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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    (sur notre page facebook Lafautearousseau Royaliste)

    Une fois n'est pas coutume: on n'a pas mal au foie, à lafautearousseau, et on aime bien s'amuser, malgré (et même, surtout, "à cause de") l'actualité si souvent morose et déprimante; on aime bien, aussi, être impertinent... On commencera donc cette série d'aujourd'hui, et cette semaine, par un pied de nez à l'entreprise bien connue "Cingleries, foldingues et Compagnie"...

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    1. L'Algérie, elle, sait refouler les migrants sub-sahariens, y compris mineurs. Ce n'est d'ailleurs pas la première fois, et cela ne fait s'étrangler personne, chez les bobos/gauchos/trotskos... Alors, on attend quoi, chez nous ? Pour faire pareil (en plus grand, bien entendu; beaucoup, beaucoup plus grand...)

    https://www.rfi.fr/fr/afrique/20220910-niger-pr%C3%A8s-de-800-migrants-refoul%C3%A9s-par-l-alg%C3%A9rie-dont-des-dizaines-de-mineurs

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    2. À ne tout de même pas oublier : François Hollande, l'un des grands responsables du déclassement de la France : d'accord avec Maxime Thiebaut...

    (extrait vidéo 0'39)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1568687110919720960?s=20&t=_tm37jvS3Nx8Q2b1HhAoxA 

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    3. "Sobriété", "Rationnement", "Coupures" : Macron veut nous contraindre, nous culpabiliser et, le cas échéant, nous punir pour SES erreurs, SES, fautes et folies, SES cingleries (fermeture de Fessenheim avant la mise en service de l'EPR de Flamanville; sanctions imbéciles contre la Russie, qui, en réalité, nous sanctionnent nous et notre économie...).

    (extrait vidéo 2'11)

    https://twitter.com/GaucheMafia/status/1568581863744372738?s=20&t=_tm37jvS3Nx8Q2b1HhAoxA

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    4. Suède : ci dessous, à gauche, le plan des immigrationnistes, "idiots utiles" de l'invasion musulmane/islamique de l'Europe; à droite, la réalité, et ces faits qui sont têtus... "Élections législatives en Suède : l'extrême-droite aux portes du pouvoir", titrait Le Monde, il y a peu : les premiers résultats confirment cette "prédiction", accordant 20/21% aux "anti-invasion", et les Conservateurs ont confirmé qu'ils gouverneraient avec eux. Le "groupe de Visegrád" va donc, de fait, se consolider et s'étendre au Nord : excellente nouvelle !

    https://www.lemonde.fr/international/article/2022/09/11/elections-legislatives-en-suede-l-extreme-droite-aux-portes-du-pouvoir_6141111_3210.html

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    5. D'accord avec Jérôme Rivière sur la scandaleuse campagne (?) du Musée de l'Histoire de l'immigration dans le Métro parisien. Une campagne qui, contrairement aux attentes de ses promoteurs, conforte la justesse des arguments des opposants au "grand remplacement" imaginé et imposé par le Système, qui s'est pensé, voulu, construit sans, en dehors de, et contre nos Racines, nos Traditions, tout ce qui constitue notre Être profond. C'est ce Système qu'il faut supprimer, si l'on veut réellement lutter contre "le grand remplacement", dans les têtes et dans les rues...

    "Opération de mensonge et propagande du très militant « Musée de l’histoire de l’immigration » dans le métro parisien. Bien sûr aucune publicité contraire ne sera autorisée au nom de la « neutralité » politique."

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    6. Isabelle Surply communique :

    (extrait vidéo 0'57)

    https://twitter.com/IsabelleSurply/status/1568649241060417536?s=20&t=_tm37jvS3Nx8Q2b1HhAoxA

    Quand on pense que la magnifique Bastide de Maurras, au Chemin de Paradis, à Martigues est "interdite d'accès" par la Mairie communiste (et, surtout, corrompue de la ville) et que, bien entendu, elle ne figure pas sur la liste des monuments ouverts au public pour les Journées du Patrimoine de cette fin de semaine !...

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    7. Et, pour terminer cette série d'aujourd'hui, n'oubliez pas que vous avez un rendez-vous important, demain, mardi, amis, lecteurs, sympathisants de Paris et d'Île de France (ou, tout simplement, présent à Paris ce jour-là !... ) : 

    SOUTIEN TOTAL AU PROFESSEUR  CHRISTIAN PERRONNE !

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     
    Jean-Christophe Buisson nous change un peu des insanités/obscénités d'une LFI et de foldingues escrolos totalement excitées et "hors de contrôle", semble-t-il; et nous tire autant qu'il le peut vers le haut, vers ailleurs, vers beaucoup plus important :
    "Pendant que des élues "féministes" de la République  dessinent en séance à l'Assemblee des vagins avec leurs mains ou twittent "mangez vos morts", je reviens ds le pays dont les soldates sont torturées, violées et démembrées par les Azéris quand elles sont capturées : l'#Armenie."
     
    Responsables et coupables : les nazéris, et le silence - qui vaut consentement - des semble gouvernants occidentaux...
     

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    1. Et toujours sur l'Arménie, le même Jean-Christophe Buisson alerte (à nouveau...) :

    "Du 3 au 14 octobre, sous le slogan explicite "2 Etats, 1 nation", exercices combinés des forces spéciales turques et azerbaïdjanaises en Turquie. La dernière fois qu'elles ont mis en application leurs entraînements communs,c'était en #Artsakh #HautKarabakh contre les #Armeniens"
     
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    2. Le Maire de Carpentras en a assez de l'insécurité et des violences quotidiennes dans sa ville. Qui pourrait l'en blâmer ? Sauf que... il a écrit au président Macron, s'attirant ainsi le "pan sur le bec" suivant de Catherine Rimbert, Conseillère municipale,  Communautaure et Régionale :

     "Insécurité : le Maire de #Carpentras appelle ses administrés à écrire à Emmanuel Macron ! Un peu de cohérence ! Mon communiqué de presse :"

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    Cliquez sur l'image pour l'agrandir, puis utilisez le zoom...

     

    3. (Dans Face à l'info, chez Christine Kelly) Le toujours excellent Dimitri Pavlenko explique le naufrage de l'agriculture française : "...Nous avons cru sauver nos agriculteurs du déclin avec la montée en gamme, nous n’avons fait que l’aggraver..."

    (extrait vidéo 1'53)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1577352457562226691?s=20&t=5GhZ9GonIS2QJn63yjMOXg

    20131011-CP-France-La ruine pousse les agriculteurs au suicide

    Déjà en 2010, dans Le Point, Nicolas Baverez alertait :

    https://www.lepoint.fr/editos-du-point/nicolas-baverez/comment-la-france-a-ruine-son-agriculture-15-07-2010-1217490_73.php

     

    4. À propos du mensonge et de la fumisterie du soi-disant "démantèlement" du camp d'envahisseurs de La Villette, à Paris, d'accord avec Gilbert Collard :

    https://www.jeanmarcmorandini.com/article-513946-en-direct-demantelement-du-camp-de-toxicomanes-de-la-villette-ce-matin-il-etait-quasiment-desert-les-toxicomanes-ayant-ete-informes-des-hier-de-l-operation-policiere-video.html

     

    5. En Italie, Giorgia ne perd pas de temps ! À peine installée, elle veut faire sauter l’obligation vaccinale et le Passe Sanitaire... :

    https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-en-italie-a-peine-installee-au-pouvoir-la-droite-menace-de-faire-sauter-lobligation-vaccinale-et-le-pass-sanitaire/

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    6. Comme Molière, nous prenons notre bien où nous le trouvons. Les Républicains méritent mille et une critiques, et plus encore. Raison de plus pour que, lorsqu'ils disent quelque chose de juste, on prenne le temps de le noter. Ici, c'est Olivier Marleix qui dénonce l'absurdité criminelle de nos semble-dirigeants dans le domaine de l'énergie :

    "Alors que nous produisons de l'électricité à 50€/MWh, nos entreprises doivent se fournir avec des contrats à 600€/MWh. Les marchés européens sont devenus absurdes. La situation est intenable. Qu'attendez-vous pour prendre des mesures d'urgence ?"

    (extrait vidéo 2'07)

    https://twitter.com/Republicains_An/status/1577293054901362688?s=20&t=5GhZ9GonIS2QJn63yjMOXg

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    6 BIS. Le Maire de Neuilly-sur-Marne (40.000 habitants, Île de France), Zartoshte Bakhtiari, dénonce le vol, le scandale, le rackett organisé " avec, en plus, la passivité de l'État". Il a créé le collectif "STOP AU RACKET ÉNERGÉTIQUE" :

    (extrait vidéo 2'11)

    https://twitter.com/_samedi_/status/1577259357661601792?s=20&t=5GhZ9GonIS2QJn63yjMOXg

     

     

     

    À DEMAIN !

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    AVEC L'ACTION FRANÇAISE MULHOUSE :

    ROUVREZ FESSENHEIM !

