­su­ré en France !), qui seront mises en ligne dès demain sur ce site et qui rendent jus­tice notam­ment des accu­sa­tions por­tées contre l’armée fran­çaise (NDLR)

     

     Si tous les pays du monde, y com­pris les pays occi­den­taux, pra­tiquent la pro­pa­gande d’une manière ou d’une autre, ce qui est dif­fé­rent dans le cas du Rwan­da est que le régime à la tête de ce pays se livre à un usage exces­sif de cette arme de com­mu­ni­ca­tion. Une méthode qui nous rap­pelle celle de cer­tains pays com­mu­nistes de l’époque de la guerre froide, et un niveau de pro­pa­gande qui n’avait encore jamais été atteint par un autre pays afri­cain.

      Un an après la dési­gna­tion de l’ancien numé­ro deux du régime rwan­dais à la tête de l’Organisation inter­na­tio­nale de la Fran­co­pho­nie (OIF), lors du som­met d’Erevan des 11 et 12 octobre 2018, voi­ci donc dix points à connaitre sur le Rwan­da afin de réta­blir la véri­té :  cinq points d’ordre éco­no­mique et social, et cinq autres d’ordre poli­tique.

      1. Le Rwan­da est l’un des pays les plus pauvres du conti­nent, avec un PIB par habi­tant de seule­ment 773 dol­lars début 2019, selon les don­nées four­nies par la Banque mon­diale. Un niveau plus faible que celui de nom­breux pays d’Afrique sub­sa­ha­rienne pauvres en richesses natu­relles, comme la Séné­gal (1522 dol­lars, soit +97 %), le Mali (901 dol­lars, soit +17 %), le Bénin (902 dol­lars, soit +17%) ou encore la Côte d’Ivoire (1715 dol­lars, soit +122 %). Un écart très impor­tant avec ce der­nier pays, mais qui n’a pour­tant pas per­mis au Rwan­da de réa­li­ser une crois­sance éco­no­mique supé­rieure ou égale sur les sept der­nières années (période 2012- 2018).

      2. De 2014 à 2018, des popu­la­tions du sud et du nord-est du pays ont été frap­pées par une grave crise ali­men­taire, suite à une séche­resse ayant éga­le­ment tou­ché d’autres pays d’Afrique de l’Est. Cepen­dant, le gou­ver­ne­ment rwan­dais a été le der­nier des gou­ver­ne­ments de la région à recon­naître cette situa­tion dra­ma­tique et à deman­der, en cati­mi­ni en 2016, l’appui du Pro­gramme ali­men­taire mon­dial (PAM, une des struc­tures de l’ONU), pré­fé­rant ain­si lais­ser se dégra­der la san­té d’une par­tie de la popu­la­tion plu­tôt que de faire connaître son échec à sub­ve­nir aux besoins les plus élé­men­taires des habi­tants du pays. Une atti­tude qui rap­pelle, jus­te­ment, celle de pays tota­li­taires com­mu­nistes de l’époque de la Guerre froide.
    Le mot N’arama, qui signi­fie « que ta vie soit longue » en Kinyar­wan­da (pre­mière langue du pays), est d’ailleurs un des termes uti­li­sés par les popu­la­tions concer­nées pour dési­gner dis­crè­te­ment cette période de qua­si-famine, afin de ne pas se faire arrê­ter par la police ou par l’armée.
     Mais à cette crise ali­men­taire s’ajoute à un autre pro­blème struc­tu­rel et tou­chant, à divers degrés, toutes les régions rurales du pays : celui de la mal­nu­tri­tion chro­nique des enfants de moins de cinq ans. Selon les der­nières don­nées dis­po­nibles (offi­cielles et reprises par l’ONU), 37 % des enfants rwan­dais de cette tranche d’âge étaient frap­pés par ce pro­blème en 2017. À titre de com­pa­rai­son, ce taux n’était pas bien plus impor­tant en RDC voi­sine (43%), qui connaît pour­tant de graves dif­fi­cul­tés.

