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  • Sur la page FB de nos amis du Courrier Royal : pourquoi Paris est la capitale de la France ?

    À force d’oppositions entre le centralisme parisien et les régions de France, on en oublie parfois une question pas si bête : pourquoi Paris est-elle la capitale du pays ? L’histoire de Paris comme capitale de la France est presque millénaire. Hormis quelques périodes troublées, l’Île de la Cité a depuis le 11ème siècle toujours été le centre névralgique du pays. Mais avant, d’autres villes ont eu ce rang, finalement perdu.

    Paris comme capitale, pas forcément une évidence

    Paris comme capitale ne relève pas forcément de l’évidence. Avant la conquête de ce qui sera la France par les Romains, le peuple des Parisii n’est pas le plus puissant, malgré son contrôle de la Seine. Ils étaient soumis aux Sénons, tribu régnant sur la Seine-et-Marne et l’Yonne. Quand la Gaule fut romaine, Lugdunum – Lyon – était la capitale.

    Après Tournai en Belgique et Soissons comme premières capitales des Royaumes francs, Paris a obtenu son premier statut de capitale de 508 à 768, sous l’impulsion de Clovis. Avec Charlemagne, Aix-la-Chapelle en Allemagne devient capitale. Il faudra attendre les rois capétiens pour fixer la capitale du royaume à Paris. Grâce à Philippe Auguste, « fossoyeur de la féodalité franque, inventeur de l’État central monarchique et refondateur de Paris comme capitale d’un royaume stabilisé », rappelle le ministère de la Culture.

     

    Les périodes de guerre, exceptions à Paris comme capitale

    Installé au Palais de la Cité, son lieu de naissance en 1165, construit sur l’île du même nom pour Hugues Capet, il le fait agrandir et y installe les archives royales. L’historien Jean-Christian Petitfils évoque, dans son Histoire de France, le pavement des rues, l’édification des Halles, du Louvre et la fortification de la rive gauche comme principales réalisations.

    Depuis les Capétiens et le 11ème siècle, Paris a été la capitale administrative, économique et intellectuelle du pays, tout en étant la plus peuplée. Les seules exceptions à ce statut ont été les périodes de guerre… ou de faste, quand Louis XIV s’est installé à Versailles.

    De 1420 à 1436, la prise de Paris par les Anglais pendant la Guerre de Cent-Ans contraint le roi Charles VII à déplacer le gouvernement royal à Bourges. Durant cette période troublée, la Touraine a été souvent le lieu de refuge des rois : Troyes et Tours ont aussi été les villes de résidence royale. Cette dernière sera également la capitale de 1588 à 1594, quand Henri III a été chassé de Paris par la Ligue catholique.

    Paris devient définitivement la capitale en 1792, malgré, des défaites militaires contraignant des gouvernements à s’exiler hors de Paris, sans enlever à la ville son statut. En 1870, celui de Gambetta fuit les Prussiens pour Tours, notamment en montgolfière, puis Bordeaux, qui sera aussi capitale provisoire en septembre 1914 et juin 1940. Après la Commune de Paris, Versailles redevient capitale de 1871 à 1879.

    Sous Pétain, Vichy sera la ville de siège du gouvernement, mais Paris occupé reste la capitale. Brazzaville, au Congo, est celle de la France libre jusqu’en 1943. Depuis 1944 et la Libération, le statut de Paris a été ancré. Toutes les institutions politiques, législatives et judiciaires du pays y sont centralisées. Une concentration héritée des rois, mais aussi de Napoléon, qui pourtant avait hésité à en faire sa capitale : « J’aurais voulu avoir ma capitale à Lyon, mais tout y était à créer », regrettait-il en 1821, depuis sa prison de Sainte-Hélène.

     

    Simon Louvet, pour Actu.Paris

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Notre feuilleton : Une visite chez Charles Maurras (20)

     

     

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

     

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    Aujourd'hui : Le Mur des Fastes (I/IV)

     

    Le blason de Martigues

     

    Montons donc, et arrivons au Mur des Fastes.


    En tête, la devise de Martigues :

    "Tuta manet in pelago, damnoque fit tutior".

    Pour laquelle on pourrait proposer une traduction comme :


    "Elle reste forte dans la mer calme et devient plus forte dans la tourmente..."

    Cette devise survole les armes parlantes de la ville :

    "De gueules à la tour donjonnée d'argent, ouverte du champ, ajourée et maçonnée de sable, adextrée de la lettre capitale F d'argent et senestrée d'une clef du même, le tout posé sur un pont de trois arches d'argent, maçonné de sable, lui-même posé sur une mer d'argent."