    On enjoint les Français de réaliser des économies d'énergie drastiques. Paradoxalement l’État par pur électoralisme abandonne une source d'énergie verte, abondante et compétitive qu'est le nucléaire. La République combine, les Français triment !
    Voilà pourquoi avec nos camarades de l'Action française Strasbourg nous nous sommes rendus sur le site de la centrale nucléaire la plus emblématique du lynchage politique afin de réclamer cette mesure d'urgence et de bon sens : Rouvrez Fessenheim !

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    1. Nous parlions ici-même, hier de la crise dans la Police judiciaire et du patron de la PJ de Marseille - Eric Arella - démis de ses fonctions (une décison plus que "très mal vécue" par la très grande majorité des membres de la PJ : le lendemain, un accueil glacial (doux euphémsime !) fut réservé au DGPN, Frédéric Veaux, dans les locaux de la police judiciaire de Marseille. D'accord avec Gilbert Collard :

    "Comme Le monde est petit en Macronie : Frédéric Veaux, DG de la police, qui a viré le patron de la PJ de Marseille, est marié à Véronique Malbec, directrice de cabinet du garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti et nommée par Ferrand au Conseil Constitutionnel en février 2022 !"

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    1 BIS. Dans Le Midi libre, la PJ de Montpellier dévoile une vidéo pour protester conte cette "reforme" (?) de la Police, qui, selon les premiers intéréssés, remet en cause l'essence même de leur métier...

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    Selon eux, cette réforme remet en cause l'essence même de leur métier.

     

    3. L'Hôtel de Ville de Paris envahi par des... envahisseurs (car c'est ce qu'ils sont, même si les bobos/gauchos/trotskos, et le pape François, veulent nous imposer le terme, faux, de "migrants" : Alexandre Devecchio dit très bien ce qu'il faut dire et répéter sans cesse (dans Ça se Dispute) :

    "On a l’impression d’avoir affaire non pas à des migrants qui veulent s’en sortir, mais à des envahisseurs. C’est peut-être exagéré, mais je crois que pour beaucoup de nos concitoyens, c’est ce qu’ils ressentent"

    (extrait vidéo 1'34)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1578805318108094464?s=20&t=sDRSMRa8hHQgghbOTzvhjA

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    4. Une provocation pure et simple, au moment où notre "semble-gouvernement" de bons à rien et d'incapables nous demande des efforts et nous annonce - mais, pour nous, pas pour lui ! - "la fin de l'abondance" : les députés et sénateurs vont être augmentés de 254 euros ! D'accord avec Franbçois Pupponi :

    "Je suis atterré. Revaloriser l’indemnité de fonction des députés, ça me paraît surréaliste. Dans le contexte actuel… Bien entendu que ça va hurler."

    (extrait vidéo 1'03)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1578759858894999553?s=20&t=JtLRKOFcfXHwG3QE-NWowA

    SYSTÈME POURRI,

    QUI SE FOUT DE NOUS

    ET NOUS PROVOQUE !

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    5. La réaction de Jean-Philippe Chauvin et du GAR (Groupe d'Action Royaliste) au propos d'Édouard Philippe, qui "veut" la retraite à 67 ans :

    "Dans un entretien paru dans Le Parisien, l’ancien premier ministre Edouard Philippe, l’un des principaux responsables du déclin économique de la France, prône à nouveau la possibilité du report de l’âge légal de la retraite à 67 ans !! Jusqu’où vont-ils aller dans l’indécence sociale ?
    Depuis 2011, la petite bande royaliste-sociale du GAR alerte sur cette mesure antisociale voulue par Bruxelles.
    Un détail, sans doute, dans l’entretien de l’ancien ministre : pas un seul mot sur la pénibilité du travail et sur les différentes conditions de travail... Juste le mépris social porté au plus haut niveau !!"

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    6. Voilà qui est dit, et bien dit !... :

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    7. C'est dans Ouest France : record battu ! Record battu ! Le plus grand drapeau breton du monde a été déployé à Rennes, samedi, pour demander le rattachement de la Loire Atlantique à la Bretagne... 

    https://twitter.com/ouestfrance35/status/1578739204665638912?s=20&t=Rpf1LQtdx_xyQdWndr9-iQ

    Rennes, place du Parlement. Déploiement du plus grand drapeau Berton du monde (1 400 m2) (« gwenn ha du » en breton). Une action pour demander le rattachement de la Loire-Atlantique à la Bretagne.Rennes, place du Parlement. Déploiement du plus grand drapeau Breton du monde (1.400 m2) (« gwenn ha du » en breton)...

     

     

    À DEMAIN !

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  • En cingleries aussi, jamais deux sans trois : après l'ISF et les 35 heures, le Revenu universel !

    « Benoît Hamon, atteint du syndrome (ou du complexe) d'Erostrate » 

     

    Mur-bleu gds.jpgIl était une fois...

    Il était une fois un petit élu de parti, qui avait un gros problème : comment acquérir de la notoriété, comment devenir connu, à défaut d'être célèbre, se demandait-il ? Et cela, parce qu'il voulait absolument gagner une élection. Oh, pas grand-chose, pas une grande élection, non ; vraiment, même, très peu de chose : la primaire du Parti socialiste.

    Que faire, que dire, qu'inventer ? se lamentait-il. La folie des 35 heures ? Martine me l'a déjà piquée ; l'autre folie de l'ISF, piquée aussi, par François (pas Hollande, non, Mitterrand) !

    Alors, Benoît a fait comme Erostrate : vous savez, ce grec inconnu qui, désirant à tout prix sortir de l'anonymat, incendia cette merveille du monde qu'était le temple d'Artémis, à Ephèse. Succès complet de l'opération : vingt-quatre siècles après, si le monde a perdu l'une de ses merveilles, Erostrate, lui, est passé à la postérité, et pour toujours.

    Benoît Hamon, atteint du syndrome (ou du complexe) d'Erostrate a trouvé lui aussi, enfin, son idée géniale. Il n'y a plus de temple à brûler, alors il a pensé à un truc sensationnel : je vais, se dit-il, donner 700 euros par mois à tout le monde ! Et j'appellerai cela le Revenu universel ! En voilà une idée qu'elle est bonne, se dit-il, tout content de lui, et, ni une ni deux, il se mit à proposer son thème de campagne. « Car il faut faire rêver », répondit-il à ceux qui le regardaient, mi effarés, mi consternés. Et il ne s'abaissa pas à expliquer comment il trouverait les 3 à 400 milliards que coûterait sa génialissime invention : cela aurait été d'un vulgaire ! Rêvons, vous dis-je... Et puis, il était tellement content de se démarquer ainsi de Hollande : lui avait dit « je ferai payer les riches », Hamon rétorque, superbe « je ferai toucher les riches » et Liliane Bettencourt recevra ses 700 euros par mois, comme tout le monde !... 

    Dans sa chronique du Figaro magazine, Zemmour, avec raison, tourna la chose en dérision ; et il nota : Hamon cartonne à Alger et Bamako, il fait un tabac, là-bas. Parce que, « le tam-tam de Jonathan », pour reprendre le titre d'un ouvrage du grand visionnaire Jean Raspail, cela fonctionne très bien : « Y’a bon la France ! » voilà ce qui se transmet, plus vite que la vitesse de la lumière ou du son, dans toute l'Afrique, de celle du Nord à la sub-saharienne. Oui, l'intéressé n'en a peut-être pas conscience, ou il n'en a cure, mais le résultat de sa démagogie délirante c'est ce cri qui court partout, dès maintenant : « Y’a bon, Hamon, y'a bon la France... ».

    Oui, mais, pour nous, la France et les Français, Hamon et ses folies, « y’a pas bon », mais pas bon du tout...

    Car, pour parler clair, outre le formidable appel d'air supplémentaire que cette folie furieuse créerait en matière d'immigration, Benoît Erostrate, pardon, Benoît Hamon n'a pas l'air de se rendre compte que son idée géniale, suréminente, sublimissime, ce serait tout simplement un GBSA, un grand bond social en arrière : un saut dans le temps passé de 2.000 ans, qui nous ferait revenir à cette époque où le peuple de la ville de Rome s'accommodait fort bien de ne pas travailler, pourvu qu'il ait de quoi manger et de quoi se distraire; et ce serait le retour de la mentalité décadente du « panem et circenses », que dénonçait Juvenal : le beau « progressisme » que voilà ! Qu'il est « novateur », ce programme qui ramène 2.000 ans en arrière !... 

    Illustration : Erostrate de Fernando Pessoa - La Différence.

  • La macro énormité d’Emmanuel Macron : « Il n'y a pas une culture française » ...

    Meeting à Lyon, le 4 février 2017

     

    1903076588.10.jpgOui, vous avez bien lu, il a osé le dire : « Il n'y a pas une culture française ; il y a une culture en France : elle est diverse, elle est multiple ». Signé : Macron (lors de son meeting à Lyon, le 4 février 2017).

