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  • Feuilleton ”Vendée, Guerre de Géants...” (22)

     

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

     

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    Aujourd'hui : Antilles : la Vendée créole de Bernard de Percin...

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    "Histoire inconnue du grand public et ignorée des manuels scolaires, la victoire de la Vendée créole contre la République en 1794 fut celle des blancs, mulâtres et noirs unis dans une même résistance à la barbarie révolutionnaire" dit Odile de Lacoste-Lareymondie, qui raconte dans son livre l’incroyable destinée de son chef, Bernard de Percin, le Charette de la Martinique, celle de Dubuc de Marcoussy, le fier artilleur (de Sainte-Catherine) et Montlouis Jaham, à la tête de leurs compagnies d’hommes de couleur...

    À la veille de la Révolution française, les trois iles d’Amérique fournissaient à la métropole l’essentiel du sucre dont elle avait besoin.
    On avait pris l’habitude de les différencier par un dicton qui en disait long sur la qualité de leurs habitants :

    "Les seigneurs de Saint Domingue, ces messieurs de la Martinique et les gens de la Guadeloupe".

    À l’heure de la grande tourmente révolutionnaire, cette sociologie ne fut pas indifférente au sort que le destin devait réserver à chacune de ces îles.
    Saint-Domingue devint Haïti. La révolte des esclaves et des gens de couleurs avait anéanti tous les colons blancs, résisté aux troupes de Bonaparte et fondé la première république noire indépendante du monde.
    La Guadeloupe, pourtant ouverte aux idées nouvelles, avait dû subir l’effroyable guillotine du sinistre Victor Hugues, que la Convention avait dépêché sur l’île pour anéantir tout ce qu’elle pouvait contenir d’aristocrates et de contre-révolutionnaires.
    Ces messieurs de la Martinique, eux, résistèrent.
    Il y eut suffisamment d’hommes courageux et déterminés pour s’opposer au nouvel ordre des choses. Et ce fut ce que l’histoire a retenu sous le nom de "Vendée Créole" : une Vendée qui eut ses chefs, ses combats victorieux, ses revers, ses débarquements, ses embarquements, qui connut les horreurs de la guerre civile mais aussi les éclats victorieux de ses hauts faits d’armes.
    L’histoire officielle moderne n’est évidemment guère prolixe sur cet épisode de la Vendée créole.
    C’est essentiellement grâce à un homme exceptionnel que les habitants de la Martinique n’ont pas subi le même sort tragique que leurs voisins de la Guadeloupe.
    Cet homme s’appelle Claude Joseph Bernard de Percin, marquis de Montgaillard, comte de Northumberland.
    Selon l’historien Sydney Daney, "parmi ses autres compagnons d’armes, sa réputation brilla comme celle de Charette et de La Rochejaquelein."
    Petit cousin de Joséphine dont il favorisa le départ de la Martinique pour rejoindre son mari, le général de Beauharnais, et sa destinée impériale, et qui l’appelait "mon petit cousin Canon", Claude Joseph Bernard de Percin, dit "Percin-Canon" était issu d’une des plus vieilles familles du midi de la France.
    Originaire de Percy en Normandie, sa famille avait compté un compagnon de Guillaume le Conquérant et s’était installée en Angleterre, puis était revenue en Guyenne avec le Prince Noir.
    Un cadet de cette famille, enseigne de vaisseau en 1726 en Louisiane, prit son congé en 1727 à la Martinique où il finit par s’établir.
    Son petit-fils, notre héros, fut nommé en 1782 sous-lieutenant au régiment de Hainaut, qui faisait partie de ceux envoyés pour la guerre d’Amérique et prit part aux expéditions du Marquis de Bouillé. Ses qualités militaires, son ascendant naturel, sa fidélité à Dieu et au Roi, son intrépidité inouïe, son courage hors pair, l’appelèrent à la tête des "Habitants" et il devint peu à peu le chef de la "Vendée
    créole"...

    Voir le récit détaillé de la Bataille de l'Acajou dans notre note du Jeudi 30 Juin 2016 :

    Martinique, "Vendée créole" : la victoire des royalistes sur les républicains en 1794...

     

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  • Manchester : la seule réponse à la guerre, c'est la guerre !...

     

    Mur-bleu gds.jpgIl y avait quelque chose d'irréel, ce mardi, à 13 heures, en écoutant - de bout en bout - le JT de France 2, présenté par Marie-Sophie Lacarrau.

    Et même, disons-le, quelque chose qui mettait mal à l'aise. Pas une fois, pas une seule, non, à aucun moment, ne fut employé le terme de « terrorisme islamiste ». On nous a bien dit et répété que nous étions en guerre, que la guerre continuait, que l’« horreur », que la « barbarie » avaient encore frappé »; ça, oui ! Mais, nommer l'ennemi, celui qui nous fait cette guerre : ça, non ! Dire qu'il s'agit du « terrorisme », certes, mais du « terrorisme islamiste », cela écorcherait la bouche de nos journaleux et autres adeptes du politiquement correct, pour qui l'essentiel est, avant tout, de ne pas stigmatiser, de ne pas faire d'amalgame ! 

    La chose prit un autre relief à la fin de ce journal évidemment chamboulé et exclusivement consacré à Manchester : commencé comme d'habitude à 13 heures, il s'acheva à 13h46 ; or, passant sur BFM/TV on eut, une minute après, soit à 13h47, l'annonce de la revendication du crime par Daech.

    Prenant les gens pour des imbéciles, les journaleux et autres soumis dont parle avec justesse Houellebecq pourront bien dire, pour se défendre, que jusqu'à 13h47 on n'avait, justement, pas de revendication. Or, tout, dès le début rattachait le drame de Manchester à l'islamisme radical. 

    La question est donc : comment faire une guerre - et, à fortiori, la gagner - si l'on ne nomme pas l'adversaire ? Si l'on ne sait pas, ou, pire encore, si l'on ne veut pas savoir, ne pas voir qui est l'ennemi ?

    Laissons donc là ces journaleux et soumis pitoyables et misérables, et passons à la seule question qui vaille : que faire ?

    La réponse est simple : on nous fait la guerre, on nous attaque ? Défendons-nous, et faisons la guerre, et gagnons-la ! En commençant par le commencement : créer des Cours martiales, comme cela s'est toujours fait en temps de guerre, pour juger les actes de trahison, désertion, défaitisme, propagande contre l'armée française etc. Et comme les Cours martiales, en général, condamnent à mort, fusillons sans délai les traîtres et autres agents de l'ennemi, comme ce Salah Abdeslam que nous engraissons depuis plus d'un an (incarcéré depuis le 28 avril 2016). 

    Autre mot répugnant entendu ce même jour, tenu par un journaleux : « les personnes qui reviennent ». Comment ça, « les personnes qui reviennent » ! Qu'il s'agisse de Français de souche ou d'étrangers français de plastique, à qui le Système a follement donné un petit rectangle de plastique, croyant que, par magie, cela les rendait Français, ils ont pris les armes pour l'armée qui nous fait la guerre ; ils ont trahi : Cour martiale, condamnation, fusillés !

    Et, si l'on ne veut pas faire la guerre, alors qu'on nous fiche la paix avec les petites bougies, les peluches, les petits dessins et papiers, et autres niaiseries du genre « priez pour Manchester », ou « je suis Manchester » : on n'a pas écrasé le nazisme avec des bougies, des peluches ou des dessins sur des petits bouts de papier ! Et quand ils ont compris la détermination des Kamikazes, les USA ont envoyé deux bombes atomiques sur le Japon !