    Puis l'abrégé des gloires historiques en commençant par les plus anciennes :

    "Six cents ans avant notre ère, au témoignage de Strabon, Aristarchè, prêtresse de Diane d'Éphèse, accompagna en Gaule les colons phocéens. Son monument a été retrouvé à Martigues...

     

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  • À la découverte du fonds lafautearousseau (55) : Aux origines de l'Arsenal de Toulon...

    lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...

     

    Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...

    Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...

    Aujourd'hui : Aux origines de l'Arsenal de Toulon...

    (tiré de notre Éphéméride du 30 juin)

    (retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :

    À la découverte du "Fonds lafautearousseau")

     

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    1599 : Aux origines de l'Arsenal de Toulon...

     

    Le véritable fondateur de l'Arsenal de Toulon - après les Toulonnais eux-mêmes, on va le voir... - est Henri IV. En 1595, par Lettres patentes, il reconnaît que les habitants de Toulon ont élevé à leurs frais les murailles faisant de leur ville une citadelle, transformant ainsi leur port de pêche en port de guerre : il accorde donc aux habitants de Toulon l'usufruit à perpétuité des fossés et terrains à gagner sur la mer. Cette concession est l'acte de naissance de fait de l'Arsenal de Toulon...

    De plus, Henri IV entoure la ville d’une enceinte en forme d’étoile à 7 branches, avec des murailles de 15 mètres de hauteur. Les fortifications sont prolongées dans la mer par deux grands môles formant le premier véritable port : la vieille darse, qui abrite port de commerce et port de guerre.

    Le 30 juin 1599, un arrêt rendu par le Parlement de Provence confirme la volonté royale, et précise qu'une partie de ces terrains est "destinée à servir à la construction, à fabriquer des vaisseaux et pour bâtir un arsenal"

    30 juin,d'artagnan,rouget de lisle,vauban,louis xiv,fouquet,charles viii,guerres d'italie,louis xi,mousquetaires,lully

    Pouvait-on rêver rade plus idéale ?

    http://www.netmarine.net/forces/operatio/toulon/dates.htm

     

    L'histoire de Toulon est ainsi intimement liée à sa géographie et à son rôle militaire et naval. La ville a grandi au rythme de son port et de l'extension des fortifications et de son Arsenal.

    C'est en 1481 pour que s'affirme sa vocation maritime avec le rattachement de la Provence à la France. On construit la Tour Royale en 1514 et c'est Henri IV qui fait creuser la première darse et édifier un Arsenal. Richelieu, Colbert et Vauban font de Toulon un port à la taille des ambitions maritimes des Rois de France.

    Aux heures tragiques de la Révolution, en 1793, Bonaparte conquiert sa première notoriété en commandant l'Artillerie au siège de Toulon et Toulon sera débaptisée en Port-la-Montagne. Bonaparte repasse à Toulon en mars 1796 pour la campagne d'Italie et, en 1798, c'est à Toulon qu'il concentre les troupes qui y embarquent pour l'expédition d'Égypte.

    En mai 1830, une flotte considérable part pour la conquête de l'Algérie commandée par l'Amiral Duperré (voir l'Éphéméride du 14 juin).

    C'est aussi à partir de Toulon que le grand marin et explorateur Dumont d'Urville voguera à la découverte de la Vénus de Milo et de l'Antarctique, où il donnera à la Terre Adélie le prénom de sa jeune femme toulonnaise.

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    De 1836 à 1893, date de la visite de l'Escadre Russe venue de Cronstadt, l'Arsenal va être agrandi et doté de nouveaux bassins et appontements. Toulon est devenu un port de départ et de liaison pour les colonies comme le Tonkin.

    La seconde guerre mondiale verra le sabordage de la flotte le 27 novembre 1942, et les bombardements de novembre 1943 et août 1944; la ville fut totalement libérée par les troupes du Général de Lattre de Tassigny, mais elle était détruite à plus de 45 % !...

    Premier port militaire français, les eaux sûres de sa rade accueillent désormais la plus importante composante des bâtiments de la Force d'Action Navale.

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    http://toulon.fr/laissez-seduire/article/base-navale

     

    http://www.netmarine.net/forces/operatio/toulon/arsenal.htm

     

     

    24 juin,loi d'exil,orléans,du pont de nemours

  • Au cinéma : Les Fantômes d’Istanbul, par Guilhem de Tarlé

    Les Fantômes d'Istanbul - film 2020 - AlloCiné

     

    Art et Essai : Les Fantômes d’Istanbul, Un film turc de Azra Deniz Okyay.