    Sans crainte du ridicule, Macron a donc mis ses pas dans ceux du grotesque Eric Besson, qui avait osé déclarer en son temps* : « la France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage. »

    Que répondre à de tels Niagara de stupidité ? De tels Everest de bêtise pure ? Et encore, on reste gentils, et polis...

    Alors, comme ça, il n'y a donc pas de culture française ? Mais, qu'est-ce qu'elle t'a appris, Manu, Brigitte ? Elle n'est pas professeur de français ? Bon, on conçoit sans peine que tu n'as pas dû faire « que » de la littérature quand tu étais avec elle. Il a fallu, sans doute, faire les courses, s'occuper des tâches ménagères, arranger un peu la maison, et puis tout un tas de choses - on n'a pas trop d'idées, là, comme ça - mais vous avez sûrement dû faire tout un tas de trucs, tous les deux, et avoir un temps bien employé. Du moins, on vous le souhaite.

    Mais, vraiment, elle ne t'a jamais parlé de Molière ? Ni de Racine ? Exit donc, Racine, et Molière avec...

    Et Verlaine ? Non plus ? Et Montaigne, Pascal, Voltaire, Chateaubriand ? Non, vraiment, rien ? Cela ne te dit rien ?

    En somme, depuis que tu es avec elle, Balzac est au niveau de Black M (ou, pourquoi pas, au-dessous) ?

    Eh ! bien, vive les profs !

    On se demande bien à quoi elle t'a servi, Brigitte ! Enfin, on veut dire, « au niveau du culturel », comme on dit dans le jargon. Dans un de leurs meilleurs sketches, Les Inconnus disaient que « dans culture, il y a ture ». On espère que, candidat à la fonction suprême, tu as pris le mot « culture » dans sa globalité, et pas dans une seule de ses « parties » !

    Bon, maintenant, soyons sérieux. Le père Besson avait déjà insulté le peuple français ; voici le tour du père Macron, en mode « macro ». Pas de culture française ! Le moindre rappeur sub-saharien, eructeur de sons bizarroïdes sur des textes (?) qui ne le sont pas moins, promu l'égal de François Villon ou de ce pauvre Ruteboeuf qui, pour le coup, aura bien raison de se plaindre et de se lamenter ! Le moindre pourrisseur des murs de nos villes (baptisé « grapheur » par la sous-culture du politiquement correct) promu l'égal de Philippe de Champaigne ou de Cézanne ! On en passe, et des pires !

    Osons une question simple ; la seule qui vaille d'être posée, mais c'est une question qui fâche : et si on arrêtait de délirer ?

    Et si vous commenciez, un tout petit peu, à ouvrir les yeux, un tout petit peu. A sortir de votre bulle dorée : d'élu, haut fonctionnaire et ministre pour l'un (Besson) ; de banquier, haut fonctionnaire et ministre pour l'autre (Macron).

    C'est vrai qu'on vous demande, là, l'impossible : car, si vous faites cela, vous sortez du Système que vous représentez si bien, que vous incarnez, que vous êtes. Et, justement, vous n'êtes plus rien ; du moins, plus rien d'autre que de simples citoyens, comme nous. Vous perdez ce qui vous rend différents. Mais, différents, pas pour le meilleur : pour le pire... 

    * Nous avions relevé cette grotesque déclaration d’Éric Besson dès qu'elle fut prononcée, le 16 février 2010. A retrouver, le cas échant, au moyen du lien suivant :

    Rions un peu, d'eux : la grandiloquence révolutionnaire, mais aussi les décisions de Justice, revues et corrigées, à la sauce Besson !

  • Les « terroristes » de 89 sont toujours là... A la fête de Jeanne d'Arc à Paris et Marseille, par exemple ...

    Les mêmes terroristes - ceux dont il est ici question - semant violence et destruction dans les rues de nos villes, sans qu'il y soit jamais mis fin   

     

    Mur-bleu gds.jpgLa Révolution a été faite par la violence et la Terreur. Elle est née dans elle, par elle, et seulement grâce à elle. Ainsi, bien sûr, que la République dont elle a accouché. Même Emmanuel Macron, alors ministre, l'avait affirmé, reconnaissant avec raison que le peuple français n'avait pas voulu la mort du Roi...

    Et, si Lénine parlait - en un autre domaine - de « maladie infantile du communisme », on peut parler, à propos de Révolution et de Républiques, de leur maladie congénitale, en rappelant ce mot si juste de Gustave Thibon faisant remarquer le lien - génétique, pourrait-on dire - entre « le chaos explosif des révolutionnaires » et « le chaos figé des conservateurs du désordre ». La République, devenue le régime de la France, puis maintenant un véritable Système, emploie alternativement, en fonction de la situation et de ses besoins, l'une ou l'autre forme de ce « chaos ». Qu'elle est. Aucun nuage ne se présente-il à l'horizon ? Elle offre le spectacle rassurant d'un régime calme et normal, cachant soigneusement l'immense fleuve de sang d'où elle est sortie. Des oppositions, des dangers surgissent-ils ? Les descendants des sectionnaires de Robespierre sont toujours là car, c'est bien connu, « la république gouverne mal mais se défend bien » ...

    A Paris et à Marseille, on a pu voir, à l'occasion de cette dernière Fête de Jeanne d'Arc, que la violence terroriste des héritiers de la Révolution et de sa République était loin d'avoir disparu, bien au contraire.

    A Paris, à la fin du colloque du Cercle de Flore du samedi 13 mai, auquel le Prince Jean de France participait, un groupe d'une cinquantaine de terroristes a surgi, soudain, pensant probablement disperser le colloque, ou quelque chose dans ce genre. Les militants royalistes les ont promptement fait déguerpir, par un usage approprié de la force, mise au service de la raison...

    A Marseille, le jeudi 18, en fin d'après-midi, autre scénario : le dépôt de gerbe et l'allocution prononcée au pied de la statue de Jeanne d'Arc des Réformés (en haut de la Canebière) ne fut perturbé que par des cris haineux d'une vingtaine de terroristes, auxquels il fut décidé de ne même pas répondre - comme à Paris - en les forçant à se taire.

    Il n'en demeure pas moins que ces deux événements nous permettent de renvoyer à ceux qui aiment la manier - en la « retournant » à leur intention - la fameuse phrase : il est encore fécond, le ventre d'où est sorti la bête immonde !

    La bête immonde, c'est le Terrorisme, né en France avec et par la Révolution, qui a causé le génocide vendéen, le premier des temps modernes, et la mort d'environ six cent mille Français. Un terrorisme qui s'est survécu au fil des décennies, avec une Louise Michel, et la mise à feu de Paris pendant la Commune ; avec la sinistre Epuration de 44-45, et l'assassinat de milliers de Français...

    L'amusant - si l'on peut employer ce mot, ici - c'est que le terrorisme est pratiqué par des groupuscules qui s'auto nomment « antifascistes », alors qu'ils ne sont que de « prétendus » antifascistes : les fascistes, ce sont bien eux, ceux qui veulent interdire l'expression de toute autre idée que la leur, et ne faire régner qu'une loi, la leur ; qu'un parti, le leur. Et qui sont les frères, les fils et filles de tous les fascismes et terrorismes venus des origines terroristes de la République, le fascisme rouge du marxisme offrant d'ailleurs de curieuses similitudes avec le fascisme vert de Daech, qui, comme la Révolution, fait commencer l'Histoire avec son apparition, et cherche à détruire autant qu'il peut tout ce qui l'a précédé... 

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    Posté par Europhobe, sur tweeter :

    "En 2019, #Macron brade #Latécoère, fleuron de l'aéronautique à #Searchlight. On apprend que les sites de Montredon et Labège vont être délocalisés au Mexique et en République Tchèque ! Licenciements et pillage technologique ! Bruno Le Maire appelle cela " l'attractivité "...

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    AINSI MACRON ET LE SYSTÈME POURSUIVENT-ILS,

    JOUR APRÈS JOUR,

    LA DÉMOLITION ÉCONOMIQUE

    (MAIS "PAS QUE", SELON LE TIC À LA MODE)

    DU PAYS...

     

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    1. La gestion (?) catastrophique de la Ville de Paris : David Alphan, Conseiller municipal, la rappelle en quelques mots : "situation de faillite", "dette qui a cru de façon exponentielle", "qui est 7,7 milliards d'euros" mais qui s'élèvera à dix milliards avec les "dépenses" en cours jusqu'à la fin de l'actuelle mandature !...

    (extrait vidéo 1'28)

    https://twitter.com/ChaRocher/status/1630120634540802048?s=20

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    Elle a réussi à faire passer Parus du "fluctuat nec mergitur", au "sauve qui peut, on coule à pic !"

     

    2. PPEEBP / StopEolien dénonce, à bon droit, le mensonge de Borne et Wargon sur les soi-disant "avantages" (?) de l'éolien, das un document (re ?) qui ressemble plutôt à du bourrage de crâne qu'à de l'information ! :

    "L'#éolien : "fiable, disponible et compétitif" à propos d'une énergie totalement aléatoire dont les coûts annexes (réseau, backup #gaz, démantèlement etc,) sont systématiquement dissimulés, le cynique mensonge d'@EmmWargon et @Elisabeth_Borne noir sur blanc !"