    Il faut, simplement, savoir ce que l'on veut : ou on se bat, ou on se tait. Manifestement, comme Houellebecq le signale, il y a un parti de la soumission, de la collaboration avec l'Islam conquérant. Et puis il y la partie - dont nous sommes, évidemment - de ceux qui refusent cet Islam conquérant, qui veulent résister pour notre liberté à tous, de Français et d'Européens.

    Laissons donc les collabos collaborer, et posons le problème clairement, afin que les choses soient bien établies : l'Islam nous agresse, pour la troisième fois (après 711, par l'Espagne, et 1453, par Constantinople) : nous avons par deux fois relevé le défi, et fini par chasser l'envahisseur, même si ce fut long et difficile. Jamais deux sans trois ! 

  • Toujours plus d'impôts, et toujours plus d'accueil organisé pour les migrants : ça finira mal...

    Essonne : le futur centre d'accueil pour migrants incendié [Le Point, 6.09]

     

    1219142391.jpgLe Système joue avec le feu, et provoque directement les français.

    Dans le même « journal », donc en moins de quinze minutes, BFM/TV a donné - sans le vouloir, certainement... - une juste explication de l'exaspération des Français.

    D'abord, le toujours excellent Nicolas Doze (le chroniqueur économie de la chaîne) explique que le matraquage fiscal ne s'est pas arrêté, en réalité, pendant le quinquennat, du moins pour les ménages. Si les entreprises ont bénéficié de mesures d'une relative importance, la pression sur les ménages (aux revenus moyens et élevés) n'a cessé de croître, et croît encore. Nicolas Doze reprend le fameux  « Trop d'impôts tue l'impôt » et même le vieux jeu de mots « les hauts taux tuent les totaux » (de l'impôt récolté), l'un et l'autre étant totalement vérifiés dans les faits, chose connue depuis longtemps. Sauf, semble-t-il, par nos - mauvais - gouvernants... Et il conclut sa chronique en rappelant que, si l'ajustement de notre économie avec les autres économies d'Europe n'est pas obtenu au moyen d'une baisse des impôts, elle l'est par... le chômage !

    Mais, juste après, on apprend la nouvelle de l'incendie - volontaire - du local destiné à accueillir une soixantaine de migrants de Calais à Forges-les-Bains (Essonne). Ce local, cette population, les riverains n'en veulent pas, et, depuis des mois, le font savoir, en vain, à des autorités qui préfèrent s'occuper des migrants que des Français. Après un Nicolas Doze pédagogue et clair, on a donc vu apparaître deux furies : Anne Hidalgo, disant que ceux qui ont fait cela devraient avoir honte; et Emmanuelle Cosse, l'air fermé, méchant et cassant, disant que, de toutes façons, « cela se ferait », donc que le foyer verrait le jour. Elle n'a pas dit qu'elle enverrait un missile intercontinental sur les habitants de Forges-les-Bains, mais c'était presque ça.

    On pensait Emmanuelle Cosse plus occupée à régler les problèmes juridiques et autres posées par les « mains baladeuses » de son  « coquin » de mari, Denis Baupin, vous savez, celui dont lesdites mains ont une fâcheuse tendance à se retrouver sur les fesses (ou ailleurs...) des femmes qui ont le malheur d'être obligées de travailler avec lui. Ou alors c'est peut-être cela qui la rend si agressive, et sa hargne « pro-migrants » est peut-être pour elle un exutoire ? Il ne s'agit pas, ici, d'attaquer des gens sur leurs défauts personnels ou ceux de leurs proches : mais, au lendemain de l'ouverture du procès Cahuzac, que deux femmes de gauche osent même venir encore nous donner des leçons de morale, et nous dire ce qui est bien ou mal, avec leur prêchi-prêcha à deux balles : merde ! comme dirait Cambronne; ça suffit ! L'arrogance de ces moralisatrices donne la nausée lorsque l'on considère la corruption du milieu politique dans lequel elles évoluent, comme des poissons dans l'eau.

    De toutes façons, ATD/Quart Monde nous le dit : il y a 2,8 milliards de personnes - soit près de la moitié de la population mondiale - qui vivent avec moins de 2 dollars par jour. Veut-on, en haut lieu, qu'une part non négligeable de l'action gouvernementale soit consacrée à l'accueil de ces pauvres ? Et puis, tant qu'on y est, pourquoi ceux-ci et pas d'autres ? Et nos retraités qui vivent avec 400 euros par mois ? Et nos deux paysans qui se suicident chaque jour ? Et nos 6,5 millions de chômeurs, 8 millions de mal-logés, 10 millions de pauvres ?

    En ces temps de rentrée scolaire, on nous permettra, pour conclure, de dédier à ces deux femmes qui défient ouvertement le peuple français la vieille formule latine, le fameux « Caveant consules ne quid detrimenti respublica capiat » : Que les Consuls prennent garde, afin que la République n'éprouve aucun dommage. Et, pour celles et ceux qui, vraiment, feraient exprès de ne pas comprendre,  cela veut dire, en bon français :  « Faites attention, l'exaspération monte ». Ou, comme dirait Bainville : « Ca finira mal ! ».   

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     
    À l'occasion de la publication de ce court message par CAPCIA-51e RI, redisons, pour la énième fois, et au vu de ce qui se passe en Ukraine, qu'il est urgentissime et indispensable d'attribuer 4% de notre PIB à nos Armées : 1% pour chacune des trois Armes (Air, Terre, Mer) et 1% pour le nucléaire, toutes armes confondues...
     
    "Le camp de Mourmelon permet l'entraînement des équipes drone comme celle du @68eRAA_CDC. Le drone SMDR participe à la recherche multi senseurs, et à l’acquisition de cibles pour l’artillerie. Il permet 2h30 de vol, à plusieurs dizaines de kilomètres."

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    1. D'accord avec Mike Borowski :

    "60% des Français sont propriétaires de leur logement et bien ils verront des hausses records de leur taxe foncière parfois représentant jusqu'à 3 mois et demi de loyer. Vous ne posséderez plus rien et serez heureux."
    "L’assemblée nationale garde la niche fiscale de 7.500€ des journalistes mais ne souhaite pas rétablir la demi part des veuves. On a compris pour qui travaillaient nos gentils députés."

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    2. C'est la déconstruction générale... Dans ce court mais passionnant extrait, Jean-Marie Rouart revient à l'essentiel : le "cadre" Français a disparu. Mais, pourquoi ? Parce que le Système, la République idéologique fondée sur la Révolution et la secte des Encyclopédistes l'a méthodiquement détruit, depuis 1875, la date la plus funeste de notre Histoire. On voit donc ce qu'il faut faire, comme pour la restauration des Monuments historiques : refaire ce qui a été défait, défaire ce qui a été fait...

    (extrait vidéo 1'50)

    https://twitter.com/dobsky33/status/1580661188840816641?s=20&t=aaJx-Ke8LE_YDJL39kC1bQ

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    3. Jean Messiha a écouté le semble-président sur France 2... 

    "Sur le fond, je crains qu'Emmanuel Macron ne soit aussi vide qu'une citerne d'essence..."

    (extrait vidéo 1'19)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1580555906563346433?s=20&t=aaJx-Ke8LE_YDJL39kC1bQ

     

    4. Quand, à l'Assemblée nationale, Jean-Philippe Tanguy "explose" les députés NUPES, à propos des niches fiscales :

    (extrait vidéo 1'47)

    https://twitter.com/polactus/status/1580538508103467009?s=20&t=aaJx-Ke8LE_YDJL39kC1bQ

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    5. Et encore un scandale, un, pour "l'UE façon Von der Leyen" ! L'UE finance "MAGIC" un projet européen "inclusif" contre "l'islamophobie genrée" (257.486 euros pour 2021-2023) destiné à former les journalistes à mieux communiquer la version fondamentaliste de l'islam, notamment le voile. Le réseau frériste européen, y est fortement impliqué...