    Byzance, Constantinople… Il y avait matière à un film magnifique et passionnant sur les Fantômes d’Istanbul ! Le synopsis annonçait « un portrait saisissant de la Turquie contemporaine »… et effectivement le vrombissement incessant des hélicoptères sur nos têtes donnait à penser sur le régime Erdogan, de même que l’allure « occidentalisée » des jeunes filles nous laissait perplexe en regard des fantômes en abaya qui revendiquent devant nos écoles !

    Le long-métrage commence par une coupure de courant qui plonge la ville dans l’obscurité, et le reste est sans intérêt… une succession d’images aussi obscures que le fil conducteur, qui n’a rien d’électrique… jusqu’à une fin en « apothéose » qui chante les « droits LGBTQ » !

    « Sans intérêt » vous dis-je !

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : appelez-le, comme il l'a voulu, Léonard Tsuguhanu Foujita...

    1959 : Baptême de Foujita

     

    Peintre, décorateur, graveur, dessinateur... cet amoureux fou de Paris et de la France, de sa Culture, de sa Civilisation, posa ses valises à Montparnasse, en 1913, pour ne plus jamais repartir (sauf pour aller se faire soigner, en vain, d'un cancer, à Zurich, où il mourut) :

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    https://francearchives.fr/fr/commemo/recueil-2018/82611691

     

    Naturalisé dès 1917, converti au catholicisme, c'est le 29 octobre 1959 qu'il reçut le baptême qu'il avait demandé, devenant alors Léonard Tsuguhanu Foujita. Il fit savoir haut et fort qu'il se convertissait, et expliqua son choix du prénom par son admiration pour le père de la Joconde...

    Il demanda à être enterré dans la très belle église de Notre-Dame-de-la-Paix (ci-dessous), à Reims, qu'il avait lui-même décorée : en choisissant Reims, la ville des Sacres, pour son repos, et en embrassant la religion traditionnelle du peuple français, Foujita montra bien comment il avait fait sienne cette Culture et cette Civilisation qu'il avait tant aimée et admirée, au point de vouloir s'y incorporer...

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    D'accord avec Amaury Navarranne :

    "RAID, GIGN, BRI, hélicoptères, drones, véhicules blindés, engins lanceurs d'eau, 130.000 policiers et gendarmes : quels dirigeants ne se poseraient pas de question quant à devoir déployer de tels moyens pour assurer le calme le jour de la #FêteNationale ? Les nôtres. Déni fou."

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    "Après les émeutes, un président mutique sur un événement central (extrait de l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers

    L’ÉDITORIAL DU FIGARO - Dans nombre de villes de France,,es Français sont forcés de vivre un 14 juillet sous couvre-fête.

    Les lampions ne s’allumeront pas, ce sera une fête sous couvre-feu. Un soir de couvre-fête. Dans nombre de villes de France, pas d’enfants éblouis devant les lumières de la nuit, pas de places en fête et en délire, pas de flonflons, ni bistrots de fortune aux couleurs bleu-blanc-rouge. Les bus doivent rentrer au dépôt et les citoyens des villes éteintes rester chez eux. Une tisane et au lit! Le 14 Juillet dessiné par Sempé est un vieux souvenir. Il laisse place à un mauvais roman d’anticipation. La police quadrille le territoire, les pompiers sont en alerte, les maires sur les dents. On nous dira que c’est circonstanciel, que prudence est mère de sûreté, et tout cela n’est pas faux, mais si l’Amérique se barricadait le 4 juillet, si les rues de l’Espagne se vidaient le 12 octobre, nous y verrions un signe des temps. Le signe inquiétant d’un pays incapable de fêter dignement sa fête, d’une nation contrainte de s’exiler de sa propre histoire.

     

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    1. Au Blanc Mesnil :

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    Fabien Gay, directeur de L'Humanité (journal avec beaucoup plus de subventions - venant de nos impôts - que de lecteurs) et sénateur communiste de Seine-Saint-Denis s'indigne et parle de "double peine" pour les habitants.

    Mais, l'a-t-on entendu condamner les émeutes et les émeutiers, les pillages et les pilleurs, les razzias et les razzieurs, et appeler au calme ?... 

     

    1 BIS. Et, partout en France :

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    À cause de la folle politique d'immigration/invasion imposée par le Système depuis Chirac et ses scélérats décrets de 75/76, les Français ne peuvent maintenant plus vivre normalement dans "leur" France, qu'on leur a changée...

    Qui donc, "on" ?

    LE SYSTÈME !