    (ndlr : en français, "back up" c'est "sauvegarde", ici, "maintenance")

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    3. Entièrement d'accord (une fois de plus !) avec Gilles-William Goldnadel : à Richard Verslype, qui poste sur tweeter cette juste réflexion :

    "Encore un navire échoué et des vies humaines perdues en Italie après l'accident d'un bateau de migrants. Il faut arrêter de leur faire croire à un avenir meilleur en Europe."

    Goldnadel répond, en allant plus loin :

    "L’odieux visuel de sevice public Arte et Fr2 instrumentalisant le drame font porter le chapeau à l’Italie. Les ONG complices des passeurs qui invitent les migrants à venir nous envahir sont responsables de ce martyre. Les faux gentils qui font les beaux sont de vrais salauds."
     
     Ça, c'est envoyé !

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    4. Entièrement d'accord (une fois de plus !) avec Gilles-William Goldnadel : à Richard Verslype, qui poste sur tweeter cette juste réflexion :

    "Encore un navire échoué et des vies humaines perdues en Italie après l'accident d'un bateau de migrants. Il faut arrêter de leur faire croire à un avenir meilleur en Europe."

    Goldnadel répond, en allant plus loin :

    "L’odieux visuel de sevice public Arte et Fr2 instrumentalisant le drame font porter le chapeau à l’Italie. Les ONG complices des passeurs qui invitent les migrants à venir nous envahir sont responsables de ce martyre. Les faux gentils qui font les beaux sont de vrais salauds."
     
     Ça, c'est envoyé !

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    5. Une bonne éolienne ? C'est une éolienne qu'on n'a pas construite ! À Loyat (dans le Morbihan) le projet éolien a été "enterré" par le promoteur VSB Énergie nouvelles, après le résultat du vote du conseil municipal du mercredi 8 février dernier. Voilà les éoliennes qu'on aime bien, à lafautearousseau : "démantelées" avant même d'avoir été construites ! :
     

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    5 BIS.  Autre bonne nouvelle sur le front éolien :

    https://www.lardennais.fr/id459323/article/2023-02-24/le-parc-eolien-de-coucy-est-refuse-par-le-prefet-des-ardennes

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    7. Pierre Gentillet qui a "fait Belâbre" nous raconte un peu de son expédition...

    "J’étais ce week-end à Belâbre pour manifester contre l’installation d’un centre de migrants en plein cœur du village. J’y ai vu des gens formidables, inquiets mais plein de bonne volonté et surtout conscients de l’enjeu mortel que représente l’immigration massive pour notre peuple."

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    À DEMAIN !

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  • Feuilleton ”Vendée, Guerre de Géants...” (5)

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

     

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    Aujourd'hui : L'héroïsme vendéen, vu par Chateaubriand...

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    Un paysan vendéen...

    "M. du Theil, chargé des affaires de M. le comte d'Artois à Londres, s'était hâté de chercher Fontanes : celui-ci me pria de le conduire chez l'agent des Princes. Nous le trouvâmes environné de tous ces défenseurs du trône et de l'autel qui battaient les pavés de Piccadilly, d'une foule d'espions et de chevaliers d'industrie echappés de Paris sous divers noms et divers déguisements, et d'une nuée d'aventuriers belges, allemands, irlandais, vendeurs de contre-révolution. Dans un coin de cette foule était un homme de trente à trente-deux ans qu'on ne regardait point, et qui ne faisait lui-même attention qu'à une gravure de la mort du général Wolf. Frappé de son air, je m'enquis de sa personne : un de mes voisins me répondit : "Ce n'est rien, c'est un paysan vendéen, porteur d'une lettre de ses chefs".

    Cet homme, qui n'était rien, avait vu mourir Cathelineau, premier général de la Vendée et paysan comme lui; Bonchamp, en qui revivait Bayard; Lescure, armé d'un cilice non à l'épreuve de la balle; d'Elbée, fusillé dans un fauteuil, ses blessures ne lui permettant pas d'embrasser la mort debout; La Rochejaquelein, dont les patriotes ordonnèrent de vérifier le cadavre, afin de rassurer la Convention au milieu de ses victoires. Cet homme, qui n'était rien, avait assisté à deux cents prises et reprises de ville, villages et redoutes, à sept cents actions particulières et à dix-sept batailles rangées; il avait combattu trois cent mille hommes de troupes réglées, six à sept cent mille réquisitionnaires et gardes nationaux; il avait aidé à enlever cinq cent pièces de canon et cent cinquante mille fusils; il avait traversé les colonnes infernales, compagnies d'incendiaires commandées par des Conventionnels; il s'était trouvé au milieu de l'océan de feu, qui, à trois reprises, roula ses vagues sur les bois de la Vendée; enfin, il avait vu périr trois cent mille Hercules de charrue, compagnons de ses travaux, et se changer en un désert de cendres cent lieues carrées d'un pays fertile.

    Les deux Frances se rencontrèrent sur ce sol nivelé par elles. Tout ce qui restait de sang et de souvenirs dans la France des Croisades, lutta contre ce qu'il y avait de nouveau sang et d'espérances dans la France de la Révolution. Le vainqueur sentit la grandeur du vaincu. Thureau, général des républicains déclarait que "les Vendéens seraient placés dans l'histoire au premier rang des peuple soldats". Un autre général écrivait à Merlin de Thionville : "Des troupes qui ont battu de tels français peuvent bien se flatter de battre tous les autres peuples." Les légions de Probus, dans leur chanson, en disaient autant de nos pères. Bonaparte appela les combats de la Vendée "des combats de géants".

    (Mémoires d'Outre-Tombe, La Pléiade, tome I, pages 391/392/393)

     

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  • Feuilleton ”Vendée, Guerre de Géants...” (12)

     

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

     

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    Aujourd'hui : Henri de La Rochejaquelein...

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    1. De Michel Mourre :

    "Ancien officier de la garde constitutionnelle de Louis XVI et fils d'un émigré, il se retira après le 10 août 1792 dans la terre de Clisson, auprès de son cousin Lescure.
    À la tête de paysans vendéens, il rejoignit Bonchamps et d'Elbée, se distingua à la bataille de Fontenay (24 mai 1793), entra dans Saumur (9 juin), sauva les vendéens de la déroute à Luçon, remporta la victoire de Chantonnay (septembre) mais fut vaincu à Cholet (octobre).

    Devenu commandant en chef des vendéens après la mort de Lescure, il fit preuve de réels talents militaires, mais finit par être réduit à une guérilla sans espoir après les défaites d'Ancenis et de Savenay, et fut tué au combat de Nouaillé." 

     

    ...et son frère Louis

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     Louis du Vergier, marquis de La Rochejaquelein, par Pierre-Narcisse Guérin.



    Né le 30 novembre 1777 à Saint-Aubin-de-Baubigné et tué au combat le 5 juin 1815, à 37 ans, à Saint-Hilaire-de-Riez...

    Général de la grande Armée catholique et royale, il participa au soulèvement de la Vendée lors du retour insensé de Napoléon de l'île d'Elbe.
    Il participa aux batailles d'Aizenay, de Saint-Gilles-sur-Vie, des Mathes, à Saint-Hilaire-de-Riez, où il fut tué...

    En 1801, il épousa Victoire de Donnissan, veuve du marquis de Lescure, héros des premières guerres de Vendée.
    Napoléon chercha, en vain, à le gagner à sa cause.
    Dès le mois de mars 1813, il se concerta avec un envoyé du roi, et quand le parti royaliste fut de nouveau formé à Bordeaux - sous l'impulsion, entre autres, de Jean-Baptiste Lynch - il fut choisi pour aller présenter au duc d'Angoulême, alors à Saint-Jean-de-Luz, l'hommage de la ville qui venait de proclamer Louis XVIII, Roi de France.

    Au premier retour de Louis XVIII, il fut nommé chef d'un des corps militaires de sa garde (commandant des grenadiers royaux) et élevé ainsi au grade d'officier général.

    Au retour de Napoléon en France il protégea la retraite du roi jusqu'aux frontières du nord, et de là jusqu'à Gand.
    Revenu en Vendée dès le 16 mai, il souleva le pays : Napoléon apprit cette insurrection dans la nuit du 17 mai, et il se hâta d'envoyer un corps de 12.000 hommes sous les ordres du général Lamarque.
    La Rochejaquelein arriva à Saint-Jean-de-Monts le 3 juin, avec la division de son frère Auguste (le troisième et dernier garçon de la fratrie).
    Là, il apprit qu'une forte colonne s'approchait ; elle était commandée par le général Estève, qui, le lendemain, au point du jour, se porta à la ferme des Mattes, sur le bord du Marais. Au cours d'un combat furieux, et héroïque, Louis fut tué, à la tête de ses troupes, et son frère blessé...

    Il est inhumé avec ses frères dans l'église de Saint-Aubin-de-Baubigné dans les Deux-Sèvres.
    Il laissait huit enfants et une veuve.