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    Cliquez sur l'image pour l'agrandir et utiliser le zoom...

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    6. "Clochemerle" à Montmartre ! Des laïcards poussiéreux, passéistes/rétrogrades qui vivent encore en 1905 et au temps de leur "commune", s'opposent à ce que le Sacré-Coeur soit inscrit aux Monuments historiqes !... Il n'y a pas que dans les Musées ou les déserts que l'on trouve de beaux spécimens de fossiles !!!!!

    https://www.lefigaro.fr/culture/patrimoine/sacre-coeur-les-senateurs-communistes-en-appellent-au-ministre-de-la-culture-20221013

    Le Sacré-Coeur, qui était jusqu'à présent inscrit aux monuments historiques, pourrait être classé après le vote en Conseil de Paris cette semaine.
     

    Le Sacré-Coeur, qui était jusqu'à présent inscrit aux monuments historiques, pourrait être classé après le vote en Conseil de Paris cette semaine. ALAIN JOCARD / AFP

     

    7. Jean-Christophe Buisson communique :

    "Ce vendredi dans @FigaroMagazine, mon reportage dans les villages-frontière d'#Armenie qui s'organisent dans la crainte d'un nouvel assaut azéri + la lettre de #SylvainTesson à @EmmanuelMacron. Et dans @Le_Figaro, la tribune poignante de Simon Abkarian interpellant

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    Cliquez sur les images de textes pour les agrandir, et utiliser le zoom....

     

     

     

    À DEMAIN !

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Question impertinente de lafautearousseau : ceci est-il plus indécent qu'écoeurant, ou l'inverse ?

    Vous avez quatre heures...

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    SYSTÈME POURRI !

     

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    1. Il continue, patiemment et méthodiquement, le "coup de force" silencieux (mais parfois, pas...) des "islamistes-qui-nous-fatiguent-avec-leurs-prétentions-à-vivre-chez-nous-mais-différement-de-nous" : ils utilisent même (comme en Israël, toutes proportions gardées) et "manipulent" des minots pour tâcher d'arriver à leurs fins...

    C'est dans Le Figaro : "Cinq nouveaux cas de prières musulmanes dans deux écoles primaires de Nice. Cinq élèves de CE2 ont organisé des prières de confession musulmane au sein même de leur école, dans la cour de récréation et au moment des pauses méridiennes..."

    https://www.lefigaro.fr/nice/nice-cinq-nouveaux-cas-de-prieres-musulmanes-dans-deux-ecoles-primaires-20231117

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    Ce n'est pas "auraient fait" mais "ont fait"...

     

    2. "Racailles assassines" partout, justice nulle part ! Exclusif : Témoignage d'Anthony, policier trainé au sol par un chauffard condamné à 35h de TIG ! Le premier rôle d'un État est d'assurer la sécurité des biens et des personnes, non ? Conclusion...

     

    3. De Jordan Florentin (pour Boulevard Voltaire)

    "Menaces, agressions verbales, homophobie, interdictions de filmer, insultes envers @gabriellecluzel et @CNEWS : Je viens de faire mon reportage le plus dangereux depuis Molenbeek. On est à Nanterre, dans le quartier Pablo Picasso : un territoire perdu."
     
    (extrait vidéo 0'56)
     
     
    Commentaire (sut tweeter) de Gabrielle Cluzel :
     
    "Bravo @JordanFlrtn, tu n’as peur de rien,
    @BVoltaire peut être fier de toi !"
     
    OUI, MAIS IL FAUT, POUR ÊTRE COMPLET,
     
    DÉNONCER ET NOMMER LE RESPONSABLE ET COUPABLE
     
    DE CET ÉTAT DE CHOSES :
     
    LE SYSTÈME, QUI A VOULU ET IMPOSÉ
     
    CE CHANGEMENT DE PEUPLE !
     

     

    4. De" Philippe de Villiers, après la "rencontre" (!!!) Macron/Belattar :

    "Saint Louis était conseillé par Joinville. Louis XIII par Richelieu. Louis XIV par Mazarin. De Gaulle par Malraux. Pompidou par Marie-France Garaud et Pierre Juillet. Emmanuel #Macronpar Yassine #Belattar ! Le "baromètre de la rue arabe" et le "trouillomètre présidentiel" deviennent des instruments de gouvernance..."

    (extrait vidéo 1'38)

    https://x.com/PhdeVilliers/status/1725602037335744932?s=20

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    5. La basilique de Rouen saccagée ? Darmanin s'en fiche, n'a pas eu un mot sur le sujet et ne s'est - évidemment - pas déplacé. Le moindre graffiti sur une mosquée l'aurait fait hurler et déplacer : c'est son "deux poids, deux mesures" à lui, le pauvre...

    https://www.bvoltaire.fr/saccage-de-la-basilique-de-rouen-pas-un-mot-de-darmanin/?feed_id=32987&_unique_id=6557a5747aa4a

     

    6. Aider Les Voix du Nucléaire ? Oui, sans aucune hésitation !

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    VIVE LE NUCLÉAIRE !

     

    7. Et l'on terminera cette série d'aujourd'hui, avec les Fêtes de Noël qui approchent, pour relayer l'appel de SOS CALVAIRES :

    "Les #calvaires de #France ont besoin de vous ! Nous comptons sur votre #générosité en cette fin d'année, défiscalisez avec SOS Calvaires ! Faites un don : 
  • Feuilleton : ”Qui n 'a pas lutté n'a pas vécu”... : Léon Daudet ! (134)

     

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    Neuvième partie : La Guerre, "la pluie de sang"...

     

    Aujourd'hui : 1er août 1914 : l'accident de La Roche...

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    ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi...

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    De "La pluie de sang", page 11 et pages 17/18 :

    1. page 11 :
    "...Le 20 juillet de cette année-là, par un temps superbe, nous arrivions, comme tous les ans, chez ma mère, au château de La Roche, près d'Amboise.
    Notre petit Philippe, alors âgé de sept ans sautait de joie dans le chemin de fer.
    Il adorait la campagne et il n'avait pas plus de trois ans qu'à Barbizon, au printemps, nous le vîmes embrasser un arbre..."