    • NOTRE COMBAT : LE SYSTÈME CHANGE LE PEUPLE, CHANGEONS DE SYSTÈME ! (1/2)

    • NOTRE COMBAT : LE SYSTÈME CHANGE LE PEUPLE, CHANGEONS DE SYSTÈME ! (2/2)

     

    3. La Ligue des Droits de l'Homme ? Il y a belle lurette qu'on la sait partiale, malhonnête, toujours du côté de la désinformation... De Bruno Attal :

    "La @LDH_Fr n’est pas un « observateur indépendant » : le statut d’observateur lui a été refusé par le Tribubal administratif de Poitiers. Son rapport sur #SainteSoline est partial comme à chaque fois. Ils sont à 100 mètres mais ils ont tout vu."

    (extrait vidéo 1'11) :

    https://twitter.com/Bruno_Attal_/status/1679381331006959617?s=20

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    4. De Île de France rassemblée :

    Les Insoumis se sont soustraits à l'hommage rendu aux élus agressés par les émeutiers... Sauf qu'ils ont été filmés. Ils ont essayé de faire disparaître la vidéo ci-dessous. Nous la republions. "Si vous avez honte, c'est votre problème, ça n'est pas le nôtre !"  

    (extrait vidéo 0'46)

    https://twitter.com/IDF_Rassemblee/status/1679098621973635073?s=20

    Question impertinente : qui vote pour des députés LFI ? Mélenchon rafle 80% du "vote musulman" : ceci explique cela...

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    5. Que l'on tourne et retourne le fait dans tous les sens, si la police avait mis le conducteur/assassin hors d'état de nuire, l'enfant innocent serait encore vivant...

    Question subsidiaire : quand libère-t-on Florian, le policier qui a évité "ça" en mettant hors d'état de tuer celui qui a refusé d'obtempérer ?

    LIBERTÉ POUR FLORIAN !

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    Et courageux, en plus : "ça" tue un enfant

    et "ça" prend la fuite !

     

    6. Deux sondages CSA pour CNews :

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    7. En Wallonie... D'accord avec CHEZ NOUS sur le "mauvais signal" envoyé à Molenbeek :

    "Une échevine voilée vient d’être nommée à la ville de #Molenbeek. Le port du #voile pour un mandataire public de ce type n’est pas acceptable ! Chez Nous , c’est clair, net et précis : non au voile #islamique car il s’agit d’une marque de soumission insupportable de la femme."

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    À DEMAIN !

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  • Pour parler encore et toujours plus de Maurras, en cette année 2022, 70ème anniversaire de sa disparition...(2)

    Le 20 avril marquera l'anniversaire de la naissance de Charles Maurras, et le 16 novembre le 70ème anniversaire de son entrée dans cette "paix certaine, entre les bras de l'espérance et de l'amour..." qu'il a évoquée dans sa Prière de la fin...

    Le Système a d'abord condamné Maurras, en 45 (la plus belle des décorations : que peut-on rêver de mieux que d'être condamné par le Totalitarisme génocidaire de la république idéologique et sa Nouvelle religion républicaine ?).

    Et, maintenant, ce même Système ostracise Maurras, et pratique à son encontre la conspiration du silence. Même la richissime Mairie de Martigues a "jeté l'interdit" sur sa bastide du Chemin de Paradis, à Martigues, que Maurras a pourtant léguée à "sa" ville, par "patriotisme municipal" : l'accès, la visite et même la simple promenade dans le jardin sont interdits !...

    Il convient donc de parler de lui, à la limite tous les jours, et même à propos de tous sujets, et d'en parler comme Pierre  Boutang voulait qu'on en parlât :

    Comme le dit Pierre Boutang : "...parler de Maurras comme de tout le monde... c'est un homme politique comme tous les autres hommes...(1/2)

  • La Famille de France en France, été 2022...

    La Famille de France s'est retrouvée au grand complet, après les camps scouts des uns et des autres, au Le Puy-En Velay, Auvergne, France, pour la fête de Saint Jacques.
    Elle y a passé quelques jours pour revisiter les principaux monuments et sanctuaires de la ville : Notre Dame de France (jusque dans la couronne !), Saint Joseph d'Espaly, les chapelles Saint Clair, (pour trouver le bon compagnon de vie), Saint Michel d'Aiguilhe, Saint Gabriel (pour l'inspiration et la compréhension), Saint Raphael (pour les bons voyages et la bonne santé), la cathédrale Notre-Dame du Puy, la Pierre Noire des Fièvres (pour demander des guérisons) et le Camino, musée et lieu d'accueil des pèlerins cher à Monseigneur Brincard, qui avait envoyé le Prince Jean sur le chemin de Saint Jacques en 2008.
    Si l'on est ancien ou futur pèlerin, croyant ou non, ou bien si l'on cherche à se ressourcer quelques jours dans une atmosphère intemporelle, le Puy, par la richesse incroyable de son patrimoine naturel, culturel, historique et religieux est un incontournable absolu.