     3. Dans le « pays des mille col­lines », de nom­breux chô­meurs sont offi­ciel­le­ment consi­dé­rés comme des « agri­cul­tures », pro­fes­sion auto­ma­ti­que­ment enre­gis­trée par l’ad­mi­nis­tra­tion. De même, de nom­breuses per­sonnes se livrant, hélas, à la pros­ti­tu­tion, sont éga­le­ment « agri­cul­trices ». Cette poli­tique per­met ain­si de pré­sen­ter des sta­tis­tiques offi­cielles fort éloi­gnées de la réa­li­té, sur le niveau réel de pau­vre­té dans le pays.
    À tel point que nom­breux sont les experts, tra­vaillant au sein d’institutions inter­na­tio­nales ou pour des orga­nismes de recherche pri­vés, à ne plus accor­der le moindre cré­dit aux chiffres offi­ciels pré­sen­tés par le régime. En se basant sur dif­fé­rentes don­nées, un expert inter­na­tio­nal belge était par­ve­nu à la conclu­sion que la grande pau­vre­té aurait pro­gres­sé de six points de pour­cen­tage entre 2010 et 2014 (pas­sant de 44,9 % à près de 51 %, avant la séche­resse), alors que les auto­ri­tés annon­çaient une baisse signi­fi­ca­tive et du même ordre, à 39,1% !  Autre exemple, un ancien expert de la Banque mon­diale, Bert Inge­laere, publiait en 2017 un article inti­tu­lé « Le pré­sident pour tou­jours du Rwan­da », et dans lequel il disait que sa hié­rar­chie avait déci­dé de détruire toutes les infor­ma­tions récol­tées sur place lors d’une vaste étude sur la pau­vre­té, menée par lui-même et par d’autres spé­cia­listes de l’organisation, suite aux pres­sions exer­cées par le régime rwan­dais et avant que la moindre ana­lyse des don­nées ne soit effec­tuée. Par ailleurs, d’autres experts affirment éga­le­ment que le gou­ver­ne­ment rwan­dais a ten­dance à gon­fler les taux de crois­sance réa­li­sés par le pays, ou encore à réduire consi­dé­ra­ble­ment les taux réels d’inflation.

     De fortes cri­tiques qui, tou­te­fois, ne se font pas entendre au plus haut niveau de ces ins­ti­tu­tions, le régime rwan­dais béné­fi­ciant d’une pro­tec­tion totale et très active des États-Unis et du Royaume-Uni, qui avaient patiem­ment œuvré à ins­tal­ler Paul Kagame au pou­voir (en finan­çant et en armant le FPR – Front patrio­tique rwan­dais, qui, diri­gé par Paul Kagame, avait mul­ti­plié les attaques meur­trières au Rwan­da à par­tir de l’Ouganda au début des années 1990, sans ne jamais res­pec­ter le moindre accord de ces­sez-le-feu, et créant ain­si une cli­mat de peur et de para­noïa ayant tris­te­ment conduit au géno­cide. Un drame dont le fait déclen­cheur fut l’assassinat simul­ta­né de deux pré­si­dents, ceux du Rwan­da et du Burun­di, par le tir d’un mis­sile ayant abat­tu l’avion qui les trans­por­tait. Un double assas­si­nat unique dans l’histoire de l’humanité).