    2. pages 17/18 :
    "...Les trains étaient bondés, je frêtai un taxi pour retourner à La Roche, en compagnie de mon fils et du mari de ma soeur.
    En cours de route, nous fûmes heurtés, aux portes d'Artenay, sur la route d'Orléans, par une voiture venant en sens inverse.
    J'occupais, sur le siège, la place à côté du chauffeur, sous une barre de fer portant une bâche.
    Je fus projeté contre celle-ci, puis sur le sol.
    Je crus bien avoir le crâne fracturé et y portai aussitôt la main, pour voir si de la cervelle se mêlait au sang. Il n'en était rien.
    Un médecin d'Artenay, le docteur Naudet, qui se préparait à partir aux armées, sutura l'énorme plaie, rapprochant les lambeaux du scalp et nous pûmes ainsi regagner La Roche, où nous étions attendus avec l'angoisse que l'on devine.
    Là, je fus soigné pendant trois mois, avec un dévouement incomparable, par mon ami et condisciple de l'Hôtel-Dieu, le docteur Caillet d'Amboise, aussi grand clinicien qu'ami dévoué et par ma femme bien-aimée qui commençait elle-même une grossesse :
    "Un cas sur mille", nous disait Caillet, parlant de ma blessure, signifiant par là que j'avais de la veine.
    Etendu sur le dos pendant des jours et des jours, ne recevant de Paris que de rares nouvelles et des journaux plus rares encore, que la censure, heureusement, privait de vérité - c'était le règne du bienfaisant bobard sur toute la ligne - j'avais le temps de réfléchir et de me faire du tourment.
    La Patrie, nos amis, le journal, qu'allaient devenir les uns et les autres ?
    Je sus bientôt que Lucien Moreau, grâce à des tours de force budgétaires, et en réduisant les appointements, répondait de la survie de l'Action française.
    Il devait promptement partir aux armées, ce cher ami, en dépit d'une santé déjà chancelante, que dominait son âme d'acier.
    De Vesins, Frédéric Delebecque, Georges Larpent, de Boisfleury, comités directeurs de l'Action française, avaient repris leurs uniformes, ainsi que le président de la Ligue Léon de Montesquiou.
    Maurras, Pujo, Bainville, Vaugeois, le commandant Biot assuraient la rédaction et la composition du journal, avec cette maîtrise foncière qu'aucun évènement extérieur ne saurait détruire, ni même diminuer.
    La collection de notre feuille, pendant ces premiers temps de la guerre, est très intéressante à consulter.
    Nous ne paraissions plus, bien entendu, que sur une page, et, dès que je pus tenir ma plume, j'envoyais, de mon lit de douleur, des petits papiers qui ne cassaient rien..."

    Non sans humour, Jacques Bainville évoque cet accident d'automobile dans son "Journal inédit 1914", page 96, note du 24 septembre :

    "La Roche - Léon Daudet se remet de son grave accident d'automobile survenu exactement le 1er août, le jour où l'ordre de mobilisation était lancé. Il est remis, mais la boîte crânienne est encore à nu sur plusieurs centimètres.
    Chose étrange : le jour même de la déclaration de la guerre en 1870, Alphonse Daudet s'était cassé la jambe.
    J'ai dit à Philippe Daudet, qui a six ans :
    - Le jour de la déclaration de guerre de 1947, tâche de rester bien tranquille chez toi..."

  • Feuilleton : ”Qui n 'a pas lutté n'a pas vécu”... : Léon Daudet ! (152)

     

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    Dixième partie : La Guerre, "la pluie de sang" (II)...

    Aujourd'hui : Notre-Dame des Victoires, Vendredi Saint 1918...

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    ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi...

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    De Paris Vécu, 1ème Série, Rive droite, pages 143/144 :

    "...Dans ce quartier commercial et financier par excellence ("les grands boulevards", ndlr), se dresse un miracle de permanence : l'Eglise Notre-Dame des Victoires.
    C'est le sanctuaire, c'est le recueillement, c'est la méditation aux pieds de la Croix, au sein d'une atmosphère toute spirituelle.
    Des centaines de cierges brasillants versent une lumière mystique à cette demeure de la Sainte Vierge et de son Agneau sans tâche.
    La statue couronnée bénit les pauvres gens que nous sommes tous et leur donne des raisons d'espérer, jusqu'au sein du plus profond désespoir.
    Voici un des trois sites de Paris où la prière a vraiment des ailes, les deux autres étant le Sacré-Coeur et la Chapelle des Missions rue du Bac.
    Mais Notre-Dame des Victoires, dans cette trinité, a sa couleur, son étoile spéciale, celle de Marie conçue sans péché... sine labe.
    Les yeux de la vie se closent; les autres, les vrais, s'ouvrent et conçoivent des formes de félicité toutes nouvelles, d'une inexprimable suavité.
    Vous tous qui ne croyez pas à l'Evidence, allez à Notre-Dame des Victoires et demeurez-y à genoux, une demi-heure. Vous vous rendrez compte, vous verrez.
    Le vendredi saint de l'an de grâce 1918, j'étais là, sous la statue, agenouillé.
    La Patrie était en danger.
    Les armées allemandes marchaient de nouveau sur Paris, que bombardait le canon à longue portée de Fère-en-Thardenois.
    Ma felle et mes enfants, je les avais envoyés la veille en province, chez des amis.
    C'était l'heure de la crucifixion et de la mort du Sauveur... "le voile du Temple se déchira."
    Soudain, la commotion formidable d'un éclatement, répercuté par des voûtes sonores, ébranla toute l'église, ses chapelles, la statue.
    On eût cru qu'un tremblement de ciel venait de se produire, tout près de là et qu'il allait se propager et nous engloutir.
    L'image de la mort, de l'anéantissement, apparut au sommet d'ondes tourbillonnantes, comparables au fracas de cent, de mille tonnerres, suivis de grondements et de roulements affreux.
    C'était l'écroulement de la toiture de Saint-Gervais, sous le choc d'un obus allemand.
    Le sacrilège était manifeste, l'intersigne patent.
    Quand je les connus, quelques minutes après, en arrivant à notre journal, rue de Rome, je remerciai le Ciel avec ferveur.
    L'Allemagne venait de se tirer sur ELLE-MÊME et de décider de sa défaite.
    C'est dans ce sens que j'écrivis mon article quotidien. avec une émotion mêlée d'espérance - mieux, de certitude - et qui faisait trembler ma plume au bout de mes doigts..."

  • Au cinéma : Sous le vent des Marquises, par Guilhem de Tarlé

    Sous le vent des marquises - film 2023 - AlloCiné

    A l’affiche : Sous le vent des Marquises,  un film français de Pierre Godeau, avec François Damiens (Alain qui interprète Jacques Brel) et Salomé Dewaels (Lou, la fille d’Alain – et de Jacques Brel).

    « Veux-tu que je te dise
    Gémir n’est pas de mise
    Aux Marquises ».

    Eh bien, je ne gémirai pas, même si Jacques Brel ne paraît qu’un prétexte pour attirer le chaland, et si titre et synopsis frisent la publicité mensongère. Je pensais voir et surtout entendre du Brel ; je n’ai vu que François Damiens et - heureusement – Salomé Dewaels.
    A mon tour, donc, de prendre ce film comme prétexte pour m’ « embreliser »… entendre, écouter, m’assourdir, entonner et gueuler Amsterdam, chanter du Brel, encore du Brel, toujours du Brel. Dans mon Panthéon des chanteurs il se situe à la deuxième place après Brassens et devant Barbara (les 3 B).

    Sur le podium de ses chansons, positionner d’abord sa Prière païenne

    « N’est-il pas vrai Marie que c’est chanter pour vous
    Que semer nos chemins de simple poésie
    Que voir en chaque chose une chose jolie
    Que chanter pour l’enfant qui bientôt nous viendra
    C’est chanter pour l’Enfant qui repose en vos bras ».

    Sur les deuxième et troisième marches, bien sûr le Ne me quitte pas et surtout, « Du lit à la fenêtre, puis du lit au fauteuil » Les Vieux, qui me rappellent tant ceux d’Alphonse Daudet, avec « la pendule d’argent qui dit oui, qui dit non, qui dit Je vous attends ».

    « Six pieds sous terre, Jojo, tu n’es pas mort »

    Au suivant me souffle mon épouse car on ne peut pas réduire Brel à un podium.
    « Ami, remplis mon verre », nous sommes tous, Ces gens-là, conviés A (son) dernier repas – « Adieu l’Emile, je vais mourir » - avec Jeff – « mais arrête de pleurer » - avec Fernand, avec La Fanette, avec Mathilde – « Mathilde est revenue » - tandis que « j’attends Madeleine ».