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  • Pour adhérer à l'Association des Amis de la Bastide du Chemin de Paradis

    Pourquoi adhérer à l'Association des Amis de la Bastide du Chemin de Paradis ?

    Notre Association se place dans la continuité directe de la Société Civile Immobilière qui fut propriétaire de 1975 à 1997 de la Bastide du Chemin de Paradis, demeure provençale édifiée à Martigues au XVIIème siècle. Cette maison, protégée au titre des Monuments Historiques par arrêté du 2 septembre 1975, fut la résidence de Charles Maurras, de l'Académie Française.

    En 1997, suite à la cession de la Bastide à la Ville de Martigues, la SCI fut dissoute, mais l'Association créée à ses côtés en 1979 pour financer les charges et l'entretien de la propriété poursuivit ses activités, sous les présidences successives de François Léger, Nicole Maurras puis Dominique Paoli, avec notamment pour but "d'apporter son aide et son soutien à la Maison du Chemin de Paradis". C'est ainsi qu'elle contribua par ses dons à la restauration de divers tableaux et éléments de mobilier.

    Par la suite, l'état du bâtiment s'est dégradé, d'abord à cause de l'invasion de termites, puis de l'apparition de fissures dans les murs porteurs, ce qui entraîna sa fermeture temporaire. Mais surtout, l'élection en 2009 d'un nouveau maire à Martigues provoqua un changement complet d'attitude de la Ville, qui se désintéressa de la Bastide jusqu'à refuser de tenir les engagements pris au moment de la cession. Ces engagements correspondaient aux dernières volontés de Charles Maurras : faire de la Bastide un "musée d'écrivain" ouvert aux visiteurs et aux chercheurs, y installer une "bibliothèque populaire", enfin faire du jardin un espace public. Aujourd'hui, la Maison comme le jardin sont fermés et leur délabrement ne laisse pas d'inquiéter. De plus, rien ne signale leur existence.

    Constatant la gravité de la situation, une nouvelle équipe reprit en mains l'Association au début de l'année 2022, sous la Présidence d'Honneur de Nicole Maurras. Les statuts furent rénovés, l'objet social étant ainsi redéfini :

    L'objet de l'association est, d'une part, d'apporter son aide et son soutien à la réhabilitation et à l'animation de la Bastide du Chemin de Paradis, propriété de la Ville de Martigues (Bouches du Rhône), et de participer, en tant que de besoin, à l'installation et au fonctionnement en son sein d'une Bibliothèque Populaire et d'un Musée, suivant en cela les dernières volontés de Charles Maurras ; et d'autre part, d'assurer le financement, la maintenance technique et l'alimentation du site www.maurras.net ainsi que de toute publication électronique pouvant lui être associée.

    À la veille de célébrer le 70ème anniversaire de la mort de Charles Maurras, qui marque l'entrée de l'ensemble de son oeuvre dans le domaine public, l'Association vous propose de la rejoindre. Si vous appréciez le patrimoine provençal, si vous considérez que le souvenir de Charles Maurras mérite mieux qu'un placard poussiéreux, si vous pensez que la ville de Martigues et la Provence tout entière se doivent d'honorer dignement l'un de leurs plus grands hommes de lettres, un de ceux qui les ont le plus ardemment chantées et honorées, alors votre place est parmi nous !


    LES AMIS DE LA BASTIDE DU CHEMIN DE PARADIS
    Association déclarée – RNA W751050426 – SIRET 91739891900014 – APE 91.03Z
    Cotisation annuelle : 30 euros
    IBAN : FR39 3000 2004 2900 0000 7134 Z37

     

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    Adhésion à l'Association des Amis de la Bastide du Chemin de Paradis
    Courriel : asso@maurras.net
    BULLETIN D'ADHÉSION
    Nom, Prénom ...........................................................................................
    Adresse ..................................................................................................
    Courriel (en majuscules) .............................................................................
    Téléphone ...............................................................................................
    Cotisation annuelle : à partir de 30 euros
    Étudiants, chômeurs, ecclésiastiques : à partir de 15 euros
    à régler de préférence par virement bancaire sur le compte FR39 3000 2004 2900 0000 7134 Z37
    ou par chèque, à envoyer au Trésorier, M. Laurent Touchagues, 56 rue du Val d'Or, 92150 Suresnes

  • Bravo à nos amis de L'Action Française Arras...