      4. Depuis plus de 20 ans, le Rwan­da est l’un des tous pre­miers pays béné­fi­ciaires de l’aide publique au déve­lop­pe­ment (APD) dans le monde. Sur la période de cinq années allant de 2013 à 2017, selon les der­nières don­nées de l’OCDE et pro­por­tion­nel­le­ment à sa popu­la­tion, le Rwan­da a été le troi­sième prin­ci­pal béné­fi­ciaire d’aides étran­gères sur l’ensemble du conti­nent afri­cain (hors pays en guerre, comme le Sou­dan du Sud, et hors très petits pays de moins d’un mil­lion d’habitants, essen­tiel­le­ment insu­laires). Avec une enve­loppe annuelle de 1,116 mil­liard de dol­lars en moyenne, il n’a été devan­cé, par habi­tant, que par le Libe­ria et la Sier­ra Leone (deux pays anglo­phones fai­sant par­tie des trois pays le plus pauvres d’Afrique de l’Ouest, avec le Niger).
    À titre de com­pa­rai­son, le Bénin et le Burun­di (pays voi­sin du Rwan­da, et un des quatre pays le plus pauvres du conti­nent, avec le Mala­wi, le Sou­dan du Sud et la Soma­lie), comptent une popu­la­tion à peu égale à celle du Rwan­da (10,6 et de 10,2 mil­lions d’habitants en moyenne sur cette période, res­pec­ti­ve­ment, contre 11,4 mil­lions, selon l’ONU), mais n’ont reçu que 572 et 522 mil­lions de dol­lars d’aide par année en moyenne, res­pec­ti­ve­ment. En d’autres termes, le Rwan­da a reçu 81 % et 91 % d’aides par habi­tant en plus que le Bénin et le Burun­di, res­pec­ti­ve­ment. Autre com­pa­rai­son pos­sible, l’Ouganda, autre pays voi­sin du Rwan­da et hui­tième pays le pauvre du conti­nent (avec un PIB de 643 dol­lars, début 2019), n’a béné­fi­cié que de moi­tié plus d’aides sur la même période (1,745 Md de dol­lars par année en moyenne), alors que le pays est 3,4 fois plus peu­plé. Ain­si, le Rwan­da a pro­por­tion­nel­le­ment reçu 116 % d’aides sup­plé­men­taires par habi­tant que son voi­sin du nord.
    Ces finan­ce­ments mas­sifs que reçoit le régime rwan­dais sont prin­ci­pa­le­ment ver­sés par les États-Unis et le Royaume-Uni, ce qui démontre bien que la Rwan­da est par­ti­cu­liè­re­ment « ciblé » par les aides amé­ri­caines et bri­tan­niques. Compte tenu de la grande pau­vre­té qui frappe encore le pays (en dehors de sa capi­tale Kiga­li), de la très petite taille du ter­ri­toire rwan­dais (12 fois plus petit que la Côte d’Ivoire, par exemple, ce qui rend faci­le­ment acces­sible l’intégralité du ter­ri­toire, et bien plus facile la mise en œuvre d’une poli­tique natio­nale de déve­lop­pe­ment), et compte tenu des élé­ments se trou­vant dans le point n°5 (ci-des­sous), la ques­tion qu’il convient de se poser légi­ti­me­ment est donc la sui­vante : où va l’argent ?