     

    3. La Durbeliere

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    Ruines du château de La Rochejaquelein, incendié cinq fois pendant la Révolution...

    https://monumentum.fr/propriete-durbeliere-pa00101257.html

     

    4. Blason des La Rochejaquelein

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    De sinople à la croix d'argent cantonnée de quatre coquilles du même et chargée d'une coquille de gueules en abîme

     

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  • Macron, héritier ridicule et scandaleux du tout aussi ridicule et scandaleux Eric Besson

    Emmanuel Macron et Mehdi Belmadjoub (à sa gauche) à Marseille

     

    Mur-bleu gds.jpgQui a oublié l'effarante déclaration d’Éric Besson - ministre d'ouverture « de gauche » nommé avec six ou sept autres compères de la même gauche par un Sarkozy fraîchement élu - à propos du peuple français ? Voici : « la France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage. »

    Déclaration effarante, et scandaleuse, certes, mais, plus que tout peut-être, grotesque. Pour paraphraser Fouché, auteur du fameux « pire qu'un crime, c'est une faute », on aurait pu dire « plus qu'une provocation c’est une niaiserie » ... Nous n'avions d'ailleurs pas manqué, sitôt prononcés, le 16 février 2010, de relever le crétinisme intrinsèque de ce propos insane.

    Voilà qu'à Marseille, lors de sa grande réunion publique du samedi 1er avril, à Marseille, Macron a mis ses pas, en quelque sorte, dans ceux d’Éric Besson ; et a tenu à s'inscrire dans cette « grande » (!) tradition de la provocation, sorte de Jeux Olympiques de la stupidité.

    Non seulement parce qu'il a cru devoir « faire peuple », faire « couleur locale » en lançant un grotesque et loufoque « On craint dégun !», se couvrant de ridicule. Mais surtout parce que, confondant, comme à son habitude, vocifération et éloquence (il ne se rend pas compte qu'il est burlesque, à se presque casser la voix, comme cela, à chaque fois ?) Macron a terminé son discours en signalant l'origine des citoyens présents dans la salle : Maliens, Sénégalais, Ivoiriens, Marocains, Tunisiens.., comme une grande célébration du « vivre-ensemble ». Du moins pour les étrangers ou « Français de plastique », car, des Français de souche, c'est-à-dire de nous, il n'a pas été question. Comme Eric Besson, monsieur Macron semble n'avoir que mépris pour « ces gens-là », dont il fait pourtant partie, comme lui ! Mais voilà, quand on préfère les étrangers aux habitants du pays, quand on pratique un tranquille « racisme inversé », on ne voit, dans une ville provençale du pays de France, que des « Maliens, Sénégalais, Ivoiriens, Marocains, Tunisiens... »;

    Ce rendez-vous marseillais du candidat d'En Marche ! n'a d'ailleurs pas été un grand succès : comme à celui de la Réunion, beaucoup de personnes ont quitté le meeting bien avant son terme : «  C'est très ennuyeux « , disait l'un ; «  Je voudrais une vision pour le pays, quand même » , disait un autre ; un autre encore : «  Il ne va pas assez au fond des choses, il est trop superficiel »; les journalistes présents pour couvrir l'évènement, et qui ont organisé - surpris par cette désertion massive - un micro-trottoir pour ces déçus du macronisme réel, ont aussi entendu, et rapporté, des « il reste dans la banalité », «  sans idées concrètes », « c'est du vide, c'est du vent, il ne joue que sur les émotions », « il se met en valeur à travers un autre parti, c'est vraiment dommage. Ils n'ont que le mot FN à la bouche en fait »...

    Mais surtout, le candidat affirme avoir réuni 6 000 personnes, alors que la salle - d'une capacité de 7 000 places - avait été coupée en deux par un rideau noir... Noir ? Espérons que c'est un présage, car, nous ne nous en cachons pas, si nous ne donnons pas de consigne de vote, nous prenons résolument parti contre Macron, comme, à l'époque de la primaire à droite, nous avions pris parti contre Juppé...  

    Macron, paraît-il, commence à baisser dans les sondages, et si cela devait continuer, nous dirions - comme Houellebecq parlant de la République - que nous n'aurions rien à regretter. •

    A Lire aussi dans Lafautearousseau ... 

    Rions un peu, d'eux : la grandiloquence révolutionnaire, mais aussi les décisions de Justice, revues et corrigées, à la sauce Besson !

  • Feuilleton ”Vendée, Guerre de Géants...” (21)

     

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

     

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    Le soulèvement général du gand Ouest, dans son ensemble, et de la Vendée, en particulier, sont évidemment uniques en leur genre.

    Pourtant, à leur image, partout en France on s'est levé contre cette démence sanguinaire des terroristes révolutionnaires, sauvant ainsi également, en tous points du pays,  l'honneur du nom Français.

    Aussi avons-nous choisi de prendre trois exemples de ces soulèvements "pour Dieu et pour le Roi", pour la liberté de l'homme intérieur, et que l'on peut qualifier, sans porter nullement atteinte à la Geste vendéenne, "d'autres Vendées". Soljénitsyne ne dira-t-il pas, d'ailleurs, que les Russes aussi ont eu "leur Vendée" (à Tanbow, comme on le verra plus bas) ?

    On évoquera donc ici :

    • une Vendée dans les Flandres;

    • une Vendée créole, en Martinique;

    • et la "Vendée provençale", d'où surgiront, plus tard, un Maurras, un Daudet...

     

     

    Aujourd'hui : Une Vendée dans les Flandres : Louis Fruchart...

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    "Une Vendée flamande" (1813-1814), par L'abbé Harrau :

    L'année 1813, marquée dans l'histoire du Premier Empire, par de lâches et perfides trahisons, s'achevait sous les plus sinistres présages. Napoléon, après avoir repassé le Rhin avec les débris de son armée, refusait de s'avouer vaincu et un Senatus-consulte avait décrété une nouvelle levée de trois cent mille hommes ; mais la France était dépeuplée, les campagnes étaient épuisées, et nos populations du Nord maudissaient en secret l'humeur guerrière du grand faucheur d'hommes.

    Après avoir fermentée sourdement dans les chaumières, la révolte éclata, terrible, menaçante, le 22 novembre 1813. À Hazebrouck, chef-lieu d'arrondissement, où le sous-préfet De Ghesquières négligea de prendre les mesures nécessaires pour assurer la tranquillité publique, on eut l'imprudence d'appeler toutes les recrues, près de 3.000 hommes, le même jour et l'on prépara ainsi une journée d'émotions restée célèbre sous le nom de "Stokken maendag". Ce lundi-là, 22 novembre, les conscrits devaient se présenter à la revue. Vers neuf heures du matin, ils firent leur entrée en ville par bandes plus ou moins nombreuses, jurant, vociférant mille insultes contre les autorités et frappant le pavé de leurs bâtons noueux. À dix heures, le nombre des recrues était à peu près complet. On les vit alors parcourir les rues dans un état d'exaspération indicible. Les uns se dirigèrent vers la Petite Place; d'autres suivirent la rue de l'Église et rencontrèrent par hasard la musique communale qui venait d'assister, en uniforme, à la messe Sainte-Cécile; ils voulurent tout d'abord se ruer sur cette troupe paisible et sans armes et s'attaquèrent surtout à Macquart, propriétaire, qu'ils prenaient pour le sous-préfet, quant on parvint heureusement à les calmer et à leur faire comprendre raison. L'hôtel de la Sous-Préfecture était désigné à leur fureur. De grosses pierres lancées d'un bras vigoureux, enfoncèrent la porte-cochère et les cinq employés des bureaux se hâtèrent de se sauver par les croisées. Papiers, glaces, meubles, cristaux voire même le cabriolet, tout fut brisé, mis en pièces et traîné dans la boue. Les salles inférieures sont saccagées et l'on arrive enfin dans une chambre où se tenaient cachés le sous-Préfet et un gendarme nommé Loutres. Le gendarme a compris qu'il faut, pour assurer leur salut, un acte de vigueur, et le voilà qu'il dégaine et s'élance en avant, le sabre au poing; il frappe de droite et de gauche et se fraye un passage à travers la foule qui recule. De Guesquières qui le suivait est reconnu; il est accablé de coups de bâton et il allait périr dans la bagarre sans le dévouement du vitrier Hanicot, son voisin, qui lui ouvrit la porte d'entrée de sa maison. L'infortuné sous-préfet était sauvé. Cependant le sac de l'hôtel continua et les conscrits songeaient même à mettre le feu aux bureaux, mais ils craignirent pour la vie de leurs camarades descendus dans les caves et le cellier. L'intervention de la gendarmerie et de la cohorte municipale mit fin à cette scène lugubre. À peine la nouvelle de ces désordres transmise par l'estafette fut-elle parvenue à Lille, que les autorités civiles et militaires se concertèrent pour envoyer à Hazebrouck le peu de forces disponibles en ce moment dans les dépôts. Des canonniers lillois, réunis aux troupes qui les avaient devancés, apparurent en ville, mirent leurs pièces en batterie sur la Grand'Place, pendant six jours, et rétablirent l'ordre. Ils furent relevés par un détachement d'artillerie de ligne envoyé de Douai.