    "L'ignoble @FLeturque joue au dhimmi de fin d'année. Très bien, fermez dès à présent le marché de Noël, n'octroyez pas la prime éponyme aux employés municipaux, trêve aux cadeaux, finie la publicité sur "Arras, ville de Noël". Espèce d'hypocrite."

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    Un vulgaire collabo de l'islamo-gauchisme...; un  non-moins vulgaire séide de la Nouvelle Religion Républicaine, qui a  déclaré une guerre d'extermination à la religion traditionnelle du Peuple français, sur cette terre qui "n'est pas un terrain vague" mais qui "est appropriée depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines" (Charles Maurras).

    Depuis deux mille ans, chez nous, on ne se souhaite pas un ridicule "fantastique décembre" ou un non moins ridicule "bonnes fêtes de fin d'année" mais un sonore et réjouissant :

     

    JOYEUX NOËL !

  • Le Centres Lesdiguières communique...

    A l’initiative des Patriotes, l’Action Française soutient le

     

    Rassemblement unitaire pour la paix

     

    Samedi 18 Mars à 14 heures RDV devant l'Hôtel de Ville de Grenoble

    (11 Boulevard Jean Pain 38000 Grenoble - côté tram).

     

     

    Totalement soumis à l'Union Européenne et aux États-Unis, Emmanuel Macron entraine la France dans une position extrêmement dangereuse de cobelligérant dans cette guerre entre l'Ukraine et la Russie.

    Le peuple français n'approuve ni la soumission à l'otan, ni les livraisons d'armes à l'Ukraine, ni les sanctions absurdes qui détruisent notre économie. Nous appelons à la paix et au retour d'une diplomatie française d'équilibre.

    L’Action Française soutient cette initiative et prendra la parole.

     

    Action Française

     

     

  • Tremblay-en-France et son restaurateur qui s'excuse devant le « politiquement correct »...

    Tremblay-en-France, dimanche 28 août. Des « jeunes » de la ville sont venus demander des explications au restaurateur qui a prié deux musulmanes voilées de quitter son établissement

     

    2504458051.3.jpgLe samedi 27 août, un restaurateur de Tremblay-en-France a refusé de recevoir dans son resto des femmes voilées : il a eu parfaitement raison; il a eu, par contre, parfaitement tort d'ajouter « tous les musulmans sont des terroristes ».  Tort aussi de dire ensuite aux médias qu'il regrettait son geste.

    Nous, nous disons : tous les musulmans ne sont pas des terroristes, mais, pour l'heure, tous les terroristes sont des musulmans. Et nous ne sommes pas prêts de retirer ce propos, et de plier le genou devant l'intelligentsia bobo-gaucho, devant le diktat du politiquement correct. 

    Et merde au « parti immigrationniste ! ». Comme Léo Ferré chantait « merde à Vauban ! » 

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (74), Emancipation et révolutions communales...

     

    Illustration : Beffrois du Nord de la France...

    Construits à partir du XIème siècle, les Beffrois constituent des symboles hautement significatifs de la conquête des libertés civiques : le beffroi était érigé comme signe d’autonomie communale obtenue par charte, et en tant que symbole même des libertés.
    Par opposition au donjon (symbole des seigneurs) et au clocher (symbole de l’Eglise), le beffroi, troisième tour du paysage urbain, représentait le pouvoir des échevins.
    Au fil des siècles, il est devenu le symbole de la puissance et de la prospérité des communes…

    De Jacques Bainville, Histoire de France, chapitre V, Pendant 340 ans, l'honorable Maison capétiénne règne de père en fils :

    "...Il se trouva qu'au moment de la première croisade, la plus importante de toutes (1096), le roi de France était en difficulté avec l'Église à cause d'un second mariage irrégulier. Philippe 1er ne participa d'aucune manière à l'expédition tandis que toute la chevalerie française partait. Nulle part, dans la chrétienté, l'enthousiasme pour la guerre sainte n'avait été plus grand que dans notre pays, au point que la croisade apparut aux peuples d'Orient comme une entreprise française. Il en résulta d'abord pour la France un prestige nouveau et qui devait durer dans la suite des siècles. Et puis, beaucoup des croisés disparurent. D'autres qui, pour s'équiper, avaient engagé leurs terres, furent ruinés. Ce fut une cause d'affaiblissement pour les seigneuries féodales. Et il y eut deux bénéficiaires : la bourgeoisie des villes et la royauté.