     5. Depuis 2013, le Rwan­da est le pre­mier pro­duc­teur et expor­ta­teur mon­dial de tan­tale, un élé­ment stra­té­gique extrait à par­tir d’un mine­rai appe­lé col­tan. Pour­tant, le sous-sol rwan­dais est très pauvre en col­tan, dont le Congo-Kin­sha­sa (ou RDC) détient, à lui seul, plus de 60 % des réserves mon­diales (pour­tant dis­per­sées sur plu­sieurs conti­nents). Ce para­doxe s’explique, sim­ple­ment et tris­te­ment, par le pillage mas­sif et sys­té­ma­tique des riches natu­relles de l’est de la RDC voi­sine.
    Un pillage de type « colo­nial » (et même plus grave encore, la RDC n’en reti­rant aucun béné­fi­cie), qui n’existe plus ailleurs sur le contient, qui se fait au vu et au su de tous, et ce, sans la moindre sanc­tion inter­na­tio­nale. Il est d’ailleurs regret­table de consta­ter une cer­taine indif­fé­rence des pays afri­cains eux-mêmes, qui s’honoreraient à se mon­trer plus soli­daires du peuple congo­lais frère, véri­table vic­time du régime rwan­dais depuis de nom­breuses années. Un régime dont le pré­sident est par­fois sur­nom­mé le « Hit­ler afri­cain » par les Congo­lais, étant res­pon­sable de la mort de mil­lions de per­sonnes dans l’est du pays, sur les 25 der­nières années (la plus grande catas­trophe humaine depuis la seconde guerre mon­diale). Une res­pon­sa­bi­li­té qui a encore été récem­ment rap­pe­lée par le très res­pec­table et res­pec­té M. Faus­tin Twa­gi­ra­mun­gu, homme de paix et de dia­logue ayant per­du 36 membres de sa famille lors du géno­cide, et qui avait occu­pé la fonc­tion de Pre­mier ministre du Rwan­da au len­de­main de ce drame (et non avant, point impor­tant à sou­li­gner). Une per­son­na­li­té aujourd’hui en exil, et en dan­ger.
    Ce géno­cide rwan­dais qui est « à 100 % de la res­pon­sa­bi­li­té amé­ri­caine… Il est de la res­pon­sa­bi­li­té de l’Amérique, aidée par l’Angleterre, mais il y a aus­si la pas­si­vi­té des autres États », selon les propres termes de l’ancien secré­taire géné­ral de l’ONU, M. Bou­tros-Gha­li, en 1998, près de deux années après avoir quit­té ses fonc­tions à la tête de l’organisation. Une affir­ma­tion bien sûr exa­gé­rée (ceux ayant com­mis les mas­sacres étant les pre­miers res­pon­sables), mais fort révé­la­trice du niveau d’implication amé­ri­caine dans ce ter­rible drame. Les États-Unis qui avaient long­temps inter­dit à l’ONU d’utiliser – et donc de recon­naître – le terme « géno­cide » afin d’empêcher toute inter­ven­tion visant à arrê­ter les mas­sacres, et ce, jusqu’au 08 juin 1994, soit 23 jours après la France (qui avait été la pre­mière grande puis­sance à par­ler ouver­te­ment de géno­cide, dès le 16 mai 1994) et des cen­taines de mil­liers de morts plus tard.
    Un blo­cage volon­taire des États-Unis, pour qui il fal­lait abso­lu­ment que le FPR du Paul Kagame prenne d’abord le contrôle de la majeure par­tie du pays, avant de recon­naître le géno­cide et de per­mettre ain­si à l’ONU de deman­der une inter­ven­tion mili­taire huma­ni­taire. Quitte à lais­ser se faire mas­sa­crer presque tous les Tut­sis du pays et les Hutus qui leur étaient proches (et aux­quelles s’ajoutent les dizaines de mil­liers de civils hutus mas­sa­crés par les forces du FPR). Et une fois le feu vert de l’ONU obte­nu, et même si elle aurait pu faire davan­tage, la France fut tout de même la seule puis­sance à accep­ter d’intervenir, sau­vant ain­si la grande majo­ri­té des sur­vi­vants tut­sis du sud-ouest du pays. Dans un monde « juste et par­fait », Bill Clin­ton com­pa­rai­trait devant un tri­bu­nal pénal inter­na­tio­nal, de pré­fé­rence situé en Afrique, afin d’être jugé pour com­pli­ci­té de géno­cide.

     6. Le Rwan­da est l’un des quatre régimes les plus tota­li­taires du conti­nent afri­cain, qui sont au « degré zéro » de liber­té d’expression (avec l’Égypte, l’Érythrée et le Eswa­ti­ni, ancien­ne­ment Swa­zi­land et der­nière monar­chie abso­lue du conti­nent). Tous les oppo­sants poli­tiques qui ne quittent pas le pays sont soit exé­cu­tés, d’une manière ou d’une autre, soit jetés en pri­son.

     7. Le régime rwan­dais est celui ayant com­mis le plus grand nombre d’assassinats d’opposants poli­tiques en dehors de ses propres fron­tières (au Kenya, en Afrique du Sud, en Ougan­da, en RDC, et aux­quels s’ajoutent des ten­ta­tives d’assassinat en Bel­gique et au Royaume-Uni, empê­chés in extre­mis par les auto­ri­tés locales, qui se refusent tou­te­fois et étran­ge­ment de pro­tes­ter). Chose qui est pour­tant extrê­me­ment rare dans le monde, mais qui est habi­tuelle pour ce régime.

     8. Paul Kagame, offi­ciel­le­ment au pou­voir depuis l’an 2000, mais de fac­to depuis 1994, a modi­fié la consti­tu­tion de son pays en 2015 afin d’être en mesure de se main­te­nir au pou­voir jusqu’en 2034, soit 40 années de règne. Kagame est d’ailleurs le seul dic­ta­teur afri­cain à oser encore « se faire élire » avec des taux de 99 % (98,6 % lors de la der­nière élec­tion pré­si­den­tielle de 2017).