    Combien Jacques Brel a-t-il écrit de chansons, composé de poèmes ? 445, selon Google, et c’est frustrant de devoir se limiter à en citer quelques-uns, quelques-unes, quand dans ma tête tant d’autres Valse(nt) à mille temps… J’ai appris le Latin avec Rosa, « c’est le tango du collège », j’ai renversé la table avec Les Bourgeois, j’ai préparé mon BAC, le transistor allumé, avec Quand on n’a que l’amour, Le Plat Pays, Dites si c’était vrai, La Chanson des vieux amants, La Tendresse et tant d’autres comme Il pleut ou La Statue.

    J’aimerais tant ne pas m’arrêter et continuer à recopier pour vous, et pour moi, nombre de ses titres et ses couplets…

    « Mais le temps que s’allume
    L’idée sur le papier
    Le temps de prendre une plume
    Le temps de la tailler
    Et le temps de me dire
    Comment vais-je l’écrire
    Et le temps est venu… »
                                                                        (Chanson sans paroles)
                         
    de conclure !

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  • Feuilleton : ”Qui n 'a pas lutté n'a pas vécu”... : Léon Daudet ! (57)

     

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     (retrouvez l'intégralité des textes et documents de ce sujet, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : Un premier mariage "raté", un second très heureux...

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    ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi...

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    Un premier mariage "raté", un second très heureux...

     

    "...J'étais alors, pour peu de temps d'ailleurs, le mari de la petite fille de Victor Hugo..." ("Paris vécu", rive droite, page 25)
    "...mon second et véritable mariage (1903)..." ("Paris vécu", rive droite, page 52).



    Marié en effet pour peu de temps - du 12 février 1891 au 21 décembre 1894 - à la petite fille de Victor Hugo - dont il aura un fils, Charles (né en 1892, et décédé en 1960, à l’âge de 68 ans), Léon Daudet devait trouver la stabilité et le bonheur durable - malgré les épreuves... - dans son second mariage.
    Ses détracteurs ont dit que l'échec de son premier mariage avait contribué à éloigner Daudet des milieux républicains.
    C'est fort possible, d'autant plus que sa seconde épouse - malgré un père républicain, "bleu de Bretagne" - était catholique et royaliste.
    Mais il est à noter que Daudet conserva, jusqu'à la mort de celui-ci, en 1925, une réelle affection pour Georges Hugo, frère de son ex-épouse Jeanne, le couvrant d'éloges chaque fois qu'il parlait de lui...

    Voici l'éloge que fait Daudet de "Pampille" (surnom "littéraire" de sa seconde épouse, sa cousine Marthe Allard) :

    "...Il n'est que juste d'ajouter ici que bien peu de femmes supporteraient, avec une aussi souriante sérénité, les avatars, incidents et drames d'une vie telle que la mienne.
    Jamais il ne m'est venu, du côté de Pampille, le moindre conseil de faiblesse ou de reculade.
    Jamais elle n'a marqué la moindre fatigue devant les duels, les procès, les menaces qui se sont succédé sans interruption, à partir de la fondation de notre quotidien.
    Sa confiance absolue dans le succès final de nos armes et de nos idées est bien connue de tous nos collaborateurs, et elle m'a plus d'une fois corroboré, sinon réconforté.
    Le 24 novembre 1923, son fils aîné, Philippe, si beau, si brave et si bon, était assassiné par les policiers de la République; elle montait, pendant des années, sans faiblir, ce calvaire surhumain, prenant la parole, quand il le falllait, pour stigmatiser de sa voix maternelle et douce, devenue grave, les meurtiers et les juges félons, et les politiciens sans âme.
    Nulle iniquité n'entamait sa foi, sa confiance dans la Justice infinie. Fidèlement attachée au Christ, son âme de chouanne, appuyée aux Evangiles, n'était ébranlée par rien.
    Elle m'est infiniment supérieure et sous tous les rapports.
    Mias il y a ceci : je crois, qu'issus du même sang - de Bretagne et de Provence - et deux fois cousins germains, nous sentons de même et presqu'en même temps.
    C'est un cas de synchronisme conjugal qui nous permet de prendre, sans nous consulter, et à distance, par un accord tacite, les décisions nécessaires au moment opportun." (La pluie de sang, pages 206/207).

  • Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP (39)...

    (Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP : contribution, commentaires, informations, renseignements, prêt de photos etc... bienvenus; retrouvez l'ensemble de ces documents dans notre Catégorie : Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP)

     

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    39 : 13 Mai 2018, Marseille : la "Jeanne des empêchés"...

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    Cette année-là, un bon nombre des militants vraiment actifs avait pu "monter" à Paris, pour le Cortège traditionnel, et nous n'étions qu'une petite dizaine qui, chacun pour une raison particulière, n'avait pu faire le déplacement.

    Il y avait une excellente ambiance dans le groupe : chaque mercredi, à la Brasserie Le Louis XVI, j'assurais une permanence, à partir de 20 heures. On attendait une demi-heure/trois quart d'heure, pour laisser aux militants le temps d'arriver, et, vers les 21 heures, j'animais le Cercle d'études hebdomadaire. C'est bien connu, pas d'action sérieuse sans formation doctrinale, d'abord... Ensuite, nous passions ensemble encore un bon moment, à parler politique ou, comme le dit Léon Daudet, à prendre le bon de la vie

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    Tenu par Marc et Nathalie, Le Louis XVI nous accueillait gratuitement et nous prêtait, aussi souvent que nous le demandions, sa salle du premier où nous étions vraiment "chez nous"... Merci à eux deux !

    Par contre, si nous n'avons jamais rien déboursé pour l'utilisation de la salle, une seule contrainte était à respecter impérativement : "Ici, on ne dit pas de mal de Louis XVI, ni de Marie Antoinette !" répétaient à l'envi Marc et Nathalie. Une obligation/interdiction que nous n'avons pas eu de mal à respecter !!!!!

     

    Il n'était pas rare que ces bons moments se prolongeassent jusqu'à... une heure du matin ! Alors, Olivier - le bras droit de Marc - venait me demander si l'on pouvait libérer les lieux, car il lui restait encore à tout ranger... Nous, nous n'avions pas vu le temps passer, soit que l'on parlât "politique", soit que l'on refît le monde, autour d'une bonne pinte (et, quand je dis "une"...).

    Pendant pas mal de temps, les Toulonnais sont venus nous voir, presque chaque semaine, avant que, leur groupe se développant, ils ne finissent par organiser eux-mêmes, chez eux, leurs Cercles, ce qui était, évidemment, une bonne chose. 

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    Cette année-là, les Toulonnais venaient encore. Ils fabriquèrent la belle bâche "ACTION FRANÇAISE PROVENCE" qu'ils arborèrent fièrement à Paris, et qui leur coûta pas mal d'heures de travail, mais le résultat en valait la peine. Vu sa longueur, il leur fallait un endroit assez grand pour travailler tranquillement : c'est dans mon rez-de-chaussée qu'ils purent travailler tout à leur aise, et sans être dérangés; mais le premier résultat ne fut pas satisfaisant, à leurs yeux, et les voilà partis pour tout reprendre à zéro (de la taille des lettres à leur emplacement...).

    Bref : un bon souvenir des jours heureux...

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    Le vendredi matin, nous vîmes donc partir les Toulonnais (et les autres), contents pour eux, un peu tristes de ne pas être du voyage mais, bon...

    Je proposai à ceux qui restaient de marquer le coup, tout de même, et de faire notre mini manif aussi : il n'y avait pas de raison ! Proposition acceptée et, le dimanche matin, nous nous retrouvions devant les Réformés, en haut de la Canebière, pour déposer notre gerbe aux pieds de la statue de Jeanne. 