    Depuis les destructions et la désolation du dixième siècle, des richesses s'étaient reconstituées, la société tendait à se régulariser. Aux siècles précédents, la ruine de l'ordre et de la sécurité avait poussé les petits et les faibles à se livrer à des personnages puissants ou énergiques en échange de leur protection. Les circonstances avaient changé. La preuve que le régime féodal avait été bienfaisant, c'est qu'à l'abri des châteaux forts une classe moyenne s'était reformée par le travail et par l'épargne. Alors cette classe moyenne devint sensible aux abus de la féodalité. La dépendance ne lui fut pas moins insupportable que les petites guerres, les brigandages, les exactions. On avait recherché la protection des seigneurs pour être à l'abri des pirates : on voulut des droits civils et politiques dès que la protection fut moins nécessaire. La prospérité rendit le goût des libertés et le moyen de les acquérir. Ce qu'on appelle la révolution communale fut, comme toutes les révolutions, un effet de l'enrichissement, car les richesses donnent la force et c'est quand les hommes commencent à se sentir sûrs du lendemain que la liberté commence aussi à avoir du prix pour eux.

    De là devaient naître de nouveaux rapports entre protecteurs et protégés. La bourgeoisie des villes s'était groupée en associations de métier. Par un phénomène naturel et que nous voyons se reproduire de nos jours, ces syndicats en vinrent à jouer un rôle politique. Les corporations réunies constituèrent la commune qui obtenait ses libertés tantôt par la violence, tantôt à l'amiable ou à prix d'argent. Le seigneur étant à la croisade, le bourgeois s'enhardissait. Ce mouvement faillit d'ailleurs engendrer une autre sorte d'anarchie, celle de la féodalité bourgeoise, car les communes conçurent naturellement l'autorité de la même façon que les seigneurs dont elles prenaient la place. On aurait vu une foule de petites seigneuries républicaines et le morcellement de la souveraineté qui caractérise le régime féodal aurait persisté sous une autre forme. C'est ce qui se produisit en Flandre, en Allemagne, en Italie, où les villes libres et les républiques ont pullulé. En France, l'intervention du roi empêcha le mouvement communal de prendre une tournure anarchique.

    Ce mouvement fut d'ailleurs très varié, comme l'était le monde de ce temps où tout avait un caractère local, où les conditions changeaient de province à province et de cité à cité. Les communes se fondèrent paisiblement dans le Midi où survivaient les coutumes municipales de la Gaule romaine. Elles n'allèrent pas sans tumulte au Nord. Selon les lieux et les circonstances, elles réussirent ou elles échouèrent ou bien elles aboutirent à des compromis. Il n'y eut pas d'unité dans ce mouvement. Il n'y eut pas de doctrine : les communiers s'alliaient à qui ils pouvaient, parfois à de véritables brigands féodaux. Le Capétien, à l'origine, n'eut pas non plus d'autre politique que celle de l'occasion. Il soutenait la commune à Amiens parce que, là, il avait, avec Enguerrand de Coucy, le même adversaire qu'elle. Il la réprimait à Laon, parce que la commune de cette ville était l'alliée de son ennemi Thomas de Marle contre l'évêque ami du roi..."

     

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  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (88), Guerre de Cent ans (2/4) : premier rétablissement

    Après la mort de Jean II, en 1364, il faut toute l'habileté de Charles V le Sage et la hardiesse de Bertrand Du Guesclin, son futur Connétable, pour peu à peu restaurer le royaume dans son intégrité.

    Renonçant aux batailles frontales, ils placent de solides garnisons dans les villes et les bourgs et harcèlent autant que faire se peut les troupes anglaises. L'occupant s'épuise dans des sièges interminables et ne trouve nul endroit où se ravitailler. Ses "chevauchées" en territoire ennemi se soldent par des pertes très lourdes.

    En 1373, une armée commandée par le duc de Lancastre, frère du Prince Noir, traverse la France en ravageant les campagnes mais rentre à Bordeaux avec le tiers seulement de son effectif !

    Pendant ce temps, les Français, usant de l'artillerie (une nouveauté !), procèdent méthodiquement au siège des places fortes tenues par les Anglais. Ceux-ci refluent lentement jusqu'à être chassé presque complètement de France.

    En 1380, les disparitions successives de Du Guesclin et Charles V laissent la France dans un état relativement favorable.

    Mais le Roi Charles VI va souffrir de démence épisodique...

     

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  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (91), de 1309 à 1376 : la Papauté en Avignon...