    Les insurgés, comme on les appelait, pour se soustraire à tout danger, se retirèrent dans la forêt de Nieppe et dans les terrains marécageux des environs, entrecoupés de fossés profonds, et de fortes haies d'épines vives. À la tête des réfractaires et des mécontents qui s'étaient organisés aux abords de Bailleul et de Merville, se distinguait un certain Fruchart, qui fut comme le chef des Vendéens de la Flandre.

    Louis-Célestin-Joseph Fruchart, l'aîné de sa famille, était un brave paysan de l'Alleu ; ses traits expressifs et son visage reflétait un air de dignité supérieure à sa condition. Il était d'une haute stature, d'une force athlétique et d'une intrépidité qui défiait tout péril. On raconte qu'il domptait de quelques coups de main les chevaux les plus fougueux. Un jour, à la fête de La Gorgue, il aperçoit un militaire terrassé et foulé aux pieds par cinq ou six individus. Fruchart ne connaît pas cet homme mais la lâcheté des agresseurs l'indigne; soudain, il fond sur eux, assomme à demi l'un des assaillants et adossé à un mur il soutient, pendant un quart d'heure, une lutte héroïque qui ne prit fin qu'à l'arrivée de la police. Louis Fruchart était un chrétien convaincu autant qu'un royaliste ardent. Dieu et le Roi étaient dans son coeur plein de droiture l'objet de la plus profonde vénération. Que de fois, sous le manteau de la cheminée, Louis avait senti bondir sa jeune âme des plus vives émotions au récit des horreurs de la Révolution; ère de fraternité sanglante, une fraternité de Caïn qui n'était scellée que par le meurtre et le pillage; l'échafaud en permanence; les nobles proscrits ou expirants dans les cachots; les églises saccagées; les prêtres fidèles jetés sur tous les chemins de l'exil ou traqués comme des bêtes fauves.
    Pouvait-il oublier les avanies dont sa famille avait été abreuvée aux jours de la Terreur et les dangers qu'avait courus sa mère, sauvée, comme par miracle, par un généreux voisin : "Oui, mes enfants, racontait la mère, les Bleus m'avaient entraînée sur la place de La Gorgue, et là me présentant la cocarde tricolore, ils voulurent me la faire porter. Je la foulai aux pieds. Ils me menacèrent de me lier à l'arbre de la Liberté : je refuse, répondis-je; et devant l'échafaud je refuserai encore. Rien au monde ne serait capable de me faire changer !"

    Et maintenant qu'il ne suffit plus d'avoir déjà payé la dette du sang ou de s'être fait remplacer, au prix de l'or, deux ou trois fois, maintenant que l'empereur, pour faire face à toutes les puissances coalisées de l'Europe, réclame tous les célibataires valides et veut plonger dans les dix classes libérées (de 1803 à 1813) pour en tirer tout ce qui peut porter le fusil, n'est-ce pas le moment propice pour rallier sous un même étendard les mille et mille réfractaires du pays ? N'est-ce pas l'heure providentielle de servir la patrie en la délivrant du joug cruel qui l'accable et en rendant aux princes légitimes le trône qui leur appartient ? Ainsi pensait Louis Fruchart. Avant de prendre une résolution définitive le jeune homme consulte son père qui le félicite de son projet. "Mon fils, dit le paysan attendri et ému de fierté, je t'approuve ; va et si tu succombes, que ton dernier cri soit : Vivent les Bourbons !" Sa vieille mère, celle-là qui n'avait pas tremblé devant la guillotine, ajoute, les larmes aux yeux : "Louis, la cause que tu soutiens est juste; le ciel sera ta sauvegarde, mon coeur me le dit; nos princes légitimes reviendront sur ce trône qui n'a jamais cessé de leur appartenir. Pars, et ne crains rien; chaque nuit, je serai à genoux à prier. Dieu et ta mère veilleront sur toi."

    Et voici que ce nouveau Jean Chouan, vêtu de la blouse des campagnards, fixe à son chapeau de paille une cocarde blanche avec cette inscription : "Je combats pour Louis XVII." Il s'élance sur un cheval de labour et convoque les villageois insurgés qui veulent partager sa fortune. Ils arrivèrent nombreux et ce capitaine improvisé, après avoir organisé son armée par compagnies et tracé son plan de campagne, adressa à ses compagnons un mot d'ordre que l'on a retrouvé dans ses notes autographes et qui retracent énergiquement ses convictions patriotiques. "Mes amis, leur dit-il, de cette voix forte et accentuée dont il était doué, les puissances coalisées ne se battent contre la France que pour la délivrer de Bonaparte et rétablir les Bourbons, nos seuls souverains légitimes; ne rejoignons plus les armées du tyran; ne lui payons plus aucune espèce de contributions; armons-nous, unissons-nous pour chasser les troupes envoyées contre nous ! Pour se soustraire à la tyrannie, il suffit de vouloir hardiment; Bonaparte est aux prises avec l'Europe; il a contre lui l'opinion publique; il sera bientôt contraint de renoncer au trône usurpé. Un meilleur avenir nous attend ; mais pour l'obtenir, prenons les armes contre celui qui nous gouverne injustement et qui nous prouve, tous les jours, qu'il est capable de sacrifier à son ambition le dernier des Français..."

    Est-ce là le langage d'un chef de bandits et de pillards comme certains voulaient le faire croire ?... Parmi tous ces jeunes gens, conscrits, réfractaires, adversaires politiques, que l'on a évalués au chiffre de vingt mille; dans cette milice de volontaires qui avaient pris les armes pour défendre leurs familles appauvries et ruinées par des guerres incessantes, règne une discipline exacte et soutenue. Toute vexation injuste envers les particuliers est expressément défendue; le vol et le dévergondage sont menacés des punitions les plus sévères; aucune paie ne peut être réclamée et les plus riches fourniront aux vivres et aux besoins de la vie. Pour abréger la lutte on empêchera les fonds publics d'arriver à leur destination. On distribuera aux indigents le produit des captures et les convois de blé et de subsistances destinés à l'armée impériale. Que jamais un juron ne se fasse entendre... Chacun invoquera Dieu pour la cause commune.

    Forts de leurs droits, Louis Fruchart et ses partisans attendirent de pied ferme à Estaires un détachement de 800 soldats envoyés contre eux, par le commandant du Département. On était au 27 décembre 1813. Le tocsin sonne dans tous les villages soulevés; et tous les hommes en état de faire le coup de feu se réunissent au nord, à l'est et à l'ouest d'Estaires. À dix heures, toutes les compagnies sont en ligne et à midi sonnant, elles sont sur la place de la bourgade. Ce qui dépasse 1.500 hommes doit former la réserve. Le père Fruchart, à la tête des conscrits du Pas-de-Calais, se porte à l'est.

    Cependant le chef du détachement venu de Lille et qui s'imaginait que ses troupes allaient disperser ses adversaires au premier choc, eut l'imprudence de sectionner ses soldats en deux corps qui marchèrent l'un sur Merville, l'autre sur Estaires. C'est de ce côté qu'eut lieu la principale attaque. Débordées, à leur grande surprise, par des forces supérieures les troupes impériales cherchent un refuge dans l'Hôtel-de-Ville. Les conscrits pouvaient les en déloger facilement en incendiant l'édifice, mais cette mesure extrême répugnait à Fruchart qui préféra poster ses hommes dans les maisons avoisinantes. De part et d'autre une fusillade nourrie se poursuivit jusqu'au soir. Les réfractaires comptèrent sept hommes tués et vingt blessés. Quant aux assiégés, il firent dans cette rencontre de nombreuses pertes et ils profitèrent des ténèbres de la nuit pour emporter leurs morts et leurs blessés dans un bateau couvert et pour battre en retraite.

    Plusieurs autres escarmouches furent livrées, mais dans ces régions dépourvues alors de grandes routes, et où ne pouvaient pénétrer que de faibles détachements armés, le succès final resta toujours aux rebelles. À la tête de ses francs-tireurs apparaissait sans cesse Fruchart; il semblait se multiplier sur tous les points, aussi son nom et sa personne inspiraient de l'effroi à ses ennemis qui mirent en jeu tous les artifices pour le faire prisonnier. On rapporte qu'un jour, vêtu en paysan, mais armé sous sa blouse, il est accosté par deux gendarmes chargés de l'arrêter. Ces gendarmes qui ne le connaissaient pas, après un échange de quelques mots, lui demandèrent s'il ne pouvait leur indiquer la retraite de Fruchart connu sous le sobriquet de Louis XVII. "Je puis vous le faire voir, répondit-il, venez avec moi." Il les attire près d'une embuscade des siens et leur dit : "Ce Louis XVII que j'ai promis de vous montrer, le voici. En garde !" À ces mots il tire son pistolet de dessous son habit, les charge, les met hors de combat et puis regagne paisiblement ses compagnons.