    Je résumai rapidement (en un peu moins de quatre minutes) l'oeuvre de Jeanne et, comme il pleuvait abondamment, que le temps était moche comme il n'est pas permis, nous nous réfugiâmes dans le bar d'en face, tout à côté du monuments des "Mobiles", pour prolonger un peu, et clôturer, ce beau moment d'amitié...

    Jours heureux...

    ma courte intervention ici :

    https://www.facebook.com/100009520122184/videos/2005981509729167/

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    Pour ceux qui ne le connaissaient pas, Guy est ici à l'extrême-droite; 

     

    François Davin

  • Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP (10)...

    (Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP : contribution, commentaires, informations, renseignements, prêt de photos etc... bienvenus; retrouvez l'ensemble de ces documents dans notre Catégorie : Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP)

     

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    10 : Pierre Navarranne, Président de la Section de Toulon (et du Var) de l'URP...

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    "Je ne me suis jamais disputé une seule fois avec Maurras", disait Léon Daudet. Il y a des gens, ainsi, dont on ne garde, vraiment, que de bons souvenirs, et à l'évocation desquels aucun nuage d'aucune sorte ne reste attaché. Notre ami Pierre Navarranne est de ceux-là...

    Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP (4)...).

    Voici une photo de lui, le montrant à Roquevaire, devant le caveau de la famille Maurras, en train de réciter La prière de la fin.

    Nous avions l'habitude, que nous n'avons changée que fort tard, de commencer l'année aux premiers jours de septembre, en nous réunissant à Roquevaire (et, pour ceux qui le pouvaient, à Saint Rémy, sur la tombe de Daudet), et cette rencontre marquait, de fait, la fin de la période de dispersion estivale, et nos retrouvailles militantes... 

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    Pierre Navarranne lisait souvent, à cette occasion, La prière de la fin, et je récitais, après lui, le Je vous salue Marie, traduit en provençal par Maurras :

    Te salude Marìo, pleno de gràci,
    Lou Segne Mèstre es emé tu.
    Benesido siés entre tóuti li femo,
    E benesi lou fru dóu vèntre tiéu, Jèsus.
    Santo Marìo,
    Maire de Diéu,
    Prego per nàutri, li pecadou,
    Aro, e dins l’ouro de la mort nostro.
    Ansin siegue.

    C'était chaque année un moment merveilleux que cette sorte de "réunion de rentrée" en plein air : Chauvet - qui était tout sauf... orateur !... - prenait malgré tout la parole pour nous adresser quelques mots, on échangeait déjà des idées d'action, tracts, affiches ou réunions... et, surtout, on retrouvait les amis, comme Pierre Navarranne. Quel plaisir c'était de le retrouver, avec son éternel sourire bienveillant, son extrême gentillesse et courtoisie ! À chaque fois, nous nous répartissions les rôles, réellement heureux de partager ce moment ensemble...

    Je le vouvoyais, bien sûr, et ne me suis permis de l'appeler "Pierre" qu'une seule fois, lorsque nous apprîmes son départ pour le vrai Royaume, le 24 mars 2017. Je postai alors immédiatement ce court commentaire sur lafautearousseau :

    Notre ami de toujours, Pierre Navarrane...
    Combien de fois, lors des réunions de rentrée de la FRP en septembre, sur la tombe de Maurras, nous sommes-nous retrouvés, après les allocutions d'usage, pour réciter le "Je vous salue" en provençal et "La prière de la fin" ! Combien de fois nous sommes-nous dit "au revoir", sachant combien nous serions heureux de nous retrouver, la prochaine fois, à Roquevaire, aux Rassemblements des Baux, ailleurs encore ! Aujourd'hui, l' "au-revoir" est un "A Dieu". Pierre Navarranne est parti à son tour pour le vrai Royaume. Il y retrouve tant de nos frères en espérance et en fidélité; et il y est en si bonne compagnie...
    Pour la première fois, me permettrez-vous de vous appeler par votre prénom ? A Dieu, Pierre...

     

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    Au centre, Pierre Navarranne récite la Prière de la fin, sur la tombe de Maurras, à Roquevaire. A droite et à gauche, il préside la conférence du Prince Jean de France du 22 janvier 2010 à Toulon (sur la photo de gauche, au premier plan, Antoine de Crémiers...)

     

    Naturellement, lafautearousseau lui a rendu l'hommage qu'il méritait :

    Aujourd'hui à Toulon, obsèques du Dr Pierre Navarranne, royaliste, d'Action française, et simplement un grand monsieur

    Pierre Navarranne : Deuil de la Provence royaliste

    Et avec Bernard (Lugan) et Guy (de Balanda), j'ai évoqué son souvenir avec son petit-fils Amaury lors de la réunion tenue par Bernard à Toulon, le 5 juin 2019...

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  • Feuilleton : ”Qui n 'a pas lutté n'a pas vécu”... : Léon Daudet ! (96)

     

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     (retrouvez l'intégralité des textes et documents de ce sujet, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : Réunion houleuse à Montmartre... et une autre réunion "agitée"...

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    ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi...

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    1. De "Paris vécu", Première série, rive droite, page 203 :

    "...Les dits Camelots du Roi étaient peu nombreux, une cinquantaine tout au plus, sitôt après la guerre, lors d'une réunion donnée rue Hermel, en vue des élections de 1919, réunion où je dus prendre la parole, pour remplacer un orateur absent.
    Prévenus du fait par une police complaisante, les révolutionnaires accoururent en foule, avec l'intention manifeste de me faire mon affaire vivement.
    Il y avait une grille à l'entrée d'un petit passage, devant la salle de réunion.
    Pendant un quart d'heure, trois cents voyous, au moins, tenant à la main couteaux et révolvers, miaulant et hurlant "à mort Léon" ébranlèrent en vain la grille, que défendaient, à l'aide de projectiles, les vaillants Camelots.
    J'attendais, sur l'estrade, que ce fût fini.
    Lacour survint et me dit : "Leur nombre augmente. Débine-toi ! Il y a un mur facile à sauter. Un tel et un tel te feront la courte échelle."
    Ainsi fis-je et je me retrouvai, avec mes deux "courtes-échelles", dans une rue Eugène Sue déserte, angélique, qui nous mena rue Marcadet, où nous prîmes un bon bock, avec délices et orgues.
    Débarrassés de ma sauvegarde, les Camelots, entre temps, avaient fait une sortie de leur style et mis en déroute les adversaires, parmi lesquels, en civils, quelques uns de "ces messieurs"..."