    Pendant la première période, de 1309 à 1376, sept papes se succédèrent en Avignon : Clément V, Jean XXII, Benoît XII, Clément VI, Innocent VI, Urbain V et Grégoire XI.

    Le premier d'entre eux, Clément V, est celui de "l'affaire des Templiers", maudit sur son bûcher par Jacques de Molay ("...Pape Clément, Roi Philippe, avant un an, je vous cite à comparaître au Tribunal de Dieu...") : Maurice Druon a amplement développé cette histoire dans ses Rois Maudits...
    Et le dernier d'entre eux, Grégoire XI (Pierre Roger de Beaufort), 201ème pape jusqu'à sa mort, en 1378, fut à la fois le dernier pape français, celui qui ramena la papauté à Rome, après presque soixante-dix ans ans passés en Avignon, et celui après la mort de qui s'ouvrit le Grand schisme d’Occident, qui devait durer de 1378 à 1417...

    L'installation du pape et de sa cour provoqua une formidable augmentation de la population. Avignon devait certainement compter près de 40.000 habitants, chiffre énorme pour cette époque, qui en faisait une des plus grandes villes d'Europe et sûrement la plus cosmopolite.
    Le célèbre Palais des Papes, palais fortifié à l'envergure colossale, fut édifié à partir de 1335 sous le pontificat de Benoît XII.
    A la fin de celui de son successeur Clément VI, en 1352, il était pratiquement terminé.

    Dans toute la ville et ses environs, les cardinaux se firent construire des "livrées cardinalices" somptueuses, rivalisant de magnificence et d'ostentation : le Petit palais et la Livrée Ceccano en sont de magnifiques exemples (cette dernière abrite aujourd'hui la bibliothèque municipale).
    Le prestige et le faste de la papauté avignonnaise atteignirent leur apogée sous le brillant pontificat de Clément VI (1342-1352) qui racheta à la reine Jeanne la ville d'Avignon pour 80.000 florins d'or.

    La seconde partie du XIIIème siècle est une période troublée.
    Pendant les nombreuses trêves de la Guerre de 100 ans, entre les royaumes de France et d'Angleterre, des bandes de mercenaires desoeuvrés forment les Grandes Compagnies.
    Pour leur propre compte, ils pillent, massacrent la population et sèment la terreur sur leur passage. Certaines se dirigent vers Avignon, attirées par la concentration des richesses de l'Eglise.
    En 1357 et 1358, le Comtat est dévasté et Avignon est menacée. Le pape préfère payer une rançon pour éloigner le danger.
    Une nouvelle fois en 1360, le pape préfère payer mais l'insécurité persiste.
    En 1365, Bertrand du Guesclin, en route vers l'Espagne à la tête d'une armée de routiers, s'arrête à Villeneuve et exige une énorme rançon, dont le pape Urbain V s'acquitte.
    En plus des routiers, la peste est apparue en Europe. Les épidémies déciment régulièrement la population. La première, la peste de 1348-1349 fut la plus terrible. Les morts se comptent par milliers dans la ville. Elle est de retour en 1361, accompagnée de la famine.

    Le pape Grégoire XI, pressé par les romains, motivé par les désordres et les révoltes dans ses États Pontificaux, rentre à Rome le 17 janvier 1377 après trois mois et demi d'un épuisant voyage. Il y meurt l'année suivante, le 27 mars 1378.

    Ensuite, c'est "le Grand Schisme" : la mort de Grégoire XI ouvre une période trouble; sous la pression d'émeutiers romains, les cardinaux élisent un pape italien, qui prend le nom de Urbain VI. Puis certains d'entre eux, français pour la plupart, considérant cette élection comme nulle, se réunissent à nouveau et élisent un nouveau pape, Clément VII, qui s'installe en Avignon en 1379.
    Le premier est soutenu par l'Italie du centre et du nord, l'empereur germanique, les Flandres et le roi d'Angleterre.
    Le second par le royaume de Naples, la France et l'Espagne.
    La division de l'Eglise catholique en deux obédiences durera jusqu'en 1417. Le successeur de Clément VII, Benoît XIII, va perdre progressivement tout ses partisans, jusqu'à se retrouver assiégé dans le palais des Papes par les avignonnais et y rester prisonnier pendant cinq ans.
    Il s'en évade dans la nuit du 11 au 12 mars 1403, et meurt en 1409 chez son dernier partisan, le roi d'Aragon...
    La fin du Grand schisme, en 1417, marqua aussi la fin définitive de toute présence papale - légitime ou non - en Avignon...

     

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