     9. Le régime tota­li­taire du Rwan­da, et l’impunité la plus totale dont il jouit, est hélas en train d’inspirer d’autres pou­voirs afri­cains qui s’appuient sur cet exemple afin d’interrompre un pro­ces­sus de démo­cra­ti­sa­tion en cours. Et notam­ment dans la région de Grands lacs, et en par­ti­cu­lier en Ougan­da et au Burun­di (dont le pré­sident a récem­ment pro­cé­dé à un véri­table « copier-col­ler » de la nou­velle consti­tu­tion rwan­daise).
    Plus loin sur le conti­nent, il est éga­le­ment regret­table d’observer la dérive auto­ri­taire que connaît aujourd’hui le Bénin, qui fut pour­tant le deuxième pays d’Afrique conti­nen­tale à deve­nir une démo­cra­tie, après le Bots­wa­na et dès 1990 (au Séné­gal, Léo­pold Sédar Sen­ghor avait été le pre­mier pré­sident, hors Afrique du Sud – non encore véri­ta­ble­ment démo­cra­tique pour cause d’apartheid, à quit­ter le pou­voir de lui-même, fin 1980. Mais la démo­cra­tie ne fut ins­tau­rée que bien plus tard). Le Bénin, un pays dont le pré­sident est bien connu pour être un ami proche de Kagame…

     10. Louise Mushi­ki­wa­bo, ancienne numé­ro deux de régime rwan­dais, avait invi­té en 2017 le direc­teur géné­ral d’Human rights watch, une impor­tante ONG inter­

  • Retour vers cet été : Images du Camp Maxime Real del Sarte 2014

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    Cette vidéo, que nous avons plaisir à diffuser, ce dimanche d'automne, ce sont des images du camp d’Action Française de cet été. Des images d'une jeunesse somme toute plutôt joyeuse, des images plutôt encourageantes, malgré les perspectives très sombres de l'actualité. Le Camp Maxime Real del Sarte est aussi bien un moment de formation intellectuelle et politique que d’apprentissage de techniques militantes. Où l'Action française se soucie d'abord d'elle-même, de la pertinence de sa politique, de la nécessité, pour la France, de sa présence et de son action; où elle réunit sa jeunesse, où elle se préoccuppe de transmettre, où elle prépare son avenir, où elle s'organise et se renforce elle-même; ce qu'elle se doit de faire en priorité. C'est, au sens le plus étendu, en s'organisant, en travaillant à l'unité de toutes ses composantes, en grandissant, elle-même, qu'elle peut le mieux servir la France. Lafautearousseau u

     

     

    Source : C.R.A.F.

     

  • Communiqué de presse : Hommage bordelais à Jeanne.

    HOMMAGE BORDELAIS À JEANNE

    Ce matin, les responsables de l'Action française - Bordeaux ont rendu hommage à Jeanne d'Arc, héroïne nationale et sainte de la patrie depuis 1920.

    Dans un contexte douloureux et anxiogène pour tous les Français, face à un Etat débordé car mal préparé à affronter une crise sanitaire majeure, la figure de Jeanne d'Arc doit être une arme contre le désespoir, "sottise absolue en politique".

    Jeanne, c'est la jeunesse qui se sacrifie, la jeunesse du "bon sens, de la rectitude du jugement" (Jacques Bainville). C'est aussi la volonté de réconcilier tous les Français tout en demeurant désintéressée du pouvoir.

    Cette jeunesse, pleine de courage, doit être un exemple pour toute la jeunesse bordelaise que nous appelons à nous rejoindre, au service de la France.

    Le travail acharné de nombreux Français, en particulier celui du personnel soignant, montre qu'il persiste encore chez beaucoup de nos compatriotes, les ressources et le courage nécessaire pour traverser les épreuves d'aujourd'hui et celles à venir.

    Il est grand temps de remettre les Français au coeur de l'action politique et sociale en gardant un esprit d'unité si cher à la libératrice d'Orléans.

    La section bordelaise de l'Action française.

  • Sur TV Libertés, Philippe Milliau, président de TVLibertés : Le Système à tuer les peuples est aux abois ! (Voeux).


    Comme chaque année, traditionnellement, le président et fondateur de TVLibertés, Philippe Milliau, présente ses voeux aux téléspectateurs de TVLibertés.

    Dans son intervention, Philippe Milliau affirme que le Système à tuer les peuples et les identités est aux abois. Et pour tenter de contrôler les populations, il en est réduit à mettre en place trois types d’actions : la fraude, la répression et la fuite.

    Le président de TVLibertés profite aussi des voeux pour rappeler la mission de la première chaîne alternative de France : la défense de l’esprit français et de la civilisation européenne.