     

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    2. De "Paris vécu", Deuxième série, rive gauche, pages 220/221/222 :

    "...Entre la rue Croix-Nivert et la rue de Lourmel, se trouve la rue Fondary, où nous tombâmes dans un véritable guet-apens, lors de la campagne électorale de 1919, Marie de Roux, le lieutenant de la Motte et moi, ainsi qu'une cinquantaine de Camelots du Roi.
    C'est miracle qu'il n'y ait pas eu de morts, ni de blessés.
    La chose se passait dans un préau d'école, endroit où il est malaisé de se défendre.
    C'était au début de la propagande communiste, et le signal de l'attaque fut donné par un personnage malodorant, hirsute et barbu, ne parlant pas un mot de français, qui brandissait une carte rouge. Trois ou quatre cents voyous et tricoteuses enragées s'avancèrent vers nous, armés de couteaux et de révolvers, aux cris de : "À mort !" et de "Daudet assassin !".
    Car les journaux révolutionnaires, prenant la suite du "Bonnet rouge", prétendaient chaque jour que j'avais été la cause de l'assassinat de Jaurès par mes articles dans l'A.F. Or jamais aucune de ces prétendues provocations au meurtre ne put (et pour cause) être citée. Bien mieux, celui qui avait tué Jaurès avait appartenu à l'organisation démocratique-chrétienne du Sillon, dont nous avons toujours été les adversaires.
    Mais les apaches de la rue Fondary, comme d'ailleurs les torchons en question, se fichaient pas mal de la vérité et de la vraisemblance. L'important, pour eux, était de se débarrasser de nous et de nos polémiques, à tout prix.
    Ce fut de La Motte qui sauva la situation, avec une admirable présence d'esprit.
    Il était à côté de moi au bureau. Saisissant la carafe traditionnelle, il en administra un coup tel sur la trombine du premier assaillant, un grand gaillard que je vois encore, que celui-ci s'en étala tout de son long.
    Profitant de la surprise, et du petit répit consécutif, nos amis, à coups de bâton bien administrés, creusèrent une très jolie allée, par laquelle nous sortîmes, de Roux et moi, et sautâmes dans l'auto de notre cher Alary, laquelle démarra aussitôt.
    Ce tour de "passez muscade" fut accompli en quelques secondes. J'eus cependant le temps d'apercevoir le barbu à la carte rouge, qui trépignait de rage, et vociférait et débagoulait en charabia.
    Depuis cette mémorable soirée, je ne dédie jamais un livre à de La Motte sans ajouter, à ma signature, la carafe symbolique, à l'aide de laquelle il me sauva la vie.
    Quant au bénéficiaire du choc de ladite, je ne sais ce qu'il est devenu. Il est peut-être encore évanoui à l'heure qu'il est... après dix ans..."

  • Paris, 11/12 Mai : Fête de Jeanne d'Arc... Samedi 11 Mai (de 14h à 18h) Colloque de la Jeanne 2024 / Dimanche 12, Cortèg

    Peut être une image de texte qui dit ’DIMANCHE 12 MAI 10H OPÉRA CORTÈGE DE JEANNE D'ARC ACTION FRANÇAISE’
     

    You are currently viewing Programme du Colloque de la Jeanne 2024 : Moins d’Europe, plus de France – Reprenons le contrôle

     

    Une rupture politique majeure se met en place sous nos yeux. Jamais le danger d’un gouvernement supranational ne fut aussi imminent. À la faveur de la covid, puis de la guerre en Ukraine, s’installe en France un gouvernement par la peur qui n’offre comme perspective qu’un fédéralisme européen mortifère. Nos agriculteurs en sont, aujourd’hui, les victimes expiatoires.

    À la veille d’élections européennes, pour la première fois, décisives, le colloque de la Jeanne 2024 propose de reprendre la main sur notre destin. Il faut entendre le diagnostic inquiétant fait par des personnes de qualité. Surtout, il faut se donner les arguments indispensables au combat politique décisif qui s’annonce.

    Le programe :

     

    14h

    I) Accueil et introduction

    • Henri Bec, président de la Restauration nationale
    • Olivier Perceval, secrétaire général : « France toujours »
    • Etienne Lombard, secrétaire général adjoint : « L’Europe, reprenons le contrôle »

    II) L’Europe, quelle identité ?

    • Rémi Brague, Membre de l’Institut, Académie des sciences morales et politiques, philosophe
    • Discutant : Francis Venciton, philosophe

    L’Europe, lorsqu’il s’est agi de définir son identité, a très tôt été rapportée à une double origine, grecque et juive, plus tard à l’opposition entre Athènes et Jérusalem. À partir d’emprunts à d’autres civilisations, la voie romaine a opéré une synthèse fondatrice de la première unité culturelle qui fut le premier espace européen. C’est l’hypothèse de départ de cette discussion sur l’identité de l’Europe.

    Derniers ouvrages parus :

    Des vérités devenues folles, Salvator, 2019, avec Souleymane Bachir

    Sur l’islam, Paris, Gallimard, coll. « L’esprit de la cité », 2023

    14h45

    III) Les enjeux

    • Jean-Luc Coronel de Boissezon, agrégé des facultés de droit, historien du droit et des institutions, professeur à l’ISSEP-Lyon. Notamment collaborateur des Dictionnaires du conservatisme, du populisme et du progressisme aux éditions du Cerf.

    « L’État de droit : l’Europe et la dictature des normes »

    L’Union européenne s’impose par le droit ruinant la souveraineté des États. « L’État de droit » est devenu l’Alpha et l’Omega du gouvernement supranational. Il s’agit d’une idéologie née dans le monde germanique et qui est devenue la règle chez les anglo-saxons, elle s’impose à nous désormais.

    • Christophe Réveillard, universitaire, ancien directeur de séminaire à l’École de guerre et ancien enseignant à Sciences Po Paris. Spécialiste des questions européennes. Auteur de La frontière, espace et limite, Paris, coll. « Géopolitique du XXIe siècle », SPM, 2023 et La construction européenne, Paris, Ellipses, 2020.

    L’Europe, un ovni politique devenu fou ?

    À la veille des élections européenne, cette conférence propose de revenir sur les principaux enjeux du scrutin : la fin du vote à l’unanimité, la guerre en Ukraine, la convergence dangereuse avec l’OTAN.

    • Un représentant de la coordination rurale
    • Discutant :Étienne Lombard

    Le mouvement des agriculteurs a montré les limites des politiques européennes. Partout en Europe, des agriculteurs luttent pour leur survie. En France, si la protestation a pris un caractère national avec le soutien de la population, c’est que l’agriculture n’est pas une activité économique comme une autre, interchangeable ou « globalisable».

    16h – Pause

    16h30 – Table ronde politique

    L’Europe : comment reprendre la main ?

    • Animée par Philippe Mesnard, rédacteur en chef de Politique Magazine
    • Paul-Marie Coûteaux, ancien député européen, rédacteur enchef du Nouveau conservateur
    • Rodolphe Cart,éditeur, rédacteur à Éléments et Front populaire
    • Axel Tisserand, historien des idées, docteur en sciences religieuses, rédacteur en chef adjoint de la Nouvelle Revue Universelle, rédacteur au Bien commun

    17h45 – Conclusions

    • Hilaire de Crémiers, président d’honneur de la Restauration nationale, membre du comité de rédaction de La nouvelle revue universelle et de Politique Magazine

    18h – Clôture

    20h00 Grand banquet d’AF

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    La reprise, pour la juste, et saine, et sainte colère paysanne ?

    De Gilbert Collard :

    "À quelques jours des élections européennes, des #agriculteurs français et espagnols bloquent la frontière à #Biriatou (Pyrénées-Atlantiques) : si vous croyez, gouvernants, qu'on peut se payer les paysans sans le payer un jour, vous rêvez, c'est pas fini !"

    https://www.sudouest.fr/economie/agriculture/agriculteurs-en-colere-au-pays-basque-avec-le-blocage-a-biriatou-des-ralentissements-attendus-sur-l-autoroute-ce-lundi-19943476.php

     

    PAS DE PAYS SANS

     

    PAYSANS !

     

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    SOLIDARITÉ TOTALE

     

    AVEC NOS PAYSANS !

     

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    1. Sur Opexnews (1/2) :

     "La France et la Belgique discutent d’une énorme commande de mitrailleuses à l’industriel FN Herstal. La FN Evolys, qui est déjà utilisée par les forces spéciales françaises, devrait être étendue à tous les régiments de l’armée de Terre."
     