    Cependant les alliés, Russes, Polonais, Saxons, partis de Courtrai, leur quartier général, pénétraient en Flandre du côté de Bailleul. Le 16 février 1814, le baron de Geismar, colonel aux gardes de l'empereur de Russie et commandant un corps de cavalerie légère de six à sept cents hommes vint prêter son appui aux conscrits insurgés. Il adresse aux habitants du pays de Lalleu et cantons voisins cette proclamation en français : "On fait savoir que tout conscrit et tous autres, qui voudront se battre pour la cause des Bourbons, seront commandés par Louis Fruchart surnommé Louis XVII, qui marche avec un corps de troupes alliées. Ils seront bien nourris, habillés et payés."

    Fruchart profita de ce nouveau concours pour faire triompher dans la vallée du Lys et dans toute la région d'alentour la cause monarchique et pour adoucir les rigueurs de l'invasion. Quand le baron de Geismar arriva à Hazebrouck le 17 février avec ses Cosaques et ses Saxons, Fruchart qui avait toujours traité avec humanité les prisonniers faits par les insurgés, lui qui distribuait aux indigents les produits des prises de guerre, osa lui parler avec autant de courage que d'indépendance et lui déclara qu'il ne souffrirait pas le pillage dont la ville semblait menacée... et les Cosaques ne regardèrent pas sans étonnement ce capitaine paysan coiffé d'un chapeau rond et caracolant fièrement sur sa grosse jument pommelée, au milieu de la Grand'Place d'Hazebrouck, où bivouaquaient leurs chevaux légers tartares.

    Après la première Restauration et au retour de Napoléon de l'île d'Elbe, les volontaires du pays de Lalleu coururent de nouveau aux armes et rejoignirent, à Gand, le monarque fugitif. Dans la suite ils composèrent deux régiments sous les ordres de Bourmont et du Prince Croï-Solre.

    Louis XVIII, rétabli sur le trône de ses aïeux, n'oublia pas la famille Fruchart. Pour récompenser Louis, le chef des Vendéens flamands, il le nomma capitaine de ses gardes. Un de ses frères fut incorporé dans la compagnie de Noailles, un autre fut lieutenant au 28ème de ligne. Quant aux vieux parents, le roi, plein de reconnaissance, leur alloua sur sa liste civile une honorable pension.

    Le 8 jan

  • Feuilleton : Chateaubriand, ”l'enchanteur” royaliste... (36)

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    Anne-Louis Girodet, Portrait de Chateaubriand,
    Saint-Malo, musée d’Histoire de la Ville et du Pays Malouin.

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : Mort de Napoléon...

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                                        Mort de Napoléon (5 mai 1821)

     

    "Au moment où Bonaparte quitte l'Europe, où il abandonne sa vie pour aller chercher les destinées de sa mort, il convient d'examiner cet homme à deux existences, de peindre le faux et le vrai Napoléon : ils se confondent et forment un tout, du mélange de leur réalité et de leur mensonge...

    De la réunion de ces remarques, il résulte que Bonaparte était un poète en action, un génie immense dans la guerre, un esprit infatigable, habile et sensé dans l'administration, un législateur laborieux et raisonnable. C'est pourquoi il a tant de prise sur l'imagination des peuples, et tant d'autorité sur le jugement des hommes positifs.

    Mais comme politique ce sera toujours un homme défectueux aux yeux des hommes d'État. Cette observation échappée à la plupart de ses panégyristes, deviendra, j'en suis convaincu, l'opinion définitive qui restera de lui; elle expliquera le contraste de ses actions prodigieuses et de leurs misérable résultats. À Sainte-Hélène, il a condamné lui-même avec sévérité sa conduite politique sur deux points : la guerre d'Espagne et la guerre de Russie; il aurait pu étendre sa confession à d'autres coulpes. Ses enthousiastes ne soutiendront peut-être pas qu'en se blâmant il s'est trompé sur lui-même. Récapitulons :

    Bonaparte agit contre toute prudence, sans parler de nouveau de ce qu'il y eut d'odieux dans l'action, en tuant le duc d'Enghien : il attacha un poids à sa vie. Malgré les puérils apologistes, cette mort, ainsi que nous l'avons vu, fut le levain secret des discordes qui éclatèrent par la suite entre Alexandre et Napoléon, comme entre la Prusse et la France.

    L'entreprise sur l'Espagne fut complètement abusive : la péninsule était à l'empereur; il en pouvait tirer le parti le plus avantageux : au lieu de cela, il en fit une école pour les soldats anglais, et le principe de sa propre destruction par le soulèvement d'un peuple.

    La détention du pape et la réunion des États de l'Eglise à la France n'étaient que le caprice de la tyrannie par laquelle il perdit l'avantage de passer pour le restaurateur de la religion.

    Bonaparte ne s'arrêta pas lorsqu'il eut épousé la fille des Césars, ainsi qu'il l'aurait dû faire : la Russie et l'Angleterre lui criaient merci.

    Il ne ressuscita pas la Pologne, quand du rétablissement de ce royaume dépendait le salut de l'Europe.

    Il se précipita sur la Russie malgré les représentations de ses généraux et de ses conseillers.

    La folie commencée, il dépassa Smolensk; tout lui disait qu'il ne devait pas aller plus loin à son premier pas, que sa première campagne du nord était finie, et que la seconde (il le sentait lui même) le rendrait maître de l'empire des czars...

    ...Mais il perdit l'Europe avec autant de promptitude qu'il l'avait prise; il amena deux fois les alliés à Paris, malgré les miracles de son intelligence militaire. Il avait le monde sous ses pieds et il n'en a tiré qu'une prison pour lui, un exil pour sa famille, la perte de toutes ses conquêtes et d'une portion du vieux sol français.

    C'est là l'histoire prouvée par les faits et que personne ne saurait nier. D'où naissaient les fautes que je viens d'indiquer, suivies d'un denoûment si prompt et si funeste ? Elles naissaient de l'imperfection de Bonaparte en politique." (Mémoires d'Outre-tombe, La Pléiade, tome 1, pages 995/996/997)

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    Quarante trois secondes réjouissantes, ou : l'arroseuse arrosée !

    Caroline Roux, pauvre ignare imbue d'elle-même et bête comme ses pieds, essaie de piéger Zemmour sur un point d'histoire, et finit par passer pour une idiote...

    https://twitter.com/beubeugne/status/1481899979606315010?s=20

    À l'inverse de cette pauvre Caroline Roux, l'essayiste Céline Pina, figure de la gauche républicaine, a eu avec le polémiste des débats télévisés apaisés : "Zemmour n’est ni le diable ni un ersatz de Hitler". On peut être en désaccord avec quelqu'un sans le transformer en anti-matière ! :

    1. Dans la relation que fait Le Parisien du procès des attentats de Paris, cette phrase de Mohamed Abrini : "Le djihad fait partie de l'Islam".

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    Une phrase qui n'étonnera que ceux qui n'ont pas lu le Coran, et qui croient toute sorte de naïvetés sur l'Islam, soi-disant "religion de paix et d'amour", mais qui fait vivre l'enfer sur terre dès maintenant, là où il domine, à ceux qui espèrent la paix éternelle, dans l'autre monde (au premier rang desquels, bien sûr, les chrétiens)... Pauvres "idiots utiles" du totalitarisme de fait, barbare, sanguinaire qu'est l'Islam...

    Procès du #13Novembre : «Le djihad fait partie de l’Islam», revendique Mohamed Abrini - Le Parisien

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    Un cimeterre comme emblème sur le drapeau de l'Arabie séoudite, berceau de l'Islam : "beau" (!) symbole, pour une "religion de paix et d'amour" !

    Et (photo ci dessous) en 2021, chez nous, il y a des pères de famille qui ont fini en sang comme ça pour la simple raison qu’ils étaient catholiques, mais "on" nous dit que la haine des chrétiens n’existe pas en France...

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    2. Estrosi, un scandale à lui tout seul ! Ce monsieur  se dit favorable à ce que les non-vaccinés soient privés "d'accès à l'assurance chômage" : écoutez ces 49 secondes immondes, chez Bourdin :

    https://twitter.com/ivanrioufol/status/1481573703532130306?s=20 

    Pourquoi disons-nous "immondes" ? Parce que, "ça" ! :

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    Ivan Rioufol n'a pas loupé ce triste sire (sur tweeter) :
    "La bêtise au front de taureau"
     
    Pas mieux !!!!!

     

    3. Lors de la manif de jeudi, plusieurs responsables de gauche se trouvaient dans le cortège. Anne Hidalgo a jugé finaud d'y aller, elle n'aurait pas dû !... : "extrêmement chahutée", sifflée, elle a du être exfiltrée dans sa propre ville ! Et les manifestants scandaient, en la voyant : "Plus Jamais PS" et, en voyant les autres, carrément : "Cassez-vous !"...

    1er extrait vidéo (56 secondes) :

    https://twitter.com/CheeperOff/status/1481628564319612933?s=20

    2ème extrait vidéo (1'32") :

    https://twitter.com/aurelien_veron/status/1481672917809254403?s=20

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    4. "Nous ne manquons pas de héros et de saints pour nous donner du courage et nous laisser penser que la France  peut avoir les ressources pour donner naissance à des chefs capables de présider à sa renaissance..." : l'entretien de Michel de Jaeghere dans France catholique...

    https://www.nd-chretiente.com/le-catholicisme-est-lidentite-de-la-france/

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    5. Cheyenne Caron communique :

    "Depuis le début de 2022, 8 églises profanées.. Mes deux derniers films seront des films sur le Catholicisme. Je vous montrerai la grandeur et la beauté du Chrétien. (C'est d'ailleurs pour cela qu'il est attaqué et jalousé.)"

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    Cliquez sur l'image pour l'agrandir...

     

    6. Véran "covidé" ! Philippe de Villiers ne pouvait pas laisser passer ça... :

    Philippe de Villiers
    "Le ministre de la Santé est devenu une parabole vivante : il a reçu ses trois vaccins et il a attrapé le Covid. Il incarne ce qu’il combat : la figure du vacciné malade. Le passe vaccinal est une imposture sanitaire et politique qui vise à prolonger le gouvernement par la Peur."

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    Lundi après-midi, Olivier Véran toussait abondamment au Sénat, prétextant avoir la "gorge sèche". Finalement il était positif au Covid-19. Un non-vacciné se testant régulièrement est donc plus responsable que notre ministre de la Santé. La preuve en image et en 20 secondes : 

    https://twitter.com/jllacapelle/status/1481930358228721667?s=20

     
    Il semblerait donc que M. Veran soit allé au Sénat avec des symptômes. Cela semble vraiment irresponsable. Or Macron nous dit qu'un irresponsable n’est plus un citoyen...

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. De Talleyrand (à Guizot, qui rapporte le mot, lors d'une discussion, vers 1830) :

    "Qui n'a pas vécu dans les années voisines de 1789 ne sait pas ce que c'est que le plaisir de vivre." 

    2. D'Éric Zemmour, en 2021 :

    1. Quand Zemmour s'opposait frontalement, devant lui, à Jacques Attali et à son "homélie". Le propos date d'une vingtaine d'années : il est toujours d'actualité :

    https://twitter.com/BurnOut_fr/status/1476293965645242373?s=20

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    2. Scène de guerre à Calais : 16 CRS blessés lors de l'évacuation d'un camp de clandestins ! Il faut évidemment expulser immédiatement ces agresseurs mais surtout lutter vraiment et sérieusement contre le trafic d'êtres humains généré par le "migrantisme" et par ceux qui, du simple "idiot utile" de base au Pape François, le favorisent, de fait. Et, bien sûr, dissoudre les associations qui soutiennent les négriers des temps modernes et se font par là-même leurs complices...

    https://www.leparisien.fr/faits-divers/calais-plusieurs-blesses-dans-des-affrontements-entre-migrants-et-policiers-30-12-2021-OYC5RRKSDRBVRNEU2TQ5ZAQC2I.php

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    3. Face au professeur Casalino, Quatremer a raison : on n'en plus, c'est fatigant d'entendre ces discours débiles, d'être pris pour des abrutis : "quand je suis chez moi je dois ouvrir les fenêtres pour aérer et quand je sors dehors je dois mettre un masque car c’est dangereux, vous nous prenez pour des abrutis ou quoi ?". Quatremer n'a qu'un tort, celui de faire un pléonasme avec son "sortir dehors", mais son coup de gueule et la gêne absolue dans laquelle il met son "adversaire" sont tellement réjouissants qu'on le lui pardonnera volontiers...

    (extrait vidéo 0'20)

    https://twitter.com/boutaour/status/1476618081703239680?s=20

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    4. Drôle de "Conseil" ! :

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    Mais une pétition circule contre cette validation et ce "passe", et ne cesse de recueillir de nouvelles signatures... :

    https://lecourrier-du-soir.com/mauvaise-nouvelle-pour-macron-une-petition-contre-le-pass-vaccinal-a-recueilli-plus-de-600-000-signatures/

     

    5. Juger Anne Hidalgo et sa politique ? Où a-t-on vu que les habitants d'une ville propre, belle, bien entretenue, où il fait bon vivre... la quittent ?

    saccageparis

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    Alors que l'Île de France en gagne...

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    On notera l'évolution forte de la population de la Seine Saint Denis, vous savez, cette "Californie sans la mer" !!!!!...

     

    6. Dans le silence le plus complet des médias, de l'islamo-gauchisme, du politiquement correct et de tout ce qui s'y rattache :

    • Au Nigeria, la veille de Noël, un prêtre a été abattu à la sortie de son église...

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    • En Birmanie, le soir de Noël, 30 chrétiens ont été brûlés vifs dans un village...

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    • En Chine, 4 chrétiens sont en prison pour avoir vendu des bibles...

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    Le christianisme continue d'être la religion la plus persécutée au monde...

     

    7. Un peu long, un peu "pavé" mais vraiment intéressant et, en tout cas, à lire : dans Tysol.fr, l'entretien avec Boštjan Marko Turk, portant sur la Crise de la civilisation européenne (Entretien réalisé par Nathaniel Garstecka) :

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    Sur CNews, chez Morandini, Pierre Gentillet alerte : 

    "...Avant-hier le passe devait durer 3 mois, hier il devait finir en juillet 2022, aujourd’hui Castex ne lui donne plus de terme. Demain le Passe Vaccinal, après-demain le passe écologique, l’an prochain le crédit social chinois Arrêtons maintenant avant qu’il ne soit trop tard..."
     
    (extrait vidéo 1'17)

    https://twitter.com/Pierre_GTIL/status/1480980243905228813?s=20

    1. Jordan Bardella a raison : "Foutons la paix aux enfants !..." Avec ses restrictions absurdes, ses protocoles à l'école modifiés tous les quatre matins, son état d'exception permanent, le gouvernement est en train de rendre fous les Français. Foutons la paix aux enfants, qui font dans leur immense majorité des formes bénignes du Covid !

    (extrait vidéo 3'05)

    https://twitter.com/J_Bardella/status/1481548941892202496?s=20

     

    2. "Quand les peuples cessent d'estimer, ils cessent d'obéir" (Rivarol). La Une de Valeurs...

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    et une réponse de "la base" !!!!!

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    3. Et dans la série "plus débile que ça, tu meurs !..." voici le grand gagnant de cette saison : Paris Match, et sa "galette républicaine" !

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    D'accord avec Gilbert Collard :

     

     

    4. Utile rappel de Damien Rieu (sur tweeter) :

    "En #Algérie la loi prévoit "deux à cinq ans de prison ferme et une amende de 5 000 à 10 000 euros contre toute personne qui incite, contraint ou utilise des moyens de séduction visant à convertir un musulman à une autre religion"..."
     
    Et, pendant ce temps-là, en France, des insensés (ces "idiots utiles" dont parlait Lénine) luttent contre l'islamophobie, à l'exemple de cette pauvre Valérie Pécresse... comme le prouvent ces neuf secondes instructives :
     

     

    5. (dans Valeurs) Et le vandalisme anti-chrétien continue (nous en parlions ici-même hier) ! À Poitiers, la statue du Petit Jésus présente dans la crèche, a été soigneusement décapitée, sa tête ayant été posée dans la paille, à côté. Quelques jours plus tôt, une autre église de Poitiers avait elle aussi été vandalisée... :

    https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/six-statues-decapitee-dans-une-eglise-a-poitiers/

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    6. Quel est le féminin de "ministre" ? Ministresse ? En tout cas, en voilà une qui n'agit pas en fonction de l'intérêt général, mais qui profite de son poste pour son petit confort personnel bien douillet !... Selon l’édition du Canard enchaîné de ce mercredi 12 janvier, Emmanuelle Wargon aurait demandé à la préfecture de tout faire pour obtenir la fermeture d’un restaurant de son voisinage. Résultat : pour ce restaurant trop bruyant, qui dérange la ministre du Logement : 180 descentes de police menées, et parfois par des policiers cagoulés !... République (idéologique) des copains et des coquins ! Et, pour les vendeurs de drogue, de mort, dans les Cités : combien de descentes, madame la Ministre (ou ministresse) ?

    https://www.valeursactuelles.com/societe/un-restaurant-trop-bruyant-derange-la-ministre-du-logement-180-descentes-de-police-menees/

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    7.                                         @saccageparis

    Paris bobo, Par'Hidalgo, Paris pas beau !

     
    lampadaire haussmannien scié et transformé en poubelle !...
     

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    Une nouvelle épreuve de slalom pour les J.O. ? Ou la triste réalité d'un triste quotidien ?...

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    C'est incapable de soigner sa ville, et ça se présente à la Présidentielle !

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    I (ci dessus) et II (ci dessous) : inutile de préciser où l'on est...

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    III : Oui, oui, c'est bien une armoire électrique !...

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    On arrête là, pour aujourd'hui : c'est trop triste !

     

     

    À DEMAIN !

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