     
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    1 BIS. Sur Opexnews (2/2) : Juste cette remarque : pourquoi ne pas avoir donné un nom français à cette arme française ?...

    "Nous avons décidé de développer en six mois un système de lutte antidrones, le #SkyJacker, qui a déjà un succès fou. Il peut leurrer un essaim de drones et le rediriger vers une zone sans risques.  Il a été retenu pour les #JO2024. Et la marine est très intéressée pour lutter contre les drones houthistes en mer Rouge." @SAFRAN"

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    3. La juste analyse d'Amaury Brelet sur le jeu dangereux (genre "baiser de la mort"...) que joue LFI avec les islamistes :

    "Jean-Luc Mélenchon et Rima Hassan ont noué une alliance infernale : il lui offre la tribune médiatique de LFI, elle racole des électeurs musulmans. Un mélange d'idéologie haineuse et de clientélisme cynique qui sera le dernier clou dans le cercueil de l'extrême gauche."
     
    (extrait vidéo 1'26)
     
     

    CONF' | Pourquoi la mante religieuse mange-t-elle son partenaire ? |  ECHOSCIENCES - Occitanie

    Si habile se croit-il, Méluche n'a oublié qu'une chose...

     

    4. Pas faux, bien au contraire ! Parlant des "Républicains" aujourd'hui, en réalité de la pseudo-droite depuis des décennies (Chirac...) ce propos de Marion Maréchal :

    "Si notre continent est aujourd’hui une colonie numérique et militaire des États-Unis, une colonie économie de la Chine, une colonie de peuplement de l’Afrique et bientôt une colonie religieuse de l’islam, c’est en grande partie de leur responsabilité..."

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    5. La Fondation du Patrimoine communique :

     "Lancement du Grand prix du patrimoine et tourisme local de @fond_patrimoine et @Airbnb. Votez pour votre site régional coup de cœur, grâce à votre voix il pourra recevoir une aide de 100 000€ pour sa restauration :  i.mtr.cool/hmqufpdqtr"
     
    (extrait 0'54)
     
     

    Programme Patrimoine et Tourisme local

     

    6. Posté sur tweeter par Le Syndicat de la Famille :

    "#Européennes2024 La gestation pour autrui, qui constitue une exploitation reproductive de la femme, a été condamnée plusieurs fois par le Parlement européen. La lutte est néanmoins largement insuffisante. Concrètement que doit-faire l'Europe ?"

    https://declaration-surrogacy-casablanca.org/fr/

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    7. Et l'on terminera cette série d'aujourd'hui sur cette belle image, d'une Europe qui est chrétienne et qui, contrairement à certaines apparences aujourd'hui, le restera... Ce très court extrait vidéo a été posté sur tweeter par le PèrePJuan Manuel Góngora, avec ce non moins court commentaire :

    "Me alegra que el Real Madrid, fiel a la tradición cristiana, haga ofrenda de la Copa de Europa a la Virgen María en acción de gracias por este éxito histórico. «Bajo tu amparo nos acogemos, santa Madre de Dios..."
     
    Ce qui signifie - pour ceux qui ne pratiquent pas le castillan (couramment appelé "espagnol") :
     
    "Il me plaît que le Real Madrid, fidèle à la tradition chrétienne, fasse offrande de la Coupe d'Europe à la Vierge Marie, en action de grâce pour ce succès historique. "Nous nous plaçons sous ta protection, Sainte Mère de Dieu..."

    (extrait vidéo 0'54)

    https://x.com/PereDanziec/status/1797361105989177573

    Madrid was dyed white to celebrate the 13th - Foto 6 de 10 | MARCA English

    Dans Aleteia :

    https://fr.aleteia.org/2022/06/01/ligue-des-champions-le-real-madrid-presente-son-trophee-a-la-vierge-de-lalmudena/

  • Feuilleton : ”Qui n 'a pas lutté n'a pas vécu”... : Léon Daudet ! (186)

     

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     (retrouvez l'intégralité des textes et documents de ce sujet, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

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    Douzième partie : De Paris à Paris, en passant par la Belgique !

    Aujourd'hui : L'assassinat de Philippe Daudet (I)...

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    ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi...

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    Le jeune Philippe Daudet - quatorze ans et demi l'année de son assassinat - était un pré-adolescent comme tous les autres pré-adolescents; il était simplement d'une extrême sensibilité, et d'une fragilité nerveuse et psychologique certaine ("...étant atteint d'une maladie nerveuse..." dit Massis), sujet à des angoisses régulières, et habité par un besoin périodique et irrépressible "d'aller voir ailleurs", en clair, de fuguer...
    Toutes ses fugues se terminèrent "bien", par un retour chez ses parents, et la ferme décision de ne plus recommencer; jusqu'à la survenue d'une nouvelle pulsion irrépressible...
    Parti une fois en Normandie, une autre à Bordeaux, une autre à Marseille, il revenait toujours chez lui, au bout de quelques jours...
    Aussi, ce mardi 20 novembre 1923, lorsque Philippe ne rentre pas, le soir, ses parents s'inquiètent-ils, mais pas plus que d'habitude; les jours passent, et l'inquiétude augmente; le samedi 24, un adolescent mourant est transporté à l'Hôpital Lariboisière et, le dimanche 25, "Le Petit Parisien" publie un entrefilet sur le "suicide d'un adolescent" : sa mère, alors, a un pressentiment...

     

    De "Député de Paris", début du Chapitre VI, "La deuxième année du Cabinet Poincaré - L'occupation de la Ruhr - L'assassinat de Plateau et de Philippe Daudet (1923)", pages 148/149 :

    "L'année 1923 - la deuxième du cabinet Poincaré - fut celle de l'occupation de la Ruhr, décidée à notre instigation, et qui aurait mis l'Allemagne à genoux, si elle avait été menée à son terme.
    Elle fut aussi, concurremment, celle de l'assassinat de notre collaborateur et bien cher ami Marius Plateau, tué dans les bureaux de notre journal, 12, rue de Rome, le 22 janvier 1923, vers deux heures de l'après-midi, par la fille de police Germaine Berton, laquelle, le même jour, avait tenté de tuer Maurras à la messe anniversaire du roi Louis XVI à Saint-Germain-l'Auxerrois.
    L'avant-veille, samedi 20 janvier, également dans la matinée, cette indicatrice était venue à mon domicile, 31, rue Saint-Guillaume, pour me tuer.
    Elle avait demandé à être reçue, me faisant remettre une lettre où elle me dénonçait un prétendu complot dirigé contre l'Action française.
    C'est le truc classique.
    Soupçonnant je ne sais quoi, en raison de notes bizarres et comminatoires parues dans "L'Oeuvre" de Téry et "L'Ère Nouvelle" de Dubarry, les jours précédents, j'éconduisis cette émule de la femme Caillaux (1).
    Neuf mois plus tard, le samedi 24 novembre 1923, notre petit Philippe, encore un enfant (quatorze ans et demi) était assassiné à son tour par un commissaire de la Sûreté générale, dans un guet-apens organisé chez le marchand de livres obscènes et indicateur de police, officiel et émargeant, Flaoutter, amant de la Berton.
    Les deux crimes, étroitement connexes, avaient eu lieu à l'instigation de Lannes, beau-frère de Poincaré et contrôleur à la rue des Saussaies.
    Mais nous ne sûmes le fond de l'affaire que par la suite, après une longue enquête et des évènements retentissants..."

    (1) Qui avait assassiné Gaston Calmette, directeur du Figaro, à l'instigation de son mari Joseph Caillaux, en mars 1914.